Eucharist Miracle Eucharist Miracles

Année sociale: 1997-98

Connaître Jésus la Parole , l'amour de Jésus dans l'Eucharistie

Les messages suivants de Dieu n'ont pas été traduits par un traducteur professionnel. S.E. Mons. Claudio Gatti a reconnu l'origine surnaturelle des apparitions (Décret du 14/9/2000), il n' a toutefois donné son approbation ecclésiastique qu'aux messages en langue italienne, parce qu'il n'est pas responsable des fautes éventuellement commises par le traducteur.

Messages de Novembre 1997

Rome, le 1er novembre 1997, 11h45 (Message de la Madone)

Marisa - Aide-nous à faire la volonté de Dieu.

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. La Maman est ici comme toujours, à prier avec vous. Demandez à Dieu, la vertu de la foi, de l'espérance et de la charité; demandez-lui de l’aimer toujours et de ne jamais le trahir. Le miracle Eucharistique que Dieu accomplit parmi vous tous les dimanches et jours de fête a pour but de vous montrer le grand amour de Jésus Eucharistie qui n'est pas encore compris par tous. L’Eucharistie n'est pas aimée aujourd'hui comme elle devrait l'être. Mon Fils Jésus a aimé tous les hommes, mais ils ne lui rendent pas tous cet amour. C’est pourquoi je vous invite à demander la force d’aimer. Dieu est amour, Dieu est miséricordieux, mais Il est juste aussi. Priez pour toutes les intentions que vous connaissez, il y en a beaucoup; priez pour la paix véritable dans le monde. Vous avez reçu Jésus Eucharistie dans votre coeur. Comment les hosties sont-elles arrivées ici? C’est facile pour Nous du Paradis! Il nous suffit de nous rendre dans une église, de les prendre du tabernacle et de les apporter ici dans ce lieu rendu thaumaturgique par Dieu et de les y déposer dans un endroit quelconque, s’il est agréable à Dieu.

Cela ne me coûte rien, ni aux anges, ni aux saints, de prendre les hosties d'un tabernacle et de les apporter ici, dans le Tabernacle de mon fils Jésus, et d'y déposer les saintes hosties immaculées. Je vous invite à venir prier dans ce lieu thaumaturgique qui n'est ni apprécié, ni aimé par Rome; vous, petit troupeau, aimez-le toujours et ne trahissez jamais Jésus Eucharistie, la Mère de l’Eucharistie, et ce lieu thaumaturgique.

Je suis venue ici avec les anges et les saints. C’est votre fête à tous aujourd'hui, parce que je considère saints, ceux qui font un chemin aussi beau que le vôtre; je vous adresse donc tous mes voeux. Je les adresse en particulier aux enfants, à ce coquin de Jacopo. Tous mes voeux à toi mon cher prêtre bien-aimé, ne trahis jamais Jésus Eucharistie, tu l’aimes, continue ainsi! Et si quelqu’un venait à vous dire: "Reniez Jésus Eucharistie", restez toujours avec Lui.

Ensemble avec les prêtres, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. j’envoie un baiser aux enfants.

Rome, le 2 novembre 1997, midi (Message de la Madone)

Marisa - Tu n'es pas en habit de fête aujourd'hui? Je te recommande comme toujours, tous les malades spirituels et corporels; beaucoup en ont besoin.

La Madone - Merci de votre présence, mes chers enfants. Vous avez Jésus Eucharistie dans votre coeur, bercez-le, j’emploie un mot maternel, bercez-le, choyez-le et demandez-Lui les grâces dont vous avez besoin. L'enthousiasme du moment ne suffit pas, il faut toujours le conserver et continuez! Je vous ai dit hier "Je vous veux saints". Mes chers enfants, il n'est pas besoin de faire de grandes choses pour devenir saints, il suffit d’accomplir avec amour les choses de tous les jour. Offrez votre journée à Dieu. Je vous aime. Combien de fois la maman ne vous a-t-elle pas dit qu’elle vous aime, mes chers enfants? C’est pour cela que je suis ici avec vous. Jésus, moi, les anges et les saints nous apportons ici l’Eucharistie, parce que la célébration de la Sainte Messe y a été interdite. Jésus est toujours parmi vous avec son corps, son sang, son âme et sa divinité. Jouissez de ce privilège qui vous est accordé, et appréciez-le du plus que vous le pouvez. Jésus Eucharistie vous donne la force de continuer et d’affronter les évènements journaliers, bons et mauvais, la planète Terre est faite de bonnes et tristes choses; c’est à l'homme de les rendre toutes belles.

Oh, combien j’aimerais être toujours avec vous et vous parler de Dieu, de Jésus Eucharistie, de la Mère de l’Eucharistie. Je suis la Mère de l’Eucharistie. Je vous ai déjà dit une fois que je n’apparaissais que dans ce lieu en tant que Mère de l’Eucharistie. Dieu a choisi Rome, parce que c’est la cité éternelle et que le Pape y réside. Il désire que la Mère de l’Eucharistie triomphe toujours dans le monde entier.

Avez-vous remarqué, mon petit troupeau, combien il est difficile de faire avancer cette mission, pour mes deux enfants comme pour vous? C’est une mission difficile qui n'est pas encore comprise! Aujourd'hui encore, après deux mille ans, Jésus reste incompris, ou mieux seuls les humbles, les simples et les enfants le comprennent. C’est pourquoi je vous dis souvent: "Devenez des petits enfants et vous entrerez dans le royaume des cieux". Je vois que les enfants m'écoutent aussi. j’envoie un baiser à tous les enfants présents et à tous ceux qui sont malades.

Savourez la joie d’avoir Jésus Eucharistie dans votre coeur. Recevez-le chaque jour. Vous devez avoir faim de Jésus et l’aimer à la folie.

Rome, le 9 novembre 1997, 11h50 (Message de Jésus)

Marisa - C’est toi qui est venu, Jésus? Pourquoi n’as-tu pas apporté beaucoup d'hosties pour que nous puissions tous faire la communion?

Jésus - Mes chers enfants, je suis venu apporter la paix sur la Terre, mais je ne la trouve pas. Je vais dans beaucoup de lieux pour y apporter la paix, ma joie et mon amour envers tous, c’est pour cette raison que je suis venu. Dieu le Père m’a dit: "Dieu Fils va apporter la paix à mes chers enfants, afin qu’ils la répandent partout où ils iront".

La paix, la joie et le sourire manquent sur la planète Terre: on ne se sourit plus! Les gens sont agités et préoccupés; ils courent, courent et parfois sans but. Je vous dis: "Venez à moi, vous tous qui êtes affligés et fatigués, Je suis la Paix, je vous donnerai ma paix; je suis la joie, je vous donnerai ma joie, je suis l’amour, je vous donnerai mon amour avec le sourire et non avec tristesse, même si ce monde laisse, beaucoup, beaucoup à désirer".

s’il y a des apparitions, les hommes les critiquent, s’il n'y a pas d’apparitions, les hommes se lamentent et disent que Dieu les a abandonnés, ils ne sont jamais contents!" Ceux qui m'ont reçu dans leur coeur doivent être heureux, et ceux qui ne m'ont pas reçu doivent l'être aussi, parce que Je suis aussi dans leur coeur de façon spirituelle; Je suis le Jésus de la Paix, le Jésus du Pardon.

Je vous ai enseigné à voir Jésus Triomphant et non Jésus mourant sur la croix: votre prêtre et vous aussi, si vous aimez Jésus Eucharistie, vous êtes sur la croix, mais triomphants et non mourants. Le triomphe et la joie arriveront pour ceux qui ont su attendre. Je vous invite à prier tous les jours pour les prêtres, grands et petits, priez pour tous.

Conversez maintenant avec Jésus présent dans votre coeur, aimez-le et faites-le aimer. Faites que la Mère de l’Eucharistie triomphe dans tous les coins de la Terre. Je vous répète, mes chers enfants que ma et votre maman, n’apparaît que dans ce lieu en tant que Mère de l’Eucharistie. Ceux qui s’approprient des choses qui ne leur appartiennent pas, sont dans l'erreur. Ma Mère et moi, nous vous avons dit bien des fois que la Madone n’apparaît qu’ici en tant que Mère de l’Eucharistie. Aimez Jésus Eucharistie, aimez la Mère de l’Eucharistie, aimez le Pape, aimez votre prêtre , aimez-vous les uns les autres et puis priez!

Je bénis maintenant ces deux statuettes et vous tous ici présents, ensemble avec le prêtre. Je bénis les enfants, le petit Jacopo qui n’a pas fait aujourd'hui le ministre extraordinaire

Marisa - Tu sais tout, Jésus.

Jésus - Et je te bénis toi, ma fille (Marisa), afin que tu aies la force d’accepter toute la souffrance que Dieu t’envoie.

Marisa - La voilà, la Madone arrive.

La Madone - Et moi, votre Maman, je vous couvre tous de mon manteau maternel et vous serre tous très fort sur mon coeur. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Jésus est parti sans nous saluer?

Adieu! Tu t’en vas? Adieu.

Don Claudio, Jésus est parti et elle est encore là.

Don Claudio - Elle viendra avec nous pour la procession.

Marisa - Alors tu descends? Elle marche avec nous, tu sais?

Don Claudio - Oui, je sais; c’est toi qui ne marches pas.

Marisa - Oui, c’est moi qui ne marche pas. Nous retournons maintenant à la chapelle. Elle désire un cantique. Elle veut toujours chanter. Connais-tu ce cantique? Je n’ai pas beaucoup de voix, mais je chante aussi.

Rome, le 13 novembre 1997, 17h40 (Message de la Madone)

Marisa - Tu es venue avec beaucoup d'âmes.

La Madone - C’est le mois des morts, Marisella, et j’ai amené avec moi les âmes sauvées.

Marisa - Je ne les connais pas toutes.

La Madone - Cela n’a pas d'importance. Je suis venue sur l’ordre de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Ils m'ont appelée et m'ont dit: "Marie, va avec les âmes sauvées" et la Sainte Trinité est venue avec moi.

Marisa - J’aimerais te recommander Luisa, nous sommes toujours prêts à faire la volonté de Dieu . Je te demande au nom de Don Claudio cette chose. Peux-tu nous aider? Dois-je dire tout cela? d’accord.

La Madone - Merci de votre présence, mes chers enfants. Tous mes voeux pour la rencontre biblique. Mon Fils Jésus se réjouit de vous voir venir pour connaître la Parole de Dieu. Je vous ai dit bien des fois que la rencontre biblique est très importante. Vous le comprendrez mieux aujourd'hui et encore mieux demain et vous arriverez à aimer Jésus dans toutes vos actions, dans toutes vos pensées et vous vous rendrez compte que vous êtes toujours en contact avec Lui. Je vous invite comme toujours à prier, pour que la célébration de la Sainte Messe soit restaurée, mais il y a également beaucoup d’autres intentions. l’une d’elles est très chère au coeur de votre Maman: " Priez pour les prêtres, priez pour les prêtres". On ne peut pas dire qu’on aime Dieu et prendre ses aises. Il faut l’aimer dans la simplicité, l'humilité, la pauvreté, les petites choses; tout cela conduit à la sainteté. Les prêtres n’aiment pas Dieu et vous ne devez pas vous en scandaliser, mais priez pour vos curés, les vicaires et tous ceux qui occupent une position élevée et ont un rôle important à jouer.

Quand la Maman dit que le monde ne va pas bien, beaucoup s'en amusent et commentent: "Qu’est ce qui ne va pas bien dans le monde? Tout va bien, nous avons pratiquement tout. Qu’est ce qui ne va pas?"... Mes chers enfants, les grands hommes d’eglise et les grands hommes politiques ne vont pas bien, les familles se déchirent, les enfants quittent la maison, le nombre des prisonniers et drogués augmente; combien de choses ne vont pas bien sur cette planète Terre!

Pourquoi les prêtres n’aiment-ils pas mon Fils Jésus? Ce sont surtout les grands, ceux qui détiennent le pouvoir qui ne l’aiment pas.

Marisa - Je ne sais pas. Tu me le demandes? Que devons-nous faire pour ne pas te faire souffrir?

La Madone - Oui, vous aimez mon Fils Jésus. Au Paradis, nous parlons encore de votre veillée, elle était magnifique. Vous étiez en extase, et nous l'étions aussi avec vous. Ce que désire Jésus, c’est la prière, l’amour, l'engagement à bien faire les petites et les grandes choses, par amour de Dieu et par amour des hommes. Si vous aimez Dieu, vous aimez les hommes, si vous aimez les hommes, vous aimez Dieu et si vous aimez les hommes et Dieu, vous vous aimez. Combien de prêtres font souffrir: Combien disent la Sainte Messe en se pavanant sur l’autel. La Maman vous dit ceci pour vous inviter à prier et à faire de petits sacrifices et privations pour tous les prêtres; et quand je dis les prêtres, je veux dire les frères et moines qui ont tant de noms: les franciscains, jésuites, carmélites, dominicains, salésiens etc., ils sont tous prêtres, mais peu aiment vraiment Jésus et Dieu qui les a créés. Vous ne devez pas vous décourager, vous scandaliser, dire du mal des prêtres: priez pour eux. Apprenez à aimer, puis priez. Bonne rencontre biblique.

Ensemble avec votre prêtre, remerciez Dieu d’avoir un prêtre comme lui, je vous bénis, je vous porte tous dans mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. j’envoie aussi un baiser au tout petit (Davide Maria).

Marisa - Adieu, nous te le promettons: nous ferons tout pour aimer Jésus et prier pour tes fils bien-aimés. Tu souris un peu? Adieu. Don Claudio, elle est partie un peu chagrin.

Don Claudio - Elle était triste?

Marisa - Elle était triste, non pour nous, mais pour ses fils bien-aimés.

Rome, le 16 novembre 1997, 10h33 (Message de Jésus et de la Madone)

(Marisa reçoit un message de Jésus pendant la procession, alors qu’elle porte la statue de l’Enfant Jésus dans ses bras)

Marisa - La croix est lourde, très lourde...

Jésus - Apporte-moi, apporte-moi, apporte-moi beaucoup d'âmes; mon Coeur a besoin de beaucoup d'âmes et surtout d'âmes sacerdotales. Ne m’abandonne pas, prends ma croix sur tes épaules. Elle est aujourd'hui plus lourde que jamais. Apporte-moi beaucoup d'âmes! Courage, mon épouse, la transverbération, la passion ne sont pas finies pour toi; du reste tu t’es immolée pour ton époux et Je suis ton époux! Je veux Annamaria et Pietro avec Moi. Ne m’abandonnez pas, apporte-moi beaucoup de prêtres; ceux qui m’aiment sont peu nombreux et je les tous tant aimés. Porte la croix avec moi. Va, ma fille, porte Jésus Eucharistie, porte-moi dans tes bras et caresse-moi, si tu le peux!

Marisa - Comment dois-je te caresser? Ne me fais pas si mal, Jésus. Pourquoi me fais-tu tant souffrir. Je dois arriver à l’autel et du dois m’aider, sinon je n'y arriverai pas.

Jésus - Courage, ma fille, porte la croix.

Marisa - Puis-je sourire avec toi? La croix de tes prêtres bien-aimés est si lourde. (Marisa gémit sous les douleurs). Je te porte, tu me portes,,, Je Te porte, je Te berce ..

Jésus - Apporte-moi beaucoup d'âmes. Apporte-moi beaucoup d'âmes.

Marisa - J’ai porté Jésus et nous avons porté ensemble la croix. Je l’ai bercé, je dois lui apporter beaucoup d'âmes, mais comment faire pour les apporter?

Don Claudio - Avec l’amour et la souffrance.

Marisa - Il m’a donné aujourd'hui toute la passion, mais espérons que cela suffise ensuite . Voilà, je me sens un petit mieux maintenant. Tu es ce bon prêtre qui aime tant Jésus. Alors, porte Jésus.

(Marisa donne la statue de l’Enfant Jésus à don Claudio qui la pose sur l’autel).

(A onze heures 56 , la Madone apparaît à Marisa)

La Madone - Je ne voulais pas vous déranger par ma présence, puisque vous avez reçu mon Fils Jésus. Aimez Jésus Eucharistie. Vous avez entendu les pleurs douloureux de mon Fils quand il vous a demandé de prier pour ses fils bien-aimés. Moi aussi, votre Maman, je vous invite à prier pour les prêtres et les vocations. Peu de prêtres, mais saints! Les prêtres doivent être saints, vous laïcs, aidez-les à devenir saints, pour vous et pour tous.

Mes chers enfants, j’aimerais tant vous laisser avec Jésus dans votre coeur; mes paroles importent peu en ce moment, vous avez Jésus en vous qui a pleuré en vous demandant de l’aider pour la conversion des prêtres et vous avez fort bien compris combien cette heure est grave et triste. Ma caresse est allée aussi a un prêtre, père Mario. Moi, la Maman, je lui ai donné une douce caresse, comme n'importe quelle maman de la Terre berce, caresse et embrasse son enfant pour l’apaiser et le faire devenir bon. J’agis ainsi moi aussi, mais mes fils bien-aimés ne m'écoutent pas et quand la Maman leur dit la vérité, ils disent que la Madone est mauvaise langue.

Vous vous rendez compte par vous-mêmes, mes chers enfants, comme il est difficile de comprendre son propre frère. L'envie, la jalousie, le désir de dominer et l’orgueil dévorent le coeur de mes fils bien-aimés. Pourquoi Jésus a-t-il jeté ses yeux sur vous, mes chers laïcs? Parce que vous devrez un jour soutenir l’Eglise, aider les prêtres qui aiment Jésus Eucharistie, la Mère de l’Eucharistie et les âmes; le prêtre doit toujours se laisser consumer par les âmes!

Mon amour de Maman va vers Luisa qui souffre énormément à l'hôpital et vers beaucoup, beaucoup de malades qui souffrent et n'ont personne à leurs côtés. j’envoie un baiser aux enfants ici présents, à ceux qui rient et jouent, et à ceux qui pleurent; ce sont des enfants qui glorifient Dieu, mais qui ne doivent pas se faire mal, sinon ils pleurent de douleur. Je vous demande de l’aide pour mes fils bien-aimés; aidez-moi! Restez avec mon Fils Jésus, serrez-le sur votre coeur et, comme je l’ai dit d’autres fois, choyez-le, bercez-le, montrez lui que vous l’aimez, vous au moins, mon tout petit troupeau!

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers, les malades et vos objets sacrés. Je vous prends tous dans mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Tu dois m’aider, moi aussi, car je ne peux pas y arriver toute seule. d’accord, adieu!

Don Claudio, elle est partie, mais elle était triste.

Rome, le 23 novembre 1997, 12h15 (Message de la Madone et de Jésus)

Marisa - Tu dois nous aider tous à sauver les âmes, même celles de nos parents. Etes-vous en fête au Paradis?

La Madone - Merci de votre présence et de votre amour, mes chers enfants. Merci à ceux qui ont reçu mon Fils Jésus en état de grâce, merci de vos sacrifices; merci de tout. Il y a deux ans, le 26 novembre, Jésus est venu parmi vous, mais n’a pas été compris et nous commémorons ce jour aujourd'hui. Une maman dirait que si vous n’avez pas encore compris, c’est parce que vous avez la tête dure. Mais je vous aime, mes chers enfants, je vous aime de tout mon coeur et je désire vous conduire à la sainteté. Jésus a dit:

"Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés et je vous donnerai du repos". Allons ensemble vers Jésus; recevons-le dans notre coeur, parlons-Lui, demandons-Lui les grâces dont nous avons besoin, si elles sont conformes à la volonté de Dieu. Ne l’oubliez jamais: faites toujours la volonté de Dieu. C’est aujourd'hui la fête de mon Fils Jésus, du Christ Roi. Ce n'est pas un roi avec une couronne, mais il a porté la couronne d'épines sur sa tête. Il est roi comme je suis reine et vous êtes tous des princes, vous aussi sans couronne, mais avec beaucoup d’amour, d'humilité et de charité. Comme je l’ai dit, l'humilité conduit à la glorification et la charité à la sainteté. Voulez-vous devenir saints? "

Marisa - Voilà le Christ Roi, tout vêtu de blanc. Comme Tu es beau, Jésus. Nous t’avons reçu, Jésus Eucharistie.

Jésus - Bien sûr, ma chère Marisella, j’ai envoyé des anges apporter l’Eucharistie. Tu ne les as pas vus voler autour de ta chambre? J’ai envoyé les anges dans ma Petite Chapelle, parce que mon tabernacle est ici et les anges obéissent à Jésus Eucharistie. Je suis le Christ Roi, sans couronne; mais votre serviteur, je suis le serviteur de tous et vous êtes mes serviteurs. Ne pouvais-je pas venir me réjouir ici avec vous dans ce coin de Paradis?

Marisa - Que veux-Tu que nous fassions, Jésus? Nous sommes prêts à faire n'importe quoi avec nos petits moyens, pourquoi sommes-nous sans couronne? Nous nous faisons les serviteurs de tous comme Tu le veux.

Jésus - Je veux que vous aimiez mon Coeur qui saigne tous les jours. parce que les hommes ne se convertissent pas. Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés. Je vous ai tous aimés: grands, petits, bons et méchants: tous les hommes de toutes races et toutes religions. Je vous ai tous aimés. parce que je me suis donné tout entier pour vous tous. Comme je l’ai déjà dit: Apprenez à voir Jésus triomphant et non mourant sur la Croix. Vous aussi. voyez-vous triomphants et non mourants sur la croix. Aimez Jésus Eucharistie, défendez-le, défendez la Mère de l’Eucharistie; ma et votre Maman n'est pas aimée en tant que Mère de l’Eucharistie. Je suis avec vous et je vous aide tous. Avec le prêtre, je vous bénis en ce moment, un par un, et bénis vos objets sacrés et vos parents. Portez ma bénédiction aux malades, aux incarcérés, aux souffrants, aux enfants, aux petits enfants, à Jacopo.

La Madone - Et moi, votre Maman, je vous prends tous dans mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Les anges sont maintenant descendus et les ont emportés tous les deux. Adieu.

Don Claudio, ils sont partis.

Messages de Décembre 1997

Rome, le 7 décembre 1997, 12h15

Place Saint Pierre (Message de la Madone)

Marisa - Tu étais auprès du Saint Père, tu es ici maintenant.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre témoignage. Restez recueillis et priez pour le Pape et tous les prêtres. Je suis toujours avec vous. C’est demain ma fête et si c’est ma fête, c’est aussi la vôtre. Essayez avant tout de fêter ce jour avec votre cœur, en priant, puis faites fête tous ensemble si vous le pouvez. Je remonte vers le Père, auprès du Fils et du Saint Esprit, même si mon Fils Jésus Eucharistie est ici avec vous. J’ai fait aujourd'hui mon entrée (au Vatican) et elle se poursuivra; priez, aimez et abandonnez-vous à Dieu. Je vous embrasse tous, je vous couvre de mon manteau et après la bénédiction du Saint Père, ensemble avec votre évêque, je vous bénis, je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Elle est devenue immense, immense, immense. Elle embrasse tout. Son manteau bleu ciel est immense … Pour tous. (Marisa envoie un baiser)

Comme tu es belle! Adieu. Don Claudio, il est immense.

Don Claudio - Le manteau? Il doit recouvrir toute l’Eglise.

Marisa - Mais elle est immense.

Don Claudio - C’est la Mère de l’Eucharistie, la Mère de l’Eglise, il est donc évident que ….

Marisa - Qu’elle ait un manteau immense, d'un bleu ciel magnifique comme je n'en ai jamais vu. Je ne t’ai jamais vue aussi belle; tu es plus belle chaque jour. J’avais demandé à Jésus Eucharistie s’il volerait vers le Pape, il aurait mieux vu ainsi. Mais le Pape a vu, n'est-ce pas?

La Madone - Oui, parce que je lui ai dit où se trouvait l’Eucharistie et il l’a adorée.

Marisa - Et alors? Il nous redonne la Sainte Messe? Pourquoi ne t’en vas-tu pas? Restes-tu ici avec nous? Don Claudio, elle est encore ici entourée de tous les anges, des âmes sauvées, des saints…. Regarde Padre Pio!

La Madone - Marisella, c’est don Milani, sur lequel don Claudio voulait s’informer. Don Milani Lorenzo est ici avec moi.

Marisa - Padre Pio, tu sais que je souffre beaucoup?

Padre Pio - Je te l’avais dit, ma petite sœur.

Marisa - C’est bon, adieu.

La Madone - Adieu, je m'en vais maintenant rejoindre le Père, le Fils et le Saint Esprit.

Marisa - Tu dis que tu t’en vas, et puis tu restes là et je te regarde.

Rome, le 7 décembre 1997, 23h30 (Message de la Madone)

La Madone - J’ai déjà donné le message ce matin, mais je savais que vous attendiez encore que je vienne parmi vous. Si vous avez tout fait dans la grâce de Dieu, vous avez vécu un petit coin de Paradis. Méditez ce que Dieu a fait pour vous, continuez à le vivre, que ce ne soit pas seulement l'enthousiasme du moment. Jésus Eucharistie continue à venir parmi vous en envoyant ses anges ou moi, sa et votre Maman, prélever l’Eucharistie dans les tabernacles et l’apporter dans ce lieu thaumaturgique; mon Fils a dit : "Mon tabernacle est ici. Les hommes d’eglise m'ont expulsé, m'ont enlevé du tabernacle, mais je suis toujours ici avec vous".

La Maman vous remercie tous de votre présence. N'oubliez pas que c’est demain la fête de l’immaculée Conception; l’immaculée Conception ouvre l'histoire, la Mère de l’Eucharistie clôt l'histoire, ce sont des moments si grands et si beaux. On parlera de la Mère de l’Eucharistie dans l'histoire de l’Eglise, de celle qui clôt l'histoire et quand les grands hommes le comprendront, ils se convertiront. Ils le savent déjà, ils la connaissent, mais sont prêts à bousculer mes deux petits enfants, à les diffamer, les calomnier, bien qu’ils vivent humblement, simplement et discrètement. Que voulez-vous? Nous devons l’accepter, sinon comme je vous l’ai déjà dit, je devrais répéter que Mon Fils Jésus est mort en vain. Et vous ne le voulez pas, vous ne voulez pas que Jésus meurt à nouveau, que sa mort et crucifixion aient été un échec. Alors acceptez, endurez et priez pour ceux qui font souffrir. Je vous souhaite à tous une bonne et sainte fête. Au revoir et à bientôt! Bonne nuit, mes chers enfants, c’est l'heure de se reposer. Merci pour tout ce que vous avez donné à mon Fils Jésus. Merci. C’et la Maman qui vous remercie.

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Allez en paix, même si Jésus Eucharistie reste ici.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit .

Marisa - Adieu.

Elle est partie, Don Claudio.

Rome, le 8 décembre 1997, 10h15 (Message de la Madone)

Marisa - J'étais si heureuse de ne pas souffrir la passion parce que c’est fête pour moi aussi aujourd'hui. Pourquoi me fais-tu souffrir?

Jésus - J’ai besoin de ta souffrance, ma fille, j’ai besoin de toi.

Marisa - Si tu me donnes beaucoup de souffrance, aide-moi, parce que je suis fatiguée.

Jésus - Je te demande cette souffrance pour mes prêtres. Tu peux me donner toute la souffrance, ma fille, pour mes prêtres, l’Eglise, le Pape; c’est pour cela que je te fais souffrir ma passion, tu es mienne.

Marisa - Tu me fais souffrir même quand c’est fête? Je pensais que ce serait fête aussi pour moi aujourd'hui, mais ce n’a pas été le cas. Une de mes jambes ne me porte plus. Je dis encore oui, je te dis oui encore une fois, Jésus, je ne sais pas jusqu'à quand. Fais moi aller un petit peu mieux, fais moi souffrir quand je suis seule et pas devant les autres; je t’en prie, Jésus, fais cela pour moi. Pourquoi ai-je si soif ? Il faut que je boive. Voilà les anges qui descendent pour m’aider. Venez m’aider. Le Père a envoyé les anges pour m’aider. Merci.

(Après la distribution de l’Eucharistie à ceux qui sont présents, 11h45)

La Madone - Je viens moi aussi sur la pointe des pieds parmi vous, parce que Jésus Eucharistie est encore ici. Vous savez, mes chers enfants, que lorsque Jésus Eucharistie est présent, la Maman se prosterne devant Lui en adoration profonde. Je vous invite, comme l’a dit Jésus, à prier pour l’Eglise, pour les prêtres. Je le répèterai jusqu'à la complète conversion des prêtres, des grands hommes d’eglise ou jusqu'à ce que Jésus dise: "Cela suffit maintenant, Maman, nous avons fait tout ce que nous devions faire".

J’aimerais arriver à sauver tous mes enfants bien-aimés, sinon je devrais dire une fois de plus que Jésus est mort en vain. Mais il n'est pas mort en vain, beaucoup d'âmes aiment Jésus Eucharistie et la Mère de l’Eucharistie. Ce nom de Mère de l’Eucharistie dérange, mais c’est un grand nom pour l’Eglise et pour les hommes. Je suis la Mère de l’Eucharistie. Vous pouvez m’appeler comme vous le voulez, mais je suis la Mère de l’Eucharistie, la Mère de Jésus Eucharistie et la Trinité est présente dans l’Eucharistie: Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Je suis la racine, l’origine de l’Eucharistie. Continuez à prier et à toujours recevoir Jésus en état de grâce. Si vous ne le pouvez pas, si vous ne vous sentez pas en état de grâce avec mon fils Jésus, approchez-vous du sacrement de la réconciliation. Ne regardez pas celui qui confesse, mais le prêtre, le fils bien-aimé. J’aime aussi ceux qui trahissent mon Fils Jésus. Vous devez, vous aussi, aimer et prier pour ceux qui ne savent pas aimer et n’aspirent qu’au pouvoir. Aimez Jésus Eucharistie.

Combien de fois la Maman vous a-t-elle dit: "Quand vous recevez mon Fils Jésus, serrez-le sur votre cœur, bercez-le, parlez-lui". Vous aurez l’impression qu’il ne vous répond pas. Mais au moment voulu, Jésus répondra à vos cœurs, s’ils sont prêts à l'écouter. n’attendez pas seulement des grâces pour vous de mon Fils Jésus, il vous faut aussi prier, vous priver et faire de petits sacrifices.

Combien de fois vous ai-je dit ces choses? Si Dieu le Père me les fait encore répéter, c’est parce que vous n’avez pas mis en pratique tout ce que je vous ai dit. Lisez les messages, méditez-les, mettez-les en pratique, peu à peu, il n'est pas besoin de faire tout à la fois, seulement une chose à la fois.

Je suis la Mère de l’Eucharistie qui clôt l'histoire et vous fêtez aujourd'hui l’immaculée Conception. C’est toujours moi.

Marisa - Attends, je sais que c’est toujours toi, mais vous êtes deux aujourd'hui, l’immaculée Conception et la Mère de l’Eucharistie. Je vois que vous êtes deux.

La Madone - C’est pour te faire comprendre, mon enfant, que l’immaculée Conception ouvre l'histoire et que la Mère de l’Eucharistie la clôt. Beaucoup de noms m'ont été donnés au cours

de toute cette période et l’un d’entre eux me fait bien sourire et je veux vous faire sourire aussi: Notre Dame du siège. J’ai souvent dit que tous ces noms sont beaux et j’en ai beaucoup, mais gravez bien dans vos cœurs celui de Mère de l’Eucharistie, c’est le plus important, le plus beau, même s’il est le plus combattu, parce qu’on n’aime pas vraiment l’Eucharistie.

Beaucoup ne savent pas que Jésus est présent dans l’Eucharistie avec son corps, son sang, son âme et sa divinité. Avez-vous vu l'hostie que j’ai apportée et qui a versé du sang? C’est pour vous faire comprendre ainsi qu’aux prêtres que mon Fils Jésus y est présent. Appelez-moi donc du nom que vous m’avez donné, quel qu’il soit, mais terminez toujours avec celui de Mère de l’Eucharistie. C’est un nom puissant qui fait réfléchir. Aimer Jésus Eucharistie de tout son coeur signifie vivre toujours en état de grâce, à tout instant. Ne trahissez jamais Jésus, que vous au moins ne le faites pas, mon petit troupeau, ne jetez pas l'éponge pour tout ce qui vous arrive. Tant que vous serez sur cette terre, vous devrez vivre avec la mort, la souffrance, les accidents et les catastrophes naturelles; tout peut arriver parce que l'homme ne va pas bien et souille parfois la terre avec ses agissements, son orgueil et sa vanité. Vous, n’agissez pas ainsi. Dites-le aussi à vos frères. Il n'est pas important de croire, ce n'est pas un péché de ne pas croire aux apparitions, même à celles reconnues par l’Eglise, mais c’est un péché d'offenser Jésus, d'offenser le prochain, de faire souffrir le prochain dans l’intention de le faire souffrir. Croire ou ne pas croire aux apparitions, avoir des doutes, venir par curiosité, ne sont pas des péchés, cela n'offense pas Dieu à moins que vous ne vous arrêtiez et commenciez à dire du mal.

Votre sœur voit beaucoup d'âmes sauvées autour de moi, ce sont les âmes de vos êtres chers. J’amène avec moi vos êtres chers, que chacun de vous prie dans son coeur pour ses proches et leur demande ce dont il a besoin; ils peuvent intercéder pour vous auprès de Dieu.

Combien de fois n’ai-je pas entendu dire: "Allez à Jésus, Il est la vraie source", mais Jésus a dit une fois: "Passez par ma Mère", alors je dis "Allez à Jésus qui est la vraie source et passez par sa et votre Maman".

Tous mes vœux à tous, à vos êtres chers, aux malades, aux prêtres malades physiquement et spirituellement. j’envoie un baiser à tous les enfants présents et à tous ceux qui sont malades.

Marisa - Laquelle de vous deux bénit maintenant, parce que vous êtes égales, identiques? Elles se sont unies maintenant et il n'y a plus qu’un,

e Madone.

La Madone - Merci de votre présence, mes chers enfants, merci pour ceux qui sont venus de loin en faisant des sacrifices et se sont même perdus dans Rome. Priez pour Rome, la cité éternelle, priez pour le Saint Père. Ensemble avec les prêtres, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Au nom du Père ..

Marisa - Voilà que les anges l'emportent. Il n'y en a qu’une maintenant. Adieu.

Don Claudio, il y avait deux Madones, mais elles sont égales toutes les deux.

Don Claudio - C’est toujours elle, c’est pour nous faire comprendre qu’elle ouvre et clôt l'histoire dans les plans de Dieu.

Marisa - Mais elle n’avait pas l’Eucharistie. Elles ont parlé toutes les deux.

Don Claudio - Nous avons ici l’Eucharistie.

Rome, le 14 décembre 1997, 11h30 (Message de la Madone)

Marisa - Tu ne pouvais pas m’aider un petit peu?

La Madone - Dieu le Père te donne cette souffrance pour l’Eglise, les prêtres, les laïcs et tout le monde.

Marisa - Je te recommande tous ceux qui se sont recommandés à mes prières, mais ne me fais pas voir ce que j’ai vu ce matin, parce que cela me fait si mal.

(On récite ensemble le Notre Père, le Gloire à Dieu, le Je vous salue Marie, le Magnificat)

La Madone - Merci de votre présence, mes chers enfants. Dieu le Père m’a dit de vous dire qu'à partir d’aujourd'hui vous deviez tout laisser derrière vous, ne plus penser à ce qui s'est passé, à ceux qui font souffrir volontairement, parce que Satan est en eux, mais commencer aujourd'hui, même si la neuvaine ne commence que demain, à faire le trousseau de l’Enfant Jésus en faisant des sacrifices et privations.

s’il vous arrive de penser à des personnes qui vous font souffrir, priez pour elles et si vos prières ne leur sont pas utiles, elles iront à beaucoup d'âmes éparses qui ne connaissent pas Jésus; elles ne seront donc pas perdues.

Commencez à faire le petit vêtement, le petit manteau, le bonnet, les chaussons et les chaussettes, tout ce dont a besoin un nouveau-né et je viendrai, j’apporterai le Petit Jésus la nuit de Noël, parce qu'à 23 heures je serai avec vous, avec mon époux bien-aimé, l’Enfant Jésus, les anges et les saints.

Je vous invite à prier le Petit Jésus. Bercez-le comme vous bercez Jésus Eucharistie dans votre coeur et habillez-le. Il y a tant de sacrifices et de privations à faire. Je vous invite aussi à prier pour mes deux enfants qui sont très éprouvés et c’est parfois justement l'entourage qui fait souffrir, ceux à qui le prêtre s'est donné tout entier; ces derniers les font souffrir. Vous, ne le faites jamais. Si quelqu’un ne se sent pas prêt à aimer, à accepter, qu’il s'en aille immédiatement, qu’il ne vienne pas ici. Pourquoi est-ce que tout va bien quand personne ne dit rien? Si le prêtre vous reprend, c’est parce que vous en avez besoin. Combien de fois est-ce que je vous adresse des reproches maternels? Pensez-vous que ce soit un plaisir pour la Maman et le prêtre de vous faire des reproches? Mais ceci est l’amour vrai: fini le piétisme, le péché par omission commis en permanence. Les reproches sont adressés à tous, petits et grands, pas en qualité de maîtres, mais comme des anges, petits anges gardiens avec beaucoup d’amour, d'humilité et de simplicité. Croyez-moi, mes chers enfants, quand quelqu’un vient à être réprimandé, les premiers à en souffrir, ce sont nous qui réprimandons; une maman et un papa n’aiment pas réprimander leurs propres enfants. Acceptez donc et parlez avec amour.

Souvenez-vous: calomnier un laïc est un péché, calomnier un ministre du Christ un péché grave. Combien de fois vous ai-je dit: si vous pouvez dire du bien des prêtres, faites-le, si vous ne le pouvez pas, priez pour eux. Ceux qui calomnient mon prêtre bien-aimé pèche gravement contre Dieu, contre le prêtre et contre l'homme.

Courage! Ce serait une grande joie pour Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit si vous faisiez la neuvaine dans ce lieu thaumaturgique, à vous de choisir. Souvenez-vous: quand la Maman vous dit quelque chose, elle vous laisse toujours libres de le faire ou pas.

As-tu quelque chose à me dire?

Marisa - Oui, je voulais te recommander Agata et beaucoup de malades.

La Madone - Penses-tu toujours aux autres?

Marisa - Oui, parce qu’ils vont mal.

La Madone - Et toi, comment vas-tu?

Marisa - Je vais bien.

La Madone - Merci de votre présence, mes chers enfants, et bonne neuvaine à tous. N'oubliez pas de prier le Saint Esprit pour qu’il descende sur chacun de vous.

j’envoie un baiser aux petits enfants.

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Marisa - Pourquoi ne bénis-tu pas don Claudio?

(La Madone bénit Don Claudio)

La Madone - Tu es prêtre pour toujours.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

Don Claudio, elle est partie et elle a dit que tu es un grand prêtre.

Rome, le 21 décembre 1997, 10h20 (Message de Jésus et de la Madone)

Jésus - Je suis venu maintenant pour vous faire comprendre qu’en plus de Jésus Eucharistie, il y a Jésus, ma et votre Maman, Saint Joseph, tous les anges, les saints et les âmes sauvées., Priez, intensifiez la prière, les sacrifices ou les privations dans ces derniers jours de la neuvaine. Souvenez-vous de ce que la Maman vous a dit hier: Je suis né et vous ai apporté la joie et l’amour, je suis mort pour vous et vous ai apporté la douleur, je suis ressuscité, je vous ai ouvert les portes du Paradis et apporté à nouveau la joie et l’amour. L’Amour envers tous: les bons, les méchants, ceux qui ne croient pas, n’aiment pas et ne me connaissent pas. Je suis pour tous les hommes.

Continuez! Priez, recueillez-vous le plus que vous le pouvez et remerciez le Dieu tout puissant de ces dons qu’il vous fait tous les jours

Marisa - Viens-tu avec nous maintenant ?

Jésus - Oui, adorez Jésus Eucharistie

(Après la distribution de l’Eucharistie)

Marisa - Oui, nous t’attendions.

La Madone - Mais Jésus vous a donné le message.

Marisa - Mais nous voulions te voir aussi, Mère de l’Eucharistie. Aide-nous à toujours aimer l’Eucharistie. Fais que nous ne trahissions jamais Jésus, que nous soyons toujours avec Jésus.

La Madone - Mes chers enfants, que peut vous dire la Maman après le Message de Jésus, après son entrée dans vos coeurs, sinon d’aimer et d’apporter la joie à vos familles? Beaucoup de familles se réunissent pour ces fêtes, apportez leur la joie. Ne pensez pas seulement aux choses de la terre, mais au petit Jésus et aimez tous les hommes, tous ceux que Dieu a créés. n’attendez pas le saint Noël pour aimer; vous devez aimer et prier tous les jours. Je suis venue parce que j’ai vu dans vos cœurs que vous attendiez impatiemment la Maman, la Maman du ciel et de la terre. Pensez, mes chers enfants, que je viendrai la veille de Noël à 23 heures avec l’Enfant Jésus: Vous ne le verrez pas, parce que Dieu ne l’a pas encore décidé; votre sœur le verra et le prendra dans ses bras et lui, le tout petit, vous bénira tous de sa petite main levée, en particulier les petits enfant. Je bénis en ce moment le petit Jacopo, le petit Davide Maria et tous les enfants, en particulier ceux qui sont malades.

Je vous répète à tous, mes chers enfants: apportez la joie et l’amour à vos familles. Mettez en pratique tout ce que Jésus a dit, tout ce que je vous ai dit hier: la naissance de Jésus a apporté la joie et l’amour, sa mort a apporté la douleur, sa résurrection a ouvert les portes du Paradis apportant joie et amour à tous.

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. j’envoie un baiser à Jacopo et Davide Maria. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Tu le diras après, Marisella.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Tous mes vœux à ceux que je verrai la veille de Noël et à ceux qui partent, apportez la joie et l’amour à vos familles. Merci.

Marisa - Adieu.

(Après la prière d'un jeune)

As-tu entendu ? Cela t’a plu? As-tu vu que nous t’aimons tous dans notre petitesse? Mais tu dois nous aider, parce que nous sommes vraiment faibles, physiquement et en tout.

Tu ne t’en vas pas maintenant? Nous devons rentrer à la maison, beaucoup de mamans doivent préparer, si non

Adieu : Ah parce que je ne t’avais pas donné de baiser? Adieu.

Voilà, tous les anges l'emmènent.

Don Claudio, ils la prennent et s'en vont, on ne voit plus rien.

Rome, le 25 décembre 1997, 11h15 (Message de la Madone et de Saint Joseph)

Marisa - Me donneras-tu le poupon aujourd'hui ? Tu m’as fait faire hier le sacrifice pour les familles. Tu ne me le fais pas faire aujourd'hui, n'est-ce pas Tu me donneras le poupon aujourd'hui?

La Madone - Oui, sois tranquille.

Marisa - Je veux te recommander tous les prêtres: bons ou mauvais, mais je te recommande surtout Don Claudio, notre prêtre, et le Pape.

Récitons maintenant ensemble l'hymne à l’amour.

La Madone - Mes chers enfants, Jésus Eucharistie est entré encore une fois dans vos coeurs. Les anges ont volé vers cette petite chapelle, y sont entrés et y ont déposé Jésus Eucharistie. C’est pour vous et toujours pour vous que Dieu le Père m'envoie ici prier.

Portez à vos familles la joie que vous avez dans le coeur; essayez de ne pas vous disputer et d'éviter que quelqu’un ne dise de vilaines paroles pour ne pas offenser ceux qui sont en fête, mais surtout pour ne pas offenser Jésus qui est dans votre coeur.

Je vous ai dit hier soir: "Quittez ce lieu et partez en berçant Jésus dans votre cœur. La statue de l'enfant Jésus est une chose humaine, mais Jésus Eucharistie dans votre coeur est une grande réalité divine et humaine; toute la Sainte Trinité est entrée dans votre cœur. Ne soyez pas une occasion de péché pour les hommes, ne les jugez pas, ne les contrariez pas, mais aimez-les, aimez ceux qui ne fréquentent pas l’Eglise. Si quelqu’un dit quelque chose d'un peu fort, dites avec charité et calme: Pourquoi dire de telles paroles en un jour aussi beau que celui-ci? Peu à peu, toujours avec la douceur, vous arriverez à ce que les hommes ne disent plus de gros mots, ne parlent plus vulgairement, c’est très important.

Je vous aime. Vous êtes-vous rendus compte combien je vous aime, mais surtout combien Dieu vous aime? Il m'envoie toujours parmi vous et je suis ici aujourd'hui avec mon époux bien-aimé, l’Enfant Jésus, les anges, les saints et les âmes sauvées et toi, Marisella, tu connais l’une d’elle.

Marisa - j’en connais même plus d'une.

La Madone - C’est pourquoi je vous invite tous à prier pour vos chers défunts.

Je donne maintenant le petit Enfant à votre soeur. Je lui ai fait faire hier un sacrifice qui lui a beaucoup coûté, un sacrifice pour la paix dans les familles.

Je te donne Jésus maintenant.

Marisa - Il est tendre, tu sais? Tendre, tendre avec la chair si douce, la peau si veloutée. Tu me le laisses encore un peu?

La Madone - Entre-temps, prions ensemble: Notre Père ..

Donne-le moi maintenant, ma fille.

Marisa - Prends-le doucement, doucement, parce qu’il est tendre. Donne-le à Saint Joseph qui a de plus grandes mains, parce qu’il est petit.

St. Joseph - C’est moi Saint Joseph, mes chers enfants, l'époux bien-aimé de Marie, le père de Jésus. Il m’a appelé papa et j’en ai été si ému, si touché que je me suis agenouillé et que j’ai adoré le petit Jésus parce que je savais qu’il était Dieu. Je vous invite aussi à adorer Jésus Eucharistie, puisque Dieu vous envoie toujours ces miracles; ne les gaspillez pas, aimez Jésus et soyez proches de Lui. Passez de saintes fêtes comme je les passe avec mon épouse bien-aimée et le petit Jésus.

Marisa - Tu es avec tous les anges et les saints, mais nous sommes avec les hommes de la terre, ne crois-tu pas que ce soit un peu plus difficile pour nous? Ecoute, Joseph: dois-je t’appeler Joseph ou Saint Joseph?

Saint Joseph - Joseph.

Marisa - Ecoute Joseph, veux-tu me dire l’année ou le mois, puisque personne ne me répond? Tu sais la petite Madone est un peu … avec moi, elle m’a dit : Qui es-tu pour te poser des questions sur les raisons de Dieu?. Ne peux-tu pas me le dire ?

Saint Joseph - Et qui es-tu pour te poser des question sur tant de choses de Dieu?

Marisa - d’accord. Ce n'est pas que je veux le savoir, je ne sais pas non plus combien de temps je vivrai sur terre, ce sont Don Claudio, les jeunes et tous ceux qui sont présents qui veulent le savoir. Allons, qu’est que cela te coûte de me dire le mois ?

Saint Joseph - Mais Dieu n’a rien dit.

Marisa - Cela me rend amère, maintenant. Tous se réjouissent et j’ai ce souci.

La Madone - Allons, Marisella, sois tranquille et sereine. Tu vas te reposer aujourd'hui.

Marisa - Si vous ne me donnez pas de douleurs pendant le repos.

La Madone - Mais avant de vous en aller, donnez-vous la main, unissez-vous les uns aux autres comme je le fais maintenant avec Joseph, les anges, les saints et le petit Jésus et récitons ensemble le Notre Père. Unis, unis, sans peur; n’ayez pas peur.

Je vous adresse à tous mes vœux et j’envoie un baiser aux petits enfants présents et au petit Jacopo.

Ensemble avec le prêtre, mon époux bien-aimé, le petit Jésus, les anges et les saints, je vous bénis ainsi que vos objets sacrés. Je vous en prie, ne donnez pas l’occasion à vos parents de dire du mal ou d'offenser quelqu’un. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Merci à tous.

Marisa - Merci de m’avoir donné Jésus. Me le redonneras-tu ensuite?

La Madone - Sois tranquille maintenant.

Marisa - Adieu. Don Claudio, il ne me l’a pas dit, ils sont tous pareils.

Don Claudio - Tel Père, tel Fils.

Messages de Janvier 1998

Rome, le 1er janvier 1998 (Message de la Madone)

La Madone - Mes chers enfants, vous avez reçu Jésus Eucharistie dans vos coeurs. Vous voyez que rien n'est impossible à Dieu. Je voulais que l’Eucharistie soit entièrement consommée, afin qu’elle ne reste pas seule dans la chapelle, mais Dieu a voulu encore apporter l’Eucharistie, une, deux, trois fois. Les hosties se sont multipliées dans les mains de votre soeur et encore une fois lorsque le prêtre les a données en communion.

Vous vous demandez pourquoi Dieu privilège-t-il autant ce lieu? Et Il vous répond: Mais le méritez-vous?

Marisa - Et moi je te réponds oui, parce que nous sommes tous malmenés, offensés et ridiculisés.

La Madone - Dieu vous a choisis. Combien de fois dois-je vous répéter que Dieu a choisi ce lieu thaumaturgique et combien de fois ne vous ai-je pas dit qu’il n’a pas besoin de faire du bruit, de créer du désordre, de fanatisme, de sonnerie de trompettes; Jésus est venu ici en silence, sans créer beaucoup de désordre.

Vous êtes ici, regardez autour de vous, vous n'êtes pas nombreux par rapport à toute l'humanité, mais c’est vous que Dieu a choisis; ne le trahissez jamais, ne trahissez jamais mon Fils Jésus. Que ceux qui le trahissent reviennent au bercail, parce que l’on se réjouit du retour de la brebis perdue. Aujourd'hui malheureusement, mes chers enfants, il y a beaucoup de brebis perdues, en particulier parmi les jeunes. J’ai donné ce message cette nuit: Priez pour les familles, pour qu’elles soient réunies, priez pour ceux qui affrontent le mariage, afin qu’ils comprennent ce qu’ils font. Le sacrement du mariage est important, il est grand et confère la grâce.

Les intentions de prière sont fort nombreuses: la paix dans le monde, la paix au sein des familles, la fin des guerres, les drogués, les prisonniers et ceux qui font souffrir volontairement. Vous devez sauver beaucoup d'âmes! Oui, Jésus vous le demande. Si les âmes ne veulent pas se sauver, vous devez vous éloigner d’elles, car si elles agissent ainsi, c’est parce que le démon est entré en elles. C’est à vous de vous convertir, de demander pardon à Jésus crucifié, à Jésus triomphant et aujourd'hui à l’Enfant Jésus. Demandez-lui pardon avec votre cœur, et même si vous serez encore tentés et chuterez, vous pourrez vous relever. Tendez la main, accrochez-vous à Jésus Eucharistie, aimez Jésus Eucharistie; seul le pain eucharistique, le pain des anges vous donne la force de tout accepter et d’avancer.

La Madone - Prends le bébé.

Marisa - Tu lui as mis aujourd'hui un autre vêtement? L’avons-nous fait aussi?

La Madone - Oui. Vous l’avez fait avec moi.

Marisa - Il est tendre, tendre. Ecoute, si tu me le laisses toute la journée, je te le rendrai tout propre ce soir. Ce n'est pas possible?

La Madone - Donne-le maintenant à mon époux bien-aimé.

Marisa - Oui, je te confie à nouveau à ton papa. Prends-le parce qu’il est tendre, petit, il peut tomber, sois prudent.

La Madone - Toutes les âmes sauvées sont maintenant autour de moi.

Marisa - Voilà mon papa.

Priez, vous aussi, pour nous tous ici présents, tout le Paradis doit prier pour nous.

Ecoute, Padre Pio, pourquoi ne vas-tu pas trouver Dieu le Père et ne fais-tu pas quelque chose pour Don Claudio?

Va trouver Dieu et dis-lui: Dieu le Père, je suis Padre Pio, même s’il sait qui tu es, pourrais-tu me le dire à moi quand ils lui rendront la sainte Messe? Et après tu me le dis, c’est astucieux, hein!

Padre Pio - Marisella, que veux-tu me faire faire? Je comprends ton grand désir pour la sainte Messe, mais ces choses ne se font pas au Paradis.

Marisa - Et qu’est-ce que cela fait? De toute façon tu es déjà saint. La Madone l’a déclaré il y a longtemps, quand elle a dit en parlant de toi, Saint Padre Pio, tu t’en souviens? Ce n'est pas qu’ils t’enlèveront la sainteté. Et tu y vas, allons! J'obéis toujours, mais personne ne m'obéit, ni les petits, ni les grands. C’est bon, faisons comme tu dis, de toute façon tu ne nous dit ni le mois, ni l’année; l’année au moins c’est: 1998? Pouvons-nous compter dessus? Et ils sourient. Je suis fatiguée d'être sur la terre, j’aimerais m'en aller, comprends-tu?

La Madone - Courage, Marisella, la vie est très dure pour toi.

Prenez-vous tous maintenant par la main, serrez-vous les uns contre les autres et comme cette nuit invoquez l’Esprit Saint et récitez de tout votre coeur la prière de Jésus: Notre Père…. Gloire au ..

Mes chers enfants, la Maman vous transmets tous les vœux du Paradis. j’envoie un baiser aux petits enfants et à Davide Maria. La Maman vous étreint tous très fort. Continuez ainsi à avancer, avec sérénité, confiance et foi en Dieu.

N'est-ce pas Don Claudio, que tu célèbreras la Sainte Messe….

Avancez au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Ils s'en vont tous, les anges et les saints. Les anges enlèvent la Madone d'un seul coup, parce que Joseph lui a redonné l’Enfant Jésus, elle le tient ainsi et ils s'en vont.

Mais je te l’aurais rendu beau, propre, je l’aurais complètement changé, je ne te l’aurais pas rendu sale, tu sais? Je l’aurais tenu propre.

La Madone - Et comment ferais-tu avec tes jambes?

Marisa - Quand tu le veux, tu me fais marcher?

La Madone - Bonne année, Marisella, à plus tard. Adieu.

Marisa - Tu ne nous donnes pas ta bénédiction?

La Madone - Le prêtre et Jésus Eucharistie vous la donneront.

C’est bon, j’accède à ton désir. Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. j’envoie un baiser à tous les petits enfants. Je vous serre tous très fort sur mon Coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Don Claudio - Tu l’as demandé à Jésus et il ne t’a pas répondu, tu l’as demandé à la Madone et elle ne t’a pas répondu, tu l’as demandé à Saint Joseph et il ne t’a pas répondu, tu l’as demandé à l’Enfant Jésus et il ne t’a pas répondu, tu l’as demandé à Padre Pio et il ne t’a pas répondu. Je crois maintenant que la réponse est dans les faits, le Seigneur ne dira ou ne nous dira jamais: le 15 mai 1998.

Marisa - Il pouvait nous dire six mois, deux heures.

Don Claudio - Le Seigneur nous a doté d'une intelligence et de la capacité de lire dans sa Parole, dans les messages qu’il nous a donnés par l’intermédiaire de la Madone et dans certaines indications; c’est pourquoi en en tenant compte, mais sans en connaître ni le mois, ni le jour, nous pouvons humainement en déduire, avec possibilité d’erreur, que ce sera en 1998.

Marisa - Et quand ils m'ont fait écrire 1999?

Rome, le 8 janvier 1998, 17h35 (Message de la Madone)

Marisa - J’ai tant de personnes à te recommander; est-ce que cela te déplaît si je commence par moi? Je ne plaisante pas, je suis toujours la dernière. Je veux te recommander beaucoup de jeunes, d’enfants malades, de personnes qui souffrent et puis aide moi aussi.

La Madone - Mes chers enfants, puisque vous avez déjà prié et afin de gagner du temps, comme le dit votre prêtre, sinon la rencontre biblique sera abrégée, je suis surtout venue pour être avec vous, mais je ne suis pas très contente, parce que vous ne venez pas quand mes deux enfants ne sont pas ici. n’avez-vous pas compris que ce lieu est thaumaturgique, que ce lieu est miraculeux? Je comprends que vous désiriez rencontrer le prêtre et la voyante, mais ils ont aussi d’autres tâches difficiles; leur travail est beau mais très difficile. Je remercie ceux qui ont beaucoup prié pour leur voyage; il y a eu de vraies conversions de jeunes gens, d'hommes et de mamans. Tout cela a donné beaucoup de joie à mon Fils Jésus, mais procuré beaucoup de souffrances, de fatigue à mes deux enfants, mais ils sont heureux. Quand une brebis revient au bercail, on fait fête, beaucoup y sont revenues en Sardaigne et c’est maintenant au tour des prêtres de continuer à les aider, ce qui me fait réfléchir.

Marisa - Pourquoi ne dis-tu plus rien? L’Enfant Jésus touche à ses cheveux avec son petit doigt sous le voile.

La Madone - Mes chers enfants, il semble que je me répète sans cesse lorsque je vous parle. Oui, je me répète, je me répète souvent; je continue à parler, mais les êtres humains ne m'écoutent pas. Il ne me semble pas vous demander de grandes choses.

Pensez aux bergers et aux rois Mages qui sont allés voir l’Enfant Jésus! Le Messie est né dans une grotte très propre, parce que saint Joseph a pris soin de la nettoyer. Nous avons fait tant de prières. Personne ne savait où était le Messie et ceux qui le savaient voulaient le tuer: vous ne le voulez pas, vous aimez l’Enfant Jésus, le grand Jésus et Jésus Eucharistie.

Je vous invite aujourd'hui plus que jamais à recevoir Jésus Eucharistie. Aimez-le avant tout, puis aimez le Saint Esprit, la Mère de l’Eucharistie, les saints et les âmes sauvées. Allez vers Jésus Eucharistie. Recevez-le tous les jours, ne l’oubliez pas à moins que vous n'en soyez empêchés par des raisons graves. Sinon, pourquoi la Maman vient-elle souvent vous voir? Pourquoi Dieu a-t-il choisi ce lieu? Parce qu’il vous aime tous un par un. Avez-vous fait la layette de Jésus? Vous lui avez fait deux layettes, mais aujourd'hui vous ne lui avez pas mis celle de fête, vous la lui mettrez dimanche. Vous avez été braves, mais vous devez encore prier, faire des sacrifices et de petites offrandes. Vous devez vous aimer, vous aimer encore plus, encore plus. Aimez, mes enfants, n’aimez pas seulement ceux que vous trouvez sympathiques, mais aussi ceux qui vous sont antipathiques.

Marisa - Tu comprends, plus personne ne m’aimera alors.

La Madone - Non, Marisella, tu n'es pas antipathique.

Marisa - Si, parce que je suis toujours, toujours... Un jeune m’a dit une fois que je fais toujours la tête. Mais ce n'est pas vrai, c’est mon caractère.

La Madone - Continue, continue.

Marisa - Non, je n’ai rien d’autre à te dire, j’ai peur de sortir du sujet.

La Madone - Merci pour tout ce que vous avez fait pour la Sardaigne. Oh, combien d'âmes vous avez sauvées! Si elles devaient rechuter, ne devaient pas continuer, ce ne serait pas votre faute, ni la faute de ces pauvres créatures, vous savez de qui ce serait la faute: en particulier quand on parle de l’Eucharistie, quand le miracle eucharistique s’accomplit, les prêtres deviennent terribles. Mais en quoi cela les intéressent-ils? Ils ne veulent pas y croire? Qu’ils n'y croient pas, mais qu’ils laissent les créatures libres, avec leur façon de faire, ils ne conduisent pas les âmes à Jésus Eucharistie.

J’aimerais tant vous souhaiter une bonne rencontre biblique, mais vous voyez par vous-mêmes que les gens n'y répondent pas. Il n'y vient toujours que peu, peu de personnes; une lutte très forte a été menée contre ce lieu thaumaturgique. Vous direz: "Mais Dieu ne fait rien?". Cela vous vous le demandez souvent. Si, Dieu peut tout faire, mais vous savez qu’il est patient, miséricordieux et donne encore aux hommes la possibilité de se convertir. Mais il sera juste à la fin. Combien de fois ne vous ai-je pas dit, ne vous arrêtez pas au Dieu miséricordieux, mais continuez et dites: "Dieu sera juste pour tous à la fin".

(La Madone apporte l’Eucharistie à Marisa)

Marisa - Pourquoi as-tu apporté l’Eucharistie, alors que j’avais déjà fait la Sainte Communion?

La Madone - Elle te donne de la force, ma fille, sinon les douleurs t’accableront fortement et tu n'y arriveras pas toute seule.

Marisa - Puis-je prier? Voici l’agneau de Dieu qui enlève les péchés du monde. O Seigneur je ne suis pas digne de te recevoir, mais dis seulement une parole et je serai guérie.

C’est très doux.

La Madone - Nous du Paradis, nous savons que tu vas avoir une grande souffrance, mais avec Jésus Eucharistie que tu viens de recevoir, tu auras la force de tout supporter, tout accepter. Maintenant, ayez un peu de patience, mes chers jeunes, parce que votre sœur doit écrire les messages personnels.

Marisa - Non, non. Comme tu es rusée, c’est exprès que tu m’as donné Jésus?

La Madone - Ouvrez les bras, regardez le ciel et criez avec moi: Notre Père …

Marisa - Pas les messages.

La Madone - Marisella, qui es-tu pour dire pas?

Marisa - Je ne sais pas. Qui suis-je?

La Madone - Vous, mes chers enfants, dites entre-temps une dizaine de chapelet pour la conversion de mes prêtres.

(Pendant la récitation de la dizaine de chapelet)

Marisa - Je dois écrire les messages même pour ceux qui ne sont pas ici.

Don Claudio - C’est juste. Commence, commence!

Marisa - Heureusement qu’ils sont courts, parce que tu dois les expliquer après.

Don Claudio - Comme d'habitude.

Marisa - Tu étais pressée avant pour la rencontre biblique, tu ne l'es plus maintenant? Tu es comme don Claudio. Tu aurais pu ne donner qu’un seul message? Pardon. Combien de jeunes sont ici présents?

Don Claudio - Je ne sais pas. Combien en as-tu écrits?

Marisa - Dix. Pourquoi n'écris-tu pas à ma place? Celui-ci est Filippo!

La Madone - Je vois, Marisella, que c’est Filippo.

Marisa - Heureusement que j’ai envie de rire.

Qu’ont à faire ici ceux qui sont absents?'

Don Claudio - Ils ne sont pas absents par leur faute.

Marisa - Grand-mère Iolanda aussi.

Don Claudio - Cela en fait combien?

Marisa -Seize.

Don Claudio -C’est fini? Nous manquons, comme d'habitude.

La Madone - Marisella, tu ne mets pas Yari?

Marisa - Es-tu sûre que je ne l’ai pas mis? Tu vois tout. Je mets simplement Jacopo? Ai-je oublié quelqu’un? Il y en a tant?

Don Claudio - Je crois qu’ils y sont tous.

Marisa - Oui.

Don Claudio - Sauf nous.

Marisa - Tu l’as entendu?

La Madone -Mais si je vous parle tous les jours?

Marisa - Tu as parlé hier à toute la famille, y compris don Claudio, mais pas à moi. Peut-être parce que j’ai ronchonné?

Don Claudio - Tu ne seras heureuse qu’au Paradis.

Marisa - Et toi?

Don Claudio - Pas, d’autres prêtres me feront souffrir; elle me l’a dit.

Marisa - Si tu n'es pas sûre de nous aimer, tu devrais dire que tu en as assez de nous deux, tu nous demandes toujours de souffrir, souffrir, souffrir. Alors pourquoi ne lui as-tu pas donné la sainte Communion?

La Madone - Mais il est prêtre, il est Jésus sur terre.

Marisa - Oui, le pauvre, fais-toi entendre des autres prêtres. Tu as du chagrin, maintenant? Je t’ai obéi, tu l’as vu?

La Madone - Non, Marisella, ce n'est pas à cause de toi, tu ne peux pas t’imaginer combien de péchés sont commis en ce moment où je suis ici avec vous.

La Madone - Il y a une chose qui me fait beaucoup souffrir: La confession en fonction des horaires. Si une créature pèche après s'être confessée ou le jour d’après, le prêtre ne la confesse pas. Ie prêtre doit être totalement dévoué aux âmes. Quand une âme demande à se confesser, le prêtre ne doit jamais dire non, même la nuit. Au contraire, il y a un horaire pour les confessions et si quelqu’un arrive après l'horaire, il ne peut pas se confesser. Il ne doit pas y avoir d'horaire pour les confessions, parce que l'homme est pécheur et s’il veut se réconcilier immédiatement avec Dieu, il doit pouvoir le faire. C’est pourquoi je suis triste, quand il y a des créatures qui veulent se réconcilier avec Dieu, le prêtre est fatigué, indisponible, dit que ce n'est pas l'horaire. Dans certains endroits, on ne confesse qu’une fois par semaine. Et les autres jours? Etant donné que vous vivez sur la terre et que le démon est toujours prêt à vous tenter, l'homme peut pécher même les autres jours. Je sais ce que tu penses don Claudio! Tu aimerais tout rénover, tout recommencer, mais alors Jésus, mon Fils Jésus pourquoi est-il mort? Pour qui est-il mort?

Marisa -Oui, mais ne sois pas triste maintenant, nous sommes dans l’octave de l’Epiphanie, il y a le poupon, l’Enfant Jésus. Berce l’Enfant Jésus. Je ne te le demande pas aujourd'hui, je fais un beau sacrifice; mais ne sois pas triste.

La Madone - Marisella, si mes enfants ne vivent pas en état de grâce, comment fait une maman pour ne pas être triste, se faire du souci? Priez. La Maman vous dit ces choses pour vous inviter à prier et à aimer, ce n'est pas pour rien que Jésus et moi, nous vous avons si souvent répété: "Apprenez à aimer, puis prier".

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, mes chers jeunes, mes chers adultes, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Marisa - Souris un petit peu. Souris

La Madone - Oui, je souris aussi pour toi.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu Jésus, tu as ta petite main levée et tu nous bénis. Adieu.

Don Claudio!

Don Claudio - Bon travail.

Marisa -Je lui ai dit que je n'en peux plus d'écrire. J'écris sur l’ordinateur?

Don Claudio - Tu traduis et j'écris. d’accord?

Rome, le 18 janvier 1998, 11h50 (Message de Jésus et de la Madone)

Jésus - Moi, Jésus, j’ai apporté ces hosties. Je suis présent dans l’Eucharistie, dans cette Eucharistie, présent au milieu de vous; je suis présent dans tous les coins de ce petit lieu thaumaturgique.

Votre sœur a vécu la passion et Moi, Jésus Eucharistie, présent avec mon corps, mon sang, mon âme et ma divinité, je l’ai aidée et sauvée. Je veux que mes jeunes voient tout cela, parce que Je donne la souffrance, quand Dieu la demande, mais j’aime infiniment ceux qui l’acceptent. Vous tous, qui m’avez reçu dans votre Coeur et vivez en état de grâce, vous avez en vous le Paradis.

J’ai souffert, votre sœur a souffert, elle a vécu la sudation et la passion, mais ma présence et vos prières l’ont aidée à tout supporter. Je suis Jésus Eucharistie et j’ai choisi d’avoir ici mon tabernacle, je veux être toujours ici présent. Même si autour de vous la tempête rugit et de petits nuages tourbillonnent, j’ai choisi d’avoir ici mon tabernacle. Je suis toujours avec vous ; ne vous lamentez pas. Dieu sait à qui demander la souffrance. Dieu sait qui faire souffrir, mais il demande aux âmes la permission de leur donner la souffrance. Elles répondent oui ou non et du moment qu’elles acceptent la souffrance, on doit les aider à la supporter.

Mes chers enfants, je vois que vous ne réalisez pas encore que mon tabernacle, mon berceau, ma joie et mon amour sont ici. Ne vous préoccupez pas s’il y a en vous des imperfections et pardonnez-vous, comme Je vous ai pardonnés, si l’un commet une petite offense à l'égard de l’autre.

Marisella est adulte et vit son coin de Paradis, mais les petits enfants aussi peuvent le vivre. En fait le petit Jacopo, qui ne va pas bien maintenant, vit son coin de Paradis en jouant dans son petit lit avec les anges, malgré son caractère très vif. Si Je vous dis ceci, c’est pour vous faire comprendre que vous pouvez tous vivre un coin de Paradis: petits et grands.

Moi, Jésus, je suis avec vous, j’ai apporté l’Eucharistie à votre sœur pour lui donner la force et le courage de tout accepter. Beaucoup de grâces ont été accordées ici, beaucoup de miracles ont été accomplis: le miracle dans le miracle (29 juin 1997), le miracle dans le miracle du miracle (1er janvier 1998). Combien de joie et d’amour ne vous ai-je pas donnés et je vous donne dans ce petit lieu que J’ai choisi et voulu. Ils m'ont enlevé du tabernacle, mais j'y suis revenu et y reviendrai encore et s’il m’arrivera parfois de ne pas venir, ce ne sera pas par votre faute, mais pour que vous ne vous habituiez pas à tous ces grands miracles eucharistiques. Qui vit comme vous le miracle dans le miracle du miracle? Personne. C’est un immense don de Dieu pour vous tous.

Avez-vous froid? Si vous tombez malade, ce ne sera pas parce que vous aurez pris froid ici, puisque Je vous réchauffe de mon amour, si vous tombez malade, comme c’est le cas de votre sœur, c’est parce que la maladie fait partie de la nature humaine, vous dites en fait: la grippe rode. La loi est la même pour tous et votre sœur n'y fait pas exception, même si elle m’a Moi. Elle est soumise à la même loi, comme tous, mais elle vit aussi les souffrances de la passion qui s'est répétée ce matin. Je veux vous dévoiler que lorsqu’elle a téléphoné dans la chapelle pour demander de l’aide, elle n’a trouvé personne pour décrocher et la secourir, et alors c’est Moi qui suis venu avec l’Eucharistie.

Mes chers enfants, c’est votre Jésus qui vous parle et vous aime tant. Préparez-vous toujours quand vous me recevez et n’attendez pas le moment du péché pour vous confesser; même si vous chutez, aimez-moi encore; si vous vous laissez aller, ce sera plus difficile pour vous de vous redresser. Aimez-moi, aimez-vous les uns les autres, aimez-vous vous mêmes. Je veux rencontrer tous mes jeunes, je dois leur faire un discours, un discours aux petits apôtres, à ceux qui sont appelés. Je retourne maintenant vers le Père et toi, Marisella, fais la Sainte Communion. Donne cette hostie au prêtre pour la Sainte Messe.

Marisa - Celle-là?

Jésus - Ne t’excite pas, allons, courage.

Marisa - Seigneur, je ne suis pas digne de te recevoir, mais dis seulement une parole et je serai guérie. C’est doux.

Jésus - Ma chère Marisella, tu vivras encore la sudation, mais Je ne t’abandonnerai pas, sois tranquille.

Mes chers enfants, merci de votre présence, merci de vos prières. Continuez à vivre toujours en état de grâce et votre Jésus vous donnera de très grandes récompenses. Je vous en prie, mes chers enfants, aimez-vous toujours, ne négligez rien. Jésus envoie un baiser aux petits enfants, au petit Jacopo, à sa maman et à tous les petits enfants malades.

Je retourne maintenant vers le Père et vous laisse la Maman.

Marisa - Je suis heureuse que tu sois là aussi.

La Madone - Oui, je suis seulement venue vous dire que je vous couvre tous de mon manteau maternel. Je vous étreins tous et vous réchauffe. N'oubliez pas: quand vous recevez mon Fils Jésus, Il vous réchauffe, n’ayez pas peur.

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. j’envoie un baiser aux petits enfants et au petit Jacopo.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Quand est-ce que je leur dis? Jésus m’a dit de parler aux jeunes, mais je ne m'en sens pas capable. Oui, je le dis d’abord au prêtre. Adieu. Regarde combien d’anges la prennent et l'emportent, à moi il m'en faudrait le triple.

Rome, le 25 janvier 1998, 11h40 (Message de Jésus et de la Madone)

Marisa - Tu es encore venu aujourd'hui, Jésus? Tu nous aimes vraiment.

Jésus - Mes chers enfants, je viens m’apporter moi-même. Accueillez avec amour dans votre coeur ma venue avec mon corps, mon sang, mon âme et ma divinité. Voyez-vous comme l’amour est toujours à la première place? Je vous nourris chaque fois que vous me recevez. Même si vous n'êtes pas totalement prêts à me donner votre amour, je vous demande de me donner, sans hésiter, l’amour, le vrai, celui qui ne vous fait pas penser à vous-mêmes et va vers le frère qui souffre. Moi, Jésus, je continue à venir parmi vous, mon petit troupeau et vous ne pouvez pleinement comprendre les grâces que je vous apporte. Prendre des personnes de la terre et les emporter sauvées avec Moi font également partie de ces grâces. Je vous ai enlevé un fils, encore jeune direz-vous; il était loin de Moi, très loin de moi, mais il est finalement venu à ma rencontre et je l’ai emporté avec moi. Où? C’est une âme sauvée et les âmes sauvées sont toutes près de Moi quand je viens parmi vous, puis quand je retourne vers le Père, elles attendent vos saintes messes et vos prières. Continuez à prier pour vos êtres chers et eux à leur tour prieront pour vous, comme ceux qui sont morts prient pour vous, pensent à vous et préparent votre chemin vers Dieu. Je veux vous parler de votre sœur la Mort. Elle ne connaît ni âge, ni temps, ni lieu ou condition et vient quand Dieu le décide. C’est pourquoi Je vous ai dit bien souvent ainsi que ma et votre Maman "vivez toujours en état de grâce, soyez toujours prêts à accueillir votre sœur la mort". Elle fait souffrir du point de vue humain, parce qu’un être cher vient à nous manquer, du point de vue spirituel, elle nous invite à regarder un petit peu plus vers le haut, c’est pourquoi vous pouvez dire "Mon être cher est parti jouir de Dieu s’il a su recevoir notre sœur la Mort".

Mes chers enfants, soyez toujours prêts à tout moment. Si vous tombez dans le péché, courrez vous confesser et je serai prêt à vous embrasser, à vous aimer. Je vous aime, je vous offre mon amour, l’amour qui est toujours présent avec tous. Vivez ce jour en pensant à votre soeur la Mort; dans vos loisirs, dans la joie, en famille, ne l’oubliez pas. Ce sont parfois de petits enfants qui s'en vont et viennent avec moi au Paradis, parfois des personnes âgées, d’autres moins jeunes, mais ce que je veux vous faire comprendre c’est d'être toujours prêts, parce que vous ne savez ni l'heure, ni le moment où la mort viendra vous prendre. Soyez prêts à tout moment, à chaque seconde, et je serai les bras ouverts à vous attendre avec ma et votre Maman, les anges et les saints.

Combien de temps pourriez-vous vivre encore? Disons pour les plus jeunes, cent, cent cinquante ans? Puis ce sera le Paradis. Croyez-moi, le Paradis, la joie, la réjouissance éternelle, l’amour envers tous existent. C’est pourquoi je vous dis souvent: Convertissez-vous, croyez au saint Evangile. Ce doit être votre devise: "apprenez à aimer, puis priez".

Adieu, mes chers enfants, je retourne vers le Père".

La Madone - Mes chers enfants, c’est moi votre Maman. Je suis depuis longtemps parmi vous, depuis que le prêtre a commencé à commenter le message jusqu'à maintenant. J’ai écouté avec vous les saintes paroles de Dieu. Vivez et mettez en pratique tout ce que Jésus a dit. Voulez-vous aller au Paradis? Ne vous faites pas de soucis, pas maintenant, mais soyez toujours prêts, sinon quelle maman je serais si je ne vous incitais pas et ne vous aidais pas à vivre dans la grâce pour pouvoir jouir ensuite du Paradis et pour toujours de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit avec tous les anges et les saints?

Alors ce sera la joie, l’amour, les cantiques. Jouissez maintenant du Paradis quand vous recevez mon Fils Jésus, jouissez-en et ne vous fâchez pas, ne vous contrariez pas pour des bêtises, ne vous marchez pas sur les pieds pour des riens, n’allez pas dormir sans avoir parlé avec la personne que vous avez fait souffrir ou qui vous a fait souffrir.

Ce n'est pas bien pour ceux qui ont parcouru un chemin spirituel de faire souffrir le frère, même s’il a raison. Non, n’allez pas vous coucher sans avoir parlé, demandé pardon et fait la paix.

j’envoie un baiser à mes petits enfants, à Davide Maria, au petit Jacopo qui est en voyage, à mes jeunes qui sont en voyage et à tous les jeunes ici présents.

Ensemble avec le prêtre je vous donne ma bénédiction. Je vous couvre tous de mon manteau maternel et vous serre très fort sur mon cœur.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Je t’envoie un baiser. Jésus est retourné vers le Père et je ne lui ai pas donné de baiser. Je t’en donne un pour lui et tu le lui donneras. Adieu.

Messages de Février 1998

Rome, le 1er février 1998, 12h00 (Message de Jésus et de la Madone)

Ce message devrait être lu avec humilité et simplicité. Il est une grande preuve d’amour de Jésus à l'égard des prêtres, évêques et cardinaux qu’il appelle "mes préférés" et des religieuses qu’il appelle "mes épouses". Pour tous ceux-là, les paroles de Jésus ont une signification particulière: "A quoi sert à l'homme de gagner le monde entier s’il y perd son âme ?" (Mt. 16,26)

Marísa - Jésus, tu es revenu ?

Jésus - Moi, Jésus, je suis venu vous apporter un message de Dieu, toujours le même: "Apprenez à aimer, puis prier ".

Aujourd'hui tu me vois adulte, demain tu me verras enfant lorsque j’ai été présenté au temple: puis je viendrai dans tes bras.

Ce que votre prêtre a dit aujourd'hui est la vérité absolue,

(1)

mais maintenant j’aimerais y ajouter quelque chose. Comment mes prêtres bien-aimés peuvent-ils dire du mal de ce lieu thaumaturgique ? Comment peuvent-ils profiter de la confession et de la direction spirituelle des hommes pour les empêcher de venir en ce lieu ? Comment peuvent-ils dire que ce lieu est un lieu diabolique ou qu’il ne s'y produit que des phénomènes de foire ?

(2)

. Je suis vraiment venu ici plusieurs fois et pour vous faire comprendre que c'était bien moi, ma mère, les anges, les saints et les âmes sauvées, je vous ai fait sentir un parfum

(3)

.

Les prêtres savent parfaitement bien que Jésus l’Eucharistie est présent ici avec son corps, son sang, son âme et sa divinité. Ils savent fort bien que ma mère apparaît en ce lieu,

(4)

mais comme ils ont peur de perdre des créatures, ils se battent mais de façon déloyale: ils font souffrir et calomnient

(5)

. Combien de personnes, de prêtres, de religieuses et de laïcs calomnient, diffament, condamnent

(6)

puis me reçoivent dans leur coeur. Mais que puis-je leur donner ? Le diable peut-il me recevoir dans son cœur ?

(7)

. Pourquoi tant de méchanceté, de calomnies et de diffamations pour ceux qui ne parlent pas, qui restent silencieux

(8)

, qui aiment uniquement les âmes et essaient de les amener à la sainteté ? Pourquoi tout cela ?

Vous, mon petit troupeau, vous qui êtes si peu nombreux par rapport à tous les citoyens de Rome, répandez l’amour et la joie et si quelqu’un ose dire du mal de ce lieu thaumaturgique, alors répondez: "Je fais ce que mon coeur me dit de faire, mais vous, père, vous péchez chaque fois que vous dites du mal de ce lieu où Dieu nous a appelés "

(9)

.

Mes chers enfants, l'histoire se répète: les gens ont calomnié ma mère parce qu’elle est allée voir Sainte Elisabeth. Ils m'ont calomnié et dit que j'étais possédé, que j'étais fou

(10)

parce que je parlais de Dieu et avant tout du pain du ciel. Ils n'ont rien compris et sont partis

(11)

.

Je n’ai pas été accepté dans mon propre pays et ils m'ont dit de m'en aller

(12)

. C’est la même chose qui arrive à votre prêtre; il n'est pas accepté dans sa propre ville et doit aller ailleurs. Mais dans les autres villes, il trouve des âmes simples, des laïcs, des jeunes qui se convertissent. Mais que font les prêtres ? Ils ferment les portes des églises. Selon eux, Don Claudio doit célébrer la messe tout seul, portes closes. Il n'est pas nécessaire que j’ajoute autre chose pour que vous compreniez que ces prêtres n’agissent que par méchanceté

(13)

.

Pourquoi Don Claudio devrait-il célébrer la messe, portes closes ? La Sainte Messe doit être célébrée devant tout le monde et pour tout le monde, si des personnes sont présentes. On ne la célèbre seul que s’il n'y a personne, parce que la Sainte Messe est pour la gloire de Dieu et le bien de l’Eglise

(14)

.

Il y avait des groupes de personnes, mais seul Don Claudio a pu pénétrer dans l'église. Il a dû laisser les gens dehors. Pourquoi a-t-il été obligé de célébrer la messe seul, portes closes ?

(15)

Vous, comme les enfants également, vous pouvez répondre à cette question.

Je ne veux pas vous affliger davantage et désire seulement que vous compreniez que mon Coeur saigne à cause de la faute commise par mes prêtres bien-aimés et avant tout par les évêques, les cardinaux et ...

(16)

qui continue à dire "non" sèchement à ceux qui désirent venir en ce lieu.

(17)

. Mais il le dit uniquement en secret, car il ne se compromet pas lui-même et envoie d’autres à sa place, de pauvres et simples prêtres qui lui obéissent parce qu’il représente l’autorité

(18)

. Combien de fois vous ai-je dit: "obéissance oui, chantage non ". On doit être obéissant vis-à-vis de ses supérieurs, mais cette obéissance ne doit pas être obtenue par chantage. Ils se croient importants parce qu’ils détiennent le pouvoir entre leurs mains et disent: "tu dois m'obéir parce que je suis ton supérieur "

(19)

. Non mes chers enfants, ceci n'est pas de l’obéissance mais du chantage, comme si je vous disais: "Mes enfants ou vous allez à l'église ou ne je ne vous aime plus et je vous répudie". Ceci est du chantage. Ceci n'est ni amour, ni obéissance. Le supérieur doit se comporter comme un père affectueux et l’inférieur comme un fils respectueux.

Nous arrivons à l’an 2000, au troisième millénaire et vous n’avez toujours pas compris ce que signifie obéissance, pauvreté et chasteté et par dessus tout, vous n’avez pas compris ce que signifie amour. Vous n’avez pas compris, parce que vous ne voulez pas comprendre. En fait mes jeunes, ceux que j’ai appelés, les fils spirituels de Don Claudio ont parfaitement compris le sens de cette vertu.

Vous ne devez pas vous décourager: vous êtes très peu nombreux mais vous êtes forts. J’aimerais aider votre prêtre à être fort

(20)

. C’est un moment fort triste pour lui, car il souffre énormément: aidez le avec vos prières!

Jésus remercie ceux qui ont fait une vigile de prière: vos prières sont arrivées à Dieu le Père. Vous avez offert à Dieu une heure, deux heures, toute la nuit, la fatigue et le sommeil. Dieu est content. Dieu accepte vos prières, même si elles ne sont pas nombreuses comparées à toute l'humanité, comparées à tous les prêtres et les religieuses qui font souffrir et savent qu’ils font souffrir.

Marisa - Jésus, peux-tu nous pardonner ? Nous sommes de faibles créatures, pardonne-nous. Je ne sais pas ce que je dois faire d’autre pour t’aider.

Jésus - Tais-toi, tu en fais même de trop. Nous te demandons tant, tant et tant. Tu es préoccupée parce que tu es forte; tu es forte mais tu es grande ".

Marisa - Qu’est-ce que cela signifie : je suis forte mais je suis grande?".

(Conversation entre Jésus et Marisa: Jésus remet l’Eucharistie à Marisa)

Marisa - Voici l’agneau de Dieu qui enlève les péchés du monde. Seigneur, je ne suis pas digne de te recevoir mais dis seulement une parole et je serai guérie.

J’ai déjà reçu la sainte communion, est-ce que cette hostie est profanée ?

Jésus - Sois tranquille, elle n'est pas profanée. Veux-tu la donner au prêtre ?

Marisa - Je désire partager tout avec lui.

Jésus - Courage Marisa, n’aie pas peur, c’est moi, Jésus. Je vous remercie tous pour votre présence ici et ensemble avec le prêtre et ma mère je vous bénis.

La Madone - et moi, votre mère, je vous porte tous dans mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

NOTES EXPLICATIVES (de Don Claudio Gatti)

(1)

Don Claudio a parlé de la féroce opposition aux miracles eucharistiques, aux apparitions de la Mère de l’Eucharistie et à ce lieu thaumaturgique organisée par des ecclésiastiques importants et poursuivie par des prêtres, religieuses et laïcs. Don Claudio a également expliqué que lorsque Jésus et la Madone répètent: "Priez pour que le Saint Père ait la force d’accomplir la volonté de Dieu", il faut comprendre que Dieu désire que la célébration de la Sainte Messe soit de nouveau autorisée dans ce lieu thaumaturgique.

(2)

Don Claudio et Marisa ont demandé à cinq reprises au vicariat d’envoyer des exorcistes autorisés pour exercer des rites d’exorcisme sur les hosties, mais ceci a toujours été refusé sans aucune explication. Don Claudio et Marisa ont également demandé la présence d’experts et de membres de la commission afin d’examiner les événements et de vérifier s’il n'y a pas fraude, tromperie ou manipulation, mais la réponse a toujours été la même: "NON". n’ayant pas voulu examiner les événements et interroger les témoins, il est impossible du point de vue légal et moral d’exprimer un jugement ou d'émettre un décret: Jésus et la Mère de l’Eucharistie l’ont répété à maintes reprises.

(3)

Tous ceux présents ont senti ce parfum particulier lorsque Jésus, la Madone, les Anges ou les Saints ont apporté l’Eucharistie dans ce lieu thaumaturgique. Ceux qui ont reçu la communion l’ont particulièrement senti. Ce sont des centaines qui ont été témoins de cet évènement surnaturel: parfois le parfum pouvait être encore senti longtemps après la communion.

(4)

Comme Jésus l’a dit le 26 juin 1997: "Ces personnes pèchent contre le Saint Esprit parce qu’ils attribuent au diable l’oeuvre de Dieu.

(5)

Les prêtres, les pharisiens, les docteurs de la loi avaient également peur que tout le peuple juif suive Jésus Christ et pour l'empêcher, ils décidèrent de le tuer.

(6)

Celui qui en disant des choses contraires à la vérité, porte atteinte à la réputation d’autrui et provoque des jugements erronés, se rend coupable de calomnie. La calomnie est un péché grave quand il affecte gravement les vertus de la justice et de la charité. Toute faute commise contre la justice et la vérité exige le devoir de réparation, même si la personne coupable est pardonnée. (Catéchisme de l'Église Catholique)

(7)

Ceux qui reçoivent la communion dans un état de péché mortel commettent un sacrilège. Celui qui mange le pain et boit le calice du Seigneur d'une manière indigne est coupable de profanation du corps et du sang de notre Seigneur. On doit s'éprouver soi-même avant de manger le pain et de boire le calice du Seigneur, car celui qui mange et boit sans discerner le corps du Christ, mange et boit sa propre condamnation." (1 Cor - 11, 27-29)

(8)

Don Claudio et Marisa, bien que connaissant depuis de nombreuses années la triste et critique situation de l’Eglise et des hommes d’eglise sont toujours restés silencieux comme La Madone le reconnaît: "Vous avez entendu comment Jésus a parlé hier d'une voix ferme et décisive. Jésus et moi-même n’avons jamais parlé de cette façon devant vous. Nous n’avons partagé cette situation critique de l’Eglise qu’avec votre soeur, qui en référait ensuite au prêtre. Mes deux enfants ont toujours gardé toutes ces croix et ces souffrances dans leur coeur, mais Dieu a décidé qu’il n'était plus possible de continuer à rester silencieux et que la vérité devait triompher. Je ne parlerai plus maintenant en secret à votre soeur mais vous, mon petit troupeau, entendrez ce que Dieu le Père dira pour aider les hommes d’eglise. Aidez ceux qui désirent être aidés ". (Message de la Madone du 2 février 1998)

(9)

"Les fidèles de Jésus Christ ont le droit de fonder et de diriger librement des associations pieuses et charitables ou d’encourager la vocation chrétienne dans le monde et de tenir des réunions en vue d’atteindre ce but en commun." (Code de droit Canon, canon 215)

(10)

Les mêmes accusations ont été portées contre Don Claudio et Marisa.

(11)

Voir Chapitre 6 de l’Evangile selon Saint Jean.

(12)

Mt. 13, 54-58.

(13)

Le Seigneur a jugé sévèrement cette conduite des prêtres violant gravement la loi morale et le droit Canon.

(14)

Le pape Jean Paul II l’a enseigné.

(15)

Ceci et même pire s'est passé à Rome, en Emilie-Romagne, Ligurie, Sardaigne, Vénétie, dans la région des Marches et d’autres régions.

(16)

Plusieurs évêques d'Italie ont reçu des lettres ou coups de téléphone du Vicariat de Rome leur disant que les apparitions présumées de la Mère de l’Eucharistie n’avaient pas d'origine surnaturelle. Ils ont également défini les miracles eucharistiques présumés comme étant le fruit d'une pathologie religieuse ou le cas de phénomènes de foire et ont demandé à empêcher la formation de groupes de prières appelés "Groupes de prières de la Mère de l’Eucharistie " dans d’autres diocèses et tout cela sans procéder à des enquêtes. Les membres de la Commission d’enquête instituée par le Cardinal-Vicaire n’a interrogé Marisa qu’une seule fois, mais nous dirions plutôt qu’ils ont offensé Marisa parce qu’ils l’ont accusée "d'être une hérétique, possédée, sacrilège et d’avoir divisé l’Eglise et l’autorité ecclésiastique en deux...". Ils ont également essayé de la faire se contredire et de la forcer à dire ce qu’ils voulaient. Cette unique réunion de la commission qui a eu lieu le 28 novembre 1995, a été déclarée nulle par Monseigneur Cesare Nosiglia, actuel Vice-Gérant du diocèse de Rome, parce qu’un rapport n’avait pas été fait à ce sujet. Nous nous demandons sur quoi est fondé le jugement du Vicariat ? Le Vicariat a également déclaré "être contre la diffusion des messages présumés" tel qu’il ressort de la lettre adressée à Mr. Fred Chavez, responsable de la "Liste des apparitions" dans Internet. Toutefois, Monseigneur Nosiglia interrogé par Don Claudio, en présence de membres de la commission d’enquête a reconnu: "ne pas avoir trouvé dans les messages de contradiction avec l’Evangile et les Enseignements de l’Eglise ".

(17)

"Donc à ceux qui demandent au Vicariat: "Pouvons-nous aller prier à la Via delle Benedettine ?" on répond fermement: Non. Mais qui sont-ils ceux qui disent "Non" ? Pourquoi ne laissent-ils pas les hommes décider librement, comme Dieu laissent les hommes libres de faire le bien ou le mal ?". (Message de Jésus du 26 juin 1997)

(18)

Bien des personnes peuvent en témoigner en se référant à ce que leur ont dit les prêtres de leur propre paroisse.

(19)

Quand l’amour fait défaut, la base et les fondations pour le développement des vertus s'écroulent.

(20)

Ne vous découragez pas si l’on vous répond rudement et qu’on vous insulte. Ces personnes sont irritées, offensent et crient parce qu’elles savent que vous dites la vérité. Priez, parce que c’est maintenant un moment difficile et la bataille sera rude. Vous êtes très peu nombreux et votre prêtre ne porte pas la calotte, mais Jésus et moi sommes avec vous. Moi, Saint Joseph, je suis également avec vous et Don Claudio" (Message de la Madone du 2 février 1998).

Rome, le 8 février 1998 (Message de la Madone)

Marisa - Tu étais déjà présent quand nous mettions de l’ordre. Ecoute, Jésus, excuse-moi si je te le demande, mais pourrais-tu me faire aller un petit peu mieux, seulement un petit peu quand je suis dans ma chambre? Je veux te confier tous ceux qui se sont recommandés à mes prières, les jeunes en particulier qui sont contraints de quitter leur famille et de s'échapper de la maison, par la faute des parents, les jeunes qui s’adonnent à la drogue, les prisonniers, tous ceux qui sont loin de ton amour. Mais tu les aimes quand même, n'est-ce pas? Ecoute, puis-je te demander autre chose? Pourquoi est-ce toi qui viens et pas la Maman? Elle va bien?

Jésus - Nous nous portons tous bien, Marisella, c’est toi qui vas mal.

Marisa - Un autre Jésus arrive et encore un autre! Oh mon Dieu, comme vous êtes beaux.

Jésus - Dieu Un et trois est présent, Dieu en trois personnes égales et distinctes. C’est nous et nous voulons sauver nos enfants. Quel père ou quelle mère ne pleure pas pour ses enfants? Nous voulons aider et sauver nos enfants. Cela je vous le dis, mon petit troupeau, les autres créatures n'entendent pas, ne pensent qu'à se divertir, pas de belle façon malheureusement. Certains prêtres ne disent la messe que parce que les gens y vont par habitude et qu’ils reçoivent leur solde.

Marisa - Comment puis-je parler maintenant, si vous êtes trois? J’aimerais te demander: qu’est-ce que c’est que la solde?

Jésus - Après les explications données par votre prêtre et le catéchisme qu’il a fait avec amour et souffrance, même si vous n’avez pas été tous attentifs à ce qu’il disait, que peut dire Dieu le Fils sinon confirmer tout ce que le prêtre a dit. La situation de l’Eglise est malheureusement critique et la vie des créatures qui se disent pratiquantes vacille; ce n'est qu’avec des prières et des sacrifices, mais surtout avec la communion quotidienne, même s’ils veulent la supprimer, la Messe quotidienne que vous réussirez à sauver les âmes.

Vous avez fait la veillée et beaucoup d’entre vous y étaient présents. Dieu a tout apprécié, mais pensez combien de personnes se sont amusés et divertis alors que vous, petit groupe de personnes par rapport à toute l'humanité, vous étiez ici à prier. Si vous pouvez faire la veillée, je vous demande de la faire de temps à autre et d'inviter d’autres personnes à la faire, mais sans que la famille en soit perturbée; si cela provoque des drames, restez à la maison pour prier.

Je vous invite aujourd'hui, comme toujours, à prier pour le Saint Père, priez, priez beaucoup. Vous ne pouvez comprendre à quel point il a besoin de prières pour faire la volonté de Dieu. Et maintenant, le premier Jésus, comme dit Marisella, ouvre les bras et embrasse le monde entier, parce qu’il aimerait qu’il se convertisse, qu’il soit tout à lui, mais Lui qui a enseigné le bien et le mal, ne forcera jamais personne.

Marisa - Ecoute Jésus, je te le dis doucement, doucement, ou mieux je te le redis: Vous ne forcez jamais les hommes, le Pape et les évêques, mais ceux-ci maltraitent. Et qui maltraitent-ils? Nous. Cela te plaît?

Je vois que la Maman est derrière vous en profond recueillement, parce que la Très sainte Trinité est présente. Vous êtes tous aujourd'hui vêtus de blanc, de blanc pur et immaculé et vous êtes beaux, si beaux.

Jésus Mes chers enfants, qu’est-ce que cela coûte de se convertir et d’aimer Jésus Eucharistie? Signez ce chèque en blanc, dites-le à vos prêtres. Que feront ces pauvres créatures, qui n'ont cru à rien, quand elles se rendront compte demain, que le Paradis existe? Vous savez que c’est un péché de dire du mal, de calomnier et diffamer? Il y a même des choses pour porter plainte, ce que mes deux enfants ne feront jamais, parce qu’ils suivent les pas de Jésus. Vous aussi, suivez les pas de Jésus et vous serez bien maintenant sur la Terre puis vous jouirez du Paradis pour toujours. Je vous le répète, le Paradis existe, comme l’Enfer existe, comme Satan existe. Convertissez-vous pour cette raison et croyez en l’Evangile, allez à la rencontre biblique et écoutez la Parole de Dieu. Je suis toujours avec vous.

Marisa - Le premier Jésus est maintenant entre le deuxième et le troisième. Je vois Jésus avec les stigmates, Jésus avec la colombe. La petite Madone est agenouillée devant le premier Jésus qui ouvre les bras. Il est grand, grand, grand et embrasse tout l’univers, tous les hommes. Est-ce que Tu nous embrasses aussi?

Jésus - Bien sûr, mes chers enfants, vous en premier. J’aimerais vous faire une petite recommandation: quand le prêtre parle, ne parlez pas, ne saluez pas ceux qui entrent, ne soyez pas distraits; chaque mot, chaque phrase qu’il dit est important et si vous ne l'écoutez pas, vous ne pouvez pas comprendre ce qu’il dit et vous posez ensuite des questions un peu .. . Ecoutez! Quand quelqu’un parle, écoutez-le. Vous devez comprendre que quand il y a du bruit, c’est difficile pour celui qui parle, cela peut le déranger. Quand je parlais à mes disciples qui étaient nombreux, ils ne devaient pas parler, sinon je les reprenais. Comment auraient-ils pu comprendre ce que je disais, s’ils parlaient?

Marisa - Tu es rusé, Jésus, j’ai compris, tu dis tout cela, parce que nous ne devons pas parler, mais être toujours à l'écoute.

Jésus - Bien sûr. Et si après, vous avez des questions, posez-les au prêtre. N'en discutez pas entre vous. Il y a parfois des mots que tous ne peuvent pas comprendre. Alors demandez tout simplement des explications au prêtre. Posez des questions sérieuses, qui ne lui font pas perdre du temps, parce qu’il est seul.

Marisa - Tu nous resserres tous très fort encore une fois dans tes bras? Et puis tu me fais respirer un petit peu mieux, parce que j’ai beaucoup de mal à respirer, tu sais? Tu ne dors pas avec ce truc (catafalque) devant, mais moi oui. Bien sûr on ne dort pas au Paradis. C’est bon, Jésus, quand tu es là, je commence à être plus intime, même avec Toi. Je veux maintenant t’envoyer un baiser, je veux l'envoyer à Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit, Tu as les mains levées, c’est ainsi que je vois que Tu as les stigmates, je vois le Saint Esprit avec la colombe et Dieu le Père qui nous embrasse tous.

Je veux te dire une chose: Dieu le Père n'est pas plus beau que Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit, vous êtres beaux tous les trois et tous égaux. Nous au contraire nous ne sommes égaux à personne. Regarde Don Claudio, regarde le premier Jésus qui embrasse tout l’univers.

Jésus - Merci de votre présence, mes chers enfants, merci de comprendre ce que le prêtre a dit et ce que J’ai dit. Nous parlons très simplement, nous nous adaptons à Marisella, qui est très simple et nous parlons avec simplicité; nous ne pouvons pas utiliser de grands mots pour lui parler, elle ne nous comprendrait pas.

Marisa - Je le crois. Tu me dis maintenant tout simplement que je suis une ignorante?

Jésus - Non, tu n'es pas une ignorante, ma fille, tu es simple et aimes les choses simples.

Marisa - Alors tu m'enlèves le catafalque? Ils s'éloignent maintenant en compagnie des anges.

La Madone - Mes chers enfants, c’est moi votre Maman. Votre sœur m’a vue en prière devant la Sainte Trinité. Vous avez reçu, vous aussi, la Sainte Trinité dans votre coeur, vous avez reçu Jésus Eucharistie. Je viens vous saluer, pour vous faire comprendre que je suis toujours avec vous et je vous remercie de ce que vous faites.

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. j’envoie un baiser aux petits enfants. Je bénis les malades en particulier. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Toi aussi, Marisella.

Marisa - J’aimerais voir que tu m'oublies, moi.

La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Vous avez mal aux genoux, mes enfants? Levez-vous. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Oh mon Dieu, tu as entendu Don Claudio?

Don Claudio - Oui, j’ai entendu.

Marisa - Tu as vu?

Don Claudio - Non, je n’ai pas vu Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa -C’est difficile de les distinguer les uns des autres, tu sais?

Don Claudio - Un avait les stigmates et un autre portait la colombe.

Marisa - Pourquoi représentent-ils Dieu avec une barbe et des cheveux blancs? Dieu n'est pas ainsi.

Don Claudio - C’est l’imagination des peintres.

Marisa - Ils ont des idées étranges.

Don Claudio - Beaucoup d'imagination. Nous devrions recommencer ..

Marisa - Recommencer? Je ne sais pas peindre, dommage.

Rome, le 11 février 1998, 17h40 (Message de la Madone)

Marisa -Tu es venue en premier?

Bernadette est venue, mais ne parle pas. Tu ne parles pas, mais je t’invite à prier pour nous. Va vers tous ceux qui sont au Paradis et prie pour nous tous, nous en avons tant besoin. La Madone t’a-t-elle paré du message que nous recevons? Jésus nous a donné un message, mais nous devons beaucoup souffrir à cause de lui.

La Madone - La Maman est ici avec Bernadette et avec toi. Elle prie pour toi, parce qu’elle sait combien ta souffrance est grande. Elle a peu souffert comparativement à toi, tu souffres beaucoup. Et maintenant, bien que j’ai apporté l’Eucharistie, je veux t’emmener avec moi au Paradis.

(Marisa chante en français avec la Madone)

Marisa - Tu chantes haut et tu me fais chanter haut aussi, mais je n'y arrive pas, est-ce que Bernadette arrive aussi à chanter haut comme toi? Je l’ai entendue, elle était plus ou moins à mon niveau. Que faisons-nous maintenant?

La Madone - Allons glorifier Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Jouis de ces heures au Paradis, mon enfant, parce que ce qui t’attend est très dur, très dur.

Marisa - Ecoute, …… Parce qu’ici on sent la différence.

La Madone - Mais tu dois rester sur la Terre. Je vous donne maintenant le message. Tu as parlé avec ta sœur Bernadette, tu as vu les autres saints et les âmes sauvées. Cela aurait été mon grand désir, mais surtout celui de mon Fils Jésus, de voir beaucoup d'âmes prier ici, surtout des malades, parce qu’il y en a tant et ils ne connaissent pas tous ce lieu. Mes chers enfants, merci de votre présence. C’est un grand cadeau que vous vous faites et que vous faites aussi à mon fils Jésus. Jésus a dit: "Quand c’est ma fête ou la fête de ma et votre Maman, il y a tant de fêtes dans l’année, venez si vous le voulez, ne venez pas si vous ne le pouvez pas". C’est à vous de voir. Bien sûr, si on travaille, on ne peut pas venir et vous ne devez pas vous faire de soucis à ce sujet. Je vous ai toujours demandé de faire la volonté de Dieu, de vous abandonner à Dieu, mais avec flexibilité. Ne vous créez pas de problèmes, ne vous pas procurez pas de souffrances quand il n'y en a pas.

Je vous ai enseigné à recevoir mon Fils Jésus en état de grâce, je n’ai jamais dit de le recevoir dans la bouche, dans les mains, avec un voile sur la tête ou non. Je n’ai jamais rien dit de tout cela. Je vous ai seulement priés, implorés avec tout l’amour d'une maman de recevoir Jésus Eucharistie en état de grâce. Ceux qui ne le reçoivent pas en état de grâce, continuent à commettre sacrilèges sur sacrilèges et tuent leur propre conscience. Vous non. Quand quelqu’un vous dit quelque chose d’autre, répondez avec calme et beaucoup d’amour: "La Madone nous a enseigné à recevoir Jésus Eucharistie en état de grâce". J’aimerais beaucoup vous parler de l’amour, de l’amour vrai, du grand amour, de l’amour envers tous, et surtout envers ceux qui vous font beaucoup souffrir, surtout envers ceux qui vous font souffrir volontairement. Je vous aime, mes chers enfants, j’aime tous les hommes, même ceux qui ne connaissent pas Jésus, même les prêtres qui ne croient pas en ma virginité. En quoi cela peut-il les intéresser? Qu’ils pensent à vivre en état de grâce. Je suis vierge avant, pendant et après. Combien de prêtres ne croient pas en ma virginité, combien d'êtres humains ne croient pas en la Madone, surtout en la Mère de l’Eucharistie. Vous pensez que je ne les aime pas? Si, je les aime comme mon Fils Jésus les aime. Nous avons dit: "Quand vous péchez, Jésus ne vous aime pas moins, mais revenez rapidement en état de grâce, n’attendez pas trop longtemps, parce que la mort peut arriver n'importe quand".

Je viendrai le 11 février pour les malades, dans les années à venir ce sera à vous d’amener ici les malades. Je sais qu’ils sont lourds, qu’ils fatiguent, qu’ils ne sont pas indépendants, mais aidez-les une fois par an, ce n'est pas beaucoup ce que je vous demande. Avez-vous l’impression mes chers enfants que la Maman vous demande beaucoup ? Est-ce trop de vous demander de venir ici dans ce lieu thaumaturgique? Répondez: est-ce que la Maman vous demande trop? Si la Maman vous demande quelque chose, c’est parce qu’elle vous aime et veut que vous soyez saints. Votre sœur a joui aujourd'hui de quelques heures de Paradis, de joie, d’amour, de chants, vous devez également y aspirer.

Tu vois, Marisella, que Bernadette est à genoux et prie pour toi, prie pour que tu aies la force d’accepter toutes les souffrances, parce que la souffrance infligée par les grands hommes est plus forte et plus douloureuse que celle résultant d'un coup de poignard dans le coeur. Moi aussi j’ai reçu des coups de poignard dans le coeur. Le plus difficile pour vous créatures, c’est d’aimer ceux qui vous font souffrir. Je sais que c’est difficile, mais je vous aiderai à arriver à aimer aussi ceux qui vous font souffrir. C’est pourquoi je vous ai apporté Jésus Eucharistie encore aujourd'hui. Il sera divisé en petits fragments, pour vous contenter tous. Voyez combien Jésus vous aime, combien la Maman vous aime, j’aimerais tant que vous vous aimiez vous aussi. Une petite recommandation de ma part: quand vous remettez les messages aux gens, parlez leur simplement, mais si voyez qu’ils se durcissent et répondent mal, saluez-les avec amour et soufflez leur: "Au revoir au Paradis!" Ce n'est pas facile, mais si je vous le demande c’est parce que Dieu vous donne de la force et vous aide à avancer. Qu’est que la Maman peut vous dire encore? Je vous ai dit tant et tant de choses. Dieu a donné tant de messages dans ce lieu thaumaturgique; vivez-les, mettez-les en pratique. Aimez ceux qui vous font souffrir, oubliez le mal qu’ils vous ont fait, même si ce dernier est cardinal. Essayez de l’aimer, même si ce sera un moment très dur pour vous deux; mais je suis avec vous.

Maintenant, Marisella, salue Bernadette.

Marisa - Adieu.

La Madone - Vous recevrez Jésus Eucharistie dans très peu de temps. Recevez-le dans un coeur pur et limpide. Si vous n'êtes pas en état de grâce, ne le recevez pas, il vaut mieux aller se confesser. Ne recevez pas Jésus si vous n'êtes pas en état de grâce! 'Merci, mes chers enfants, de mettre en pratique tout ce que la Maman vous a dit.

Viens ici, ma fille.

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je bénis tous ceux qui n'ont pu venir. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa Adieu.

La Madone - Fais attention parce que tout ton corps est lacéré, ne tombe pas surtout.

Marisa - Et toi veille à m’aider? C’est bon, adieu.

Tu me fais voir le Paradis, puis tu me renvoies ici. Qu’ai-je à faire ici?'Je ne fais rien, je ne suis bonne à rien, je n'en peux plus de ne rien faire.

La Madone - Courage, Marisella.

Marisella - Adieu. Elle est partie avec Bernadette.

Don Claudio - Nous avons Jésus Eucharistie.

Marisa - Elle nous a fait chanter.

Don Claudio - Nous l’avons entendu.

Marisa - Sa voix monte très haut; c’est bien qu’elle soit au ciel.

Don Claudio - Portons maintenant l’Eucharistie dans la chapelle, et adorons-la un peu, puis nous la donnerons à tous ceux qui sont présents.

Rome, le 12 février, 1998, 17h35 (Message de Jésus)

Marisa - C’est toi Jésus qui es venu. Ne me dis pas que la Maman a aussi la grippe? Tous ont la grippe ici. Pardon, Jésus, je suis émue, parce que c’est Toi qui es venu. Oui, j’en profite pour te recommander tous ceux qui se sont confiés à mes prières, surtout les malades, pas ceux qui ont la grippe, mais ceux qui sont gravement malades.

Jésus - Marisella, reçois-Moi d’abord.

Marisa - Je te vois si grand et si beau devant moi.

Jésus - Tu sais que lorsque j’apporte l’Eucharistie, tu dois la consommer, et aujourd'hui tu la consommeras avec mes prêtres. Courage, Marisella, je te l’ai apportée. Elève-la. C’est vraiment l’Eucharistie. Courage.

Marisa - Voici l’agneau de Dieu qui enlève les péchés du monde. Seigneur, je ne suis pas digne de te recevoir mais dis seulement une parole et je serai guérie.

Jésus - Dans l’Eucharistie, il y a mon corps, mon sang, mon âme et ma divinité. Quand mes prêtres parviendront-ils à comprendre que Je suis présent dans l’Eucharistie? Adorez cette sainte Eucharistie, même si les grands hommes veulent que votre sœur fasse immédiatement la sainte Communion. Je suis ici présent et elle me voit et voit aussi ma souffrance, parce que les hommes ne veulent pas se convertir. Dieu le Père a donné aujourd'hui une mission importante à votre sœur; elle devra écrire et parler à divers Présidents, pas seulement d'Italie mais du monde entier.

Don Giuseppe, Don Claudio et Marisa reçoivent maintenant la sainte Communion.

Don Claudio - Mais qu'y a-t-il ici? Regarde.

Marisa - Est-ce du sang?

Don Claudio - C’est du sang.

Marisa - Pourquoi du sang en est-il sorti? Pourquoi, Jésus? Nous prions tous. Pourquoi nous as-tu dit de la consommer, nous aimerions la faire examiner.

Jésus - Vous ne pouvez pas le faire encore, ce n'est pas encore le moment de Dieu, vous devez obéir à l’Eglise. Ils ont dit de la consommer et vous devez la consommer, faites-le par amour de votre Jésus, de votre Maman, par amour de ceux qui vous font souffrir.

Marisa - Attends, Jésus, nous en parlerons après, toi et moi. Tu es tout en blanc. As-tu seulement la tunique?

Jésus - Recueille-toi maintenant, ma fille, et reçois-moi dans ton cœur.

Marisa - C’est un sang doux. Jésus. Il est doux.

Jésus - Merci de votre présence, mes chers enfants. Ne vous effrayez pas quand je vous dis de prier aussi pour ceux qui vous font souffrir; Je sais, Marisella, que c’est très difficile, essaie de faire tout ce que tu peux faire. Il est très facile d’aimer ceux qui t’aiment, mais difficile d’aimer ceux dont tu sais qu’ils te trahissent, comme je l’ai fait avec Judas que j’ai aimé jusqu'à la fin et qui m’a trahi. Dieu te confie une deuxième mission; tu devras écrire à tous les Présidents.

Marisa - Jésus, de quels présidents s’agit-il ? Il y en a tant? Les grands?

Jésus - Bien sûr, Marisella, il n'y en a pas de petits.

Marisa - Moi qui ne suis pas bonne à parler en italien, je dois écrire aux présidents? Peux-tu attendre, Jésus, que je le demande à Don Claudio ?

Marisa - Demande tout simplement, ma fille.

Don Claudio - J’ai déjà compris. Ce n'est pas la première fois que tu écriras à des présidents.

Marisa - Qui sont ces présidents? Quels grands présidents ?

Don Claudio - Ce sont les présidents de différentes nations, du reste ce n'est pas la première fois que tu leur écris.

Marisa - Il m’a seulement fait écrire au président italien.

Don Claudio - Maintenant, aux autres également, à lui et aux autres, si j’ai bien compris.

Marisa - C’est inutile, Jésus, que tu attendes, de toute façon il dit comme Toi.

Jésus Mes chers enfants, je vous invite tous à prier pour votre soeur. Le mien, le tien ou le nôtre ou le leur ne doivent plus exister ici. C’en est assez de la guerre, de tuer les frères, les femmes et les petits enfants. La guerre n'est faite que pour le profit. Et l’on en revient à l’argent, les prêtres disent la messe pour l’argent et les grands hommes politiques font la guerre pour lui aussi. J’ai demandé à votre soeur en ne lui demandant pas de permission, d'écrire aux présidents. Ce sera très dur pour elle, mais cela ne fait rien, Moi et la Maman nous sommes avec elle. Du reste tu veux venir en haut avec Moi?

Marisa - Oui, je veux venir, mais sans souffrir encore, parce que je suis un peu fatiguée.

Jésus - Dieu m’a seulement dit que tu dois écrire. C’est le plus grand amour que l’on peut donner au frère ennemi. Je vous demande encore une fois, mes chers enfants, de prier pour cette nouvelle et grande mission. Ne vous attachez pas aux bagatelles, ne vous fâchez pas pour des riens, mais regardez plus haut vers le ciel Ne soyez pas susceptibles, et surtout ne soyez ni jaloux ni envieux des autres. Votre sœur a été choisie pour cette mission, la pauvre, justement elle qui est si mal, mais Dieu a voulu qu’il en soit ainsi et que sa volonté soit faite. Voilà, l’abandon total à Dieu.

Merci à ceux qui sont venus de loin. Toi, mon cher Don Giuseppe, tu peux faire beaucoup plus pour don Claudio. Entre-temps, prends le message, porte-le à tes frères, Tu dois le lire, le méditer et le mettre en pratique. Même si tu es un bon prêtre, fais tout pour le rester. Merci. Merci à vous mes chers Tiziana, Luigi, Stella et à vous tous ici présents. Et merci à toi, Marisella.

Marisa - Je ne sais pas si je dois te dire merci, parce que j’ai peur. Même si, tu es venu dans mon cœur, Jésus, et que tu sois là, je ne te cache pas que j’ai peur. J’ai l’impression d'être encore plus petite, plus écrasée; je ne sais pas parler, encore moins écrire.

Jésus - Recueille-toi maintenant, ma fille, ensemble avec les prêtres je vous donne ma bénédiction. Je donne un baiser au petit ministre extraordinaire, Jacopo, qui rêve aux angelots et à tous les petits enfants malades.

Marisa - La vois qui arrive aussi. Tu n’as pas la grippe? Non, pardonne-moi, cela m’a échappé.

La Madone - Je suis venue vous dire que je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Es-tu pressée ? J’aimerais te demander une chose. As-tu entendu ce qu’a dit Jésus? m’aideras-tu pour écrire ? Toi, tu sais écrire? Pardonne-moi. Don Claudio, la Madone sait écrire?

Don Claudio - Très bien.

La Madone - Nous en parlerons quand nous serons seules ce soir; n'est-ce pas, Marisella?

Marisa - Oui, oui. Merci, adieu, adieu.

Regarde, les anges l'entourent et l'emportent. Ils s'en vont tous.

Don Claudio, il fait sombre ici ? Don Claudio, si tu savais …

Don Claudio - Je suis au courant, j’ai compris.

Marisa - Mais tu es sûr que … Que je ne dise pas maintenant une énormité.

Don Claudio - Que dois-tu écrire ?

Marisa - Que je réfléchisse bien?

Don Claudio - Oui. C’est toujours ainsi dans l'histoire de l’Eglise, ce sont les petits qui écrivent aux grands.

Marisa - Et celui qui n'est pas bon?

Don Claudio - Tu seras aidée, ce n'est pas un problème. Sainte Catherine de Sienne ne savait pas écrire et pourtant elle s'est adressée aux Papes, cardinaux, évêques et aux puissants de la Terre.

Marisa - Je suis seulement Marisella!

Don Claudio - Sainte Catherine était analphabète, elle ne savait ni lire ni écrire, elle dictait et les autres, dont Raimondo da Capua son directeur spirituel, écrivaient au Pape et aux cardinaux.

Marisa - Alors tu écris et je suis tranquille. Non vraiment, Don Claudio, je ne suis pas bonne pour écrire à ce genre de personnes importantes.

Don Claudio - Ne te fais pas de soucis.

Marisa - Mais tu te rends compte, que je ne sais même pas comment ils s’appellent. Je ne sais pas non plus prononcer leurs noms. Comment s’appelle celui-là? Stein.

Don Claudio - Eltsine.

Marisa - Je ne sais même pas dire les noms.

Comment s’appelle celui de France? Mitterand?

Don Claudio - Non il est mort.

Marisa - Oui, je dois écrire à ceux-là?

Don Claudio - Oui, à ceux-là et à Scalfaro.

Marisa - Mais j’ai déjà écrit à Scalfaro, à Saddam Hussein aussi!

Don Claudio - A Saddam Hussein oui.

Marisa - Mais il est président?

Don Claudio - Non, c’est un dictateur.

Marisa - Je l'enlève.

Don Claudio - Non, tu ne l'enlèves pas.

Marisa - Ce n'est pas que j’ai peur de mourir, mais cela ne me plaît plus de souffrir.

Don Claudio - C’est juste aussi. Nous pouvons partir.

Rome, le 22 février 1998, 11h30 (Message de Jésus et de la Madone)

La Madone - Moi, la Maman, je vous ai apporté encore une fois l’Eucharistie. J’ai pris des hosties consacrées d'un tabernacle et je vous les ai apportées, mes chers enfants. Quand vous recevez Jésus, recevez-le dans un cœur pur. Parlez-lui et demandez-lui toutes les grâces dont vous avez besoin; Je vous dis encore une fois de demander la grâce que la célébration de la Sainte Messe soit de nouveau autorisée et que le pape fasse la volonté de Dieu. Continuez à faire cette procession pénitentielle pour la paix dans le monde. La télévision ne montre rien, par rapport à ce qui se passe vraiment dans le monde et en Italie, mais cela ne devrait pas vous décourager, au contraire, ceci devrait vous encourager à prier: mais aimez d’abord, aimez-vous tous.

(Jésus donne le message durant la procession)

Jésus - C’est ici mon tabernacle, mon lieu. Moi, Jésus Eucharistie, je me suis déposé sur des statues, des feuilles et aujourd'hui, sur cette petite statue de l’Enfant Jésus, parce que j’ai choisi ici mon tabernacle et que j’ai trouvé ici l’amour; continuez à aimer et à prier pour la paix dans le monde, la conversion de tous ceux qui vous sont proches.

Moi, Jésus, je veux que la Sainte Messe soit célébrée ici. Moi, Jésus, je veux que l’Eucharistie soit consacrée ici par mon prêtre. Moi, Jésus, je veux ici la Sainte Messe. Ceux qui ne veulent pas participer peuvent aller dans d’autres églises. Moi, Jésus, je veux que la Sainte Messe soit célébrée dans ce lieu saint et thaumaturgique.

Non, Marisa, tu ne peux pas parler maintenant. Je parle

Marisa - Puis-je seulement te demander ton aide? Aide-moi car je suis très fatiguée.

Jésus - Tais-toi et prie.

Marisa - Mais que devons-nous faire? Laisse-moi te le demander. Tu veux que la Sainte Messe soit célébrée ici, mais que diront les chefs de l’Eglise?".

(Jésus parle en secret à Marisa)

Jésus - N'est-ce pas le 8 mars la fête de Don Claudio? N'est-ce pas l’anniversaire de son sacerdoce?

Marisa - Jésus, parle directement à Don Claudio, fais en sorte qu’il te voit et dis-lui ce que tu veux parce que j’ai si peur.

Jésus - Mon enfant, n’as-tu pas foi en Moi ?

Marisa - Si.

Jésus - Mes chers enfants, priez tous pour que la volonté de Dieu soit faite. Dieu le Père veut que la Sainte Messe soit célébrée dans ce lieu thaumaturgique, mais les hommes d’eglise .....

Marisa - Pardon, Jésus, mais comment faisons-nous pour le savoir? Dieu veut que la Sainte Messe soit célébrée ici.

(La Madone donne un message à la fin de la réunion de prière)

Petite Madone, j’ai parlé à Jésus et il m’a révélé une très grande chose, mais je ne peux te cacher que nous avons très peur. Le moment est très difficile pour nous. A qui devons-nous obéir? A Dieu ou aux hommes? Je crois que Saint Pierre s'est trouvé devant la même décision à prendre. Petite Madone, que devons-nous faire? Aide-nous, parce que ce moment est très beau, mais dur également, et nous avons très peur.

Je désire te remercier pour ceux qui se sont sauvés grâce à toi, ont été guéris physiquement, se sont convertis et sont revenus à Jésus. Je te recommande tous les hommes, mais en ce moment, Petite Madone, aide-nous surtout, parce que nous ne savons pas ce que nous devons faire.

La Madone - Ne te fais pas de soucis, mon enfant, le Seigneur inspirera à ton prêtre ce qu’il doit faire. Il faut toujours obéir à Dieu et à l’Eglise. Obéissez au Pape et aux évêques qui sont unis au pape. Si les évêques sont unis au pape, ils aiment l’Eglise.

Mes chers enfants, je vous communique aujourd'hui encore une chose fort triste. Ils ont écrit que la permission de célébrer ici la Sainte Messe avait été retirée pour des motifs pastoraux. Et bien si vous êtes intelligents, vous devriez comprendre que pour interdire la célébration de la Sainte Messe, ils auraient dû venir ici parler aux gens, interroger les témoins et enquêter sur les événements. Mais est-ce que ces grands hommes d’eglise ont parlé à quelques uns d’entre vous ? Non! seulement ceux qui ont essayé de vous empêcher de venir dans ce lieu thaumaturgique. Quelqu’un est-il venu ici pour enquêter? Non! Quels sont donc ces motifs pastoraux? Ils n'existent pas. Ils disent avoir émis les décrets "après avoir entendu la commission", mais quelle commission? Les membres de la commission d’enquête sont venus ici, mais uniquement pour montrer votre sœur du doigt, la calomnier et la diffamer: Personne n’a rédigé de procès verbal. Ils ne l’ont pas interrogé avec respect, comme cela devrait se faire entre des créatures de Dieu. Ils se sont montrés très rudes envers elle. Dieu jugera sévèrement leur comportement. Ils ont tiré avantage d'une personne malade, alitée, pour la faire tomber dans un piège, lui faire admettre avoir dit des choses qu’elle n’avait jamais dites; et ce sont mes prêtres bien-aimés!

C’est pourquoi vous n’avez pas été interrogés et la réunion de la commission n’a aucune validité. Je ne suis pas seule à le dire, puisque l'évêque, aujourd'hui archevêque, Monseigneur Nosiglia, l’a également dit. La commission n’a rien fait. Elle n’a prononcé que des paroles très dures et que je ne veux pas répéter. C’est pourquoi Dieu dit que vous n'êtes pas soumis au décret. Vous avez pu aujourd'hui faire la sainte Communion, parce que les hosties ne sont pas arrivées dans les mains de votre sœur. Je les ai apportées et déposées sur la petite statue de l'enfant Jésus. Je suis venue avec les anges vous apporter l’Eucharistie dans ce lieu thaumaturgique. Pour cette raison vous n'êtes pas soumis au décret.

(Ceci s'est passé également maintes fois par le passé)

Rappelez vous ces trois choses:

- il n'y a pas eu d’enquête effectuée par ceux qui sont venus ici;

- la réunion de la commission n’a aucune validité;

- les décrets sont nuls et non avenus.

Rappelez vous également que, moi, Jésus, les anges et les saints, nous vous avons toujours apporté l’Eucharistie ici. Cela ne nous coûte rien de l’apporter. Pensez que même si tous les tabernacles du monde étaient vides, nous vous apporterions toujours l’Eucharistie, parce que Jésus est le premier et le plus grand prêtre. Même lui la prend toujours de tabernacles et l’apporte ici. C’est si facile.

Il n'y a ni jalousie, ni orgueil, ni arrogance entre nous. Il y a l’amour, seulement l’amour. C’est ce que la maman vous demande: amour, uniquement amour: chassez l’orgueil, l’arrogance, la jalousie, l'envie et la susceptibilité, parce que la susceptibilité entraîne parfois au péché. Chassez tous ces vices, cultivez l’amour, le grand amour, l’amour véritable, l’amour saint.

J’ai entendu Jésus ordonner au prêtre de célébrer ici la Sainte Messe et moi qui était déjà parmi vous, j’ai tremblé et pensé: "Pauvres enfants, à qui doivent-ils obéir?". Mais le message l'explique clairement.

Mes chers enfants, ceux d’entre vous qui viennent ici pour prier, écouter et mettre les messages en pratique, parviendront également à comprendre ce message, mais ceux qui ne viennent ici que par habitude, curiosité ou dans un mauvais esprit, ne le comprendront pas; alors il vaut mieux qu’ils n'y viennent pas.

Combien de fois ne vous ai-je pas dit: si vous ne comprenez pas le message, demandez au prêtre de vous l'expliquer. Moi aussi quand j’avais une décision importante à prendre, j’allais trouver mon époux Joseph, parce qu’il m'était supérieur en tant que chef de famille. Je lui demandais par humilité, non pas parce que je ne savais pas comment agir, mais pour faire ressortir le rôle de mon cher époux Joseph. Que faites-vous au contraire? Vous parlez entre vous, donnez des explications et comprenez de travers.

Mes chers enfants, je suis votre Mère et je dois donc vous donner ces doux avertissements. J’aimerais par ailleurs vous remercier de votre veillée de prières qui a beaucoup plu à mon fils Jésus. Vous n'étiez pas nombreux, mais bons. N'oubliez pas, si le sommeil vous prend, ne vous faites pas de soucis, parce que Jésus veille sur vous. Qu'y a-t-il de mal? Cela ne l’offense pas.

Courage, mes chers jeunes et mes chers adultes, soyez plus forts. Si quelqu’un vous répond rudement, ne l'écoutez pas, éloignez-vous et priez pour lui.

Adieu à tous, mes chers enfants.

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Messages de Mars 1998

Rome, le 1er mars 1998, 12h00 (Message de Jésus et de la Madone)

(Durant la procession)

Marisa - Jésus, je traîne la croix que tu as posée sur mes épaules et j’apporte l’Eucharistie. C’est exténuant de marcher comme cela, n'est-ce pas ?

Jésus - Oui, mais prions maintenant. Vous devez obéir à Dieu, uniquement à Dieu parce que les hommes d’eglise ne veulent pas comprendre votre mission et abusent de leur pouvoir: Le combat sera long et douloureux, mais je désire que le prêtre consacre et célèbre la Sainte Messe dans ce lieu thaumaturgique. Toi, mon enfant, tu vas devoir parler aux gens et leur dire combien il est important qu’ils comprennent votre mission et affrontent le combat, même si votre prêtre a fort bien expliqué la situation de l’Eglise et la vôtre.

Mes deux enfants bien-aimés, j’entends vos lamentations: Nous deux, petites créatures, si petites par rapport aux nombreux dirigeants de l’Eglise, devons-nous supporter tout cela? Oui, Dieu vous a choisis et vous devez faire progresser cette mission; même si la mort devait arriver, même si la très grande souffrance venait à vous tuer, vous devez continuer à la faire avancer.

Marisa - Est-ce qu’elle va tuer aussi Don Claudio ou moi seulement?

Jésus - Les grandes souffrances font mourir, mais vous ressusciterez ensuite comme Moi. Je désire avoir l’ange ici. (Jésus a voulu qu’un ange protège et défende le lieu thaumaturgique: il a donc demandé à ce qu’une statue soit mise dans le jardin).

Marisa - Jésus, aide-nous à la trouver, nous n'y sommes pas parvenus.

Jésus - Je désire que vous fassiez une grande fête le 8 mars prochain. Ceux d’entre vous qui ont décidé de rester avec le prêtre, doivent l’aider et lui faire fête. Je désire que ce soit une très grande fête et vous ne devez avoir peur de rien, parce que si ces gens frappent quelqu’un, ils frapperont seulement mes deux enfants bien-aimés; vous devez prier, souffrir et accepter quelques sacrifices.

Je vous remercie de la procession pénitentielle et surtout de la procession eucharistique. Courage mon enfant.

Marisa - Tu viens avec nous? Tu marches avec nous? J’ai tant de douleurs, Jésus, aide-moi, j’ai peur de ne pas y arriver. C’est bon, adieu.

(Après la distribution de la Sainte Communion)

Marisa - Petite Madone, je t’implore de rester longtemps, c’est dur pour moi de vivre sans te voir. Je te recommande tous ceux qui se sont confiés à mes prières.

La Madone - Marisella, regarde toutes ces âmes sauvées autour de moi, qui prient pour leurs parents, pour vous, pour tous.

Vous avez reçu mon fils Jésus. Vous avez vu une pluie d'hosties. Je ne sais pas si Dieu a décidé que ce sera la dernière fois, mais Jésus Eucharistie sera toujours présent parmi vous. Ceci est le moment le plus difficile dans l'histoire de l’Eglise. Le prêtre doit obéir à Dieu; à Dieu notre Créateur, à Dieu notre Sauveur, à Dieu notre Sanctificateur, à Dieu Un et Trois. Nous sommes ses enfants.

Mes chers enfants, vous voyez que la vieille histoire d'obéir aux supérieurs, même s’ils disent des choses inexactes, se poursuit depuis deux mille ans. Combien de saints, combien de personnes ont répété à leur supérieur: J'obéis, mais ce qu’il dit ou fait n'est pas juste.

Vous savez combien mon Padre Pio a dû souffrir à cause des autorités ecclésiastiques. Pour vous faire comprendre combien cette dernière période de l'histoire est difficile, je vous dis que votre prêtre souffre bien plus que Padre Pio n’a souffert, ce dernier était entouré de frères, de séminaristes et de laïcs, alors que votre prêtre n’a ni prêtres, ni confrères auprès de lui, il n’a que vous. Mes chers enfants, c’est les larmes aux yeux que je vous le dis, laïcs, adultes, et jeunes qui vivez ce grand moment de l'histoire.

C’est vrai que cette grande mission s’accompagne de grandes souffrances, mais si on ne souffre pas, on recule toujours et ceux qui ne doivent pas gagner, gagneront.

Il est parfois difficile d’aimer Dieu et de faire sa volonté, mais pensez-vous qu’il ne vous donnera pas sa force et sa grâce? Nous au ciel, nous avons tant fait pour que le pape et les supérieurs interviennent et disent quelque chose, Je vous ai envoyés à Saint Pierre avec la bannière de la Mère de l’Eucharistie. J’ai montré au pape l’Eucharistie que j’avais déposée sur la bannière et il l’a adorée. Trois mois se sont écoulés depuis ce 7 décembre et nous n’avons rien entendu.

Au contraire, un prêtre est venu ici, envoyé par… pour demander à votre sœur de s’immoler et de prier pour la santé du Saint Père. Elle lui a répondu: "J’ai toujours prié pour le Saint Père, mais il devrait lui aussi faire la volonté de Dieu et s’abandonner à Dieu le Père".

Tout le monde prie pour le Saint Père. Des millions et des millions de personnes prient pour le Saint Père: néanmoins ce prêtre est venu voir votre sœur pour lui adresser cette requête et elle lui a dit "oui", et ce "oui" signifie la plus grande souffrance.

Mes chers enfants, la Maman vous dit toutes ces choses parce qu’elle vous considère adultes. Vous êtes maintenant sur la voie de la sainteté, même s’il vous reste encore beaucoup de chemin à parcourir: Pour cette raison, ne pensez pas être déjà des saints. Vous devez également porter une part de la croix que porte mes deux enfants. Si ..... se convertit, tout sera plus simple, mais si ..... ne se convertit pas, mes deux enfants seront outragés, méprisés, calomniés et diffamés sous toutes les formes, mais souvenez-vous que la victoire est de Dieu!

Comment peut-on arriver à Dieu? Avant tout en aimant l’Eucharistie et en vous aimant les uns les autres. Avez-vous vu aujourd'hui cette pluie d'hosties? Elles sont arrivées par vagues, 10 d’abord, puis quinze, vingt et finalement toutes les autres. Votre sœur les a comptées, il y en avait beaucoup, il y en avait cent. Elles ont pu être divisées en quatre, puis données en communion à beaucoup de personnes. Mais les gens ne viennent pas ici, parce qu’on continue à les en empêcher et à leur répéter de ne pas y venir, en leur disant que ce lieu est démoniaque. Ils leur disent même en confession.

J’ai entendu des évêques dire à des âmes: "N'y allez pas, c’est un lieu démoniaque. Vous devez m'obéir parce que je suis votre évêque". Oui, ces gens ont offensé mes deux enfants bien-aimés, mais ils ont avant tout offensé Dieu et Jésus Eucharistie. Non seulement ils ne croient pas en Jésus Eucharistie qui apparaît dans ce lieu thaumaturgique, mais ils ne croient pas non plus dans l’Eucharistie qu’ils consacrent. Ces évêques en confession, ou en dehors de la confession, continuent à empêcher les âmes de venir dans ce lieu, en leur répétant: "Vous devez obéir à nous les évêques, aux prêtres et curés de vos paroisses"

Bien des prêtres ont dit après avoir lu les messages précédents: "Le prêtre et la voyante sont dans la vérité", mais aucun d’eux n’a eu le courage de passer un coup de téléphone et de dire: "Don Claudio, nous sommes avec vous et prions pour vous". Voyez-vous des prêtres dans l'entourage de Don Claudio? Non!. Vous souvenez-vous quand Jésus parla du Pain du Ciel et que les disciples ne le comprirent pas et s'en allèrent Jésus s’adressa aux Apôtres, alors que j'étais présente en esprit, et leur demanda: "Voulez-vous également m’abandonner?" et Saint Pierre répondit "Seigneur, où pourrions-nous aller ? Toi seul parles de la vie éternelle " (Jean 6, 67-68). Aujourd'hui, la Mère de l’Eucharistie vous pose la même question: "Voulez-vous également vous en aller? Voulez-vous également abandonner votre prêtre?" C’est à vous de répondre à cette question. Je ne vous cache pas que le combat sera très dur et la douleur très grande, mais pensez à prier et à offrir vos journées au Dieu Tout-Puissant, à Lui rien n'est impossible.

Si finalement .... ne se convertit pas, restez en paix: Nous au ciel et vous sur la terre, nous avons fait tout ce que nous devions faire. La maman vous recommande beaucoup d’amour: Avec l’amour on obtient tout, on embrasse tout, on arrive à Dieu. Je ne désire pas m'éterniser, parce que votre prêtre vous a dit tout ce qu’il devait vous dire. Son discours était très long et magnifique. Croyez-moi, il a tu les choses les plus douloureuses et les a gardées dans son cœur.

Je n’apparaîtrai pas à votre soeur pendant le carême, parce que Dieu lui demande de faire abstinence. Il lui demande de vivre la Passion tous les jours pour la conversion des grands hommes d’eglise, des hommes politiques, ainsi que pour les malades et ceux qui souffrent. Elle ne me verra que lorsque l’apparition sera pour tous, ce qu’elle a généreusement accepté. Je sais qu’elle compte les jours. Hier je l’ai entendu dire: "Combien de jours se sont écoulés?" et elle a dit pour elle-même: "seulement quatre, il en reste encore 36, 36 jours de passion, puis ce sera la résurrection. ".

Dimanche prochain, ce sera une journée de joie et de souffrance, mais vous devez rester auprès de votre prêtre. Ce sera ensuite une grande joie pour vous. Vous ne devez pas venir ici tristes, souffrants, abattus et préoccupés. Non, vous devez venir avec le sourire. Vous savez que mon cœur saigne, j’ai versé des lames de sang, mais je souris maintenant, parce que je suis ici devant vous.

Combien de personnes vivent autour de ce lieu thaumaturgique et ne viennent pas? Certaines ne croient pas, à d’autres les prêtres de leurs paroisses ont dit que ce lieu est démoniaque et que les personnes, en particulier celle qui dit me voir, sont possédées par le démon.

Oh si tout le monde était possédé comme mes deux enfants, vous devriez remercier Dieu, parce que vous auriez déjà le Paradis sur terre.

A vous les jeunes, je dis courage, ne vous laissez pas abattre, soyez prêts, montrez que vous êtes forts avec tous, mais toujours avec douceur. n’ayez pas peur de répondre: ceux qui ont peur ne sont ni avec Jésus, ni avec moi, ni avec le prêtre.

Beaucoup abandonnent le prêtre parce qu’il est seul et que vous êtes peu nombreux. Ils courent dans les endroits où il y a foule, où beaucoup se rassemblent et où viennent beaucoup d’autobus.

Malgré tout, le prêtre fait avancer seul une mission très grande. Il fait tout. Il prépare les réunions de prières et le catéchisme biblique. Il revoit les messages, corrige la ponctuation et les erreurs que votre sœur fait parfois en parlant, même si ce qu’elle dit est toujours compréhensible; il confesse; fait la direction spirituelle; écoute les gens, fait tout alors que le téléphone et la sonnette sonnent sans arrêt.

Lui, toujours lui, seulement lui! Ne vous êtes-vous jamais demandés: "Comment un prêtre peut-il seul faire avancer cette mission?

Pour lui peu importe qu’il y ait peu ou beaucoup de monde, il a toujours agi ainsi, même quand il n'y avait que cinq ou dix personnes et disait, "j’ai devant moi des âmes, des êtres humains auxquels je dois parler, tout comme s’il y en avait des milliers ou un million ou dix millions".

Et vous mes chers enfants qui le connaissez depuis si longtemps, vous savez fort bien qu’il ne recule jamais, même s’il n'y a qu’une personne.

Courage. Je vous en prie, consacrez cette semaine uniquement à votre prêtre. Je vous en prie: aidez-nous et aidez-vous.

Je vous remercie de mettre en pratique ce que je vous ai dit et de répondre à mon message qui est celui de Dieu.

Je veux maintenant bénir la statue de la Mère de l’Eucharistie et toi, Marisella, ne dis pas tout de suite qu’elle est laide

Marisa - Je n’arrive plus à la tenir, parce que je fais abstinence.

La Madone - Que fait Selenia près de toi ?

Marisa - Elle m’aide-

La Madone - Je bénis de tout mon coeur cette statue qui a déjà fait du bien à une famille et continuera de le faire et de donner des grâces.

Marisa - Je ne la regarde pas, sinon je dirai spontanément qu’elle est laide. Si tu es là et que je te vois si belle, comme faire pour dire que la statue est belle? Je n'y arrive pas.

La Madone - Oui, elle est belle, regarde-la.

Marisa - Tu es belle. Je l’ai dit.

La Madone - Courage, mes chers enfants, La Maman n'est pas au ciel ou loin de vous, elle est ici parmi vous et plaisante parfois. C’est si beau, n'est-ce pas Marisa ?

Marisa - Oui, tu as toujours plaisanté avec moi et même joué avec moi quand j'étais petite, mais depuis que je suis adulte, que de souffrances tu me donnes.

La Madone - Prions maintenant tous ensemble comme je vous l’ai appris, en vous donnant la main et en vous serrant les uns contre les autres. n’ayez pas peur, serrez-vous les uns contre les autres, tournez les yeux vers le ciel et dites avec moi: Notre Père....

Levez vos yeux encore plus haut et prions pour votre prêtre: Notre Père....

Prions encore pour que le Saint Père fasse la volonté de Dieu et s’abandonne à lui. Notre Père....

Aujourd'hui, je vous laisse encore l’Eucharistie, parce que vous devriez l’adorer pendant toute la semaine et prier pour la réunion d’amour et de paix, pour l’anniversaire de l’ordination sacerdotale de votre prêtre et la fête de son sacerdoce. Que ceux qui le peuvent viennent ici adorer Jésus Eucharistie.

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. j’envoie un baiser à tous les enfants.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 8 mars 1998, 10h30 (Message de Jésus et de la Madone)

Marisa - C’est une scène magnifique. Tous les anges et les saints accompagnent Jésus (la Sainte Trinité). Comment dois-je faire maintenant pour parler aux trois? Jésus, je veux te recommander tous ceux qui se sont recommandés à moi pour des prières et je te recommande Don Claudio en particulier.

La Madone - Agenouille toi aussi ma fille et prosterne toi en adoration devant la Sainte Trinité.

Marisa - Oh mon Dieu! La Madone, tous les anges et tous les saints sont agenouillés en adoration. Dois-je me mettre à genoux ? cela me fait mal, tu sais ?

Je t’adore. O Sainte Trinité.

Jésus - Nous, un seul Dieu en trois personnes, nous sommes venus ici pour vous bénir tous, un par un. Priez beaucoup parce que la bataille a commencé. Certains travaillent sous le manteau, d’autres avec sincérité, simplicité et liberté.

Marisa - Vous êtes beaux tous les trois, si beaux, vous êtes égaux.

La Madone - Maintenant que tu nous a adorés, mon enfant, relève toi et assieds toi parce que tu vas souffrir la passion. Ne te préoccupe pas de savoir si tu as tout donné à Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Courage, assieds toi.

Marisa - Je pensais que tu m’aurais un peu épargné aujourd'hui, mais si tu veux que je souffre, j'obéis, je fais tout ce que vous me dites de faire.

Jésus - Maintenant, nous glorifions Dieu, glorifiez vous aussi Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. La Mère de l’Eucharistie vous donnera ensuite le message. Au revoir mon enfant et courage.

Marisa - Tu souris aujourd'hui, moi aussi je cherche à sourire, mais c’est dur.

La Madone - Qu’il est beau ce cantique "Visage marqué par la douleur " (Note: cantique composé pour les 35 ans de sacerdoce de Don Claudio, fêtés aujourd'hui). Veux-tu me le montrer?

Marisa - Tout de suite. Oui, le visage marqué par la douleur est celui de Don Claudio.

La Madone - Lis-le, mon enfant.

Marisa - (Marisa lit le texte du cantique écrit et composé par Selenia) visage marqué par la douleur, âme débordant d’amour, yeux au regard réconfortant et sécurisant, paroles pleines de vérité, tu es prêtre pour toujours et pour toi il n'y a pas d’autre raison d'être....

La Madone - Gravez le premier vers dans votre cœur: Visage marqué par la douleur...., parce que la face de Jésus était aussi marquée par la douleur et c’est beau de ressembler à Jésus. Tous nos remerciements à celle qui a écrit ces paroles. Je sais qu’elle ne désire pas que les autres le sachent parce que Selenia est timide. Mais Marisella pourquoi ne pas dire les choses telles qu’elles sont ? Quand j’ai écrit quelques vers de poésie, j’ai dit, moi Marie Myriam je les ai écrits. Pourquoi ne pas le dire? Cela ne vous appartient pas, c’est un don de Dieu. Il a donné ce don à beaucoup d’entre vous.

Marisa - Veux-tu voir comment le poème est écrit?

La Madone - Marisella, je sais comment il est écrit.

Marisa - Regarde.

La Madone - Mais je l’ai vu.

Marisa - Attends, il y a également le nom. Je ne sais pas ce que je dois faire maintenant.

La Madone - Prends maintenant ton poème.

La Madone - Visage marqué par la douleur. Je te permets tout aujourd'hui parce que c’est une grande fête pour vous et pour nous au paradis. Nous fêtons ce visage marqué par la douleur, parce que Don Claudio est avec Jésus. Jésus est en lui et il est en Jésus. Combien de larmes devrez-vous encore verser, mais versez les par amour de l’Eglise fondée par Dieu. Oh l'église ne dépend pas des hommes, sinon elle aurait été détruite il y a bien longtemps. Quelqu’un est venu ici aujourd'hui pour contrôler. Ne te cache pas, avance, viens écouter ce que dit la maman, la Mère de l’Eucharistie. Il n'est nul besoin de se cacher. Jésus parlait devant tous la tête haute et quand il devait réprimander, il le faisait avec tous, mais avec amour. Pourquoi espionner? Pourquoi travailler sous le manteau, pourquoi ne pas être franc. Vous pouvez faire ce que vous voulez, même détruire ces deux enfants, mais Dieu est avec eux. Ne restez pas cachés, montrez vous, convertissez vous, agenouillez-vous devant Dieu.

Marisa - Oui, j’ai compris, mais tu dois nous aider. Même si je dois faire abstinence, aide-nous de même.

La Madone - Et maintenant mes chers enfants, prenez-vous par la main, serrez-vous les uns contre les autres. Même vous qui êtes venus pour contrôler, tendez la main, levez les yeux vers le ciel, criez et réfléchissez bien en disant "Délivre-nous du mal". Courage. "Notre Père qui .......

Mes chers enfants, merci de votre présence et de la solidarité dont vous avez fait preuve envers votre prêtre. Il ne désobéit pas, il n'est pas un rebelle comme certains le disent. Ce sont toujours les grands qui parlent dans le dos des autres, envoient, je ne dis pas des espions, mais les autres pour contrôler, mais pas ouvertement. Vous vous cachez, mais je vous vois, je vous vois aussi, mes chers enfants, et j’espère que votre venue ici comporte au moins votre con version.

Je ne veux pas vous affliger davantage. Malheureusement, c’est un moment difficile et la bataille a commencé. Je vous demande comme toujours de prier, de faire des sacrifices, de vous priver et de faire preuve de solidarité avec votre prêtre. Si vous croyez à mes apparitions, aux miracles eucharistiques, je vous dis, parce que Dieu m’a dit de vous le dire, que le prêtre est dans la vérité, qu’il n'est pas un rebelle et n’a jamais désobéi à l'église, mais qu’on l’a contraint, sans y parvenir, de désobéir à Dieu. Ils ont violenté sa conscience, son cœur et sa personne.

Dieu a dit "Je veux que la Sainte Messe soit célébrée ici", mais ces grands hommes ne l’acceptent pas, ne veulent pas croire que ce soit Dieu, que ce soit moi, la Mère de l’Eucharistie, qui l’ordonnent et ils y répondent par des lettres de menace, pleines de méchanceté et de vengeance.

Vous aussi, qui écoutez, qui êtes venus pour contrôler, dites que le prêtre est dans la vérité, qu’il a toujours été dans la vérité. Dieu le Père a voulu cette Sainte Messe.

Pourquoi supprimer la célébration de la Sainte Messe dans le lieu thaumaturgique? Regardez ce qui se passe dans les autres paroisses, regardez les autres prêtres. Que font-ils ? Ils vont de maison en maison, pas pour la mission civique (Note: le Vatican répand la parole de Dieu dans toutes les familles de Rome pour les préparer au prochain Jubilé; on leur remet une copie des actes des Apôtres et de l'évangile selon Saint Marc), mais pour parler de tout et de rien. D'un autre côté, il y a un prêtre qui s'occupe des âmes et est en butte aux attaques de tout le monde. Même les prêtres qui lui ont dit: Je ne vous abandonnerai jamais, Don Claudio, seule la mort nous séparera, l’ont trahi et lui ont tourné le dos. Pour finir, ces bons prêtres qui disaient l’aimer, ont abdiqué (renoncé à participer à une rencontre du Renouvellement de l'esprit). Jésus Eucharistie est présent ici et ils ne viennent pas.

Je dois répéter encore une fois, qu’ils n'ont rien compris. C’est bien triste pour moi, la Maman de devoir dire que mes fils ne comprennent pas. C’est triste parce que j’ai tout donné à mes fils de prédilection.

Vous les laïcs, vous avez compris, prié, fait des veillées de prières et preuve de solidarité envers le prêtre. Vous qui êtes venus de loin, vous avez montré votre amour pour le prêtre. Moi, la maman de tous les hommes, je vous bénis de tout mon cœur. J'intercéderai pour vous auprès de Dieu pour vos soucis, vos souffrances et prierai aussi pour votre guérison spirituelle et physique, mais toujours selon la volonté de Dieu.

J’ai dit à mes petits apôtres: Apprenez à faire la volonté de Dieu, mais apprenez également à vous abandonner à lui. Ce n'est pas bien de dire "oui" à Dieu, puis dans un moment difficile de lui tourner le dos. Dire oui à Dieu, signifie s’abandonner à lui, quoiqu’il arrive, que le soleil brille, qu’il pleuve ou que la mer soit démontée. C’est l’abandon total à Dieu, c’est le chemin du vrai chrétien, le chemin vers la sainteté. Je désire que chacun de vous devienne saint, mais vous avez encore bien des choses à corriger, vous mes chers jeunes, vous mes chers adultes et vous mes petits enfants. Vous devez tous arrondir les angles, éliminer la susceptibilité, l’orgueil et le désir d'être le premier. Soyez simples et humbles comme des colombes et prudents comme des serpents.

Fêtez aujourd'hui votre prêtre en ne jouant pas des coudes, en n'essayant pas d'être le premier, mais en vous aidant les uns les autres comme lorsque vous chantez tous ensemble et que votre maîtresse dit: sentez la présence des autres et ne chantez pas seulement pour votre compte. Je vous dis aussi de ne pas travailler pas seulement pour vous, mais tous ensemble. Glorifiez ensemble Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Unissez-vous pour rendre votre prêtre heureux et vous serez tous heureux. Tout est bien, sur le plan spirituel et matériel, quand on travail en commun, tout devient plus facile quand la souffrance est partagée, tout devient plus supportable quand il y l’amour.

J’aurais encore une chose à vous dire, qui fera probablement rire les jeunes: enlevez les mains de votre bouche. Ce n'est pas bien d’avoir les mains dans la bouche, d’en arracher les petites peaux. Ce n'est pas un signe de bonne éducation. La Maman vous le dit en plaisantant, mais cherchez à ne plus vous comporter ainsi. Ce n'est pas beau quand quelqu’un parle de voir les autres s’arracher ainsi de petites peaux.

Marisa - Tu connais tous nos petits et grands défauts. Mais sois bonne, sois vraiment une maman remarquable.

La Madone - Justement, je vous veux libres et sereins. Maintenant assistez et vivez la Sainte Messe qui est une messe de sacrifice et de souffrance. Laissez contrôler ceux qui sont venus ici contrôler. Il n'y a rien à cacher, mais convertissez-vous et croyez en l’Evangile.

Je bénis toutes ces petites statues de la Mère de l’Eucharistie et tous vos objets sacrés. Je bénis vos poèmes et le tien que tu n’as pas voulu lire

Marisa - Je peux te le lire seule, après.

La Madone - Je le connais.

Marisa - Nous l’avons fait ensemble. Zut alors, tu révèles tous mes secrets.

La Madone - Je vous bénis tous et donne un baiser aux enfants, à Jacopo, le petit ministre extraordinaire qui ne distribuera pas aujourd'hui la communion, à Davide Maria et aux autres enfants qui ne sont pas là, qui sont absents. La Maman vous bénit et vous donne à tous un baiser maternel. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Tous mes meilleurs vœux à Don Claudio de la part de tout le Paradis. Demain il y aura une apparition uniquement pour toi. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Certains se scandaliseront peut-être de la façon de parler de Marisella, mais elle a grandi avec moi; Entre nous il y a harmonie, parfois confidence et également mécontentement vis-à-vis de la maman. Elle ronchonne, je l'écoute, lui souris, l'embrasse et puis je m'en vais …

Marisa - Vers le Père ?

La Madone - Oui, je vais vers le Père.

Marisa - Ecoute, tu pourrais rester aujourd'hui toute la journée avec nous. C’est dimanche, c’est fête. Finalement si tu restais auprès de nous, nous aurions plus de force et ceux qui sont venus pour contrôler verraient que tu es avec nous.

La Madone - Mais ils ne me voient pas, Marisella.

Marisa - Tu pourrais au moins te faire voir du prêtre? Un petit bout de ton vêtement, un tout petit bout Tu le lui as promis depuis1990. On dit à Rome que l’on s'engage, lorsque l’on promet quelque chose, je ne sais pas comment on dit au Paradis. Oui, c’est bon.

Don Claudio, je lui ai dit de te faire voir au moins un petit bout de son vêtement. Cela l’a fait bien sourire.

Don Claudio - Je le crois. Nous verrons comment les choses iront prochainement.

Rome, le 15 mars 1998, 12h00 (Message de Jésus et de la Madone)

(Pendant la procession)

Jésus - Ne vois-tu pas mon sang dans l'hostie?

Marisa - Mais ceci est ta chair? Que devons nous faire?

Jésus - Obéir à Dieu, mes chers enfants, au Dieu de l’univers, au Dieu du Ciel et de la Terre. Tous les hommes doivent lui obéir et en particulier ceux qui ont reçu le sacrement de l’ordination.

Marisa - Pardonne-moi, mais nous ne savons plus que faire. Nous sommes ballottés de droite et de gauche et ne savons que faire, Jésus, crois moi.

Jésus - Continuez simplement à faire la procession eucharistique et pénitentielle et éloignez-vous de mes deux enfants, ne restez pas trop près d’eux, parce que je dois leur parler. Viens, viens, mon enfant, marche.

Marisa - Marches-tu avec nous ? Marches-tu à nos côtés pour nous aider? Aide-nous Jésus. Nous allons à la dérive, nous ne savons plus à qui obéir, qui écouter, nous ne savons plus que faire. Nous voulons vivre l’abandon total à Dieu!

Jésus, nous ne pouvons que Te porter, avec Ton corps, Ton sang, Ton âme et Ta divinité, en procession, nous ne pouvons pas faire autre chose. Que devons-nous faire ? Cela me fait mal, Jésus, descends au milieu de tous ces gens, parle-leur et dis-leur quelque chose. Nous ne sommes que de simples créatures. Si nous t’obéissons, ils nous accusent de désobéir. Si nous leur obéissons, Tu nous dis que nous devons t’obéir. Que devons-nous faire?

Don Claudio - Continuons à avancer avec la procession, prions, et que la volonté de Dieu soit faite.

Marisa - Ce n'est pas facile.

Jésus - Vous, hommes de la terre, qui êtes ici présents, mon petit troupeau, avez-vous compris dans quelle situation difficile se trouvent mes deux chers enfants? Ils se trouvent entre Dieu et les autorités ecclésiastiques. Je leur dis d'obéir à Dieu, mais s’ils obéissent à Dieu, les autorités ecclésiastiques retireront au prêtre tous ses pouvoirs, il sera suspendu a divinis. Si au contraire ils leur obéissent, il semblera qu’ils désobéiront à Dieu. Vous savez que mes deux enfants ne veulent désobéir ni à l’un ni à l’autre. Je vous le dis pour que vous compreniez, comme il est difficile, très difficile, de faire avancer cette mission de Dieu. Alors, courage, priez, ne vous lassez pas de prier. Je le répète encore une fois, ne regardez pas vos petites croix quotidiennes, qui sont si petites et inexistantes en comparaison de celles de ces deux enfants. Le Saint Padre Pio a beaucoup souffert, mais ils souffrent bien plus que lui, même si je dois dire qu’ils savent bien le cacher.

Marisa - Excuse-moi, Jésus, je veux seulement Te demander, à Toi présent dans l’Eucharistie, ce que nous devons faire, parce qu’au point où nous en sommes, il vaudrait mieux que nous allions en Amérique.

Jésus - Et ce petit troupeau que deviendra-t-il?

Marisa - Viens avec nous, je ne sais que te dire. Faisons quand même maintenant ce que le prêtre a dit de faire: prier et Te porter en procession. Mais fais venir également la Maman, sans elle je me sens seule.

Jésus - Ma présence ne te suffit pas?

Marisa - Si, mais la Maman est toujours la maman.

Jésus - Courage, avance, ma fille, je te donne la force de marcher, va, avance. Et chante, Selenia, chante, glorifie Dieu et fais chanter ce petit troupeau.

(Après la distribution de l’Eucharistie)

Jésus - C’est encore moi.

Marisa - Je disais à Selenia: "Jésus revient parce que nous chantons "Viens Marie"?".

Je vois aujourd'hui, Fatina, ma douce soeur, près de toi.

Jésus - Mes chers enfants, c’est moi votre Jésus que vous avez reçu dans vos coeurs. Je suis venu encore une fois, bien que quelqu’un désirait que la maman vienne.

Marisa - Je désirais la voir, non parce que je ne t’aime pas, mais parce que je suis un peu en colère et avec la Maman je peux m'épancher. Jésus, nous ne savons pas ce que nous devons faire. Nous sommes entre Dieu et les hommes d’eglise. Que devons-nous faire? l’un nous dit d'obéir aux hommes d’eglise et l’autre que l’on doit d’abord obéir à Dieu. Je sais que l’on doit d’abord obéir à Dieu, mais après ils se déchaîneront. Cela ne se dit pas? Mais je viens de le dire.

Jésus - Laisse-moi parler mon enfant, mon épouse bien-aimée, laisse parler ton Jésus.

Vous devez obéir à Dieu, même si les hommes d’eglise continuent à émettre des décrets sans valeur. Ces décrets sont sans valeur, parce que personne n’a été interrogé, ni vous mes chers enfants, ni la voyante, ni le prêtre. Je sais que c’est difficile pour vous, mais Je vous demande comme je l’ai demandé à votre soeur, de vous abandonner à Dieu. Demain beaucoup et beaucoup d'hommes d’eglise comprendront et constateront qu’on a fait violence à votre conscience. Même si vous avez obéi aux hommes d’eglise et non à Dieu, Lui ne vous en tiendra pas compte, mes chers enfants, parce que Dieu sait ce qu’il en est et leur laisse encore du temps pour se convertir.

Même aujourd'hui, des personnes envoyées par le Vicariat sont venues pour contrôler et Je leur répète ce que la Maman a dit (Note: dimanche dernier): venez et contrôlez, mais faites-le ouvertement, ne vous cachez pas, agenouillez-vous et convertissez-vous.

Mais que font-elles? Elles viennent ici pour contrôler et sont encore plus dures dans leurs affirmations contre vous, elles inventent carrément des choses pour se faire bien voir de celui qui commande. Et le pape ne le sait pas, il ne peut intervenir, il ne s'en occupe pas, parce qu’il est malade et doit partir pour l’afrique.

Ce n'est pas facile pour mes deux enfants d'obéir, parce qu’ils sont prêts à obéir à Dieu et aux autorités ecclésiastiques, mais pour les autorités ecclésiastiques Dieu doit également venir en premier. Où ont-ils mis Dieu, le créateur du ciel et de la terre, le grand Dieu de l’univers? Tous les hommes, même les grands hommes d’eglise, les grands chefs d'état, tout comme le pape, doivent obéir en premier à Dieu.

Je ne veux pas répéter ceci encore une fois, car je sais que cela fait beaucoup souffrir mes deux chers enfants. Mais vous, mon petit troupeau ici présent, vous avez maintes fois écouté le catéchisme et les explications que le prêtre a données avec une grande clarté et précision, parce qu’il a été enseignant. Il parle bien, posément et cherche à infuser dans vos âmes la vérité, la compréhension, l’amour, l'humilité, la sincérité qui est la base de tout pour bien vivre en communauté et en famille. Si la sincérité fait défaut, tout va mal

J’ai compris que vous avez oublié de faire la neuvaine pour mon papa Joseph et lui m’a dit gentiment: "Jésus ne dit rien, je sais que nos deux enfants font tant et même plus que le nécessaire. Ils donnent tout ce qu’ils peuvent et ils m’aiment. s’ils ont oublié de le faire, c’est qu’ils sont surchargés de travail. Ils sont fort occupés avec le Vicariat. Il a encore ajouté, je sais que le prêtre m’aime. Cet oubli est donc dû au fait qu’il est fatigué, chagriné et seul. Quand je dis seul, je veux dire qu’il n'y a aucun prêtre auprès de lui".

Merci, frère Gabriel d'être resté auprès du prêtre.

Je veux vous encourager à continuer à avancer, à suivre le chemin de la sainteté. Ce n'est pas difficile, si vous faites tout avec amour et avec de bonnes intentions, comme je l’ai dit jusqu'à présent. Voyez-vous comme le temps passe? Nous en sommes déjà au troisième dimanche de Carême et quelqu’un souffre la Passion, une passion très forte et très douloureuse, parce que Dieu le veut. Quand la passion arrive, croyez moi, mes chers enfants, il n'y a rien d’autre qui puisse aider mon épouse que de me recevoir en communion: Votre sœur a déjà reçu ce matin la Sainte Communion des mains de la Mère de l’Eucharistie pour avoir la force de descendre parmi vous.

Comme le mot le dit, la Passion est très, très douloureuse et quand les plaies ne s'ouvrent pas et que le sang ne s'écoule pas, elle est encore bien plus douloureuse. Je veux vous dire que Jésus vous aime tous, même ceux qui sont espiègles ou font des caprices comme les enfants. Ceci n'offense pas Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et Dieu le Fils. Vous devriez faire preuve de plus de souplesse dans la vie spirituelle. Si quelqu’un répond un peu rudement ou avec nervosité, il n'offense pas Dieu, parce que l’amour est en lui. Celui qui pèche volontairement, offense Dieu. Je vous invite à prier pour les non-croyants qui n'offensent pas Dieu, parce qu’ils ne le connaissent pas, et s’ils aiment leur prochain et leur Dieu, ils seront sauvés.

Ceux qui connaissent Jésus par le catéchisme, les réunions bibliques ou les apparitions et qui cherchent à mettre leurs connaissances en pratique dans la mesure de leurs moyens, seront sauvés. Mais c’est différent pour ceux qui ne connaissent pas Jésus, parce qu’ils ne veulent pas le connaître et que cela ne les intéresse pas, et ils me font souffrir.

Mon prêtre préféré, tu t’es accroché au tabernacle? As-tu vu la pluie d'hosties et combien il y en avait?! t’es-tu demandé pourquoi ? J’ai apporté l’Eucharistie pour en donner à tous ceux ici présents et vous donner de la joie. Cette pièce (remarque: la chambre à coucher de Marisa) est bénie par Dieu. Il nous envoie prendre l’Eucharistie de tabernacles et l’amener ici. As-tu remarqué que certaines de ces hosties sont plus fines, d’autres plus grandes et d’autres encore plus petites? Je suis allé les prendre avec votre Mère, les anges et les Saints. Dieu n’a jamais accompli un tel miracle nulle part ailleurs sur la terre et il se répétera. Le 8 mars, ces miracles eucharistiques auraient dû être les derniers, parce que votre prêtre aurait dû recommencer à célébrer quotidiennement la Sainte Messe. Il n’a demandé la permission de célébrer la Messe que pour l’anniversaire de ses 35 ans de sacerdoce, mais qu’ont-ils répondu ? Non, sans autre commentaire. Pensez-vous que cela soit juste? Après 35 années de sacerdoce, votre prêtre demande la permission de célébrer une seule fois la Sainte Messe et ils répondent "Non". Cela va être maintenant vraiment triste pour eux.

Les messages de Dieu sont très puissants, c’est pourquoi la maman m’a dit "Jésus, adoucis le message, n’afflige pas encore plus ces enfants qui viennent ici avec amour pour nous accueillir. Adoucis le message. La maman se fait du souci pour vous et c’est pourquoi elle m’a demandé d’adoucir le message qui aurait dû être encore plus fort, plus rigoureux, mais pas pour vous.

Mes chers enfants je suis ici et la Maman est maintenant aussi présente. Jacopo dit adieu à la petite Madone, elle t’aime, dis au revoir à Jésus. Tu as donné l’Eucharistie, petit et doux enfant.

Marisa - Si doux, ils sont tous fatigués.

Jésus - Il y a Davide Maria et Alessia; je veux voir la petite Barbara et tous les petits enfants. Vous comprenez aujourd'hui pourquoi Jésus a dit: "Si vous ne devenez pas comme de petits enfants, vous n'entrerez pas dans le royaume des cieux", les enfants font sourire et fatiguent. Il y a Davide qui pleure d'un côté et Jacopo qui parle de l’autre. Au revoir Jacopo, tu ne fais pas au revoir à Jésus ? Souviens-toi que tu dois toujours aimer.

Souvenez-vous que vous devez toujours vous aimer et je le répète encore une fois: aimez votre prêtre. Il peut être ici aujourd'hui, il peut se faire qu’il n'y soit plus demain, parce qu’ils peuvent aussi l'envoyer au loin.

Marisa - Jésus, je ne trouve pas cette plaisanterie appropriée aujourd'hui. Fais venir la petite Madone, j’aimerais lui parler. Veille à ce que je ne quitte pas Don Claudio, même s’il devient pape, je lui servirai de servante.

Jésus - Ou lui devrait te servir?

Marisa - Non Jésus.

Jésus - Marisella, reste calme! Ils peuvent également l'envoyer ailleurs, sans toi, sans ton soutien.

Marisa - C’est ma faute, je le sais.

Jésus - Ce n'est pas ta faute, mais tu en es la cause.

Marisa - Alors, que dois-je faire, Jésus ? Dois-je m'en aller ?

Jésus - Non ma fille, où veux-tu aller ? On t’aime ici, c’est le lieu thaumaturgique, le joyau de ma et de votre maman et la Sainte Messe reviendra ici; vous devez encore serrer les dents et faire preuve de patience. Vous, serrez les dents et toi, Don Claudio, accroche toi au tabernacle, serre le avec force.

Marisa - Pourquoi ne pouvons-nous pas nous accrocher au tabernacle?

Jésus - Il peut tomber.

Marisa - Mais, Tu souris et Tu cherches à nous consoler.

Jésus - Voyez-vous que Jésus cherche aussi à sourire avec vous, mes chers enfants? Il sourit avec les enfants, avec Jacopo, mais aussi avec vous.

Au revoir Jacopo, sois sage, mon enfant.

Marisa - Pour autant que cela soit possible, Jésus, tu as dit toi-même que les petits enfants ne sont pas calmes. Mais nous ne réprimandons pas Jacopo quand il est agité; comment rouspéter après un petit enfant? Si nous prions et que lui parle, nous devons l’accepter.

Jésus - Et toi pourquoi l’acceptes-tu?

Marisa - Pourquoi? Parce que j’aime les petits enfants.

Jésus - Courage, je sais que vous êtes fatigués de rester à genoux.

Marisa - Oui je le pense aussi, quelqu’un se tortille de temps à autre. Nous sommes fatigués de rester agenouillés. Ecoute, Jésus, puis-je te demander une chose. Du moment que je parle librement avec la Maman, j’aimerais également parler librement avec toi. Explique- moi au moins: à qui devons-nous obéir ?

Jésus - Mais Don Claudio l’a compris, ma fille.

Marisa - Tu réponds toujours que Don Claudio l’a compris, le pauvre, mais si tu étais à sa place, excuse moi, si je me permets de te le demander, à qui obéirais-tu ?

Jésus - J'obéirais certainement à Dieu.

Marisa - Et alors que devons-nous faire Jésus ? Dis-le par faveur, nous sommes fatigués.

Même les jeunes le sont, ils rient et plaisantent, mais ils sont amers intérieurement, les adultes aussi sont fatigués.

(Marisa se tourne de nouveau vers Don Claudio)

A qui devons-nous obéir ?

Don Claudio - A Dieu.

Marisa - Et ils nous enverront le décret.

Don Claudio - d’accord.

Marisa - Et après?

Don Claudio - Nous l'exposerons.

Marisa - L'exposer? Où?

Don Claudio - Dans la vitrine; c’est une belle vitrine et nous l'exposerons là.

Marisa - As-tu entendu, Jésus, ce qu’il a dit?

Jésus - Le moment est difficile. Maintenant je ne parle pas en tant que Dieu, mais en tant qu'homme. Faut-il obéir à Dieu ou aux autorités ecclésiastiques?

Marisa - Ils ne disent pas que c’est toi qui parles, mais que c’est nous et que les messages sont écrits par Don Claudio. Mais c’est toi qui les dis et tous l'entendent. Tu parles fort? Qu’ils t’entendent?

(Marisa montre le microphone à Jésus)

Parle dedans, parle fort, ainsi ils t’entendront tous.

Jésus - Marisella, mais ils m'entendent, ne te fais pas de soucis. Je parle aussi dans les coeurs.

Marisa - Tu ne veux pas du microphone ? Maintenant qu’est-ce que je fais avec ça ?

Jésus - Maintenant mes chers enfants, recueillez-vous tous, levez-vous, prenez- vous par la main et serrez-vous les uns contre les autres et Moi qui suis Jésus, Dieu, je prie aussi avec vous " Notre Père….

Voulez-vous bien réciter un autre "Notre Père "…lentement, très lentement ? C’est une invocation, une prière.

Mes chers enfants, ensemble avec votre prêtre je vous bénis ainsi que vos chers parents et vos objets sacrés.

La Madone - C’est moi, votre maman, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ. Allez dans la paix et la joie de Jésus Eucharistie.

Marisa - Quand reviens-tu ? Cette abstinence dure quarante jours. Combien de jours se sont-ils écoulés? Quinze, seize ?

La Madone - Courage, Marisella, je viendrai jeudi pour la Fête de Saint Joseph et dimanche. Allons, courage, courage.

Marisa - Oui, je voudrais, moi aussi, dire à tous ceux ici présents, courage, courage, courage.

La Madone - Signés du signe de la croix.

Marisa - Adieu, adieu. Nous avons chanté "Viens Marie" mais tu n'es pas venue, maintenant tu es encore là, mais nous devons rentrer à la maison; l'heure sonne, ici, sur terre et les gens doivent rentrer chez eux.

La Madone - Adieu, ma fille, merci pour ce que tu fais pour Jésus Eucharistie, merci également à toi, mon prêtre bien-aimé, ainsi qu'à vous mes jeunes et vous mes adultes.

Marisa - Adieu! Don Claudio, elle est partie, elle ne voulait pratiquement pas s'en aller.

Don Claudio - Je sais.

Rome, le 22 mars 1998, 12h00 (Message de la Madone)

Marisa - Tu es venue aujourd'hui? J’aimerais te recommander avant tout Don Claudio; Etant donné que Dieu t’a donné le message pour nous, tu sais fort bien dans quelle situation critique nous nous trouvons. Je te recommande, maman Samuela, ma chère soeur, je te la recommande de tout mon Cœur, ainsi que le petit Gianluca et ceux qui sont malades en esprit. Aide-nous.

La Madone - Merci de votre présence, mes chers enfants. Jésus Eucharistie est devant vous; du sang s'est encore écoulé de l'hostie pour le salut des âmes et la conversion des grands hommes. C’est le Cœur qui a tant aimé les hommes, même ceux qui l’ont flagellé et ont craché sur lui. Comme je l’ai déjà dit, l'histoire se répète, d’autres hommes qui aiment mon Fils Jésus sont flagellés aujourd'hui. Ce sont ceux qui ont reçu le don de Dieu qui doivent avant tout totalement s’immoler. J’ai dit bien des fois à votre soeur, comme mon Fils Jésus le lui a également dit, qu’elle trouvera la paix au Paradis et ne sera pas heureuse sur la terre.

Mes chers enfants, je vous demande encore des prières, des prières et des prières. Ce sera pour votre prêtre et votre soeur une semaine sainte de souffrance perpétuelle. Vous direz, comme c’est difficile d’aimer Dieu et d’aimer les autorités ecclésiastiques.

Mes deux enfants sont opprimés, Dieu pourrait intervenir, comme Il sait le faire, mais Il fait encore preuve de patience et mes deux enfants continuent à souffrir énormément.

Jésus a voulu montrer sa présence dans l’Eucharistie maculée de sang, soustraite à la profanation. Qui a profané la grande Hostie d'où sont sortis sang et sérum? Dieu pouvait ne pas faire ce miracle, afin de ne pas mettre en difficulté mes deux chers enfants, mais il a voulu le répéter et aujourd'hui encore ils se demandent: "A qui devons-nous obéir ?".

Même s’ils disaient "oui, nous obéissons", on les écraserait quand même. Vous ne savez pas que votre sœur a essayé de leur demander: "Si nous arrêtons tout, rendrez-vous à Don Claudio le droit de célébrer la Sainte Messe? et la réponse qu’elle a reçue a été un "non" sec. Pourquoi? Pourquoi cette forte....Je ne dis pas le mot, pourquoi tant de … à l'encontre de votre prêtre? Pourquoi toute cette lutte, pourquoi ce comportement inhumain? Ils pensent à comment ils pourraient écraser votre prêtre et excommunier votre soeur et n'ont pas compris ou ne veulent pas comprendre que Dieu est avec eux! Même s’ils doivent souffrir et s’immoler jusqu’au bout, Dieu sera avec eux.

Moi, la maman, je vous demande comme toujours des prières pour mes deux enfants, mais surtout pour la conversion de ces grands hommes. Je parle et ils m'écoutent eux aussi, ils entendent ce que je dis; ils ne viennent pas examiner ici, mais envoient des personnes le faire en secret; ici on n’a rien à cacher. Les grands hommes veulent tuer moralement et physiquement mes deux enfants. Dieu ne veut pas encore intervenir et attend la conversion de quelques uns d’entre eux.

Je vous ai dit une fois ce que Jésus a dit à ses apôtres: "Voulez-vous aussi vous en aller?" et je vous ai entendu répondre dans votre coeur: "Mais où irions-nous? Jésus a rendu ce lieu thaumaturgique".

Mes chers enfants, ces hommes ne veulent pas de dialogue ouvert entre père et fils, entre supérieur et inférieur, ils ne lisent même pas les lettres que leur envoient mes deux enfants, ils les ont mises de côté ou déchirées; ils envoient ensuite des décrets sans enquête ou interrogatoire, sans venir voir mon Fils Jésus qui a versé du sang. Ces décrets sont invalides.

Convertissez-vous, croyez en mon Fils Jésus Eucharistie, en la Mère de l’Eucharistie et aidez le prêtre de vos prières et de votre amour.

Hier une petite fausse note a troublé mon Coeur et celui de mon Fils Jésus; vous étiez tellement pris par vos propres problèmes que vous n’avez pas pensé que votre prêtre était et est cloué sur la croix. En dépit de sa grande souffrance, il s'est donné tout entier et a écouté tous ceux qui avaient besoin d’aide. J’ai entendu dire "le pauvre, le pauvre", mais ces mots ne s’adressaient pas au prêtre, mais à d’autres; aucun de vous n’a dit: "Pauvre Don Claudio, comme il souffre pour aimer totalement Jésus Eucharistie". Encore une fois, vous n’avez pensé qu'à vous-mêmes, à ce qui vous concerne, vous avez souffert pour les autres et n’avez rien donné au prêtre; vous l’aimez dans votre cœur, mais il faut parfois extérioriser son amour. C’est une caresse maternelle que je vous donne ainsi, mes chers enfants, essayez vous au moins de bien comprendre mes paroles; ce sont des paroles d’amour envers le prêtre, les adultes et surtout mes jeunes.

Dieu a décidé que cette hostie maculée de sang doit être mise avec celle que Dieu a envoyée il y a deux ans, parce que par le passé les grands hommes ont d’abord ordonné de consommer une grande hostie et dit ensuite: "Pourquoi l’avez-vous fait?".

Que doivent faire mes deux enfants? s’ils consomment l'hostie, on leur reprochera de l’avoir fait, s’ils ne le font pas, on leur reprochera d’avoir désobéi.

Mes chers enfants, vous ne pouvez pleinement comprendre l’ampleur de leur souffrance et combien de … il y a contre eux. Les sœurs, les mères supérieures et les curés ont commencé à aller se plaindre au Vicariat parce que le prêtre leur enlevait des âmes dans un quartier de 35000 personnes env.. Mais où sont ces âmes? Ils sont allés tous les jours dire du mal de lui, le diffamer et le calomnier. Je ne dis rien d’autre, que chacun médite ce que j’ai dit. Vous devez méditer le message et repenser aux paroles dites par la Maman. Le message est de Dieu, vous ne devez pas l’oublier. Mais vous l’oubliez et le prêtre doit toujours répéter, répéter et répéter; il explique si bien les choses que vous devriez vous en souvenir.

Devant Jésus Eucharistie qui saigne, la Maman vous demande pardon de vous avoir parlé ainsi, mais ce n'est que par amour envers tous.

Marisa - Tu nous fais un sourire? Tu souris un petit peu?

La Madone - Comment pourrais-je sourire, mon enfant, quand dans le deuxième millénaire on continue à flageller mon Fils Jésus? Ceux qui touchent au prêtre, touchent à mon fils Jésus, ceux qui touchent à une âme qui aime l’Eucharistie, touche à mon Fils Jésus.

Marisa - Mais nous t’aimons tous, nous sommes un peu faibles, mais nous t’aimons tant. Nous avons commencé la neuvaine pour le rendez-vous de Don Claudio au Vicariat. Pourras-tu rester près de lui et le protéger aussi physiquement? Son Coeur commence à faire des siennes par suite de ses nombreuses souffrances. Ne penses-tu pas qu’il en a trop? Il en a tant.

La Madone - Oui, mon enfant, mais c’est la volonté de Dieu. Vivez l’abandon à Dieu, abandonnez-vous complètement à lui.

Marisa - Alors, tu dois nous donner beaucoup de force, sinon nous n'y arriverons pas.

La Madone - Mes chers enfants, je vous ai donné beaucoup de force jusqu'à ce jour. Ne vous en êtes-vous pas rendus compte?

Marisa - En bref, moi pas beaucoup. Je te dis ce que je ressens, les autres répondront pour eux.

La Madone - Allons Marisella, je sais que tu as un gros chagrin, dis-moi ce que tu as.

Marisa - Oui, ce serait bien de vider tout ce que j’ai à l’intérieur. Je te le dirai ensuite en privé.

La Madone - Mais tu as l’abstinence.

Marisa - Oui, mais tu dois venir aujourd'hui.

La Madone - Regardez Jésus Eucharistie qui saigne. Pourquoi Dieu a-t-il fait ce miracle? Parce qu’il veut encore vous aider et vous faire bien comprendre que les autorités ecclésiastiques ont malheureusement commis une grosse bêtise. Il semble aujourd'hui que la bataille soit perdue pour mes deux chers enfants, mais la victoire viendra ensuite avec la joie et la paix. Toi, Marisella, tu ne jouiras qu’au Paradis.

Marisa - Ecoute, quand tu me dis que je n’aurai de la joie qu’au Paradis, cela signifie-t-il que l’on y va? Je ne sais pas s’il est correct de s'exprimer ainsi en italien, mais tu me comprends de toute façon, parce que j’ai peur de redescendre, pas tout en bas, mais au milieu. Est-ce que tu m'emportes?

La Madone - Mais tu dois encore souffrir.

Marisa - Encore?

La Madone - Marisella, même si Jésus est présent avec son corps, son sang, son âme et sa divinité, j’ai parlé et je t’ai laissé parler, mais maintenant tous ensemble avec la maman, regardez Jésus Eucharistie, approchez-vous et n’ayez pas peur de vous serrer les uns contre les autres, de vous encourager. Notre Père…

Mes chers enfants, merci de votre présence, merci de mettre en pratique ce que Dieu a dit dans ce message et priez, priez beaucoup.

Marisa - La Maman est auprès de l’Eucharistie et l’adore.

Don Claudio - Demande à la Madone si nous devons ouvrir aujourd'hui l’Eglise pour faire adorer Jésus Eucharistie.

Marisa - Il a dit ..

La Madone - Marisella, on dit: "Don Claudio a dit"-

Marisa - On voit que j’ai pris la mauvaise habitude de ces messieurs qui disent toujours:" celui-ci là, celui-ci là-haut". Pouvons-nous ouvrir l'église pour faire adorer Jésus Eucharistie?

La Madone - Faites adorer Jésus Eucharistie et priez pour ce rendez-vous qui sera très difficile, parce que ces personnes sans amour. Mettez ensuite cette Eucharistie avec l’autre. As-tu vu, mon enfant que du sang est sorti du côté du Christ pendant le Rosaire?

Marisa - J’ai vu Jésus cloué sur la croix.

La Madone - Oui, pour les péchés que l’on commet encore volontairement sur cette planète Terre.

Attends, mon enfant, Dieu me parle.

Marisa - Dieu te parle ainsi? Quand? Aux malades? Demain? Mercredi? Aux malades mercredi? Si on nous dit que nous devons la consommer aujourd'hui?

La Madone - Consommez-la aujourd'hui et ne vous faites pas de soucis. Priez maintenant, mais aimez surtout.

Marisa - Mais que Dieu t’a-t-il dit?

La Madone - Ce que Dieu m’a dit me concerne, quand c’est pour toi ou pour vous je le dis.

Marisa - Pardonne-moi, je ne veux pas savoir, mais comme tu m’as dit "Attends, Dieu me parle", je pensais que c'était pour nous. Bien sûr comprendre un peu nous ferait plaisir. Si on nous dit de tout fermer, que devons-nous faire?

La Madone - Ce n'est pas leur maison, celle-là au moins vous appartient. Je continuerai à venir, ainsi que Jésus, les anges et les saints. Veux-tu aussi fermer la grille pour moi ?

Marisa - Mais tu ne dois pas ouvrir la grille pour entrer.

La Madone - Je voulais te faire sourire, Marisella.

Marisa - Je voulais t’abord te faire sourire et maintenant c’est toi qui veux me faire sourire ?

La Madone - Courage, avancez en serrant les dents.

Marisa - Et ceux qui n'en ont pas?

La Madone - Continue à t’accrocher au tabernacle, même si l’Eucharistie n'y est pas, parce que Jésus Eucharistie est toujours présent dans ce lieu thaumaturgique.

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés.

Je bénis surtout les malades. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Chantez un beau cantique à Jésus et gardez un silence absolu tant que l’Eucharistie ne rentrera pas dans mon joyau, la petite chapelle.

Marisa - Quand tu viens près de moi, je te parle mieux.

Adieu. Elle est partie.

Rome, le 26 mars 1998, 17h40 (Message de la Madone)

Marisa - Pourquoi es-tu triste? J’aimerais te recommander toutes les personnes et ne te dis rien d’autre. As-tu senti le tremblement de terre? Nous, oui. Ne parles-tu qu'à moi?

Oui! Parce que les temps sont arrivés?

Que dois-je faire? Il me semble avoir tout donné. Pourquoi n'essaies-tu pas de nous dire quelque chose de beau? Je ne te demande pas de nous retirer la souffrance, mais de … Oui, mais que dois-je faire? Ne me fais pas souffrir la passion cette nuit, je n'y arriverai pas.

La Madone - Mes chers enfants, je vous invite à prier pour la conversion des pécheurs. Plus le temps passe et plus le nombre des pécheurs augmente, parce qu’ils ne pensent qu'à s’accrocher aux biens matériels et non à Dieu. Personne ne se rend compte que les temps sont proches et quand quelque chose arrivera, il sera trop tard pour se convertir. Dieu a donné beaucoup de temps et continue encore à en donner parce que sa miséricorde est immense, mais n'oubliez pas que la justice de Dieu viendra ensuite.

Je viens parmi vous pour prier et je vous apporte chaque fois un message qui peut aussi se répéter, je me répète comme le font toutes les mamans de la terre. Dieu veut que je parle ainsi et m'envoie avec tous les anges pour vous aider; mais les hommes non seulement ne se convertissent pas, mais essaient par tous les moyens à détruire le don de Dieu et peuvent aussi y réussir, mais ce sera finalement la victoire de Dieu et la vôtre.

Les vrais dons de Dieu sont facilement piétinés, pratiquement usurpés dirais-je, volés avec force et les hommes de la terre oublient ce que mon Fils Jésus a fait pour eux.

Pourquoi l'homme est-il aussi dur? Pourquoi est-il ainsi opposé aux belles choses de Dieu? Si Dieu fait un don, où est le mal? Où est la méchanceté? Dieu fait tout cela parce qu’il vous aime, mais il y a actuellement une grande lutte contre l’Eucharistie, parce qu’elle n'est pas aimée. Je vous ai déjà dit que certains prêtres célèbrent la Messe par habitude ou profit et ne croient pas que le corps, le sang, l'âme et la divinité de mon Fils Jésus soient présents dans l'hostie. Oh mes chers enfants, les prêtres qui croient dans l’Eucharistie sont fort peu nombreux. Vous ne devez pas pour cela les condamner, mais je vous invite à prier pour eux.

Je vous ai déjà dit de prier pour les prêtres, afin qu’au moins quelques uns d’entre eux se convertissent. Je demande l’aide de vos prières et de votre amour. Ne les jugez pas parce qu’ils sont mes fils bien-aimés, même s’ils ne répondent pas à l’appel; priez beaucoup pour eux avec votre cœur. Je suis triste, Marisella, parce que je vois tant de choses dans le monde qui ne vont pas, cela empire, toujours plus. Il y a des hommes qui s'efforcent de faire le bien, mais avec la tête et pas avec le Coeur. Je vous demande de tout faire avec le cœur, par amour et dans la grâce de Dieu. Le sang qui s'est écoulé de l’Eucharistie, soustraite à la profanation, est de mon Fils Jésus, mais les hommes n'y croient pas.

Mes chers enfants, je vous ai préparés à tout ce qui devra arriver. Nous sommes avec vous, Jésus et moi sommes avec vous, les anges et les saints sont avec vous. Ne perdez jamais confiance en Dieu, ayez toujours une grande confiance en Lui, même si en ce moment, il semble comme tu le penses Marisella, que Dieu aussi vous ait abandonnés.

Marisa - Je l’ai pensé.

La Madone - Non, Dieu n’abandonne personne. Je vous ai dit bien des fois: "ne posez pas tant de pourquoi, vous ne pouvez répondre à tous les pourquoi, mais ayez confiance en Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit". Quand Jésus, moi, les anges et les saints apportons l'eucharistie, nous le faisons afin de vous faire pleinement comprendre que nous sommes avec vous. Quand vous faites la communion et que vous recevez mon Fils Jésus dans votre cœur ne soyez pas pensifs, mais parlez Lui, frappez et dites-Lui, comme tu le dis, Marisella, "Bouge, Jésus, parce que je suis pressée".

Marisa - Puis-je dire quelque chose? Si j’ai parlé ainsi, c’est parce que nous sommes aussi fatigués de souffrir. Nous avons toujours des souffrances, des souffrances et encore des souffrances.

La Madone - Je t’ai dit, Marisella, que ton bonheur sera au Paradis.

Marisa - Mais je veux comprendre si l’on y va au Paradis. (Disloque entre la Madone et Marisa)

La Madone - Mes chers enfants, je vous invite à prier pour ceux qui sont abandonnés, les personnes âgées et les enfants que l’on jette si facilement. Oh, vous avez tant à prier, il suffit de regarder autour de vous, mais vous ne devez pas pour cela négliger votre travail. Offrez votre journée à Dieu, mon Tout, Dieu grand, saint, bon et miséricordieux. Faites tout pour son Amour. (Marisa se lève et un nouveau miracle eucharistique se produit).

Marisa - Voici l’agneau de Dieu qui enlève le péché du monde. Est-ce qu’une autre hostie est arrivée? Il y en a combien?

La Madone - Oui, Jésus est encore venu aujourd'hui.

Marisa - Est-elle profanée? Je dois la consommer maintenant. Mais il y en a trois. ll y en avait d’abord une, puis deux, puis trois.

La Madone - Elles sont pour les deux prêtres et pour toi, mon enfant.

Marisa - Voici l’agneau de Dieu qui enlève les péchés du monde. O Seigneur, je ne suis pas digne de te recevoir, mais dis seulement une parole et je serai guérie.

(Marisa donne les hosties en communion aux prêtres présents: Don Claudio et Don Giuseppe).

Celle-là est profanée.

Que devons-nous faire avec l'hostie qui a saigné?

La Madone - Faites encore demain l’adoration, puis le prêtre fera ce qu’il sait devoir faire. n’aie pas peur mon enfant, tu trembles trop et tu es troublée. Jésus sait ce qu’il fait.

Marisa - Je voulais te dire que même avec Jésus dans mon coeur, j’ai très peur des réactions du Vicariat. As-tu vu que lorsque le cardinal récite le Saint Rosaire, je prie avec lui? Mais j’ai si peur que … Que ferai-je ensuite?

La Madone - Pense à aujourd'hui, le passé est dans les mains de Dieu et demain est un autre jour. Ne dit-on pas ainsi?

Marisa -Tu es maintenant encore plus belle qu’avant. Nous t’aimons tant et aimons tant Jésus, mais nous nous sentons, je te l’ai déjà dit une fois, comme de gros ballons, ballottés de gauche à droite. Tu connais les ballons?

La Madone - Tu vois, Marisella, tu dois comprendre que je suis triste parce que les prêtres ne viennent pas à ces apparitions si importantes et si grandes, et ne viennent pas non plus voir les grands miracles eucharistiques. Les laïcs qui ont peur et n'ont pas appris à faire entrer Jésus dans leur cœur et à Lui parler ne viennent pas là où il y a des miracles eucharistiques. Les prêtres profitent malheureusement de cette ignorance.

Marisa - Tu as dis que nous devions en parler, devions aimer, je ne sais pas si j'y parviens, mais je prie pour eux.

La Madone -Bien sûr que tu dois prier pour eux, tu as donné ta vie pour le Pape, pour tous les prêtres et l’Eglise. Que fais-tu maintenant, tu te retires?

Marisa - Non, non, mais nous aimerions savoir quelque chose de plus, si c’est possible, si Dieu le Père le veut. Qu’on nous dise quelque chose de plus, pas seulement nous faire sentir le tremblement de terre.

La Madone - Courage, mes chers enfants, priez et aimez. N'oubliez pas: apprenez à aimer, et puis priez. Don Giuseppe, affiche aussi cet enseignement et vous, mettez-le dans vos maisons. Ces quelques mots dits par Jésus, embrassent toute l'histoire de l’Eglise.

Ensemble avec les prêtres, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Puis-je te dire une chose, j’ai vu que tu es encore là ? Tu nous dis quelque chose ? Je n’ai pas bien compris.

La Madone - C’est maintenant la rencontre biblique, Marisella, Jésus Eucharistie est exposé.

Marisa - Adieu.

Don Claudio je n’ai pas réussi à apprendre quoi que ce soit. Je lui ai demandé de me dire quelque chose à demi voix, mais elle m’a dit; "Jésus Eucharistie est là". Elle est rusée hein?

Don Claudio - Il faut s’abandonner à Dieu.

Marisa - Qu’en dis-tu, nous le ferons?

Don Claudio - Oui?

Messages d’avril 1998

Rome, le 5 avril 1998 - 19h 35 (Message de Jésus et de la Madone)

Jésus - Moi, Jésus, je suis le premier prêtre, le grand prêtre, le prêtre éternel et j’ai apporté des petites hosties dans ce lieu thaumaturgique. Cela ne me coûte rien d'ouvrir un tabernacle, d'y prendre les hosties consacrées et de vous les apporter.

Moi, Fils de Dieu, Moi, Dieu le Fils, Deuxième personne de la Très Sainte trinité, j’ai fait ce que le Dieu Tout Puissant m’a dit de faire et aucun homme de la Terre ne pourrait m'empêcher de faire ce que j’ai fait. Ce n'est pas un culte. Je suis Dieu et je peux faire tout ce que je veux, je peux vous faire triompher, mes chers enfants, vous qui vivez dans la vérité. Ceci ne signifie pas que les autres vivent dans le mensonge, ils montrent seulement qu’ils aiment Dieu à leur façon et n'ont pas peur de l’au-delà, mais la mort arrive pour tous et alors on versera des pleurs sur vos prêtres et vos enfants.

Votre soeur m’a supplié de ne pas apporter l’Eucharistie, je l’ai fort bien comprise et j’ai éprouvé de la peine et de la tendresse pour elle, mais Moi qui suis Dieu, je ne pouvais pas ne pas l’apporter ni m’arrêter devant les hommes. Ceux qui me renient trouveront finalement celui qui les reniera. Ne me reniez pas, ne reniez pas l’Eucharistie. Aimez-la.

N'écoutez pas ce que disent ceux qui ne m’aiment pas, mais priez beaucoup. Je suis venu personnellement m’apporter. Alors que tous dormaient et que la nuit était silencieuse, entouré de la lune et accompagné des anges, je suis entré dans cette petite chapelle, le petit joyau de la Maman et Je m'y suis déposé avec mon corps, mon sang, mon âme et ma divinité. Il ne coûterait rien aux grands hommes d’eglise de croire, mais ils ne le font pas par peur que les âmes ne viennent prier ici dans le lieu thaumaturgique.

Ce n'est pas que ce ne soit pas vrai, mais pour une petite Madone qui verse des larmes de sang, beaucoup sont accourus. Elle n’a versé que des larmes et les gens s'y rendent. Personne ne dit rien, aller la voir ne demande pas de sacrifices, ne provoque pas de querelles entre évêques et prêtres, mais l’Eucharistie que J’ai apportée ou qu’a apportée la Mère de l’Eucharistie ne s'y trouve pas. Là aussi il y a l’Eucharistie, mais le triomphe de l’Eucharistie est ici, il se répète et le pain descend chaque fois du ciel.

Combien de mensonges n'ont-ils pas dit pour se défendre; n'en arrivez pas là, mes chers enfants, restez loyaux, francs, sincères et simples. Pardonnez à ceux qui font volontairement souffrir, petits et grands. Ils vont encore se déchaîner, parler les uns avec les autres, se réunir pour dire du mal de ce lieu, et non pour prier ou enseigner. Ils parleront de cette Eucharistie qu’ils ont qualifiée de "phénomène de foire", de "morceau de pain" ceci est très grave. Ils ne sont jamais venus pour analyser, examiner et parler à quelques uns d’entre vous, ils n'ont fait que condamner. On peut même être le plus grand évêque, le plus grand homme de l’Eglise, mais si on dit du mal, calomnie et diffame sans examiner, connaître ni voir et condamne ceux qui témoignent de la vérité, sa situation devient très grave! La souffrance est grande pour toi, mon cher prêtre bien-aimé et pour vous tous qui le suivez, mais c’est l'heure de se décider: ou l’on est avec Jésus et Marie, la Mère de l’Eucharistie ou contre eux. A vous de choisir.-

Lisez maintenant la Passion et méditez-la. Aujourd'hui, dans le deuxième millénaire, l'histoire de Jésus se répète. Faites la procession. Jésus vous demande de vous aimer.

Certains sont venus pour contrôler, mais ne jouez pas leur jeu. Il n'est pas nécessaire que vous vous fassiez reconnaître, mais convertissez-vous. C’est Jésus qui vous demande de croire en l’Evangile et en tout ce qui triomphe dans ce petit lieu thaumaturgique! Ne colportez pas de faits mensongers ou déformés afin seulement de paraître grands aux yeux de vos supérieurs. Devenez petits, agenouillez-vous devant Moi, Jésus Eucharistie, croyez en l’Evangile, croyez au grand miracle que Dieu opère chaque fois dans ce lieu!

Continuez avec votre office. Je suis avec vous avec toute la cour céleste. Courage, Marisella, n’aie pas peur, tu es avec ton Jésus.

Marisa - Je sais, mais malheureusement il arrive chaque fois tant de choses affreuses.

Jésus - Tu vas maintenant souffrir la sudation, mais Je suis avec toi, ma fille, mon épouse bien-aimée. Mes deux chers enfants, vous portez la palme du martyre. Votre souffrance est grande, parce que plus la mission est grande, plus on souffre. Vous, mes jeunes, avancez, suivez les pas de votre prêtre, parce qu’il suit les miens. Glorifiez tous ensemble Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et Moi, Dieu le Fils.

(Après la distribution de l’Eucharistie à ceux qui sont présents)

La Madone - Mon et votre Jésus vous a déjà donné le message. Je suis venue pour me réjouir et crier avec vous: "Hosanna au fils de David!". Lève les mains, Don Claudio, et crie "Hosanna, Hosanna, Hosanna"; La Maman vous remercie de votre présence, de votre solidarité et de votre amour. Les temps sont durs et difficiles, la souffrance est grande, mais par elle on devient fort. Combattez avec charité, amour et force. La souffrance n'est pas donnée pour rien, mais pour vous fortifier.

Mes chers jeunes, la Maman vous remercie encore une fois.,

Courage, avancez, mes chers enfants, en criant encore Hosanna, Hosanna au fils de David. La Maman vous remercie de tout son cœur de votre présence, et ne finira jamais de vous remercier. Allez par les rues et prêchez à ceux qui vous parlent mal que la vérité est ici, qu’il n'y a ni fanatisme ni culte de la personne en ce lieu, mais uniquement l’amour, cet amour que tant de grands hommes ne veulent pas comprendre.

Je vous aime mes chers enfants, même ceux qui font souffrir mon Fils Jésus, qui croyant frapper le prêtre, frappent mon Fils Jésus. Maintenant que vous avez reçu Jésus Eucharistie dans votre coeur, qu’il a Lui-même apporté dans ce lieu thaumaturgique, allez dans la joie et la sérénité. Ensemble avec mon cher prêtre bien-aimé, qui a reçu la palme du martyre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. j’envoie un baiser aux petits enfants et au petit Jacopo.

Marisa - Il reçoit beaucoup de bénédictions et puis il est toujours pas bien, le pauvret. Cela m’a échappé, mais je devais te le dire parce que je te dis ce que j’ai dans le coeur.

La Madone - Moi aussi, Marisella. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Hosanna, hosanna, Hosanna au Fils de David. Répétez-le avec la Maman: Hosanna, Hosanna, Hosanna au Fils de David.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa -Tu nous as donné aujourd'hui l'Hosanna, nous donneras-tu demain la crucifixion? Fais-nous respirer un peu. Nous souffrons tant tous les jours. Nous donneras-tu encore la crucifixion?

Adieu.

Don Claudio, elle est partie. Je lui ai dit qu’elle nous a donné aujourd'hui l'Hosanna et qu’elle nous donnera demain la crucifixion.

Rome, le 12 avril 1998, 11h00 (Message de Jésus et de la Madone)

Marisa - Jésus, tu es tout rayonnant et lumineux. Je t’ai vu lors de ta résurrection, alors que je me trouvais avec la Maman. Jésus j’ai beaucoup de monde à te recommander. Entends-tu quand ils téléphonent pour que je te les recommande?

La Madone - Je suis ici maintenant, mon enfant, je lis dans vos coeurs et vous accorde les grâces dont vous avez besoin. Lève-toi et fais tout ce que la Maman te dit de faire.

Marisa - Moi, Marisa?

La Madone - Oui, viens, ne t’inquiète pas, fais ce que te dit de faire la Maman, la Mère de l’Eucharistie.

Marisa - Je viens. Mais il faut que tu m’aides, toi tu as tous les anges pour t’aider.

La Madone - Mes chers enfants, je lis dans vos cœurs, mais priez pour la paix dans le monde, dans l’Eglise et pour que le Saint Père fasse la volonté de Dieu. Votre prêtre a fait la volonté de Dieu, il est très courageux.

Marisa - Les anges m’aident.

(La Madone fait prendre à Marisa un lys, une rose, un épi et du brouillard vivace (de la gypsophile) du bouquet de fleurs qui se trouve sur l’autel.

Ecoute, petite Madone, cela signifie voler des fleurs. Tu dois être patiente avec moi parce que je ne suis pas très agile.

La Madone - Fais-toi maintenant donner la clé du tabernacle et ouvre-le.

Marisa - J'ouvre le tabernacle.

(Marisa ouvre le tabernacle dans lequel se trouvent une grande hostie et beaucoup de petites)

La Madone - Prends maintenant l'hostie, mon enfant.

Marisa - Mes mains tremblent, sainte petite Madone, parce que tu me fais faire de ces choses. Regarde, regarde.

Don Claudio - Est-elle profanée?

Marisa - Non. Elle est maculée parce que j’ai touché les fleurs.

Mais il y en a tant! Je fais comme tu me dis de faire, mais si elles tombent?

(Marisa pose les hosties prises du tabernacle sur le lys et d’autres hosties en sortent, quelques unes tombent par terre)

C’est une pluie d'hosties? Il en sort tellement, Don Claudio. Il y en a tant et tant.

Jésus - n’attendez-vous pas le message? Je vous ai apporté un message de paix. Recevez-moi maintenant en état de grâce. C’est un grand miracle, un grand don que Dieu a voulu faire à tous ceux qui sont en état de grâce. Que ceux qui ne sont pas en état de grâce ne reçoivent pas Jésus Eucharistie. C’est un grand don et toi, Marisella, tu pensais que je ne viendrais pas aujourd'hui. Pourquoi ne devais-je pas venir?

Marisa - Je ne sais pas.

Jésus - Préparez-vous maintenant à me recevoir. J’ai voulu que la Maman prenne un lys, une rose et un épi et comme il n'y avait pas de raisin, j’ai fait prendre du brouillard vivace (gypsophile) comme vous l’appelez. N'est-ce pas votre symbole?

Marisa - Toutes les petites hosties sont sorties de cette grande hostie. Comment ont-elles fait pour en sortir? (Elle est tournée vers Don Claudio)

Jésus - Sois béni, mon fils, pour la force et le courage que tu as eu de ne pas me renier. Tu t’es battu et tu ne m’as pas renié et ils t’ont frappé de suspense a divinis pour cela. Mais qui sont-ils? Ton sacerdoce est éternel, aucun homme de la terre ne peut te l'enlever. Reste patient et confiant.

Merci de ne pas m’avoir renié, de ne pas avoir renié la Mère de l’Eucharistie et de tout ce que tu as fait pour l’Eglise et les hommes. Merci, Don Claudio, ne me renie jamais. J’ai confiance en toi, j’ai très confiance en toi.

Agenouillez-vous maintenant et priez avec le prêtre. Que ceux qui ont commis de petits péchés véniels demandent avec beaucoup d'humilité "Miséricorde, mon Dieu, miséricorde, aie pitié de moi". Que ceux qui ne sont pas en état de grâce ne reçoivent pas l’Eucharistie, mais aillent d’abord se confesser.

Marisa - Est-ce que je les donne au prêtre?'

Jésus - Distribuez avant les grandes hosties.

Rome, le 19 avril 1998, 11h20 (Message de la Madone)

Marisa - Tu es venue avec tous les anges et les saints?

La Madone - J'étais déjà présente lors de la bénédiction des alliances. J’ai demandé à les bénir pour donner exemple et témoignage à tous. Que celui qui s'occupe du site internet relate tout ce qui s'est passé ce matin et mette aussi une photo de groupe.

Jacopino, sois bon, trésor, je sais que tu ne vas pas bien. La Maman te bénit et t’envoie un baiser. Jacopo, tu ne vois pas où je suis? Fais bonjour à la Maman.

Mes chers enfants, je suis venue parmi vous pour bénir ces jeunes. Ce serait si beau si les jeunes comprenaient l'élan d’amour pur et vrai. Tout est lié au jour de la Sainte Pâque quand j’ai fait prendre le lys, l'épi, le raisin et la rose; c’est votre symbole et il se lie à cette rencontre qui a été repoussée pour des raisons humaines. Dieu avait choisi la date du 12, jour de la Sainte Pâque, jour de la Résurrection de mon Fils Jésus. Ce qui s'est passé ici est très grand aux yeux de Dieu et devrait être grand aux yeux des hommes. Cette humble et simple cérémonie devrait servir d’exemple et de témoignage à tous. Vous les parents, parlez de cette bénédiction à vos jeunes, je sais que c’est très difficile de leur parler, surtout si leur cœur n'est pas ouvert à Jésus Eucharistie. Vous devez ouvrir votre cœur à Jésus Eucharistie parce que cela vous aidera à l’ouvrir à tous les hommes de la Terre.

Mes chers enfants, mes deux enfants souffrent énormément, mais dans leur cœur, sur leurs lèvres et leur visage, même s’il est marqué par la douleur, comme le dit la chanson, il y a aussi la joie de se battre pour la gloire de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Si le prêtre est parfois fatigué, souffre plus que d'habitude ou n'est pas comme vous souhaiteriez qu’il soit, acceptez-le. N'oubliez pas que sa souffrance dépasse celle de tous les saints, qu’elle est immense, gravez bien dans votre cœur que cette souffrance tue. Donc si vous le voyez parfois un peu épuisé, frustré, même si ceci n'est pas arrivé, excusez-le, soyez compréhensifs avec lui, soyez ses enfants. Qui a souffert comme lui?

Ils l’ont fait souffrir sachant qu’ils le faisaient souffrir. Ils ont dit: "Je me vengerai et je l'écraserai". Ce sont de fortes paroles qui consument, mais il est serein, comme vous devez l'être vous aussi et s’il trébuche parfois, aidez-le, donnez-lui la main, ne le critiquez pas, ne soyez pas prompts à contrôler chacune de ses petites actions! Vous avez même contrôlé si votre soeur portait son anneau à la main gauche ou à la main droite, parce que vous avez pensé que si elle le portait à la main gauche, elle était mariée et à la droite non; mais l’anneau qu’elle porte est celui du Saint rosaire. Vous savez qu’elle est l'épouse de Dieu. Vous devez venir ici pour prier, aimer, aider. Même mes deux enfants peuvent trébucher, pourquoi pas? Ne sont-ils pas de chair et de sang comme vous ? Personne n'est parfait, n'est saint, attention je ne dis pas aucun homme de la terre, mais aucun saint jouissant maintenant au Paradis n’a autant souffert que mes deux enfants. Quand quelque chose vous fait souffrir, pensez à leurs souffrances et vous vous sentirez plus forts pour continuer, accepter.

Jésus est ressuscité, criez "Alléluia, alléluia, alléluia!". Il est ressuscité et n'est pas loin de vous, là haut dans le ciel, dans les nuages, non, Il est ici, parmi vous. Je suis ici parmi vous. Vous devriez être heureux et vous réjouir que Dieu ait choisi ce petit coin de Paradis; ne regardez donc pas les petites choses humaines qui vous arrêtent dans la vie spirituelle, regardez si ce que dit votre prêtre est beau, grand et vous aide à être unis à Dieu et au Pape: ne vous arrêtez pas à des détails qui peuvent aussi faire souffrir. Je vous répète encore une fois: si vous n’apprenez pas à aimer, vous ne pouvez pas bien prier.

J’adresse mes voeux à ceux qui fêtent aujourd'hui leur trente neuf ans de mariage, Madame et Monsieur Ferruti, beaux, heureux et contents et surtout à ces jeunes qui ont donné aujourd'hui exemple et témoignage. Cela peut sembler être une petite chose, mais je le répète, il s’agit d'un exemple et d'un témoignage très grand et noble aux yeux de Dieu, Ce sera à eux de marcher, de s’aimer dans la sincérité, la simplicité et la pureté de l'âme. La Maman souhaite à tous ceux ici présents, un saint dimanche et un saint colloque avec Jésus que vous avez reçu dans votre cœur. Marisella, montre-moi la lettre.

Marisa - Vois, je suis en extase à t´écouter et alors… Attends. Nous avançons toujours avec les lettres. Tu l’as lue, mais nous aimerions avoir ton approbation.

La Madone - Combien de fois Jésus ou moi, nous vous avons dit que ces lettres pourraient convertir, mais si ceux qui les lisent n'ont pas la grâce de Dieu, ils ne se convertiront pas. n’attendez pas trop, parce que ceux qui sont bons les accepteront mais resteront silencieux, ceux qui ne croient pas ne les accepteront pas et ceux qui croient auront peur. Comment un cardinal peut-il avoir peur? Il ne perdra sûrement pas son poste. Peu de membres du clergé ont montré leur solidarité avec le prêtre, alors que beaucoup, beaucoup, beaucoup de laïcs, même à l'étranger, prient et font célébrer des saintes messes, non seulement pour le prêtre et la voyante mais aussi pour vous qui faites partie de cette communauté, ils vous sont solidaires et ont compris tout le drame.

C’est une très longue histoire que vos enfants liront un jour. Mais réjouissez vous maintenant de la Résurrection de Jésus, de la Sainte Eucharistie et du témoignage qu’ont donné ces jeunes. Et toi, mon cher prêtre bien-aimé, tu fais tout cela parce que tu espères la conversion de tes confrères. Fais ce qui est possible de faire, mais n’attends rien et si des conversions ont lieu ensuite, nous en remercierons Dieu; tu as déjà sauvé beaucoup, beaucoup, beaucoup d'âmes. Courage, ta croix est lourde, mais Jésus et la Maman de Jésus sont là pour la porter et si tu le veux, je ferai aussi intervenir les anges et les saints

Marisa - Oui, nous aimerions que tu les fasses tous intervenir pour nous aider à porter notre croix, parce que personnellement je n'en peux plus!Tu les fais tous intervenir?

La Madone - Prions maintenant tous ensemble pour le clergé, pour votre prêtre, pour les jeunes qui se sont unis aujourd'hui et doivent vivre leur amour jusqu'à la fin, toute leur vie; seule la mort devra les séparer.

Ouvrez les bras, donnez-vous la main, serrez-vous les uns contre les autres et criez avec moi: Notre Père….

Mes chers enfants, merci de votre présence. J’attendais encore d’autres personnes, beaucoup d’autres personnes qui devraient être solidaires du prêtre, mais elles ne sont pas venues. Vous ne devez avoir peur de rien.

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. j’envoie un baiser aux enfants. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Tous mes vœux à ceux qui feront fête ce soir.

Marisa - Tu sais tout, on ne peut rien te cacher.

La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Don Claudio, ils l’ont emmenée.

Messages de Mai 1998

Rome, le 1er mai 1998 - 19h35 (Message de Saint Joseph, de la Madone et de Jésus)

Marisa - Jésus et Joseph accompagnent Marie. C’est aujourd'hui une grande fête au Paradis, mais nous sur la terre, nous de la terre, nous avons fait une petite fête

La Madone - Je suis venue, Marisella, mais c’est à mon époux bien-aimé de donner le message de Dieu.

Marisa - Je veux te recommander les enfants qui ont fait leur première communion; Simon, Gabriele et aussi le petit Gianmarco. Je te recommande Jacopo, Giovanni et tous ceux qui se sont recommandés à mes prières. La Madone et Jésus se placent derrière Joseph qui prend maintenant la place centrale pour donner le message de Dieu. Comment fais-tu pour parler au milieu des anges et des saints qui continuent à chanter?

Saint Joseph - Comme tu t’isoles de la Terre, pendant l’apparition, je m’isole moi aussi d’eux pour vous parler, mes chers enfants. Je suis triste que vous ne soyez pas nombreux. Le mois consacré à ma chère épouse, mère, soeur, a commencé et j’aimerais tant que vous intensifiez beaucoup, infiniment les prières. Les messages de Dieu concernent la prière, parce qu’avec elle et surtout avec la grande prière que sont la Sainte Messe et la sainte communion, vous arriverez à la conversion. Ils m'ont fait l'honneur de vous remettre ce message humble, simple, adapté aux petits et aux grands.

La grande prière! Priez! Il est si nécessaire de prier pour vos frères qui disent être proches de Jésus Eucharistie, mais en sont loin. Priez et aimez.

Les messages sont maintenant toujours les mêmes, Dieu a dit tout ce qu’il devait dire: la conversion, l’amour, la prière, le miracle eucharistique et la grande prière, la sainte Messe. Jésus Eucharistie a triomphé bien des fois et son triomphe a causé bien des soucis aux hommes d’eglise. C’est pourquoi j’ai apporté aujourd'hui une hostie profanée à votre soeur. Je l’ai apportée pour que vous compreniez combien il est important de prier et elle souffrira encore la passion pour cela, afin que ces âmes ne profanent plus l'hostie.

Jésus et la Madone ont dit une fois: s’ils profanent l’Eucharistie, cela signifie qu’ils y croient; si l’on ne croit pas en quelque chose, on n'en parle pas. Quand ils blasphèment contre Dieu, c’est parce qu’ils croient, s’ils profanent l’Eucharistie c’est parce qu’ils y croient et leur péché est encore plus grand et l’offense qu’ils commettent n'est pas envers les hommes mais envers Dieu. Pensez qu’après près de deux mille ans, les hommes continuent à profaner l’Eucharistie, à maltraiter les hommes dans le but d'offenser Dieu. C’est pourquoi je vous invite encore une fois à prier. Je n'ose pas vous dire qui prend l’Eucharistie pour la profaner, parce que ce péché est très grave. Je vous invite seulement à prier.

Mon épouse bien-aimée a pris l’Eucharistie, après sa profanation - c’est pourquoi elle exhale un parfum céleste - et a voulu l’apporter ici, dans ce lieu thaumaturgique. Combien de fois les mêmes hommes crient d’abord "hosanna" et puis "crucifiez-le"? Ils agissent ainsi par esprit de vengeance, mais savez-vous à quoi conduit la vengeance? à la calomnie et la diffamation. Cela commence par la jalousie qui conduit à l'envie, puis l'envie à la médisance, la calomnie, la diffamation, la profanation, la vengeance contre l'homme et contre Dieu.

Marisa - Je ne veux pas les voir.

(Le Seigneur fait voir à Marisa les prêtres qui profanent l’Eucharistie)

La Madone - Mes chers enfants, c’est la Maman qui vous parle. Chaque jour mon coeur et celui de mon fils Jésus sont transpercés, poignardés. C’est pourquoi, je répète souvent: "Aimez Jésus Eucharistie, aimez-le de tout votre coeur, même pour ceux qui ne savent pas l’aimer, et surtout qui ne veulent pas l’aimer".

Jésus - C’est moi Jésus, votre Jésus, et toi, Marisella, tu me vois triomphant, et non souffrant. Je t’ai enseigné à me voir triomphant sur la croix, comme je veux vous voir, triomphants, sur la croix. Moi, Jésus, je te dis, Marisella, de donner la sainte communion au prêtre, fais que ce soit à lui de la faire, puis je t’en dirai la raison en secret.

Marisa - Je la lui donne maintenant.

Jésus - Dieu veut que tu vives la passion en réparation de ces très graves péchés commis contre l’Eucharistie.

Mes chers enfants, ici réunis, commencez la prière, une chaîne de prières pour la réparation des Messes noires et de la profanation de l’Eucharistie. Commencez une chaîne de prières! Je vous invite à bien faire le mois de Marie, ce mois consacré á ma Maman. Venez à moi à travers la Maman et j’entrerai volontiers dans vos coeurs s’ils sont limpides et purs. Courage, nous sommes ici et nous vous regardons, même si vous n'êtes pas nombreux, même si tous ne répondent pas, mais nous vous voyons du Ciel et regardons dans vos coeurs qui doivent toujours être purs et limpides. Et comme je vous l’ai enseigné, aimez-vous toujours.

Marisa - Tu me donneras ensuite la passion, doucement, doucement, quand nous serons seuls. Pas maintenant, c’est mieux après. Viendras-Tu aussi tous les jours, Jésus?

Jésus - Tu me verras, si je viens, tu ne me verras pas, si je ne viens pas.

Marisa - Nous parlons ainsi aussi sur la Terre, tu sais?

Jésus - Je donne maintenant la main à mon papa Joseph et à ma Maman Marie. Donnez-vous aussi la main et dites avec Moi, en levant les yeux vers le ciel: Notre Père....

Tous mes voeux, mes chers enfants, bon mois de Marie, avec ma et votre Maman.

Moi, Jésus, ensemble avec le prêtre, la Maman et Joseph, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis les enfants qui ont reçu Jésus et le petit Jacopo.

La Madone - Et moi, votre Maman, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Tu ne dis rien d’autre Joseph? Dois-je t’appeler Joseph ou Saint Joseph?

Saint Joseph - Appelle moi Joseph.

Marisa - Tu ne dis rien?

Saint Joseph - Je dis, loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu à tous.

Don Claudio, Jésus, Joseph et Marie étaient présents et ils ont tous les trois parlé un peu. Au moment du Notre Père, Jésus a étendu les bras et pris Joseph et Marie par la main, puis ils ont récité tous ensemble le Notre Père. Ils étaient beaux, si beaux. Ils ont parlé les uns après les autres et Jésus a donné sa bénédiction avec le prêtre, la Madone et Joseph. Puis la Madone nous a couvert de son manteau et serrés sur son coeur. Alors j’ai dit à Joseph: Tu ne dis rien? Je ne savais pas comment l’appeler. Il m’a dit: appelle-moi Joseph. Je l’ai dit et il a dit: loué soit Jésus Christ. Que c’est beau! Pourquoi les gens ne se réjouissent-ils pas de ces choses au lieu de se poser tant de questions? Pourquoi ne disent-ils pas: Nous ne le voyons pas mais nous sentons quelque chose dans notre coeur? Ils doivent sentir quelque chose dans leur coeur, car il est impossible de participer à une apparition, même si seulement moi je vois et ne rien ressentir. Je suis sûre que même les athées ressentent quelque chose dans leur coeur.

Don Claudio - Les bons et les simples ressentent quelque chose, mais pas les orgueilleux et les hypocrites.

Marisa - Les grands non, les petits oui.

Don Claudio - Les grands qui sont bons ressentent quelque chose.

Marisa - Mais ce sont toujours les petits qui meurent et souffrent.

 

Rome, le 2 mai 1998, 19h35 (Message de la Madone)

Marisa - Tu es déjà là?

La Madone - C’est moi qui suis venue aujourd'hui parce que l’on fait le mois de Marie en l'honneur de la Mère de l’Eucharistie.

Marisa - Je veux te recommander tous ceux qui sont malades, Giovanni, Domenico, Tiziano,. Stefano et Maria. Je ne te fais pas la liste, parce qu’ils sont nombreux à demander l’aide de Dieu.

La Madone - Puisque vous ne chantez jamais l'hymne à l’amour, récitons le ensemble (On récite le Magnificat). Merci de votre présence, mes chers enfants. Mon époux bien-aimé Joseph vous a parlé hier avec mon Fils Jésus et je suis ici aujourd'hui en compagnie des anges, des saints et des âmes sauvées.

J’aimerais tant vous faire comprendre la grande importance des messages de Dieu; vous devez les lire et les mettre en pratique. On ne peut pas lire le livre des messages comme un livre quelconque. Les messages doivent être lus et médités et il est facile de le faire, parce que les prêtre les a très bien expliqués et commentés, en en faisant chaque fois un poème. C’est pourquoi nous n'en parlons pas beaucoup, parce que c’est au prêtre de parler et d'être toujours à la première place.

Il y a tant besoin de prières. Un grand nombre de cardinaux et d'évêques connaissent ces apparitions: certains n'y croient pas, d’autres y croient, mais elles ne les intéressent pas, d’autres encore y croient mais ont peur. Même des cardinaux de 80 et 90 ans ont peur de dire qu’ils croient aux apparitions et qu’ils désirent y participer. Ces raisons ne conviennent pas au royaume des cieux. Ceux qui ont peur ne peuvent pas aimer et ceux qui croient mais ne veulent pas perdre leur position, ne peuvent pas aimer Jésus.

Mais de quoi les prêtres et les religieuses ont-ils peur? De ma présence qu’ils ne voient pas ? De Jésus Eucharistie qu’ils voient? Ces petites hosties font peur aux grands hommes, parce qu’ils n’aiment pas. Ceux qui aiment, n'ont pas peur, ils sont dans la vérité et prêts également au sacrifice, à la souffrance, à tout. C’est pourquoi je vous ai dit bien des fois: "Vivez en état de grâce, vivez avec Jésus Eucharistie et la Sainte Trinité, Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit.

Aimez-vous, mes chers enfants. Vous avez chanté: "Ah! qu’il est bon pour des frères d'habiter ensemble" et le prêtre a fait remarquer avec justesse qu’il est plus correct de dire "agréable", mais nous ne connaissons pas le latin, n'est-ce pas Marisella?

Marisa - Je ne connais pas non plus ta langue et cela me fatigue beaucoup de traduire parce que j’ai peur de me tromper.

La Madone - Ah, comme tu ne sais pas beaucoup de choses, je te parle très simplement; ce n'est pas uniquement pour toi, mais également pour ceux qui veulent vraiment connaître Jésus. Du point de vue de leur importance, les messages de Dieu viennent après le Saint Evangile, mais ils dérangent parce qu’ils disent la vérité. Ils ne comprennent pas les messages de Dieu ou ne veulent pas les comprendre: si Marisa comprend ce que je dis, les grands hommes d’eglise qui ont étudié le peuvent encore mieux.

Combien de fois n’ai-je pas dit: "beaucoup d'études et de paroles mais une incapacité de parler aux frères d’amour de paix et de sérénité". Comme je vous l’ai dit bien des fois, je viens dans ce lieu, parce que Dieu le Père l’a choisi. Quand Jésus est né, il n’a pas voulu avoir beaucoup de gens autour de lui, il est venu au monde dans une étable, presque seul et dans le secret".

Ces apparitions nées dans le secret, se sont poursuivies dans le silence années après années puis Dieu a décidé d’en faire don à tous. Mais peu ont répondu, parce qu’on vient ici pour prier et avancer vers la sainteté, et non pour faire un voyage d’agrément. On vient ici pour faire un pèlerinage de prière, de sacrifice et de beaucoup d’amour. Vous ne devriez plus demander: pourquoi, pourquoi?. Pourquoi Dieu ne devrait-il pas choisir ce lieu pour le rendre thaumaturgique? Mes deux chers enfants ont beaucoup souffert et souffrent encore, mais ils n'ont jamais reculé et progressent avec beaucoup de peine. Mais leur union avec Jésus Eucharistie, leurs prières ainsi que les vôtres leur donnent la force et le courage de continuer.

Ne vous attendez pas à ce que la Maman vienne tous les soirs vous donner un message. Je viendrai, je prierai avec vous et si Dieu me dit quelque chose, je vous en ferai part. Qui peut bénir mieux que moi? Le prêtre.

Avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers, vos objets sacrés, tous vos parents et amis. Je bénis ceux qui sont hospitalisés et ceux qui sont malades. Tu ne m’as pas recommandé le petit Jacopo?

Marisa - Tu sais que tu dois prier aussi pour lui et l’aider.

La Madone - Je vous serre tous sur mon coeur, comme toi Marisella tu serres Jésus Eucharistie sur ton coeur. Je vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Adieu. Je te demande de me faire aller un petit peu mieux pour Don Claudio, maman et tous ceux qui me connaissent, parce qu’ils me voient toujours malade; si je vais un peu mieux, ils sont plus tranquilles et je ne pense pas à la pizza napolitaine. m’as tu fait une réprimande?

La Madone - Non, Marisella, si je t’ai fait cette remarque, ce n'est pas parce que c’est un péché, mais c’est pour te faire comprendre que je suis toutes vos pensées. Combien de mamans et de jeunes prient et puis pensent à autre chose? J’ai voulu te faire comprendre que je suis toujours près de toi. Donc quand vous priez et que vous pensez à autre chose, ce n'est pas un péché et vous n'offensez pas Dieu, parce que la distraction n'est pas volontaire.

Adieu Marisella, un baiser de la Maman.

Marisella - Don Claudio, sais-tu ce que m’a fait cette coquine.

Don Claudio - Je sais ce qu’elle t’a fait.

Marisa - Je priais et pensais à la pizza napolitaine et elle m’a dit: ne pense pas à la pizza na- politaine, prie; mais elle en a expliqué la raison.

Don Claudio - Nous l’avons tous compris.

 

Rome, le 7 mai 1998, 17h30 (Message de la Madone et de Jésus)

La Madone - Pensais-tu que je ne viendrais pas te rendre visite?

Marisa - Oui, mais tu aurais pu venir aussi avant, as-tu vu comme j'étais mal?

La Madone - Jésus est venu, Marisella.

Marisa - Oui, je vois Jésus comme un papa et toi comme une maman, mais j’ai plus confiance en la maman. De toute façon, je te recommande tous ceux qui se sont confiés à mes prières. Toi qui vois tout, tu as vu combien sont nombreux ceux qui ont besoin de ton aide.

La Madone - Et toi Marisella, n’as-tu besoin de rien?

Marisa - Si, mais je te recommande d’abord tous les autres. Pense maintenant à ceux qui se sont recommandés et puis, si tu le veux, un petit peu aussi à moi, à la grand-mère et à Jacopo.

La Madone - Avant de commencer avec le message, je dois te dire, Marisella, que tu n’as pas le microphone.

Marisa - Pardonne-moi, je me trompe toujours quand je demande quelque chose. Je suis un peu émue, tu es chaque fois toujours plus belle, plus lumineuse. C’est vrai, il y en a beaucoup qui disent qu’ils te voient comme une personne grande, grande, grande. Je te vois lumineuse, belle et rayonnante.

La Madone - Quand nous vivons dans la grâce, en contact avec Dieu, nous sommes tous lumineux, beaux et rayonnants. Regarde les âmes sauvées et les saints qui sont ici avec moi.

Marisa - Oui, j’en reconnais beaucoup. Tu as amené Gesuino aujourd'hui puisqu’il y a sa femme et sa fille. Oui, mais je l’ai reconnu quand même. Il y a aussi Stefano, papa, grand-mère Speranza, regarde.

La Madone - Tu es heureuse, Marisella?

Marisa - Oui, je suis heureuse de voir aussi de temps à autre mon papa.

La Madone - Merci de votre présence, mes chers enfants. Je vous remercie, vous qui venez de loin dans le lieu thaumaturgique pour y rendre visite à Jésus Eucharistie et à la Mère de l’Eucharistie. Mon invitation à partir du premier mai a toujours été celle d'intensifier la prière; les temps deviennent toujours plus difficiles, mais, comme je vous l’ai toujours dit, ceux qui vivent en état de grâce ne doivent avoir peur de rien.

Louez le Seigneur, mes chers enfants, louez-le à chaque instant, criez avec joie alléluia, alléluia, alléluia à Jésus ressuscité, à Jésus Eucharistie. La prière faite avec amour, avec le coeur est très importante et réussit même à stopper les guerres. Il y a beaucoup de guerres dans le monde, pas seulement celles que vous connaissez, mais il y en a d’autres que vous ignorez. Plus vous avancerez et plus vous vous rendrez compte que les hommes n’aiment pas; tuent pour des bêtises, violentent les enfants.

Oh si vous le voulez, vous avez un grand nombre d'intentions pour lesquelles vous pouvez prier. La Maman vous dit: priez selon mes intentions qui deviendront ensuite les vôtres. Apprenez à aimer et puis priez. Faites de l’apostolat partout où vous trouvez, n’ayez pas peur. Je vous ai dit bien des fois que celui qui est Chrétien ne doit pas avoir peur de parler de Jésus Eucharistie et de la Mère de l’Eucharistie.

Cela fait des décennies que j’apparais à Marisella, et j’ai donné beaucoup de messages à mes deux enfants. Oh, s’ils devaient mettre sur papier tous les messages qu’ils ont reçus, toute une bibliothèque ne suffirait pas pour les contenir. Ils ont beaucoup de messages dans leurs tiroirs. Vous souvenez-vous? Quand les apparitions ont été ouvertes à tous, j’ai commencé avec le signe de croix et le catéchisme de Dieu et puis peu à peu je vous ai amenés à comprendre l’importance de l’Eucharistie et de la Sainte Messe. C’est l’ordre d'importance que je vous ai enseigné: la Sainte Messe, l’Eucharistie, la Confession, la rencontre biblique, le groupe de prière, et s’il reste du temps, l’apparition qui vient en dernier, non parce qu’elle est moins importante, mais parce qu’il y a avant tout Jésus Eucharistie et les Sacrements qui sont sortis du côté du Christ, comme tu l’as vu bien des fois. L’Eucharistie est sortie du côté du Christ, les sacrements, l’Eglise, tout en est sorti.

Combien de fois avez-vous vu un miracle eucharistique? Certains s'y sont habitués, mais vous ne devez pas vous y habituer. Chaque fois que le miracle eucharistique se répète et que vous recevez Jésus, ce doit être comme si c'était la première et la dernière fois. Recevez la sainte communion comme si c'était la dernière de votre vie. Ces saints et les âmes sauvées qui sont à mes côtés ont reçu Jésus Eucharistie, mais pas aussi souvent que vous. Vous êtes plus privilégiés, parce que vous le recevez souvent et pouvez le recevoir tous les jours et vous avez de plus vu un grand miracle eucharistique, une, deux ou plusieurs fois. Vous l’avez tous vu, mais le cardinal a suspendu le prêtre a divinis parce qu’il aurait dû nier ce qu’il avait vu et aurait dû dire à tous les fidèles qu’il s'était trompé. Comment peut-on nier ce qu’on voit? Le prêtre n’a pas renié le Christ et a été frappé de suspense. Même s’ils sont des hommes d’eglise, ils peuvent se tromper, personne n'est parfait, seul Dieu l'est. Les hommes d’eglise se sont trompés, ont condamné un innocent. Comme Jésus qui était innocent a été condamné, le prête aussi a été condamné. Vous qui l’aimez, petit troupeau, aidez-le de vos prières et de votre affection; et vous savez que votre prêtre donne beaucoup, qu’il se donne tout entier à tous sans faire de distinction.

Cette lettre qui est destinée à tous les membres du Clergé fera du bien à ceux qui sont bons, humbles et simples, mais rendra encore plus méchants ceux qui sont orgueilleux et fiers. Cela les rendra encore plus forts et plus durs. Et qui en pâtira? Le prêtre. C’est pourquoi je dis toujours à mes deux chers enfants: Soyez forts, réjouissez-vous de tout fait surnaturel, parce que Jésus et Marie sont toujours avec vous.

Avez-vous réalisé mes deux chers enfants, combien de souffrances vous avez endurées en vingt sept ans? Mais combien de force avez-vous reçue pour faire avancer cette mission de Dieu? Oh, si tous répondaient comme vous!

Vous n’avez recherché ni les richesses, ni les honneurs, ni le pouvoir, ni l’approbation; vous n’avez rien recherché. Vous avez passé ces vingt sept années quasiment dans le silence, le secret, avec beaucoup de souffrances et de luttes, parce que ce sont les apparitions les plus importantes, les plus douloureuses et les plus combattues. Cela fait des années et des années que ces apparitions ont lieu et mes deux petits enfants en ont joui quand ils étaient seuls, mais quand Dieu le Père a décidé de les rendre publiques pour tous, la grande souffrance a commencé, mais la grande joie aussi, parce qu’ils ont toujours accepté, en bronchant quelquefois, mais ont toujours dit oui à Dieu.

Marisa - Jésus est arrivé. Jésus, je ne suis pas digne que Tu viennes me voir mais j’en suis heureuse; je suis ton épouse, tu dois donc venir.

Jésus - Voilà, j’ai apporté l’Eucharistie, pour faire comprendre à tous que Jésus, Marie, les anges et les saints peuvent apporter à tout moment l’Eucharistie.

Marisa - Que dois-je faire maintenant?

Jésus - Adorez un petit peu l’Eucharistie.

Marisa - Je t’aime Jésus, je t’aime de tout mon coeur.

Jésus - Donne maintenant l’Eucharistie au prêtre qui la distribuera à ceux qui sont présents.

Marisa - Regarde! Il n'y en avait qu’une seule avant, puis elles se sont multipliées Jésus restes-tu ici quand même ? .

Jésus - Oui, je suis avec vous et je prie avec vous et pour vous (ceux qui sont présents communient)

Marisa - Merci, Jésus.

Jésus - Je retourne maintenant vers le Père, je vous bénis tous et vous laisse la Maman qui restera avec vous pendant la rencontre biblique.

La Madone - Mes chers enfants, mettez en pratique les messages de Dieu, lisez-les, relisez-les, méditez-les et vous verrez comme ils sont beaux. Les messages que Dieu donne aux créatures humbles viennent après le Saint Evangile. Ces messages sont très simples, adaptés à tous, surtout aux simples, parce que les grands trouvent toujours quelque chose à redire. Aimez les messages parce que Jésus est en eux. Merci de faire ce que Dieu a demandé.

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

Don Claudio, je n’ai rien eu pour mes douleurs.

 

Rome, le 10 mai 1998, 11h30 (Message de la Madone)

La Madone - J’ai attendu que tu fasses l’acte de remerciement après la Sainte Communion, mon enfant.

Marisa - J’ai tant de personnes à te recommander, le téléphone a même sonné ce matin, plusieurs mamans ont demandé des prières pour la conversion de leurs enfants. Pourrais-tu nous aider un petit peu? Tu vois que nous n'y arrivons pas seuls, nous sommes de pauvres créatures.

La Madone - Vous avez reçu Jésus Eucharistie, mes chers enfants. L’avez-vous reçu en état de grâce? C’est triste si quelqu’un a besoin de se confesser qu’il ne puisse s’adresser au prêtre, auquel on a interdit après trente cinq ans de sacerdoce de célébrer la Sainte Messe et de confesser. s’il y a en ce moment une âme à laquelle Dieu donne la grâce de la conversion et que celle-ci demande l’aide du prêtre, il ne peut la confesser; Ceci est grave pour celui qui a suspendu votre prêtre a divinis, tandis que ceux qui ont besoin de se confesser pour faire la sainte communion et ne peuvent suivre cet élan venant de Dieu, ne doivent pas se faire de soucis, parce que Dieu voit tout, les bons et les méchants, tous ceux qui aiment son Fils Jésus et ceux qui ne l’aiment pas, ceux qui le connaissent et ceux qui ne le connaissent pas: Si vous avez ressenti cette impulsion dans votre coeur, et comme vous ne pouvez la satisfaire ici, allez dans une église, confessez-vous et puis recevez Jésus Eucharistie. J’ai pris l’Eucharistie de tabernacles et je l’ai apportée ici pour vous, mon petit troupeau.

Avez-vous remarqué que les mots "Eucharistie" et "Mère de l’Eucharistie" ne sont pas acceptés et que les plus grands miracles eucharistiques accomplis dans toute l'histoire de l’Eglise ne sont pas approuvés? Avez-vous remarqué qu’il y a plus de monde là où il y a de petits miracles en comparaison de ceux accomplis dans ce lieu thaumaturgique. Les gens s'y rendent en pèlerinage

Marisa - Pèlerinage?

La Madone - Vous devez aussi prier pour eux, parce que les hommes vont par curiosité et pour faire un voyage d’agrément dans beaucoup de sanctuaires. Le vrai pèlerinage inclut sacrifices, prières, confession et communion et n'est pas un voyage d’agrément; comme on ne peut faire ici un voyage d’agrément, puisque Dieu veut que ce soit un lieu de prières, les gens n'y viennent pas. C’est bien triste qu’en dépit des lettres qu’ils ont reçues, certains curés continuent à répéter: "n’allez pas Via delle Benedettine!" et se servent du sacrement de la réconciliation pour faire pression sur les gens. Je vous dirai un jour aussi le nom de ceux qui ont interdit de venir ici. Il y a aussi parmi eux des évêques qui ne sont pas de Rome. Pourquoi cette peur? cette rancoeur? Jésus a apporté l’amour, mais aussi la division. Si tous n’acceptent pas l’Evangile et marchent dans la même direction, vous au moins qui avez tant reçu et compris l’importance de recevoir Jésus Eucharistie en état de grâce, ne reculez pas, restez fermes ou continuez pour Jésus Eucharistie, la Mère de l’Eucharistie et le prêtre qui fait avancer cette grande mission; même si vous ne voyez que peu de monde, il s’agit d'une grande mission et même des prêtres et des évêques hors d'Italie y ont répondu, alors que les ecclésiastiques qui y répondent en Italie sont fort peu nombreux. Pourquoi cela? Qu'y a-t-il contre ce lieu thaumaturgique? Attention, ce que je dis vaut pour tous: la jalousie, l'envie, la médisance, la calomnie et la diffamation se déclenchent. La calomnie et la diffamation, je vous l’ai déjà dit, sont des péchés mortels. Il est écrit dans le catéchisme que calomnier et diffamer un frère est un péché grave, un péché mortel. Mais beaucoup de laïcs, de religieuses, de prêtres, d'évêques et de cardinaux commettent ce péché. Ils se réunissent pour dire du mal du prêtre et de la voyante, chacun essaie de dire des calomnies encore plus grandes que l’autre pour se faire bien voir aux yeux de ceux qui sont présents, mais aux yeux de qui? Dieu est amour, mais il sera juste à la fin des temps.

Priez. Je vous adresse une recommandation que je vous ai répétée bien des fois; quand vous rencontrez des personnes qui disent du mal du lieu thaumaturgique, ne les écoutez pas et comme vous le dites, tournez les talons. Vous devez prier pour eux, mais vous ne pouvez combattre Satan, même si vous êtes dans la grâce de Dieu, car Satan est alors puissant et ces personnes sont possédées par le démon. Répondez leur seulement si vous remarquez qu’ils se comportent ainsi par curiosité ou par désir d'écouter; mais s’ils en viennent à dire des offenses, à élever la voix, à se sentir presque à la place de Dieu, saluez-les et éloignez-vous en priant pour eux.

Combien de fois la Maman ne vous dit-elle pas les mêmes choses, et vous retombez dans l'erreur? N'oubliez pas non plus tous les conseils que le prêtre vous a donnés. Vous savez ce que ses confrères disent de lui. La Maman ne peut pas accepter l'égoïsme. Ne soyez pas égoïstes et ne pensez pas qu'à vous, il faut penser à toute la communauté: Il y en a qui pour se sauver condamne les autres et surtout le prêtre. Ne vous sentez pas grands. Quand vous faites quelque chose, faites-le pour Jésus et dites-le seulement au prêtre.

Que ferez-vous quand un jour vous apprendrez les secrets, si vous n'êtes pas prêts maintenant?

Marisa - Je te le dis moi? Si tu nous aides, nous agissons bien. Puis nous recevons tous les jours l’Eucharistie qui nous donne la force de lutter

La Madone - Non, justement toi tu ne l’as pas, Marisella. (elle entend la force physique)

Marisa - Oui, mais celle de lutter, oui.

La Madone - Mes chers enfants, la Maman ne vous dit pas ces choses pour vous décourager, mais pour vous aider à grandir. En tant que Maman, je ne peux pas ne pas vous dire ces choses. Ce matin, quelqu’un m’a adressé rapidement ses voeux, en me disant: "Je t’adresse mes voeux, Maman, même si tu es pour moi comme une marâtre, puisque tu ne m’aides pas". J’ai souri, parce que je sais que ces paroles ne viennent pas du coeur. Vous avez adressé vos voeux à la Maman du ciel et de la terre et je vous adresse les miens, chères mamans.

Je vous adresse à toutes du fond du coeur, tous mes voeux de sérénité, de paix et de souffrances, parce que tant que vous serez sur la terre, il y aura toujours des souffrances. Mais souvenez-vous du quatrième commandement: tu honoreras ton père et ta mère. Vous ne devez pas baisser la tête et vous laisser écraser par les parents ou vice-versa, parce qu’en tant que créatures, vous devez vous aimer. Les parents doivent respecter leurs enfants s’ils veulent être respectés par eux et vice versa.

Mes chères mamans, je suis aussi Maman, courage, priez pour vos enfants. Priez. On tue et violente les petits enfants avec tant de facilité, de légèreté, on avorte comme si le foetus n'était qu’un bout de papier qu’on déchire; on se débarrasse des petits enfants. Priez pour les drogués et ceux qui sont en prison; j’ajoute aujourd'hui, priez aussi pour les missionnaires, parce qu’ils ont besoin d’aide.

Merci de répondre à l’appel de Dieu et de mettre en pratique tout ce qu’il m’a dit de vous dire. Ne vous contentez pas d'écouter les messages et que tout s’arrête ensuite quand vous vous en allez. Non, ceci je l’ai dit aussi bien des fois, retenez et méditez les message et s’il y a quelque chose que vous ne comprenez pas, demandez-le au prêtre, n'en discutez pas entre vous, n'en parlez pas à la voyante, mais au prêtre. Etant donné que les chers supérieurs lui ont tout enlevé, vous au moins laissez-le parler.

Marisa - Ecoute, combien de temps va durer cette histoire? Parce que je suis maintenant fatiguée de souffrir et de prier. Nous rencontrons un bon prêtre et les autres le détruisent? De toute façon je me confesse à lui et à pas à un autre qui ne me comprendrait pas. Sinon je vais chez toi, non, chez Jésus c’est mieux. Jésus, mon époux, doit respecter son épouse, il ne doit pas la faire autant souffrir, sinon quelle épouse suis-je, je suis handicapée en tout. Jésus est-il offensé de ce que j’ai dit? Mais tu es contente de nous?

La Madone - Oui. Récitons maintenant tous ensemble le Notre Père. Donnez-vous la main, serrez-vous les uns contre les autres, n'étendez pas les bras, rapprochez vous de votre frère et en levant les yeux vers le Ciel, récitez le Notre Père que Jésus a enseigné. Merci, mes chers enfants, la Maman envoie un baiser aux petits enfants présents et à ceux qui sont malades et à vous, mes chères mamans, j’adresse à nouveau tous mes voeux de sainteté.

Marisa - Je suis heureuse parce que je n’ai pas eu de douleurs pendant l’apparition. Restes-tu encore avec nous?

La Madone - Non, Marisella, les mamans doivent aller préparer le déjeuner.

Marisa - C’est une excuse? Reste encore un petit peu avec nous, ainsi je n’ai pas de douleurs, ou bien fais-moi aller un petit peu mieux. d’accord, que la volonté de Dieu soit faite, je m’abandonne à lui.

La Madone - Courage, Marisella. Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Marisa - Attends, ne t’en va pas.

La Madone - Laisse-moi finir de prier, Marisella

Marisa - Tu souris, toi aussi, je vois que tu souris; pour un homme on dit qu’il sourit dans sa barbe, pour une femme je ne sais pas comment on dit.

La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Tu reviendras après quand j’aurais beaucoup de douleurs, pour les calmer?

La Madone - d’accord, Marisella, je viendrai te voir.

Marisa - Adieu. Un autre baiser. Nous nous embrassons toujours. Tu ne t’en vas plus maintenant?

La Madone - Non, maintenant j’ai fini mes prières et je suis ici.

Marisa - Pourquoi as-tu dit avant que les mamans doivent aller préparer le déjeuner? Les anges l’ont emportée.

Don Claudio - Les douleurs?

Marisa - Je n’ai pas de douleurs.

Don Claudio - Tu n'en as pas?

Marisa - Non.

Don Claudio - Espérons que tu n'en auras pas pour quelque temps.

 

Rome, le 17 mai 1998, 12h40 (Message de la Madone)

Marisa - Que de monde! Merci du grand miracle eucharistique que tu nous as donné! Même en ce jour, je désire te recommander tous les malades, ceux qui se sont recommandés à mes prières et, si tu le veux, va trouver Dieu pour lui demander les grâces dont nous avons tous besoin.

La Madone - Vous avez longtemps prié, mes chers enfants, c’est pourquoi la Maman va dire tout de suite le message. Tout d’abord un merci à Dieu au plus haut des cieux, parce qu’il a encore opéré aujourd'hui ce grand miracle eucharistique. Chaque fois qu’il se répète, comme chaque fois que vous recevez mon Fils Jésus dans votre coeur, c’est un morceau de Paradis qui entre en vous. Jésus a apporté cette hostie maculée de sang qui a été soustraite à un prêtre qui célébrait la messe par habitude et ne croyait à ce qu’il faisait à ce moment là. Le sang a commencé à couler et j’ai dit à Jésus: "Prenons cette hostie et portons-la dans le petit coin de Paradis, dans le lieu thaumaturgique où elle sera aimée, adorée et respectée". Jésus avec tout l’amour du Père, du Fils, de l’Esprit Saint, accompagné de l’Esprit Saint, sous la forme d'une colombe, est entré dans la chambre de Marisa et a déposé Jésus Eucharistie sur deux petites fleurs. Le sang a continué de couler et l'hostie s'est fortement dilatée: Je ne veux pas que cette hostie soit remise aux hommes d’eglise et aux adultes qui ne croient pas; mettez-la dans un récipient en verre et laissez-la ainsi.

Combien d'hosties ne vous ai-je pas apportées ainsi que Jésus, les anges et les saints! Pourquoi ce grand don justement à vous, petit troupeau? Il y a des groupes qui courent d'un sanctuaire à l’autre, d'un lieu à l’autre et n'ont pas compris que le plus grand lieu thaumaturgique et béni par Dieu est ce petit coin secret, outragé et persécuté par tant, tant et tant d'hommes.

Attention, mes chers enfants, Dieu le Père m’a dit de vous dire ceci: "Le prêtre a été frappé de suspense par le cardinal, par dépit et esprit de vengeance. Souvenez-vous que dans l’Eglise, en cas de désobéissance, un premier avertissement, puis un deuxième avertissement est donné et que le supérieur doit dire: "Mon fils, qu’es-tu en train de faire?" Votre prêtre n’a pas désobéi, puisqu’il a obéi à Dieu, même s’ils considèrent qu’il a fait preuve de désobéissance et ils en sont arrivés à le suspendre a divinis. Vous êtes-vous demandés pourquoi?

Combien de fois un enfant est-il repris par sa maman lorsqu’il désobéit? Le cardinal en tant que père aurait dû le reprendre et lui demander: "Que fais-tu, mon fils? Et le prêtre lui aurait expliqué: "J'obéis à Dieu". Ils ont violenté sa conscience et quand ils comprirent qu’ils s'étaient trompés, ils lui dirent: "Démens ce que tu as vu, dis à l’assistance, adultes et jeunes que tu leur as menti. Si tu le fais, nous annulerons la suspense a divinis". Mais comment votre prêtre qui aime l’Eucharistie et a vu et cru aurait-il pu renier Dieu?

Ils lui ont fait grandement violence, mais le prêtre n’a pas cédé, il a souffert, mais ne leur a pas permis de vaincre; la victoire est du côté de la vérité. Et alors à quoi en sont-ils arrivés pour l’anéantir? A la ruse! Même sachant qu’il est bien, ils ont dit: "Je me vengerai et je le détruirai!".J’ai entendu ces paroles sortir de sa bouche. Ceci n'est pas de l’amour, ce n'est pas un père parlant à son fils, c’est de la haine!

Mes chers enfants, la Maman ne vous le dit pas pour que vous n’aimiez pas ces personnes, parce qu’il est difficile de les aimer, mais pour que vous priiez pour eux, comme votre soeur qui a prié hier pour l’un d’eux. Elle m’a recommandé une personne qui continue avec beaucoup de facilité à la faire souffrir ainsi que le prêtre et les jeunes. Un de ceux qui ont été appelés a eu peur de prendre ses propres responsabilités et sous l'effet de la peur a presque combattu le prêtre. On fait confiance au prêtre ou pas, car il n'y a de demi-mesures pour personne.

Je voulais vous dire ceci et vous répéter indéfiniment que le prêtre est dans la vérité, qu’il a obéi à Dieu et été condamné pour son obéissance et que sa suspense a divinis aurait été levée s’il avait renié l’Eucharistie et vous avait dit: "Partez, mes frères, je vous ai trompés". Mais il n'est pas seul à avoir vu l’Eucharistie, vous l’avez vue aussi, vous avez assisté à beaucoup de miracles eucharistiques. Vous avez vu Jésus Eucharistie sortir du côté du crucifix, voler dans le reliquaire et puis le traverser sans briser le verre, vous avez vu l’Eucharistie se détacher de l'étendard et se multiplier dans les mains de votre soeur. Vous avez vu de nombreux miracles eucharistiques, il n'est pas besoin que je le énumère tous. Ceux qui ont vu doivent dire: "Oui, j’ai vu et je crois ".

C’est pourquoi la Maman dit souvent: "Priez pour les hommes d’eglise", parce qu’ils sont comme les autres hommes et il y en a parmi eux qui sont capables d’aller jusqu'à tuer pour se venger. Vous savez que la Franc-maçonnerie, la mafia et d’autres associations criminelles portant d’autres noms dans d’autres villes et d’autres pays, existent. Que devait faire le prêtre? Il a baissé la tête et dit: "J’ai vu, je crois et je ne peux faire ce que vous me dites de faire. Je ne dirai pas la messe devant les hommes, mais je ne renierai jamais ce que j’ai vu".

Bien sûr, son coeur saignait et les larmes coulaient sur son visage, il n’avait jamais pensé en arriver là par la faute des autorités ecclésiastiques. On doit obéissance aux autorités ecclésiastiques et cela depuis des siècles, mais on doit également obéir à la vérité. On doit obéir aux supérieurs quand ils sont dans la vérité et disent la vérité, mais pas quand ils se servent de l’obéissance comme chantage. Combien de fois ne vous ai-je pas dit: obéissance oui, chantage non?

Je ne voulais pas vous dire ces choses aujourd'hui, je voulais fêter avec vous la fête de Marisella, épouse de mon fils Jésus. Poursuivez votre fête, continuez à vous aimer, et si vous avez compris ce message, mettez-le en pratique. Ils ont dit également que vous êtes une secte, mais je ne parle pas en secret et la porte est ouverte à tous alors qu’une secte est fermée.

Que le Saint Esprit descende sur chacun de vous, comme les sept langues de feu qu’a vues votre sœur et vous bénisse tous. Je remercie tous ceux qui ont participé aux préparatifs de cette fête, les jeunes qui parfois vacillent mais sont forts quand ils se relèvent, les adultes et les enfants.

Marisella, veux-tu me recommander quelqu’un?

Marisa - Je te recommande Fabrizio, le frère d'un de nos jeunes, je te le recommande de tout mon coeur parce que son état de santé est très critique. Je te confie tous ceux qui se sont adressés à moi.

Est-ce que ce bouquet te plaît? Ce sont les jeunes me l’ont offert, parce que je suis l'épouse de Jésus. Mais comme j'étais gênée, mon Dieu! Quand ils me disaient toutes ces choses, je me sentais petite, petite, j'étais très gênée.

La Madone - Tu ne dois pas être gênée, c’est la vérité.

Marisa - Ne t'y mets pas toi aussi maintenant, j’ai honte, je te le jure.

La Madone - On ne jure pas, Marisella.

Marisa - C’est une façon de parler, mais je suis si gênée. Don Claudio et moi aimons vivre cachés, sans être observés. Que le bien sorte, mais dans le secret, je ne sais si tu me comprends, si je m'exprime bien.

La Madone - Continue cette journée dans la sérénité, l'harmonie et la paix.

Marisa - Pour autant que cela soit possible, parce que ce matin au moins tu aurais pu me faire marcher. Mes pauvres jeunes se sont beaucoup fatigués et à un moment donné je me suis retournée et j’ai vu que Giacomo avait rapetissé sous les efforts qu’il faisait pour me soutenir.

Allons, plaisantons encore un peu?

La Madone - Ne devez-vous pas faire les agapes?

Marisa - Tu connais aussi les agapes, pense que je n’ai compris que depuis peu ce que sont les agapes parce que Don Claudio emploie de temps à autre des mots compliqués. Veux-tu venir avec nous?

La Madone - Bien sûr, je reste encore avec vous.

Marisa - Mais tu manges aussi? Tu es présente avec les anges, les saints et les âmes sauvées? Attends, je veux d’abord compter combien vous êtes, sinon nous n'y entrerons pas. Non, pardonne-moi, j’ai oublié, pour changer.

La Madone - Oui, Marisella, je serai toute la journée avec vous.

Marisa - Pas toute la journée, je veux aller me reposer après. Viendras-tu dans ma chambre? Me feras-tu aller un petit peu mieux?

La Madone - Bonjour, grand-mère Iolanda, tu es fatiguée, pas vrai? Tu vois que Jésus a pris cette enfant, tu dois en être fière, tous ses proches doivent l'être.

Marisa - Ne dis rien d’autre, j’ai honte, laissons les proches, j’ai ma soeur, mes neveux et même le petit neveu ouragan.

La Madone - Jacopo n'est pas un ouragan.

Marisa - Si, mais ..

La Madone - Alors mes chers enfants, voulons-nous réciter tous ensemble un Notre Père et trois Gloria au Père en vous donnant la main, tous ensemble avec moi? Je prends dans mes bras les anges, les saints et les âmes sauvées, faites de même vous aussi.

Marisa - Restes-tu encore un petit peu avec nous? Oui, je t’ai recommandé mes parents. Excuse-moi, j’ai oublié les neveux d’adoption, deux garçons et une fille. Oui, Dieu a choisi ces deux-là. Nous devons beaucoup prier, beaucoup, beaucoup. Nous prions beaucoup, beaucoup, mais nous sommes faibles, nous chutons et puis nous nous relevons

La Madone - Non, Marisella, tu ne peux pas chuter, sinon c’est fatiguant de te relever.

Marisa - Tu te moques de moi? Tu te moques de moi, toi aussi?

Oui, j’attends que tous les autres (les anges, les saints et les âmes sauvées) viennent me saluer

Je suis toujours près de toi, mais tu dois être très, très, très proche de moi et m’aider

La Madone - Courage, mes chers enfants, avancez avec courage, sérénité et harmonie.

Ensemble avec mon et votre prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - t’ai-je recommandé aussi les neveux d’adoption? Oui, deux garçons et une fille. Tu dois également aider tous les jeunes, ils en ont besoin.

(Marisa émet un gémissement, elle reçoit le coup de lance)

Mais ne me donne pas le coup de lance c’est ma fête aujourd'hui.

Oui, merci. Adieu à Jésus et à tous.

La Madone - Jésus vient maintenant te donner son baiser.-

Marisa - C’est bon, adieu à tous.

Don Claudio, je lui ai parlé aussi des neveux d’adoption, je lui ai dit un tas de choses.

Don Claudio - Ils ont tous entendu.

 

Rome, le 24 mai 1998, 11h30 (Message de la Madone)

Marisa - Même Jésus est présent. Je veux te recommander tous les malades. Merci d'être encore ici aujourd'hui à prier avec nous.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence, merci de l’amour que vous portez à Jésus Eucharistie qui a versé du sang. Dieu a voulu accomplir un grand miracle dans ce lieu thaumaturgique, mais, comme vous le voyez, tous ne répondent pas à l’appel. J’ai énormément prié avec vous, mais je vous ai dit aussi dans le message d'hier que tout comme une belle rose a des épines, la joie et l’amour sont toujours accompagnés de petites souffrances qui troublent. Vous qui avez vu Jésus Eucharistie verser du sang, vous devez changer, devenir meilleurs, aimer le prochain. Je suis venue pour ceux qui ne croient pas, pour les malades, pour ceux qui ont besoin de connaître Jésus Eucharistie; du reste comme le docteur soigne les malades, Jésus soigne les pécheurs sur le plan spirituel. Même ceux qui sont venus pour rapporter, écouter, interroger, disent dans leur coeur: "Jésus, nous t’aimons, même si notre travail nous amène toujours à courir". Cela ne coûte rien de dire: "Jésus, je t’aime".

Aujourd'hui, jour de fête, Jésus monte au ciel, mais il a voulu cette fois être lui-même sur la Terre, dans ce lieu thaumaturgique; cette hostie couverte de sang donnera ces grâces dont vous avez tous besoin, si elles sont conformes à la volonté de Dieu. Aimez-vous, mes chers enfants, aimez-vous, les temps sont durs et difficiles; les guerres continuent, les hommes tuent, même les parents tuent leurs enfants et les enfants leurs parents, les bébés sont jetés dans les poubelles; on pratique les avortements avec tant de facilité. alors que l'être et l'âme existent dès le début de la conception. Pourquoi tuer et détruire tout? Je vous ai dit une fois dans un message qu'Hérode avait fait tuer beaucoup de nouveaux-nés, mais aujourd'hui au vingtième siècle on continue à tuer les enfants; il y a d’abord le plaisir, puis le mépris qui incite à jeter une petite créature.

Mes chers enfants, le monde ne se porte pas bien, la planète terre se souille toujours plus chaque jour, mais vous qui avez compris ces paroles, priez pour tous ceux qui souffrent, pour la paix dans le monde, la paix véritable, pour les hommes d’eglise, le Saint Père, l’union des familles, les malades, les missionnaires, les drogués, les prisonniers. Oh, si vous le voulez. vous pouvez prier pour beaucoup de personnes. Il n'est pas besoin de faire de longues prières, il suffit de dire à Dieu: "Mon Dieu, je te recommande mon papa, ma maman, mon frère, mon ami"; tout serait beau et simple.

Jésus monte en ce moment vers le Père en compagnie de deux innocents, il porte un vêtement blanc comme la neige et il est illuminé par une forte lumière. Il est monté vers le Père, mais Il est resté ici avec son corps, son sang, son âme et sa divinité dans l’Eucharistie

Convertissez-vous tous, mes chers enfants, c’est bien de penser au travail, c’est bien de penser aux études, mais il est aussi juste de penser à son âme. Je veux vous emmener tous avec moi au Paradis. Il suffit de peu de chose pour se convertir et dire: "Mon Jésus, je me repens, je veux revenir vers toi!".

Merci de bien vouloir mettre en pratique ce message, merci de votre présence et de votre patience. Chantez encore et glorifiez la Très Sainte Trinité présente dans l’Eucharistie qui a versé du sang.

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

 

Rome, le 26 mai 1998, 19h05 (Message de la Madone)

La Madone - Tu as souffert les douleurs de la couronne d'épines de Jésus. Elles ne veulent pas passer, ma fille.

Marisa - Est-ce que mon genou pourrait aller un peu mieux? Je te dis quand même oui, même si je souffre beaucoup. Je veux te recommander tous ceux qui sont malades. Tu dois donner au prêtre beaucoup de force et de courage pour faire avancer la mission de Dieu, sinon nous n'y arriverons pas, car nous sommes trop faibles.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence ici. Vous avez réalisé par vous mêmes, que même si la télévision et les journaux en parlent, le miracle eucharistique n'est pas connu, n'est pas compris. On n’a pas expliqué que Jésus Eucharistie se trouve dans l'hostie avec son corps, son sang, son âme et sa divinité. Pourquoi Dieu a-t-il accompli ces miracles? Pour faire comprendre à tous que Jésus est, toujours, présent, quand l'hostie est consacrée par le prêtre durant la Sainte Messe. Beaucoup d'hosties sont prises pour célébrer des messes noires, pour être profanées. Beaucoup de prêtres disent la messe seulement par habitude et ne croient pas que Jésus Eucharistie se trouve dans l'hostie consacrée. Mes deux chers enfants, vous vivez un moment très difficile et du point de vue humain, vous êtes seuls pour faire avancer cette mission, mais Jésus, les Saints, les Anges et moi, nous sommes avec vous, sinon vous n'y seriez pas arrivés. Ces pauvres gens, simples et humbles qui aiment le Christ, la Madone et leur prêtre contribuent également à faire avancer la mission. Mais ce grand miracle aurait dû faire exploser le monde entier, mais tout se tait. Vous avez vu vous-mêmes, que les programmes télévisés sont très longs, mais quand on y parle de Jésus Eucharistie, cela ne dure que quelques minutes. Vous pouvez ainsi comprendre que l’Eucharistie n'est pas connue, ce qui nous fait beaucoup souffrir, mais ce n'est pas votre faute.

Vous avez fait ce que vous pouviez faire dans votre petit coin, votre prêtre a énormément travaillé et dû accepter la suspense "a divinis" pour ne pas trahir Jésus Eucharistie, ce qui est maintenant écrit dans le grand livre de Dieu. Ils lui ont dit "Renie l’Eucharistie et nous lèverons la suspense". Non, votre prêtre ne l’aurait jamais fait. Les autres prêtres ne viennent pas, ne se présentent pas ici, parce qu’ils ont peur d'être en communion avec le prêtre, peur que le cardinal Ruini ne leur retire leur pouvoir, leur paroisse, leur fonction, mais ils savent que la vérité est ici.

Moi en tant que Maman, je dois répéter que mon cœur se serre chaque fois que j’entends parler de suspense a divinis. Tous les décrets sont faux et illégitimes, mais ces hommes sont puissants, détiennent le pouvoir et peuvent briser n'importe qui. "Je me vengerai et je le détruirai " a dit le chef qui aurait dû agir en père. Au lieu de cela, il est prêt à se venger et à détruire, prêt à tout pour devenir fort et puissant. Ceci devrait vous faire comprendre combien de luttes il y a au sein de l’Eglise, mais vous ne devez pas vous en préoccuper. L’Eglise ne sera jamais détruite, parce qu’elle est soutenue par le Christ et aussi par vous, mes chers enfants.

Priez, priez pour que l'heure choisie par Dieu arrive bientôt.

Marisa - Nous prions pour cela! Si tu savais combien nous prions.

La Madone - d’accord, Marisella. Retrouve ton sourire, plaisante simplement avec la Maman!

Marisa - Oui, mais je suis un peu fâchée, je n'en peux plus.

La Madone - Tu verras comme tu seras heureuse au Paradis.

Marisa - Alors nous revenons à ce que tu m’as dit que je ne serai pas heureuse sur terre

La Madone - N'es-tu pas heureuse quand tu reçois Jésus?

Marisa - Bien sûr que je suis heureuse. O.K.

(Long colloque entre la Madone et Marisa)

La Madone - Mes chers enfants, je vous invite à prier encore pour tous les hommes, pour le monde entier. Je regrette que les autres ne ressentent pas cet appel.

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

 

Rome, le 31 mai 1998, 10h30 (Message du Saint Esprit et de la Madone)

Fête de la Pentecôte

Marisa - Jésus est ici avec une colombe. Tu es le Saint Esprit, n'est-ce pas ?

(Le Père et le Saint Esprit se manifestent à Marisa sous l’apparence de Jésus)

Le Saint Esprit - Oui, je suis le Saint Esprit. C’est aujourd'hui la Pentecôte, n'est-ce pas ? N'est-ce pas l’anniversaire de la naissance de l’Eglise? Les grandes fêtes religieuses sont Noël, Pâques et la Pentecôte. Je vous invite à prier le Saint Esprit, afin qu’il descende sur chacun de vous et vous rende saints. Invoquez toujours le Saint Esprit, invoquez-le aujourd'hui pendant toute la journée, Vous êtes en présence de Jésus Eucharistie qui a saigné. Il est très important, Dieu a accompli ce grand miracle, mais tous les hommes ne l’ont pas compris.

L’Esprit Saint descend dans vos coeurs pour vous donner force et courage. Jésus Eucharistie entre dans vos coeurs pour vous donner amour et grâce. Quand Jésus Eucharistie entre en vous, la Sainte Trinité y entre également. Marie, la Mère de l’Eucharistie a engendré le Fils. Jésus a été engendré par Marie. Elle est la racine de l’Eucharistie. Je suis ici aujourd'hui avec vous et désire infuser en vous tous le Saint Esprit. Je sais que quelqu’un demande le don des langues et j’aimerais bien le lui donner; si cela arrive, ce sera parce que Dieu aura agi en lui.

Dieu a ordonné à votre prêtre de confesser, parce que des âmes en ont besoin. Vous avez un prêtre, profitez en donc pour vous confesser. Celui qui a suspendu votre prêtre de ses fonctions sacerdotales ne savait pas ce qu’il faisait et s’il le savait ....., mais laissons cette phrase en suspens. Lorsque la Mère de l’Eucharistie vient, elle vous invite toujours à prier pour votre prêtre, parce que selon les grands hommes d’eglise, il aurait dû renier Jésus Eucharistie et vous dire qu’il vous avait trompés. s’il avait renié l’Eucharistie apportée par Jésus, la Madone, les Anges et les Saints, on ne l’aurai pas frappé de suspense a divinis, mais le cardinal Ruini l’a suspendu, parce qu’il ne l’a pas fait.

Ce que votre prêtre a dit est juste: "J’ai vu et je crois ". Il aurait dû également admettre qu’il vous avait trompés. Comment a-t-on pu en arriver là? L’Eglise est vieille de 2000 ans et un tel chantage a encore lieu aujourd'hui : "Ou tu renies ou je te frappe de suspense a divinis". Je vous dis, Moi, au nom de Dieu le Père, que votre prêtre doit confesser si quelqu’un a besoin de se confesser. Le prêtre doit confesser et ni vous, ni le prêtre n'en portez la responsabilité, celle-ci revient aux grands hommes d’eglise. Je désire que l’Esprit Saint descende sur chacun d’entre vous et que ceux qui ne sont pas en état de grâce, ne sont pas en ordre avec Dieu, qui ont besoin de se confesser, en profitent et se confessent maintenant. Vous avez devant vous Jésus Eucharistie qui a saigné, adorez-le. Priez pour les prêtres, vos enfants, les jeunes, les malades et les non-croyants; il est plus facile pour ces derniers d’entrer au Paradis.

Dieu vous a tous créés. Il n'y a donc pas de premier, second, troisième ou quatrième monde comme il n'y a pas de premier, de second, de troisième ou de quatrième Dieu. Dieu est le même pour tous. Pourquoi y a t il tant de pauvres qui meurent et tant de riches qui continuent à vivre hautains, tranquilles et sereins? Pourquoi y a-t-il tant d'hommes d’eglise qui détiennent le pouvoir dans leurs mains et écrasent le petit prêtre. Combien de prêtres, de petits, de jeunes qui aiment Jésus sont en butte aux attaques des hommes puissants de l’Eglise.!

La même chose se produit au sein de l’Etat et des familles lorsque le père ou la mère est dur et dominateur: tout comme dans les communautés où les ordres sont donnés sous forme de chantage, et non en signe d'obéissance. Mais tout cela doit finir en l’an 2000. On doit obéir parce que le père parle avec amour et non par chantage. Votre prêtre a déjà été plus d'une fois victime de chantage: " ou tu fais ce que je t’ordonne ou je te retire la permission de célébrer la Sainte Messe, ou tu nous obéis ou nous te suspendons de tes fonctions ".

Mes chers enfants, nous ne sommes plus au Moyen Age, nous sommes arrivés à l’an 2000. Priez aujourd'hui le plus que vous pouvez. Priez Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit qui est ici devant vous. Priez la Mère de l’Eucharistie, la Mère des hommes du monde entier, de toutes les races. Priez.

C’est une apparition extraordinaire voulue par Dieu. Quand Dieu décide de donner un message, Il ne regarde pas si peu ou beaucoup de personnes sont présentes à l’apparition, Il le donne, même si seulement une personne est présente. Recevez tous le Saint Esprit, accueillez-le dans votre cœur. Demandez la grâce du Saint Esprit, parce beaucoup de gens pèchent gravement contre lui. Recevez tous le Saint Esprit pour qu’il vous donne la force et le courage de continuer, d’affronter la société et les puissants qui détiennent le pouvoir entre leurs mains et peuvent vous écraser.

Ils ont aussi essayé de détruire Jésus, ils l’ont crucifié, mais Il est ressuscité d’entre les morts, est monté au ciel et jouit du Père.

Vous aussi, si vous êtes fidèles au Christ, au pape et à votre prêtre, vous jouirez demain de Dieu le Père qui est au ciel. Je vous répète encore une vérité que votre Maman vous a déjà dit. "Quand vous recevez Jésus Eucharistie en état de grâce dans votre coeur, vous avez déjà un morceau de Paradis en vous. Priez toujours le Saint Esprit et demandez lui les grâces dont vous avez besoin. Cette hostie qui a saigné et qui est présente ici, est Jésus avec son corps, son sang, son âme et sa divinité. Il est prêt à vous donner ces grâces dont vous avez tous besoin, si elles sont conformes à la volonté de Dieu. Et toi ma fille, reçois également le Saint Esprit.

Marisa - Puis-je te demander de bénir ici? J’ai tellement peur de l’opération.

Le Saint Esprit - Courage, mes chers enfants, je retourne moi aussi vers le Père avec tous les anges, les saints et les âmes sauvées. Ensemble avec notre et votre cher prêtre, je vous bénis tous. Recevez le Saint Esprit et allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Ecoute, je donne toujours un baiser à la petite Madone, puis-je t’en donner un aussi ? Au revoir.

Il est parti. Jésus est venu avec la colombe pour me faire comprendre que c'était le Saint Esprit.

Messages de Juin 1998

Rome, le 3 juin 1998, 17h35 (Message de Jésus)

Marisa - Elle n'est pas encore là. Nous aimerions aller dans les Dolomites. Oh, c’est toi, Jésus ! Pardon, Jésus, pardon infiniment, mais notre désir d’aller dans les Dolomites est si grand. Jésus, j’aimerais te recommander Agata, une personne qui est chère à deux de nos jeunes; si Tu le veux, Tu peux l’aider. Je te recommande aussi Marisa. Veux-tu également prendre cette jambe? Pardon, Jésus, mais j’ai un souci ici; j’ai si peur, parce que les choses deviennent toujours plus difficiles pour moi. Comment se fait-il que la petite Madone ne soit pas venue?

Jésus - Ne puis-je pas venir?

Marisa - Bien sûr que Tu peux venir.

Jésus - Je devais venir tous les jours, mais je me suis contenté de venir seulement deux fois par semaine; Moi, ainsi que ma et votre maman, nous ne sommes probablement pas acceptés par les êtres humains. Adorez Jésus Eucharistie qui a versé du sang, même si les hommes ne répondent pas à l’appel. Peu, très peu sont venus adorer l’Eucharistie qui a versé du sang et vous êtes pourtant des millions à Rome. C’est triste pour Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et Moi Dieu le Fils; Nous au Paradis, nous avons fait tout ce que nous pouvions pour la conversion des prêtres et des pécheurs. J’ai dû encore demander à votre soeur de souffrir pour que les êtres humains répondent à ce grand miracle. Tu es déçue, Marisella, parce que la Maman n'est pas venue, mais si tu le veux, tu peux aussi également Me demander d’aller dans les Dolomites.

Marisa - J’aimerais y aller, mais je ne sais pas si je le peux. Pardonne-moi, Jésus, mais je suis un peu excitée aujourd'hui. Tu me le pardonnes, n'est-ce pas? Je voulais adresser une recommandation à ceux qui me suivent et leur dire que si les choses vont bien, nous rendons gloire à Dieu, mais si elles ne devaient pas aller bien, nous rendrions toujours gloire à Dieu. J’aimerais inviter tous ceux qui me connaissent à prier beaucoup pour moi, afin que j’aille rapidement au Purgatoire, sinon quand jouirai-je de Dieu? s’ils prient tous pour moi, je ne resterai pas longtemps au Purgatoire.

Jésus - Mais que dis-tu là, Marisella? Quel Purgatoire?

Marisa - Je ne sais pas. Celui que tu as .. (Marisa s'entretient en particulier avec Jésus) Vraiment? Et quand m'emmèneras-tu? Tu ne peux pas nous emmener ensemble tous les trois? Non? (Marisa pense à sa maman et à Don Claudio)

Jésus - Merci de votre présence, mes chers enfants. Ce mois est dédié au Sacré Coeur de Jésus. L’an dernier, je suis venu tous les jours parmi vous au mois de juin, même lorsque votre soeur était à l'hôpital. Peu ont alors répondu et cette année encore moins. Après tous les miracles eucharistiques accomplis dans le lieu thaumaturgique, le nombre de ceux qui y viennent diminue au lieu d’augmenter, l’appel n'est pas entendu. J’ai donc décidé de ne venir que pour la rencontre biblique et le dimanche. Le comportement de ceux qui ne répondent pas à mon appel me fait souffrir. Pourquoi ne viennent-ils pas dans ce lieu rendu thaumaturgique par Dieu le Père? Beaucoup de miracles ont été accomplis ici, plus grands les uns que les autres, le dernier en particulier lorsque l’Eucharistie a versé beaucoup, beaucoup de sang. C’est mon sang, mes chers enfants, je l’ai versé pour les prêtres et les hommes, mais ni les prêtres, ni les religieuses ou les laïcs ne répondent. Pourquoi cette indifférence?

Ne voyez vous pas le nombre de catastrophes et la grande purification qu’il y a dans le monde? Plus vous avancerez et plus elle sera forte. Qu’attendez-vous pour comprendre combien il est important de prier devant Jésus qui a versé du sang? Quand tout explosera, comme le dit ma et votre Maman, vous courrez alors à genoux devant Jésus Saint Sacrement. Pourquoi en arriver là? Bien sûr, ce que je dis ne s’adresse pas à vous ici présents qui avez toujours été fidèles, mais à tous les autres hommes? Où sont-ils? Les prêtres et les religieuses s'enferment dans leur petit coin, s'observent et l'envie et la jalousie grandissent.

Apprenez à aimer et puis priez. Vous êtes-vous rendus compte combien il est difficile d’aimer? Il est inutile de prier si vous n’aimez pas. Les malades à la maison peuvent se contenter de prier et dire beaucoup de prières, prières jaculatoires, rosaires mais ceux qui marchent, vont à l'école ou travaillent doivent apprendre à aimer tous les hommes et prier ensuite. Dieu a donné tant et tant de messages. En aucun lieu de la terre il n'en a donné autant qu’ici. J’ai parlé partout de la lutte au sein de l’Eglise et du triomphe de l’Eucharistie, mais les messages n'en disent mot par peur d’avoir à affronter l'évêque et les autorités ecclésiastiques. Comme la Maman l’a dit, nous ne faisons pas de commérages, nous ne critiquons pas les hommes, ceux de l’Eglise y compris, mais nous les corrigeons tous, du plus petit au plus grand. C’est notre devoir de corriger pour mettre en pratique mon et votre évangile. Celui qui aime vraiment son frère, doit l’aider et donc le corriger si nécessaire, celui qui n’agit pas ainsi, ne l’aime pas. Ceux qui ne pensent qu'à eux, à leur petit coin, qui causent de grands dommages pour se sauver eux-mêmes, commettent des péchés graves. Beaucoup ont réussi à faire souffrir le prêtre, la voyante et les jeunes, parce qu’ils n'ont pas aimé et ne savent pas aimer. Ceux qui ne pensent qu'à eux, ne savent pas aimer.

Moi, Jésus, Doux Maître, je continuerai à venir au cours du mois qui m'est consacré pour vous aider. L'hostie qui a saigné sera toujours exposée si quelqu’un est prêt à l’adorer, mais vous ne pouvez pas exiger beaucoup, parce que le prêtre est seul. Ils disent que les messages se répètent, c’est vrai. Nous répétons souvent les mêmes choses. Le prêtre aussi répète souvent les mêmes choses, mais combien de fois ne vous dit-il pas une chose et vous en comprenez une autre? Pourquoi cela se produit-il? Parce que vous n'êtes pas attentifs, vous êtes préoccupés par vos propres affaires et n'écoutez pas ce que la Maman, votre Jésus et le prêtre vous disent. Pourquoi n'écoutez-vous pas les messages et ne les vivez pas comme Dieu le veut, comme Jésus et la Mère de l’Eucharistie le veulent?

Courage, mes enfants, c’est pour vous dire ces choses que je suis venu, je ne pouvais pas ne pas vous les dire; c’est la correction fraternelle que beaucoup d'êtres humains ne veulent pas entendre. Ils se réjouissent quand beaucoup de jeunes sont présents, quand beaucoup de personnes chantent et dansent. Mais qu’en reste-t-il après? Il n'y a que ça qui retient l’attention. Beaucoup ne viennent pas ici, parce qu’il n'y a pas foule.

Les prêtres croiront à ces miracles eucharistiques et à ces apparitions lorsque l’Eglise les reconnaîtra. Les religieuses et les laïcs disent de même: Après ce sera facile; mais c’est maintenant qu’ils doivent témoigner de leur confiance en Dieu, pas demain, parce que demain ce sera peut-être trop tard. Bonne rencontre biblique et tous mes voeux à toi, Marisella. Tu verras que la Maman sera près de toi. La souffrance ne te manquera pas.

Marisa - Je préfère mourir que de continuer à souffrir, parce que je n'en peux plus; Jésus, n'oublie pas Agata et tous les malades.

Jésus - Oui, ma chère épouse.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et de Moi, Dieu le Fils.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, Jésus. Excuse-moi, nous enverras-tu dans les Dolomites? Tu ne nous réponds jamais. Don Claudio, il n’a pas répondu.

Don Claudio - Irons-nous dans les Dolomites?

Marisa - Il n’a pas répondu. Nous y irons peut-être.

Don Claudio - Nous verrons demain.

Marisa - Je crains qu’il n'y ait rien d’autre à faire que d’attendre demain.

Rome, le 7 juin 1998, 11h30 (Message de Jésus et de la Madone)

Marisa - Oui, vous êtes à nouveau présents, les trois Jésus, la Très Sainte Trinité. C’est aujourd'hui votre fête, mais c’est aussi la nôtre. Jésus, je te recommande tous les malades; j’en suis une moi aussi.

Jésus - Mes chers enfants, je suis Dieu le Fils, mais vous avez également devant vous Jésus Eucharistie qui a versé du sang. Cette Eucharistie a fait l’objet de nombreuses attaques, mais Moi et les deux autres Personnes de la Trinité, nous sommes ici avec vous pour vous apporter la paix, la joie et la sérénité, pour autant que cela soit possible, attendu qu’il est difficile de vivre sur cette planète Terre. Vous qui avez accompli un chemin et qui croyez en Jésus Eucharistie qui a versé du sang, faites comprendre à tous les hommes, que Je suis toujours présent dans l’Eucharistie. J'éprouve un amour immense pour mes enfants, mais peu d’entre eux me le rendent, les grands en particulier. Vous, mon petit troupeau, faites tout pour aimer Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et moi Dieu le Fils. L’Eucharistie est mise à la seconde place, mais vous l’adorez comme le veut Dieu le Père.

Jésus Eucharistie qui a versé du sang est mis après tout le reste, alors que c’est le plus grand miracle. Il reste si longtemps seul dans les églises et même ici, dans ce lieu thaumaturgique, il est pratiquement toujours seul, tous ne viennent pas l’adorer, veiller une heure auprès de Jésus qui a versé du sang. Moi, Jésus, la deuxième Personne de la Très Sainte Trinité, je suis venu vous dire d’adorer cette hostie consacrée qui a versé du sang pour les hommes, les grands hommes. Faites ce sacrifice et à la fin Dieu vous en rendra mérite. Comme vous trouvez le temps de travailler, d'étudier, d’accomplir vos tâches ménagères et de vous divertir, parce qu’il est juste qu’il en soit ainsi, trouvez avant tout le temps d’adorer Jésus Eucharistie.

Vous avez compris vous mêmes, combien ce lieu thaumaturgique voulu par Dieu est attaqué par tous. Ils encerclent étroitement le lieu thaumaturgique pour l'étrangler Je serai toujours avec mes deux enfants, et même s’ils restent seuls, je continuerai à apparaître comme ma et votre Maman. Aimez vos enfants, respectez-les. Aimez vos maris, vos épouses et respectez-vous mutuellement, mais aimez surtout l’Eucharistie. Si vous recevez l’Eucharistie et que vous vous en nourrissez, vous aurez ce coin de Paradis dont ma et votre Maman vous a souvent parlé, vous serez plus sereins et plus forts, parce que l’Eucharistie donne la force et le courage d’avancer et de se battre sur cette planète Terre. Vous ne devez pas vous scandaliser si ceux qui détiennent le pouvoir se conduisent d'une certaine façon...

Priez et pratiquez la correction fraternelle qui n'est pas encore totalement comprise. Moi aussi j’ai corrigé le frère, petit et grand et j’en ai souffert. Ils se sont moqués de moi, m'ont pris pour un fou, m'ont couronné d'épines, flagellé et craché dessus, mais ce que je devais dire ou faire au nom de Dieu le Père, je l’ai fait sans peur. Certains d’entre vous penseront: "Mais Tu es Jésus".

Marisa - Oui c’est vrai, je l’ai pensé moi aussi. Que pouvons-nous faire comparativement à Toi?

Jésus - Non, ce n'est pas ainsi que vous devez penser. Vous êtes Fils de Dieu et vous devez défendre votre croissance spirituelle et ne pas permettre qu’elle soit foulée au pied. Vous avez grandi peu à peu. Parfois l’un s’arrête, recule, mais essayez d’aimer Jésus Eucharistie, la Mère de l’Eucharistie, le Pape, quel que soit son nom: c’est aujourd'hui Jean Paul II, ce sera un autre demain, aimez le Pape, priez pour lui. Votre soeur appelle Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et Moi Dieu le Fils, les trois Jésus, parce que nous sommes égaux; nous sommes maintenant ici présents. Elle Me reconnaît aux Stigmates et le Saint Esprit à la colombe; Dieu le Père est aussi ici présent. Aimez l’Eucharistie, aimez-vous entre vous, corrigez aussi les prêtres, n’ayez pas peur de le faire.

Marisa - Ecoute, Jésus, puis-je te dire quelque chose à la Marisa? Les prêtres parlent de théologie et nous ne les comprenons pas, après je ne comprends vraiment plus rien.

Jésus - Mais et l’Esprit Saint ? Invoquez l’Esprit Saint. Je veux, parce que Dieu le Père le veut, qu’il y ait une grande fête pour la Fête-Dieu, Fête du Corps et du Sang de Jésus. Courage, mon petit troupeau, quand votre heure viendra, ce lieu thaumaturgique sera comble. Même si vous n'êtes pas nombreux, vous voyez que Moi et la Maman, nous sommes quand même venus, même si vous avez été très peu nombreux dans le mois qui lui est consacré. Adorez Jésus Eucharistie qui a versé du sang, adorez la Trinité, aimez la Mère de l’Eucharistie, le Pape et votre prêtre. Merci de répondre à l’appel. Je vous invite encore à faire l’adoration. Je l’ai dit bien des fois, la Maman et le prêtre l’ont dit aussi souvent. Pourquoi devons-nous toujours répéter les mêmes choses? C’est si beau de parler d’amour, de prier ensemble et de ne pas avoir à répéter les mêmes choses. Si vous croyez, vous devez aussi faire quelque chose en plus. Courage, mon petit troupeau, je suis avec vous. Courage, Don Claudio, courage aussi, Marisella.

Marisa - Ne m’appelle pas Marisella.

Jésus - Disons maintenant tous ensemble le Gloire au Père.

La Madone - Mes chers enfants, la Maman est ici avec vous et a écouté le message de Dieu le Fils. Moi aussi, comme Lui, je vous dis d’adorer l’Eucharistie qui a versé du sang. Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les enfants et les malades. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Je n’ai pas donné à temps un baiser à Jésus parce que Lui et L’Esprit Saint sont rentrés tous les deux dans Dieu le Père et Dieu Un et Trois est parti. Adieu. Quand la Madone s'est avancée, Jésus et l’Esprit sont rentrés dans Dieu le Père qui avait les bras étendus. J’ai vu un beau nuage, radieux et puis je n’ai plus vu Dieu, mais la Madone avec tous les anges, les saints et les âmes sauvées. Ils étaient beaux.

Don Claudio - Je le crois, Dieu est magnifique, infiniment beau.

Marisa - Il n'y a aucun homme de la terre qui soit beau comme Dieu. Quand je lui ai recommandé les malades, je me suis également recommandée à lui.

Don Claudio - Tu devais le faire.

Marisa - Mais je me suis sentie un peu gênée.

Don Claudio - Tu as obéi.

Marisa - J’ai obéi, d’accord. Loué soit Jésus Christ.

Don Claudio - Qu’il soit toujours loué.

Rome, le 14 juin 1998, 12h00 (Message de Jésus)

Marisa - Tu es venu en habits de fête et le sang coule de tes mains.

Jésus - C’est aujourd'hui la fête du Corps, du Sang, de l’ame et de la Divinité de Jésus. J’ai versé tout mon sang pour vous. Continuez à adorer l'hostie qui a versé du sang. J'y suis présent avec mon corps, mon sang, mon âme et ma divinité. Ma Maman est la Maman de l’Eucharistie. Priez et adorez Jésus Eucharistie de tout votre coeur, le plus que vous le pouvez. Votre soeur voit le sang s'écouler de mon coeur, de mes mains et les anges sont prêts à le recueillir dans le calice. Ce sang est pour vous et pour tous les hommes de la terre.

C’est aujourd'hui une grande fête et vous avez cherché par tous les moyens à la préparer du mieux possible dans ce lieu thaumaturgique. Priez pour tous ceux qui n’aiment pas Jésus Eucharistie, le Pape de l’Eucharistie, le prêtre de l’Eucharistie et vous, laïcs de l’Eucharistie. Vous avez donné tant de joie à mon Coeur. Je suis descendu du ciel et vous ai apporté le pain du ciel; ne le détruisez pas et ne vous conduisez pas comme une autorité de l’Eglise qui a dit avec dédain et très durement: "Qu’est-ce que ce morceau de pain?". Priez, adorez l’Eucharistie, priez pour ceux qui ne croient pas, mais priez surtout pour ceux qui disent croire, mais n’aiment pas. Il y a des prêtres qui deviennent méchants quand ils savent que quelqu’un vient prier dans ce lieu thaumaturgique, devant Jésus Eucharistie qui a versé du sang: ne discutez pas et priez pour eux. Recommande-moi aussi tous ceux qui se sont confiés à tes prières.

Marisa - Oui, Jésus, je te les recommande tous, mais il y en a tant, petits et grands.

Jésus - Tu ne me recommandes pas ta maman?

Marisa - Si, je te recommande aussi ma maman. j’espérais que pour le peu de temps qui lui reste, tu l’aurais fait vivre avec moins de souffrance, mais la souffrance augmente au contraire. J’aimerais tant m’abandonner à Toi, mais cela reste très difficile pour moi: cela me fait si mal de voir une personne âgée clouée au lit et subir une opération. J’ai moi-même été opérée il y a peu de temps.

Jésus - J’ai guidé la main de ton professeur, ne puis-je guider la main du professeur de ta maman? Tu sais que grand-mère Iolanda est très importante pour nous.

Marisa - Alors pourquoi la fais-tu souffrir autant? Elle a toujours des douleurs, toujours.

Il y a beaucoup de malades qui demandent de l’aide pour aller un petit peu mieux, beaucoup de personnes qui souffrent spirituellement et moralement. Crois-moi, Jésus, il y en tant et Tu le sais. Si la fin des souffrances arrive bientôt, nous arriverons à les supporter, mais si la lutte est encore dure et la victoire lointaine, nous, qui sommes si fatigués, nous nous écroulerons. Jésus, as-tu vu que j’ai cassé ce matin la petite madone thaumaturgique, celle de Selenia? Je pensais pouvoir la prendre, mais mes bras ont cédé. J’ai fait très peur à ton et mon prêtre. Je ne l’ai pas fait exprès, je voulais aider dans ma petitesse.

Jésus - Mes très chers enfants, ici présents, que peut vous dire Jésus après s'être donné tout entier pour vous, après avoir versé sang et eau, souffert la flagellation, le couronnement d'épines et le crucifiement? Je suis ressuscité des morts et monté au ciel. Je ne veux pas vous souhaiter la flagellation, le couronnement et le crucifiement, mais vous inviter à accepter les petites croix que Dieu vous envoie, pour être forts, parce que la souffrance vous donne des forces pour aider le prochain et ceux qui en ont besoin. Courage, Selenia, sois forte.

Marisa - Ecoute, tu as dit que la croix et le crucifiement ne sont pas pour nous, mais j’ai quelque chose à te dire à ce propos. Tu ne me les as pas enlevés, ni au prêtre qui est resté seul contre tous les prélats et le clergé.

Jésus - Courage à tous, mes chers enfants. Si vous aimez Jésus Eucharistie, vous sentirez mon aide, même s’il vous semble parfois très loin; vous sentirez l’aide de la Mère de l’Eucharistie, des anges, des saints, de vos parents défunts qui sont sauvés. Vous voyez que vous avez beaucoup d’aide.

Vive Jésus Eucharistie, vive la Mère de l’Eucharistie, vive la Trinité. Courage à vous tous. Faites avancer cette mission, en faisant preuve de solidarité à l'égard de votre prêtre. Merci à tous et bonne fête, à ceux aussi qui sont hospitalisés. Montre-moi maintenant, Marisella, le cadeau auquel tu tenais tant.

Marisa - J'y tenais parce que c’est à une enfant qui s’appelle Flavia.

Jésus - Oui, je sais qu’elle s’appelle Flavia.

Marisa - Donne lui une bénédiction particulière, ainsi qu’au petit frère Gianluca, au petit cousin Jacopo, aux parents, grands-parents, oncles et tantes; bénis-nous tous, on n'offensera ainsi personne. Mais donne une bénédiction particulière à cette enfant qui va entrer dans la famille de nous chrétiens. Ne peux-tu pas remuer un peu le coeur des parents? C’est le jumelage que tu as demandé, le jumelage spirituel. Jésus, ne nous fais pas dépenser trop d’argent pour la clinique, parce que nous ne l’avons pas.

Jésus - Je sais.

Marisa - Alors, tu peux nous aider? Merci.

Jésus - Disons maintenant tous ensemble le Notre Père, en regardant vers le ciel où Je me trouve avec les anges qui recueillent mon sang. Donnez-vous la main, mes chers enfants, serrez-vous les uns contre les autres.

Marisa - Ne fais plus couler de sang, sinon où le mettrons-nous?

Jésus - Courage, Don Claudio, tu es fort et tu as toutes ces âmes près de toi qui prient. La mission est grande, la souffrance est grande et la victoire sera grande. Vous tous, mes chers enfants, aidez le prêtre.

Marisa - Tu n’as plus rien nous dire?

Jésus - Aimez-vous, puis priez. Apprenez à aimer, puis priez. Un merci à tous ceux qui sont venus de loin et aux malades.

Je vous bénis, ensemble avec le prêtre. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Excuse-moi, mais la Maman?

Jésus - La voilà, près de moi. Tu ne la vois pas?

Marisa - Elle dit toujours: "Je vous couvre tous de mon manteau et vous serre fort sur mon coeur".

La Madone - Allez en paix. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Je ne plaisante plus maintenant. Jésus est parti et la petite Madone est là... Pourquoi ne vas-tu pas voir ma maman et lui tenir compagnie? Merci, si tu peux y aller. Elle est presque toujours seule, avant ici, maintenant là-bas, même si elle a près d’elle sa fille, ses petits enfants et ses enfants. Tu l’aideras demain lors de l’opération? Elle a peur. Ils semblaient pressés. Don Claudio, ils sont partis en courant, mais pas comme nous courrons. Ils sont partis tous ensemble.

Rome, le 18 juin 1998, 17h35 (Message de Jésus)

Marisa - Jésus, n'es-tu pas fatigué de nous voir toujours au lit? C’est pourquoi, Jésus, j’aimerais te recommander tous les malades, surtout ceux qui le sont spirituellement. Je vois que la petite Madone est aujourd'hui aussi près de Toi.

Jésus - Mais c’est moi qui parle, Marisella, parce que c’est le mois consacré à mon Coeur; un mois oublié par les hommes. La grande bataille approche; continuez à prier pour les non- croyants, mais surtout pour les croyants, pour ceux qui disent croire. Tu vois le sang s'écouler de mes plaies, il doit convertir tous les hommes. Ils doivent se préparer au grand moment, mais malheureusement ils ne croient pas, n’aiment qu’eux, ne pardonnent pas, tuent très facilement, surtout avec la langue et font souffrir.

Je suis venu ici pour vous aider à prier, à vraiment vous convertir et à vous donner totalement à mon Coeur, parce que Je Me suis donné tout entier à vous; je vous ai donné mon Corps, mon Sang, mon Ame et ma Divinité. Mon prêtre bien-aimé, comme Je suis en toi, tu es en Moi, comme je suis en ceux qui m’aiment et ils sont en Moi. Mon amour va aussi vers ceux qui ne croient pas, qui n'ont pas reçu d’aide, n'ont pas connu Jésus et l’Evangile que personne ne leur a enseigné. Vos enfants sont très loin de l’Eglise, parce que personne ne leur a enseigné à m’aimer et Me connaître; mais vous les jeunes, vous enseignerez demain à vos enfants à connaître Jésus, Dieu le Fils et le saint Evangile et ils vivront des temps plus beaux, plus calmes et plus tranquilles qu’aujourd'hui. Marisella, que veux-tu me demander ?

Marisa - J’aimerais savoir quand le bras de Dieu s’abaissera. Non pour les autres, mais pour nous qui sommes un peu fatigués. Si Dieu aime les non-croyants, il doit aussi nous aimer.

Jésus - Je te dis: "Voilà ce coeur qui a tant aimé les hommes". Vous, dans votre petitesse, en tant qu'êtres humains, vous essayez d’aimer et de vous donner aux autres; mais comment vous répondent-ils? La même chose s'est passée pour Moi. Ils n'ont pas répondu à mon abandon total, ils m'ont crucifié. Le mois de Marie consacré à ma et votre Maman, est passé quasiment inaperçu, comme le mien est passé quasiment inaperçu. Oh si l'homme parvenait à donner à Dieu autant que ce qu’il s'octroie pour les choses matérielles, le monde entier serait en paix et tranquille, sans guerres, meurtres, avortements, sans que des enfants soient jetés aux ordures et sans que soient tués ceux qui croient en Moi. Courage, préparez-vous à ces durs moments, puis ce sera la joie pour vous et surtout pour les jeunes et les enfants. Courage, mes chers enfants, Jésus est avec vous, ma et votre Maman est avec vous, et mon papa Joseph est aussi avec vous.

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers, et vos objets sacrés. Je bénis tous les enfants et le petit Jacopo.

La Madone - Et moi, votre Maman, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel, Adieu Jacopo.

Jésus - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et de Moi, Dieu le Fils. Loué soit Jésus Christ. Un salut et mes voeux à toi, grand-mère Iolanda.

Marisa - Et à moi? A moi, toujours rien? Adieu. Mais quand tu reviendras, ne viens pas aussi ensanglanté, parce que tu me fais souffrir. Adieu.

Don Claudio il était aujourd'hui ...

Don Claudio - En sang?

Marisa - Oui. Comment le sais tu? Je n’avais pas fini de parler.

Don Claudio - Je l’ai dit.

Marisa - Il a parlé des temps à venir pour les jeunes et les enfants; ils seront beaux pour eux.

Don Claudio - Les bienheureux. Nous avons lutté et ils jouiront, c’est bon. Nous sommes heureux pour eux, nous ne sommes pas jaloux.

Rome, le 21 juin 1998, 11h30 (Message de Jésus)

Marisa - Tu es venu en habits de fête encore aujourd'hui?

Jésus - Oui, je suis venu prier avec vous, mais je vous attends aussi pour la clôture du mois qui m'est consacré.

Mes chers enfants, merci de votre présence et de l’amour que vous portez à Jésus Eucharistie qui a versé du sang et est présent devant vous. Je vous aime tous, mes chers enfants, d'un amour immense et c’est pourquoi je me suis donné tout entier. Je vous invite à prier pour la conversion de ceux qui ne croient pas et avant tout pour ceux qui disent croire. Priez pour les missionnaires, les drogués, les malades et les personnes âgées qui sont seules. Priez pour toutes les intentions qui vous sont si souvent recommandées par ma et votre mère. Vous comprenez maintenant qu’il y a beaucoup de choses qui laissent à désirer sur cette planète terre et que les hommes se battent et se tuent souvent uniquement par envie et jalousie. Les hommes d’eglise et les grands hommes politiques profitent de la faiblesse des petits et les écrasent très facilement. Combien de fois la Maman ne vous a-t-elle pas dit "Priez pour ceux qui détiennent le pouvoir et écrasent tant de petits hommes".

Priez pour tous ceux qui sont sans travail, pour ceux qui n'ont qu’un petit salaire mensuel et doivent nourrir une famille. Pourquoi l’argent ne pourrait-t-il pas être divisé en parts égales pour tous? Ce serait si beau, mais c’est très difficile pour l'homme, car plus il en a et plus il en veut. Il ne se contente pas de peu pour avancer et vivre tranquille. Je suis venu ici pour prier avec vous, avec ma et votre Maman, mon papa Joseph, les anges, les saints et les âmes sauvées. Aujourd'hui, Marisella, ton papa est à côté de Moi: il est une âme sauvée.

Marisa - Oui, et j’en reconnais d’autres aussi.

Jésus - Il y a les âmes sauvées de tous les êtres chers de ceux ici présents et comme je vous l’ai déjà dit, cela ne veut pas dire qu’elles sont au Paradis, mais au Purgatoire et ont besoin de vos prières et surtout de messes. Et toi mon prêtre bien-aimé, tu dois dire la Sainte Messe, parce que c’est la volonté de Dieu le Père.

Marisa - Jésus, laisse nous d’abord partir en paix en vacances, parce qu’autrement nous devrons recommencer la lutte contre les calottes. A qui devons-nous obéir? Si nous obéissons à Dieu, les autorités ecclésiastiques disent que nous leur désobéissons. Si nous obéissons aux autorités, Dieu dit que nous lui désobéissons; à qui devons-nous donc obéir Ecoute, ne pouvons nous pas en parler au mois de septembre ?

Jésus - Mais tu ne veux pas obéir, Marisella ?

Marisa - Moi si, mais je ne dois pas dire la Sainte Messe.

Tous les anges et les saints entourent Jésus. Ils l’acclament et chantent: " Gloria, Alleluia, Jubilate Deo ".

Jésus - Mes chers enfants, je sais que du point de vue humain, il est difficile de s’abandonner à Dieu, mais vous qui avez été choisis par Dieu, vous devez vous abandonner à Lui.

Marisa - Jésus, je t’en prie, en septembre. Au mois de septembre, le prêtre dira toutes les messes que tu veux et même tous les jours.

Jésus - Nous parlerons ensuite toi et moi, Marisella.

Marisa - Alors, excuse moi, peux-tu parler seulement avec le prêtre, afin que je me sente plus tranquille?

Jésus - Mes chers enfants, c’est une grande joie de vous voir ici réunis pour prier. Mes deux chers enfants ont pris toutes les précautions possibles pour que vous n’attrapiez pas d'insolation. C’est pourquoi ils ont fait cette bâche et tout ce qu’ils pouvaient faire. Mais un pèlerinage doit en plus de la joie et de l’amour, inclure aussi des sacrifices, de la fatigue, la chaleur et bien d’autres inconvénients. Dieu sait tout et pourvoit à tout. Je vous demande encore aujourd'hui d’adorer Jésus Eucharistie qui a versé du sang et que vous avez tous vu. Priez, adorez-le, souffrez et faite des offrandes avec amour pour l’Eglise, le Pape et les grands hommes politiques. Ils aiment tous parler, ils parlent sans arrêt, mais ne pensent qu'à eux; aucun ne pense aux pauvres, aux malades ou aux chômeurs. Ils disent beaucoup de choses, et ne savent jamais parler d’amour. Je vous ai enseigné l’amour: apprenez d’abord à aimer, puis priez. Si vous ne savez pas aimer votre prochain, vous ne pouvez pas prier. Ce message est répété parce que beaucoup n'ont pas encore bien compris qu’ils devaient d’abord aimer et puis prier.

Merci de répondre à ce que je vous ai dit. La maman est ici présente et vous regarde tous d'un immense amour. Elle remercie le prêtre, les soeurs et ceux qui, bien que n'étant pas informés, sont venus ici et se sont arrêtés pour écouter. Priez, parce que les temps sont proches et difficiles, mais le triomphe de la vérité et de l’Eucharistie viendra ensuite. Merci.

Ensemble avec les prêtres, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. j’envoie un baiser aux enfants.

La Madone - Et moi, votre maman, je vous porte tous dans mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, Jésus.

Ils sont tous partis. J’ai vu papa aujourd'hui. Toutes les âmes sauvées étaient aussi présentes. Papa était beau, détendu, serein.

Rome, le 25 juin 1998, 17h30 (Message de Jésus)

Jésus - Je suis de nouveau parmi vous pour apporter à tous ma paix, ma joie et mon amour. Vous êtes-vous rendus compte, mes chers enfants, combien il est difficile d'obéir? L’obéissance est une belle et très grande vertu, mais les hommes la détruisent avec leur pouvoir. Il est juste de se demander si l’on doit obéir à Dieu ou aux autorités ecclésiastiques. Moi, Jésus, Dieu, j’ai obéi à Dieu, la Mère de l’Eucharistie a obéi à Dieu, les apôtres et les saints ont obéi à Dieu. C’est très beau et juste d'obéir aux autorités ecclésiastiques, comme je l’ai déjà dit dans un autre message, mais les autorités doivent parler avec amour à leurs enfants et non en faisant du chantage.

Vous clôturerez dimanche l’année sociale. Faites un examen de conscience et demandez-vous si vous avez progressé et de combien vous avez progressé, spirituellement parlant et qui vous a aidé à le faire. C’est vrai que dans les temps antiques et au moyen âge, votre soeur aurait été condamnée au bûcher, mais nous ne sommes pas en ces temps, nous sommes presque au troisième millénaire et il y a encore quelqu’un qui aimerait faire monter mes deux enfants sur le bûcher. C’est pourquoi, quand l’obéissance n'est pas demandée avec amour, sincérité et simplicité, on ne doit pas obéir à ceux qui oppriment, tuent et sont conscients de faire le mal.

Pendant ce mois qui M'est consacré, j’ai beaucoup prié avec vous et avec ces âmes qui sont venues tous les jours adorer Jésus Eucharistie qui a versé du sang. Il vous reste encore quelques jours pour faire l’adoration, puis Dieu le Père, le Saint Esprit, Moi et la Mère de l’Eucharistie, nous vous dirons si vous devez conserver la sainte hostie, garder Jésus Eucharistie qui a versé du sang ou la consommer. C’est triste pour Moi de devoir vous dire qu’il y a beaucoup et beaucoup de prêtres immoraux, qui pèchent constamment, mènent une double vie et ne sont pas soumis à la suspense a divinis. Ils occupent même des postes importants au sein de l’Eglise. En revanche, après 35 ans de sacerdoce, un prêtre a été suspendu a divinis, parce qu’il a dit une fois la Sainte Messe, en obéissance a Dieu. Il aurait dû Me renier, Moi, Jésus Eucharistie, il aurait dû dire qu’il vous avait trompés, mes chers enfants pour pouvoir exercer à nouveau son ministère sacerdotal. Non, cela suffit maintenant. Ce jeu a pris fin il y a des années et celui qui veut continuer à aimer l’Eucharistie, Dieu, la Mère de l’Eucharistie, le Pape et les âmes, doit obéir à Dieu.

Si le Pape intervient, et s’il intervient avec sagesse, vous obéirez au Pape, mais l’obéissance va en premier à Dieu. Ceux qui n'y croient pas se trompent. Beaucoup de prêtres répètent : "Obéissance aux autorités ecclésiastiques". Mais à quelles autorités ecclésiastiques? Celles qui aiment ses enfants ou celles qui les détruisent? C’est triste, mais c’est Moi, Jésus, qui vous parle ainsi. Votre solidarité envers le prêtre m’a touché, continuez à la montrer, parce qu’il est encore seul et vivra encore de durs moments, mais la victoire arrivera pour tous, alors ce sera très triste pour ceux qui ont abusé de Moi. Tu veux me dire quelque chose, Marisella ?

Marisa - Oui, je veux te demander si tout reste à septembre. Comme à l'école les élèves recalés repassent en septembre, cela vaut aussi pour nous. Envoie nous tranquillement en vacances, j’ai si peur. Je veux obéir à Dieu; si je ne Lui avais pas obéi, je ne me trouverai pas dans cette situation maintenant; ne te semble-t-il, cher époux, mon époux bien-aimé? Au contraire, pour avoir toujours obéi à Dieu, nous nous trouvons dans cette douloureuse situation. Veux-Tu qu’ils nous détruisent?

Jésus - Je veux vous faire aimer Dieu totalement. Le prêtre est libre de faire ou de ne pas faire la volonté de Dieu, vous êtes libres de l’aider, de le soutenir, de lui donner tout votre amour. Vous ne pouvez pas non plus vous imaginer combien de prêtres et de religieuses croient en ce petit lieu thaumaturgique, mais comme je vous l’ai déjà dit et comme ma et votre Maman vous l’a dit aussi, ils ont peur de perdre leur paroisse ou leur siège, ont peur de perdre leur argent; c’est fort triste. Votre prêtre s'est dépouillé de tout et a toujours donné avec amour, sur le plan spirituel comme sur le plan matériel, il est toujours prêt à donner; mais il est très fatigué maintenant et c’est à vous de l’aider pour qu’il puisse se reposer et bien reprendre au mois de septembre. Je viendrai encore parmi vous, je serai encore avec vous, comme le dit la Maman, quand vous ferez l’agape.

Marisa - Tu as appris, toi aussi, à dire agape. Qu’est-ce que c’est que ce mot?

Don Claudio - C’est grec.

Jésus - Oui, je sais.

Marisa - Jésus, je te prie de ne pas permettre qu’ils nous détruisent encore, parce que nous n'en pouvons plus; un autre coup comme la suspense a divinis et nous nous écroulons.

Jésus - Alors tu n’as pas confiance en Dieu ?

Marisa - Que dois-je lui répondre?

Don Claudio - Si.

Marisa - Si.

Jésus - Courage, Marisella, ne te fais plus tant de soucis, pense à la jambe de ta maman et à la tienne dont l'état est encore pire.

Marisa - Ah, je sais, alors fais qu’elle aille bien et que j’aille mal.

Jésus - Adieu, grand-mère Iolanda, je te remercie de toutes les souffrances que tu offres. Même si tu pleures et te lamentes parfois, ne te fais pas de soucis, Je suis Jésus, ce Jésus qui a souffert pour tous, Je comprends, sois tranquille, j’accepte tout. Courage, grand-mère Iolanda, courage, sois forte. Tu as beaucoup donné, continue à donner.

Marisa - Et à moi? Tu ne dis rien?

Ne me dis pas d’autres choses tristes. Non, je ne veux pas l'entendre, j’entends quand même. Pourquoi est-ce que j’entends? J’ai quand même entendu ce qu’il a dit.

Don Claudio - Pas nous.

Jésus - En avant, donnez-vous la main et ensemble avec Moi, votre Père, criez : Notre Père ... Merci à toi aussi, Anna, pour tout ce que tu fais pour ta maman et pour mes enfants; Dieu te bénira pour cet amour, pour ce sacrifice. Tu le ferais pour tous, pour quiconque dans le besoin. Merci. Tous mes voeux à tous, au revoir et à dimanche, quand nous serons ensemble sur l’autel; n'est-ce pas Don Claudio?

Marisa - Comme c’est adroit.

Don Claudio - Il a lu dans mon coeur. J’ai dit oui.

Jésus - Marisella, Marisella!

Marisa - Oui.

Jésus - Ne vois-tu pas non plus que la Petite Madone est près de Moi? Il y a Saint Joseph ainsi que Saint Jean Baptiste, Saint Louis de Gonzague, Saint Jean Bosco et Padre Pio.

Marisa - Saint Claudio?

Jésus - Il y a Saint Claudio, mais il n'est pas près de Moi, parce qu’il est encore sur la terre. Courage, mes chers enfants, courage à tous, un merci à ceux qui ont aidé et coopéré à cette mission. Moi, Jésus, je vous bénis, ensemble avec le prêtre.

La Madone - Et, moi, votre Maman, je vous porte tous dans mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, Jésus. Mais tu dois nous aider, sinon cette fois ils nous enverront au bûcher et même si ce n'est plus de mode aujourd'hui, ils l’inventeront. Adieu. Il est parti. Je lui ai dit qu’ils nous enverront au bûcher.

Don Claudio - Ils ne peuvent pas nous y envoyer.

Marisa - Ils ne peuvent pas nous y envoyer?

Don Claudio - Non! Ils aimeraient le faire, mais ils ne le peuvent pas.

Marisa - Tu en es sûr?

Don Claudio - Tout à fait sûr.

Marisa - Et toi que feras-tu dimanche?

Don Claudio - Je célèbrerai la sainte Messe.

Marisa - Je serai mal, j’aurai quarante de fièvre et je ne pourrai pas descendre.

Don Claudio - Jésus a dit: Moi et toi nous serons sur l’autel.

Rome, le 28 juin 1998, 11h00 (Message de Jésus)

Marisa - Tu a revêtu, Toi aussi, tes habits de fête.

Jésus - C’est un grand jour pour vous, mes chers enfants. Ce jour a été voulu par Dieu. Dieu vous laisse toujours libres, il vous laisse décider, mais Moi, Jésus, j’ai décidé d'être sur l’autel avec le prêtre, parce qu’il est en Moi et que Je suis en lui. Mes chers enfants, je vous ai déjà dit dans un message que beaucoup de prêtres ne sont pas en ordre avec Dieu, mais comme ils ne dérangent pas les autorités ecclésiastiques, on les laisse libres de faire le mal, d'être immoraux, de calomnier et diffamer très facilement, et après ils célèbrent la Sainte Messe tous les jours; je ne sais pas avec quel courage, je ne peux pas vous le dire. En revanche, les prêtres qui sont bien, ceux qui m’aiment immensément, Moi, Jésus Eucharistie, sont victimes d’attaques, de calomnies et de diffamations. Dieu veut qu’il n’arrive plus jamais, qu’un prêtre qui est bien, soit empêché de dire la sainte Messe. Ceux qui sont bien, dans la grâce, avec l’Eglise, et l’Eglise est de Dieu, doivent toujours célébrer la Sainte Messe, aucun homme d’eglise ne peut le leur interdire, à moins de péchés très graves. Comme vous l’avez constaté, appris et vu, il n'y a absolument rien de grave dans le cas de votre prêtre, seulement beaucoup d’amour, beaucoup de générosité de sa part et de la vôtre; c’est pourquoi j’ai demandé qu’on soit solidaire avec lui. Vous n'êtes pas nombreux à répondre à mon appel, parce qu’ils ont très fait travaillé pour que les âmes ne viennent pas dans ce lieu thaumaturgique; vous qui avez répondu à l’appel et êtes attentifs à l’appel de Dieu, vous serez bénis et récompensés pour votre solidarité avec le prêtre.

Ce sont des moments difficiles, mais beaux, par ailleurs l’amour inclus toujours le sacrifice. Réjouissez-vous aujourd'hui, exultez avec Moi, avec la Mère de l’Eucharistie, les anges, les saints et vous-mêmes; réjouissez-vous, exultez, chantez le Gloire à Dieu! Dieu accorde de grands dons pour que la foi augmente dans le coeur de tous les hommes, qu’il y ait des conversions et un grand amour pour Dieu. Les saints ont tout donné à Dieu et ne l’ont pas regretté. Si ce qui est arrivé ici s'était passé au Moyen Age, mes deux enfants auraient été envoyés au bûcher. Sainte Jeanne d’arc a d’abord été condamnée au bûcher par des prêtres, puis déclarée sainte par des prêtres; les prêtres l’ont d’abord condamnée puis glorifiée. N'oubliez pas que le prêtre est un homme comme les autres, et qu’il a aussi ses problèmes, ses défauts, ses imperfections, mais il ne doit pas en avoir en plus! Il ne doit pas tomber dans l’immoralité, la médisance, la calomnie et la diffamation. Ils diffament et calomnient une personne sans même la connaître. Vous, comme je vous l’ai déjà dit bien des fois, priez pour eux, en particulier pour ceux qui mènent une double vie; vous dites qui mangent à deux râteliers pour avoir tout.

Dieu a voulu et ordonné que le prêtre célèbre la sainte Messe. Comment vont-ils y répondre? Que vont-ils faire? Abandonnez-vous à Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et à Moi, Dieu le Fils, puis ce sera la victoire. Votre soeur a très peur, pas pour elle, mais pour le prêtre parce qu’elle connaît ces personnes et a malheureusement raison. C’est avec une grande souffrance que je dois dire qu’ils sont vindicatifs à l'égard de l'homme créé par Dieu; ils n'ont aucunes pensées pour le prêtre appelé par Dieu, ils pensent seulement à se venger pour le détruire. C’est pourquoi je vous invite tous à bien vivre la sainte Messe, pas seulement aujourd'hui, mais tous les jours; ceux qui vont quotidiennement à la Messe doivent la vivre comme si c'était la dernière de leur vie. Quand le prêtre célèbrera la sainte Messe, participez-y de tout votre coeur et priez pour ceux qui ne savent pas aimer. Souvenez-vous que Je suis en lui et qu’il est en Moi et que ma et votre Maman sera sur l’autel près du prêtre et priera avec vous. La Madone ne consacre pas l’Eucharistie, ne célèbre pas la sainte Messe, elle apporte l’Eucharistie et prie avec vous. Mes voeux à tous et préparez-vous à vivre cette sainte Messe en compagnie de Dieu, de l’Esprit Saint, de Moi Jésus, de la Mère de l’Eucharistie, des anges, des saints et de toutes les âmes sauvées de vos parents défunts.

Il y aura d’abord la sainte bénédiction avec Jésus Eucharistie, puis la sainte Messe et je le répète, vivez-la comme si c'était la dernière de votre vie, de tout cotre coeur, avec amour; ne vous retournez pas, ne parlez pas, mais recueillez vous profondément et dites: "Jésus je suis avec Toi, veux-Tu venir dans mon coeur?" et si votre coeur est en état de grâce, Je volerai dans votre coeur. Vous ne pouvez pas, au moins jusqu'à aujourd'hui, avoir vu voler l’Eucharistie, parce que l’Eucharistie n’a jamais volé, elle a été transportée. Je viens dans votre coeur pour vous donner force, courage et amour, amour à tous. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Il est parti avec la Madone et tous les anges, les saints et les âmes sauvées.

Don Claudio - Et maintenant?

Marisa - La Madone doit revenir.

Don Claudio - Maintenant?

Marisa - Je ne sais pas. Je ne sais jamais rien. (Le choeur entonne "Viens Marie")

Marisa - Je savais que tu reviendrais.

La Madone - Marisella, je suis venue parce que tu dois me montrer la préface.

Marisa - C’est mieux que je te la montre. Jésus avec le Père et le Saint Esprit. Une vision magnifique. C’est la préface du cinquième livre, si tu veux y jeter un coup d'oeil, si tu veux la lire, la voilà.

La Madone - Voilà, j’ai tout lu.

Marisa - s’il y a une erreur, quelque chose à changer, dis-le.

La Madone - Mais je l’ai déjà lue et relue.

Marisa - Alors que dois-je faire?

La Madone - Tu la tiens dans tes mains et je la bénis.

Marisa - Attends, je voulais te faire voir une page. Où est-elle? Je ne m'en souviens plus.

La Madone - Marisella, c’est la page trente six.

Marisa - Attends que je la trouve. Ce qui y est écrit est très accablant. Oui, voilà la page trente six.

La Madone - Oui, celle-là doit être retirée, non parce qu’elle ne dit pas la vérité, mais parce que cela les rendrait encore plus méchants.

Marisa - C’est bien ainsi? Celle-là nous l'enlevons, Don Claudio.

Don Claudio - Mais nous l’avons déjà enlevée.

Marisa - Justement, elle veut nous montrer qu’elle est d’accord avec nous.

Sais-tu comment disent les jeunes? Tout est ok! Tout est ok! La page quarante quatre doit être corrigée. Tout le reste est bien? Merci. Je veux maintenant te demander une chose, parce que tu es notre Maman. Quelles sont tes intentions pour cette dame (elle montre sa jambe)? Je n'en peux plus. J’aimerais également te recommander tous ceux qui se sont recommandés à mes prières, en particulier les petits enfants avec des tumeurs; il y a tant de malades. Oui, toi, en tant que Maman, tu peux le faire. Ecoute, quand vas-tu courir ou voler vers Dieu?

La Madone - Je ne cours ni ne vole. Je volerai quand Dieu me dira de me faire voir du prêtre.

Marisa - Mais ne le dis pas, parce que le pauvre attend de te voir depuis 90. Tu te fais voir de lui et tu ne viens plus me voir, je suis heureuse; c’est-à dire que cela me fait de la peine. Fais-toi voir du prêtre, il le mérite le pauvre, tiens ta promesse.

La Madone - Mais le Paradis ne vous suffit pas?

Marisa - Don Claudio... Pourquoi ne te fais-tu pas voir de lui maintenant? Tous attendent que tu te fasses voir de lui.

La Madone - Marisella, tu demandes trop.

Marisa - Je demande trop? Pourquoi, Dieu ne me demande-t-il pas beaucoup? Cela m’a échappé, mais c’est vrai.

La Madone - Donnez-vous maintenant tous la main et criez ensemble: Notre Père.

Je donne un baiser à grand-mère Iolanda qui souffre énormément et accepte beaucoup de souffrances pour le triomphe de la vérité. Elle prie beaucoup et fait des offrandes pour Don Claudio. Adieu, grand-mère Iolanda, le baiser de la Maman va jusqu'à toi.

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés.

j’envoie un baiser aux enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Elle est partie, mais elle ne courrait pas.

Rome, le 29 juin 1988, 19h05 (Message de la Madone et de St. Pierre et St. Paul)

Marisa - Qu’aurais-tu fait à ma place?

La Madone - J’aurais fait comme toi, ma fille. Pierre et Paul sont ici avec moi. En tant que Maman, je te remercie mon cher prêtre bien-aimé, pour tout ce que tu as fait avec amour et sacrifice pour la petite grand-mère Iolanda, je remercie sa fille Anna ainsi que Selenia qui a tant donné et donne encore beaucoup. Je te remercie également, Laura, quand tu le veux tu sais bien faire; merci de l’aide que tu as donné ces jours-ci à mes deux chers enfants; les épreuves ne leur manquent pas et Dieu continue encore à permettre la souffrance, la peur et le découragement, même si peu à peu, tout s’aplanit et que la souffrance demeure. Je sais que tu es triste, ma fille, tu aimerais crier: "Hallo, mon Dieu es-tu occupé?", tu as raison humainement parlant. Dieu t’a mis à l'épreuve en employant tous les moyens. Dis simplement ce que tu as dans le coeur.

Marisa - Je te le dis bien sûr. J’ai remercié Dieu et lui ai dit: "Merci pour les années que tu as données à ma maman", mais j’ai toujours vu souffrir cette femme. Cela m’afflige énormément, je t’ai dit de ne pas me la faire voir encore souffrir, je n'en peux plus et toi, qui es Maman, tu peux me comprendre mieux que les autres. Elle a maintenant été transférée et j’aurais aimé voir son visage plus serein et plus tranquille.

La Madone - Mais je t’emmènerai la voir, sois tranquille. Merci à vous tous, mes chers jeunes; vous avez, les uns d'une façon et les autres d'une autre, aidé le prêtre, votre soeur et grand-mère Iolanda ainsi que votre chère soeur Selenia. Ceci est l’amour véritable et le véritable amour demande des sacrifices.

Saint Pierre - Mes chers enfants, c’est moi Pierre le bougon. Souvenez-vous du message de l’an passé? Cette année, j’ai quelque chose à vous dire concernant votre prêtre. Il s'est occupé de grand-mère Iolanda avec beaucoup d’amour, de tendresse et de sacrifice, alors que bougon comme je l'étais, cette parole te gênera maintenant, Marisella, je n'étais pas aussi gentil avec ma belle-mère.

Marisa - La Madone ne veut pas que nous disions belle-mère, parce que ce n'est pas gentil.

Saint Pierre - Oui, mais je voulais vous faire comprendre que le prêtre est meilleur que moi.

Marisa - Oui, cela nous le savions, mais tu ne devais pas le dire toi.

Saint Pierre - Mais tu en as après moi aujourd'hui?

Marisa - Non, je n'en ai pas après toi, je n'en ai après personne et j’en ai après tout le monde, parce que le grand chef devrait nous aider, apaiser un peu notre souffrance, parce que nous sommes fatigués, vraiment épuisés de toujours souffrir.

Saint Pierre - Mais n’avez-vous pas eu la joie de la Sainte Messe? Nous étions tous présents hier, avec Jésus et la Mère de l’Eucharistie et avons prié avec vous. Nous avons toujours obéi à Dieu, jamais aux prêtres, parce qu’ils ne disaient pas la vérité. Alors nous tournions nos yeux vers Dieu et nous n'obéissions qu'à Lui. Quand nous sommes devenus les grands apôtres, nous n'étions plus aussi sages, mais quand Dieu commandait, nous lui obéissions toujours. C’est triste, vraiment triste d’entendre dire votre prêtre: "Je n’ai plus confiance en l'homme" créé par Dieu, mais il en est ainsi malheureusement. "Je me vengerai et je l'écraserai" nous avons entendu tous entendu cette phrase au Paradis, alors que nous chantions des psaumes à Dieu. Cette phrase a été prononcée par une créature de Dieu. C’est pourquoi je vous dis, mes chers enfants, mes chers jeunes, faites toujours le bien avec amour, et non avec du chantage; aidez-vous mutuellement, aidez le prochain. J’aimerais vous faire une recommandation, puisque vous savez que j'étais marié et avais une belle-mère.

Marisa - Tu es malicieux. .

Saint Pierre - N'oubliez jamais votre papa et votre maman quand vous rencontrez votre chère épouse, ou votre cher époux, n'oubliez jamais vos parents. N'exagérez ni avec les parents, ni avec le conjoint, parce que l’amour est multiple. Si je vous dis ces choses, c’est parce que j’ai connu l’amour de ma chère épouse et l’amour de ma maman.

Marisa - Parce que tu as eu une maman?

Saint Pierre - Marisella, comment suis-je venu au monde

Marisa - Pardon, je suis un peu empruntée aujourd'hui.

Saint Pierre - Oui, mais tu verras que d'ici peu tu retrouveras le sourire; tu ne devrais plus pleurer, tu as versé trop de larmes. Je t’ai vu pleurer, sourire et chanter, pleurer, sourire et chanter.

Saint Paul - Et moi, Paul, que puis-je dire après ce qu’a dit mon cher Pierre? Moi aussi, comme je vous l’ai déjà dit, j'étais quelqu’un de fort, un rouspéteur et je condamnais et tuais les chrétiens, puis le soleil est venu, l’Eucharistie est venue, Jésus est venu et je me suis transformé. Mais si j’ai changé, c’est parce que j’ai obéi à Dieu; il est important d'obéir par amour et non par chantage. Vous êtes fatigués d’entendre: "Obéissance, mais sans chantage". Continuez à obéir. L’obéissance vous donne joie, sérénité, la force de continuer. Si quelqu’un use de l’obéissance comme chantage, refusez-la; ce n'est pas de l’obéissance aux supérieurs. Nous prions beaucoup pour vous au Paradis. Adieu à tous.

La Madone - Et moi, votre Maman, je te remercie encore une fois Don Claudio, je vous remercie Anna et Selenia, et toi Laura ainsi que vous tous les jeunes qui avez aidé une pauvre grand-mère qui a toujours souffert. Ensemble avec mon et votre prêtre et mes saints je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous porte tous dans mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Ma bénédiction va jusqu'à grand-mère Iolanda, Selenia et Angelo.

Marisa - Ecoute, tu as dit que tu m'emmènerais la voir.

La Madone - Marisella, je t’emmènerai la voir ce soir.

Marisa - Adieu. Elle avait avec elle les deux..

Don Claudio - Bougons.

Messages de Juillet 1998

Note:

Ces messages ont été donnés à Marisa lors d'un séjour à Baccumandara (CA), une petite station balnéaire de Sardaigne, en compagnie de Don Claudio.

Baccumandara (CA), le 12 juillet 1998, 19h45 (Message de la Madone)

Marisa - Tu es arrivée toute souriante et joyeuse. Je veux te remercier du miracle eucharistique que tu as accompli ici, en Sardaigne. Tu sais que j’aime la Sardaigne, à laquelle me lient beaucoup de souvenirs. J’aimerais profiter de ta présence pour te confier tous ceux qui se sont recommandés à mes prières, les malades surtout et ceux qui sont à la recherche de leur vocation et n’arrivent pas à la trouver. Aide les malades, les petits enfants et tous ceux qui ont besoin de ton aide. Tu es notre maman, n'est-ce pas?

La Madone - Merci de votre présence, mes chers enfants. Etant donné que vous avez bien prié et écouté les belles paroles dites par le prêtre, je pourrais pratiquement me retirer; Que devrais-je vous dire encore? Le prêtre a tout dit; il a tant de belles choses à vous dire, mais le temps presse maintenant pour tous. Mes deux enfants se sont montrés très généreux en décidant, de rencontrer leurs amis, le dimanche au moins, ce qu’ont annoncé, silencieusement, presque en sourdine.

Moi en tant que maman, je vous aime immensément et, comme toujours, je répète les mêmes choses. Je priais déjà ici depuis un certain temps et j’ai vu que certains d’entre vous étaient fatigués, que d’autres n’avaient pas de place pour s’asseoir et que d’autres encore s'étaient allongés sur le sol. C’est malheureusement tout ce qu’ils ont pu vous donner, mais ils l’ont fait de tout leur coeur. Jésus a dit: "Convertissez-vous et croyez en l’Evangile" et il a dit encore "Aimez-vous, comme je vous ai aimés". Comment vous a-t-il aimés? Il s'est donné tout entier; Il est mort pour chacun de nous et, comme je l’ai déjà dit une fois dans un message, il n’a pas donné seulement un de ses bras ou une de ses jambes, mais tout son corps pour tous les hommes de la Terre, pour nous rouvrir le Paradis et jouir de Dieu pour l'éternité. Jésus, toujours lui, a dit dans un message il y a un an: "Apprenez à aimer, puis priez". C’est toujours l’amour qui doit triompher.

Je vous dis: aimez-vous, mes chers enfants. Vous devez vous aimer tous, il ne doit pas y avoir de divisions entre les nations et les races; vous êtes tous enfants de Dieu, vous êtes tous frères et vous devez donc tous vous aimez. La Maman aimerait encore vous dire une petite chose: vous savez que ces apparitions sont contestées, de toutes parts, pas par des créatures simples comme vous, mais par des prêtres. Les prêtres contestent ces apparitions par jalousie ou envie et essaient de détruire l’oeuvre de Dieu; mais ils n'y parviendront pas, il est impossible de détruire une oeuvre de Dieu. Ils n’abandonneront ni le combat, ni la lutte et mettront tout en oeuvre pour y parvenir, mais ils n'y sont pas parvenus jusqu'à ce jour et cela fait maintenant 5 ans que les apparitions sont ouvertes à tous, même si mes deux enfants souffrent énormément.

Vous ne pouvez peut-être pas bien comprendre à quel point ils souffrent, ni comprendre le but que les prêtres poursuivent en les détruisant, parce que dans leurs coeurs ils y croient. Un grand prélat a dit en se référant à Don Claudio: "Je l'écraserai, je le détruirai". Bien sûr, ceux qui détiennent le pouvoir peuvent détruire, anéantir, mais l’oeuvre de Dieu demeure. A vous, je dis: si un prêtre dit du mal de ces apparitions, ne l'écoutez pas et dites lui: "Père, je rentre à la maison, j’ai à faire".

Il y a des prêtres qui ne croient pas aux apparitions, à n'importe quelles apparitions. l’un a dit: "Je ne crois pas non plus aux apparitions de Lourdes". Comme je vous l’ai déjà dit, ce n'est pas un péché de ne pas croire à ces apparitions; par contre calomnier et diffamer sont des péchés graves, des péchés mortels. Il y a des prêtres qui calomnient, diffament, disent la sainte Messe, et reçoivent la Sainte Communion comme si rien n'était. C’est pourquoi mon Fils Jésus leur soustrait de temps à autre de saintes hosties et les apportent dans le lieu thaumaturgique; il en a même apporté ici dans cette maison, qui héberge mes enfants. Ils ne savent pas qui en est le propriétaire, parce que c’est la providence qui les a conduit au bord de la mer de Sardaigne C’est moi qui viens voir mes enfants et récite avec eux le Saint Rosaire. Ils prient dans la mer, chantent et j’arrive et leur donne un petit message. Ils prient pour tous pendant une heure, une heure et demie, adorent Jésus Eucharistie.

Mes chers enfants. J’ai ici à côté de moi, comme toujours, les âmes sauvées des parents défunts de ceux ici présents. Quand j’apparaîtrai dans un autre lieu, les âmes sauvées des parents défunts d’autres personnes seront présentes. Les âmes sauvées ne sont pas encore au Paradis, mais elles n'iront jamais en Enfer. Soyez tranquilles, ceux qui n'ont pas connu Jésus ne vont pas en Enfer, ceux à qui l’on n’a pas enseigné qui est Jésus, ne vont pas en Enfer, ceux qui sont pauvres, humbles, simples, ignorants ne vont pas en Enfer. Ce sont des êtres bénis par Dieu. Tout comme les personnes âgées sont les perles de Dieu, ces êtres qui n'ont pas connu Jésus sont les perles de Dieu. Il n'est pas besoin de faire de grandes choses pour plaire à Dieu, il suffit de faire de petites choses simples.

Bien sûr, plus vous recevez, plus vous devez donner. Je vous invite à l’amour qui est la plus belle et la plus grande parole qui embrasse l’univers. J’ai fait écrire une lettre à votre soeur, parce que Jésus lui a ordonné d’envoyer un message aux chefs d'état du monde entier, afin que les guerres cessent dans le monde. Mais on ne fait pas seulement la guerre avec un fusil, on peut aussi tuer son frère avec des mots et aujourd'hui la langue tue beaucoup d'hommes.

En renonçant à votre mer si belle et en dépit de la chaleur, vous, mon petit troupeau, vous êtes venus ici prier avec moi, écouter le prêtre ainsi que moi, petite messagère de Dieu. Je suis la messagère de Dieu et vous devez être des messagers de Dieu; je suis la servante du Seigneur et vous devez êtres les serviteurs du Seigneur. Tous ensemble, nous du ciel et vous de la terre, nous parviendrons à remettre en ordre cette planète terre, qui semble prendre eau de toutes parts; nous réussirons à faire se réconcilier les familles, à faire changer l’autorité ecclésiastique et à ce que les couvents deviennent des cénacles d’amour. Je vous demande de prier pour ces intentions.

Merci à la providence qui, par votre intermédiaire, a aidé mes deux enfants, merci de votre aide; je ne cite aucun nom, ce ne serait pas bien. Merci à tous. Prenons-nous tous maintenant par la main et récitons, les yeux levés vers le ciel, le Notre Père ....

Mes chers enfants, merci encore de votre présence et n'oubliez pas, si un prêtre vous dit "Je n'y crois pas", ne l'écoutez pas, ne commencez pas à discuter avec lui, mais saluez-le, partez et priez pour lui.

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Baccumandara (CA), le 19 juillet 1998, 19h45 (Message de la Madone)

Marisa - Tu n’as peut-être pas aimé la manière dont nous avons chanté?

La Madone - Je suis ici avec vous depuis le commencement du saint Rosaire et j’ai également entendu ce que le prêtre a dit sur les messages. Profitez de ce temps et mettez en pratique ce que le prêtre vous dit. C’est beau d'écouter les messages de Dieu, mais on les enregistre et les comprend mieux quand ils sont commentés. Je vous ai appris à aimer Jésus Eucharistie; et je vous apprends encore aujourd'hui à aimer Jésus Eucharistie. Comment peut-on l’aimer? En ayant un coeur pur et en aimant toujours n'importe qui, d'un coeur pur, limpide, clair comme l'eau de roche.

Il y a une fleur très belle que Jésus aime beaucoup et sur laquelle il s'est posé la première fois: l'hibiscus. Jésus accomplit ces miracles pour vous faire comprendre que rien ne Lui est impossible. Il peut tout faire, mais vous devez le lui demander avec amour, avec un coeur pur, avec charité et même simplicité. Parlez avec Jésus, apprenez à le connaître à fond, aimez-le, invoquez-le toujours, même quand vous vous divertissez, invoquez même Jésus quand vous vous baignez.

Cette région, la Sardaigne, a été bénie par Jésus Eucharistie, sanctifiée, mais il y a ici encore beaucoup à faire, et si chacun de vous prend une âme dans son coeur, l’aide et veille sur elle, la conduit à Jésus, il a déjà le Paradis assuré. Il y a tant de malades qui sont seuls dans les hôpitaux, qui n'ont personne. Faites un acte de charité, allez les trouver; vous êtes nombreux, allez y un à la fois, ce que je vous demande n'est pas si difficile. Il y a tant d’enfants malades qui souffrent, mais la Maman vous recommande aussi les personnes âgées; ne laissez jamais les personnes âgées seules. Vous pourriez les retrouver gisant à terre ou parties au Ciel. Comme je vous l’ai déjà dit dimanche dernier, j’ai ici avec moi beaucoup d'âmes sauvées de vos êtres chers. Vous ne devez penser à rien d’autre, vos êtres chers sont aujourd'hui présents: Battista, Ferdinando, Paolo, Pietro, Gesuino, Mario et d’autres. Ils sont ici avec moi, ils sont sauvés, mais vous devez prier beaucoup pour eux, afin qu’ils quittent le Purgatoire et aillent jouir de Dieu pour toujours. Etre sauvé est déjà une grande grâce, parce que vos être chers sont au Purgatoire et n'iront pas en Enfer, ils sont sauvés et sont ici près de moi. Il y a ici les saints vêtus de longues robes et vos êtres chers vêtus comme ils l'étaient sur la terre. Priez pour eux, invoquez les; ils peuvent vous aider, mais vous devez les aider avec des Saintes Messes et des prières.

La Maman vous remercie de votre présence. Il y a Michele et Alessia. Michele crée un peu de désordre, mais ne vous en souciez pas, parce que les petits enfants sont des anges; je ne vois pas aujourd'hui la petite Alessia auprès de Marisella, mais il y a quelques jours elle a salué son grand-père et m’a dit au revoir.

Vous aussi vous devenez devenir comme les petits enfants, saluez votre Maman du Ciel et de la terre, priez-la, venez à moi, cherchez de l’aide et je vous conduirai à Jésus Eucharistie. Vous devez avoir le coeur pur, vivre toujours dans la grâce. Approchez-vous des sacrements de la Confession, de la Sainte Communion et participez à la Sainte Messe; ce sont les prières les plus belles et les plus importantes pour arriver à Dieu. j’envoie maintenant un baiser à Michele, Alessia et à tous les petits enfants, ainsi qu’aux malades alités à l'hôpital, aux personnes âgées et à vous mes chers enfants, ici présents.

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis tous, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Si vous le voulez, au revoir et à dimanche. Je suis toujours avec vous, même quand vous êtes seuls, faites les courses, le ménage, travaillez ou étudiez.

Marisa - Elle est partie, Don Claudio. Elle était vêtue de ...

Don Claudio - ses habits de fête.

Marisa - ses habits de fête.

Messages d’août 1998

Note: Ces messages ont été donnés à Marisa lors d'un court séjour effectué avec Don Claudio à Antermoia, petite ville de la région de Trentino Alto Adige dans le Tirol du Sud (Nord de l’italie).

Antermoia, le 15 août 1998, 11h30

Pension Frapes

(Message de Jésus et de la Madone)

Marisa - Tu es venue aujourd'hui en habits de fête. Comme ta Maman est belle, Jésus! Je veux te recommander tous ceux qui se sont confiés à mes prières, surtout les malades.

Jésus: Moi, Jésus de Nazareth, je vous présente ma Maman, mes chers enfants. Oui, ma Maman est en habits de fête. Comme je l’ai dit aux pèlerins à Rome, ma Maman est morte et a été immédiatement transfigurée, puis elle est montée au Paradis. Tout le Paradis est ici aujourd'hui avec moi et tu vois, Marisella, combien d'âmes sont avec Moi. Les âmes sauvées des parents de ceux ici présents, sont présentes, les saints et les anges chantent en choeur le Magnificat à la Madone, à Marie, Mère de l’Eucharistie. Répétez souvent la phrase "Mère de l’Eucharistie prie avec nous ", parce que la Maman est toujours avec ceux qui vivent en état de grâce. Combien de fois n’ai-je pas dit dans les messages que ma Maman est la messagère, le courrier de Dieu. Elle apporte ses messages et vous adresse parfois des reproches maternels dont vous avez tous besoin, tous sauf elle, ma et votre Maman. C’est une joie pour moi d'être ici parmi vous et de jouir de ce moment avec vous; Moi, Jésus, j’ai plein de joie dans le coeur. Recevez-moi dans votre coeur en état de grâce. Si vous ne l'êtes pas, ne me recevez pas, allez d’abord vous confesser, approchez-vous du sacrement de réconciliation. Je retourne maintenant vers le Père et le Saint Esprit".

La Madone - Bonjour, Marisella, c’est moi ta Maman. Je vous remercie, mes chers enfants, de votre présence et de l’amour que vous portez à Jésus Eucharistie ainsi qu'à moi, la Mère de l’Eucharistie. Je vous ai dit bien des fois que l’on m’a donné beaucoup de noms, tous beaux, mais le plus important, le plus beau, celui qui clôt l'histoire est celui de Mère de l’Eucharistie. L'histoire commence avec l’immaculée Conception et se termine avec la Mère de l’Eucharistie.

Je ne veux pas vous affliger, mais je dois vous dire que les temps sont très durs, et vous pouvez le constater par vous-mêmes. Tremblements de terre, pluies, incendies, chaleur et autres désastres frappent le monde. Certains sont d'origine naturelle mais beaucoup d’autres sont d'origine humaine parce que l'homme n’aime pas son prochain. Frère, fils, mère, père sont tués parfois pour des bêtises. Vous pouvez donc comprendre par vous-mêmes que cette planète Terre brûle et que sa corruption augmente de plus en plus, mais vous, mon tout petit troupeau, priez pour ceux qui ne croient pas, et surtout pour ceux qui disent croire et font ensuite souffrir mes enfants et ceux auxquels j’apparais. Ce serait si beau de dire: "La Madone est apparue, Jésus est apparu, allons voir, allons vérifier les faits et examiner les fruits". Mais ce n'est pas ce qui se passe, les gens commencent au contraire par dire du mal, calomnier et diffamer et humainement parlant, les forces commencent à manquer à mes deux enfants, mais Dieu a envoyé ses anges pour les aider.

Dans la dépendance de cette pension, il y a une grand-mère qui souffre beaucoup et que Dieu a appelé grand-mère martyre: martyre de l’Eglise, martyre des prêtres, parce que c’est une maman, une grand-mère et une bisaïeule qui a toujours souffert et continue à souffrir sur son lit de douleur. j’essaie par tous les moyens d’aider mes deux enfants et je vous demande également de les soutenir par vos prières; vous en comprendrez un jour le pourquoi. Tout repose sur leurs épaules et Dieu leur a confié une mission très importante, très belle, fortement contestée et difficile. Ceux qui n'y croient pas, les condamnent, alors qu’il serait si beau de dire: "Je n'y crois pas, mais je les respecte". Malheureusement, le respect n'existe pas, les hommes ne sont pas respectés.

C’est ma fête aujourd'hui et comme mon fils Jésus l’a dit, je suis montée au ciel, j’ai été portée au ciel: je suis morte, non parce que je devais mourir, mais pour imiter mon Fils Jésus. Je suis morte sans douleur et j’ai été immédiatement transfigurée. Jésus, les anges et les saints m'ont enlevée et emportée au Paradis.

Des âmes sauvées m'entourent, n'est-ce pas Marisella? Tu peux le dire aujourd'hui, Adolf, tous vos parents décédés sont ici à côté de moi et prient pour vous, mais vous devez également prier pour eux, afin qu’ils puissent bientôt rejoindre le Père. j’entends souvent dire: "Bienheureuse es-tu, Marisa, de voir la Madone" et elle répond à tous: "Bienheureux ceux qui croient sans voir". Ne croyez pas que tout soit rose de voir Jésus et de me voir. Mes deux enfants souffrent et Padre Pio qui est près de moi, leur a dit: "Votre souffrance est plus grande que la mienne, mes chers frères". C’est vrai, ils souffrent énormément et je vous révèle (j’ai gardé autrefois le secret sur ces choses) qu'à Rome, des prêtres ont saisi des personnes par le bras et leur ont dit avec beaucoup d'insolence: "n’allez pas dans ce lieu, parce qu’il est démoniaque. Si vous y allez, vous n'entrerez plus dans mon église". Mais l’Eglise ne leur appartient pas, elle est à Dieu. Les églises devraient toujours rester ouvertes à tous, mais malheureusement elles restent fermées de nos jours et ceux qui doivent se confesser doivent attendre le jour et l'horaire fixés à cet effet. Si une pauvre âme a le désir de se confesser, il n'y a pas de prêtre, parce que ce n'est pas le jour prévu à cet effet. Ce n'est pas ce que j’ai enseigné à mes chers enfants bien-aimés, je leur ai enseigné d'être prêts à tout moment à accueillir les âmes. Votre prêtre est toujours disponible et il est calomnié et diffamé. Nous leur donnons beaucoup de force, même si souvent il semble que tout s'écroule autour d’eux. Il est vrai qu'humainement parlant, tout s'écroule autour d’eux, mais est-ce que Jésus, moi, la Maman, les anges et les saints nous ne faisons rien pour eux? Oh si, nous les aidons, mais la souffrance, le combat et la méchanceté humaine à leur égard sont si grands. Comme c’est aujourd'hui ma fête, je vous demande, petit troupeau, de me faire le cadeau de prier pour leur mission si difficile et si importante. Pouvez-vous me faire ce cadeau? Faites moi ce cadeau, faites ce cadeau à votre Maman, parce que les prières que vous faites pour moi sont toujours pour vos intentions; vos intentions de prière sont les miennes et les miennes sont les vôtres. Il ne me reste plus qu'à vous souhaiter à tous une bonne et sainte fête. Priez pour l’Eglise, pour le Pape et les prêtres, et ceux qui se souviennent du message de Fatima savent que l'heure est arrivée. Mes chers enfants, prenez-vous maintenant par la main, serrez-vous les uns contre les autres et clamez avec moi, les yeux levés vers le ciel: "Notre Père...". Mes chers enfants, participez à la Sainte Messe, vivez la Sainte Messe, chantez, chantez, j’aime tant vous entendre chanter, n’ayez pas peur de chanter, et si quelqu’un chante faux, cela ne fait rien, cela n’arrivera plus quand vous serez au Paradis.

J’ai maintenant quelque chose à te dire, Marisella, .... (La Madone converse avec Marisa).

Marisa - L’abstinence est finie?

La Madone - Oui, mon enfant, elle est finie.

Marisa - Dieu soit loué, je n'en pouvais plus toute seule. Le Pape... de toute façon je dois toujours te dire oui, même si je ronchonne, je dis toujours oui à ce que tu me demandes.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence, merci à toi, ma petite Geltrude. Merci à vous tous.

Marisa - Puis-je te demander une chose? Est-ce qu’alfred est avec les âmes sauvées? Est-ce qu’il est sauvé?

La Madone - Tu sais, Marisella, que tu ne dois pas me poser ce genre de question. Il est sauvé et est ici à côté de moi. Priez beaucoup pour les âmes sauvées. Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Alors, il n'y a plus d’abstinence?

La Madone - Oui, oui, ma fille, tu as été héroïque, l’abstinence est terminée.

Marisa - Peux-tu nous aider un petit peu? Quand Don Claudio, le pauvre, devra rentrer à Rome, il aura beaucoup de travail et s’il ne se repose pas un peu, comment fera-t-il? Je te le demande, tu es la Maman, je suis la fille et je te le demande. C’est bon, vois ce que vous pouvez faire, vous du Paradis. Oui, adieu.

Antermoia, le 23 août 1998, 11h10

(Message de la Madone)

Marisa - Est-tu heureuse que nous ayons chanté? Pour commencer, comme toujours, je désire te recommander tous les malades, les enfants, les personnes abandonnées dans les hôpitaux et les personnes âgées. Je te recommande chacun de nous. Nous avons tous tant besoin de ton aide. Va, va trouver Dieu le Père et implore-le de nous aider, nous tous ici présents ainsi que ceux qui n'ont pu venir.

La Madone - Merci de votre présence, mes chers enfants. Je suis très heureuse d'être dans cette chapelle. Dieu désire que le séjour de mes deux enfants dans les Dolomites se termine dimanche prochain. Ils rentreront dans leur ville, mais je continuerai à venir dans ce lieu sanctifié par Jésus Eucharistie, même si vous ne me voyez pas. Jésus Eucharistie n'est pas venu seulement pour se faire voir ou faire sentir son parfum, mais pour sanctifier ce lieu; c’est une immense grâce, à vous de la comprendre et de l’accepter. N'écoutez pas ceux qui disent du mal de l’apparition de Jésus Eucharistie et de mes deux enfants. Ne les écoutez pas et si vous ne parvenez pas à leur faire comprendre la grandeur de la venue de Jésus Eucharistie, saluez les poliment, avec tact et retournez à vos occupations.

Jésus a dit: "Il n'y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre". Combien sont venus et n'ont parfois écouté que pour critiquer, mais vous, mes chers enfants, ne critiquez pas. Si vous ne croyez pas, ne péchez pas, si vous avez des doutes, ne péchez pas, mais respectez le lieu et ceux qui croient. Ne parlez jamais dans le dos des autres; mon Fils Jésus n’aime pas cela.

J’aimerais vous parler de la correction fraternelle, mais je vois que c’est une chose très difficile pour vous. Si vous remarquez que quelqu’un se trompe, vous devez le reprendre, que ce soit un cardinal, un évêque ou un prêtre; eux aussi ont besoin d'être corrigés et aidés, ce sont des hommes pris parmi les hommes pour les choses de Dieu. Si vous vous en souvenez bien, les apôtres aussi ont été souvent réprimandés par Jésus. Moi, la Mère de l’Eucharistie, même si l’Evangile n'en parle pas, j’ai été vraiment la maman des apôtres, en les aidant et les corrigeant.

Vous aussi, si vous avez compris le message, avancez, aidez le frère et corrigez le s’il le veut, mais s’il ne le veut pas, saluez-le et laissez-le. J’aimerais vous faire d’autres caresses maternelles. Je vous ai dit maintes fois dans les messages, de réciter le Saint Rosaire, le chapelet dans la main: c’est ce que désire Jésus et c’est si beau d'égrener son chapelet en disant le Saint Rosaire par amour pour Jésus et pour moi. C’est une arme puissante qui peut aussi faire cesser les guerres, mais la Sainte Messe, la Sainte Confession, la Sainte Communion, la connaissance du Saint Evangile et le catéchisme viennent avant le Saint Rosaire et en dernier l’apparition, s’il reste encore du temps. L’apparition doit venir en dernier, parce que vous entendez, mais ne voyez pas. Beaucoup d’entre vous ont vu cependant Jésus Eucharistie et c’est si beau d’aimer Jésus Eucharistie. Si vous aimez Jésus Eucharistie, vous aimez la Trinité, vous aimez l’Eglise, la Mère de l’Eucharistie, vous aimez votre prochain; la charité vous conduit à la sainteté.

Voulez-vous devenir saints? Soyez charitables et aimez tous les hommes, priez pour tous. C’est aujourd'hui une grande joie pour moi de voir ici autour de moi des enfants, des jeunes et des adultes. j’envoie un baiser à tous les enfants présents et à tous ceux qui n'ont pu venir, je salue Geltrude, la maman de celui qui a sculpté ma statue et est maintenant sauvé. Je salue et j’adresse mes voeux à vous tous, en particulier aux malades, ainsi qu'à toi, Marisella.

Marisa - C’est bon, tu as dit que je dois m’abandonner à Dieu, je me suis abandonnée à lui et j’ai accepté, même si je ronchonne parfois.

La Madone - Mes chers enfants, c’est une grande joie d'être ici parmi vous et n'oubliez pas, que même lorsque mes deux enfants ne seront plus dans ce lieu qu’ils aiment tant, je serai avec vous lorsque vous réciterez le Saint Rosaire, je serai avec vous et Jésus sera avec vous quand vous serez à deux ou trois à prier au nom de Jésus. Merci de votre présence. Participez maintenant de tout votre coeur à la Sainte Messe, recevez Jésus Eucharistie en état de grâce. Que ceux qui ne sont pas en ordre avec Dieu, demandent à se confesser.

Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. j’envoie un baiser à tous les enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Je participerai moi aussi à la Sainte Messe, j'y serai à côté du prêtre. Ne parlez pas, priez et chantez, n'est-ce pas Patrizia? Vous devez chanter, Dieu aime que l’on chante, j’aime aussi le chant et vous l’aimez aussi. Mettez toute votre bonne volonté à glorifier Dieu en chantant; chanter c’est prier deux fois.

Marisa - Adieu, reviendras-tu ensuite me voir?

La Madone - Oui, Marisella, je viendrai aujourd'hui te voir, ne te fais pas de soucis.

Marisa - Aide-moi, parce que je suis .... Adieu.