Movimento Impegno e Testimonianza - Madre dell'Eucaristia
Via delle Benedettine, 91 - 00135 Rome - Italy
Tel. +39-063380587
mov.imp.test@madredelleucaristia.it
Marisa s'est envolée dans la Maison du Père
Le 8 août 2009, à la clinique Columbus,
la Voyante et stigmatisée Marisa, Victime de l'Eucharistie, accompagnée
de la Madone, Mère de l'Eucharistie, de Saint Joseph, Gardien de l'Eucharistie
et de sa maman, s'est envolée au Paradis, où la Très Sainte
Trinité l'attendait et où les anges et les saints l'accueillirent
et lui firent fête.
Comme Jésus mourant sur la croix ne fut assisté que par sa maman,
Saint Joseph et quelques femmes pieuses, Marisa, elle aussi a rendu le dernier
soupir dans la solitude totale. Jésus lui avait demandé de l'imiter
dans ses derniers moments. En plus des personnages célestes mentionnés
ci-dessus, il n'y avait alors, en fait auprès d'elle, que Tittti, une
personne de la communauté qui l'a assistée avec amour et dévouement
pendant la dernière période de sa vie et une infirmière
que nous avions choisie pour aider Titti pendant la nuit. Ses douleurs s'étant
aggravées et son état de santé ayant empiré, notre
frère l'Evêque avait pris la décision de la faire hospitaliser
à la clinique Columbus, afin de pouvoir lui procurer un peu de soulagement
et une assistance médicale permanente et compétente.
Pendant toute la durée de son séjour en clinique, elle fut assistée
et veillée de jour en permanence, également par des membres de
la communauté qui ne la laissèrent jamais seule même une
minute en faisant des tours de garde, afin qu'elle vit autour d'elle des personnes
de connaissance lui montrant de l'affection et participant à ses souffrances.
Sa chambre ressemblait parfois à une chapelle où prières
et suppliques étaient adressées à Dieu, pour qu'Il mette
fin à son martyre d'amour.
Nous tous, membres de la communauté, nous étions conscients que
le départ de Marisa approchait, mais nous ne pensions pas que cela arriverait
si vite et si soudainement.
Ceux qui la virent le 8 août, le dernier jour de sa vie, bien que constatant
qu'elle souffrait beaucoup, parce que les soins médicaux ne lui apportaient
plus aucun soulagement, nous dirent l'avoir trouvée lucide et maître
d'elle.
Mais vers 22 heures, son état s'aggrava subitement et après une
brève agonie, elle s'endormit tranquillement dans les bras du Seigneur:
il était 23h05. Elle ferma ses yeux aux réalités terrestres
et les rouvrit à celles célestes. Nous sommes certains que l'Evêque
et d'autres personnes étaient alors près de son lit en bilocation
inconsciente. Saint Joseph aussi, vu seulement par l'épouse bien-aimée
et son fils Jésus, fut présent sous la croix pour soutenir et
réconforter la Mère de l'Eucharistie. Quelques semaines avant
sa mort, alors qu'elle était encore à la maison, Marisa exprima
le désir de saluer un par un les membres de la communauté; nous
pensons, que très probablement, elle connaissait la date de sa mort.
Les 21 et 22 juin, elle reçut en petits groupes les adultes de la communauté
qu'elle salua un par un; elle accepta de se faire photographier avec tous pour
leur laisser un souvenir. Avec les jeunes, elle voulut que la cérémonie
d'adieu soit accompagnée de la prière. Sur la suggestion de la
Madone, la cérémonie d'adieu des jeunes de notre communauté
fut célébrée le 22 juin: ils vécurent une page de
l'Evangile, comme lorsque les deux apôtres choisis par le Maître,
préparèrent la salle du Cénacle, où Jésus
célébra sa dernière Pâque et institua les deux grands
sacrements: l'Ordre Sacré et l'Eucharistie.
Les jeunes nettoyèrent et arrangèrent du mieux qu'ils purent le
salon de la maison, décorèrent l'autel provisoire, disposèrent
avec élégance plantes et fleurs, préparèrent les
habits liturgiques les plus beaux et les vases sacrés les plus précieux.
Ils voulurent revêtir leurs habits les plus beaux et les plus élégants
et allèrent chercher Marisa dans sa chambre.
Marisella, elle aussi, avait voulu se faire belle pour cette rencontre avec
ses enfants. Elle décida d'endosser le vêtement blanc, confectionné
spécialement pour son envol au Paradis, et permit aux jeunes filles de
la parer comme une épouse.
Dieu permit à la voyante qui n'était plus capable depuis bien
longtemps de monter ou de descendre une marche, de descendre les escaliers au
bras de l'Evêque. Ceci fut très émouvant pour les jeunes
de voir leurs parents spirituels descendre les escaliers et se rendre au salon,
où tout était prêt pour la cérémonie des adieux.
La célébration de la S. Messe, précédée de
prières et de chants, commença et à la fin, notre frère
l'Evêque administra le sacrement des malades à Marisa.
Les adieux des jeunes suivirent et ce fut la partie la plus émouvante
de la cérémonie. Tous les couples mariés et les jeunes
célibataires s'approchèrent de Marisa pour la remercier de ses
enseignements et de l'amour qu'elle leur avait montré de mille façons.
Marisa était sereine, souriante et écouta avec beaucoup d'attention
ce que lui dirent ses enfants: pas un d'entre eux ne réussit à
retenir ses larmes.
Ils étreignirent et embrassèrent tous Marisa qui adressa à
chacun d'eux des paroles qu'ils conserveront certainement jalousement dans leur
coeur.
L'Evêque reprit ensuite la parole, rappela quelques épisodes de
leur vie et exposa chaque vision de Marisa concernant son avenir.
La Madone, Saint Joseph, grand-mère Iolanda, les derniers papes, d'autres
saints et les anges étaient présents ainsi que les enfants qu'assista
Marisa au cours de ses déplacement en bilocation dans le monde et qui
décédèrent entre ses bras.
Dieu se manifesta subitement et nous communiqua une horrible nouvelle: l'extirpation
et le prélèvement d'organes sur 500 petits enfants et adolescents,
avec la complicité de personnes se disant chrétiennes. Dieu le
Père demanda à Marisa de souffrir la passion pour expier ce massacre.
L'Evêque et les jeunes s'unirent à la souffrance de Marisa par
la prière qu'ils poursuivirent pendant toute la nuit. Plus les heures
passaient et plus il devenait clair que Dieu avait demandé à Marisa
de nouvelles et plus grandes souffrances pour sauver le monde qui s'en va vers
une autodestruction effrayante, pour la renaissance de l'Eglise et pour notre
Evêque.
Tout ceci impliquait nécessairement un nouvel ajournement de la date
de sa mort.
Le 17 juillet, Marisa fut hospitalisée à la clinique Columbus,
d'où elle devait prendre son envol pour le Paradis le huit août.
Nous n'avons fait part de la disparition de Marisa qu'à ceux qui croient
aux grandes oeuvres réalisées par Dieu dans le lieu thaumaturgique,
parce que nous voulions éviter des interférences et empêcher
que des paroles cinglantes et jugements acerbes ne soient prononcés à
son égard par ses ennemis, comme cela s'est effectivement passé,
quand ils apprirent après beaucoup de temps qu'elle était morte.
Le Seigneur nous a aidés à vivre la mort de Marisa dans une paix
spirituelle et un total abandon à sa divine volonté.
Il n'en aurait pas été ainsi, si nous avions diffusé sur
notre site internet l'annonce du départ de notre soeur pour le Paradis.
Nous ne voulons pas savoir comment les ennemis des apparitions de la Mère
de l'Eucharistie et des miracles eucharistiques accomplis dans le lieu thaumaturgique,
ont appris que Marisa était morte, nous regrettons seulement qu'ils aient
non seulement gravement offensé la Voyante stigmatisée, mais Dieu
également en manquant à la charité et en offensant la vérité.
Ils se sont montrés aussi naïfs, parce qu'ils ne savent pas que
Dieu va désormais commencer ses interventions pour faire triompher la
vérité, l'Evêque et nous qui le suivons avec conviction
et responsabilité.
Notre Evêque est parfaitement au courant de ce que dirent et firent les
ennemis de Dieu au Vatican, Vicariat, dans diverses curies épiscopales
et maisons privées, du vivant de Marisa, parce que la Voyante y était
présente, invisible en bilocation, et rapportait ensuite à l'Evêque
tout ce qui s'était passé dans ces cliques.
Ces messieurs pensaient parler en pleine liberté et dans le secret total,
mais Dieu a chamboulé leurs plans et fait connaître leurs entretiens
embrassant également d'autres thèmes, comme la division du pouvoir,
des charges et de l'argent. Au lieu de servir l'Eglise, ils ne servent que leurs
propres intérêts; même le Pape Benoît XVI l'a reconnu
à diverses reprises; pour s'en assurer, il suffit de consulter divers
discours qu'il a prononcés cette année et qui sont publiés
sur le site Internet du Vatican.
Personne, pas même l'Evêque ne sait quand et comment arrivera la
renaissance de l'Eglise, mais ceci importe peu, ce qui importe c'est que l'Eglise
renaisse et que ses pasteurs indignes soient destitués.
Il est écrit dans tous les volumes reprenant les lettres de Dieu, que
Dieu a choisi l'Evêque, ordonné par Lui-même, pour accomplir
cette mission et qu'il y sera aidé non seulement par la Très Sainte
Trinité, mais également par la Mère de l'Eucharistie, Saint
Joseph, Saint Pierre et Saint Paul, grand-mère Iolanda et sa soeur Marisa.
La Mère de l'Eucharistie a dit à plusieurs reprises que tous les
anges et saints du Paradis, appelés par elle, prient en permanence devant
Dieu pour l'accomplissement de cette tâche dont la seule pensée
fait frémir. Nous attendons avec sérénité et confiance
que Dieu réalise ce qu'Il a promis et nous invitons tous les hommes de
bonne volonté à s'unir à nous en cette attente, en offrant
à Dieu prières, supplications, privations et sacrifices.
La Mère de l'Eucharistie a demandé que sa fête soit célébrée
tous les ans le 24 octobre, le jour où les apparitions ont été
ouvertes à tous.
Comme la fête de la Mère de l'Eucharistie tombait cette année
un samedi, nous décidâmes de la reporter au dimanche suivant, afin
de permettre aux membres des groupes de prières hors de Rome de s'unir
à nous. Nous avons voulu unir dans cette cérémonie la Mère
de l'Eucharistie et la victime de l'Eucharistie: "Marisella qui est maintenant
comme un ange devant Dieu".
Le 24 octobre, les jeunes de la communauté en collaboration avec quelques
adultes, préparèrent une belle veillée émouvante
au cours de laquelle ils parlèrent:
L'Evêque a décidé de publier
ce qui a été dit par les jeunes et les adultes, sur notre site
Internet, dans l'un des prochains journaux et dans le volume qui rassemblera
les lettres de Dieu reçues par la Voyante au cours de la dernière
année de sa vie.
Nous espérons qu'au moins une grande partie de nos ennemis pourra avoir
une nouvelle occasion, peut-être la dernière, de se repentir du
mal fait, de demander pardon à Dieu et de sauver leurs âmes. A
Dieu nul n'est impossible, mais les paroles de Saint Augustin nous mettent en
garde: Dieu qui t'a créé sans toi, ne te sauve pas sans toi".
Le dimanche 25 octobre, avant la célébration de la Sainte Messe,
l'Eucharistie ayant saigné 3 fois fut portée solennellement en
procession. Elle fut déposée sur un petit trône, porté
sur les épaules de jeunes, ministres extraordinaires de l'Eucharistie.
La statue de la Mère de l'Eucharistie ouvrait la procession, pour montrer
qu'elle nous a guidés par l'intermédiaire de la Voyante, pendant
toutes les années de ses apparitions dans le lieu thaumaturgique. Les
étendards, portés par des membres de la communauté, venaient
derrière la statue de la Madone, pour montrer que la Maman Céleste
a remporté son triomphe dans l'Eglise et que son titre de "Mère
de l'Eucharistie" est connu dans le monde entier.
La Madone, Saint Joseph, grand-mère Iolanda, Marisella, les anges, d'autres
saints et les derniers Papes étaient certainement en profonde adoration
autour de Jésus Eucharistie.
Tous ceux présents ayant pris place dans les bancs de la basilique, les
porte-drapeaux formèrent avc les étendards un tapis semé
de fleurs sur lequel passèrent la Mère de l'Eucharistie et Jésus
Eucharistie, afin de montrer que leur triomphe est une consolante réalité;
Dieu doit maintenant réaliser le triomphe de l'Evêque qui coïncidera
avec la renaissance de l'Eglise.
Mgr. Claudio plaça Jésus Eucharistie sur l'autel. Des cantiques
et prières spontanés suivirent, puis la Sainte Messe fut célébrée
par l'Evêque et les fidèles y participèrent avec foi, amour
et émotion.
Lorsque les fidèles présents embrassèrent la relique de
la Madone, le testament spirituel de Marisa et des gazes imbibées de
son sang écoulé des stigmates de la passion, lorsque ceux-ci s'ouvraient,
leur furent remis.
Ce n'est qu'après son exécution que nous avons donné connaissance
de cette double célébration solennelle, afin d'éviter d'être
dérangés par des personnes malintentionnées ou déséquilibrées
comme cela est arrivé plusieurs fois par le passé.
Nous n'avons jamais rien caché de ce qui s'est passé ou a été
dit dans le lieu thaumaturgique. Justement parce que nous avons tout publié,
sans aucune censure, nous avons été l'objet de jugements douteux,
de l'ironie, de propos vulgaires et de condamnations injustes.
Ceux qui nous accusent d'être une secte de mauvaise foi, parlent sans
connaissance des faits, parce que les membres de sectes travaillent dans le
secret, dans l'ombre, alors que nous ouvrons les portes toutes grandes à
tous, permettons d'enregistrer tout ce qui est dit et n'avons jamais censuré
un mot des lettres de Dieu.
Quand Dieu commencera ses interventions, ce sera triste et démoralisant
de voir les réactions de nos ennemis, surtout de ceux qui ont fait partie
de notre communauté pour une période plus ou moins longue.
Nous ne voudrions pas être à leur place quand Dieu interviendra
pour faire triompher l'Evêque et la vérité. La Madone a
dit: "même s'ils se traînent à genoux vers le tabernacle
pour demander pardon, il sera trop tard". C'est maintenant le temps de
la miséricorde, quand celui de la justice viendra, Dieu sera juge et
juste.