Année sociale: 1998-99
Vous êtes évêque ordonné par Dieu Evêque de l'Eucharistie
Les messages suivants de Dieu n'ont pas été traduits par un traducteur professionnel. S.E. Mons. Claudio Gatti a reconnu l’origine surnaturelle des apparitions (Décret du 14/9/2000), il n' a toutefois donné son approbation ecclésiastique qu’aux messages en langue italienne, parce qu’il n'est pas responsable des fautes éventuellement commises par le traducteur.
Messages de Septembre 1998
Rome, le 6 septembre 1998 - 10h30 (Lettre de Dieu)
Marisa - Puis-je te confier tous ceux qui se sont recommandés à mes prières et aide moi à garder ce secret si grand pour moi. Tu m'en as confié tant et nous, petit troupeau, que pouvons-nous faire?
La Madone - Priez!
Mes chers enfants, merci de votre présence. Je suis votre Maman et je suis venue aussi aujourd'hui vous apporter le message de Dieu. Veuillez en premier préparer le triduum pour l’Exaltation de la Sainte Croix; c’est pour vous une grande fête qui est double, parce que ce jour est également l’anniversaire du premier miracle eucharistique. Faites ce triduum et je serai avec vous.
J’ai écouté avec beaucoup de joie le catéchisme fait par le prêtre; son nom n'est pas important pour les hommes, mais pour nous oui. Ce catéchisme a été difficile pour lui mais il l’a fait avec amour et charité envers le prochain; vous ne savez pas tout ce qui se passe dans son dos, il vous en a parlé et en a bien parlé. Ceux qui connaissent ces apparitions depuis le premier jour, connaissent aussi les messages que Dieu m’a donnés. Pendant longtemps, ces messages ont été des messages d’amour, de tendresse et de charité envers tous. Le prêtre n’avait jamais dit un mot sur les autres, les supérieurs, mais nous en sommes malheureusement arrivés à un point où il est impossible de se taire et Dieu m’a alors dit: "Marie, porte ces messages à mes enfants, ils sont pleins de vigueur, mais les hommes ne se convertissent toujours pas et continuent au contraire à agir en cachette, dissimulant leur visage et mettant en avant des hommes simples et petits". Qu’est-ce que je vous demande? Qu’est-ce que la Maman peut demander aux enfants qu’elle aime? Essayez de prier pour eux, même si c’est parfois difficile; s’ils n’acceptent pas vos prières, celles-ci ne seront pas perdues, elles iront à des âmes qui souffrent, sont seules. Priez, n'oubliez jamais la prière, et j’entends par là la sainte Messe, la Sainte Communion, la Sainte Confession, vivre en état de grâce. Comme le font les mamans de la Terre, je vous répète moi aussi ce que je vous ai déjà dit. La maman de la Terre se répète avec ses propres enfants et quand vous aurez grandi, que vous aurez atteint la sainteté, je ne me répèterai plus; je vous veux saints. Quand les autres disent du mal et sèment la zizanie contre le lieu thaumaturgique, ne les écoutez pas, priez pour eux; même cela la Maman vous l’a dit. Arriver à la sainteté, signifie être humbles, obéissants, simples. Qu’ai-je dit hier? Si vous ne devenez pas comme de petits enfants, vous n'entrerez pas dans le Royaume des Cieux. Si quelqu’un scandalisait un de mes petits, il vaudrait mieux pour lui qu’on lui mette au cou une meule de moulin et qu’on le jette au fond de la mer. Il est grave de scandaliser. Je vous ai dit hier: "Prenez une résolution: ne scandalisez jamais les créatures que Dieu aime". Croyez-moi: celle que Dieu a appelée et qui est au milieu de vous, souffre, elle a de nombreuses souffrances et pas de joies, si la joie de me voir. Dieu l’a appelée et elle lui a donné sa vie et souffre beaucoup. Pensez-vous que mes enfants ne souffrent pas lorsque les apparitions sont vraies? Oh si, la souffrance est grande et grandit chaque jour, mais Dieu leur donne la force de l’affronter et de l’accepter; quand le découragement, l’abattement, le ronchonnement sont là, que les mines sont longues, l’amour de Dieu augmente encore, Dieu n’abandonne pas ceux qui souffrent et se lamentent. Il est humain de se lamenter. Quand Dieu choisit une âme, il la prend totalement pour lui et l'âme qui dit oui appartient à Dieu, mais elle appartient aussi à ceux qui croient en ces apparitions, surtout aux apparitions eucharistiques. Cette nuit, Jésus m’a dit: "Maman, va porter la Sainte Communion à mes enfants, dépose l’Eucharistie sur la statue de l’Enfant Jésus et sur ta statue, afin de leur donner de la force et du courage et de leur faire comprendre que Je suis toujours avec eux. On en sentait son parfum ce matin, mais vous étiez tellement pris par votre travail que vous ne l’avez pas remarqué, n'est-ce pas?
Marisa - C’est vrai, je ne l’ai pas remarqué.
La Madone - L’Eucharistie que j’ai apportée aujourd'hui est pour vous, adorez-la. Priez devant Jésus Eucharistie pour les autorités ecclésiastiques.
Marisa - Tu me fais toujours prier pour eux? Ce n'est pas facile pour nous. Ils sont si durs! Oui, tu sais de toute façon que je commence par ronchonner et que je prie ensuite, de plus j’ai récité aussi le Saint Rosaire avec celui qui a été sermonné par la télévision, Que dois-je faire? Encore plus?
La Madone - Vous ne devez pas avoir peur d'être chrétiens, d'être croyants, de croire aux apparitions, je ne dis pas à mes apparitions parce que vous ne me voyez pas, mais aux apparitions de Jésus Eucharistie. Ceux qui ont vu doivent croire totalement; si quelqu’un dit du mal des apparitions eucharistiques, ne l'écoutez pas, allez-vous en, saluez et fuyez parce que c’est alors Satan qui l'habite. Satan semble stupide, mais il ne l'est pas, il sait fort bien comment s’introduire dans les hommes, ne le laissez jamais pénétrer en vous! Que votre coeur soit le temple du Saint Esprit. Quand vous vous effondrez, levez les yeux vers le ciel et criez avec moi en étendant les bras: Notre Père
Oh, comme j’aimerais que vous continuiez dans la disposition d’esprit que vous avez en ce moment. "Chronique d'un amour trouvé". Ecoutez ce poème d’amour. Quand Dieu fait un choix, il sait que faire et personne d’entre vous ne peut dire: "Mais que dit-il? Mais que fait-il?". Lisez ce poème, c’est la chronique d'un bel amour, qui est pur et porte chacun de vous à la sainteté. Et vous, vous voulez devenir saints?
Marisa - Les adultes sont plus de là-bas que d'ici et les jeunes plus d'ici que de là-bas; c’est ce qu’a dit Don Claudio, les jeunes ont plus d’avenir. Est-ce que je l’ai bien dit, Don Claudio? Je n’ai pas beaucoup de confiance en les verbes. L’avenir des adultes est plus court et ils doivent donc se dépêcher de devenir saints. Jacopo et Davide Maria, ces tout-petits, eux au moins jouiront de quelque chose?
La Madone - Mais nos jeunes aussi.
Marisa - Quand tu parles de nous ici, tu deviens douce et belle, quand tu parles de ces messieurs, tu deviens grave et préoccupée. Mais que doivent-ils faire? Doivent-ils lire la chronique? Mais ceux-là vont s'évanouir.
La Madone - Tu peux la lire aussi, Marisella?
Marisa - Ah, non.
La Madone - Participez de tout votre coeur à la sainte Messe, je sais que c’est une Messe douloureuse, mais elle est voulue par Dieu et on ne peut dire pas non à Dieu; les saints ont toujours dit oui à Dieu, parce que l’obéissance à Dieu est sacrée, sainte. Comme je l’ai déjà dit, on ne peut retirer le droit de dire la messe pour une désobéissance, comme ils disent; le droit de célébrer la messe ne lui a pas été retiré parce qu’il a désobéi, mais parce qu’il n’a pas renié mon Fils Jésus et ne vous a pas dit qu’il vous avait trompé. Il aurait dû vous dire: "Je n'y crois pas, ce n'est pas vrai que Jésus Eucharistie soit apparu, ce n'est pas vrai que Jésus Eucharistie ait versé du sang, que vous avez tous vu". Ce n'est pas de l’obéissance, mais du chantage: l’obéissance est amour, pas du chantage. Il faut changer le code. Vous êtes arrivés au troisième millénaire pour quoi faire? Pour exercer le pouvoir? Pour accumuler de l’argent? Ou pour vous convertir? Vous devez tous vous convertir et aimer l’Evangile, c’est ce que Dieu veut. C’est pourquoi le prêtre doit obéir à Dieu et à ceux qui commandent par amour, avec amour, dans l’amour.
Merci de votre présence. N'oubliez pas: je désire que la "Chronique d'un amour" soit lue.
Marisa - Mais toi aussi quand tu t’obstines. Ecoute, mais si tu faisais un peu obéissance. Pardonne-moi, pardonne-moi parce que quand j'étais petite, nous parlions, je te disais tant de choses et tu me répondais toujours, maintenant tu me fais un beau sourire et tu te tais.
La Madone - Marisa, la "Chronique d'un amour".
Marisa - Je le dis à Don Claudio, oui, oui, nous obéissons. Voilà que les anges et les saints l'entourent et la soulèvent. Elle est maintenant tout en haut, avec les anges et les saints. Mais si tu montes si haut, comment faire pour te parler?
La Madone - Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Tous mes voeux et bonne participation à la sainte Messe.
Marisa - Adieu. Ils te font un trône. Je suis dans un fauteuil roulant et tu es sur le trône des anges et des saints. Je te dis tout de toute façon. Adieu. Don Claudio, elle est partie. Elle était dans leurs bras et je lui ai dit que moi j'étais dans un fauteuil roulant. Ai-je dit quelque chose que je n’aurais pas dû dire?
Don Claudio - Non, tu as bien dit.
Rome, le 8 septembre 1998 - 18h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Marisella, pourquoi as-tu les yeux baissés? Je suis ici. Lève les yeux, ma fille, je connais ta souffrance, regarde-moi.
Marisa - Ce n'est pas que je ne veux pas te regarder, mais je ne sais pas si nous pourrons continuer, tout est difficile. Tu n'es pas venue en tant que Marie enfant, mais en tant que Marie adulte. Ne prends pas mon visage dans tes mains, je t’en prie, parce que cela me donne envie de pleurer.
La Madone - Appuie ta tête sur mon coeur. Regarde-moi maintenant, mon enfant, regarde-moi.
Marisa - Si vous du Paradis, vous ne nous aidez pas, nous ne pouvons y arriver seuls, nous ne sommes que deux.
La Madone - Le prêtre est seul, même s’il y a aujourd'hui Don Giuseppe, mon enfant.
Marisa - Oui, car lui est à Modène et nous à Rome.
La Madone - Je sais que vous êtes très abattus, parce que vous continuez à être persécutés par la méchanceté des hommes, même avec des coups de téléphone et des lettres anonymes. Quand vous recevez des appels de ce genre, raccrochez aussitôt. Don Claudio, voulez-vous maintenant jeter l'éponge? Je vous avais avertis que les souffrances n'étaient pas terminées. Vous avez Jésus et moi, est-il possible que vous ne vous en rendiez pas compte?
Marisa - Moi, personnellement, pas.
La Madone - Courage, mes enfants, courage et beaucoup de force. Je sais que vous n’avez personne à l’intérieur ou à l'extérieur sur lesquels vous pouvez entièrement compter; vous avez le groupe de laïcs qui vous aiment et prient beaucoup pour vous.
Marisa - Pardonne-moi si je me permets de te le dire, mais te rends-tu compte de notre souffrance? Quand je parle, les larmes me viennent aux yeux et je ne veux pas pleurer aujourd'hui parce que c’est ta fête et la fête de beaucoup de personnes. Pourquoi sont-ils tous contre nous, même ceux qui te voient et ont des apparitions, disent du mal de nous.
La Madone - Non, mon enfant, ceux qui disent du mal ne me voient pas.
Marisa - Comment, ils ne te voient pas?
La Madone - Je n’ai jamais parlé à ceux qui me voient, d’apparitions qui ne le concernent pas. Lorsque l’un m’a questionnée, je ne lui ai pas répondu et me suis contentée de dire: Qui êtes-vous pour demander?" Ceux qui disent du mal de moi et des apparitions, n'on jamais eu d’apparitions ou celles-ci sont terminées depuis longtemps. Mais à toi, j’ai dit que les apparitions prendraient fin avec ta mort.
Marisa - Et je te dis de m'emmener immédiatement, même aujourd'hui; parce que je n'en peux plus, je sais que je n'en peux plus.
La Madone - Et le prêtre restera seul?
Marisa - Emmène-le, lui aussi. Qu’a-t-il à faire sur la Terre, le pauvre? Il lui manque de l’aide, je te le dis de tout mon coeur, nous n’avons personne qui nous aide, donc arrête les apparitions ou bien emporte moi.
La Madone - Et ce troupeau ici près de toi?
Marisa - Ils ont grandi maintenant. Je ne sais que te dire, je parle de moi, mais je parle aussi au nom de Don Claudio, il est encore plus décidé que moi, il souffre plus que moi. Pourquoi tes fils bien-aimés nous traitent-ils mal? Qu’avons-nous fait de mal? Parce que nous avons enseigné à aimer Jésus et toi ? Ils ne nous connaissent pas et disent du mal de nous? Ne dis pas que je suis méchante avec toi, parce que je t’aime, mais nous ne pouvons plus l’accepter. Voici la lettre. Don Claudio me semble être un grand écrivain. Connais-tu le petit? Lui c’est un grand, il écrit, écrit et écrit. Voici sa lettre.
La Madone - Marisa, je sais déjà ce qu’il a écrit. Cette lettre peut faire beaucoup de bien si ceux qui la reçoivent sont en état de grâce, humbles et simples. Certains ont déchiré les autres lettres et beaucoup d’autres les ont gardées comme reliques. Mais je te demande de ..
Marisa - Non, tu ne peux pas me dire cela.
La Madone - Marisella, nous étions déjà d’accord pour que tu lises quelques points de cette lettre, parce que le petit troupeau doit savoir pourquoi le prêtre a été battu.
Marisa - Oui, c’est bon, je les lirai après. Je te répète ma question: qu’avons-nous fait de mal aux gens pour qu’ils nous traitent ainsi? Pourquoi me fais-tu toujours aller mal?
La Madone - Regarde, Marisa, je t’ai apporté Marie enfant.
Marisa - Comment, tu m’apportes Marie enfant ? Vous êtes deux, la Madone adulte et Marie enfant. Que tu es belle.
La Madone - C’est jour de fête aujourd'hui, et je vois que beaucoup ne répondent pas. Mais ce n'est pas une raison, cher prêtre bien-aimé, pour fermer ce lieu. Non, ne le fais pas, ce serait comme si tu me fermais la porte au nez ainsi qu'à Jésus, laisse-la toujours ouverte et laisse entrer qui veut, même s’il ne vient qu’une, deux, trois, dix ou trente personnes. Je t’ai déjà dit que la foule n'est pas importante. Tu as bien guidé ce petit troupeau, tu n’aurais pu guider un grand troupeau qui peut s'égarer. Ce n'est pas ce que tu désires ?
Marisa - Que lui réponds-tu?
Don Claudio - Je lui répondrai pendant la Messe.
Marisa - Il te répondra pendant la Messe. Tu n’as pas apporté de message aujourd'hui?
La Madone - Non, je voulais bavarder avec vous. Si quelqu’un a quelque chose à me dire, qu’il le dise tout haut, j'y répondrai.
Marisa - Parle Don Claudio.
Don Claudio - Non.
La Madone - Alors, rédige une belle lettre, Don Claudio.
Don Claudio - A qui?
La Madone - A moi.
Don Claudio - Que dois-je écrire ?
La Madone - Tout ce que tu as dans le coeur.
Don Claudio - Il faudrait une encyclopédie.
La Madone - Ecris-la.
Marisa - Si tu veux que le prêtre t'écrive, pourquoi ne nous envoies-tu pas de l’aide? Nous avons tant de lettres à écrire, de documents à transcrire et nous n’avons personne. Avons-nous quelqu’un qui vient nous aider ?
La Madone - Beaucoup de personnes ne travaillent pas et pourraient venir. Il est certain qu'humainement parlant, le prêtre ne peut faire tout, tout seul, dans la maison, hors de la maison et avec des malades. Ce n'est pas facile. Je m’adresse à votre bon coeur, que ceux qui le peuvent, aident. Quand c’est jour de fête et qu’il y a l’apparition, préparez tout avec amour, faites aussi les préparatifs pour la sainte Messe. Ceux de vous qui sont libres, mes chers jeunes, doivent aider. J’ai vu aujourd'hui le prêtre courir ici et là, monter et descendre, et il n'y avait personne pour l’aider. Pourquoi cela ici, alors que là où je n’apparais pas, les gens se disputent pour aider?
Marisa - Et où n’apparais-tu pas? Oh, pardon, je ne dois pas te poser cette question, pardon, pardon.
La Madone - Mes chers enfants, vous êtes ici à écouter toutes les lamentations de votre soeur, mais elle a raison, humainement parlant. Sa vie est dure et difficile. Mes chers enfants, vous ne pouvez pas vous imaginer à quel point mes deux enfants souffrent, vous ne pouvez pas vous l’imaginer. La croix est lourde, mais celle qui vient des hommes qui font volontairement souffrir est très lourde. Vous savez ce qu’a dit la radio catholique. Comment une radio catholique, comment des prêtres peuvent-ils dire du mal d'un confrère qu’ils ne connaissent pas? L'enfer existe aussi pour eux, il est aussi ouvert aux prêtres et aux religieuses. N'écoutez pas ceux qui disent que l'enfer n'existe pas. L'enfer existe, Satan existe. Tu me demandes pourquoi ils agissent ainsi? Parce qu’ils n’aiment pas, n’aiment pas Dieu en premier, n’aiment pas Jésus Eucharistie, la Mère de l’Eucharistie et la Madone, comme vous l’aimez et ils ne peuvent vous aimer, vous qui nous aimez. Mes voeux s’adressent aujourd'hui à ceux qui fêtent leur anniversaire de mariage. Le huit septembre est pour eux aussi une date importante comme pour le petit Jacopo. Vous vous inquiétez qu’il n’ait pas parlé? Ne l’avez-vous pas entendu ?
Marisa - Bien sûr que nous l’avons entendu, il n'y a que lui qui parle.
La Madone - Tous mes voeux à la petite famille, aux grands-parents, aux oncles et tantes ainsi qu'à grand-mère Iolanda, bisaïeule de Jacopo et grand-mère de Laura.
Tous mes voeux pour celle qui souffre comme une martyre dans son lit et souffre beaucoup. C’est pour cela que Marisella est un peu fâchée, car elle dit, tu as pris ma maman et tu m’as pris aussi et ce n'est pas facile pour le prêtre de s'occuper de deux malades à la maison, mais je suis près de vous, très près de vous. J’ai pris ta tête et je l’ai appuyée sur mon coeur. Regarde-moi, Marisella, ne baisse pas la tête. La Maman vous remercie de votre présence. Certains d’entre vous ont bien travaillé pour décorer ma Chapelle, mon bijou, mais il reste encore beaucoup à faire. Mettez un peu d'ordre tous les jours dans la Chapelle et le jardin et tous un peu; comme je vous l’ai déjà dit il y a longtemps, tous les endroits où vous posez les pieds sont saints. Travaillez avec amour, sans discuter et regarder qui en fait le plus ou moins; que l’amour et la charité soient dans vos oeuvres et tout sera plus facile. Pourquoi ceux qui habitent loin viennent-ils souvent pour aider? Parce qu’ils aiment. Moi aussi, je suis venue de très loin pour aller aider Elisabeth: avec l’amour on fait tout, on vainc tout.
Marisa - Me donnes-tu la petite?
La Madone - Je te la donnerai samedi.
Marisa - Pourquoi devons-nous revenir ici samedi?
La Madone - Bien sûr! Don Claudio ne m’a pas dit qu’il arrêtait.
Marisa - Oui, mais toi qui entends tout, tu entends ce que tu veux?
La Madone - Don Giuseppe, même si tu es loin, fais quelque chose pour le prêtre, en parlant, en étant charitable, en faisant taire ceux qui en disent du mal sans le connaître: cela tu peux le faire. Tu peux revenir avec d’autres prêtres, par solidarité, pour aider, réconforter. Donnez-vous maintenant la main et récitons tous ensemble le Notre Père
Marisa - Marie enfant rit, elle est bien coiffée, elle est toute belle.
La Madone - Tu liras ensuite les divers points, Marisella.
Merci, mes chers enfants, mon petit troupeau. Ensemble avec les prêtres, je vous bénis ainsi que vos objets sacrés. J’adresse tous mes voeux à ceux dont c’est aujourd'hui l’anniversaire, tous mes voeux aussi à Jacopo, Davide-Maria et à tous les petits enfants. La maman vous recouvre de son manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Puis-je partir, Don Claudio ?
Marisa - Nous espérons que tu lui as remonté un peu le moral, tu en sais la raison. Oui, nous sommes abattus tous les deux, mais nous essayons maintenant de faire de notre mieux. Je ferai ce que le prêtre décidera, parce que je lui dois obéissance.
La Madone - Et si Dieu te dit de ne pas arrêter?
Marisa - Alors j'obéirai à Dieu. Don Claudio, que dois-je faire, je me trouve entre toi et Dieu.
Don Claudio - Obéis à Dieu.
Marisa - C’est bon. Oui, adieu, merci et pardonne-moi si je ronchonne, mais je n'en peux vraiment plus. Je t’ai donné tant de baisers.
La Madone - Moi aussi, Marisella.
Marisa - Elle ne s'en va pas, essaie de dire quelque chose
Don Claudio - Quand nous converserons tous les trois.
Marisa - Maintenant?
Don Claudio - Non, quand nous serons seuls, comme alors.
Marisa - Entendu? Dis-le aussi à Jésus.
Jésus - Je suis ici, mon enfant.
Marisa - Ecoute, Jésus, je vais te dire quelque chose qui vient vraiment du coeur. Pourquoi nous as-tu mis dans ce méli-mélo? Pourquoi? Nous étions bien avant, nous t’aimions quand même tout, nous faisions quand même tout ce que nous devions faire, quand les apparitions étaient secrètes.
Jésus - Que dis-tu, Marisella ? Et ces enfants qui sont ici?
Marisa - Je me suis trompée encore cette fois. Se peut-il que je ne devine jamais rien? Je me trompe avec tous, grands et petits. Don Claudio a dit qu’il doit te dire quelque chose.
Jésus - Courage, Don Claudio, ouvre ton coeur.
Don Claudio - Ce qui me fait le plus souffrir c’est d'être accusé d’agir contre l’Eglise, de ne pas obéir aux autorités ecclésiastiques, de semer la confusion dans les consciences, de scandaliser les âmes. Quand cette histoire prendra-t-elle fin? Et que dois-je faire? Apparemment, ils semblent avoir raison. Ceux qui m’accusent ne savent pas ou font semblant d'ignorer ce que je sais sur les grands hommes d’eglise, mais je ne peux en faire usage pour l’instant et je suis toujours dans la situation où l’on me présente comme le rebelle de l’Eglise, l’agitateur des âmes. Que dois-je dire à ces chers confrères qui portent des boutons noirs, violets et rouges?
Jésus - Aime-les et prie pour eux. Le jugement de Dieu sera très sévère, parce qu’ils savent où est la vérité. Ne te laisse pas aller. Humainement parlant, vous avez perdu, alors ai-je perdu moi aussi?
Marisa - Est-ce que je sais si tu n’as pas perdu toi aussi, parce que je ne comprends plus rien. Moi quand j'étais enfant j’aimais les prêtres et quand j’en voyais un il me semblait te voir sur la Terre, puis quand j’ai grandi je me suis rendue compte que tout ceci n'était pas vrai, il y a de bons prêtres, mais ...
Jésus - Ne faites pas comme eux.
Marisa - Réponds.
Don Claudio - Jésus, nous feras-tu rencontrer quelqu’un de bon qui me viendra en aide cette année?
Jésus - C’est difficile à Rome, parce qu’une campagne a été lancée contre toi, mais ceux qui te connaissent, comme ces créatures agenouillées ici près de toi, savent que tu es quelqu’un d'honnête, qui aime, qui est dans la vérité: ils savent que je suis venu ici et que j'y ai versé du sang et c’est cela qu’ils ne veulent pas accepter. La victoire viendra, même si tout semble perdu maintenant, la victoire doit venir, sinon j’aurais échoué comme toi, mon enfant.
Marisa - Et moi comme toi, mais c’est un prêtre qui aime son sacerdoce, les âmes et même les calottes rouges et violettes. Les espions ont rapporté aussi le discours que j’ai eu avec toi. J’ai dit "Parlons-en après les vacances, sinon ces calottes les feront espionner à nouveau". Ils rapportent tout, ils savent tout.
Jésus - Il est certain qu’ils savent tout, tu ne dois pas parler à voix basse mais à voix haute, sinon moi qui suis sourd, je ne t’entends pas?
Marisa - Ecoute, Jésus, sois sérieux, tu ris et je ne comprends pas.
Jésus - Tu dois tout dire à voix haute, il n'y a rien à cacher, ce ne sont pas des secrets, hormis ceux que Dieu t’a confiés.
Marisa - Oui, mais ne me donnez plus de secrets, parce que sinon je m'écroule. Tu m'en donnes un beau?
Jésus - Aimez, mes enfants, aimez comme je vous ai aimés. Et vous savez comme je vous ai aimés.
Marisa - Mais la date n'est pas sortie de ta bouche, seulement l’année, tu n’as pas dit le mois. Alors dis-le tout bas, tout bas. Dis-nous le mois, allons, le mois. Dis-le seulement au prêtre, pour qu’ainsi il ne ferme pas les portes, qu’il reprenne des forces.
Jésus - Marisella, tu sais que lorsque je ne parle pas, c’est parce que je ne le peux pas. Nous devons partir maintenant, Marisella, nous devons tous retourner auprès du Père.
Marisa - Et nous restons sur la Terre à souffrir ? C’est bon, Jésus, adieu. Ils sont partis maintenant. Ils sont partir rejoindre le Père.
Rome, le 12 septembre - 18h30 (Lettre de Dieu)
Marisa - Il y a la croix, mais je ne comprends pas.
La Madone - Il y a la croix, parce que moi, votre Maman, je défends le prêtre.
Est-ce que cela ne suffit pas que ceux de l'extérieur et les grands hommes d’eglise le fassent souffrir ? Même ici, il y a quelqu’un qui ne se conduit pas bien envers le prêtre. Faites votre examen de conscience, il n'est pas nécessaire que la Maman dise le nom. Croyez-vous ou ne croyez-vous pas que le prêtre souffre pour faire triompher la vérité, pour le triomphe de l’Eucharistie? Je n’aime pas le comportement d'une personne envers le prêtre; il aime toutes les âmes, il n’a pas de préférence et n'en a jamais eue. Ceux qui ont peur du prêtre, c’est parce qu’ils n'ont pas bonne conscience. Je le répète, il ne s’agit pas de manquements graves, mais il n'est pas possible qu’après tant de souffrances que vous connaissez tous, il y est encore aujourd'hui quelqu’un qui ne se conduise pas bien. J’ai déjà dit à votre soeur de vous informer de tout cela, mais elle n'en a pas eu le courage, parce que vous interprétez mal et dites des choses qui ne sont pas belles. Don Claudio est un prêtre qui travaille pour tous n'importe où il se trouve, qui ne pense qu’aux âmes, sans penser à lui-même; il n’a pensé ni au repos, ni aux vacances, comme beaucoup le croient, mais a travaillé et beaucoup travaillé pour mon Fils Jésus et le bien des âmes. Que cela ne se renouvelle pas, et si quelqu’un a réellement peur, qu’il le dise directement au prêtre. Vous dites que la Maman se répète, mais vous ne me donnez pas l’impression d’avoir grandi, si aujourd'hui encore après tant d’années vous continuez à dire des choses qui ne sont pas belles. Vous avez beaucoup reçu, mes chers enfants et vous devez avancer. Ceux qui ont reçu ne peuvent en arriver là. Moi, votre Maman, je ne peux pas comprendre que de telles choses arrivent. Mais qu’attendez-vous d'une créature qui donne toute sa vie pour les autres? Qu’en attendez-vous? C’est une créature qui a eu la joie de devenir prêtre, qui est sincère et loyale envers tous, et pour cette raison met sa propre vie, son sacerdoce en danger. Aimez-vous le prêtre? Vous ici présents, aimez-vous le prêtre? Est-il possible qu’il y ait toujours quelque chose à redire? Il y en a déjà tant qui disent du mal dans le dos du prêtre, surtout les cardinaux, les évêques, les prêtres et les religieuses. Pourquoi le faites-vous aussi?
Marisa - Mais ne sois pas ainsi triste.
La Madone - J’ai déjà lu les billets que vous avez écrits, tous ne l’ont pas fait. Je sais que c’est un oui, mais êtes-vous vraiment sûrs que je dois continuer à venir quand vous faites souffrir celui que Dieu aime? Je vous ai dit et je le répète: le prêtre a toujours obéi à l’Eglise. Ecoutez bien le message et mettez-le en pratique. Il a été suspendu a divinis parce qu’il n’a pas renié mon Fils Jésus et ne vous a pas dit: "Je vous ai trompés"; c’est pour cette raison qu’il a été suspendu. Il ne pouvait pas renier Jésus et venir vous dire: "Mes enfants, je vous ai trompés", parce que vous l’avez également vu. Si quelqu’un vous dit quelque chose, soyez prêts à répondre, le vrai chrétien ne doit pas avoir peur; vous me semblez parfois vivre dans la peur quand vous répétez: "J’ai peur du prêtre, j’ai peur de répondre à ceux qui en disent du mal". Si vous savez qu’ils l’ont suspendu parce qu’il devait renier mon Fils Jésus, Jésus Eucharistie qui a versé du sang, pourquoi ne le défendez-vous pas, au lieu d'écouter ce qu’ils disent? Combien de fois ne vous ai-je pas dit: "Si vous ne savez pas parler, saluez et partez". C’est pourquoi je suis très triste. Il y a beaucoup d'âmes qui luttent pour défendre le prêtre, mais beaucoup d’autres vivent dans la peur. Mon Fils Jésus n’a pas eu peur quand il est mort pour chacun de vous, quand il vous a ouvert le Paradis. Je veux des soldats qui se battent pour Jésus Eucharistie, pour ceux qui défendent l’Eucharistie. j’espère avoir été claire en tant que Maman; cela me coûte de vous dire des choses que je vous ai déjà dites bien de fois. Et puis vous dites: " Pourquoi la Madone se répète-elle?". Je vois tout et je sais tout. La Maman vous a également dit: "Ne venez pas toujours raconter ici les méchancetés que les autres disent sur mes deux enfants. Laissez-les vivre en paix, ils ont déjà tant de problèmes, tant de souffrances". Je vois que vous êtes un peu endormis, les jeunes en particulier; je ne l’attendais pas de vous parce que la Maman vous a beaucoup donné. Je suis venue chaque fois que vous m’avez appelée. Je défends Don Claudio qui est seul à se battre dans cette bataille. Les oeuvres de Dieu sont harcelées, combattues, calomniées et diffamées. Ils veulent même détruire cette oeuvre de Dieu et si vous n’aidez pas le prêtre, ils y parviendront. Ne vous taisez pas pour vivre tranquille, vous pécheriez par omission. Vous avez reçu, vous devez donner.
Fermons cette parenthèse, la Maman adresse ses voeux à tous ceux qui portent le nom de Maria: Davide Maria, Don Giuseppe Maria, qui n'est pas ici pour des raisons pastorales et à toutes celles qui s’appellent Marie comme moi. Tous mes voeux à toi, Marisella, et merci pour tout ce que tu fais pour l’Eglise.
Marisa - En vérité, je ne fais rien. Je suis toujours mal. Elle a souri parce que j’ai dit que je suis toujours mal. Je te demande pardon au nom de tous, nous sommes des créatures très faibles. Acceptes-tu nos billets?
La Madone - Oui, je les accepte, mais ils doivent être sincères. Je suis contente de vous quand vous priez, quand vous venez dans ce lieu thaumaturgique, mais certaines choses aujourd'hui encore ne doivent pas arriver, mes chers enfants. Pas de vous, parce que je vous aime, le prêtre vous aime et puis le grand roi, le grand prêtre, Jésus Eucharistie vous aime tous. Courage, reprenez le chemin, mais ne revenez pas sur vos pas, avancez toujours, avancez avec Jésus Eucharistie, la Mère de l’Eucharistie, mes deux chers enfants. Donnez-vous la main, serrez-vous bien les uns contre les autres et priez. Combien de choses vous ai-je annoncées en 1997 et ne se sont-elles pas réalisées? Vous ne vous en êtes pas rendus compte. Pourquoi cela arrive-t-il? Ne fermez pas vos coeurs, laissez-les toujours ouverts. Faites triompher Jésus Eucharistie. La Maman vous demande pardon de vous avoir parlé ainsi, mais je devais le faire. Aucun de vous n’a le courage de le faire, alors je le fais.
Marisa - Mais tu es toujours la bonne maman. Tu nous cajoles simplement et nous fais des caresses maternelles.
La Madone - Donnez-vous maintenant la main, serre-vous fortement les uns les autres, toujours, pas seulement quand vous êtes ici présents, faites une chaîne de prières, d’amour pour la paix dans le monde et la paix dans l’Eglise, rapprochez-vous les uns les autres. Je vous en prie, aidez-nous. Voilà, mes chers enfants, une vraie maman reprend ses propres enfants quand ils commettent des fautes, mais ces reproches je les appelle des caresses maternelles. Je vous fais des caresses maternelles, parce que je vous aime tant, mes chers enfants.
Merci de votre présence. Participez de tout votre coeur à la sainte Messe, priez pour la conversion des grands.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers, vos objets sacrés y compris la petite Madone ici devant vous. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Mes voeux s’adressent bien sûr à Jacopo. J’ai adressé mes voeux à tous ceux qui portent le nom de Marie.
Marisa - Tu veux plaisanter. Adieu. Elle est partie, Don Claudio.
Don Claudio - Cela te déplaît?
Marisa - Parce que je me sentais bien.
Don Claudio - Je sais.
Rome, le 13 septembre - 22h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Je suis devant mon Fils Jésus qui a saigné et je l’adore; adorez vous aussi mon Fils Jésus. Vous avez entendu le catéchisme et les commentaires de l'épître de Saint Paul. Vous avez entendu un bon nombre de belles réflexions, mettez les en pratique. La Maman se recueille maintenant profondément dans la prière.
Jésus - J’ai soif, mes chers enfants, j’ai soif d’amour, de pardon, de souffrances. J’ai soif de vous, mes chers enfants ici présents devant moi, Jésus dans l’Eucharistie, Jésus sur la croix, mais il s’agit d'une croix triomphante, d'une croix de joie, d’amour, j’ai soif de vous, donnez-moi à boire. J’ai soif de mes prêtres bien-aimés qui soit par peur, soit parce qu’ils ne croient pas que je sois ici présent, ne viennent pas m’adorer. J’ai soif de mes épouses. J’ai soif des voyants, beaucoup d’entre eux ne répondent pas. J’ai soif des laïcs engagés qui disent beaucoup de choses seulement pour parler, mais ne savent pas aimer. Moi, Jésus, j’ai soif d’amour, j’ai soif de vous. Participez de tout votre coeur et dans la grâce à la sainte Messe. C’est une messe douloureuse, mais d’amour. Voilà, j’ai soif, j’ai si soif, donnez-moi à boire.
Marisa - Jésus, aujourd'hui je te vois beau sur la croix. Quand je vois la belle croix rouge et flamboyante, je sais que Tu as tout fait pour nous et je me sens d’abord indigne de te recevoir, de t’avoir mais si Tu as soif, Jésus, je Te donnerai à boire, accepte cette eau qui n'est pas bonne comme tu l’aimerais qu’elle soit.
Jésus - Ne t’inquiète pas, mon enfant, j’ai soif. Merci à vous tous ici présents, merci à une grand-mère qui souffre tant dans son lit. Ensemble avec les prêtres, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés.
La Madone - Et moi, votre Maman, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Jésus est maintenant revenu, la Madone prie et adore Jésus. Jésus a soif.
Don Claudio - Il a soif d'âmes.
Rome, le 14 septembre - 22h30 (Lettre de Dieu)
Jésus - Vous avez beaucoup prié, mes chers enfants, et je suis ici, je suis descendu de la croix triomphante. La croix ne doit pas vous faire peur, mais vous donner de la joie. Je vous ai dit hier: "J’ai soif, donnez-moi à boire". l’un d’entre vous a répondu et m’a donné à boire, parce que j’avais soif. Si je suis ici en ce moment au milieu de vous, c’est pour vous faire comprendre que la croix n'est pas tristesse, mais joie et salut. J’aide ceux qui prennent, étreignent et embrassent leur croix, à la porter. Vous portez tous une croix dans cette vallée de larmes, mais je l’ai portée avant vous, avec souffrance et beaucoup d’amour, parce que je vous ai tous aimés depuis le commencement.
Regarde, Marisella, la croix est derrière moi et je ne suis plus sur la croix comme hier, mais devant elle, je vous tends les mains et aujourd'hui encore je vous dis: "Donnez-moi à boire, j’ai soif". Votre prêtre vous a donné de grands enseignements, il a commenté l'épître de Saint Paul et lu l'hymne à la croix. Une seule de ses paroles suffirait pour que vous parveniez à mettre en pratique ce qu’il vous a enseigné.
La croix est amour; c’est seulement par amour pour vous que je suis mort sur la croix. Je vous aime. Apprenez à aimer la croix, même quand elle est lourde, très lourde à porter. N'est-ce pas mon cher prêtre bien-aimé et ma douce épouse? Vous vous courbez sous la croix; plus vous l’aimez et plus vous en sentez le poids, mais parfois ceux qui sont près de vous ne le comprennent pas et attendent que vous souriiez. Vous avez senti comme il est pesant de porter ma croix, mais je n’ai pas seulement laissé peser ma croix sur vos épaules, je vous ai aussi laissé mon amour. J’aime et vous aimez.
Souvenez-vous que ceux qui aiment souffrent, ceux qui n’aiment pas ne souffrent pas; ceux qui aiment remarquent si leur frère est en difficulté, écrasé par la croix. Ceux qui n’aiment pas ne remarquent pas là où il y a la croix. C’est seulement en l’acceptant que vous deviendrez de vrais chrétiens et entrerez dans le Royaume des Cieux, sans couronne. Je n’ai reçu que la couronne d'épines.
Je suis le roi, le roi des coeurs, le roi de l’amour, le roi de la joie, le roi de la souffrance. C’est pourquoi j’ai dit: "J’ai soif". La Maman est ici à côté de moi et comme tu le vois, Marisella, elle est à genoux pour adorer Jésus Eucharistie et prie pour vous. Tu vois comme elle est recueillie. C’est ici un temple de Jésus Eucharistie où l’on vient seulement pour prier, aimer, rien d’autre. Ceux qui viennent dans ce lieu doivent y venir pour aimer, prier et faire silence intérieurement. Vois, c’est pour cela que la croix s’illumine, c’est une flamme d’amour: un amour qui donne paix, joie et réchauffe vos coeurs. Aimez, vous aussi, toujours!".
Marisa - Voilà un second Jésus et un troisième; je comprends que la Trinité vient d’arriver
Jésus - J’ai maintenant les stigmates et c’est ainsi que tu reconnais que je suis Jésus crucifié et tu reconnais le Saint Esprit parce qu’il porte la colombe. Ma et votre maman est toujours inclinée, priant et adorant. Quand l’Eucharistie est présente, la Trinité est présente, adorez-la toujours. La croix signifie mort, mais elle est surtout résurrection, c’est pourquoi il faut toujours jouir de Dieu.
Marisa - Je sais, je devrais te demander pardon, Jésus, parce que je ne suis pas bonne comme tu l’aimerais que je le sois; j’ai besoin moi aussi de me convertir, mais je t’aime tant, même si parfois tu me fais sentir la croix. Nous t’aimons tous Jésus, nous t’aimons avec nos défauts, nos imperfections; nous sommes de pauvres créatures, tu le sais. Un Jésus est parti, un autre s'en va, Jésus Crucifié est resté, mais il n'est pas sur la Croix.
Jésus - Mes chers enfants, mes voeux à tous. Ne fuyez pas la croix, mais embrassez-la. La Maman me dit maintenant d’adresser mes voeux au petit Jacopo, né le jour du premier miracle eucharistique. J’adresse donc mes voeux à ce petit enfant, bien qu’il ne soit pas présent.
Marisa - Oui, mais il est en haut à tempêter.
Jésus - Mes voeux à vous tous.
Ensemble avec l'évêque et ma Maman, je vous bénis tous. Je bénis vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis surtout les parents qui ne sont pas pratiquants. Vous devez vous aimer, les autres doivent remarquer que Jésus Eucharistie est en vous.
La Madone - Et moi, votre Maman, je vous serre tous sur mon coeur et adresse mes voeux au petit Jacopo.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Vive la croix. Embrassez la croix, aimez la croix.
Marisa - Jésus est parti, la Madone est restée avec les anges. Adieu. Don Claudio, les trois Jésus étaient présents.
Don Claudio - La Trinité.
Marisa - Oui. Mais je les ai reconnus cette fois, parce que Jésus a parlé en premier.
Rome, le 20 septembre - 10h40 (Lettre de Dieu)
Marisa - Cela fait longtemps que tu es ici avec nous. Tu sais comme l'étau se resserre autour de nous. Tu parles et dis tant de belles choses, même le prêtre dit beaucoup de belles choses et il est juste qu’il se défende; quand te montreras-tu à tous? Quand donneras-tu ce signe de ta venue? Ceci récompenserait ceux qui t’ont suivie, mais surtout ceux qui ont suivi Jésus Eucharistie.
Vous avez accompli tant de miracles et nous les hommes nous n’avons rien compris. Je veux maintenant te recommander tous ceux qui sont malades de corps et d’esprit. Il y en a tant que je ne te les nomme pas, mais tu sais ce qu’il y a dans mon coeur. J’aimerais te demander une toute petite chose: quand toutes ces souffrances prendront-elles fin, la lutte, les calomnies et les diffamations contre nous? Qu’avons-nous fait de mal? Devons-nous continuer à souffrir autant uniquement parce que nous aimons Jésus Eucharistie et t’aimons? Vois-tu que ton prêtre bien-aimé se consume? Pour qui? Pour ceux qui ne t’aiment pas? Tu dis que les temps sont proches et tu nous as promis que les choses changeraient en 1999, d’abord en pire, puis en mieux; nous, pauvres créatures qui continuons à cheminer sur les traces de ton Fils Jésus, que devons-nous faire encore?
La Madone - Je ne te dis qu’une seule chose: aimer. Vous devez seulement aimer, vous ne pouvez pas être comme les autres et vous conduire comme eux. Si les autres n’aiment pas, calomnient, diffament avec tant de facilité, voulez-vous être comme eux? Les autres, il y a même des voyants parmi eux, disent du mal de ces apparitions. Ne les croyez pas. Vous devez y arriver tout seul. Votre soeur n’a jamais dit du mal d’autres apparitions, vraies ou fausses, elle n’a jamais rien dit contre elles. Les autres, qui se sentent forts, grands et qui sont suivis par beaucoup de monde, se permettent de dire à tout le monde, même par l’intermédiaire des radios catholiques, que c’est le démon qui est ici, que ce qui s'y passe n'est pas vrai, que la Madone n'y apparaît pas. Mais au contraire j’apparais ici, dans ce lieu thaumaturgique choisi par Dieu. Il est vrai que vous êtes peu nombreux, mais cela n’a pas d'importance aux yeux de Dieu; ce n'est pas la foule qui confirme que des apparitions soient vraies ou non. Croyez-moi, mes chers enfants, ceux qui disent du mal de ce lieu ne me voient pas; je ne peux apparaître dans un lieu où l’on dit du mal d'un autre lieu. Essayez de comprendre, ne discutez pas entre vous et si vous ne comprenez pas, demandez au prêtre qu’il vous explique. Je ne peux pas apparaître là où l’on calomnie et diffame. Non, cela jamais. Si ces personnes s’attaquent au lieu thaumaturgique, même au moyen des radios catholiques, cela veut dire que je ne leur apparais pas. Jésus a dit le 13 septembre: "J’ai soif, j’ai soif de vous". Lui avez-vous donné à boire? Avez-vous fait quelque chose pour Jésus ? Avez-vous étanché sa soif en lui offrant de l'eau et du vinaire sur une éponge pour le désaltérer? Donnez à boire à Jésus. Tout changera et se renversera! Padre Pio qui est ici avec moi, a dit, de son doux regard, mais puissant: "Je n’ai jamais désobéi aux autorités ecclésiastiques, parce que c'était différent à mon époque. Aujourd'hui en l’an deux mille, on doit obéir avec amour aux autorités ecclésiastiques".
Les hommes d’eglise ne doivent pas commander uniquement parce qu’ils détiennent le pouvoir, peuvent faire du chantage et comme vous le dites, sont maîtres de la situation et peuvent transpercer votre prêtre, parce qu’il est simple, humble, ne possède ni pouvoir, ni autorité, mais a beaucoup d’amour à vous donner. Les canons du code du droit canonique doivent changer et les supérieurs doivent demander l’obéissance avec amour, simplicité et non par chantage; on ne peut dire: "Ou tu fais ce que je te dis ou je te suspens". Non! Agissez-vous ainsi avec vos enfants? Non. Depuis leur enfance jusqu'à ce qu’ils deviennent adultes, s’ils restent à la maison, vous continuez à les aimer, à leur donner des conseils sans leur faire de chantage: le chantage n'est pas beau et est proche du péché. Je devrai encore vous parler du chantage, de la calomnie et de la diffamation tant que les choses ne changeront pas.
Mon coeur est triste, parce que j’aimerais seulement vous parler de Dieu et de Jésus Eucharistie, et je dois au contraire toujours vous rappeler que votre prêtre n’a jamais désobéi au cours de ses trente cinq ans de sacerdoce, ce qu’ils ont également reconnu. En baissant la tête, le prêtre a dit au cardinal Ruini: "Je ne suis pas d’accord, mais j'obéis", puis ils ont usé du chantage, en lui disant: "Nie ce que tu as vu et tu ne seras pas suspendu". Qu’auriez-vous fait à sa place? Qu’auraient fait à sa place tous ces prêtres qui ne viennent pas, qui sont contre lui? Auraient-ils renié Jésus Eucharistie ou.....? L’obéissance est une grande vertu, mais la charité est une vertu encore plus grande, sans elle il est inutile de parler, car les paroles se perdent dans le vent. Les hommes d’eglise n'ont pas fait preuve de charité et d'obéissance. Ils - disent - pouvoir faire ce qu’ils veulent en tout. Ceux qui veulent comprendre, comprendront.
C’est uniquement parce que les apparitions ont commencé à être publiques le 24 octobre 1993 que la sainte Messe a été interdite un an plus tard dans le lieu thaumaturgique. Vous êtes-vous jamais demandés pourquoi? Parce que des curés des paroisses voisines du lieu thaumaturgique se sont plaints et ont dit que votre prêtre leur enlevait les jeunes et les adultes? Mais où sont les jeunes et les adultes d'une paroisse de 35 000 âmes? Où sont-ils? Nos jeunes ne sont pas du quartier, ils viennent de loin en faisant des sacrifices, parce qu’ils travaillent et étudient.
Est-ce pour vous de l’obéissance? Est-ce de la charité? C’est à vous d'y répondre dans votre coeur. Ce matin, certains d’entre vous en venant ici prier, parlaient dans la rue à voix haute de ce qui se passe ici. Je vous ai dit, mes chers enfants, de prier dans la rue et de ne pas parler, parce que ceux qui n'écoutent même qu’une seule parole, cherchent ensuite un moyen d'offenser ce lieu thaumaturgique. Ne parlez pas dans la rue, priez et continuez à prier en sortant d'ici.
Je vous ai dit que les décrets du Vicariat n'étaient pas valides, qu’ils étaient nuls, illégitimes, mais les hommes d’eglise sont puissants, détiennent le pouvoir et personne ne peut s'y opposer. Seul Dieu peut les abattre. Que feriez-vous à Sa place? Les détruire? Ils sont trop nombreux et je ne peux le permettre. Je vous prie de réciter le Saint Rosaire, d’assister à la Sainte Messe et de recevoir la Sainte Communion si vous êtes en état de grâce et d’aller vous confesser si vous en avez besoin.
Ceux qui aiment, doivent aimer jusqu’au bout, même si les difficultés sont nombreuses. Mes enfants sont fatigués, éprouvés, amères, cèdent physiquement et quelqu’un les poignarde dans le dos. Vous, petit troupeau, ne le faites jamais, continuez à les suivre. Même s’ils devaient aller jusqu’au martyre, agenouillez-vous et priez, priez toujours. Comme je vous l’ai déjà dit, la prière est une arme puissante, elle peut sauver aussi la vie. Vous ne vous êtes peut-être pas encore rendus compte que mes deux enfants vivent encore grâce à vos prières, faites avec le coeur, dans la grâce et beaucoup d’amour. La charité, l’obéissance et la chasteté sont de grandes vertus, mais la plus grande vertu est la charité, malheureusement elle manque facilement.
Ils parlent d'obéissance parce qu’ils savent que vous laïcs ne comprenez pas totalement comment cette vertu se pratique. Les prêtres comme les religieuses répètent: Obéissance aux autorités, obéissance aux autorités, mais est ce que les autorités aiment votre prêtre? Non! Ils lui ont ordonné de renier Jésus Eucharistie, de se débarrasser de l'Hostie qui a versé du sang. Ils lui ont dit:"Renie et nous te redonnerons le droit de dire la Messe et peut être même l'épiscopat".
Mais le prêtre leur a répondu: "J’accepte même de mourir, mais je ne renierai jamais le Christ". C’est un très grand exemple que vous devriez tous imiter. Mais combien au contraire ont renié le Christ, vu le miracle eucharistique, pas une seule fois mais bien des fois, et l’ont renié? Vous, je vous en conjure, ne reniez jamais Jésus Christ, mon Fils, votre Père, votre Frère. Aimez Jésus Eucharistie, la Mère de l’Eucharistie et votre prêtre. Il y a tant d’amour dans son coeur, parce que tant et tant ne veulent pas se convertir et se sauver. Merci de répondre à tout ce que la Maman vous a dit. Que ceux qui ont enregistré le message, le réécoutent et méditent mes paroles. Souvenez-vous qu’on doit arriver à l’obéissance par amour et non par chantage. Tant qu’il y aura du chantage, l’Eglise ne changera pas et les hommes d’eglise resteront les mêmes. La vie est dure et difficile pour ceux qui veulent suivre la voie de la sainteté. Participez maintenant à la sainte Messe, pensez à la grande amertume et à grande joie qu’il y a en votre prêtre lorsqu’il la célèbre. Amertume parce que les hommes d’eglise continuent à dire des choses qui ne sont pas vraies et joie parce qu’il ne renoncera jamais à dire la sainte Messe. Le prêtre doit administrer tous les sacrements. On ne suspend pas un prêtre, même s’il devait désobéir aux autorités, on le suspend encore moins après trente cinq ans de sacerdoce; pensez-y bien!
Merci et pardonnez moi mon sermon, mais je suis votre Maman et je dois dire la vérité parce qu’il faut que vous compreniez. Quand quelqu’un dit quelque chose qui n'est pas vrai, sachez répondre avec fidélité, charité et sans insolence. Je salue grand-mère Iolanda et lui envoie un baiser. Pauvre grand-mère, elle souffre encore beaucoup et récite le Saint Rosaire pour Don Claudio, Marisa et vous tous. Merci de continuer à venir dans le lieu thaumaturgique. Adieu Jacopo, la Maman t’envoie un baiser ainsi qu'à tous les petits enfants. Tu ne me regardes pas, Jacopo?
Je te regarde. Adieu, petit. j’envoie également un salut à Barbara qui n'est pas là, à Davide Maria, à tous les petits enfants, je les aime tous, mais Dieu me répète toujours de saluer Jacopo. Tu dis adieu à la Maman, Jacopo?
Merci. Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés.
Marisa - Même celui-ci.
La Madone - Bien sûr, je bénis tous les objets.
Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Je vous recommande d'écouter la sainte Messe et d'y participer de tout votre coeur, en silence, Jésus Eucharistie est dans l’Eglise, ce Jésus qu’ils continuent à maltraiter aujourd'hui, parce qu’ils vous maltraitent.
Marisa - Es-tu moins triste maintenant? Adieu.
Don Claudio, elle est partie.
Messages d'Octobre 1998
Rome, le 3 octobre, 17h40 (Lettre de Dieu)
Marisa - Nous sommes prêts à t’accueillir. Tu es venue avec Saint Joseph, le petit Jésus et tous les anges.
La Madone - Marisella, ceci est l’image que tu vois souvent dans le ciel. Tu as bien vu: la tiare, l’ancien pape décédé et le nouveau.
Marisa - Je veux te recommander tous ceux qui demandent de l’aide pour tout ce dont ils ont besoin. Es-tu contente de nous?
La Madone - Merci de votre présence, mes chers enfants. Vous êtes encore peu à venir dans ce lieu thaumaturgique où le grand miracle eucharistique a eu lieu, pas une, deux ou trois fois, mais bien des fois. Vous avez vu vous-mêmes combien mon Fils Jésus vous aime: Il vient même quand vous n'êtes pas nombreux, deux ou trois, parce qu’il a dit: Là où deux ou trois prient, je suis avec eux. Dieu le Père m'envoie souvent pour prier, me réjouir et souffrir avec vous; vous souffrez beaucoup en ce moment, mais la souffrance vous rend forts si vous l’acceptez avec amour. Vous devez faire tout ce que vous faites avec amour, si vous le faites par obligation, par habitude, cela ne vous fortifie pas; la souffrance vous rend forts, libres, mais vous devez savoir aussi parler et répondre à ceux qui disent du mal des miracles eucharistiques.
Jésus m’a dit: "Marie, ma Maman, mon Epouse et ma Soeur, dis à mes enfants de défendre Jésus Eucharistie et les hommes de l’Eucharistie, de ne pas avoir peur, de faire valoir la vérité et de la faire triompher. Combien de fois ne vous ai-je pas dit que le vrai chrétien doit être sans peur, doit agir avec charité, mais aussi avec courage. Sinon comment peut-on dire que quelqu’un est un chrétien? Pourquoi les fils des ténèbres sont-ils plus éveillés, plus habiles que les fils de la lumière? N'êtes vous pas avec Jésus Eucharistie? N'êtes vous pas avec la Mère de l’Eucharistie? Pourquoi devez-vous toujours vous faire dominer? Pourquoi ne montrez vous pas la tête haute que vous êtes de vrais chrétiens, des chrétiens pratiquants, avec tout l’amour que l’on doit donner à Jésus, à Jésus crucifié, à Jésus Eucharistie?
Combien de fois ne vous ai-je pas dit: "aimez la croix"; la croix n'est pas mort mais résurrection. Que chacun de vous étreigne sa croix, la tienne serrée, l'embrasse avec amour, même si elle est très lourde pour quelqu’un ici présent, Dieu savait où l’appuyer et Il l’a très bien placée sur les épaules de certains d’entre vous. Je vous invite à prier pour ceux qui portent une croix très lourde, très si pénible.
Vous ne savez pas qu’il y a des prêtres et quelques évêques qui téléphonent par solidarité à votre prêtre, mais ne viennent pas ici parce qu’ils ont peur. Il y a même des religieuses qui disent: je suis avec vous mon père, mais je ne viens pas parce que la supérieure me l’a interdit, même de parler avec vous". Qui est, qui sera jamais ce prêtre? N'est-il pas une créature de Dieu? Doit-on ainsi piétiner les créatures de Dieu? Quand le nouveau catéchisme a été rédigé, ils y ont écrit que la calomnie et la diffamation sont des péchés mortels, mais ils sont les premiers à calomnier et diffamer. Vous, ne le faites jamais, défendez, si vous le pouvez, toujours avec charité. Ceux qui pratiquent la calomnie et la diffamation n'entreront jamais dans le Royaume des Cieux. Il est impossible d’emporter dans le royaume des cieux ceux qui ont délibérément calomnié et diffamé. C’est très grave de dire: "J’ai peur de venir, parce qu’ils m'enlèveront ma paroisse, j’ai peur du Cardinal"....j’ai peur parce que la Supérieure ne le veut pas....". Jésus n’a pas eu peur de se donner tout entier et de nous rouvrir le Paradis! Et vous, que faites-vous pour Lui? Avez-vous peur?
Marisa - Pas moi, mais ceux qui sont plus puissants, je ne suis bonne à rien.
La Madone - Non, courage, mes chers enfants, la victoire sera vôtre finalement et vous aurez ouvert les portes du Paradis.
Je dois maintenant vous dire quelque chose qui vous fera probablement rire. Beaucoup ont leur fête et leur anniversaire en ce mois d'octobre; alors que fait la Maman? J’adresse mes voeux à tous ceux et toutes celles qui ont quelque chose à fêter au mois d'octobre. Je vous ai déjà adressé mes voeux au mois de janvier, lorsque je vous ai dit: "Je vous adresse tous mes voeux de fêtes et d’anniversaires pour toute l’année, de janvier à décembre". Je dois adresser mes voeux à grand-mère Iolanda. La pauvre n'est pas présente, mais permettez-moi de lui adresser tous mes voeux; cela fait quatre-vingt douze ans qu’elle vit sur la Terre, qu’elle aime et souffre; je les lui adresserai demain à nouveau.
Je voulais vous inviter mercredi, si vous le voulez bien, comme c’est la fête de Notre Dame du Rosaire il y aura l’apparition. Il y aura à16h30 le saint Rosaire, puis l’apparition, la Sainte Messe et après la rencontre biblique. Ne me faites pas répéter à nouveau: venez à la rencontre biblique, écoutez la Parole de Dieu, apprenez à connaître Jésus à fond. Cherchez à bien retenir la date et l'horaire: mercredi 7 octobre à 16h30; votre prêtre dirait: "tout finira vers les sept heures
Marisa - Mais tu sais tout?
La Madone - Je vous aime trop, mes chers enfants, je suis heureuse de venir parmi vous à l’occasion des fêtes de Jésus et de la Madone.
Marisa - Moi aussi, je suis heureuse, mais si
La Madone - n’appuie pas sur cette touche, Marisella.
Marisa - Tu ne me laisses pas parler non plus. Je n’ai rien dit. C’est bon.
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Dieu le Père m’a dit de vous dire une autre phrase: si quelqu’un dit du mal de l’Eucharistie, dit que le prêtre a désobéi, vous devez lui répondre: "Si l’on te dit de tuer ton fils par obéissance, est-ce que tu le tueras?" Ils ont dit au prêtre de renier Jésus Eucharistie; doivent-ils le renier selon vous? Non. Beaucoup de prêtres ont dit non, beaucoup ont dit qu’il avait bien agi, mais personne n’a le courage de le soutenir et de l’aider; ils ont peur. Donc sachez répondre: "L’obéissance, oui, le chantage, non". On ne peut pas dire si tu fais ceci, je te donnerai cela.
Adieu, mes chers enfants. Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Participez à la Sainte Messe qui est plus importante que l’apparition. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Elle est partie avec Saint Joseph et le petit Jésus.
Rome, le 4 octobre 1998, 10h35 (Lettre de Dieu)
La Madone - Terminez le saint Rosaire à la maison. Ce que le prêtre vous a dit est très important; dans l'échelle des valeurs, le catéchisme vient avant le Saint Rosaire et l’apparition. Méditez bien les paroles du prêtre. Il a commenté le message de Dieu et celui-ci est très important; réfléchissez dans vos coeurs et si vous ne comprenez pas, comme je vous l’ai déjà dit bien des fois, demandez des explications au prêtre; ne discutez pas entre vous, parce que si vous ne comprenez pas bien ce qui vient d'être dit, c’est pire. La situation est très critique ici; ils ont cherché à faire le vide autour de mes deux enfants. Vous qui venez ici avec tant d’amour, Dieu vous récompensera de ce que vous faites. Souvenez-vous de ma promesse; vous me verrez tous dans ce lieu thaumaturgique; ce sera d’abord le prêtre qui me verra et a déjà commencé à me voir sous une forme stylisée avec un de ses jeunes; puis vous me verrez, vous qui êtes toujours présents ici et qui avez affronté des situations difficiles avec des personnes qui ne croient pas. Dieu vous fera ce cadeau.
De toute façon, la Maman vous recommande toujours l’amour envers tous, l’amour vrai, le grand amour, surtout envers les malades et ceux qui sont loin de mon Fils Jésus; ne les condamnez pas, mais aidez-les. s’aimer entre soi est très facile, moi aussi avec mon époux Joseph et l’Enfant Jésus nous nous aimions à la folie, ce n'était pas difficile. Aimer les autres et aimer ceux qui font souffrir est difficile, mais vous pouvez y arriver, parce que vous êtes unis à mon Fils Jésus et recevez chaque jour l’Eucharistie. Jésus est trop bon, trop paternel et doux pour ne pas vous aimer. Il aime aussi les pécheurs et ceux qui le font volontairement souffrir.
Mais plus tard quand tout se renversera et que la justice de Dieu règnera, ce sera triste. Continuez à faire du bien, mettez en pratique les messages, mais surtout les commentaires faits par votre Evêque, parce que l’Esprit Saint entre en lui et ce qu’il vous dit est inspiré par lui. L’Esprit Saint peut également vous parler, si vous continuez à vivre dans la grâce. Aimez! Vous les jeunes, aimez-vous, faites de l’apostolat, gardez les yeux ouverts, travaillez avec amour; l’Eglise, la nouvelle, compte tant sur vous; mais si vous dormez, pauvre Eglise. Je plaisante naturellement; parce que la Madone plaisante elle aussi. Quelqu’un a dit: "Oui, la Madone plaisante maintenant, elle se met à dire des choses". Et pourquoi pas? Pourquoi ne devrais-je pas plaisanter avec vous? C’est si beau de vivre en harmonie, de plaisanter sans exagérer.
La rencontre biblique est fixée le mercredi à 16h30. Ne faites pas comme l’an passé où je devais répéter chaque fois que la rencontre biblique est plus importante que l’apparition. Beaucoup de personnes venaient à l’apparition, mais n'étaient pas présentes à la rencontre biblique. La rencontre biblique est plus importante, parce que vous y apprenez la Parole de Dieu. Vous devez connaître à fond mon Fils Jésus. Celui qui vous explique le Saint Evangile le fait très bien; je ne n’ai entendu personne d’autre en parler aussi bien, profitez en.
Marisa - Tu ne nous dis plus rien?
La Madone - Non, je désire maintenant que vous participiez bien à la sainte Messe, une sainte Messe voulue par Dieu; personne ne peut interdire à Dieu de faire ce qu’il veut. Préparez-vous à la Sainte Messe en prière, en silence, réfléchissez à ce que le prêtre vous a dit dans le catéchisme, et mettez-le en pratique, si possible.
J’ai adressé mes voeux à grand-mère Iolanda, qui n'est pas présente la pauvre, c’est une sage, une femme qui prie dans le silence. Je vais souvent la voir pour l’aider et ses yeux sont fermés, mais elle ne dort pas, elle récite le saint Rosaire, prie pour Don Claudio, pour tous ceux qui font souffrir, pour chacun de vous et pour ses enfants. C’est une femme donnant bien l'exemple, vivant simplement dans le secret et le silence; une femme qui a toujours souffert; elle est arrivée à l'âge de 92 ans avec beaucoup de souffrances, parce qu’elle a été choisie par Dieu. Je lui adresse tous mes voeux, ainsi qu'à ses enfants, petits-enfants et également à Jacopo son arrière petit-fils
Marisa - Regarde, Jacopo ne va pas très bien, pense un peu à ce que tu peux faire; nous sommes à deux à être au potage.
La Madone - Marisella tu en es une
Marisa - C’est bien, que dois-je faire.
La Madone - Aimez cette femme, cette grand-mère. Quand l’ange est venu, il m’a dit: Salut Ô Marie; je dis: Salut grand-mère Iolanda, merci pour toutes tes prières, tous tes sacrifices. Merci au nom de tous.
Marisa - Mais quand tu parles ainsi, veux-tu dire que tu me l'enlèveras ? Je sais que je dois te remercier chaque jour, mais la maman reste toujours la maman.
La Madone - Sois calme maintenant, Marisella, récitons le Notre Père tous ensemble en nous donnant la main.
Je bénis ces objets sacrés, je bénis le cadeau de grand-mère Iolanda.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis tous, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Adieu Jacopo; donne un baiser de ma part à la grand-mère.
Marisa - Pourquoi ne le lui donnes-tu pas?
La Madone - C’est mon affaire, Marisella.
Marisa - Oui, par charité. Adieu.
Rome, le 7 octobre 1998, 17h19 (Lettre de Dieu)
La Madone - Avec le Saint Rosaire il est possible de changer beaucoup de choses sur cette planète Terre. Les luttes entre les grands hommes politiques continuent, les inondations et les tremblements de terre se poursuivent et que font les hommes? Je me répète, s’ils ne sont pas personnellement touchés, ils ne se soucient de rien. Prenez le chapelet dans vos mains et récitez chaque jour le Saint Rosaire, calmement, sans vous presser, je dirais sans manger les mots. Je vous répète encore ce que vous avez entendu bien des fois et la première fois de mon Fils Jésus: apprenez d’abord à aimer, puis priez.
Les temps sont durs et difficiles pour tous, mais ceux qui souffrent le plus ce sont les femmes, les petits enfants, les pauvres, les plus faibles. Ceux qui se portent bien, qui sont forts, ne craignent rien, mais ils devraient craindre Dieu. Je suis venue le rosaire dans les mains et je l’ai récité avec vous. J'étais en même temps avec votre soeur pour l’aider à accepter tout ce que Dieu lui envoie chaque jour. Elle souffre aujourd'hui beaucoup de la sudation et ses plaies la font souffrir. Je suis ici avec vous pour vous apporter un message très simple de Dieu qui vous invite à aimer, à comprendre ceux qui n’aiment pas et à aider ceux qui souffrent.
Je suis ici avec le Saint Rosaire, mais je suis la Mère de l’Eucharistie. Comme je vous l’ai déjà dit: on m’a donné beaucoup de noms, tous beaux, mais le nom de Mère de l’Eucharistie embrasse tout. Je suis la Mère de l’Eucharistie, j’ai apporté bien des fois Jésus dans mes bras, j’ai apporté l’Eucharistie. Vous vous êtes réjouis du miracle Eucharistique, puis Dieu est intervenu et a dit: "Cela suffit, le prêtre doit dire la Sainte Messe!". Il n’a pas dit, si tu le veux mais doit". Depuis lors vous avez l’Eucharistie, vous avez la Sainte Messe et je n’apporte plus l’Eucharistie, je l’apporte seulement à votre soeur quand elle va mal. Vous ne pouvez pas vous imaginer combien de communions elle reçoit pour continuer chaque jour et chaque nuit, mon Fils Jésus lui donne force et courage. Sa vie est difficile, croyez-moi. Combien de fois j’entends dire: "Bienheureuse toi qui vois la petite Madone!", et elle se tait la pauvre, parce qu’elle ne sait que répondre. Oui, c’est un grand don que Dieu lui a fait, mais il ne lui a rien épargné, les souffrances en particulier.
Je vous dis tout cela, afin que vous puissiez prier avec plus de force, réciter le Saint Rosaire avec plus d’amour, sans vous presser, calmement. Si vous n’avez pas le temps, même si l’on peut toujours le trouver, récitez dix "Je vous salue Marie, calmement en méditant ce que vous dites. Dieu l’attend de vous. Vous avez progressé, mes chers enfants, vous devez continuer à avancer et ne pas reculer.
A quoi cela sert-il de se moquer de la communauté? Pensez-vous que Dieu ne le voit pas? Dieu se montre encore patient, bon et miséricordieux; Dieu est amour et sait attendre: il attend vos coeurs, votre don complet. Apprenez d’abord à aimer, puis priez. C’est aujourd'hui la rencontre biblique, je ne peux m'étendre davantage, sinon quelqu’un me dira: "n’as-tu pas une montre pour voir l'heure qu’il est?".Alors je dois respecter l'horaire.
Marisa - As-tu ou n’as-tu pas de montre? Tu n'en as pas? Je dois toujours te le demander. Que veux-tu? Je suis ainsi.
La Madone - Préparez-vous maintenant, mes chers enfants à participer à la Sainte Messe, recevez Jésus Eucharistie en état de grâce. Avez-vous remarqué que je répète souvent les mêmes choses dans les messages que je vous apporte de la part de Dieu? Dieu veut vous amener à Lui, à l'entière sainteté. Dieu n’a pas besoin de demi-mesures. Souvenez-vous de la promesse, quand Dieu le décidera, j’accourrai vers vous et vous me verrez tous, mais quelqu’un se sacrifiera pour vous et ne me verra pas.
Marisa - C’est moi, j’en suis sûre. Mais je suis heureuse parce que je t’ai demandé de ne plus te voir. Non, non, attends une seconde; de ne plus te voir seulement ce jour là. Songe au fait que tu nous l’as promis, que quelqu’un grogne, parce que tu le lui as dit en 1990.
La Madone - Mais toi, quel jour, ne veux-tu pas me voir?
Marisa - Oh mon Dieu, que dois-je répondre maintenant?
Don Claudio - Oui.
Marisa - Oui. Mais j’ai dit que si tu te fais voir de tous, je renonce à te voir, seulement ce jour-là.
La Madone - C’est bon, Dieu décidera ensuite. Maintenant comme toujours, donnez-vous la mais et récitons ensemble le Notre Père.
Marisa - J’aurais tant de choses à te dire, mais je te les dirai quand nous serons seules. Oui, je te les dirai après.
La Madone - Merci de votre présence, mes chers enfants. Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. j’envoie ma bénédiction à ceux qui n'ont pu venir à cause de leur travail ou parce qu’ils ont de petits enfants. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. C’est bon. Adieu. Elle est partie.
Rome, le 11 octobre 1998, 10h45 (Lettre de Dieu)
Marisa - Au point de vue santé, mon état est pire qu’avant. Si tu ne m’aides pas un petit peu, je ne pourrais plus ..
La Madone - C’est pourquoi, moi, votre Maman, je remercie les jeunes, qui avec beaucoup de patience aident à descendre leur soeur au pied des escaliers en la prenant dans leurs bras, pour qu’elle puisse être avec vous. Cela semble peu de choses, mais c’est le fruit d'une très grande générosité; parce que s’ils ne la portaient pas ainsi, Marisella ne pourrait pas descendre parmi vous. J’adresse donc mes remerciements aux jeunes; même si parfois le prêtre leur passe un savon, parce qu’ils sommeillent un petit peu, mais même les adultes sommeillent, en particulier ceux qui sont appelés. Ceci est un petit et doux reproche à l’adresse de tous.
Marisa - J’aimerais maintenant te recommander tous ceux qui se sont recommandés à mes prières, en particulier la petite fille qui est encore dans le ventre de sa maman. Elle est petite, plus petite que la normale. Peux-tu l’aider? Beaucoup de malades se sont recommandés à mes prières. Tu peux les aider tous.
La Madone - Et toi, Marisella, tu ne veux pas qu’on t’aide?
Marisa - Si, mais quand je te dis de me faire aller un petit peu mieux, c’est pire. Je ne sais, pas, fais toi un peu.
La Madone - Maintenant, mes chers enfants, reprenons bien la prière. Merci de votre présence. Mes remerciements s’adressent à ceux qui sont venus de loin pour venir prier dans ce lieu thaumaturgique. La Maman doit encore vous faire un petit reproche: Quand il y de nouvelles personnes, que ceux qui viennent toujours leur cèdent la place. Faites les également un peu profiter de la joie que Dieu vous donne avec l’apparition. Même s’ils ne me voient pas, les nouveaux désirent regarder, comprendre, voir; vous qui venez toujours, laissez libres les premières places, ne vous précipitez pas toujours au premier rang.
Occupez-les, si elles restent vides et que Jésus est seul. Comme vous le voyez, les temps approchent. Les chefs d'état ne sont pas d’accord entre eux et se précipitent pour avoir la première place, ne faites pas de même. Ne vous précipitez pas pour avoir la première place, courrez pour recevoir Jésus Eucharistie, sinon tous les miracles qui ont été accomplis ici passeraient presque inaperçus. Vous ne devez pas vous réjouir sur le moment, puis faire que tout se termine. Non c’est impossible. Maintenant que les épreuves sont dures, vous devez être encore plus forts; la victoire se rapproche et tous ceux qui ont cru, aimé s'en réjouiront! N'oubliez pas la promesse que je vous ai faite: tous me verront ici, dans ce lieu thaumaturgique. Quand Dieu me le dira, je serai parmi vous, vous verrez mon corps, vous me verrez tout entière, entourée des anges. Mais ce n'est pas encore l'heure, Dieu doit encore donner du temps à beaucoup de créatures pour qu’elles se convertissent. Comme je vous l’ai déjà dit une fois: les hommes ne se convertissent pas s’ils ne sont pas touchés par Dieu; ils se convertissent avec la souffrance, la prière et l’amour; parce que Dieu est amour.
Vous voyez à quoi votre soeur est réduite maintenant. Autrefois elle s’agenouillait, puis restait debout, assise; et maintenant elle doit rester à demi couchée, même si elle devrait normalement rester allongée. Pourquoi Dieu permet-il tout cela? Vous l'êtes-vous demandés? C’est pour aider les âmes qui sont loin de Lui. Ce n'est pas facile, croyez-moi, parce que le prêtre est harcelé et martyrisé de tous les côtés; ce qui le fortifie pour aider les âmes. Mais vous ici présents, vous devriez aussi aider le prêtre!
Combien de fois dites-vous: "La maman se répète". Et combien de fois ne vous ai-je pas dit: "Aidez le prêtre, ne le laissez pas seul". Le dimanche et le jeudi sont pour lui les jours les plus durs et les plus fatigants; vous devez l’aider quand il y a les apparitions et qu’il vient beaucoup de monde. Ne voyez vous pas qu’il est seul, qu’il n’a de prêtre à ses côtés? Les prêtres sont loin; le regardent de la fenêtre et disent: "Nous sommes avec toi, mais nous avons peur!". Il est seul. Que feriez-vous si tant de fils s'éloignaient de vous et vous abandonnaient? Vous ne resteriez pas à la fenêtre à attendre que l’un d’eux vienne vous aider et vous tenir compagnie? Il n’a pas de prêtre, il en a un qui vient de très loin, et ne peut donc venir ici que de temps à autre. Votre prêtre a besoin d’aide pour les confessions et toutes ses autres activités sacerdotales. Et vous, petit troupeau, spécialement vous qui avez été appelés, vous les jeunes, je le répète encore une fois, réveillez-vous de ce long sommeil. Oui, il est parfois difficile de tout faire parce qu’il y a des changements, une chose est dite et puis une autre est faite: mais ce n'est pas votre faute.
La chapelle est petite et contient peu de monde. Mes deux enfants ont tout fait pour la rendre confortable, mais ils ne peuvent faire plus pour beaucoup de raisons, y compris le côté financier. Il n'y a pas de chaises pour tous. Mais qu’est-ce que cela vous coûte de prendre une chaise? Ils ont eu tant de dépenses, comme vous le savez. A la suite des apparitions, ils ont dû faire des travaux et ne reçoivent pas de salaire; ils font un volontariat, ils ont dit oui à Dieu. La providence ne leur a jamais fait défaut, mais ils ont également besoin qu’on les aide. Combien de sanctuaires reçoivent beaucoup d’aide, trop peut-être. Combien de voyantes deviennent des stars. Avez-vous jamais vu une voyante diminuée physiquement comme votre soeur? Non. Elle a quand même voulu descendre pour être avec vous. Elle me voit tous les jours, même plusieurs fois par jour, mais pour elle, la charité, l’amour, c’est d'être avec vous; parce qu’elle vous aime tous, grands et petits, d'un immense amour; en commençant par grand-mère Iolanda, qui est aujourd'hui présente parmi vous pour la première fois depuis longtemps, qui est la plus âgée, la grand-mère de vous tous, ma grand-mère, la sainte grand-mère, jusqu’au plus petit enfant. Il y a tant d’enfants. Oh, je pourrais vous parler longtemps de la grand-mère, des enfants, du prêtre: Du prêtre surtout. Vous voyez qu’il est fatigué, mais il court de droite à gauche, parce qu’on le harcèle de tous les côtés. Il est inutile de dire:"C’est un prêtre, il doit comprendre". Avant d'être un prêtre, il est comme vous un homme de chair et de sang, il a donc besoin qu’on l’aide; ne faites pas marche arrière. Merci à celle qui a amené aujourd'hui un beau groupe: merci à ses proches, aux jeunes qui n'ont pas reculé; la maman aime les jeunes, les enfants, mais vous aussi, chers adultes, ne vous faites pas de soucis.
Marisa - Je suis adulte, tu m’aimes donc aussi?
La Madone - J’aimerais vous dire tant de choses, mais je termine en vous disant: apprenez à aimer, puis priez. Aimez ceux qui vous font souffrir. Je sais que c’est difficile, mais vous devez le faire; vous vous sentirez plus saints, parce que vous êtes saints, si vous aimez ceux qui vous font volontairement souffrir.
Il y aura ici une grande veillée de prière le 24 octobre, pour le cinquième anniversaire des apparitions ouvertes à tous. Ne regardez pas votre montre, ne regardez pas l'heure. Je tiens beaucoup, et surtout Dieu le Père, à ce que vous fassiez une bonne et sainte veillée le 24 octobre. Chantez, mes chers enfants, ne soyez pas tristes; chantez tous dans votre coeur, sans distinction; même ceux qui chantent faux, ceux qui commencent à chanter quand les chants sont à quatre voix. Ne chantez pas quand les chants sont à quatre voix, parce que vous ne les connaissez pas, ne savez pas quand c’est votre tour de chanter ou de vous taire. Chantez quand les chants sont à une voix, mais doucement, sans crier; apprenez-les bien, mais je veux que vous chantiez tous, même ceux qui détonent ou disent chanter faux. N'est-ce pas Luca, que tu ne veux jamais chanter? N'est-ce pas Yari que tu ne veux pas chanter? Courage à tous. J’adresse tous mes voeux à ceux qui sont venus de loin; j’espère leur avoir donné quelque chose, en tant que Maman, Mère de l’Eucharistie, Marie, Mère de l’Eglise.
Merci de votre présence, merci de réussir à mettre en pratique ces choses simples que la Maman vous a dites. Je vous demande une prière pour votre soeur, cette fois c’est moi qui vous le demande, c’est un moment particulier pour sa santé, je vous demande de prier pour elle, dites seulement un Je vous salue Marie. Merci.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés, même ceux que vous avez dans vos sacs à main sont bénis par Dieu, par moi et le prêtre.
Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Elle est partie, mais elle était vêtue normalement alors que jeudi elle était vêtue de rose.
Rome, le 18 octobre 1998, 10h40 (Lettre de Dieu)
Marisa - Je te recommande tous les malades sans t’en donner tous les noms. Je te recommande également nous tous ici présents, afin que nous puissions rester calmes et continuer à aimer et adorer avec toi quand le grand don que tu nous as promis se réalisera.
La Madone: Oui, mes chers enfants, il s’agit d'un grand don, mais, comme vous l’avez vu, les grands dons se payent. Regardez votre soeur: elle a reçu de Dieu le don de me voir, de voir Jésus, les anges et les saints; mais quel prix paie-t-elle pour cela? Quoiqu’elle fasse, elle est critiquée. On la critique si elle se met debout, si elle reste assise, si elle s'habille d'une façon ou d'une autre. Laissez-la tranquille. Elle se lève quand Jésus ou moi le lui disons, sinon elle ne peut se lever. Ne faites pas attention à ces choses, écoutez le message, fermez les yeux et écoutez la Maman parler dans votre coeur.
Priez pour le Saint Père, afin qu’il accomplisse totalement la volonté de Dieu, ainsi que je l’ai dit il y a un certain temps dans un message. Le Saint Père a répété cette phrase, exactement comme je l’ai dite.
Je me réfère maintenant au Saint Evangile et vous demande: quand Jésus reviendra, trouvera-t-il quelqu’un qui soit sauvé, saint et pur?
Marisa - Dois-je te répondre? Oui, il trouvera nous tous.
La Madone - Je parle de Jésus à la fin des temps, au moment du jugement dernier; puisque mon Fils Jésus a toujours été parmi vous depuis que vous avez reçu le premier miracle eucharistique, je vous invite à toujours aimer l’Eucharistie. Vous avez commencé lentement, lentement; vous aimiez d’abord un petit peu, puis un peu plus, toujours plus; mais, comme je vous l’ai déjà dit il y a un certain temps, vous devez vous réveiller, vous devez être plus agiles et plus souples dans la vie spirituelle. Combien de fois dois-je vous le dire? La vie spirituelle ne doit pas être un poids, mais amour, c’est la présence de Dieu. Aimez-vous Dieu ou avez-vous peur de Lui? Si vous êtes en état de grâce, vous ne devez avoir peur de rien, ni de ce qui se passe ou se passera sur cette planète Terre. Vous devez vous épanouir comme les fleurs, regardez ce bouquet de fleurs que les jeunes ont donné à votre soeur.
Marisa - Tu sais tout.
La Madone - Ces fleurs n'étaient pas ainsi au début. Elles n'étaient qu’en boutons qui, comme le font les dahlias, se sont ouverts peu à peu, ouverts aux yeux de Dieu et Lui ont donné gloire: tout ce qui vous entoure glorifie Dieu. Vous voyez maintenant un beau petit jardin; ce n'est pas un grand parc ou une grande vallée, il est petit, mais il y a là tout l’amour de Dieu et l’amour de ceux que Dieu a appelés. Ceux qui ont été appelés doivent donner plus; plus vous recevez et plus vous devez donner. Les premiers appelés doivent toujours être les premiers, mais ne jamais reculer.
Marisa - Je te dirai les noms après quand je serai seule
La Madone - Vous voyez mes chers enfants, que même quelqu’un a trouvé à redire, parce que je plaisante avec votre soeur; mais c’est ma créature, je l’ai élevée, il est logique qu’elle plaisante avec la Maman. Je suis sa Maman, j’ai toujours parlé, plaisanté, joué avec elle en compagnie des anges et j’ai souffert avec elle. Pourquoi devrait-elle changer de comportement? Parce que quelqu’un observe, critique, fait des remarques? Non. Pensez à prier pour vous, vos êtres chers, vos parents.
Marisa - Et moi qu’est-ce que je fais?
La Madone - Pour les amis, les bienfaiteurs. Je ne vous dis plus d’aimer vos ennemis, parce que sinon la peur vous prendra, mais de prier pour vos ennemis. De toute façon la prière est amour et l’amour est prière.
Marisa - Puis-je te dire que tu es un peu "rusée"? Tu nous dis toujours de prier et prier c’est aimer, de toute façon c’est toujours ainsi que nous agissons.
La Madone - Réjouissez-vous de ces apparitions uniques en leur genre; n'écoutez pas ceux qui en disent du mal, ceux qui écoutent se font complice de ces bavardages. Réunissez vous en prière pour le Saint Père auquel on fait fête. Ici dans ce lieu thaumaturgique, priez pour Don Claudio Gatti.
Marisa - Que veux-tu dire maintenant?
La Madone - Priez pour chacun de vous, pour les jeunes, afin qu’ils soient plus éveillés. Ils ne doivent pas faire comme les apôtres, pas quand ils se trouvaient dans le cénacle, mais lorsqu’ils se sont endormis au Gethsémani et que Jésus souffrait. Soyez éveillés, ouvrez les yeux, regardez et prévenez. Si je n’avais pas agi ainsi, je n’aurais pas remarqué que mon époux bien-aimé Joseph était malade, très malade. Mais je le regardais, l'examinais, j’ai vu, prévenu, je l’ai aidé et je l’ai soigné; tu dirais Marisa, seulement pendant dix ans?
Marisa - Oui, seulement pendant dix ans; moi, au contraire, depuis quand suis-je ainsi? Même si parfois tu me fais me lever, je le paie ensuite. Je me lève chaque matin et ainsi je n'oublie pas que je vis. Tu ris hein? Regarde comme elle rit. Don Claudio?
Don Claudio - Où est-elle ?
Marisa - Elle est là, au-dessus de nous.
La Madone - Mes chers enfants, priez pour tous vos frères lointains, toutes les nations, afin qu’elles se réunissent, que la guerre cesse, que les grands hommes politiques disent vraiment ce qu’on doit faire; humainement parlant, nous ne les comprenons pas non plus.
Marisa - Tu penses comme nous allons bien! Mais, si Dieu le veut, il peut bouger et tout arranger, c’est ce que dit Don Claudio. Ecoute, puis-je te dire une chose? J’aimerais que tout change quand ils se seront tous convertis.
La Madone - Ma Marisella, tu devrais alors attendre longtemps
Marisa - Alors je dois encore souffrir? C’est bon. Je ne dis pas non.
La Madone - Ceci mes enfants n'était pas un message, quelqu’un dirait que c'était un méli-mélo; mais la Maman aime plaisanter, aime parler ainsi avec vous. Vous ne me voyez pas, mais vous m'entendez. Et qui sait, dès que possible
Marisa - Allons, finis ta phrase. Tu nous laisses toujours en suspens.
La Madone - Mais toi, Marisella, que veux-tu si tu me vois déjà?
Marisa - Je le disais pour les autres, les pauvres, ils ne te font pas peine?
La Madone - Prenez-vous par la main, mes chers enfants, rapprochez-vous les uns des autres; Don Claudio, éveillé, et avec moi levez vos yeux vers le ciel et criez: Notre Père Je bénis maintenant les objets sacrés ici présents; je bénis tous ceux que vous avez sur vous et dans vos sacs à main, ne vous faites donc pas de soucis. Je bénis le petit journal, vous commencez finalement à faire ce que je désirais tant.
Marisa - Ce n'est pas le petit journal proprement dit, ce sont les idées.
Don Claudio - L'ébauche.
Marisa - L'ébauche. Je ne sais pas.
Attends. Lis-le simplement? Tu vois? Nous faisons ce petit journal, mais tu dois aider les jeunes, parce qu’ils ont aussi les études, le travail et les loisirs. Tu as dis qu’ils doivent aussi se divertir. Ils restent debout jusqu'à trois heures du matin pour faire le journal, puis ils dorment le matin quand ils viennent ici.
La Madone - Je suis contente. Mes chers enfants, vous devez faire une grande fête pour le cinquième anniversaire des apparitions mariales: je désire de beaux chants solennels pour le 24 octobre. Comme votre soeur l’a dit, préparez les chants et chantez quand vous êtes ensemble. J’ai dit: chantez. Mais étiez-vous endormis?
Marisa - Je ne sais pas dire comment ils sont?
La Madone - Je le sais, Marisella, ne te fais pas de soucis.
Marisa - Mais sais-tu ce que je te dis? Tu es si bonne et patiente avec nous, Dieu soit loué parce que sinon. Nous avons besoin de personnes qui soient bonnes et patientes et nous secouent, sinon nous continuerons à dormir.
La Madone - Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos parents; ceux qui sont loin, ceux qui sont venus et puis se sont éloignés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix, dans la joie de ce que vous savez et de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Tu ne dis plus rien? Mais tu restes ici avec nous alors, que les anges chantent et tu es heureuse parce qu’ils chantent. C’est bon, oui, oui. Ne m'envoie pas d’autres douleurs, je n'en peux plus. Tu vois, je te le dis avec beaucoup de simplicité. Tu as dit que nous devions être simples? Ne m'envoie plus de douleurs. Celles que j’ai suffisent, merci. Adieu. Elle est partie, Don Claudio. L’as-tu vue là?
Don Claudio - Nous recommençons maintenant?
Marisa - Elle dit que tu la voies.
Don Claudio - Est-ce que tu as la fièvre?
Rome, le 24 octobre, 23h45 (Lettre de Dieu)
La Madone - Mes chers enfants, il y a cinq ans aujourd'hui que je suis apparue pour tous dans ce lieu thaumaturgique. Cette année aurait dû être une année de joie et de réjouissances, parce que cela a été une année riche en grâces spirituelles et conversions, mais encore une fois Satan a essayé de vous tenter et de vous faire chuter: il a reconnu vos faiblesses et essayé de s’introduire en vous. Si Dieu n’avait pas envoyé ses anges pour vous aider, mes chers petits apôtres, vous vous seriez tous écroulés. Ce devait être un jour de joie, mais je vois que vous ne la ressentez pas encore et que vous éprouvez beaucoup de crainte et de peur. Je vous demande: Où est votre confiance en Dieu? Où est votre confiance envers votre chère Maman? Mes chers enfants, je vous ai donné, un vrai prêtre, un prêtre prêt à donner sa vie pour chacun d’entre vous. Cette cinquième année de mes apparitions en ce lieu thaumaturgique aurait dû être une année de joie pour tous ceux qui sont venus ici au cours de cette période. Mais au contraire, ma présence n’a pas été acceptée et Jésus Eucharistie encore moins. Je vous ai dit bien souvent: Ne venez pas pour moi, mais pour Jésus Eucharistie. Aimez Jésus Eucharistie!
Vous êtes vous rendus compte que le démon est toujours prêt et n’attend qu’une petite faiblesse de votre part pour vous tendre un piège? Vous devez demander l’aide de Dieu; quand le démon vous tente, prenez le Saint Rosaire dans vos mains, je ne vous dis pas de le réciter à ce moment là, mais de le prendre, de le serrer fortement dans vos mains et de demander à Jésus et à votre ange gardien de vous aider.
Plus les temps approchent, plus le démon devient odieux, méchant et essaie de vous détruire. Plus vous avancez dans la vie spirituelle et plus il cherche à pénétrer en vous et à vous faire chuter. Je vous invite aussi à vous accepter tel que vous êtes. Ceux qui ne s’acceptent pas tels qu’ils sont, qui n’acceptent pas le don de Dieu sont des orgueilleux; vous ne vous en rendez pas compte, mais l’orgueil est prompt et il suffit d'un rien pour le faire éclater. Dieu vous a fait des dons, mais si vous ne les faites pas fructifier, il peut aussi vous les reprendre. Quand il vous fait des dons, c’est pour que vous puissiez aider les autres. Ces dons ne sont pas pour vous, mais pour les autres. Ne pas s’accepter, ne pas accepter les dons de Dieu, c’est faire preuve d'orgueil et de vanité. Vous ne voulez pas être vaniteux et orgueilleux. La Maman vous a enseigné l'humilité et la simplicité; quand vous êtes vaniteux et orgueilleux, le démon pénètre en vous. Il est rusé, mais il ne doit pas l'être plus que vous chrétiens. Le démon était un ange qui s'est rebellé contre Dieu, le plus grand ange, il est donc aussi fort habile. Il hait Dieu, il me hait et il hait donc également ceux qui aiment Dieu et Marie, mais surtout ceux qui aiment l’Eucharistie. Je vous invite à fêter demain ce grand jour et à remercier Dieu du don qu’il vous a fait. Vous devriez l'en remercier tous les jours, parce qu’il aurait très bien pu aller ailleurs, mais c’est vous qu’il a voulu choisir; il a choisi ce lieu et vous savez qu’il l’aime beaucoup et l’a rendu thaumaturgique, saint. C’est à vous de faire devenir saints, tous ceux qui viennent ici. Vous devez tous arriver à la sainteté, parce que je vous veux tous autour de moi au Paradis. Merci. Tu ne dis rien, Marisella?
Marisa - Non, il vaut mieux que je ne dise rien, parce que quand tu es arrivée, tu m’as caressée, tu m’as remonté le moral et maintenant je n’ai plus le courage de te dire quoi que ce soit, mais tu sais ce qu’il y a dans mon coeur et dans nos coeurs à tous. Je crois que chaque Messe est pour le prêtre une Messe d’amour et de souffrance, c’est comme nous étions déchirés intérieurement. Combien de temps devrons-nous encore ressentir ce déchirement?
La Madone - Il y a encore beaucoup d'âmes autour de vous, Marisella, qui doivent se convertir. Il y a encore beaucoup d'âmes qui regardent à la fenêtre, mais ne s'engagent pas, qui ont peur; que font-elles? Elles critiquent. Pourquoi critiquer? Vous ne croyez pas? C’est bon, mais ne critiquez pas.
Marisa - Pour combien de temps encore? Tu vois, l’Enfant Jésus s'est endormi.
La Madone - Oui, il dort comme Jacopo.
Marisa - Oui, mais il dort avec toi, Jacopo, le pauvret est seul.
La Madone - Mais je lui ai envoyé l’ange.
Récitez avec moi le Notre Père en vous donnant la main, en étendant les bras et en disant tout fort: Notre Père..
Marisa - Don Claudio est ton fils bien-aimé et tu le fais toujours souffrir, pas toi, mais les hommes. Peux-tu faire quelque chose? Tu le peux parce que tu es toujours avec Dieu. Va voir Dieu et dis lui; Dieu le Père te souviens-tu du prêtre que tu aimes tant? Tu n’a pas besoin de dire beaucoup de choses, seulement: Te souviens-tu de Don Claudio Gatti? C’est bon, parlons doucement, sinon le poupon va se réveiller. Sa petite tête est appuyée sur ton coeur. Quand me le mettras-tu dans les bras?
La Madone - Ne te précipite pas, Marisella, ne cours pas.
Marisella - Je ne cours pas, je ne peux pas marcher, comment pourrais-je courir ? C’est bon, mais tu me feras dormir un petit peu cette nuit ?
La Madone - Merci de vos prières, mes chers enfants, merci de la veillée, merci du sacrifice que vous avez fait par amour de Jésus Eucharistie. Vous êtes ici à prier, mais où sont les autres? Quand Jésus a dit: j’ai soif d'âmes, donnez-moi à boire; il ne parlait pas de ces âmes qui viennent assister à la messe avec joie et foi, mais de toutes celles qui pensent à se bousculer, regarder et critiquer. Participez à la Sainte Messe, entrez dans le Coeur de Jésus. Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis aussi vos parents. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Je viendrai parmi vous le samedi 31 pour la retraite de tous les jeunes.
Marisa - Pour tous les jeunes?
La Madone - Ne te fais pas de soucis, Marisella, c’est mon affaire.
Marisa - Tu as déjà lu dans mon coeur ce que je pensais? J'y pensais. C’est bon, puis-je le dire à Don Claudio Gatti?
La Madone - Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Le poupon dort-il encore? Adieu, nous avons l'heure sur la Terre, nous devons participer à la Sainte Messe, recevoir Jésus et aller dormir avec Jésus. C’est bon, adieu. (Marisa envoie un baiser). Pour le petit. Tu t’en vas, tu t’en vas, parce qu’il est tard pour nous? Adieu.
Elle est partie, Don Claudio, mais elle ne voulait pas s'en aller. As-tu compris ce que j’ai dit?
Don Claudio - Oui, oui.
Rome, le 25 octobre, 10h45 (Lettre de Dieu)
Marisa - Es-tu plus en fête qu'hier? Ecoute, petite Madone, je te recommande tous ceux qui se sont recommandés à mes prières; je ne peux rien faire pour eux, mais toi tu peux tout, si tu cours vers Jésus lui demander les grâces dont nous avons tous besoin. Cette fête n'est pas comme tu le voulais et comme nous le voulions, mais demande pardon à Jésus pour nous ici présents, qui commettons des erreurs et sommes parfois faibles. Nous avons besoin de son pardon.
La Madone - Merci de votre présence, mes chers enfants. Dieu vous a donné un grand nombre de messages, de paroles d’amour, de paix, de pardon et de justice. Les grands hommes parlent beaucoup et n’arrivent jamais à une conclusion sérieuse pour leurs propres peuples. Vous écoutez la parole et les messages de Dieu, mais pourquoi ne sont-ils jamais mis en pratique? Vous oubliez très facilement les saintes paroles de Dieu, même après leur commentaire par le prêtre. Ces paroles sont le fruit du grand amour que Dieu éprouve pour vous tous et le monde entier. Dieu aime tous les hommes, mais surtout les faibles, les pauvres, les persécutés et leur donne force et courage. Faites attention mes chers enfants, n’agissez pas comme le pharisien qui se sent bien en tout. Ce n'est pas ceux qui disent: "Seigneur, Seigneur qui entreront dans le royaume des Cieux, mais ceux qui font la volonté de Dieu". A la fin le ciel s'obscurcira et ce sera le jugement de Dieu.
Votre soeur peut également se tromper en traduisant, mais je ne la reprends pas, parce que tout doit être contrôlé par le prêtre. Dieu l’a choisi et pas un autre; donc que chacun de vous s’abandonne à la volonté de Dieu et accepte ce que le prêtre dit. Vous ne remarquez également pas que je vous conduis à la sainteté en vous faisant tous ces reproches. Ne percevez-vous pas le grand amour de Dieu et du prêtre? Il a reçu le don du Saint Esprit, de clairvoyance, de la compréhension et le don de vous aider. Si vous ne le comprenez pas, si vous essayez de faire comme le pharisien, vous aurez beaucoup de choses à corriger et beaucoup de chemin à parcourir, mais Dieu vous aimera tout autant. Courage, j’espérais que vous feriez une grande fête et qu’il y aurait plus de joie, plus d’amour, plus de tout, mais il n'y a pas ce plus, ce plus se traîne encore. Je sais que quelqu’un est resté un peu
Marisa - Un peu longtemps.
La Madone - Vous ne devez pas vous en soucier. Mes chers enfants, Dieu sait ce qu’il fait et s’il en a décidé ainsi, c’est qu’il y aura quelque chose en plus, ce plus que vous attendez tous. Vous rouspétez, mais Dieu ne rouspète pas, Dieu vous reprend. Souvenez-vous que c’est faire preuve du plus grand amour que de reprendre un frère.
Marisa-Ecoute, je parle maintenant; j’ai dit une fois aux jeunes que s’ils ne me reprennent pas, ils ne m’aiment pas.
La Madone - Oui, c’est bien ainsi Marisella. Ceux qui voient un frère dans l'erreur et ne le reprennent pas, ne l’aiment pas. Ceux qui font des reproches aux grands, aux petits, à leurs égaux, aiment, comme Dieu aime. Jésus est mort sur la croix parce qu’il vous aime, vous a aimés et continue à vous aimer; je vous aime et suis ici avec vous. Quand vous appelez, chantez "Viens, Marie", c’est vrai, Marisella, je viens, comme hier soir.
Marisa - Alors, pardonne-moi, mais nous t’appellerons chaque fois que notre moral sera au plus bas?
La Madone - Oui, appelez-moi et je viendrai à votre aide, mais pour vous emmener devant mon Fils Jésus, devant Jésus Eucharistie. A Jésus en passant par Marie. Jésus dit: Allez d’abord vers ma Mère, puis venez à moi. Je dis: Allez à Jésus. Ceci est amour; Jésus veut faire triompher sa Maman et moi, en tant que Maman, je veux faire triompher mon Fils Jésus. Faites de même, arrivez à Jésus par le prêtre. Comprenez bien mes paroles et mettez-les en pratique. Si quelqu’un est dans l'erreur, on doit le corriger, lui faire un reproche d’amour, sans élever la voix, en particulier, si l’on a une voix forte, n'est-ce pas Marisella?
Marisa - Encore, toujours moi.
La Madone - Non, il y a aussi ta nièce. Mais ceci ne veut pas dire que vous n’aimez pas, peut-être que vous aimez encore plus, parce que justement vous dites plus. Ce plus est très important, ce n'est pas une bêtise. Croyez-moi, mes chers enfants, ceci est uniquement de l’amour de la part de Dieu.
Merci de votre présence et de mettre en pratique ce que Dieu m’a dit de vous dire. Pardonnez-moi si je vous fais souvent des remarques, le prêtre me ressemble probablement.
Marisa - Tu ris et plaisantes, mais quand te feras-tu voir? C’est bon, je ne te le demande plus, tu viendras quand Dieu le décidera; nous voulions seulement nous préparer et nous faire beaux.
La Madone - Marisella!
Marisa - Mais aujourd'hui tu cries toujours après moi.
La Madone - n’as-tu pas dit que ce sont des reproches d’amour, non? C’est bon, donnez-vous la main et récitons ensemble: Notre Père . Avant de vous donner la bénédiction ensemble avec le prêtre je dois vous demander: "Etes-vous mouillés?"
Marisa - Non, parce que j’ai fait ce qu tu as dit.
La Madone - Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis ces statuettes et l’une d’elles est pour un malade
Marisa - Elles sont laides.
La Madone - Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de on manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Quand je plaisante, tu souris toi aussi. Adieu. Nous devons maintenant assister à la Sainte Messe.
La Madone - Je serai aussi présente auprès du prêtre pendant la sainte Messe.
Marisa - Oui, mais tu es très recueillie et moi je suis très distraite. C’est bon, adieu. Elle est partie.
Rome, le 29 octobre 17h10 (Lettre de Dieu)
La Madone - Vous avez récité le saint Rosaire et j'étais déjà avec vous. La maman a maintenant quelque chose à vous dire. Revenez en arrière et relisez les messages, je vous ai dit que la guerre n'était pas encore terminée et que ceux des hautes sphères continuent à conspirer quelque chose contre le prêtre et ils ne s’arrêteront pas.
Marisa - Ne commence pas à pleurer, sinon je vais commencer aussi. Je m'efforce d'être gaie, le vois-tu?
La Madone - Quand l’un de vous dit la vérité, l’orgueil et la vanité surgissent subitement dans son interlocuteur, mais quelque chose de plus grave s'est déclenché contre votre prêtre: la vengeance. Dimanche dernier j’ai dit aux jeunes que les grands hommes d’eglise se vengent et cherchent à détruire le prêtre et tout son apostolat.
Vous voyez que mes deux enfants sont calmes. Ils ont accepté cette nouvelle souffrance et au moment où ils ont encore dit "oui" et ont renouvelé leur engagement de continuer en serrant les dents et les poings, en s’accrochant à l’autel, à Jésus Eucharistie, en serrant fortement leur chapelet, plusieurs prêtres se sont convertis et ont recommencé à dire la sainte Messe après s'être approchés de la Sainte Confession. Je ne vous dis rien de plus à ce sujet, parce que vous ne les connaissez pas ou si vous les connaissez, vous ne pourriez pas les identifier. Ceux des hautes sphères ont essayé par tous les moyens de détruire votre prêtre et naturellement Marisella qui est proche de lui. Mais mes deux enfants ont accepté avec joie cette grande souffrance et ont dit: " Ceci est encore une preuve pour comprendre tout ce que la machination infernale élabore afin de tout détruire".
Le prêtre et la voyante ont demandé si ces personnes se convertiront quand tout triomphera ou s’il sera trop tard? Souvenez-vous de cette date du 29 octobre. Beaucoup de prêtres se sont convertis aujourd'hui grâce à leurs souffrances et à vos prières. Combien avez-vous prié pour Don Claudio et Marisa? Combien de prières avez-vous dites? Vous les avez aidés à convertir mes prêtres bien-aimés; mais ne comptez pas sur la conversion des grands. Continuez à prier. Vos prières ne se perdent jamais. Vous avez prié pour Don Claudio et Marisa et vos prières sont allées aux prêtres? Vous rendez-vous compte que beaucoup de prêtres sont revenus vers mon Fils Jésus? C’est pourquoi mes deux enfants sont heureux et ont dit aujourd'hui au cours d'une apparition extraordinaire: "Nous préférons mourir qu’offenser Jésus " et j’ai entendu ces belles paroles. J'éprouve beaucoup de tendresse pour eux, je n’aime pas dire de peine, parce qu’ils n'ont jamais dit non à Dieu, jamais.
Les hommes d’eglise affirment, et ceci est terrible, que si le prêtre nie que Jésus Eucharistie soit apparu ici avec son corps, son sang son âme et sa divinité, renie les apparitions mariales, les messages et tout le reste, ils lèveront la suspense a divinis. En somme il devrait renier mon Fils Jésus pour avoir quoi? Non. C’est pourquoi Dieu a dit: c’est à vous de choisir, mais ne revenez pas en arrière, car tout le travail, toutes les souffrances et tous les sacrifices que vous avez faits seraient perdus. Combien d'âmes ont été ainsi sauvées? Mes chers enfants vous devez conserver ces messages dans votre coeur et les mettre en pratique. Je vous avais avertis que la guerre contre mes deux enfants n'était pas terminée et elle est devenue plus cruelle au contraire: "Je me vengerai et je le détruirai"; ces paroles ont été prononcées par le cardinal à l'égard du prêtre qui ne peut se défendre et n’a personne pour le défendre. Quand le prêtre m’a demandé d’avoir un confrère à ses côtés, je lui ai dit: "Mon cher enfant, tant que l’Eglise ne se renouvellera pas, tu n’auras aucun prêtre, parce qu’une lettre a été envoyée à tous les curés, qui sera publiée dans les bulletins et divers journaux et interdit à tous d’assister Don Claudio, de lui parler ou de lui téléphoner. Mais que vous a enseigné Don Claudio? Vous a-t-il enseigné une hérésie? Que vous a t il enseigné au cours de toutes ces années? Voyez-vous comme l'histoire se répète? Plus on aime et plus on souffre. Ils ont peur que les prêtres viennent et soutiennent Don Claudio et ils ont donc pris des mesures.
C’est pourquoi personne ne le soutiendra et peut-être également pas le cher Don Guiseppe qui l’aime bien, parce qu’ils lui interdiront de venir ici. Le saint Pape Paul VI, il est saint pour moi, a dit en 1966, corrige moi Don Claudio si je me trompe, que vous étiez libres d'écrire les messages. Vous avez lu dans le livre des messages, la page où figure ce que le Saint Père Paul VI a prescrit. Mais eux veulent que les messages passent par le Vicariat. Mes prêtres, même eux sont mes prêtres, n’aiment pas Jésus, mais eux-mêmes.
Priez. Je me répète encore: si vous le voulez, soutenez le prêtre: Vous avez écrit des lettres disant que vous ne trahirez jamais mon Fils Jésus et le prêtre; ne reniez pas ce que vous avez écrit avec tant d’amour. Merci de faire tout ce que la Maman vous a dit, le prêtre vous expliquera le reste. Ensemble avec ce saint prêtre, je vous bénis ainsi que vos êtres chers, tous les malades et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Courage. Amen.
C’est beau d'être grave, silencieux, recueilli, mais vous devez avoir également un visage détendu; il est inutile d’espérer un changement tant qu’il y aura ces hommes, mais souvenez-vous que l’année du triomphe est proche. Courage, vous devez vous aider et vous soutenir les uns les autres; comme le dit votre prêtre "vous devez voler au contact des ailes", si l’un est abattu, un autre doit le remonter. Je cherche à vous faire sourire, mais vous ne souriez pas. J’ai pensé aussi à mes jeunes, parce que leur soeur se faisait beaucoup de souci à cause de leur réaction en face de cette nouvelle grande souffrance.
Marisa - Oui je me fais du souci.
La Madone - Alors tu n’as pas confiance en Dieu?
Marisa - C’est depuis que je suis née que j’ai confiance en Dieu!
La Madone - Participez maintenant avec amour à la sainte Messe, ne parlez pas, soyez recueillis et cherchez, pendant la préparation, à méditer sur tout ce que je vous ai dit, mais pensez surtout qu’un cardinal a dit à un petit prêtre: "Je me vengerai et je le détruirai". Le prêtre - selon eux - doit tout abandonner pour rien, doit nier que l’Eucharistie soit apparue ici et que vous avez tous vue, sans contrepartie. Oh mon Dieu, mon Tout, comme ils sont pauvres! Vous êtes riches.
Adieu à tous. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Don Claudio, tu as réellement vu Saint Joseph, puis tu la verras.
Messages de Novembre 1998
Rome, le 1er novembre 1998, 11h50 (Lettre de Dieu)
La Madone - J'étais déjà avec vous pendant le saint Rosaire et l’un de vous m’a vue, bien sûr pas avec mon corps, mais en tant que "Madone stylisée". Vous direz comme d'habitude: "La Maman ne répond pas" mais Dieu m’a dit, et ne m'en demandez pas la raison: "Tu descendras sur Terre la nuit de Noël avec l’Enfant Jésus". Je n’ai pas voulu demander à Dieu le Père, à mon Tout, ce que cet ordre signifie, parce que je descends toujours sur la Terre pour vous parler, même si vous ne me voyez pas. Pourquoi a-t-il donné cet ordre pour la nuit de Noël? Je ne peux rien vous dire d’autre à ce sujet. Priez, priez, priez.
Marisa - j’en sais encore moins que toi naturellement. J’ai peur de comprendre et aussi de me tromper. Je veux te recommander tous les malades, mais celle qui me tient le plus à coeur en ce moment, c’est Agata.
La Madone - Alors, Marisella, tu dois me recommander Nicola, Michele, Angelo et Selenia.
Marisa - Va demander de l’aide à Dieu. Nous disons naturellement: "que sa volonté soit toujours faite" mais que notre volonté s’accomplisse parfois également.
La Madone - Mes chers enfants, je suis venue aujourd'hui parmi vous entourée des anges et des saints; parmi eux, comme tu le vois Marisa, il y a au premier rang Père Pio; il y a Jean XXIII, Paul VI, Jean Paul 1er.
Marisa - Celui-là est Pie XII. Pourquoi me le fais-tu toujours voir avec des lunettes? Pour que je puisse le reconnaître?
La Madone - Il y a eu plusieurs papes saints au cours de ce siècle, même s’ils ne le sont pas pour l’Eglise, ils le sont pour Dieu. Tant et tant de saints m'entourent, mais je ne vous en énumère pas les noms, parce que moi votre Maman, je veux aussi, respecter l'horaire de la Terre, car votre prêtre a beaucoup de choses à vous dire, pour vous expliquer la situation dans laquelle il se trouve actuellement. Je vous invite à prier pour lui. Même si certains sont venus aujourd'hui pour espionner, le prêtre doit obéir à Dieu; il ne doit obéir qu'à Lui désormais. Les hommes d’eglise ne l’ont pas aidé, mais au contraire condamné. Cela suffit, je ne veux plus en parler, parce que mon coeur en souffre et saigne. Vous avez tous écrit une lettre à la petite Madone accompagnée de petites choses très belles. Quand vous dites oui, ne vous rétractez pas ensuite. Quand vous dites oui à Dieu, vous devez continuer, même si vous rencontrez des difficultés, même si vous entendez dire du mal de ce lieu. Vous êtes-vous demandés pourquoi on s’acharne tant contre ces apparitions, alors que d’autres bien que non reconnues, se poursuivent tranquillement et sereinement? Parce que nous sommes à Rome, ville déchristianisée et comme je vous l’ai dit il y a un certain temps, votre prêtre a beaucoup de supérieurs qui sont presque tous contre lui et ceux qui ne le sont pas, ont peur et ne se mettent pas en avant.
La Maman vous invite à méditer le saint Evangile d’aujourd'hui: les béatitudes. Vous y lisez: "Heureux les persécutés pour la justice, car le Royaume des Cieux est à eux!" (Mat. 5, 10). Vous direz: Devons-nous être tous persécutés pour gagner le Paradis?"; non, mais les puissants sont méchants parfois, parce qu’ils ont....
Marisa - Dis-le qu’ils ont !
La Madone - Parce qu’ils ont tout. Je ne peux rien dire d’autre, mais vous, réjouissez-vous de cette fête. Oh, quand Dieu le permettra, vous pourrez non seulement me voir moi, mais voir aussi les anges et surtout les saints, ceux qui ont souffert et qui jouissent aujourd'hui du Paradis; ils y chantent des hymnes et des psaumes avec beaucoup de joie et d’amour et glorifient Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Je vous adresse tous mes voeux, mes chers enfants. C’est aujourd'hui la fête de tous les saints et, pourquoi ne pourriez-vous pas vous aussi être saints sur la Terre?
Marisa - Ce n'est pas facile, en somme.
La Madone - Mais votre prêtre est saint. Dieu a dit hier, qu’il avait la palme du martyre, je pense que vous savez déjà que son martyre et ses souffrances sont grands. Moi, en tant que maman, je suis près de mes enfants, surtout auprès de ceux qui souffrent le plus: les malades, les pauvres, les enfants abandonnés et ceux qui aiment mon fils Jésus. Mourir, mais ne pas renier Jésus Eucharistie; ceci conduit à l’immolation totale.
Marisa - Pourrais-tu descendre un peu plus? Un peu, un peu. Regarde là-haut à droite. Elle est stylisée.
Don Claudio - Stylisée?
Marisa - Regarde, elle a dit qu’elle était stylisée. Tu ne la vois pas comme tu as vu Saint Joseph. Elle se promène entre nous. Oui, nous pouvons également te remercier de ce don, mais je me mets de leur côté. Descends un petit peu plus, allons: mais devons-nous seulement souffrir?
La Madone - Non, vous avez également la joie de vivre dans la grâce, la joie de recevoir mon fils Jésus dans la grâce.
Marisa - Ecoute, je te le dis maintenant de tout mon coeur; nos jeunes veulent se marier et ne le peuvent pas tant que Don Claudio ne peut bénir leur union. Tu ne veux pas les faire arriver..
Don Claudio - Bah ..
Marisa - Dépêche-toi, dépêche-toi, dépêche-toi, parle fort parce que tous doivent t’entendre. Allons, que te faut-il pour nous contenter tous? Tu es déjà sur la Terre, descends un peu plus bas et fais-toi voir. Je l’aurais déjà fait.
La Madone - Ils me verront quand Dieu le Père me le dira, Marisella. Sois bonne.
Marisa - Je me mets de leur côté, pas du tien, parce que je te vois déjà. Je renonce à te voir pendant un jour et tu te fais voir de tous. Souviens-toi de ton prêtre préféré. Pourquoi l’appelles-tu "mon prêtre préféré"? En quoi est-t-il préféré? Je l’ai toujours vu souffrir par la faute des grands hommes d’eglise. s’il y a des espions, ils lui feront un rapport, mais franchement, ils peuvent bien aller tout lui raconter. C’est ma façon de parler, je ne parviens pas à parler autrement; c’est ainsi que nous avons toujours dialogué.
La Madone - Et cela ne changera pas, Marisella, cela ne changera jamais.
Marisa - Je ne change pas, change.., j'étais prête à dire, "change toi". Parce que je te vois et Don Claudio: fais qu’il te voit. Je vois les anges et les saints; Padre Pio sourit, je lui parle maintenant. Ecoute, mon cher frère, parce que tu m’appelles soeur, as-tu jamais pensé que nous souffririons autant?
Padre Pio - Oui, quand on aime, on souffre beaucoup et vous deux, mes chers enfants vous souffrez beaucoup plus que moi.
Marisa - Beaucoup?
Padre Pio - Oui, vous souffrez beaucoup plus que moi, parce que Dieu vous a choisis pour aider l’Eglise à se réformer. Je vivais dans mon coin, mais vous avez une grande et belle mission à accomplir".
Marisa - Ecoute, Padre Pio, fais que la Madone ne t’entende pas, se fera-t-elle voir de nous tous?
Padre Pio - Si elle l’a promis, elle se fera voir, mais n'en parlons pas tant.
Marisa - Parce qu’elle se comporte comme les hommes de la Terre qui s'énervent si l’on parle beaucoup? Non, pas elle, elle est toujours calme et sereine, même si elle est triste parfois.
La Madone - Fais attention, Marisella, je t’entends.
Marisa - Oui, je sais, mais alors, comment faire pour lui parler seule? Tu entends tout ce que je dis. C’est bon. Petite Madone, nous sommes tous dans le besoin, pour une raison ou une autre; il y a tant de malades. Eh bien si tu le veux, si vous voulez nous aider, nous vous dirons merci. d’accord?
La Madone - Maintenant, mes chers enfants, je vous invite à dialoguer de la façon suivante avec Jésus; parlez lui simplement et humblement, n’ayez pas peur de tout lui dire. Quand un frère se trompe, reprenez le simplement et humblement avec beaucoup d’amour. Faites attention à l’orgueil et à la vanité, car comme je vous l’ai déjà dit, ils ne vous conduisent pas à la sainteté. Soyez humbles et simples et si quelqu’un se trompe en vous disant quelque chose, ne réagissez pas brutalement mais faites preuve de délicatesse, parce que vous êtes des êtres humains et vous pouvez tous vous tromper. Je veux que vous soyez saints. N'oubliez pas que vous avez dit Oui. Redites Oui aujourd'hui à Jésus, affirmez à nouveau que vous ne trahirez jamais Jésus Eucharistie, ne trahirez jamais Celui que vous avez vu ici avec son Corps, son Sang son Ame et sa Divinité sous les apparences du pain. On ne peut trahir le Christ parce qu’un grand homme d’eglise le commande, lui aussi doit obéir à Dieu et ne pas se sentir fort parce qu’il détient le pouvoir. Priez pour ces prêtres qui savent où est la vérité, mais qui ont peur de perdre leur chaire, leur position, leur paroisse; ces choses arrivent aussi malheureusement. Priez pour vous tous; priez pour mes deux petits enfants qui sont attaqués par tous les supérieurs, par tous ceux qui portent la calotte. Ce n'est pas impoli de dire la "calotte" parce que c’est le nom de ce couvre-chef. Ceux qui ne la portent pas comme votre prêtre doivent se soumettre, mais lui ne trahira jamais mon Fils Jésus. s’il ne s'était pas agi d'un miracle Eucharistique véritable, il n’aurait pas apporté l’Eucharistie saignante au Vicariat pour l'y montrer et la faire examiner; ils l’ont outragée avec mépris: "Jetez ce morceau de pain". Non, nous n'y sommes pas, mes chers enfants. Le prêtre devait renier l’Eucharistie et vous dire qu’il vous avait trompés, alors que vous l’avez vue vous aussi. C’est pourquoi il se trouve aujourd'hui dans cette situation. Vous direz: Dieu ne pouvait-il pas intervenir?". Bien sûr, mais Dieu est patient et se montre encore miséricordieux, parce qu’il attend des conversions, mais celles des âmes simples.
Merci de votre présence, merci de rester aux côtés de votre prêtre; vous pouvez tous dire qu’il n’a fait que donner, qu’il vous a enseigné le Saint Evangile, la Parole de Dieu, que ses paroles ont toujours été des mots d’amour, d’encouragement et de réconfort. C’est à vous de choisir. Ceux qui ne viennent que pour les apparitions et ne restent pas pour la Sainte Messe ne doivent pas venir dans le lieu thaumaturgique: Ou on est avec le Christ ou sans le Christ. C’est l'enseignement que j’ai donné dans ce lieu, chaque fois que j'y ai apporté les messages de Dieu. Ceux qui ont fait un choix ne peuvent rester entre deux chaises, ou ils sont d'un côté ou de l’autre, c’est à vous de choisir, de répéter votre oui, de ne pas renier Jésus Eucharistie que vous avez tous vu. Je suis ici et j’attends votre oui pendant la Sainte Messe, j'y serais présente, comme d'habitude, aux côtés du prêtre.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers, et vos malades en particulier. Je bénis vos objets sacrés et cette statuette. Je bénis les enfants qui jouent. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu, petite Madone, adieu Padre Pio, aidez-nous. Elle est partie. Padre Pio était là aussi.
Don Claudio - Je l’ai entendu.
Marisa - Tu l’as entendu?
Don Claudio - Oui, oui.
Marisa - As-tu compris où elle est apparue sous une forme stylisée? L’as-tu vue?
Don Claudio - Oui.
Marisa - Oh.
Rome, le 7 novembre, 17h40 (Lettre de Dieu)
Marisa - Elle ne vient pas!
Don Claudio - Chantons "Viens Marie"
Marisa - Si tu ne viens pas, je te parle quand même et te dis que nous sommes de pauvres créatures, faibles et imparfaites, mais que nous t’aimons toi et Jésus; tu ne dois pas nous abandonner parce que nous souffrons tous. Le prêtre aussi souffre beaucoup; les autres ne le comprennent pas, moi si. Que puis-je te dire encore?
Don Claudio - Tu as dit tout ce que tu devais dire. Il est dangereux de s'habituer au surnaturel, mais le négliger, l’offenser et le combattre est encore plus grave, c’est pourquoi maintenant, en plus de demander pardon de nos actes de présomption et d'orgueil, nous demandons pardon de nous être habitués au surnaturel. De combien de grâces, de dons, d’apparitions et de miracles eucharistiques le Seigneur ne nous a t il pas comblés! Nous en sommes malheureusement arrivés au point de nous habituer au surnaturel et ceci est grave: nous en demandons pardon à Dieu et promettons d'être humbles, simples et soumis. Les reproches ne sont pas acceptés avec docilité et humilité; on se soucie de la réaction des autres et si le prêtre est fort, ferme, on ne vient plus. Jésus aussi s'est servi du fouet et la Madone a dit dans un message qui m'était adressé: "Tu n'y es pas encore arrivé", ce qui signifie que cela aurait été nécessaire. Ce n'est pas bien de vouloir se distinguer, de faire les choses pour que les autres le sachent, que le prêtre l’apprenne: "Que la main droite ignore ce que fait la main gauche"; n’attirons pas l’attention sur nous, mais faisons tout pour Dieu en secret et dans l'humilité. Sinon quel mérite aurons-nous devant Dieu? Aucun! Nous devons être généreux: est-ce que la maison de Dieu, cette chapelle que la Madone appelle "mon joyau", est bien tenue? Faisons notre examen de conscience: nous devons être humbles, simples, soumis et obéissants à Dieu. Regardons également la croix des autres, parce que nous ne voyons que la nôtre et la trouvons plus grande, plus lourde et plus douloureuse que celle des autres. Voilà, il y a beaucoup de raisons pour dire: Pardon, Seigneur. Dites le de nouveau en vous recueillant en silence.
Marisa - La voilà! Voulais-tu nous mettre à l'épreuve? Nous sommes faibles.
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. J’ai écouté ce qu’a dit votre prêtre; il a dit la vérité. Moi, la Mère de l’Eucharistie, je vous ai trop gâtés; dans aucun autre coin de la terre, je n’apparais aussi souvent qu’ici. En effet, je suis ici pour vous et avec vous pour mes fêtes, celles de Jésus, tous les premiers samedis du mois, tous les jeudis et les dimanches, et vous vous y êtes habitués. Je suis venue parce que quelqu’un souffrait énormément et pour votre prêtre. Personne n’arrive à comprendre que le chef de cette communauté souffre tant. Est-il possible que mes deux chers enfants doivent toujours souffrir également à cause de votre faiblesse, de votre désir de vous distinguer? Pourquoi cette course pour être toujours le premier? Courrez vers Jésus, vers la sainteté; ne courrez pas pour des choses sans insignifiantes. Si vous faites quelque chose, faites-le dans le secret; Souvenez-vous de ce passage de l’Evangile où la pauvre veuve dépose son offrande discrètement, alors que les autres font tinter leur argent. Cette pauvre veuve a donné davantage que tous ceux qui se font toujours remarquer quand ils donnent quelque chose. Je vous ai dit d’aider le prêtre, pas de sonner les cloches quand vous l’aidez. Nous n’agissions pas ainsi. Quand j'étais sur la Terre avec Joseph, mon époux bien-aimé, d’abord avec le petit Jésus, puis avec le grand, nous vivions dans la simplicité, secrètement, dans l'humilité et Dieu était avec nous. C’est ce que je veux de vous. Si vous vous êtes habitués à mes fréquentes apparitions, je ne viendrais plus; ou bien je viendrai de temps à autre comme dans les quelques lieux où j’apparais encore. J'y vais très rarement, alors qu’ici je vous ai choyés comme une maman le fait avec son petit enfant parce que je vous aime, mes chers enfants; mais j’aime également tous mes enfants dans les autres lieux où j’apparais. J’aime les prêtres qui sont loin de mon fils Jésus, j’aime les pécheurs, mais Dieu vous a donné quelque chose de plus: ma fréquente présence parmi vous. Vous avez écrit "Oui", mais ce oui venait-il de votre coeur?
Don Cassio, mon cher fils bien-aimé, merci de ta présence; tant que tu es ici en Italie, si tu le peux, aide le prêtre, au moins à confesser. Souviens-toi, mon cher fils bien-aimé: obéissance envers tous, mais pas sous forme de chantage; obéissance oui, chantage non. Nous approchons de l’an deux mille, il en est fini de l’obéissance sous forme de chantage. Obéissance envers tous sans chantage, obéissance également envers les petits, les petits peuvent parler et les grands les écouter. Dieu vous a créés à son image et ressemblance parce qu’il attend de vous quelque chose de plus; obéissance à Dieu oui, mais Dieu ne l'exige pas sous forme de chantage; il la demande aux âmes qu’il choisit pour faire triompher l’Eglise et la vérité, mais ne prend jamais les hommes par chantage. Comme l’ont dit Saint Pierre et Saint Paul: obéissance à Dieu non par chantage, mais par amour!
Mes chers enfants, cherchez tous à recommencer aujourd'hui; vous devez recommencer, l’un d'une manière, l’autre d'une autre. Aimez surtout Jésus sans jouer au protagoniste, sans chercher à vous distinguer, sans courir toujours là où il n'y a rien. Si vous faites quelque chose de beau, gardez-le pour vous, si c’est nécessaire, j’en parlerai. Pas de fanatisme, il n'y a jamais eu ici de fanatisme et mes deux enfants ont toujours eu les pieds sur la terre: quand je vous ai dit que vous me verriez, j’ai dit: Priez, priez, priez, mais cela vous ne l’avez pas dit. On doit écouter le message dans sa totalité et ne pas prendre seulement des bribes ici et là. Et toi, mon cher prêtre bien-aimé ...
Mes chers enfants, pardonnez à la Maman de vous avoir dit ces choses, mais je le devais. Je suis vraiment venue pour Marisa parce qu’elle m’a tant suppliée, mais surtout pour le prêtre. Voulez-vous ou ne voulez-vous pas que je vienne parmi vous, prier avec vous? Me voulez-vous ? Il y en a qui pleurent parce que les apparitions n'ont pas lieu là où ils vivent. Ils disent "Pourquoi la petite Madone ne vient-elle pas aussi ici?". Et ici, où je viens, que se passe-t-il? Alors, me voulez-vous oui ou non ? C’est à vous de répondre, j'obéirai parce que c’est l’obéissance sans chantage. Voulez-vous que je ne vienne plus? Je ne viendrai pas. Vous ne répondez pas? Alors je ne viendrai pas. Que dois-je faire? Mais vous me voulez vraiment? Je viens vous apporter la joie et la paix, vous donner cette aide spirituel dont tous ne jouissent pas, mais même ceux qui ne l’ont pas jouissent de Dieu parce que ce n'est pas leur faute s’ils n'ont rien reçu. Aimez votre prêtre, ne voyez-vous pas qu’il est seul? N'entendez-vous pas toutes ces calomnies et diffamations proférées contre lui? Ils s’amusent quasiment à dire du mal de lui, ils se réunissent, dînent ensemble pour médire de Don Claudio Gatti. En êtes-vous conscients mes chers enfants? Et vous qu’avez-vous fait? Vous n’avez pensé qu'à vous, qu'à vous distinguer sans vous soucier de mon cher fils bien-aimé harcelé par tous.
Marisa - Puis-je te dire une chose? Dieu le Père ne pourrait-il faire quelque chose ? C’est bon, je te l’ai dit parce que tu dis que tu aimes le prêtre et je l’aime moi aussi et nous tous nous l’aimons. Cela fait vingt sept ans que je suis avec Don Claudio et je l’ai toujours vu souffrir par la faute des prêtres.
La Madone - Oui, c’est vrai, Marisella. Don Claudio, mon cher fils bien-aimé est persécuté par tous. Les prêtres sont jaloux de son intelligence, de sa force et de son courage à défendre la vérité. Courage, mes chers enfants. Maintenant, donnons-nous tous la main. Demandez pardon et priez de tout votre coeur: "Notre Père...".
Marisa - Je voulais te demander quelque chose: que devons-nous faire avec cette personne?
La Madone - Quand un lys entre dans la boue et ne se débat pas, il ne s’amende pas, quand un lys est plongé dans la boue et se débat pour en sortir, il est converti.
Participez maintenant à la Sainte Messe, demandez pardon à Jésus; Ce ne sont pas de graves offenses, mais votre prêtre en a beaucoup souffert.
Ensemble avec votre prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. j’envoie un baiser à grand-mère Iolanda et au petit Jacopo. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Don Claudio, elle est partie.
Don Claudio - Tu es contente ?
Marisa - Qu’elle soit venue? Oui, je suis contente, j’avais..
Don Claudio - De la peine?
Marisa - Oui.
Rome le 15 novembre 1998, 10h40 (Lettre de Dieu)
Marisa - Merci d'être venue. Je te recommande tous ceux qui se sont recommandés à mes prières. Nous espérons de tout notre coeur que tu te feras voir de tous.
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Je suis venue ici, parmi vous, pour vous dire: Soyez prêts! Soyez prêts pour toute situation et tout événement, soyez toujours prêts parce que Dieu peut vous appeler à tout moment; courrez vers le bien, dans la joie ou dans l'épreuve douloureuse. Arrêtons maintenant de parler de choses et d'évènements pouvant faire souffrir: Dieu a maintenant dit tout ce qu’il devait dire et m’a envoyée ici pour vous aider à progresser vers la sainteté. Aimez-vous les uns les autres, non en paroles mais en donnant l'exemple et en témoignant. Préparez-vous parce que Dieu ne vous avertira pas quand il viendra, vous devez être toujours prêts. L’Evangile dit: "si le père de famille avait su à quelle heure de la nuit le voleur devait venir, il aurait veillé et n’aurait pas permis qu’on perçât le mur de sa demeure" (Mat. 24, 43). Vous, du moment que vous ne savez pas quand un voleur peut entrer dans votre maison, que devez-vous faire? Vous devez être toujours prêts et prudents; ceci vaut surtout à l'égard de Dieu, parce qu’il est amour, parce qu’il vous aime et que vous devez l’aimer. Je vous le répète encore, ne mettez pas Dieu à la deuxième place, mais à la première; ne donnez pas des miettes à mon fils Jésus, il n'en a pas besoin, il a besoin de votre amour. Je vous invite à prier pour la paix dans l’Eglise, dans le monde entier afin que les guerres finissent, parce qu’on tue si facilement femmes et enfants comme s’ils étaient des êtres insignifiants.
Vous avez parcouru un beau chemin, ne vous arrêtez pas; ne regardez pas la paille dans l’oeil de votre voisin mais la poutre qui est dans le vôtre; regardez ce que vous êtes et ce que vous avez en vous. Si vous possédez des richesses spirituelles, donnez les aux autres, aidez les hommes. Que ceux qui reçoivent de l’aide, acceptent d'être aidés avec humilité; l'humilité est une si belle chose. Mon époux bien-aimé Joseph était très humble, très simple.
Je veux vous faire comprendre que vous devez également vous montrer humbles, simples et sincères dans une relation affective; la sincérité et la vérité font progresser cette relation jusqu'à la mort; seule la mort peut séparer l'époux de l'épouse. C’est si beau d'être toujours prêt à attendre les petites souffrances et les joies, prêt à attendre Jésus Eucharistie, à le recevoir dans son propre coeur et à converser avec Lui. Comme je vous l’ai déjà dit une fois, bercez le dans votre coeur; c’est si beau, j’en ai fait l'expérience, faites-le vous aussi. Recevez Jésus dans la grâce, parlez lui, serrez le sur votre coeur et aimez-le, aimez-le surtout. s’ils continuent à retirer l’Eucharistie, aimez la encore plus, faites la connaître encore plus. Aimez-vous tous toujours plus. Merci de votre présence.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Emporte moi avec toi! C’est bon, oui, allons maintenant à la Sainte Messe, recueillis et en silence. Nous voulons obéir, mais nous ne sommes que des êtres humains et nous sommes un peu imparfaits. Nous tombons de temps à autre, puis nous nous relevons. C’est bien ainsi?
La Madone - Tu le sais, Marisella, si c’est bien.
Marisa - Eh oui. Adieu. Elle est partie. Elle était sereine.
Don Claudio - Dieu soit loué.
Marisa - Es-tu serein?
Don Claudio - Moi, oui.
Marisa - Elle était sereine, elle aussi.
Rome, le 19 novembre 1998, 17h10 (Lettre de Dieu)
Marisa - Ton discours est long, je ne peux pas me rappeler de tout ce que tu m’as dit. (La Madone a parlé en secret à Marisa de la situation critique de l’Eglise)
La Madone - Loué soit Jésus Christ. Merci de votre présence, mes chers enfants. Vous savez que le moment le plus dur pour mes deux petits enfants n'est pas encore arrivé et c’est seulement ce jour-là que je saurai qui de vous aime vraiment mon fils Jésus, est vraiment solidaire de l’Evêque, est venu ici pour m’aimer, moi la Mère de l’Eucharistie, est uni au Pape, à mon pape. Vous ne pouvez pas comprendre quelle est la mission de mes deux enfants, de mon pape, de mon prêtre et de ma petite fille; mais, je le répète, c’est seulement alors que je comprendrai pleinement quel est votre grand amour, surtout envers Jésus Eucharistie et si vous avez parcouru le chemin que Dieu vous a montré.
Dieu a donné des grâces en ce lieu et certains qui en ont reçu s'en sont éloignés en calomniant et diffamant. Ils ne sont pas partis en silence, mais en disant beaucoup de mal des choisis de Dieu, alors qu’ils avaient reçu des grâces et certains même des miracles. Dieu vous récompensera, mes chers enfants, vous qui êtes ici présents à m’attendre, et surtout pour participer à la rencontre biblique, afin de connaître la Parole de Dieu. Ceux qui ont reçu des grâces sont partis, mais ceux qui n'en ont pas reçues, parce que Dieu sait à qui donner ou pas, sont ici présents à lutter. Vous avez tous vu le grand miracle Eucharistique, vous en avez vu tant, tant et tant; Dieu a accompli beaucoup de miracles, justement dans le but de faire comprendre à tous qu’il peut tout faire, comme, quand et où il le veut.
Montrez de l’amour envers mon fils Jésus, même si vous chancelez parfois, que des nuages pointent à l'horizon ou qu’une tempête gronde, aimez le et aujourd'hui encore je vous répète: "ne le trahissez jamais". Vous savez que lorsque le grand homme d’eglise décide de faire quelque chose, surtout de mal, il ne regarde personne en face et encore moins mes deux chers petits enfants. Et je vous le répète: ce n'est que lorsque le moment le plus dur arrivera pour mes deux petits enfants que je saurai vraiment lesquels sont avec mon prêtre bien-aimé, choisi par Dieu. Il ne se trouve dans cette situation ambigüe et douloureuse par sa faute. Il a été choisi par Dieu et lui a dit oui, comme vous aussi lui avez dit oui.
Vous êtes-vous rendus compte que la moindre petite chose pousse l'homme à la rancoeur, à la haine et à la vengeance? Pourquoi y a t il des guerres? A cause de la haine. Vous, aimez-vous et priez pour la paix dans le monde et dans l’Eglise, pour les hommes d’eglise et surtout pour le Saint Père. Oh, si vous pouviez comprendre comme il est difficile d'être Pape, mais encore plus difficile d'être prêtre quand on est appelé par Dieu à remplir une mission si grande, parce que tout devient alors difficile! Je vous attends ici, comme vous m’attendez en prière: Pendant le triduum, commençé aujourd'hui pour le grand jour de la Fête du Christ Roi, je serai avec vous jeudi, vendredi et samedi; samedi, c’est la fête de ma présentation au Temple et je serai au milieu de vous.
Qu’ai-je encore à vous dire, mes chers enfants? sinon de prier, d’aimer et de pardonner. La parole la plus difficile à dire est peut-être le pardon, je le sais, mais vous devez pardonner et prier. C’est bien pour toi aussi, volcan? Mes chers enfants, la Maman vous regarde et pose son manteau sur vos têtes. Soyez forts, généreux, solidaires de celui qui est dans la vérité, Aimez mon fils Jésus qui a donné sa vie pour chacun de vous. Merci de bien vouloir mettre en pratique le message que Dieu m’a dicté, car c’est Lui qui me l’a donné. Combien de fois ne vous ai-je pas dit que je suis la messagère de Dieu, la Mère de Dieu, votre Maman, la Mère de tous les hommes, même de ceux qui n’aiment pas Jésus, ne croient pas en Jésus Eucharistie. Je suis la Maman de tous les hommes de la Terre.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Don Claudio, elle est partie.
Rome, le 22 novembre 1998, 10h40 (Lettre de Dieu)
Marisa - Quand tu viens, Toi Jésus, je n’aime pas être là avec des gants.
Jésus - Mais tu as froid, Marisella, moi je n’ai pas froid.
Marisa - Jésus, c’est aujourd'hui ta fête et je veux en profiter pour te les recommander tous, en particulier ceux qui se présentent aujourd'hui à Dieu et prennent l'engagement de s'épouser.
Jésus - Mes chers enfants, c’est moi, votre Jésus. C’est aujourd'hui la fête du Christ Roi; ne m’imaginez pas avec une couronne. Je suis Jésus, votre Roi, mais je ne porte pas de couronne. Un jour, Je vous récompenserai des souffrances que vous vivez à cause de Moi et de l’amour que vous avez pour Moi. Je suis Jésus et je suis le Fils de la Mère de l’Eucharistie. Qui est à l’origine de l’Eucharistie? Ma Mère. Priez énormément la Mère de l’Eucharistie; ne vous découragez pas, mais soyez plein d’allégresse lorsque le prêtre vous dit: "Faisons le triduum, faisons la neuvaine", ce sont des prières importantes pour l’Eglise. Vous savez que vous devez aider mes deux petits enfants, aidez-les à ne pas s'écrouler et à faire progresser leur mission, car tout semble s’abattre sur eux en ce moment. Je suis venu ici avec vous, sans regarder la petitesse du lieu et le petit nombre de personnes, mais parce que vous êtes ici pour prier, croître dans la vie spirituelle et arriver à la sainteté. Ecoutez ce que dit votre prêtre quand il commente le message donné par Dieu. Quand il contient de doux reproches, comme le dit ma et votre Maman, ne vous faites pas de soucis, mais acceptez les avec amour.
Aujourd'hui, deux jeunes se présentent et s'offrent à Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Fils et à la Madone, Mère de l’Eucharistie. Leur engagement est grand et important et doit servir d’exemple et de témoignage à tous les jeunes, ainsi que le dit le prêtre. Bientôt, d’autres couples répèteront ce geste et Je serai aussi avec eux en compagnie de ma Maman, mon papa, Saint Joseph et de tous les anges et saints qui m'entourent. Ils se réjouissent de tout ceci et prient pour vous, surtout pour vous, mes chers jeunes gens qui prenez un engagement important, ce n'est pas une simple cérémonie. Souvenez-vous ensuite des trois présentations: celle de la Madone au temple, celle de l’Enfant Jésus au temple et la vôtre qui commence une tradition, car elle sera suivie de beaucoup d’autres. A la fin il y aura également le petit Jacopo, mais lui suivra un autre chemin. Quand Jacopo sera plus grand, il comprendra quelle est sa mission; n'est-ce pas Jacopo? Je te vois, tu sais, petit filou, j'étais vif moi aussi, même si ce n'était pas comme toi.
Marisa Oui, je t’ai vu quand tu jouais avec les anges, tu parlais aux jeunes et tu chantais avec eux.
Jésus - Mais Jacopo chante aussi; Jacopo, aimes-tu Jésus et Marie, la Mère de l’Eucharistie? Dieu a des projets avec toi, Dieu peut tout faire et tout dire, il a déjà fait part de ses projets il y a quelque temps, quand tu étais encore plus petit.
Marisa - Je suis un peu curieuse, j’aimerais savoir.
Jésus - J’ai lu la curiosité dans ton coeur, Marisella. Oui, Jacopo sera celui qui doit être et devra faire de grands pas.
Marisa - Oui, mais je comprends encore moins qu’avant. Ecoute, Jésus, tu as parlé très simplement, tu as parlé en parabole, parle aussi simplement avec moi.
Jésus - Mais Jacopo a déjà compris dans son coeur. Le petit Jacopo suivra une voie différente de celle du mariage. Quand il sera plus grand, il comprendra quelle est sa mission. Dieu qui peut tout faire et tout dire a des projets avec lui.
Marisa - Oui, mais pas comme nous sommes nous maintenant. Un peu mieux j’espère.
Jésus - Ne t’en préoccupe pas Marisella, Jacopo sera grand comme votre évêque est grand.
Marisa - Oui, mais Don Claudio souffre beaucoup, ne fais pas souffrir aussi Jacopo. Et puis pourquoi ne pas nous enlever à tous un peu de souffrance? Un petit peu, un peu à chacun et la donner à quelqu’un d’autre.
Jésus - Mes chers enfants, j’ai appris de ma Maman à plaisanter avec votre soeur, nous avons toujours plaisanté et joué également avec les anges, n'est-ce pas Marisella?
Marisa - Oui, oui, mais maintenant je ne plaisante plus avec les petits anges, tu me fais souffrir maintenant. Mais ne fais pas souffrir Jacopo, fais de lui ce que tu veux, mais pas avec la souffrance.
Jésus - Et avec quoi, Marisella?
Marisa - Mais tu le sais. Quand tu parles et souris, tu es si beau, toujours plus beau. Quand on me demande: "Comment est Jésus?" je me tais parce que je ne parviens pas à dire quelque chose. Il est difficile de te décrire, parce que tu es trop beau. Et la petite Madone ne parle pas? As-tu comme moi mal à la gorge?
Jésus - Je serai présent pendant la sainte Messe entre le prêtre et les deux jeunes, et je veillerai sur eux.
Marisa - Et nous tous qui sommes présents?
Jésus - Je veillerai également sur vous, sois tranquille.
Marisa - Oui, je suis tranquille, tant que tu es ici.
Jésus - Mes chers enfants, je sais que vous avez froid, mais quand Jésus est ici avec vous, ne ressentez-vous pas dans votre coeur une très forte chaleur qui vous réchauffe tous? Préparez-vous à assister à la Sainte Messe comme si c'était la dernière de votre vie, le prêtre célèbre la sainte Messe comme si c'était la dernière avec toutes les souffrances qui l’oppriment et l'écrasent. La Messe est la Messe. Je suis en lui et lui est en Moi et tous les deux nous formons un tout. Je suis entouré aujourd'hui des anges, des saints et des âmes sauvées.
Marisa - Comme j’aimerais aller là près de Toi. Oh, je suis quand même près de toi, mais je suis encore ici.
Jésus - Maintenant avec Moi, Jésus, Ma Maman, mon papa et tous les anges et les saints, donnez-vous la main, et en levant les yeux vers le ciel dites avec moi Notre Père... Merci, mes chers enfants, de votre présence. Avec le prêtre, Ma et votre Maman, je vous donne ma bénédiction. Je bénis en particulier Jacopo et grand-mère Iolanda qui souffre.
La Madone - Et moi, votre Maman, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Tous mes voeux à ceux qui s'engagent devant Dieu, Angelo et Selenia.
Jésus - Moi, Jésus, je vous remercie tous, même si vous n'êtes pas nombreux. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et de Moi Dieu le Fils. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Tu viendras après dans notre coeur et nous serons avec Toi.
Rome, le 26 novembre 1998, 17h10 (Lettre de Dieu)
Marisa - Il y avait d’abord la petite Madone et maintenant Toi? Oh Jésus, comme tu es beau! Pourquoi nous fais-tu ce cadeau? Oui, Jésus, j’aimerais te recommander tous les malades de corps et d’esprit; il y en a tant. Je suis émue, parce que j’ai vu jusqu'à présent la petite Madone et puis tu apparais. J’ai grande envie de t'étreindre.
Jésus - Mais, Marisella, tu dis ensuite que tu sens mes épines.
Marisa - Oui, j’en ai un peu peur en effet, car je n’aimerais pas en sentir d’autres.
Jésus - Mes chers enfants, c’est moi votre Jésus et je suis venu avant tout pour remercier ceux qui se sont fait la promesse de s'épouser; c'était une merveilleuse cérémonie, avec une très belle mise en scène qui n'était ni la mienne ni celle de votre Maman. C'était très beau et cela m’a fortement ému ainsi que la Maman. Des jeunes ne se sont jamais présentés à Jésus Eucharistie pour se faire la promesse de s'épouser. Un jeune manque, mais uniquement à cause des études et du travail. Oh, si les grands hommes comprenaient la beauté de ce qui s'est passé ici. Priez, mes chères mamans, pour vos enfants, afin qu’ils parviennent eux aussi, tout comme ces jeunes, à comprendre l’importance de la pureté et de la chasteté. Croyez-vous qu’ils ne souffrent pas? Ils souffrent et sont parfois même attaqués parce qu’ils prient trop et vont tous les jours à la Messe pour me recevoir. Je suis venu pour vous en remercier et te remercier tout particulièrement, Don Claudio, mon cher prêtre tant aimé de Dieu et pas des hommes. Je suis venu vous annoncer que la nouvelle année sociale 1999 commencera le 29 et vous dire de prier Marie, la Mère de l’Eucharistie, afin que vous arriviez à moi dans la joie joie, la simplicité et la sincérité. Certains trébuchent et manquent encore à la charité. n’agissez pas ainsi. Mon coeur désire également souligner que la neuvaine à l’immaculée Conception commencera aussi le 29. L'histoire commence avec l’immaculée Conception et se termine avec la Mère de l’Eucharistie. Vous ferez une grande fête, mais il y aura également des souffrances. Vous vous demanderez, pourquoi toujours des souffrances. Pour la conversion de beaucoup d'âmes et en particulier celle de vos enfants, des jeunes. Priez, mes chers enfants, pour les jeunes. Combien d’entre eux se perdent. Combien! Vous ne pouvez pas vous l’imaginer.
Marisa - Tu es ému, Jésus?
Jésus - Oui, je suis très ému, mais je suis aussi fort préoccupé par la situation dans le monde entier. Je vous invite à faire cette neuvaine de tout votre coeur. Priez. Les saints disent "on arrive à Jésus par Marie"; Je dis: "On arrive à Marie par Jésus". Nous sommes toujours, Mère et Fils. Vous êtes mes enfants, mes frères. Je vous répète aujourd'hui ce que j’ai dit il y a des années à Sainte Marguerite d’alacoque: Je désire que vous continuiez à pratiquer la dévotion des premiers vendredis du mois, que vous vous confessiez et receviez l’Eucharistie; je désire que vous continuiez à pratiquer la dévotion des cinq premiers samedis du mois. Moi, Jésus de Nazareth, Jésus Eucharistie, Moi l'Homme Dieu, je veux que vous soyez tous saints. Si quelqu’un ne marche pas droit, ne rouspétez pas après lui, acceptez le, demandez-en pardon et continuez.
Marisa - Pourquoi me regardes-tu ainsi? Ne me donne pas le coup de lance, parce que je ne suis pas en état de le supporter.
Jésus - Non, pas aujourd'hui, sois tranquille, mon enfant, mon épouse bien-aimée. Mes chers enfants, comprenez le message. Avez-vous compris ce que j’ai dit? Quelqu’un recommence à parler dans le dos des gens. Combien de fois Ma et votre Maman ne vous a t elle pas dit: "Si quelque chose ne va pas, parlez-en à l’intéressé, ne parlez pas dans son dos, ne tempêtez pas; ne soyez pas susceptibles". Qu’il en soit fini de la susceptibilité, cela peut être une bagatelle mais peut aussi devenir grave. Que ceux qui ont des oreilles pour entendre, entendent. Si je ne vous aimais pas, mes chers enfants, je ne parlerais pas, je ne vous dirais rien, mais je vous aime tous. Merci de bien vouloir mettre en pratique tout ce que je vous ai dit. Souvenez-vous des points dont je vous ai parlés, parce qu’ils sont très importants, n'est-ce pas Don Claudio?
Marisa - Mais tu m’as donné une grande émotion quand tu as dit que l’année 1999 commençait le 29 et tu t’es arrêté. Que devons-nous faire Jésus? Dis-le Toi, que devons-nous faire? Nous ne devons pas rouspéter, nous ne devons pas broncher, nous ne devons pas parler; tu as dit que nous devons prier. Et, nous prions. Tu es si beau, Jésus. J’aimerais tant t'étreindre, mais je te le répète à nouveau, j’ai peur des épines.
Jésus - Ma chère Marisella, écoute bien ce que je te dis.
Marisa - De toute façon, je dois toujours dire oui; alors qu’est-ce que je dis? Oui. Il est parti! Et la Mère de l’Eucharistie est là maintenant.
La Madone - Je suis venue.
Marisa - Voulais-tu nous dire quelque chose?
La Madone - Non. Après les paroles de mon Fils Jésus, je suis seulement venue pour vous dire, qu’ensemble avec mon cher prêtre bien-aimé, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis ma grand-mère Iolanda, Dieu l’a prise tout entière et je suis près d’elle pour lui donner des forces. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Je n’ai pas embrassé Jésus parce que j’avais un peu peur des épines. Elle est partie elle-aussi. Jésus est venu. J’ai d’abord vu la Madone qui priait, puis Jésus est arrivé.
Don Claudio - Et tu n'es pas heureuse ?
Marisa - Si, je suis heureuse, J’avais peur qu’il ne me dise quelque chose, tu comprends? Je ne l’ai pas embrassé, parce que j’avais peur des épines.
Don Claudio - Des épines?
Marisa - Oui.
Rome, le 29 novembre 1998, 10h35 (Lettre de Dieu)
La Madone - Du moment que vous avez déjà prié, mes chers enfants, je viens vous apporter un court et simple message de Dieu qui vous invite à faire beaucoup de petites privations, à dire beaucoup d'oraisons jaculatoires, en premier pour la fête de l’immaculée Conception, qui est aussi votre fête, puis pour la naissance de l’Enfant Jésus. Je ne vous demande pas beaucoup de prières, que chacun fasse ce qu’il peut. Faites de petites privations, beaucoup de sacrifices et dites beaucoup d'oraisons jaculatoires. Dites en beaucoup; Dieu se contente de peu, très peu; il vous demande de bien faire les petites choses et avec amour, il ne vous demande pas de faire grandes choses, c’est en faisant de petites choses que l’on devient saint et Il attend que vous deveniez saints.
Aujourd'hui 29 novembre, j’aimerais que vous célébriez la présentation de Marie enfant au temple, le grand miracle eucharistique du 26 novembre, qui a fait l’objet de tant d’attaques et de critiques et le début de l’année liturgique 1999. Enfin, direz-vous; oui, nous aussi au Paradis, nous disons que l’année 1999 a enfin commencé. Dieu seul sait ce qui se passera, préparez vous avec courage et force, mais surtout, comme je vous l’ai dit, en vous privant et en récitant des oraisons jaculatoires. Dieu ne vous demande pas beaucoup et la Maman qui est ici pour vous apporter le message de Dieu, non plus. Des enfants, des petits enfants, des angelots sont présents; il y a le petit Jacopo qui a pleuré et la petite Alessia qui a vu mon fils Jésus. Il est plus facile pour les enfants de voir Jésus et la petite Madone, parce que leurs âmes sont innocentes, mais si vous continuez à prier, cette grâce vous sera également donnée, à vous adultes. Je vous répète pour la troisième fois, priez, faites beaucoup de petits sacrifices, récitez beaucoup d'oraisons jaculatoires; comme: Enfant Jésus, viens dans mon coeur, Marie Mère de l’Eucharistie prie avec nous. Il se peut que les petits et les jeunes ne connaissent pas beaucoup d'oraisons jaculatoires, mais vous les adultes, oui; dites en beaucoup, à tout moment, elles sont si courtes, avec peu de mots, dites par exemple: Mon doux Jésus, je t’aime et je veux aimer aussi ceux qui me font souffrir". Priez pour eux.
Célébrez cette journée, priez beaucoup et faites bien la neuvaine. Jésus sera exposé, adorez-le sans peur, sans écouter ceux qui essaient de vous éloigner de cette route. Je vous veux forts, combattants et que vous défendiez Jésus qui a saigné dans ce lieu thaumaturgique. Merci. Un baiser aux enfants et à grand-mère Iolanda qui porte la palme du martyre en tant que maman et grand-mère.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel., Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Souvenez-vous que la prière la plus grande et la plus importante est la Sainte Messe. Recevez la sainte communion en état de grâce. Si quelqu’un a péché contre la charité, qu’il se confesse, qu’il ne reçoive pas mon Fils Jésus s’il n'est pas en état de grâce. Merci de mettre en pratique ce que je vous ai dit. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Ceci peut être également une oraison jaculatoire; répétez-la vous aussi. Loué soit Jésus Christ, qu’il soit toujours loué ".
Marisa - Adieu. Tu n'es pas pressée?
La Madone - Si, pourquoi toi, Marisella, ne fais tu pas tout ce que je te demande?
Marisa - Que dois-je faire maintenant?
La Madone - Qu’as-tu à côté de toi?
Marisa - Ah, j’ai oublié, parce que je suis un peu distraite. Si vous me faisiez souffrir un peu moins, j’aurais peut-être un plus de mémoire. Voilà, cela te donnera peut-être de la joie, regarde.
La Madone - Mais je l’ai déjà vu?
Marisa - Alors donne nous ta bénédiction! Regarde, ceci est la coquille, symbole de l’année Sainte. Es-tu heureuse?
La Madone - Je crois que celle qui la recevra sera heureuse.
Marisa - Pas aujourd'hui. Il y a deux lettres derrière la coquille. Est-ce que cela te plaît? Ecoute, peux tu dire à Don Claudio de m'en faire une aussi?
La Madone - Non, Marisella, cela coûte trop.
Marisa - Merci! Si tu le dis ainsi, cela ne me fait plus rien. C’est bon, cela ne fait rien, je suis heureuse ainsi. Donne ta bénédiction de Maman.
La Madone - Oui, ensemble avec le prêtre.
Marisa - C’est un peu dur, il a honte quand tu lui dis de bénir avec toi.
La Madone - Je pourrais lui demander de me bénir, comme je l’ai fait plusieurs fois.
Marisa - Demande-le lui quand vous êtes seuls, parce qu’il est gêné. Est-ce que le pendentif avec la coquille t’a plu? Je ne pense pas que je l’aurais oublié, je tenais tant à ce que tu le bénisse. C’est bon, adieu. Adieu. Elle est partie. Saint Joseph était auprès d’elle, mais ne parlait pas, il la regardait tout en extase.
Don Claudio - Bah parce que son épouse parlait.
Marisa - Sur la Terre aussi, lorsque l'épouse ou l'époux parle, le conjoint devrait être en extase.
Don Claudio - Personne n'est en extase lorsque l’un ou l’autre des conjoints parle.
Messages de Décembre 1998
Rome, (Place Saint Pierre), le 6 décembre, 12h15 (Lettre de Dieu)
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence et de votre amour pour votre et mon Pape. Votre soeur et Moi lui avons crié: "Courage, courage parce qu’il s'effondrait en parlant. Je vous invite à prier pour le Saint Père, pas pour sa vie, mais pour qu’il fasse la volonté de Dieu. Vous qui êtes venus ici avec tant d’enthousiasme et d’amour, priez pour l’Eglise. Le sept décembre de l’an passé, j’ai fait mon entrée au Vatican et j'y suis à nouveau aujourd'hui parmi vous. Que désirent Jésus et la Maman? Ils désirent vos prières pour l’Eglise et le triomphe de l’Eucharistie dans le monde entier.
Je vous souhaite à tous de participer saintement à la Sainte Messe avec votre prêtre, parce que Dieu lui donne des grâces particulières pendant l'homélie, afin de vous faire comprendre la Parole de Dieu et de vous faire progresser vers la sainteté. Adieu à tous, je suis votre Maman et je suis ici avec vous, parce que je vous aime, mes chers enfants.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. J'étais entre vous et le Saint Père. Merci de votre présence.
Marisa - Adieu. Elle est partie. Elle était tout le temps avec nous.
Rome, le 8 décembre 1998, 10h40 (Lettre de Dieu)
Marisa - Quand j’ai vu que tu te faisais attendre, j’ai pensé qu’il y aurait peut-être quelque chose de beau pour nous.
Jésus - Quelqu’un doit me voir.
Marisa - J’ai tant de personnes à te recommander: des grandes et des petites, les malades du corps et de l'esprit. Je te recommande nous tous ici présents. Fais venir un peu de chaleur, car nous avons un peu froid. Voilà de nouveau deux Madones. Lequel de vous deux va maintenant parler?
Jésus - C’est moi Jésus qui vais parler.
Marisa - Que c’est beau, Jésus accompagne les deux Madones.
Jésus - Mais il n'y en a toujours qu’une, Marisella, ma Maman. Je veux qu’elle soit appelée Mère de l’Eucharistie, parce que l'histoire s’achève avec ce nom. Moi, votre Jésus, je suis venu ici pour accompagner la Maman. Tu vois deux Madones pour que tu puisses comprendre que l'histoire commence avec l’immaculée Conception et s’achève avec la Mère de l’Eucharistie. La Très Sainte Trinité est présente. Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Adorez-la. Moi, Jésus, je vous invite à aimer de tout votre coeur ma et votre Maman, et à prier pour ceux qui ne l’aiment pas et n’acceptent pas son titre de Mère de l’Eucharistie, qui dès ma naissance est devenue la Mère de Dieu et l’Epouse du Saint Esprit. Quand j'étais dans son sein maternel, je conversais avec elle, nous parlions de ma vie et surtout de ma mort et résurrection. Ne vous arrêtez pas seulement à la mort, pensez à la résurrection, à la gloire. J’apporte le message de Dieu, Je suis Dieu. La Maman, comme votre soeur le voit, est ici à côté de moi et vous regarde de ses doux yeux, le coeur rempli d’amour pour vous. Moi, Jésus, j’ai ordonné au prêtre de dire la Sainte Messe; il est injuste qu’un être humain soit suspendu a divinis, seulement parce qu’il m’aime, aime la Mère de l’Eucharistie et les âmes; la haine et la vengeance ne sont pas de belles choses, l’amour est beau, l’amour pour tous. Moi, Jésus, je protègerai toujours ce lieu thaumaturgique que vous avez embelli. La Chapelle est devenue le petit joyau de ma Maman; vous y avez fait ensemble tant de belles choses. Tout ceci plaît à Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et à moi Dieu le Fils. Tu vois, Marisella, je suis entièrement vêtu de blanc: la couleur de la candeur, de la pureté, de la virginité et de la chasteté; la Maman porte aujourd'hui également des vêtements de fête.
Ceci ne doit pas vous préoccuper, vous devez seulement veiller à recevoir Jésus Eucharistie dans votre coeur en état de grâce. Quand Marisella a demandé à la Madone comment elle devait recevoir la communion, parce que les opinions étaient en désaccord à cet égard, du fait que tous n’avaient pas entendu le Saint Père, la Maman lui a seulement dit: "Reçois Jésus comme je te l’ai enseigné: en état de grâce, dans un coeur pur, limpide, sans tâche. C’est ce que la Maman t’a toujours enseigné, mon enfant". Pourquoi ceux qui écoutent ces messages ne les mettent-ils pas en pratique? La Madone n’a pas dit de recevoir la Sainte Communion dans la main, la bouche, assis, debout ou à genoux; elle n’a rien dit de tout cela, elle a seulement dit: "Recevez mon Fils Jésus en état de grâce". J’ai dit: "Apprenez à aimer et puis priez"; il n'y a rien à y enlever ou à y ajouter. Si vous ne savez pas aimer comment pouvez-vous prier? Ceci est très important. Qu’est ce que nous vous enseignons? A vivre dans la grâce, à aimer l’Eucharistie, à aimer la Mère de l’Eucharistie, à aimer le Pape qui s’appelle aujourd'hui Jean Paul II, à aimer les évêques et les prêtres unis au Pape, à prier pour les conversions. Ceci est l’Evangile, c’est simple et beau; ceux qui s’arrêtent à des détails, sans importance pour Nous au Ciel, n'ont rien compris. Ils disent que le Pape a été contraint de concéder la communion dans la main, parce que cela a été voté à une seule voix de majorité. Non, il n'est nul besoin de raisonner ainsi, mes chers enfants. Votre prêtre a très bien parlé ce matin, ne vous contentez pas d'écouter, mais retenez ce qu’il dit. Le chemin de la sainteté n'est pas difficile, quand on est humble et simple et écoute la Parole de Dieu. Je ne vous ai pas dit d’escalader un sommet de 8000 mètres et de vous jeter ensuite dans le vide; je vous ai dit de vous convertir, de recevoir Jésus en état de grâce, d’apprendre à aimer et de prier ensuite. Est-ce que tout ceci est difficile?
Croyez-moi, mes chers enfants, ceci est le plus grand amour qu’un être humain puisse donner aux autres. Je l’attends de vous, et aussi de vous qui êtes loin et ne pouvez participer fréquemment à ces rencontres si solennelles et si belles; parce que Dieu a posé son regard sur ce lieu thaumaturgique.
Tout n'est pas rose, croyez-moi, mes enfants souffrent beaucoup, pas à cause de nous mais à cause des hommes d’eglise. En priant, vous pouvez aider beaucoup et beaucoup de personnes, vous pouvez arrêter les guerres, comme je vous l’ai déjà dit il y a quelque temps; certaines se sont arrêtées en effet, d’autres continuent. Comme je vous l’ai déjà dit, la purification a commencé depuis quelques années, des famines, tremblements de terre, naufrages ont eu lieu partout dans le monde, mais les hommes ne se convertissent pas, tant qu’ils ne sont pas directement touchés. Ce n'est pas bien. J’ai dit aussi: je n’ai pas donné seulement un doigt ou une main, je me suis donné totalement pour vous tous, parce que j’aime tous les hommes de la Terre, même ceux qui ne me connaissent pas, souvent sans qu’ils en soient responsables. J’aime aussi ceux qui disent m’aimer et ne m’aiment pas. Je ne peux pas vous demander d’aimer aussi ceux qui vous font souffrir, mais vous devez prier pour eux.
La Maman est ici triomphante, heureuse de votre présence et de ce que vous avez fait en peu de temps. Le petit journal est très beau et plaît à ma Maman, il Me plaît aussi, mais vous ferez encore mieux, j’en suis certain. Vous avancez, certains trébuchent encore, mais je suis certain que peu à peu vous arriverez tous au but. Je sais que vous attendez une grande visite, mais l'heure fixée par Dieu n'est pas encore arrivée.
Regarde moi, Don Claudio, et n’aie pas peur de me regarder. Je te bénis, mon cher enfant, sois fort et courageux. Je vous bénis vous tous ici présents ainsi que vos objets sacrés ensemble avec le prêtre, Marie, Mère de l’Eucharistie, tous les anges et les saints et toutes les âmes sauvées des parents décédés de ceux ici présents. Aimez-vous mes chers enfants et volez au contact des ailes; ne soyez pas jaloux les uns des autres. Si vous remarquez qu’un de vos frères a fait quelque chose de beau, dites-le lui, pourquoi en être jaloux? La jalousie peut au début ne pas être grave, mais comme je vous l’ai déjà dit, elle peut vous entraîner ensuite à l'envie, la méchanceté et la diffamation. Vous ne le voulez pas? Vous désirez aller au Paradis, n'est-ce pas? Et je veux vous emmener au Paradis.
La Madone - Mes chers enfants, c’est moi votre Maman. J’ai écouté tout ce que mon Fils Jésus vous a dit. Je vous remercie de toutes vos oeuvres matérielles et spirituelles. Il faut si peu pour satisfaire Jésus et Marie, le prêtre, la communauté et ce troupeau qui veut devenir saint. Je suis désolée, Lauretta, que ton songe ne se soit pas réalisé, ce n'est pas ma faute, ce n'est la faute de personne. Je viendrai, soyez tranquilles, parce que Dieu l’a dit; aujourd'hui, demain, il ne m’a pas dit le jour.
Marisa - Mais tu le sais, je sais que tu le sais, parce que tu sais tout, tu es près de Dieu. Nous hommes de la Terre, au contraire, nous attendons, attendons, attendons. Je t’ai dit aussi que je renonçais à te voir pendant un jour. Fais-toi voir de tous, fais un pas en avant; c’est ta fête aujourd'hui et quand c’est fête, on doit faire un cadeau. Ce n'est pas ton anniversaire, c’est ta fête?
La Madone - Marisella, sois bonne, tu sais que lorsque Dieu décide quelque chose, j'obéis immédiatement, j’ai toujours fait la volonté de Dieu et toi aussi tu dois la faire.
Marisa - Et tu dis de regarder à Don Claudio?
La Madone - Il m’a déjà vue.
Marisa - Ecoute, tu as vu que je ne comprends plus rien, tu dois me parler plus clairement. Il t’a vue sous une forme stylisée, oui, il a vu Saint Joseph, tout entier, tout beau oui. Alors tu envoies d’abord ton époux? Don Claudio, je ne réussis pas à la faire descendre de son trône.
Don Claudio - Tu dois obéir, c’est inutile, quand il y a le chef, il faut obéir
Marisa - Toi, regarde toujours.
Don Claudio - Je regarde toujours.
La Madone - Et je vous invite maintenant, comme toujours, à participer à la Sainte Messe comme si c'était la dernière de votre vie. Priez pour vos êtres chers et pour ceux qui n'ont pu venir. Mon prêtre bien-aimé, la Maman te remercie infiniment de tout ce que tu fais, parce qu'humainement parlant, tu pourrais tout abandonner et jouir comme les autres, mais tu aimes trop Dieu et les âmes pour agir ainsi et nous comptons beaucoup sur toi. Merci aux jeunes pour tout ce que vous avez fait, merci aux adultes, merci à vous tous qui êtes venus de loin. Merci à mes deux chers enfants, merci. Allez et participez à la Sainte Messe, au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.
Marisa - Et tu ne nous couvres pas de ton manteau ?
La Madone - Bien sûr, j'étais déjà ici avec mon manteau qui vous recouvrait tous.
Marisa - Tu sais que quand j’ai quelque chose dans mon coeur, je te le dis. Adieu. Tu dois, toi aussi, venir à la Messe, puisque tu y es toujours auprès de l’Evêque. Y viens-tu aussi aujourd'hui?
La Madone - Oui, bien sûr, je suis toujours auprès de l’Evêque.
Marisa - Regarde, les anges et les saints l’ont emmenée. C'était la Mère de l’Eucharistie, pas l’immaculée Conception. C’est toujours elle de toute façon. Elle est partie.
Don Claudio - Nous la retrouverons dans l’Eglise.
Marisa - Oui, elle vient toujours près de toi, quand tu célèbres la Sainte Messe. s’il y a de la place.
Don Claudio - Il y a de la place.
Rome, le 10 décembre 1998, 17h10 (Lettre de Dieu)
Marisa - Ecoute, avant que je ne l’oublie, parce que je n’ai pas beaucoup de mémoire, je voulais te remercier de ton aide pour la naissance de Flavia.
La Madone - Tu as beaucoup prié pour Flavia.
Marisa - Oui, mais je ne l’ai dit à personne, c'était mon affaire. On obtient tout de Dieu avec les prières. Prie pour que cette petite fille soit baptisée.
Je te la recommande; nous sommes aujourd'hui un de plus sur la Terre. Je te recommande ses parents, grands-parents, oncles et tantes. J’aimerais que tu bénisses cette chaîne, mais il n'y a ni Jésus, ni la Madone. Je te recommande également l’autre Flavia, celle qui est un peu plus grande ainsi que nous tous ici présents. Me dis-tu pourquoi tu ne voulais pas venir aujourd'hui?
La Madone - Marisella, ce n'est pas que je ne voulais pas venir, quelqu’un d’autre est venu à ma place, mais tu as insisté et j’ai exaucé ta prière.
Marisa - Nous accordes-tu cette grande grâce? Qu’un jeune homme et une jeune fille se marient dans l'église? Combien devons-nous encore prier?
La Madone - Vous devez prier énormément, mes chers enfants, non seulement pour cette intention si grande, mais aussi pour que ces deux jeunes s’avancent devant l’autel de Dieu afin d'y célébrer leur mariage. La petite fille devra unir les parents avec Jésus, avec l’Eucharistie. Mes chers enfants, la Maman vous remercie tous à nouveau pour la grande fête que vous avez faite pour l’immaculée Conception et la Mère de l’Eucharistie, je remercie les jeunes et les adultes, mais surtout le prêtre qui met toute son énergie dans tout ce qu’il fait. Merci à tous.
Je vous répète, aujourd'hui plus que jamais de prier avec le coeur pour les hommes d’eglise; chaque jour qui passe requiert encore plus de prières. Dieu demande à quelques âmes beaucoup plus que la prière, mais à vous, il ne demande que de prier. Il est difficile de comprendre totalement les desseins de Dieu, mais si vous vous mettez dans une attitude d'écoute, de silence, de simplicité et d'humilité, vous entendrez la voix de Dieu qui parle à vos coeurs, vous comprendrez où est le mal, où est le bien et vous ne vous arrêterez pas à des bêtises qui vous éloignent de Dieu et vous empêchent d’accomplir votre devoir. Tout ceci ne plaît pas à Jésus. Vous pouvez donner plus, parce que vous avez beaucoup reçu. Ceux qui viennent d’autres lieux ne disent rien d’autre que: "Bienheureux, vous qui êtes dans ce lieu thaumaturgique, vous qui avez un prêtre qui vous aime et qui vous guide". Alors pourquoi ne pas prier pour tous les prêtres, afin qu’ils accomplissent totalement leur devoir dans leur travail spirituel?
Il est facile de plaisanter et de rire avec les gens, de parler de tout et de rien, mais quand on parle de Jésus, il faut adopter une attitude profonde et sérieuse. Vous dites: "Ici, Jésus a beaucoup donné et demande beaucoup". Cela vous étonne? s’il vous a beaucoup donné, il est juste qu’il vous demande plus qu’aux autres, on ne peut pas que recevoir, Jésus aide tous les hommes. Donnez, priez, aimez, respectez, même ceux qui ne croient pas; les athées, les musulmans, les hébreux; ayez du respect envers tous, parce que Jésus a toujours eu du respect envers tous, même envers celui qui l’a trahi. Combien y a t il de Judas sur la Terre? Jésus attend, regarde, entre dans les coeurs, puis se retire parce qu’on ne l'écoute pas.
Votre soeur possède le don d’aller réconforter les malades dans les hôpitaux, sans que ceux-ci s'en rendent compte, parce que Dieu le veut. Pourquoi dire non à Dieu? C’est une grande mission, mais qui reste cachée, elle s’accomplit dans le secret et pas même Marisella comprend et sait toutes ces choses, parce que Dieu l'envoie où il le veut, aider ceux qui souffrent, car elle souffre aussi beaucoup. Aucun de vous ne sait ce qu’elle a fait pour cette petite créature qui est née, mais nous du Paradis, nous le savons. Vous la voyez plaisanter, rire, mais elle donne et continue à souffrir beaucoup! Quel petit cadeau, Don Claudio, pour tout ce qu’elle fait?
Marisa - Ecoute, mais tu parles de Marisa? Tu parles de moi.
La Madone - Bien sûr que je parle de toi, Marisella, du moment que ne tu ne le fais pas, je le fais.
Marisa - Mais cela me gêne. J’ai tant de fois plaisanté et ri pour cacher ma souffrance.
La Madone - Essaie de ne pas casser la petite boîte, Marisella.
La Maman plaisante avec vous, mais elle est bien triste à cause des hommes qui se conduisent mal. Même votre soeur plaisante beaucoup avec vous; remerciez Dieu qu’elle soit gaie, pas orgueilleuse, pas hautaine, mais spontanée avec vous tous, grands et petits.
Quand une grand-mère lui a dit "tutoies moi, Marisella", elle lui a spontanément répondu: cela ne me coûte rien de te tutoyer, je trouve cela même plus facile, parce qu’ainsi nous nous sentons plus proches, frères". N'employez plus de mots comme Vous, belle-mère, beau-père, et d’autres termes du langage commun, de même divers canons du Code du droit Canonique devraient disparaître! Appelez les personnes par leur prénom, comme j’aimerais beaucoup que la petite s’appelle Maria Flavia.
Marisa - Attends, doucement, parce que tu ...
La Madone - Non, non, c’est Maria Flavia pour nous et Flavia pour les autres.
Marisa - Ecoute, tu te souviens que les parents ne viendront pas. Alors au Baptême, nous l’appellerons Maria Flavia.
Don Claudio - Quand le Baptême aura-t-il lieu?
Marisa - Tu as entendu?
Don Claudio - Parce que je ne peux pas baptiser dans une autre église.
Marisa - Quand le Baptême aura-t-il lieu?
La Madone - Tu veux me faire chuter, Marisella?
Marisa - Non. Le prêtre est le grand-oncle de la petite et l’oncle des parents et il doit la baptiser. Quand? Réponds nous? Dis-le, quand? Il doit baptiser, marier les couples, nos jeunes sont fatigués d’attendre. Dis quelque chose! Ecoute, Dieu est dur. Non, non, non, je me suis trompée, je voulais dire qu’il est père et qu’il doit donc comprendre que nous nous trouvons dans une situation très difficile. Dieu a dit: "Don Claudio, tu dois célébrer la Sainte Messe, tu dois confesser", mais il ne peut pas baptiser et célébrer des mariages, sinon le cardinal Ruini arrivera, et .... Je plaisante, mais j’ai dit la vérité, toi aussi tu as dit beaucoup de choses en plaisantant. Ce petit mot ne te vient vraiment pas? Nous voulons savoir quand ils nous rendront tout, quand il doit faire le baptême.
La Madone - Non, Marisella, tu ne dois pas t’en préoccuper, c’est à nous que cela revient.
Marisa - Oui, mais réveillez-vous de ce long sommeil. C’est bon, je ne reviens plus là-dessus. Sais-tu ce que je dis? Vous du Paradis, vous faites comme vous le voulez, que dois-je dire? Si vous le voulez, vous pouvez nous contenter, pas moi, mais le prêtre, ses enfants et tous ces adultes agenouillés ici devant toi et qui ne te voient pas. Quand te feras-tu voir?
La Madone - Marisella!
Marisa - Ne te font-ils pas peine à genoux et ne te voyant pas? Alors qu’il est beau d'être à genoux et de te voir. Je ne parviens pas à t’arracher le petit mot.
La Madone - Et bien, nous avons parlé de choses sérieuses en plaisantant, c’est beau de plaisanter, mais je dois, comme vous, faire la volonté de Dieu; c’est à Dieu de parler de ce que tu veux savoir. Je vous comprends parce que je suis maman. Contentez-vous maintenant de ce que Dieu vous fait comprendre peu à peu.
Marisa - Puis-je te poser une autre question? La main de Dieu est-elle encore levée ou s'est-elle abaissée? Est-elle encore levée?
La Madone - Mais tu ne veux pas, Marisella, que des âmes continuent encore à se sauver?
Marisa - Sì. Qui est père Rotondino?
Don Claudio - Ruotolo!
Marisa - Oui, puis nous ferons célébrer la Messe pour Gesuino. Gesuino, aide ceux qui te sont chers. Ils sont tous beaux parce qu’ils sont purs et propres intérieurement. Ruotolo.
La Madone - Mes chers enfants, je vous invite à la prière constante en état de grâce. Cherchez à devenir de petits enfants, comme votre soeur.
Marisa - Non, non, cela ne leur convient pas. Don Claudio, la Madone a dit que si tu veux lui demander quelque chose, tu peux parler.
Don Claudio - Ma seule demande concerne les prêtres de Rome. Combien d’entre eux, même s’ils ont écrasés par la peur, croient en ces apparitions, aux miracles eucharistiques et ont lu avec attention la deuxième lettre?
La Madone - Tu peux être content, parce qu’ils sont nombreux.
Marisa - Pourquoi ne viennent-ils pas?
La Madone - Parce qu’ils perdraient leur place et leur pain quotidien, Marisella.
Marisa - Je te demande une dernière chose: est-il possible que nous souffrions tous pour un seul homme?
La Madone - Oui, tant que la pleine et vraie conversion des autres prêtres qui sont bons mais faibles et peureux n’arrivera pas; vous devez prier beaucoup pour eux. La lettre est entrée dans le coeur de la majorité d’entre eux, mais ils doivent aussi vivre, Don Claudio. Tu sais comment vont ces choses.
La Madone - As-tu encore quelque chose à me demander? Pour que je puisse ensuite vous donner ma bénédiction.
Don Claudio - Mon souhait est que surtout les prêtres de Rome se convertissent et acquièrent un esprit eucharistique très fort. Tu sais que mon premier amour a été le séminaire, certains de ces prêtres ont été mes élèves et je te demande d’allumer en eux un grand amour de l’Eucharistie et un grand amour envers toi, Mère de l’Eucharistie. Je ne te demande rien d’autre, je n’ai rien à te demander, sinon que mes confrères de Rome et moi-même puissions être un, être unis dans le même amour envers Jésus Eucharistie et les âmes, c’est seulement cela que je te demande.
La Madone - Tu m’as tout demandé. Ceci arrivera, mais il faudra beaucoup prier. Quand tout explosera, ce que tu demandes arrivera, mais les prêtres de Rome sont les plus attaqués, les plus craintifs et beaucoup d’entre eux ne vivent pas de l’Eucharistie, mais ils changeront, cher Don Claudio, ils changeront eux aussi. La franc-maçonnerie est très influente, ses membres sont très puissants. Sois obéissant et fais encore preuve de patience, je suis avec vous. Merci de te soucier autant de tes confrères; c’est beau, Dieu en sourit. Vous qui êtes présents, souvenez-vous quand je vous ai dit d’adopter un prêtre? Continuez à prier pour celui que vous avez adopté, mais priez également pour Don Claudio, afin qu’il ait toujours la force de dire la vérité, de faire triompher la vérité avec tous.
Merci. Mettez en pratique ce message, même si nous avons plaisanté, parce que je suis une maman et que j’aime plaisanter avec mes enfants.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis ainsi que vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. j’envoie un baiser à grand-mère Iolanda à la petite Flavia, à Jacopo à Davide Maria et à Barbarella. J’adresse aujourd'hui mes voeux à tous ceux.
Marisa - Et bien, dis-le. A ceux qui ont leur anniversaire. Mais à ceux du mois écoulé?
La Madone - Je leur adresse également mes voeux, parce que je vous ai dit une fois que je les aurais adressé à tous ceux qui ont eu leur anniversaire entre janvier et décembre. d’accord?
Marisa - Si tu le dis.
La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Je sais que tu es fatigué Yari de tenir le caméscope, mais je dois parler.
Marisa - Et toi qui ne sais pas, tu me regardes? C’est bon, adieu. Don Claudio, elle est partie. Je lui ai dit tant de choses.
Don Claudio - Nous les avons toutes entendues.
Marisa - Même les miennes.
Don Claudio - Oui, nous les avons entendues.
Marisa - Les miennes?
Don Claudio - Oui, tes choses qui deviennent ensuite les nôtres.
Rome, le 13 décembre 1998, 10h30 (Lettre de Dieu)
Marisa - Nous avons déjà longuement parlé toi et moi, mais j’ai encore beaucoup de personnes à te recommander. Nous ici présents, nous avons également besoin de ton aide: Aide nous tous. Tu ne dis rien? Tu ne peux te taire, car nous avons besoin de t’entendre.
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence ici. Gravez profondément dans votre coeur le 23ème chapitre de l’Evangile selon Saint Mathieu où Jésus dit " Malheur à vous, scribes et Pharisiens hypocrites". Aujourd'hui encore, des gens se vantent, se croient arrivés à tout et sèment la zizanie. Pourquoi n'écoutez-vous pas et ne mettez-vous pas en pratique le message de Dieu? Pourquoi? On peut venir ici, dans le lieu thaumaturgique, la première et même la deuxième fois par curiosité, mais ensuite vous devez y venir pour y puiser quelque chose. Cet appel maternel s’adresse à tous ceux qui lisent les messages, qui viennent dans ce lieu ainsi qu'à tous ceux qui le combattent. Je répète encore, pour la dernière fois, qu’il y en qui se servent de l’image de la Mère de l’Eucharistie pour en faire ce qu’ils veulent. Je n’ai jamais dit à aucun voyant comment on devait recevoir la sainte communion, j’ai seulement dit de recevoir mon Fils Jésus en état de grâce; si vous faites la Sainte Communion à genoux, assis, debout, ou si vous la recevez sur la langue ou dans la main, cela importe peu. Ce qui importe, c’est de recevoir Jésus en état de grâce. C’est l'enseignement le plus grand, le plus beau et le plus important, mais on continue à dire tant de bêtises. Je vous demande d'obéir au Saint Père et tant que le pape dira qu’on peut recevoir la communion dans la main, vous devez tous lui obéir et être avec lui. Malheureusement, quelques voyants continuent d’affirmer que j’ai interdit de recevoir la Sainte Communion dans la main. Si je leur avais parlé ainsi, je l’aurais dit également ici, alors que j’ai toujours dit qu’il n'y avait aucune obligation à recevoir Jésus sur la langue, dans la main, debout, ou à genoux, mais en état de grâce, avec un cur limpide, propre et saint. C’est seulement cela qui est important. Les hommes s’arrêtent parfois à de petits détails et écrivent juste pour le plaisir d'écrire et le désir de gagner de l’argent.
Je n’ai jamais dit à aucun voyant que la communion doit être reçue sur la langue, dans la main, debout, à genoux ou assis, mais j’ai dit de recevoir mon Fils Jésus en état de grâce.
Qui le veut, le comprend bien, qui ne le veut pas, se tait et ne dit rien, car on continue ainsi à semer la zizanie. Quand le Saint Père, qui s’appelle aujourd'hui Jean Paul II, décidera de nouveau comment recevoir la Sainte Communion, vous devrez lui obéir. Demain un autre pape dirigera l’Eglise et vous ferez ce qu’il dira et voudra. Ceci n'est pas du chantage, mais de l’obéissance.
Si le pape dit de ne recevoir la communion que sur la langue, recevez-la sur la langue, s’il dit de ne la recevoir que dans la main, recevez-la dans la main, mais s’il n'oblige personne à la recevoir d'une façon ou d'une autre, vous êtes libre de la recevoir comme vous voulez, vous êtes libres, comme vous êtes libre d’aimer ou de ne pas aimer, de vivre en état de grâce ou dans le péché. Dieu vous a laissé libre, Dieu ne force personne. Pourquoi vous les hommes, perdez-vous tant de temps avec des choses sans importance? Il y a toujours eu des messes noires et les hosties saintes ont toujours été profanées, mais de nos jours, on en entend davantage parler, parce que les hommes sont encore plus hostiles à Dieu. Même des prêtres assistent à ces messes noires, parce qu’eux seuls peuvent se procurer les grandes hosties, dans la mesure où elles leur sont réservées. Je vous invite à prier pour eux. Combien d'hosties profanées ont été apportées ici, dans ce lieu thaumaturgique, par Jésus, moi-même, les anges et les saints? Elles étaient transpercées, brûlées, gonflées; beaucoup d’entre vous l’ont vu. Où ont-elles été prises et qui les a apportées pour les messes noires? Est-ce la communion dans la main qui a permis de se les procurer? Oh non, mes chers enfants. Il y a toujours eu des profanations, années après années. Vous chrétiens, vous accusez de profanations ceux qui reçoivent la communion dans la main. Non, demandez-vous dans votre coeur "est-ce que je suis bien? Puis-je recevoir Jésus en état de grâce?" C’est le don divin, le plus beau et le plus important. Souvenez-vous: Malheur à vous scribes et pharisiens qui sermonnent et pensent détenir la vérité. Le jeudi précédant Pâques, Jésus n’a pas dit: "maintenant je vous donne la communion sur la langue, dans la main, à genoux ou debout. Il a simplement dit: "Prenez et mangez, car ceci est mon corps, prenez et buvez, car ceci est mon sang". Il ne me semble pas qu’il soit si difficile de comprendre ce qu’a dit mon fils Jésus, mais pour éviter que tous les hommes boivent au calice et mettent leurs mains dans le ciboire, la Sainte Communion est distribuée comme le prescrit l’autorité ecclésiastique et est reçue soit sur la langue, soit dans la main comme chacun le désire. Vous n’attraperez pas le SIDA si vous recevez la communion dans la main; la télévision en a parlé à plusieurs reprises. Ceux qui étudient la médecine pourront vous l'expliquer en long et en large. Vous êtes libre de recevoir Jésus comme vous le voulez, mais en état de grâce. La maman vous serre dans ses bras et vous aime tant, mes chers enfants. Je vous ai dit maintes fois "Quand vous entrez dans une église, approchez vous de Jésus Eucharistie, ne restez pas loin de lui". J’ai également dit, si vous voyez quelque chose, n'en parlez pas entre vous, car il pourrait s’agir d'une illusion optique comme c’est arrivé lors de la vigile de la Fête de l’immaculée Conception, où quelqu’un a dit m’avoir vue, alors que le vent soufflait et a fait bouger la tente. Attention: Je n'en dirai pas plus à ce sujet, à savoir si ce que vous avez vu est vrai ou non. C’est à vous de l’apprécier et d'y réfléchir.
Mes chers enfants, baissez la tête et invoquez Jésus Eucharistie, et soyez libres et simples comme des colombes. Je vous invite à vous envoler, mais en état de grâce, avec un coeur limpide, propre, beau et pur. Recevoir Jésus en état de grâce est un des enseignements les plus importants de l’Eglise. Malheureusement, certains hommes d’eglise veulent éloigner Jésus l’Eucharistie et disent qu’après la messe il n'est plus réellement présent. Ils veulent retirer les tabernacles du centre des églises et les mettre sur le côté. Vous devriez vous en demander la raison. Pour beaucoup d'hommes d'église et de laïcs engagés, il est difficile de recevoir Jésus Eucharistie en état de grâce.
Mon petit troupeau, vous qui avez parcouru ce chemin, conservez votre coeur pur, propre et beau comme une belle avenue fleurie dont vous devez retirer les feuilles malades et les pétales fanés. Faites en une belle avenue fleurie pour mon fils Jésus en faisant des sacrifices, de petites privations, des prières et allez vers lui en état de grâce.
N'écoutez pas seulement le message, vivez le et si vous ne l’avez pas bien compris, demandez des explications au prêtre. Merci de bien vouloir mettre en pratique ce que je vous ai dit.
Je vous répète encore aujourd'hui: assistez à la Sainte Messe et participez y avec tout votre coeur, comme si c'était la dernière de votre vie, recevez la Sainte Communion comme si c'était la dernière de votre vie et vous, les prêtres, célébrez la Sainte Messe comme si c'était la dernière de votre vie.
Marisella, beaucoup se demandent où vont, quand ils meurent, leurs êtres chers qui ont trébuché durant leur vie terrestre. Pourquoi? Bruno m’accompagne aujourd'hui.
Marisa - Je le reconnais.
La Madone - Tu as vu? Il n'est pas besoin de faire de grandes choses pour sauver son âme; vous trébuchez tous parce que vous descendez d’eve. Ne vous semble-t-il pas que Dieu sait que faire?
Marisa - Alors nous irons tous jouir de Dieu? Nous nous sauverons quand nous mourrons?
La Madone - Récitez maintenant avec moi le "Notre Père " pour les malades, pour celui qui a été accidenté avec le camion, pour la conversion de vos êtres chers et surtout pour la conversion des prêtres et dites avec moi: "Notre Père...
Est-ce que la crèche te plaît, Marisella?
Marisa - Oui, elle me plaît beaucoup.
La Madone - Avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu.
Rome, le 20 décembre 1998, 10h30 (Lettre de Dieu)
Marisa - Je te recommande tous ceux qui se sont confiés à mes prières et qui recherchent ton aide, désirent ton aide. Comme toujours, je te recommande nous tous ici présents, car nous nous avons aussi besoin de ton aide.
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. C’est aujourd'hui le sixième jour de la neuvaine. Je vous ai demandé de préparer la layette du petit Jésus, où en êtes-vous?
Marisa - Je ne le sais pas.
La Madone - Tu souffres déjà suffisamment, mon enfant, ne t’en soucie pas. J’aimerais que vous mettiez tous en pratique ce que j’ai dit le 13 décembre et que votre prêtre a commenté aujourd'hui avec beaucoup de délicatesse. Approchez-vous de la Sainte Communion, comme vous le désirez, vous êtes libre de le faire comme vous le voulez, mais recevez mon Fils Jésus en état de grâce. Combien de fois ne vous l’ai-je pas dit? Combien de fois? Et on continue à perdre son temps, moi aussi je perds mon temps à répéter toujours les mêmes choses, comme le prêtre et vous qui écoutez. Ce message s’adresse à tous ceux qui perdent leur temps à parler de choses qui n'ont jamais été dites. En effet, je n’ai jamais dit à une voyante comment recevoir la Sainte Communion: dans la main ou sur la langue, j’ai seulement dit: "Recevez mon Fils Jésus en état de grâce". Est-il possible que cela soit si difficile à comprendre? Abandonnez-vous à Dieu et ne me faites pas dire des choses que je n’ai jamais dites. Mes chers enfants, moi aussi je prépare la layette avec vous, afin de vous aider. La venue de l’Enfant Jésus doit vous donner force et courage pour continuer. Attendez ce jour si grand, si beau parce que le petit Jésus viendra sur la Terre au milieu de tous les hommes. Aimez mon Fils Jésus, comme je vous aime, mais surtout comme Jésus vous aime. Il semble parfois que vous vous endormez, que vous attachez de l’importance à des choses qui n'en ont pas; vous vous réveillez parfois de ce sommeil et avancez bien; réveillez-vous, restez toujours éveillés, toujours prêts et toujours en état de grâce. Le petit Jésus viendra pour les enfants, fêtera les enfants, n'est-ce pas Jacopo? Puisque Jésus est petit, le plus petit des enfants et l’un d’entre vous le bercera.
Marisa - Ce n'est plus moi?
La Madone - Tu le berceras et tu le serreras fort sur ton coeur, mais bercez-le, vous aussi. Priez Jésus: "Aide tous les hommes de la Terre, en particulier les grands hommes, parce que les petits sont simples, humbles. Aide nous tous ici présents, aide le prêtre, qui travaille si bien dans l’Eglise...". Parlez simplement à l’Enfant Jésus, ne regardez pas Jésus adulte, regardez le petit Jésus, comment feriez-vous avec un petit enfant? Les mamans le savent, Même si les enfants donnent beaucoup de travail, ils sont toujours les petits frères de Jésus. Oh, quand Dieu le voudra, vous verrez cette scène, si belle: les enfants qui m'entourent et caressent mon ventre parce qu’ils parlent à l’Enfant Jésus. Parlez, vous aussi, avec Jésus. L’Enfant Jésus n'est pas comme Jacopo: qui est parfois un peu agité, mais c’est un petit enfant qui à sa façon aime beaucoup sa famille, ses proches; mon petit Jésus nous aime aussi, il aime sa famille et vous aime tous aussi. Continuez cette neuvaine, je suis avec vous. Que ceux qui le peuvent viennent le vingt trois décembre pour la fin de cette neuvaine et le vingt quatre pour la veillée de Noël à 23 heures; ne confondez pas, le vingt quatre à 23 heures, Don Claudio. Que ceux qui le peuvent fassent un sacrifice et viennent prier la nuit pour être avec la famille de Nazareth, avec l’Enfant Jésus. Merci de votre présence.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Courage, Marisella, encore un effort.
Marisa - Aujourd'hui encore, elle avait des petits enfants autour d’elle, elle était belle; elle est toujours belle, mais elle était encore plus belle aujourd'hui.
Don Claudio - C’est l’amour de Dieu qui la transforme toujours plus.
Marisa - Les enfants parlaient et caressaient le ventre de la Madone. Que c’est beau!
Don Claudio - Et que disaient-ils?
Marisa - Ils conversaient avec l’Enfant Jésus. Apprends nous à aimer.
Don Claudio - Est-ce que l’Enfant Jésus répondait aux petits enfants?
Marisa - Je ne l’ai pas entendu.
Rome, le 25 Décembre 1998, 10h30 (Lettre de Dieu)
Marisa - Tu portes l’Enfant Jésus dans tes bras. Aujourd'hui aussi, tu nous as apporté le petit Enfant? Je te recommande tous ceux qui se sont confiés à mes prières, surtout les malades, ceux qui sont hospitalisés, ceux qui sont seuls en ce jour de fête.
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence, merci de tout ce que vous avez fait pour embellir la chapelle, mon joyau, ce si beau chef d'oeuvre. Tout y est candeur et pureté. J’aimerais vous inviter vous aussi à vivre dans la pureté et la candeur; même si cela est difficile sur cette planète Terre, mais vous qui avez été appelés, qui avez parcouru ce chemin si beau, si important aux yeux de mon Fils Jésus, vous pouvez y parvenir. Aujourd'hui encore, beaucoup sont occupés à préparer un bon repas alors que vous êtes ici à prier avec moi, avec mon époux bien-aimé Joseph et le petit Jésus, qui de sa petite main vous bénit, vous tous ici présents. Portez-vous vos habits de fête? Moi aussi je porte mes habits de fête et le Petit Jésus aussi.
Mes chers enfants, il n'est pas difficile d’aimer Jésus Eucharistie qui a versé du sang dans ce lieu thaumaturgique et qui est maintenant ici présent, souriant, beau, parce qu’il est Dieu. Il vous regarde tous et lis dans vos coeurs vos angoisses et vos soucis. Je vous invite à vous faire des soucis pour l’Eglise, pour les grands hommes d’eglise; j’aimerais tant qu’ils deviennent eux aussi simples et humbles comme l’Enfant Jésus, mais il est difficile pour un grand homme de devenir simple et humble, il est difficile de lui faire demander pardon et reconnaître qu’il s'est trompé. Dieu vous écoute, vous qui êtes ici pour prier et demander toutes ces grâces dont vous avez besoin. Il interviendra quand le moment sera opportun, il fera un don à quelqu’un, puis il reprendra ce qu’il a donné; il donnera de la joie pour un moment, une nuit, un jour et puis reprendra tout; c’est ce qui est arrivé cette nuit; il a donné à quelqu’un la force et le courage de marcher, puis, avec beaucoup de délicatesse, lui a repris ce qu’il lui avait donné. Alors ce sont les douleurs et les souffrances. Vous vous demandez si Dieu fait souffrir; non. Dieu appelle des âmes, les prend entièrement pour lui, et il devient leur tout, comme moi aussi j’appelle Dieu. Vous devez aussi apprendre à vous abandonner à Dieu et à lui dire: "Dieu, me voici, je suis tout à toi" ; puis Dieu saura que prendre, que laisser mais il ne vous demande pas beaucoup.
Le message que j’ai donné à la fin de la neuvaine était d’accepter que tout n’aille pas bien dans la famille et de le supporter, parce que parfois, les hommes sont pauvres de Dieu, pauvres parce qu’ils ne reçoivent pas mon Fils Jésus. Il y a parfois des hommes qui ne vivent que pour parler, critiquer et semer la zizanie; c’est pourquoi je vous ai demandé d’accepter, de serrer les dents le plus que vous le pouvez, même si c’est difficile. Où il y avait l'harmonie, j’ai donné la grâce et j'étais avec eux; mais si l'harmonie ne règne pas, comment une Maman pourrait-elle parler à ses propres enfants qui ne l'écoutent pas?
Merci, mes chers enfants de ce chef d'oeuvre que vous avez fait par amour de Jésus, de l’Enfant Jésus; merci d'être ici présents à prier; merci de réussir à serrer les dents et à supporter ces créatures qui ne vivent que pour vivre et ne savent pas aimer; c’est à vous de les aider. Comme une maman aide son propre enfant, comme sa maman aide Jacopo, comme je vous aide, aidez votre prochain. Chantez alléluia, jouissez de ce jour et réjouissez-vous. Chantez, mes chers enfants, et glorifiez Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
L’Enfant Jésus vous bénit un par un, il bénit le petit Jacopo et tous les petits enfants, en particulier ceux qui sont à l'hôpital, les malades, les prisonniers, les drogués et les missionnaires. Continuez à faire fête, mais avec beaucoup d’amour et de joie; je ne veux pas voir de visages sombres, mais des visages souriants et joyeux, parce que Dieu l’a demandé la nuit dernière à votre soeur. Elle a souffert la passion, des souffrances naturelles et morales pour vous tous, en particulier pour les prêtres et pour le grand prêtre Jean Paul II.
Ensemble avec mes prêtres bien-aimés, je vous bénis, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Comme toujours, je bénis vos êtres chers qui sont loin et vos objets sacrés. j’envoie un baiser au petit Jacopo et à tous les petits enfants ainsi qu'à la grande et petite grand-mère Iolanda. Merci de votre présence. Loué soit Jésus Christ".
Marisa - Adieu. Tu ne me donnes pas aujourd'hui le petit enfant?
La Madone - Non, fais un petit sacrifice, Marisella.
Marisa - En dépit de tout ce que tu m’as fait vivre cette nuit, je dois faire un sacrifice? C’est bon, j'obéis; c’est bon, pour mon et ton Tout. Elle ne me l’a pas donné. Elle est partie sans me donner le petit Enfant.
Don Claudio - Elle te l’a donné cette nuit.
Marisa - Oui, mais maintenant aussi, j’aurais aimé le prendre dans mes bras.
Don Claudio - Sois heureuse.
Marisa - Le tenir, le sentir dans sa chair.
Don Claudio - Elle te le donnera peut-être dans les prochains jours.
Marisa - Elle ne m’a pas donné le petit enfant. Peut-être que je ne le méritais pas?
Messages de Janvier 1999
Rome, le 1er janvier 1999, 10h40 (Lettre de Dieu)
Marisa - Tu reviens avec tous les anges et les saints de cette nuit. Tu es toujours ponctuelle. Tu es venue à minuit avec tous les anges, les saints et les âmes sauvées qui étaient si nombreux et tu nous as souhaité une bonne année 1999. Mais tu as également dit: il y aura encore des souffrances, pour mes deux enfants en particulier. Sais-tu depuis combien d’années je t’entends le dire? Je ne te le dis pas aujourd'hui parce que tu as l’Enfant Jésus dans tes bras; tu es la Mère de Dieu, la Mère de l’Eucharistie. C’est donc une grande Fête.
Je veux te recommander tous ceux qui implorent ton aide. Je te le demande maintenant que tu as Dieu dans tes bras. Que veux tu? Il gigote, il joue toujours quand il est petit.
La Madone - Marisella, quand tu étais petite, tu jouais, toi aussi, ainsi avec moi et les petits anges.
Marisa - Maintenant que je suis grande, je me bats contre les hommes
La Madone - Mes chers enfants, je vous souhaite à tous une bonne année 1999. Le triomphe de l’Eucharistie se poursuivra et s’intensifiera au cours de cette année, mais c’est votre victoire qui se dessinera avant tout, car le triomphe de l’Eucharistie a commencé depuis un certain temps. Il y aura encore des moments difficiles, mais les plus durs seront pour les hommes d'église; la maman vous invite à prier pour cette raison.
Cette nuit, avant d’apparaître dans la chambre de votre soeur, je suis passée parmi des gens ivres, adeptes du tabac et de la drogue, des êtres humains désobéissant au 6ème commandement, là pas de prières, rien. J’ai vu ces pauvres créatures qui s’amusaient et péchaient, mais c’est la célébration de messes noires à minuit qui m’a fait le plus souffrir et alors que je pleurais, j’ai serré le petit Jésus très fort sur mon cur. Mon époux bien-aimé m’a pris dans ses bras, nous nous sommes réconfortés et avons dit: "Nous devons prier et demander des prières pour eux. Ils ne savent pas ce que prier signifie. Ils ne savent pas ce que veut dire aimer". J’ai toujours recommandé le divertissement, mais celui qui est sain.
Avant minuit, j’ai vu mes jeunes quitter la table et se recueillir profondément en prière, même au delà de minuit, ce qui a consolé l’Enfant Jésus qui appuyait sa tête sur mon coeur. Peu, très peu ont prié pendant la nuit et remercié Dieu de cette année écoulée au milieu de la souffrance, la joie, l’amour et de tout ce qu’une année aussi difficile a impliqué. J’ai béni tous ceux qui ont prié à ce moment là.
J’ai demandé "Priez, parce que si les grands hommes ne se convertissent pas, il y aura de nouveau des guerres, la planète Terre chavirera et sera ravagée par des tempêtes, ouragans et tremblements de terre. Il serait si simple de dire: "Mon Dieu je te donne un chèque en blanc, je désire croire en toi". Pendant la nuit, Dieu aurait pu anéantir ceux qui, élégamment vêtus, entourés de lumières éblouissantes, célébraient des messes noires.
Attention, je ne parle pas de ceux qui ne connaissent pas mon fils Jésus, mais de ceux qui le connaissent. Puis j’ai éprouvé une grande joie parce que, toujours au même moment, cinq prêtres de Rome se sont convertis. Vous voyez, il semble que vos prières ne soient pas entendues, mais Dieu les prend une par une et sait quoi en faire.
En cette année 1999, la maman vous invite plus que jamais à intensifier vos prières. Je vous invite également à ne pas penser à vous-mêmes, à oublier vos soucis personnels. Essayez de tuer le moi, pensez à toutes les créatures qui vivent sur cette planète terre. Vous pouvez arrêter la guerre, mais il n'y a pas qu’une seule guerre, il y en a beaucoup et il y a également des conflits au sein des partis politiques, entre les grands hommes de l’Eglise et entre les petits, qui, dévorés par l'envie et la jalousie, cherchent à s'écraser les uns les autres. Dieu vous a choisis, vous a appelés, cela vous paraîtra étrange, mais il a besoin de votre aide, de votre coopération et de votre amour. L’année 1999, combien de fois la maman n’a-t-elle pas répété ce chiffre? sera très difficile au début, pour mes deux enfants en particulier, mais avec vous à leur côté, priant pour eux, ils seront capables de supporter la dernière attaque de Satan. Vous prierez, n'est-ce pas ? Vous ne les abandonnerez pas ?
Vous rappelez-vous quand je vous ai dit: si vous êtes avec le prêtre, vous êtes avec Jésus et Marie, dites oui, et écrivez le dans une petite lettre. Eh bien, après le dernier combat avec le Vicariat advenu il y a quelques jours, quelqu’un a déjà trahi, quelqu’un a décidé de ne plus venir par peur; J’ai dit: ou l’on est avec Jésus, ou l’on est contre Jésus. Vous étiez tous prêts à être avec Jésus et avec votre prêtre qui passe des moments très durs et difficiles, dont il ne dit mot, afin de vous laisser commencer l’année en paix, mais l'ennemi, celui qui a dit: " Je me vengerai et je l'écraserai", lui a souhaité et lui prépare une année pleine de méchanceté et de vengeance.
Je vous demande encore aujourd'hui: ou vous continuez avec votre prêtre, qui est l’ami de Dieu, ou vous le trahissez comme l’a fait cette créature. Mais Dieu vous en demandera finalement compte, car personne ne peut se moquer de Dieu. On ne peut pas dire "oui" à Dieu, et le renier ensuite. Rappelez-vous que ce n'est pas hasard que vous êtes venus dans ce lieu thaumaturgique, mais aujourd'hui encore, 1er janvier 1999, ceux qui ne désirent pas rester, peuvent sans aller, mais sans proférer de calomnies ou de diffamations.
Tous mes voeux à vous tous, à vos familles et à vos proches.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis mes jeunes qui sont loin, mais que je vois près de moi avec le petit Jacopo. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ".
Rome, le 10 Janvier 1999, 10h30 (Lettre de Dieu)
Marisa - Jésus est dans les eaux du Jourdain et reçoit le baptême. "Celui-ci est mon Fils bien-aimé; en lui, j’ai mis tout mon amour, écoutez-le". Jésus est parti et la Madone est arrivée. Je te recommande tous les malades, Grazia, Paolo et tous ceux qui ont fait appel à mes prières. Donne à nous tous beaucoup de force, afin que nous ne trahissions pas ton Fils Jésus. Merci.
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence, merci de l’amour que vous montrez à Jésus Eucharistie. Je vous le répète encore une fois: on ne vient pas ici pour y voir des choses éclatantes, du point de vue humain, c’est ici un lieu de prières, un lieu que Dieu a rendu thaumaturgique. On y vient pour prier pour ceux qui n’aiment pas et pour toutes les intentions que vous connaissez.
La nouvelle année a commencé, c’est aujourd'hui le 10 janvier 1999. Cette année sera encore une année de dure luttes pour mes deux chers enfants, puis le triomphe viendra, le triomphe final de la vérité et moi, votre Maman, je saurai qui est avec mon Fils Jésus et qui s'est éloigné de Lui par peur. Mes chers enfants, pouvez-vous par peur vous éloigner de Jésus Eucharistie? Non, car cela signifierait que vous n’avez pas accompli le chemin spirituel que je vous ai indiqué, au nom de Dieu. Je vous ai enseigné à aimer tous les hommes, mais surtout à aimer Jésus Eucharistie. L’Eucharistie qui a saigné, a été bafouée par les hommes d’eglise, qui a été considérée comme un morceau de pain et qualifiée de phénomène de foire. Vous rendez-vous compte mes chers enfants où nous en sommes arrivés? Quand j’ai dit à Fatima que Satan avancerait aux premiers rangs de l’Eglise, que les prêtres se dresseraient contre les prêtres, les évêques contre les évêques et les cardinaux contre les cardinaux, beaucoup d’ecclésiastiques ont pensé que cela ne se réaliserait pas. Au contraire, le message de Fatima se concrétise peu à peu et tous se rendent compte où en est arrivée l’Eglise et où en sont arrivés ceux qui n’aiment pas Jésus. Est-ce que cela vous coûte beaucoup d’aimer Jésus Eucharistie? Si vous entendez des personnes dire du mal du lieu thaumaturgique, ne les écoutez pas, comme je vous l’ai dit bien des fois, saluez-les et éloignez-vous. Si vous le pouvez, défendez la vérité, mais si vous vous rendez compte que vous ne pouvez rien faire, parce qu’on ne vous écoute pas, allez ailleurs et priez pour eux. Combien de fois ne vous ai-je pas dit que la prière et le Saint Rosaire sont des armes puissantes pour arrêter les guerres sur cette planète Terre qui continue à aller à sa ruine.
Il y aura encore une grande attaque de Satan, puis vous ressusciterez comme Jésus est ressuscité. Je vous ai enseigné à voir Jésus sur la croix triomphante. Il n'est pas mort en vain, mais est mort pour chacun de vous, il est le Roi triomphant du Ciel et de la Terre, des hommes de toutes races et religions. n’ayez pas peur de dire: "J’aime Jésus Eucharistie, et je vais dans le lieu thaumaturgique choisi par Dieu". Personne sur Terre ne peut vous interdire d’allez prier où vous voulez, les plus grands hommes de l’Eglise non plus; et pourtant ils l’ont fait, ils ont interdit aux hommes de venir prier dans ce lieu thaumaturgique et certains d’entre eux les ont écoutés. Priez pour ceux qui n'ont pas suivi l’appel de Dieu.
Mes chers enfants, c’est votre Maman qui vous parle, c’est votre Maman qui vous en supplie: aimez Jésus Eucharistie, non en paroles, mais en actions. Quand vous recevez Jésus dans votre coeur, bercez-le comme un petit enfant qui se trouverait dans votre sein; priez avec lui et aimez-le parce que tous les hommes de la Terre sont en lui. Merci de bien vouloir mettre en pratique ce que je vous ai dit. Vous devez avoir peur de pécher, pas d’aimer. Aimer Jésus Eucharistie est le plus grand cadeau que vous pouvez me faire.
Merci, mes chers enfants de votre présence. Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis les épouses de mon Fils Jésus ici présentes. Jésus voit enfin quelques unes de ses épouses. Je bénis les enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Rome le 17 janvier 1999, 10h30 (Lettre de Dieu)
Marisa - Je veux te recommander tous ceux qui ont fait appel à mes prières.
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Vous avez écouté le catéchisme, récité le Saint Rosaire et je suis maintenant ici avec vous pour vous apporter le message de Dieu. Dieu désire que vous ameniez ici les malades, le jour de la fête de Notre Dame de Lourdes, toujours s’ils le désirent. Ceux qui travaillent dans les hôpitaux, ceux qui connaissent des malades qui sont seuls à la maison, doivent faire de l’apostolat. Si Dieu a demandé qu’on le fasse, il en sait le pourquoi. Je désire que vous fêtiez ici chaque année la fête des malades, comme à Lourdes. Tous ne peuvent voyager loin; c’est pourquoi Dieu désire que la fête des malades soit également célébrée dans le lieu thaumaturgique; les malades physiques et psychiques. Quand le corps est malade, il est difficile de bien prier, mais si l'esprit est malade, tout devient encore plus difficile. Que ceux qui se portent bien essaient d’accueillir les malades avec beaucoup d’amour et de charité. Je sais, Marisella, que ce sera pour toi une journée encore plus dure, mais tu dois le faire.
Marisa - Oui, mais je ne me défile pas, je le fais, je le fais.
La Madone - J’aimerais maintenant vous dire quelque chose et j’aimerais beaucoup que ce soit pour la dernière fois. N'écoutez pas ceux qui disent du mal de ce lieu. Dites: " j’ai vu, j’ai cru, j'y vais prier Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit. J'y ai vu beaucoup de miracles, personne ne m'oblige à y aller ou à ne pas y aller, j'y vais parce que je crois"! Les grands hommes font beaucoup de discours, mais qui parmi eux parle d’amour, comme en parle mon Fils Jésus? Qui a donné sa vie comme mon Fils Jésus? Aimez-vous, mes chers enfants, n'écoutez pas ceux qui parlent avec méchanceté, pour offenser, par envie et jalousie. Cela suffit, parlons des choses de Dieu, de cette planète Terre qui court à sa ruine par la faute des grands. Ce que Dieu vous demande au fond, c’est de prier, d’aimer et d’accepter les petites croix. Je suis avec vous. Combien de fois dois-je vous le dire?
Je suis chagrinée, que vous ne lisiez pas les messages: si vous ne les lisez pas, vous ne pouvez pas les mettre en pratique. Le prêtre commente les messages, mais vous ne les lisez pas ou bien vous le faites à la va-vite. De même, quand vous participez à la rencontre biblique, vous ne lisez pas l’Evangile avant à la maison. Vous devez vous préparer, les choses de Dieu ne doivent pas être faites à la va-vite, mais calmement et en y mettant tout son coeur. Quand vous achetez un vêtement, vous l'essayez plusieurs fois et faites faire des retouches; gare s’il n'est pas parfait comme vous le voulez. Pourquoi ne pas faire de même avec les choses de Dieu? Lisez le Saint Evangile, lisez les messages de Dieu, méditez tout et allez à l'école du prêtre qui s’appelle aujourd'hui Claudio Gatti. Si vous lisez avant le passage de l’Evangile concerné, vous le connaîtrez et vous pourrez même alors demander des explications. C’est ce que Dieu veut: Arrêtez de lutter, de parler, il est temps maintenant de faire le vrai choix, il n'y a pas de demi-mesures dans la vie spirituelle, ou on est avec Dieu ou on est contre Dieu! C’est pourquoi je dis souvent: réveillez-vous de ce long sommeil. Il est temps pour tous de se convertir, ceux qui ne veulent pas se convertir en rendront compte à Dieu. Je vous répète en- core une fois que Jésus est miséricordieux. Mais à la fin, il sera également juste. Ne vous en remettez pas seulement à la miséricorde de Dieu, avancez parce que Dieu finalement sera juste, et jugera tous les hommes. Il ne vous demande pas de faire de grandes choses, mais de bien faire les choses ordinaires, les choses simples qui seront grandes ensuite aux yeux de Dieu. Soyez apôtres pour les malades. Merci de votre présence. Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Veux-tu me présenter la sainte famille, Marisella.
Marisa - Excuse moi, mais si tu vois tout, ne la vois-tu pas ? La voilà. Il y a ton époux bien-aimé Joseph.
La Madone - Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
N'oubliez pas de participer à la Sainte Messe comme si c'était la dernière de votre vie.
Marisa - Adieu.
Rome, le 24 janvier 1999, 10h30 (Lettre de Dieu)
Marisa - Je veux te remercier de l’apparition d'hier soir parce que tu nous as donné ainsi le courage d’avancer. Je veux également te remercier d’avoir fait grâce à Maria Teresa après mon offrande, nous attendons maintenant le miracle.
La Madone - Tu me l’as demandé, Marisella.
Marisa - Oui, maintenant je te demande grâce pour nous tous. Nous fais-tu grâce à tous ?
La Madone - Je fais tout ce que Dieu le Père me dit de faire; quand Dieu le Père me dit: "C’est le temps de grâce", je fais grâce.
Marisa - Alors j’en profite et je te demande grâce pour nous tous, nous en avons besoin, l’un pour une raison, l’autre pour une autre. Je te la demande également un peu pour moi, allons, je ne te demande pas grand chose. Ne me fais pas voir une autre fois toutes ces personnes, je ne veux pas les voir.
La Madone - Toi, en attendant, fais moi voir Jésus, doux Maître.
Marisa - Tu ne dois pas dire qu’il ne te plaît pas, parce qu’il est beau. Je te le dis, moi.
La Madone - Marisella, mais j’ai déjà vu Jésus, doux Maître. Son visage devrait être un peu plus grand.
Marisa - Eh alors fais voir Jésus à la femme peintre.
La Madone - Je bénis toutes les photos de mon Jésus. Merci à tous ceux qui ont coopéré dans le but d’aider mes deux enfants. Vous savez qu’ils ne reçoivent aucune aide, ni du Vatican, ni du Vicariat, ni de l’Etat, mais qu’ils font avec sacrifice tout ce qui plaît à Dieu.
Marisa - As-tu béni toutes les photos? As-tu béni celle-ci? Ne me dis pas qu’elle ne te plaît pas, parce que je fais faire ton tableau. Dis qu’elle te plaît. Jésus, doux Maître, vient d’arriver! Quelle différence, mon Dieu! Qu’est-ce que je fais maintenant? Mon Dieu! Oui, mais tu ne peux pas nous faire ça.
La Madone - Jésus est venu pour se faire voir de toi et pour vous encourager tous à embrasser la croix, la croix triomphante. Mes chers enfants, même la Maman désire plaisanter avec vous. Il se peut que les grands théologiens, les grands mariologues, les grands érudits ne comprennent pas ma façon d'être, de faire, de plaisanter et de m’amuser avec vous. Pourquoi devriez-vous seulement souffrir? Une maman veut également donner de la joie, plaisante avec ses enfants et je me permets de plaisanter avec vous.
Marisa - Permets, permets. Mon Dieu, que Jésus est beau. Tu es encore plus beau que l’autre fois.
La Madone - Mes chers enfants, nous vous aimons infiniment et nous aimerions que vous aussi, vous aimiez ceux qui vous sont proches et priiez pour ceux qui vous font souffrir. La Maman se répète souvent, parce que Dieu donne des messages qui se répètent afin de vous aider; et de temps à autre vous avez besoin qu’on vous pousse. Que fait une maman sur la Terre? Ne pousse-t-elle pas ses enfants à se convertir et à progresser? Croyez-moi, mes chers enfants, la conversion est très importante en ce moment, ne laissez pas passer trop de temps, il pourrait être trop tard. N'oubliez pas que ceux qui n'ont rien reçu, ne seront pas condamnés, ceux qui n'ont pas connu Jésus, sa vie et Marie, ne seront pas condamnés et vous devez priez pour eux. Priez beaucoup. J’ai fait une grâce au nom de Dieu, parce que votre soeur s'est donnée en offrande et a souffert; je ne demande pas à tous de faire de même, je demande seulement de prier. Ne vous lassez pas de demander des grâces. Des jours, des semaines, des mois, des années pourront s'écouler, mais si Dieu le veut, si c’est sa volonté, la grâce arrivera, comme la conversion arrivera. Ne vous acharnez pas contre vos enfants, mais parlez leur avec le coeur sur la main, n'en dites pas trop, mais peu et les mots justes et puis priez. Si vous avez des parents qui ne croient pas, pas dans les apparitions, mais ne croient pas en Dieu et surtout en Jésus Eucharistie, priez pour eux parce qu’ils peuvent ne pas avoir compris qui est Jésus Eucharistie si les hommes d’eglise ne leur ont pas appris. Priez non seulement pour vos êtres chers, vos amis, vos connaissances, mais aussi pour tous ceux qui en ont besoin, qui ont faim et soif de Jésus Eucharistie. Je suis apparue hier pour mes jeunes et je leur ai fait quelques reproches. Je n’ai pas eu de préférence envers les jeunes, parce que des adultes étaient également présents, mais en tant que maman, j’ai ressenti le besoin des les inviter à prier Jésus Eucharistie. Vous ne pouvez pas vous imaginer comme l’Eucharistie est outragée dans le monde entier. On l’outrage dans le monde entier par esprit de revanche et de vengeance parce que tant et tant ne croient pas en Jésus Eucharistie. Je vous demande seulement de réciter pour ceux qui ne croient pas: Gloire au Père, au Fils et au Saint Esprit, comme il était au commencement, maintenant et toujours, dans les siècles des siècles, Amen. C’est une petite prière simple qui embrasse tout: Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Demandez toujours de l’aide.
Je veux que mes prêtres se convertissent, que mes enfants bien-aimés, appelés par Dieu, se convertissent, que les représailles, la vengeance, la haine, l'envie et la jalousie cessent; Ce n'est pas ce que Jésus a enseigné, Jésus a enseigné l’amour et au Paradis vous ne rencontrerez que l’amour.
Merci de votre présence et de votre solidarité. Priez pour mes intentions qui deviendront ensuite les vôtres. Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets religieux. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ".
Marisa - Adieu. Alors tu as dit que si je te demande des grâces, tu les accordes à tous ?
La Madone - Si c’est la volonté de Dieu, Marisella, tu cherches toujours à m’attirer dans un piège.
Marisa - Non, non; tous ont besoin de grâces, alors je te les demande, non pour moi, mais pour les autres. d’accord? mais en premier pour le prêtre. Nous allons maintenant participer à la Sainte Messe.
Oui, mais si tu ne t’en vas pas, comment pourrais-je moi m'en aller? Pourquoi Jésus ne nous a t il rien dit? Il est parti en silence, mais il était magnifique. Tu parles et elle s'en va.
Don Claudio - Elle t’a dit au revoir.
Marisa - Oui,
Rome, le 28 janvier 1999, 17h00 (Lettre de Dieu)
La Madone - Vous avez finalement chanté le Magnificat, l'hymne à Dieu. Je sais que tu as fort envie de me confier tes peines, mais je te demande de me recommander tous ceux qui ont besoin d’aide.
Marisa - Si tu les connais, pourquoi dois-je te les recommander? Oui, je te recommande tous ceux qui demandent de l’aide, qui désirent ton aide, parce que tu es leur Maman, notre Maman et que tous ont besoin de ton aide: grands et petits.
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. La Maman se réjouit chaque fois qu’elle vient parmi vous et souffre, lorsqu’elle regarde autour d’elle, de voir tant d'inhumanité sur cette planète Terre. Les hommes continuent à courir sans savoir où aller et arriver. Vous vous étonnez que la Maman se répète chaque fois qu’elle apporte le message de Dieu? Regardez autour de vous, voyez-vous peut-être que quelque chose ait changé? Non, mes chers enfants, les hommes n'ont toujours pas compris qu’ils doivent se convertir, croire aux valeurs que Dieu a données, croire aux commandements, en mon Fils Jésus, Jésus Eucharistie; Jésus fait peur à beaucoup de personnes; mais qu’a-t-il fait? Il est mort pour chacun de vous, il est monté sur la croix et avant de mourir, il nous a laissé son Corps, son Sang son Ame et sa Divinité. Il n'est pas monté sur la croix pour se promener, il est monté sur la croix pour vous et tous les hommes de la Terre. Et quelle est la réponse? Quand il est monté sur la croix et a rendu l'âme, il pensait encore à vous, mes chers enfants, à la Résurrection, à vous rouvrir le Paradis, il n'est pas mort, puis est monté au Ciel, non, il vous est resté dans l’Eucharistie. Quand vous participez à la Sainte Messe, ne sentez-vous pas la vive présence de Jésus? Ne le sentez-vous pas battre dans votre coeur quand vous le recevez en état de grâce? Ne ressentez-vous pas le désir de lui parler, de lui demander son aide, de le cajoler, de l’aimer? Ne sentez-vous pas qu’il est avec vous? Souvenez-vous et je le répèterai infiniment, Jésus est avec ceux qui sont dans la grâce. C’est à vous de décider et de participer à la Sainte Messe en état de grâce. La Maman a dit: vous, laïcs, participez chaque fois à la Sainte Messe, comme si c'était la dernière de votre vie. Le prêtre, même s’il est seul, doit célébrer la Sainte Messe, parce que les prières ne se perdent pas, mais vont à l’Eglise et aux hommes d’eglise. Je vous invite à prier pour le Saint Père. Quelqu’un s'est scandalisé que la Madone ait dit que le saint Père doit finalement accomplir la volonté de Dieu. Le Pape aussi doit faire la volonté de Dieu; pourquoi le IIIème secret de Fatima n’a-t-il pas encore été révélé? Beaucoup de Papes se sont succédés, mais pourquoi aucun d’eux ne l’a révélé? Révéler le IIIème secret de Fatima, c’est faire la volonté de Dieu. Un simple prêtre ne peut le faire, une voyante ou une quelconque autre personne ne peut révéler le IIIème secret de Fatima, c’est au Saint Père qu’il revient de le faire. Il avait un nom par le passé et en a un autre aujourd'hui; ceci ne doit scandaliser personne. La Maman aide également le saint Père, et lui parle aussi. Le Pape ne veut pas révéler le IIIème secret de Fatima afin de ne pas inquiéter les créatures humaines, mais ceci n'est pas juste.
Je vous ai dit une fois "Le message que je vous ai donné aujourd'hui est la suite de celui de Fatima". J’ai alors prononcé ces mots: "L’Eglise se scindera en deux et des cardinaux s'opposeront à des cardinaux, des évêques à des évêques et des prêtres à des prêtres". Quand je vous apporte le message de Dieu, je sais fort bien ce que je dis. Vous, dans votre petitesse, apprenez à toujours faire la volonté de Dieu, abandonnez-vous toujours à Dieu. Il semble quasi impossible de s’abandonner à Dieu, mais cela donne la force de lutter, d’avancer et de regarder en avant. Mes chers enfants, abandonnez-vous à Dieu, faites sa volonté. Merci; n'écoutez pas seulement le message, mais mettez-le en pratique.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Aujourd'hui également, tu nous as tiré un peu les oreilles. Oui, d’accord, adieu.
La Madone - En tant que Maman du Ciel et de la Terre, j’envoie un baiser à grand-mère Iolanda, à tous les malades et à tous ceux qui souffrent. Adieu à tous, à bientôt.
Marisa - Adieu. Dois je refaire le signe de croix?
La Madone - Marisella, tu dois dire les paroles, tu ne dois pas parler lorsque tu fais le signe de croix.
Marisa - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen. Adieu. Don Claudio, elle est partie, elle m’a grondée.
Don Claudio - Tu le méritais.
Rome, le 31 janvier 1999, 10h30 (Lettre de Dieu)
Marisa - Je commence, je veux te recommander tous les malades, tu en sauves quelques uns et tu emmènes les autres, il est juste que ce soit ainsi, mais il faut d’abord les préparer.
La Madone - Marisella, est-ce que tu me fais le catéchisme?
Marisa - Non, non, je disais ainsi parce que je me suis rendue compte que lorsqu’albert est mort, lui et sa famille étaient préparés. L’as-tu amené aujourd'hui ici avec toi?
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Le froid est arrivé et j’essaie de vous réchauffer, afin que vous ne le sentiez pas. Mais si quelqu’un attrape la grippe, ce ne sera pas la faute de la Madone, car la grippe sévit actuellement. Les anges vous réchauffent en ce moment et vos anges gardiens vous assistent. Sens-tu le froid, Marisella?
Marisella - Un peu.
La Madone - Courage, mes enfants, les temps approchent et vous savez que les derniers coups de Satan sont toujours les plus durs, mais il s'écroulera ensuite parce qu’il n'est absolument pas intelligent de lutter contre Dieu. Vous qui avez parcouru ce chemin si beau, aimez Dieu et cherchez aussi à aimer votre prochain. Oui, ce sont les dernières attaques de Satan et elles sont très fortes; Satan tire parti de vos faiblesses. Je vous dis: ne laissez aucune faille ouverte permettant à Satan de s’introduire. Satan n’a pas aimé Dieu, il s'est enorgueilli, a gravement pêché par orgueil et a chuté; mais vous qui aimez Dieu, soyez prudents comme les serpents et simples comme les colombes. Quand vous entendez la Parole de Dieu, mettez-la en pratique, ne faites pas qu'écouter et oublier ensuite. Jésus a dit: "simples comme les colombes et prudents comme les serpents". Soyez prudents également en ne permettant pas à Satan d’entrer en vous. Vous savez tous que les derniers moments sont toujours les plus durs, intensifiez donc la prière. Lorsque vous avez fait la veillée, vous avez réjoui le Coeur de mon Fils Jésus. C'était très beau, même si l’un avait sommeil et s'est abandonné dans les bras de Jésus, a posé sa tête sur le Coeur de Jésus et s'est endormi. Jésus l’a aussi accepté. J'ose dire que la prière la plus belle et la plus ressentie, c’est justement la veillée. Les éclaboussures, la fatigue, l'horaire incommode, le renoncement à une sortie ensemble pour se divertir un peu se sont faits sentir, puis vous êtes sortis de la veillée, contents et heureux d’avoir tenu compagnie à Jésus, d’avoir aidé beaucoup de prêtres à se convertir. Ne les condamnez pas, mais aimez-les et priez pour eux. Priez pour le Saint Père que j’aime infiniment, mais ce n'est pas pour cela que je ne peux pas dire qu’il n’a pas fait la volonté de Dieu; ce n'est pas une condamnation, mais un reproche maternel, d’amour parce que la Madone aime le Pape.
Courage, mes chers enfants, le message se termine ici, de sorte que vous pouvez entrer vous réchauffer dans mon petit joyau, la chapelle de la Mère de l’Eucharistie. Participez bien à la Sainte Messe, écoutez-la et vivez-la de tout votre coeur. Merci de votre présence, merci des sacrifices que vous faites et pardonnez à la Maman d'oser souvent vous réprimander. Je salue les enfants, les malades et n'oubliez pas la journée des malades.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Oui, oui, adieu. Elle est partie.
Messages de Février 1999
Rome, le 4 février 1999, 17h05 (Lettre de Dieu)
La Madone - Tout ce que je viens de te dire, mon enfant, doit rester secret, c’est pourquoi je n’ai parlé qu'à toi. Je prends tes mains, mais je ne les serre pas, je les soulève et je t’aide. Recommande moi maintenant ceux qui recherchent l’aide de Dieu.
Marisa - j’en ai beaucoup à te recommander, et je ne sais pas par où commencer; mais je te recommande en ce moment Laura; tu sais de laquelle je parle, ainsi que tous les malades. Quand tu tiens ainsi mes mains, je n’ai pas de douleurs, je suis bien avec toi. Puis-je le dire au prêtre?
La Madone - C’est le grand secret.
Mes chers enfants, merci de votre présence. J’ai communiqué de grands secrets à votre soeur qu’elle doit garder pour elle pour le moment. Si le Pape fait la volonté de Dieu, elle devra lui en parler en premier, et à vous ensuite. Vous serez peut-être étonnés que la Maman s’adresse à un petit groupe de personnes, mais, comme je vous l’ai déjà dit, c’est à vous de répandre ailleurs le message de Dieu.
Beaucoup d'hommes ne connaissent pas Jésus Eucharistie. Souvenez-vous de ce que je vous dis: quand les messages parlent de l’Eucharistie, de Jésus Eucharistie, il s’agit de véritables apparitions de Jésus et de la Madone. Je parle toujours de Jésus Eucharistie, je ne peux pas ne pas en parler, je suis sa Maman et une maman parle de son fils, le loue, l'exalte et le porte en triomphe. Je vous demande la même chose; portez en triomphe Jésus Eucharistie. Quand vous le recevez dans votre coeur, conversez avec lui, parlez lui, bercez-le sur votre coeur; je le dis toujours, là où j’apparais. Mais où cela a-t-il été écrit? Il est difficile pour ceux que Dieu a appelés, de parler de Jésus Eucharistie. Si les messages de Dieu sont identiques pour tous, peuvent-ils différer en fonction de la personne qui les reçoit? Seuls le style et la formulation des messages peuvent varier. Il est si facile de dire: "La Maman m’a parlé de Jésus Eucharistie, répandons l’amour envers Jésus Eucharistie". Vous avez vous-mêmes constaté qu’on vous harcèle lorsque vous parlez de l’Eucharistie, mais les prêtres commencent peu à peu à comprendre, même s’ils ne sont pas nombreux, alors que Dieu en a appelé tant. Dieu a appelé beaucoup d'âmes consacrées à parler de l’Eucharistie, de Jésus Eucharistie, mais cela ne plaît pas à qui l'écoute.
Quand j’apparais à d’autres âmes, je leur parle toujours de l’Eucharistie, mais je n'entends pas qu’elles le répètent, je ne le lis nulle part! Elles parlent de miséricorde, de tremblements de terre, d'ouragans et d’autres choses, mais pas de Jésus Eucharistie. Un tremblement de terre, un ouragan et une tempête sont plus faciles à comprendre que Jésus Eucharistie. C’est pourtant fort simple, il suffit d’avoir la foi et on l’obtient avec humilité, simplicité, à l'écoute des autres et de ceux que Dieu a appelés. Les apparitions sont un don de Dieu et ceux qui les reçoivent doivent parler de Jésus Eucharistie. Vous devez être forts, courageux et n’avoir peur de personne. Aucun homme sur la terre ne peut vous interdire de parler de Jésus Eucharistie. Criez: "Vive Jésus Eucharistie!". Vous ne devez avoir peur de rien; il y a quelqu’un ici qui est prêt à mourir pour défendre Jésus Eucharistie, je ne vous le demande pas, je vous demande simplement d’aimer et de faire aimer l’Eucharistie.
Merci, mettez en pratique ce que la Maman vous a dit. N'oubliez pas que j’ai parlé aux voyants et leur parle toujours de l’Eucharistie, mais je ne le vois pas écrit dans les messages qu’ils diffusent. Vous voyez, vous n'êtes pas les seuls à être ridiculisés et abandonnés, Jésus et moi le sommes également.
Beaucoup se demandent avec dureté: "Qui est cette personne, pour qui se prend-elle? Pourquoi parle-t-elle de l’Eucharistie?". C’est une créature humble et simple telle que Dieu le veut: Aimez Jésus Eucharistie, recevez-le toujours, criez partout: Aimez Jésus, aimez l’Eucharistie, aimez la Mère de l’Eucharistie!", ce titre que m’a donné Jésus.
J’aurais tant de choses à vous dire; vous serez peut-être étonnés que la Maman parle à quelques personnes. Comme je vous l’ai déjà dit, ici il n'y a ni vallées, ni montages, ni plaines, mais un petit coin de Paradis; ceux qui n'y croient pas, c’est parce qu’ils ont peur!
Donne moi tes mains, Marisella: Je dois envoyer un baiser à grand-mère Iolanda, une grand-mère qui souffre continuellement dans son petit lit et au petit Jacopo; un jour, vous en comprendrez la raison. Aujourd'hui je veux vous donner un baiser et vous étreindre, vous tous ici présents, si vous êtes dans la grâce de Dieu. Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, de Jésus Eucharistie, du Saint Esprit.
Loué soit JésusChrist.
Marisa - Adieu. Don Claudio, elle est partie, elle me tenait les mains si délicatement.
Rome, le 7 février 1999, 10h50 (Lettre de Dieu)
Marisa - Je veux te recommander avant tout, tous ceux qui sont malades spirituellement et physiquement, tous ceux qui ont besoin de ton aide.
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence, merci de cette nouvelle initiative, si belle et agréable à Dieu. "Lave-moi, O Seigneur, et je serai plus blanc que la neige ". Comme la pure cire de la chandelle fond et se consume, vous de même, lavés par l’amour du Christ et de Jésus Eucharistie, vous serez toujours limpides, clairs, lumineux, plus blancs que cette simple chandelle, plus blancs que la neige. Jésus a approuvé cette idée si belle, si nouvelle, que seul pouvait avoir, celui qui aime Jésus et la Mère de l’Eucharistie.
La Maman vous remercie infiniment de votre présence. Mes deux enfants savent fort bien pourquoi peu de personnes viennent ici et en son temps, vous saurez, vous aussi, ce que les puissants peuvent faire contre des créatures simples et humbles. Mais je vous veux simples et humbles, parce que c’est seulement avec la simplicité et l'humilité que vous gagnerez le Paradis.
Les messages que Dieu me donne pour vous, sont grands et profonds, mais également fort simples et adaptés à vous tous. Jésus parle simplement, humblement et donne des enseignements importants; il n'est pas nécessaire d'être un grand érudit pour le comprendre et me comprendre. Dieu m'envoie parmi vous, comme son humble servante, pour vous apporter ses messages d'une simplicité unique, et vous pouvez tous les comprendre. De plus, le prêtre les commente de façon très approfondie et vous devriez méditer un peu sur ce qui a été dit.
L’amour de Jésus est immense. Il est mort pour tous, il est ressuscité pour tous et il aime tous les hommes, y compris les non-croyants et les hommes de toutes races et religions; il est Dieu et ne peut pas ne pas aimer une créature, parce que Jésus et moi, Marie, les aimons toutes. Comme un enfant, le petit Jacopo, l’a dit justement, il y a quelques jours, je ne suis pas la Madone, je suis Marie, la Maman de Jésus, mais je suis aussi votre Maman, la maman de chacun de vous.
Mes chers enfants, comme la chandelle se consume peu à peu, vous aussi, vous devez être toujours purifiés par la confession et recevoir Jésus Eucharistie dans la grâce. Aimez Jésus Eucharistie. Beaucoup d'hommes trahissent Jésus Eucharistie, ne le connaissent pas et beaucoup de prêtres ne le font pas connaître. Ne trahissez jamais Jésus Eucharistie! Quand une personne entre dans une église pour y prier ou participer de tout son coeur à la Sainte Messe, elle doit en sortir heureuse, parce que Jésus Eucharistie, les saintes paroles de l’Evangile et des lectures sont entrés dans son coeur. Je souffre beaucoup de la façon dont un grand nombre de prêtres procède à la consécration du pain et du vin; la consécration doit être faite lentement, doit être vécue. On doit procéder à la consécration du pain et du vin avec foi et amour. Vous devez sortir de l'église, convaincus que le prêtre suprême, le grand prêtre, celui qui a aimé tous les hommes, est entré dans votre coeur.
Jésus aussi vous remercie de cette si belle initiative, avant l’apparition, non parce que je viens, mais parce que Dieu, Jésus et le Saint Esprit m'envoient. Dites souvent: "Lave-moi, O mon Dieu et je serai plus blanc que la neige ". C’est un très beau psaume que nous récitons, nous aussi, devant Dieu. Nous récitons et chantons beaucoup de psaumes devant Dieu, parce que Son amour est immense, infini, si grand.
Vous êtes la lumière du monde. Quand votre lumière brille, ne la dissimulez pas, élevez-la le plus haut possible, pour qu’elle puisse être vue de tous. Haut les coeurs, haut la lumière, la lumière du monde; c’est pourquoi Jésus vous a dit: "Vous êtes mes petits apôtres", mais souvenez-vous, et je tiens à le répéter, sans sincérité, sans humilité et simplicité, vous n'obtiendrez rien, vous n’avancerez pas et serez toujours repliés sur vous-mêmes. Progressez avec force, courage, amour, humilité, simplicité et sincérité. Pardonnez-moi si la Maman a encore osé vous faire de petits reproches; mais je ne serais pas une maman si je n’agissais pas ainsi, n'est-ce pas? Je continuerai à vous faire des reproches, je ne me lasserai jamais de me répéter!
Merci de votre présence, merci à ceux qui sont venus de loin, merci à toi, mon cher prêtre bien-aimé, de l’amour que tu donnes au prochain et de tes initiatives inspirées par l’amour pour que tout devienne plus beau.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Je vous dis au 11 février, je serai ici avec vous et les malades, s’ils sont présents. Merci.
Marisa - Ils tiennent également une chandelle à la main. Regarde, Saint Joseph. Vous êtes purifiés et nous devons être purifiés. C’est bon, adieu.
Don Claudio, ils tiennent tous une chandelle à la main, la Madone est là, mais ne parle pas, elle est là avec tous ceux qui tiennent une chandelle. Pouvons-nous l'éteindre? Mais ils l’ont levée vers le ciel.
Don Claudio - Tant qu’ils ne l'éteindront pas, nous ne l'éteindrons pas.'
Marisa - Nous devons aller à la Messe.
(L’Enfant Jésus arrive)
Petit, as-tu 40, 41, 42, 43, 44 jours? Es-tu toujours avec ta petite main bénissante? C’est bon. Jésus nous bénit tous, un par un, et étend sa bénédiction aux malades, aux enfants, à tous ceux qui sont absents. Adieu. Ils sont tous partis maintenant.
Don Claudio - Et nous allons à la Messe.
Marisa - Et ils vont glorifier Dieu.
Rome, le 11 février 1999, 17h35 (Lettre de Dieu)
Marisa - Je veux te recommander tous les malades et tous ceux qui ont téléphoné pour me demander ton aide; nous avons tous besoin de ton aide et nous nous abandonnons à Dieu. Marie, va trouver Dieu et lui demander les grâces dont nous avons tous besoin.
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence, merci du sacrifice que vous avez fait de venir en ce lieu thaumaturgique. Je suis avec vous, je prie avec vous et je vous aime tous. Ouvrez votre coeur à Jésus Eucharistie et demandez-lui les grâces dont vous avez besoin. Le moment le plus important pour demander la grâce est quand vous recevez Jésus Eucharistie. Recevez le dans la grâce; ceux qui sont bien avec Dieu peuvent recevoir Jésus Eucharistie, ceux qui aiment Jésus Eucharistie peuvent le recevoir de tout leur coeur. Faites silence dans votre coeur, parlez à Jésus et demandez lui les grâces dont vous avez besoin, mais apprenez à vous abandonner à lui. Dieu a choisi ce lieu thaumaturgique pour aider les hommes. Vous savez combien la planète Terre a besoin de conversions, d'un changement total, de paix et d’amour envers tous, surtout envers ceux qui souffrent. Beaucoup souffrent par la faute de leurs propres parents, beaucoup d’autres par suite de l’incompréhension ou du manque d’amour de leurs amis ou proches envers eux. Moi, votre maman, je vous demande de prier aussi pour eux. Ils ont tous besoin de prières, parce qu’ils doivent tous se convertir et avec vos prières, vous devez changer cette planète Terre qui n'est pas belle. Vous savez combien de malheurs arrivent non seulement dans votre belle Italie, mais dans le monde entier; combien d'hommes tuent leurs enfants par l’avortement et aujourd'hui encore combien de Caïns tuent leurs propres parents parce qu’ils ne pensent qu'à l’argent et à être quelqu’un; ils n’aiment ni Dieu, ni leur prochain, ils n’aiment pas leurs proches et ne s’aiment pas.
Mes chers enfants, je demande avec vous les grâces dont vous avez besoin. Mon amour atteint aussi les malades éloignés, dans les hôpitaux, à la maison et les petits enfants. Les malades, surtout spirituels, sont si nombreux; c’est pourquoi la Maman demande toujours: "Convertissez-vous, croyez en ce que Jésus a enseigné, croyez au Saint Evangile.
La Maman vous demande maintenant de faire un peu silence. Je me recueille avec vous dans la prière et que chacun de vous demande maintenant les grâces dont il a besoin, demandez-les surtout lorsque vous recevez Jésus Eucharistie dans votre coeur, parlez-lui, bercez-le sur votre coeur et apprenez à prier les uns pour les autres, pour vos êtres chers, vos amis, vos parents. Mes chers enfants, avez-vous parlé avec Jésus? La Maman vous demande maintenant de participer à la Sainte Messe, et comme je vous l’ai souvent dit dans les messages, comme si c'était la dernière de votre vie. Mes baisers s’adressent naturellement à tous les malades; je suis votre Maman, je suis la Mère de Jésus Eucharistie. Beaucoup d’anges et de saints sont près de moi ainsi que Bernadette naturellement; j’ai également près de moi les âmes sauvées de vos chers défunts. Beaucoup prient pour vous et priez avec moi le Notre Père
Je lis dans vos coeurs vos soucis, vos angoisses: abandonnez-vous à Dieu, ne vous lassez jamais de lui demander son aide. Il y a beaucoup de tempêtes et d'orages, beaucoup de choses qui ne vont pas bien, mais vous, mes chers enfants, accrochez-vous à mon manteau et je vous porterai avec moi; mon manteau se déploie en ce moment sur chacun de vous. L’Enfant Jésus vous bénit tous, les enfants malades en particulier. Ne priez pas seulement pour ceux qui sont malades physiquement, mais aussi pour ceux qui le sont spirituellement et ceux qui ne croient pas. Combien de mamans pleurent pour leurs propres enfants. Priez pour eux.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis toutes les photos que vous avez sur vous, tous les malades qui sont loin, vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Elle est partie, mais elle reviendra pendant la Messe.
Rome, le 14 février 1999, 10h40 (Lettre de Dieu)
Marisa - Puis-je te dire que nos coeurs sont très tristes? Je te recommande tous les malades et mes enfants adoptifs. Es-tu triste, toi aussi? Non, il ne faut pas être triste, nous sommes ici nous qui aimons Jésus.
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. La Maman vous invite à respecter les lois de Dieu et à observer ses commandements. Ceux qui ne les observent pas offensent gravement Jésus: c’est un péché grave de ne pas observer la loi de Dieu. Même si des milliers d’années se sont écoulés, la loi de Dieu ne doit pas être mise de côté et doit toujours être respectée, mais les hommes ne respectent que ce qui leur convient. Si des commandements ne leur conviennent pas, ils ne les respectent pas: ces commandements n'ont été donnés ni par l’Eglise, ni par les hommes, mais par Dieu et ils doivent être respectés.
Combien de fois ne vous ai-je pas félicités et dit: "Bravo, courage, vous avez fait un pas en avant, continuez ainsi!". Mais il suffit d'une seule de mes caresses, d'un seul compliment de ma part pour que vous vous écrouliez et reculiez. Pourquoi cela arrive-t-il sur la planète Terre? Je sais, il y a les difficultés de la vie, mais mon Fils Jésus ne vous a jamais offensés et s'est donné totalement pour vous. Quand vous faites un pas en avant, pourquoi s'enorgueillir et se croire arrivés? Je n’ai jamais entendu dire votre prêtre ou votre soeur qu’ils étaient arrivés, je les ai seulement entendu demander des prières pour leur conversion. Personne n'est arrivé, seul Dieu est parfait, vous avez tous besoin de progresser et de vous aider mutuellement. Si vous ne vous entraidez pas, vous qui avez fait ce beau chemin, comment pouvez-vous dire que vous êtes arrivés, que vous êtes bien, que vous avez fait tout ce que la Madone a dit? Oh non, mes chers enfants, non ! Plut à Dieu que vous ayez fait tout ce que je vous ai dit.
Les messages de Dieu peuvent sembler simples, mais ils sont très profonds. Je vous ai dit par le passé qu’il ne fallait pas aider son prochain simplement de façon matérielle, parce qu’il est facile de donner de l’argent. Aider le prochain signifie faire preuve de charité par de bonnes paroles ou en allant rendre visite à un malade qui est seul et n’a personne. Je ne me suis jamais ménagée. Je n’allais pas à la rencontre des pauvres et des malades, en leur donnant de l’argent, car je n'en avais pas, mais j’allais leur parler, les réconforter et les assister avec mon époux Joseph; vous pouvez faire de même, vous aussi. Essayez de comprendre ce que la maman vous dit; Si vous avez quelqu’un de malade à la maison, vous ne pouvez allez rendre visite à d’autres malades, mais ceux qui sont libres comme l’air, qu’ils y aillent, qu’ils fassent de bonnes actions envers tous, sans faire de distinctions, sans attacher d'importance à l'âge, à la richesse ou la pauvreté, et surtout au fait que les maisons soient belles ou pas. Non, je ne vous l’ai pas enseigné, je vous ai enseigné d’aimer avec votre coeur et de prévenir; ceci fait également partie de la loi de Dieu.
Beaucoup d'êtres humains observent les lois de Dieu selon ce qui leur convient le plus, mais quand le respect de ces lois commence à devenir pesant comme celui du sixième commandement, ils ne l’acceptent plus parce que cela ne leur convient pas de le respecter, comme cela ne leur convient pas de respecter le troisième commandement: tu sanctifieras le jour du Seigneur. Combien de messages ne vous ai-je pas apportés. Combien de fois Dieu ne m’a-t-il pas dit "Marie, va porter ce message à mes enfants". Combien de fois ne suis-je pas venue parmi vous! Combien de personnes y ont répondu? Quand les hommes sont-ils venus dans ce lieu? C’est à vous d'y répondre. Il ne me semble pas que mon langage soit difficile à comprendre, je parle très simplement, parce que je m’adapte à la voyante et à vous. Votre maman n'emploie pas de mots compliqués, comme le font parfois les grands théologiens, les grands docteurs. Je parle avec simplicité et vous pouvez tous me comprendre.
Respectez la loi de Dieu, aimez-la surtout, ne vous enfermez pas dans votre coquille et si quelqu’un vous fait un petit reproche, un reproche maternel, remerciez-le parce qu’il vous a donné une preuve d’amour. Merci de votre présence ici, merci à ceux qui sont venus de loin, merci à toi, Don Claudio, du plus profond de mon coeur.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis grand-mère Iolanda. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Elle est partie, un peu triste.
Rome, le 18 février 1999, 17h10 (Lettre de Dieu)
Marisa - Jésus, tu es revenu?
Jésus - Oui, vous avez chanté le Magnificat et cela m’a donné de la joie; je suis venu parce que je veux faire ce Carême avec vous. Je porte la grande croix, et vous portez la petite. Il y a dans cette croix tout l’amour que j’ai donné pour tous les hommes. Je vous ai dit que vous ne deviez pas avoir peur de la croix ou voir en elle une humiliation, non, vous devez la voir triomphante. Quand vous entrez dans les églises, après m’a voir adoré, Moi, Jésus Eucharistie, allez devant la Croix, baissez la tête et dites: "Jésus, je veux t’aider à porter la Croix. Je veux t’aider sur ce long chemin". Beaucoup attendent ma venue et ne savent pas que ma venue est le triomphe de l’Eucharistie. Les hommes et surtout mes prêtres bien-aimés n’aiment pas l’Eucharistie.
J’ai porté la croix et tu vas la porter maintenant.
Marisa - Aujourd'hui encore? Mais doucement. Jésus je t’en prie doucement, doucement, je n'en peux plus, aide-moi si tu peux. Je veux t’aider Jésus, mais pas ainsi, pas devant les autres, je t’en prie. Tu sais, je n'en peux plus ? Je suis trop faible pour porter une croix aussi grande.
Jésus - Ce grand effort que tu as fait et la grande souffrance que tu as vécue sont pour mes prêtres. Nous sommes arrivés à cent sept. Force et courage, ma fille, parle avec ton Jésus.
Marisa - Tout me fait un peu mal, tu sais?
Jésus - Tu dois m’aider.
Mes chers enfants, je ne laisse pas votre soeur souffrir la passion, par plaisir, mais parce que mon Coeur saigne et que je désire avoir tous mes fils bien-aimés, tous mes prêtres, auprès de moi. Oh, combien d’entre eux n’aiment pas l’Eucharistie; ne croient pas que Jésus soit présent avec son Corps, son Sang, son Ame et sa divinité dans l’Eucharistie et que Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit soient dans l’Eucharistie! Je vous ai tous aimés, mais j’ai surtout aimé mes chers prêtres bien-aimés, et c’est pourquoi je vous ai demandé d'offrir la journée du jeudi pour les prêtres. Je me répète, aimez mes prêtres. Si vous notez en eux quelque chose qui ne va pas, dites le leur avec charité ou taisez-vous et priez pour eux.
Vivez ce saint Carême avec amour pour les autres, aimez votre prochain, même si parfois, il ne se conduit pas bien. Aimez et priez pour eux. Je vous aiderai à porter la croix.
Marisa - Tu m’aides aussi un petit peu? Parce que j’ai tant de douleurs.
Jésus - Merci, mes chers enfants, de votre présence. Ensemble avec mon prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés.
La Madone - Mes voeux à tous et un saint Carême.
Mairsa - Maintenant je dis d’abord au revoir à Jésus et puis toi, qui es arrivée après. Oui, parce que nous avons la Sainte Messe. Adieu. Don Claudio, ils sont partis.
Rome, le 21 février 1999, 10h40 (Lettre de Dieu)
Marisa - Tu es venue encore une fois nous rendre visite? Nous t’avons tant attendue; J’ai, aujourd'hui plus que jamais, tant de personnes à te recommander, beaucoup de malades de notre communauté, allant du grand Giovanni au petit Jacopo. Que sa fièvre ne monte pas si haut. Je te demande également de l’aide pour nous tous ici présents, pour tous ceux qui ont fait appel à mes prières. Toi, petite Madone, tu peux tout faire, cours vers Jésus et demande lui les grâces dont nous avons besoin, toujours si c’est la volonté de Dieu.
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Merci des prières que vous faites continuellement pour la paix, le triomphe, toutes les intentions que vous avez dans vos coeurs. Paix aussi à ceux qui ne savent pas aimer. J’avais déjà lu l’article avant qu’il ne soit publié. Pauvres d’eux-mêmes! Le monde court à sa ruine et ils s’amusent à écrire et ne savent pas qu’ils combattent Dieu. Ils peuvent détruire l'homme de Dieu, mais pas Dieu. Je vous ai enseigné l’amour, à aimer tous les hommes, même ceux qui font souffrir. Je vous aime, mes chers enfants, Jésus vous aime. Quand vous étiez encore dans l'esprit de Dieu, Il vous aimait; son amour est immense pour tous, pour toutes les races et religions, les croyants et non croyants. Je me répète à nouveau; ceux qui laissent le plus à désirer sont ceux qui disent être croyants, disent aimer, mais ne savent pas aimer ou ne veulent pas aimer. On disait autrefois "Oeil pour oeil et dent pour dent", mais Jésus a dit: si l’on vous frappe, tendez l’autre joue. Mais ceci ne veut pas dire que le vrai chrétien doit toujours baisser la tête et dire non quand c’est oui ou oui quand c’est non.
Mes chers enfants, vous êtes-vous rendus compte combien il est difficile de parler à ceux qui se disent pratiquants, croyants et manquent à l’amour, le vrai, celui que Dieu a enseigné en envoyant mourir son Fils? Souvenez-nous, la mort vient avant la résurrection, la défaite avant le triomphe. d’autres attaques de Satan auront encore lieu. Il n'est pas difficile à un homme puissant de faire appel à quelqu’un et de lui ordonner: "Ecris contre ce petit prêtre". Ces hommes ne sont pas de Dieu, mais contre Dieu; les humbles les simples, les pauvres iront jouir de Dieu pour toujours.
Je vous ai enseigné l’amour, mais vous trébuchez encore sur ce point, vous écoutez et puis vous oubliez tout ce que la Maman vous a dit, tout ce que Dieu vous a dit parce que c’est Dieu qui me donne les lettres que je vous apporte. j’entends souvent dire que la Madone se répète et je vous demande encore aujourd'hui? Avez-vous peut-être changé ? Je me répète, le prêtre se répète, mais nous le faisons pour la gloire de Dieu et le salut des âmes. Il y en a qui se répètent, mais qui n’aiment pas Dieu, n’aiment pas les âmes; ce qui est grave. Ne dites pas de petits mensonges, parce le mensonge conduit à la calomnie; ces péchés continuent malheureusement depuis des siècles. Vivez en paix, dans la simplicité, la sincérité, en harmonie avec vous-mêmes, avec Jésus Eucharistie que vous allez recevoir d'ici peu dans votre coeur, recevez-le dans la grâce. Jésus a dit: "J’ai soif de vous, donnez-moi à boire; J’ai soif de votre simplicité, de votre sincérité, de votre amour". J’ai soif moi aussi, donnez-vous à moi et je vous ferai grands aux yeux de Dieu.
Priez de tout votre coeur pour que le triomphe de l’Eucharistie se réalise pleinement, parce qu’il a commencé avec beaucoup de persécutions, de calomnies et de diffamations. La purification s'est intensifiée: les inondations, tremblements de terre, avalanches, incendies continuent, mais les hommes regardent et ne se convertissent pas, car ils pensent que la purification n’arrivera pas pour tous, mais elle arrivera pour tous d'une façon ou d'une autre.
Merci, mes chers enfants, d’essayer de mettre en pratique ce que la Maman vous a dit, n'écoutez pas seulement les messages, mais mettez les en pratique et méditez les. La Maman te bénit grand-mère Iolanda, toi qui, après des mois et des mois, es ici pour la première fois de nouveau parmi nous; merci à Dieu que tu sois ici. Merci pour tes prières, tes souffrances, merci pour tout. Merci à vous tous, merci à ceux qui ont fait des sacrifices pour venir ici, ayant des problèmes de famille, d'éloignement, de voiture, ou d’essence comme je l'entends dire. Mais tout ceci ne vous a jamais manqué? Croyez-vous en la Providence? Mes enfants y croient parce que cela fait 28 ans qu’ils vivent de la providence. Ne vous découragez pas, mais vivez de la Providence de Dieu, parce qu’elle existe.
Marisa - J’ai reconnu quelqu’un, mais je ne me sens ..
La Madone - Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Ce manteau se déploie toujours sur chacun de vous. Allez, je ne dis pas dans la paix, mais participer à la sainte Messe, comme si c'était la dernière de votre vie, et pour le prêtre, comme si c'était la dernière qu’il célébrait, donc avec tout votre amour et dans la grâce. Et vous mes petits enfants, courage avec le journal, mais avec amour. Merci.
Marisa - Adieu.
Elle est partie, Don Claudio. Beaucoup d'âmes sauvées étaient auprès d’elle. J’ai vu Mauro.
Don Claudio - Dis-le après à sa maman.
Marisa - Cela me gêne.
Rome, le 28 février 1999, 10h45 (Lettre de Dieu)
Marisa - Je vois que tu arrives avec le sourire.
La Madone - Oui, vous êtes revenus dans le premier lieu où j’apparaissais et c’est très beau. Marisa - Ecoute, pourrais-je te recommander tous ceux qui ne vont pas bien? Je ne te dis pas leurs noms parce qu’ils sont nombreux, mais tu sais de qui il s’agit et tu peux intercéder mieux que quiconque auprès de Dieu. Je te recommande tous ceux qui sont malades, enfants et adultes, il y en a beaucoup qui sont malades en ce moment, tu sais?
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Le message de la Maman est bref, mais très important: qu’est-ce que l’Eucharistie? Vous avez souvent entendu parler de la transfiguration et transsubstantiation et il est probable que ces termes ne soient pas connus de tous, mais ils vous invitent à chercher Dieu qui se trouve dans l’Eucharistie: Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit se trouvent dans l’Eucharistie, c’est pourquoi la Madone vous dit souvent: allez vers "Jésus Eucharistie".Ne cherchez pas de grands mots pour parler de Jésus ou comprendre Jésus. Il est présent avec son corps, son sang, son âme et sa divinité dans l’Eucharistie. Vous l’avez compris, parce que ceux qui viennent souvent dans le lieu thaumaturgique, y viennent pour prier devant Jésus Eucharistie. Jésus Eucharistie qui a versé du sang est ici et Jésus Eucharistie est toujours présent dans tous les tabernacles du monde. Ne cherchez pas Dieu dans les nuages, ne cherchez pas Jésus dans un lieu ou dans un autre, ou n’attendez pas que le Saint Esprit descende du Ciel; vous trouverez tout dans Jésus Eucharistie et vous y trouverez la vertu la plus importante, l’amour.
Ce qu’amour signifie n'est peut-être pas bien compris: Il signifie également se réjouir du bonheur des autres, se réjouir que certains possèdent des dons et peuvent ainsi aider leur prochain, se réjouir de tout. C’est peut être aussi éprouver une jalousie, celle qui est belle comme le dit Marisella, en reconnaissant que les autres sont meilleurs et en s'efforçant de les imiter dans le bon sens du terme. Je répète que la jalousie conduit à l'envie, l'envie à la calomnie et à la diffamation. Il n'est pas possible que mon Jésus soit mort en vain.
Même les voyants ne se conduisent pas bien, ils oeuvrent seulement pour leur petit jardin, et se sentent blessés surtout si on leur fait des reproches. C’est un moment très difficile, plus difficile que d'habitude, parce que non seulement on s’acharne contre vous, mais parce que le monde entier va mal. Il vous semblera étrange que la Maman se penche vers vous et implore votre aide, mais vos prières et sacrifices ont déjà obtenu beaucoup de grâces, ne vous lassez pas de prier, mais faites-le dans la grâce, recevez Jésus dans la grâce. Comme on nourrit son corps plusieurs fois par jour, il faudrait nourrir son âme encore plus, mais ceci n'est pas compris, même mes prêtres bien-aimés ne le comprennent pas et les voyants non plus. Ils se rendent ici et là, rencontrent des gens, parlent de choses et d’autres, mais pas de l’Eucharistie. Non, mes chers enfants, aimez l’Eucharistie, ne vous lassez jamais d’en parler et de l’aimer. Je voulais vous donner un tout petit message, mais quand la Maman commence à parler, elle se comporte comme quelqu’un qui lorsqu’il parle ne se rend pas compte du temps qui passe, puis j’arrive en retard et vous m’attendez avec simplicité et humilité.
Souvenez-vous: La Transfiguration et la Transsubstantiation, c’est trouver Jésus dans l’Eucharistie, tout y est, il n'y a pas d’autres mots pour l'exprimer.
Tous mes voeux à tous, tous mes voeux aux malades. Merci à ceux qui ont aidé mes deux enfants, ce merci vient du fond du coeur de la Maman du Ciel et de la Terre.
Marisa - Que se passe-t-il maintenant? Je vois Jésus tout vêtu de blanc, tout lumineux et qui s'élève, s'élève. Mon Dieu, que c’est beau, Je ne pensais pas que vous me le feriez voir ainsi aujourd'hui. Non, ne me dites pas que je dois dessiner Jésus ainsi, parce que la personne qui fait les dessins me battra. Je lui demande toujours quelque chose et ensuite ton visage n'est jamais réussi. Si tu te fais voir, nous te prendrons en photo, c’est ce qu’ils m'ont dit et ils te peindront ensuite.
La Madone - Mes chers enfants, Jésus est devant vous, levez les bras vers le ciel et criez avec moi: Notre Père ...
Marisa - Que c’est beau! Il y a Pierre, Jacques et Jean, Moise et Elie près de Jésus. Tout est très beau et lumineux.
La Madone - Mes chers enfants, je vous dis encore une fois: "Participez à la Sainte Messe, comme si c'était ..
Marisa - La dernière de votre vie
La Madone - Je n’ai pas besoin de te le dire, Don Claudio, fais aimer Jésus Eucharistie comme toujours.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers, tous les malades, petits et grands. Bienvenue, Jacopo. Grand-mère Iolanda, c’est la deuxième fois que je te vois et j’en ressens beaucoup de joie. Merci, grand-mère Iolanda, pour ce que tu fais, merci.
Je bénis vos objets sacrés, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ".
Marisa - Adieu, c'était très beau, merci petite Madone, merci.
Messages de Mars 1999
Rome, le 14 Mars 1999, 11h15 (Lettre de Dieu)
Marisa - Je veux te recommander tous ceux qui sont venus en ce lieu.
Voilà, ceci est ta vie.
Marisa montre le livre de la vie de la Mère de l’Eucharistie qui lui a été dicté par la Madone elle-même.
Il a béni le livre. Pourrais-tu me donner un peu de voix?
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. La Maman ne vient pas juste d’arriver, mais a vécu depuis des jours et des jours parmi vous afin de contrôler vos travaux et de vous aider chaque fois que le démon est apparu pour les détruire. Mes chers enfants, mes petits apôtres, vous avez cherché avec beaucoup de force et de courage et surtout beaucoup d’amour, à boucher les brèches ouvertes par le démon. Je vous ai suivis pas à pas. Vous ne l’avez pas remarqué, vous n’avez pas senti mon parfum? J’ai été tous les jours avec vous et vous avez fait plus qu’une neuvaine de sacrifice, de souffrance, de travail et surtout d’amour. j’espère que vous avez réalisé que lorsqu’il y a l’amour, il y a tout et que tout réussit, comme ce chef d'uvre que mes yeux ont vu croître de jour en jour. Toutes mes félicitations, vous avez réalisé un chef d'uvre. Votre prêtre a raison quand il dit que: "La basilique Saint Pierre est au Vatican et la petite basilique de la Mère de l’Eucharistie ici". Tout est magnifique: les rayons, le désert qui fleurit, la croix, mais la plus grande merveille est d’adorer Jésus Eucharistie qui a versé son sang et trône maintenant parmi vous.
Mes chers enfants, vous avez donné tant de joie à mon Coeur! J’aimerais vous énumérer tout ce que vous avez fait par amour de Jésus et de votre évêque: il le mérite vraiment parce qu’il aime tant les âmes. Il est toujours prêt à tout, à courir d'un malade à l’autre, à aller contrôler les travaux, à courir toujours et partout pour simplement aider le prochain. Tous ne sont pas à même de comprendre la grandeur de son sacerdoce et avec quel amour et quel sacrifice il le vit. s’il n’avait pas une victime à ses côtés, il n'y arriverait pas tout seul; il a eu la victime et a reçu amour et générosité, de vous en particulier mes chers jeunes gens. Tu as été brave, Filiberto et ton épouse aussi. Vous les jeunes, en particulier les chefs, vous avez vraiment beaucoup donné.
La Maman désire maintenant que vous participiez de tout votre Coeur à la Sainte Messe, en particulier ceux qui viennent de loin et ont montré leur amour envers le prêtre. L'été dernier, ils l’ont vu se dépenser pour les malades, les jeunes, les adultes; il a toujours tout donné sans jamais rien demander.
Mes chers enfants, Dieu a demandé à quelqu’un l’immolation totale et ce quelqu’un lui a dit oui totalement. Pensez-vous que ceci ne serve à rien? Pensez-vous que Dieu n'est pas intervenu pour convertir d’autres prêtres? 199 prêtres, 7 religieuses, 7 moines, 7 laïcs se sont convertis. Ceci est la plus grande joie pour le prêtre, pour vous tous et pour moi qui suis la Mère de l’Eucharistie, votre Maman qui vous aime immensément. Beaucoup disent qu’il est difficile de suivre le chemin spirituel de la Mère de l’Eucharistie, parce qu’il est très absorbant. C’est vrai, mais quand il y a l’amour, tout devient plus facile, n'est-ce pas Patrizia.
J’aimerais rester avec vous toute la journée, mais comme je ne mange pas, je ne participerai pas au déjeuner; mais je serai avec vous pour aider votre sur et vous aider tous. Je sais que ceux qui ont voyagé ont du mal à rester éveillés, mais je veux vous secouer: soyez éveillés et participez à la sainte Messe.
Mes chers enfants, merci du fond du coeur et un grand merci de la part de mon fils Jésus, merci à tous.
Jésus - C’est moi Jésus. Je suis venu vous faire mes compliments pour tout ce que vous avez réalisé spirituellement et matériellement. Merci pour la très belle décoration: ces rayons qui descendent, le désert qui fleurit; merci pour le tableau avec les colonnes, mais quelqu’un manque sur la colonne. Pourquoi a-t-il été enlevé? Marisella n’a pas vu seulement ce qui est représenté sur le tableau; il y manque un personnage très important pour Moi et la Maman du Ciel, il y manque celui qui a vraiment fait de son sacerdoce un grand désert fleuri. Il n'y est pas, il y a seulement des fleurs, des fleurs et des fleurs. Pourquoi ?
Marisa - Je ne sais pas, je n'y étais pas, j'étais à l'hôpital; mais ne pouvons-nous pas respecter son désir?
Jésus - C’est bon, j'obéis, maintenant, moi aussi au prêtre. Ce tableau est très important, vous n’avez pas réussi à le comprendre. Déjà hier, le prêtre n'était pas bien et n’a pu donné tout ce qu’il aurait pu donner; ce matin aussi, il ne se sent pas bien. Vous, qui êtes tous frères, cherchez à comprendre et à aimer. N'oubliez pas, Jésus vous le répète encore aujourd'hui, 14 mars, jour de la grande fête du sacerdoce et du prêtre; apprenez à aimer, puis priez! Merci, mes chers enfants, vous avez donné de la joie à mon Coeur qui saigne souvent à cause des hommes; merci à tous pour le chef d'uvre. Moi, Jésus, je bénis le prêtre; Je suis en lui et lui est en Moi et la victime est avec nous. Adieu à tous, à bientôt au moment de la consécration, vivez la bien!".
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence.
Marisa - Oui, je lui dirai ensuite que Saint Joseph est également présent.
La Madone - Ensemble avec le prêtre, je vous bénis tous et j’envoie un baiser aux enfants; mes baisers et mon étreinte s’adressent également à grand-mère Iolanda, qui souffre, elle aussi, énormément. Marisella, montre moi les objets sacrés.
Marisa - Tu t’en es souvenue. Ce ne sont pas les miens. Dois-je les ouvrir? Je sais que tu les as déjà vus, mais je me donne la peine de les ouvrir. La Madone est curieuse, elle veut voir ce qu’il y a à l’intérieur. Ce sont les sept dons de l’Esprit Saint, les sept oeuvres de miséricorde corporelles et spirituelles, les trois vertus théologales plus les quatre vertus cardinales. Don Claudio nous a tout trouvé, même la candeur et la pureté. Ne t’en va pas si vite, parce que je veux également te faire voir le petit journal.
La Madone - Mais je ne suis pas pressée, Marisella.
Marisa - Ne parle pas tout haut de cela, parce que Yari ne le sait pas; c’est une surprise. Lui et Laura sont fiancés depuis un an, mais tu te tais.
La Madone - Oui, Marisella, je me tais, mais toi tu as parlé. Je veux pour vous deux quelque chose qui vous distingue de tous les autres, quelque chose de plus grand, d'identique et de blanc.
Marisa - Don Claudio, la Madone désire que tu fasses ce qu’elle dit, parce que tu as déjà voulu retirer quelque chose du tableau, mais ceci tu dois le faire. Cet autre cadeau doit être de Giacomo.
La Madone - Montre-moi maintenant le petit journal, Marisella. C’est un chef d'uvre aussi; mes chers petits apôtres, vous avez travaillé dans la souffrance et au milieu de bon nombre de difficultés. Vous avez vraiment réalisé une merveille, vous avez été braves, bien que très fatigués.
Marisa - Attends que je te fasse voir quelque chose. Regarde comme tu es, tu es comme moi. Regarde!
La Madone - Oui, Marisella, tu as raison parce que celui qui compte, c’est le prêtre. Tu sais que le prêtre doit toujours dominer; ce prêtre vit son sacerdoce au maximum et il mérite donc tout et doit toujours dominer.
Marisa - Et je le fais dominer. Regarde ici, est-ce que cela te plait ?
La Madone - Enormément; merci mes chers petits apôtres, merci. Je sais les difficultés que vous avez rencontrées; la course jusqu'à tard dans la soirée, la fatigue, les grognements de certains parents, mais vous, imperturbables, vous avez mené votre mission jusqu’au bout. C’est un très beau chef d'uvre, merci. Ce petit journal est très important, comme ma vie que vous apprendrez ainsi à bien connaître. Mais ne me critiquez pas et ne négligez pas les messages de Dieu, lisez-les vivez-les.
Mes chers enfants, avec mon époux bien-aimé Joseph, l'enfant Jésus, les anges et les saints, je vous serre tous sur mon coeur. C’est Saint Tharcisse, Marisella. Je ne vous dis pas, allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit, mais, vivez la sainte Messe, participez de tout votre Cur à la sainte Messe et toi, Don Claudio, célèbre la comme si c'était la dernière de ta vie, dans cette Basilique de la Mère de l’Eucharistie. Regardez les rayons qui descendent et font fleurir le désert; tout est beau, tout a été fait avec amour, n'est-ce pas, Luca et Yari? Vous avez tous travaillé, vous les jeunes, et vous avez réjoui mon Cur; merci, mes chers enfants; je suis très, très émue, merci encore. Tous mes vux à tous.
Marisa - Resterez-vous ici pendant la Messe ?
La Madone - Oui, mais tu ne dois pas te fatiguer, Marisella.
Marisa - Adieu.
Rome, le 19 Mars 1999, 18h35 (Lettre de Dieu)
Saint Joseph - Disons le Je vous Salue Marie pour ma et votre Maman, pour mon épouse bien-aimée. Je vous Salue Marie .
Mes chers enfants, merci de votre présence. Même si vous n'êtes pas nombreux, moi, Joseph, je suis venu parmi vous, au nom de Dieu. Que pouvait faire Joseph, un charpentier, de plus qu'écouter la parole de Dieu et la mettre en pratique? C’est ce que Dieu m’a demandé; il vous demande la même chose et je vous apporte son amour de tout mon coeur. L'uvre de Marie et de Joseph continue; il y a beaucoup de couples appelés par Dieu: un prêtre et une laïc, deux fiancés, deux époux, le petit Jacopo, tous sont appelés pour cette belle uvre de Dieu.
Quand Jésus a dit: "Venez à moi, vous tous qui êtes affligés et chargés et je vous soulagerai", il ne l’a pas dit tant pour le dire, que pour vous alliez lui demander ce dont vous avez besoin. La tempête est forte, la souffrance est grande, mais l’amour de Dieu envers tous est immense.
Aimez Dieu, aimez les hommes de Dieu et ceux qui souffrent. J’ai aimé dans le silence, l'humilité et le secret; vous tous devez aimer, vous tous êtes appelés à quelque chose de grand aux yeux de Dieu. Ne vous repliez pas et ne pleurez pas sur vous-mêmes, mais plutôt sur vos enfants qui ne connaissent pas Dieu et ne l’aiment pas.
Moi, Joseph, je suis venu, presque timide, parmi vous. Mon épouse bien-aimée est ici à côté de moi. Elle vous regarde et porte l’Enfant Jésus qui vous bénit. L’Esprit Saint, les anges et les saints et moi, l'humble Saint Joseph, nous sommes ici pour vous apporter le message de Dieu et encore aujourd'hui, je vous répète: convertissez-vous et croyez en l’Evangile, à la Parole de Dieu, aux commandements et aux sacrements. Vous trouverez en eux la vie, l’amour et la joie. Courage, mes chers enfants, Jésus semble avoir échoué, mais il a vaincu le monde, vous semblez avoir échoué, mais vous avez vaincu le monde. Marisella, tu es encore ici sur la Terre à te battre; tu ne dis rien?
Marisa - Il vaut mieux que je me taise, parce que j’aurais tant de choses à te dire. J’aimerais te demander une chose; est-ce qu’il est d'usage au ciel de compter les années. Nous sur la Terre, nous sommes en l’an 1999, et vous au Ciel en quelle année êtes-vous ?
Saint Joseph - Tu as raison, Marisella, mais vous ne devez pas manquer de confiance en Dieu; quand Dieu promet une chose, il la tient. Les temps de Dieu ne sont pas les temps des hommes, ne vous découragez donc pas. Bienvenue, Marisella, dans le monde des vivants, sur la planète Terre.
Marisa - J'étais vraiment bien là-bas.
Saint Joseph - Essaie maintenant de chanter avec moi.
(Marisa chante avec Saint Joseph le cantique "Ferme est mon Coeur")
Marisa - Cela m’impressionne de chanter avec toi, tu as une voix de ténor. C’est bon, merci.
Saint Joseph - Mes chers enfants, c’est ainsi qu’on agit, jouit de tout, se réjouit de tout. Je n’ai pas chanté avec votre soeur pour le simple plaisir de chanter, mais pour vous faire comprendre qu’il n'y a pas de moments tristes et sombres au Paradis, que tout y est amour et la joie grande, immense. Vous sur la Terre, bercez Jésus quand vous le recevez dans la Sainte Communion.
Mes vux à tous, mes voeux à ceux qui portent le nom de Joseph, ainsi qu'à tous les papas et futurs papas. Mes vux à Jacopo. Jacopo viens voir la petite Madone qui te regarde. Elle te regarde, Jacopo, la vois-tu?
Mes chers enfants, merci de votre présence. Aimez le prêtre, aidez-le, car il est dans la vérité et vous fait aimer Jésus et Marie".
La Madone - Moi, votre Maman, avec mon époux bien-aimé, le petit Jésus et le prêtre, je vous bénis et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel.
(Marisa embrasse Jacopo, Laura, grand-mère Iolanda, Yari, Laura et Don Claudio, puis prend Jacopo dans ses bras)
Marisa - C’est ma force. Jacopo, regarde la petite Madone qui te dit adieu.
La Madone - Merci, mes chers enfants, participez de tout votre Cur à la Sainte Messe, priez pour chacun de vous, pour mon prêtre et pour Marisella, afin que le Seigneur leur donne la force de tout accepter et supporter.
Priez pour grand-mère Iolanda, une femme qui souffre sans arrêt chaque jour, mais accepte la souffrance. Adieu à tous, participez bien à la Sainte Messe. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu, adieu à tous. Ils sont tous partis.
Rome, le 24 mars 1999, 22h40 (Lettre de Dieu)
La Madone - Mes chers enfants, bien que la guerre qui sévit soit dure, pleine de vengeance, de ressentiment, de luttes entre les partis, les régions et les états, pleine de haine particulièrement à l'égard des enfants, des vieux et des femmes, les hommes ne se sont pas précipités dans les églises, devant Jésus, ne se sont pas traînés à genoux devant l’autel, pour y demander pardon et paix. Personne n’a recueilli le cri du Saint Père: "arrêtez la guerre". Seuls de petits groupes ont prié, même la télévision catholique "Telepace" (Remarque : télévision du Vatican) n’a pas organisé de prières pour la paix, et seulement diffusé ses programmes habituels. La vengeance, la haine, la division et lutte entre les partis, le fratricide, le suicide et l'homicide continuent; l'homme est pire qu’une ordure et Dieu a créé cet homme.
Oh, si même cette guerre ne parvient pas à convertir les hommes, à les amener à la prière et à Jésus Eucharistie, qu’arrivera-t-il demain? Qu’arrivera-t-il dans les jours à venir? Combien ont répondu à mon invitation ? Oui, vous avez organisé la veillée pour la fête de la Mère de l’Eucharistie, mais il y a la guerre, une guerre effroyable s'est déclarée. Je le répète, une guerre pleine de haine, de vengeance, de ressentiment, dans le but de dominer et d’accroître son pouvoir.
Qu’a fait le fils de Dieu? Qu’a fait la créature de Dieu? Je n’ai entendu pratiquement personne parler et prier pour la paix dans le monde. Vous ressentez cette guerre parce qu’elle n'est pas loin de vous, mais beaucoup de nations sont en guerre. Beaucoup ont peur du froid, de la fatigue, du travail, mais je peux vous dire que Dieu vous a toujours aidés quand vous avez fait des sacrifices.
Réveillez-vous de ce long sommeil. Il est temps de vous réveiller, de vous convertir vraiment, de faire la paix, la paix véritable! Ce sont tous mes enfants; je vois les petits enfants, les vieux, les femmes épouvantées, effrayées, flagellées, martyrisées et je vois tant d'insensibilité dans le monde; les hommes disent: "La guerre ne nous touche pas encore, restons tranquilles". Non, mes chers enfants, priez, priez, priez pour la paix dans le monde.
Si vous voulez fêtez demain la Mère de l’Eucharistie, faites-le en priant, en vous convertissant, en les aimant tous, même ceux qui sont méchants, vindicatifs, odieux. La Maman désire en cadeau que vous veniez dans ce lieu thaumaturgique pour y prier pour la paix dans le monde. Bonne nuit à tous au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit".
Marisa - Merci. Les autres ne savent pas ce que j’ai fait, parce qu’il est bon que je le garde pour moi, mais je ne peux pas davantage. Adieu.
Rome le 28 mars 1999, 11h20 (Lettre de Dieu)
Don Claudio - Alors que je vous lis le message de Dieu transcrit par Marisa, la Madone s'entretient avec Marisa qui se trouve en extase :
"Mes chers enfants, merci de votre présence. Votre sur n’a pas un filet de voix et même si elle en avait un, elle ne pourrait pas vous parler, sur ordre des médecins. Dieu l’a prise entièrement pour lui: "tota tua". Dieu peut la faire parler, s’il le veut, mais il est bon de respecter la voie naturelle et terrestre pour donner exemple et témoignage. La vraie voyante aime, souffre et offre, et sera heureuse au Paradis. Elle ne peut l'être sur Terre; elle a vu égorger des hommes, des femmes et des enfants et en vision également les bombardements, c’est pourquoi elle vit souvent la passion de Jésus et continue à la vivre aujourd'hui. Mes chers enfants, combien de fois Jésus et moi-même ne vous avons-nous pas répété le nouveau commandement: "Aimez-vous comme Je vous aime". Jésus a transmis ce nouveau commandement à son Eglise et à toutes ses créatures. L’amour envers le prochain n'existe pratiquement pas aujourd'hui. Où est l’amour? Une guerre fratricide, homicide, vengeresse et insolente sévit actuellement. Tout suscite la vengeance, la haine, le chantage. L'homme est intoxiqué par le pouvoir et tout homme puissant se sent Dieu. Tous parlent, se sentent savants, mais qui parle d’amour? Mes chers enfants: paix, paix, paix.
Jeûnez, priez, aimez. Que la paix soit avec vous. Aimez comme Je vous ai aimés.
Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ".
Messages d’avril 1999
Rome, le 8 avril 1999, 17h00 (Message de la Madone)
La Madone - Mes chers enfants, comme je vous l’ai déjà dit, si la guerre ne s’arrête pas, tout ce que Dieu a promis sera ajourné. Quand je vous l’ai dit, vous avez profondément souffert, mais j’ai également ajouté que Dieu tenait toujours ses promesses. Il y a trop de guerres. La guerre est toute proche de l’italie si belle et si la tempête ne s’arrête pas, la troisième guerre mondiale commencera. Comment pourrions-nous penser au bien de quelques personnes alors que le monde entier va à la ruine ?
Les hommes puissants bluffent, mentent, affirment, jurent, mais ne tiennent jamais leurs promesses. Faites attention, vous pourriez avoir involontairement comparé Dieu à ces hommes. Combien de fois ai-je dit: priez pour la paix. J’ai dit il y a deux ans: priez pour la paix, sinon la troisième guerre mondiale risque de commencer. Quand la maman vous dit quelque chose, ce n'est pas pour vous effrayer, mais pour vous encourager à prier, prier et toujours prier. Faites des vigiles de prière, jeûner et prier le Saint Rosaire.
Vous avez vu à la TV comme les chefs d'état sont hypocrites. Vous avez vu le nombre de morts, de disparus et de réfugiés. Les gens ne savent pas où ils sont, mais Dieu le sait. Dieu attend la paix. Il ne peut éliminer les dirigeants pour donner la gloire aux bons qui doivent toujours souffrir et accepter. Au paradis, nous attendons la conversion, pas des grands hommes car il est difficile de les convertir, mais des petits. C’est pourquoi je vous invite à prier, d’abord pour la paix, puis pour le triomphe de la vérité.
Si l'homme fait la guerre, ce n'est pas à cause de Dieu, car ici au paradis personne ne veut la guerre. L'homme est tellement inhumain. s’il tue son frère, il n'est pas humain, tout comme Caïn a tué Abel parce qu’abel était bon. Combien de gens, grands et petits, ont été tués parce qu’ils étaient bons, sans défense et innocents ? Vous vous demandez si la Madone ne dit qu'à vous ce genre de choses ? O non mes chers enfants, les rares endroits où j’apparais, je parle comme ici. Mais ici je m’attarde plus longtemps, j’explique davantage, je parle comme une maman à son enfant, j’essaie de vous faire comprendre les choses à fond. Je dis également aux autres voyants de prier pour la paix, pour le triomphe de la vérité. Dans le monde entier, les rares fois où j’apparais je dis toujours la même chose, mes chers enfants. Et comme toutes les autres mamans je m’appuie sur les enfants qui sont bons et écoutent la voix de leur Mère. Je m’appuie sur vous.
Pour cette raison, je vous invite aujourd'hui à prier, prier et prier pour la paix. C’est une guerre très, très dangereuse. Courage. Peut-être n’avez-vous pas été capables de comprendre mes derniers messages, car quand le moral n'est pas bon, on a du mal à comprendre bien des choses. J’aimerais que vous ressuscitiez tous avec Jésus. Vous en particulier mes chers jeunes gens, ressuscitez avec Jésus et faites que Jésus ne soit pas mort pour rien, mais au moins pour vous. Je vous remercie de mettre en pratique ce que je vous ai dit.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis ainsi que vos chers parents et vos objets sacrés. Je vous porte tous dans mon cur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Mes chers enfants, réjouissez vous. Jésus est ressuscité d’entre les morts et vous devez ressusciter avec lui.
Alléluia, Alléluia, Alléluia.
Messages de Mai 1999
Rome, le 1er mai 1999 - 18h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Le mois qui m'est dédié vient de commencer: toutes les églises devraient être pleines de fidèles, prêts à prier pour la paix. Mon époux bien-aimé Joseph qui m’accompagne, vous regarde, vous sourit et désire que vous soyez présents pendant tout ce mois de mai si perturbé par la guerre, les tremblements de terre, les tempêtes, les hommes, par tous, parce qu’ils veulent être les premiers, alors que Dieu seul est le premier. Mettez Dieu à la première place.
Je viens et n’arrête pas de vous donner de nombreuses paroles d’encouragement, de vous faire des reproches maternels, mais tous ne mettent pas en pratique ce que dit la Maman et ne répètent pas ce que je dis. Les messages doivent être écrits comme je les dis, tout doit être écrit, rien ne doit être omis, même si cela peut causer des souffrances, car Dieu donne la force de supporter et d’accepter. Mes deux petits enfants ont toujours écrit tout ce que je leur ai dit.
Oh, si tous les hommes priaient pour la paix, apprenaient à mettre Dieu à la première place! Comme je vous l’ai déjà dit, il est bon de se divertir, c’est bien que les familles aient le week-end, mais quand c’est la prière, quand il y a de graves problèmes dans le monde, vous devez prier. Priez en voyage, à la maison. Ne vous disputez pas à la maison, quand l'envie vous en prend, ceci arrive aussi dans les communautés, priez, appelez notre Père qui es aux cieux, invoquez-le toujours, même quand vous êtes seuls, et quand vous vous trouvez dans un endroit déplaisant et y entendez des paroles qui vous déplaisent et des blasphèmes, dites alors: "Que Dieu soit béni, que soit béni le nom de Marie, que soit béni Saint Joseph, que soient bénis les anges et les saints", vous réparerez ainsi les paroles des autres.
Je désire que vous soyez en prière fervente devant Jésus Eucharistie, que mes jeunes soient prêts à lutter, à aimer tous les hommes. Je vous ai dit d’aimer aussi ceux qui vous font souffrir, puis je me suis reprise et j’ai dit comme le Pape "Reprenez-moi si je me trompe", priez mes cher enfants pour ceux qui vous font souffrir.
Mes chers enfants, je vous demande la conversion, s’il n'y a pas de vraie conversion, comment pouvez-vous fêter le triomphe de l’Eucharistie? Il suffit d'un moment pour se convertir, parce que Dieu appelle à tout moment, à toute heure, à toute minute, à tout âge; il n'y a pas d'âge pour se convertir. Ne vous repliez pas sur vous-mêmes, pensez au frère près de vous. Combien de fois ne l’ai-je pas dit? Pourquoi les hommes ne mettent-ils pas en pratique les messages de Dieu? Ils sont pourtant si simples, si faciles à comprendre et puis il y a le prêtre qui les explique et les commente. Mettez-les en pratique et aimez. Vous, époux, aimez-vous et respectez-vous, vous, enfants, aimez et respectez et vous tous, acceptez les reproches si quelqu’un se permet de vous en faire, il n'y a pas d'âge pour faire un reproche avec amour et charité. J’adresse maintenant, par exemple, un reproche à grand-mère Iolanda: "Tu dis trop de rosaires", je plaisante, mais j’aimerais qu’en plus des rosaires tu réussisses à manger un peu plus. Même Jésus, me donnait parfois ainsi qu'à mon époux bien-aimé des exemples, nous faisait même de doux reproches, mais nous n'en étions pas offensés, nous acceptions ce que nous disait notre Jésus et nous l'en remerciions. Même si c’est un petit qui demande ou fait un doux reproche, vous devez l'en remercier. Je vous ai dit bien des fois qu’il n'y avait pas d'âge dans la vie spirituelle. Il n'y a pas d'âge pour la conversion, pour changer de vie spirituelle, pour faire de doux reproches: on peut même être parfois bourru, ferme pour arriver à corriger le frère, ainsi que l’a toujours été Saint Père Pio et comme le fait votre prêtre, qui souffre lorsqu’il fait des reproches d'un ton ferme, avec amour. Certains le comprennent, d’autres s'en offensent ou se montrent susceptibles. Acceptez les reproches de tous. Je voulais vous faire un catéchisme comme Don Claudio, mais je préfère que vous participiez de tout cur et avec tout votre amour à la Sainte Messe. Je serai chaque soir ici, avec Jésus, mon époux bien-aimé, mon Saint Père Pio et tous les anges et les saints, pour ceux qui le veulent.
Marisa - Tu veux que moi je le dise, Père Pio ?
La Madone - Oui, Marisella, Père Pio a toujours dit la vérité et tu sais que ta souffrance est bien plus grande et plus intense que celle de notre saint Père Pio.
Marisa - Si tu le dis! Comme il est beau, mon Dieu, comme il est beau. C’est bien Saint Giovanni Bosco. Don Dolindo ? Qui est-ce? Regarde, tous les saints et les âmes sauvées s’avancent peu à peu. Je ferai tout ce que je dois faire, mais vous devez m'en donner la force.
La Madone - Mes chers enfants, mes vux à tous et un bon mois de mai. Oui, je suis descendue pour donner un baiser au petit Jacopo.
Marisa - Ne le réveille pas.
La Madone - Viens avec moi, Marisella'
Don Claudio - Donne lui en un autre.
Marisa - Ce n'est pas ma faute, c’est la Madone qui m’a dit de lui donner un baiser. Me donnes-tu la force de prendre Jacopo dans mes bras ? Veille à ce qu’il ne se réveille pas. Regarde, Don Claudio, il dort! Elle dit que je dois m’asseoir.
La Madone - Marisella, tu dois comprendre que lorsque Dieu décide une chose, tu la fais. Tu as obéi, tu pensais ne pas pouvoir le faire et au contraire tu as pris le petit Jacopo dans tes bras.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ".
Rome, le 2 mai 1999 - 10h 45 (Lettre de Dieu)
Marisa - Tu es ici avec nous ! Et qui est à Saint Pierre ?
Père Pio - Tu sais, Marisella, que j’aime les choses simples et humbles. Dieu m’a dit: "Mon cher Père Pio, va chez mes enfants, va vers eux avec humilité et simplicité", et je suis venu vous apporter mes vux de sainteté. Soyez humbles et simples, vivez dans la simplicité, faites de petites choses, mais avec amour.
Je suis ici avec vous, je ne dois pas vous enseigner l'humilité, car ceux qui sont à la tête de cette petite, mais grande mission, sont humbles et simples. Je n’ai jamais aimé le culte de la personnalité, j'étais aussi bourru et j’envoyais parfois promener ceux qui venaient m’importuner, il devait en être ainsi, car j'étais serviteur tout comme chacun de vous, car tout chrétien qui aime Dieu est serviteur des hommes. Vous êtes tous des serviteurs comme moi; du reste Jésus a été le premier serviteur, qui après sa mort et sa résurrection est resté parmi nous avec son corps, son sang, son âme et sa divinité. Jésus a aimé aussi ceux qui l’ont tué et les prêtres qui l’ont condamné.
Vous vous demandez: "Si la fête a lieu à Saint Pierre, pourquoi Père Pio est-il ici ? "Parce que Dieu m’a envoyé ici et je lui ai obéi. De même au Paradis, où l’on jouit de Dieu, si Dieu nous ordonne d’aller dans un endroit, nous y allons. Je suis désolé, parce que je sais que vous attendiez la Maman du Ciel, Elle est ici et je dois vous parler, parce que Dieu a voulu que ce soit ainsi. Avec beaucoup d'humilité et de simplicité, la Maman du Ciel a reculé d'un pas et m’a dit: "Va toi Père Pio, parler à mes chers enfants", et je suis venu pour vous apprendre l'humilité, la simplicité et la sincérité, comme vous l'entendez souvent dire par la Mère de l’Eucharistie. Il n'y a pas d’autres vertus dans la vie, si l’on n'est pas sincère, humble, simple, si l’on ne vit pas pour servir le prochain, on n’arrive pas à la sainteté. La Sainteté vous semble un bien grand mot ? Il est grand aux yeux de Dieu, mais c’est un mot très simple. Tous les hommes qui aiment Jésus-Eucharistie, la Maman du Ciel, la Mère de l’Eucharistie doivent vivre ainsi. Je suis votre serviteur, toi, Marisella, tu es la servante de tous, toi, Don Claudio, mon cher confrère, tu es le serviteur de tous. Tout chrétien est le serviteur de tous les hommes. Il faut toujours servir avec beaucoup d’amour. Le reproche maternel souvent fait souvent par la Maman est que "Le serviteur n'est pas supérieur à son maître". Charité: la charité continue au Ciel en glorifiant Dieu.
Mes chers enfants, je n’ai pas voulu tout ce que les hommes ont fait pour moi. Je ne peux rien leur dire parce que les choses de Dieu doivent également être respectées, mais je suis ici dans ce petit coin de Paradis, dans ce lieu thaumaturgique, et je vous donne maintenant ma bénédiction en tant que père et frère. Si Dieu le veut, s’il accepte mon intercession, je lui demande des grâces pour vous, pour tous ceux qui en ont besoin. Mais, comme la Maman vous l’a enseigné, baissez la tête et dites toujours: "Que la volonté de Dieu soit faite". Marisella, toi qui es sur la croix, bien plus que moi, tu es héroïque parce que tu acceptes, tu souffres, tu offres en permanence. Attention au démon ! Il est toujours prêt, te tourne autour et attend le moment pour te frapper comme il l’a fait avec moi. Tes stigmates invisibles sont plus douloureux que les miens, parce que le sang ne peut s'en écouler, tu as tant de choses similaires à celles de ton frère, parce que je suis ton frère, chère petite sur. Je laisse maintenant la place à ma et votre Maman, à la Mère de l’Eucharistie.
Marisa - Les papes sont à côté de la Madone.
La Madone - Mes chers enfants, c’est moi votre Maman. Dieu le Saint Esprit est descendu sous la forme de langues de feu et d'une colombe. Je viens parmi vous avec le gazouillis des oiseaux. Certains aiment beaucoup les animaux, mais je vous invite à aimer l'homme, l'homme créé par Dieu, l'homme qui doit sauver son âme. Aimez les animaux si vous le voulez, mais sans créer de problèmes, ce ne sont toujours que des animaux.
Ce gazouillis d'oiseaux est pour vous faire sentir ma présence ici avec tous les anges et les saints. Pendant la sainte Messe, je suis ici avec vous, les anges et les saints. Participez à la Sainte Messe, mais pendant la consécration, baissez la tête, agenouillez-vous si vous le pouvez et adorez Jésus Eucharistie.
Mes chers enfants, la Maman vous aime. Dieu a voulu que ce gazouillis d'oiseaux m’accompagne aujourd'hui. C’est un cantique de louange à Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Je vous dis: aimez-vous les uns les autres. Moi aussi, j’ai aimé un petit moineau qui se mourrait et avec Jésus, nous l’avons aidé à guérir et à reprendre son vol. Vous aussi, aimez-vous entre vous, comme j’aime Jésus, comme Lui m’aime et comme nous vous aimons tous les deux, mes chers enfants, mon petit troupeau. Dieu vous a fait le cadeau de vous amener ici Saint Père Pio, beau et rayonnant comme tu le vois Marisella.
Marisa - Puis-je te poser une question ? s’il est ici, qu'y a-t-il à Saint Pierre ?
La Madone - Marisella ! Il est présent ici, il est visible pour que tu le voies.
Marisa - Deviendrai-je sainte ? Mais je ne veux pas le devenir comme toi, en créant une telle confusion, qui dérange les gens, je désire aller jouir de Dieu. Que dois-je faire ?
Père Pio - Ce que tu fais chaque jour.
Marisa - C’est bon. Quand je le dirai à Don Claudio, il me dira : "Tu dois encore beaucoup souffrir et te convertir! ". Mais je dis moi aussi, que je dois me convertir, parce que je demande à tout le monde de prier pour ma conversion.
Père Pio - Parce que tu es la servante de tous.
Marisa - Je ne dis plus rien. Saint Joseph, la Madone, Père Pio parlent, mais moi que dois-je dire ?
Père Pio - Nous parlons tous de la sainteté, Marisella.
Marisa - A Il est déjà saint.
Marisa - Toutes ces personnes ?
Père Pio - Tout le monde peut devenir saint dans l'humilité, la simplicité, la sincérité et l’amour. Cela dépend de vous, pas de Dieu, Dieu vous a tout donné.
Marisa - Lors je te pose une autre question : lui ? (elle montre Don Claudio)
Père Pio - Quand devrais-je encore souffrir ? Devrais-je passer par le purgatoire ?
Père Pio - Non, Marisella.
Marisa - Mon Dieu, comme l'échelle qui monte au Paradis est longue !
Père Pio - La Maman ouvre maintenant les bras, avec tous les anges et les saints, pour réciter avec vous le Notre Père. Tu es sainte, tu le sais.
La Madone - Oui ou non, Marisella ?
Marisa - Je ne sais que répondre. Puis-je le lui demander ?
Don Claudio - J’ai compris.
Marisa - Tu as compris, que dois-je répondre ?
Don Claudio - Merci.
Marisa - Merci.
La Madone - Courage, sois forte, ne pense pas à la foule. Oh, que de discussions, de luttes et d'imprécations quand il y a beaucoup de monde.
Marisa - Cela ne m’intéresse pas, tout cela ne m’a jamais intéressé.
La Madone - Accepte humblement ce que je te dis.
Marisa - Cette statue doit être bénie.
La Madone - Ne prends pas la statue, Marisella, parce qu’elle va te couper les mains.
Marisa - Parce que ?
Don Claudio - Elle est aussi lourde pour moi.
Marisa - Il faut souffrir pour devenir saint. Feras-tu saint, Paul VI, parce que c’est mon Pape ?
La Madone - Il est déjà saint pour nous.
Marisa - Oui, mais tu sais comment nous sommes faits, nous les hommes de la Terre, si de grandes choses ne se produisent pas ici, personne ne nous croit. C’est bon.
La Madone - Ici aussi, il se produit de grandes choses!
Je bénis aussi ces objets sacrés, je bénis les enfants, surtout ceux du Kosovo et de Yougoslavie. Tu as vu, Marisella, combien nous avons fait en Albanie ?
Marisa - Oui, cela a été un peu dur hier. Devons-nous y aller aujourd'hui ? Oui, si tu viens toi-aussi, j'y vais, parce que si tu n'y es pas, moi seule je ne fais rien.
La Madone - Tu fais tout toute seule, parce que c’est Dieu qui le veut.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Puis-je me permettre aujourd'hui d’embrasser aussi Père Pio?
La Madone - Saint Père Pio.
Rome, le 3 mai 1999 - 18h40 (Lettre de Dieu)
Marisa - Ne nous oublie pas, nous demandons seulement un peu d’aide. Les hommes continuent à nous harceler chaque jour et nous sommes ici, dans ce petit coin de Paradis, dans le silence et la prière. Que Dieu veut-il de nous ? Que devons-nous faire encore?
La Madone -Mes chers enfants, qu’est-ce que Dieu veut de vous? La prière, le silence. Laissez-les parler, tant pis pour eux! Ceux qui disent du mal et manquent à la charité ne jouiront jamais de Dieu.
J’aimerais que ce mois de mai, soit spécialement dédié à la Mère de l’Eucharistie et qu’il vous aide à tout accepter et supporter en silence avec la prière. Vous vous êtes rendus compte par vous-mêmes comment les hommes, quand ils sont puissants, écrasent facilement les petits, les simples, les humbles.
Je viendrai ici, parmi vous, pendant tout le mois qui m'est dédié. Il n'y a pas d’autres endroits où je me rends un mois durant, je suis seulement ici avec vous. Laissez dire, mes chers enfants. Combien de fois Jésus et moi ne vous avons pas dit que celui qui manque à la charité, qui est la plus grande vertu, ne peut jouir de Dieu, parce que ce qui triomphe et trône au Paradis, c’est l’amour, la charité. Laissez dire, laissez faire! Comme vous, je cite moi aussi un vers de Dante: "Ne te soucie pas d’eux, regarde et passe".
Je vous avais dit jusqu'à présent d'écrire et de faire tout ce que vous pouviez, sans rien attendre, je vous dis maintenant: "Ne vous faites pas de soucis, laissez dire, tournez-vous vers Dieu et demandez-lui son aide pour pouvoir supporter et accepter". Au fond même les grandes radios ne pensent qu’au profit; elles veulent toutes et reçoivent toutes de l’argent, des milliards et des milliards. Mais ce n'est pas le cas ici, Jésus n’a pas choisi ce petit coin thaumaturgique pour le profit, mais pour l’amour envers les âmes. J’ai souvent répété: "Aimez votre prêtre et priez pour lui"; je le disais parce qu’il ne possède rien; il n’a ni pouvoir, ni argent, ni or ou argenterie, mais beaucoup d’amour. J’aimerais que vous soyez aussi ainsi, mes chers enfants, n’ayez ni pouvoir, ni argenterie ou richesses, mais donnez de l’amour, je veux l’amour, je veux votre Coeur et je veux vous emporter avec moi au Paradis où règne l’amour envers Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Je sais que vous êtes des hommes et que la nature humaine se rebelle, mais regardez mon Fils Jésus sur la croix et dites: "Jésus tu es aussi pour moi sur la croix". Combien de temps cela pourra-t-il durer? Et puis qu’auront-ils en échange? Laissez ceux qui parlent et parlent: ils rivalisent parfois à celui qui en dira le plus en manquant de charité : la Maman ne veut pas de cela. Aidez-moi à prier pour les bons prêtres; il y en a et ils ne parviennent pas à comprendre pourquoi les puissants manquent si aisément à l’amour.
C’est pourquoi je viens prier avec vous et vous apporter de très beaux messages de Dieu, parce qu’il a posé ses yeux sur ce lieu thaumaturgique. Courage, mes chers enfants, Jésus Eucharistie est avec vous, je suis avec vous, avec le Saint Père Pio, les anges, les saints et les âmes sauvées, que voulez -vous de plus ? Vous avez un prêtre qui vous aime, qui est prêt à mourir pour sauver vos âmes. Que voulez-vous de plus? Il vit comme il vivait quand personne ne le connaissait, quand les apparitions n'étaient pas publiques; il vit en aimant les créatures, et vous en particulier, mes chers enfants.
Quel dommage que ce message ne puisse être entendu par d’autres âmes, par celles qui manquent à la charité. N'écoutez pas tant de paroles, écoutez Jésus qui entre dans votre Coeur et qui vous parle, et Lui parle d’amour.
Merci de votre présence.
Ensemble avec l'évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Courage mes chers enfants, votre soeur n'est pas en état de descendre parmi vous, mais venez pour Jésus Eucharistie et priez pour elle afin qu’elle ait la force d’accepter la grande croix que Dieu lui a donnée.
Merci. Loué soit Jésus Christ".
Rome, le 7 mai 1999 - 18h35 (Lettre de Dieu)
La Madone - Mes chers enfants, je me trouve en ce moment également au Kosovo et en Albanie : mon cur est triste de voir tant de massacres, d'homicides, de jeunes qui volent et tuent des enfants ou d’autres jeunes pour vivre. Il semblait que la situation s’améliorait, qu’une lueur de paix pointait à l'horizon, mais tout s'est de nouveau écroulé aujourd'hui. Regardez le journal télévisé, on y voit tant de scènes tristes et elles ne sont rien en comparaison de ce que mes yeux et ceux de votre soeur ont vu. La situation est très critique et très dure: mais voyez-vous des hommes courir prier et supplier Dieu de faire cesser ce carnage? Ces gens sont des cannibales, ils mangent les hommes.
Quand je vous demande de prier, de faire la veillée, c’est parce que je sais comment vont les choses, je sais comment va le monde. Combien d'hommes qui se disent chrétiens parlent à la radio, critiquent, calomnient et diffament avec tant de facilité, alors que le monde va à sa perte! Les guerres continuent, les petits enfants et les mamans sont tués et mangés: c’est un carnage. Ils n'ont rien. Les enfants ne savent même pas comment ils s’appellent, la peur et les traumatismes ne les quitteront plus de toute leur vie.
Que faites-vous? Vous priez, petit troupeau, mais les hommes qui parlent aux radios catholiques osent dire du mal des grâces que Dieu a données à une âme, au lieu de dire: "Priez pour la paix, accrochez-vous à la prière et priez pour la paix ". Non, ils ne le disent pas, ils ne font que médire avec une grande facilité et les hommes éprouvent du plaisir à médire de leurs frères.
Pensez-vous que la miséricorde de Dieu durera éternellement? La justice de Dieu arrivera également. Vous, mon petit troupeau, en comparaison du nombre d'hommes qui vivent sur la terre, vous êtes peu nombreux et venez ici pour prier. Quelqu’un manque à la veillée, mais si la guerre sévissait dans votre pays, vous seriez tous venus en courant, sur les genoux devant Jésus et devant mon Coeur pour nous supplier que cesse cette guerre odieuse et brutale.
Rendez-vous en responsable le Président de la Yougoslavie ? La faute en revient à tous ceux qui ne savent pas commander. La même chose se passe dans l’Eglise. On ne sait pas éduquer les jeunes, on leur permet de faire tout ce dont ils ont envie. Quand un jeune se conduit comme Jésus le veut, il est critiqué; et si un prêtre se conduit comme Jésus le désire, il est calomnié et diffamé et pendant ce temps la guerre règne dans d’autres nations, une guerre atroce et brutale. Mes chers enfants, j’aimerais venir ici pour me réjouir avec vous, mais comment le puis-je quand je vois des petits enfants, des adolescents, des femmes, des personnes âgées tués? Comment le puis-je ? Je vous demande pourtant de prier, de vous réjouir avec Jésus Eucharistie. Avec l’Eucharistie, vous êtes forts et recevez la lumière pour faire tout pour le bien des autres, de vous-mêmes et de tous. Bonne veillée, mes chers enfants et priez. Si le sommeil vous prend, ne vous en préoccupez pas, dormez dans les bras de mon Fils Jésus ou dans mes bras; l’important est de donner son cur et de vivre en état de grâce. Merci.
Courage, grand-mère Iolanda, sois forte, la souffrance t’a consumée et a consumé ta fille. Vous êtes deux âmes consumées par l’amour de Dieu et du prochain.
Merci de votre présence. Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis les enfants et le petit Davide Maria. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Irons-nous de nouveau cette nuit en Albanie? Oui? Mais sois proche de moi et donne-moi des forces, parce que ce que j’ai vu m’a fait beaucoup souffrir. C’est bon, adieu, à plus tard, adieu.
Don Claudio, elle est partie, elle m'emmène cette nuit en Albanie. Nous allons de nouveau en Albanie.
Don Claudio - Voir des choses qui ne sont pas belles.
Marisa - Je dois les voir malheureusement.
Rome, le 9 mai 1999 - 10h40 (Lettre de Dieu)
Marisa - Je veux te recommander une personne qui m’a demandé des prières. Non, maintenant je ne demande plus rien pour moi, faites vous un peu. Tu as vu la forte fièvre que j’ai eue cette nuit ?
La Madone - Elle est tombée subitement quand Jésus t’a apporté la sainte Communion.
Marisa - Oui, mais je suis toujours recluse dans ma chambre. De toute façon ne parlons pas de moi, je voulais te demander: as-tu quelque chose de beau à nous dire ?
La Madone - J’aurais tant de choses à vous dire, mais la guerre continue. Après les commentaires donnés par votre prêtre et tous les messages que vous avez reçus de Dieu cette semaine, vous avez compris combien l'homme est méchant lorsqu’il n'est pas en état de grâce, quand il ne vit ni de Dieu, ni de Jésus Eucharistie. Dieu m’a dit: " Recommande à toutes les créatures de bien faire pendant le mois de mai, le mois qui t’est dédié, Marie". Il y a peu de gens ici et encore bien moins dans le très petit nombre de paroisses où l’on prie bien. On organise la veillée de prière et les gens n'y répondent pas, je ne parle pas de ceux qui y ont répondu avec beaucoup d’amour et de sacrifice. Cette veillée a été demandée par Dieu et Il devra intervenir. Si les hommes ne réussissent pas à faire cesser le conflit, chacun ne pensant qu'à soi, Dieu interviendra; et Son intervention ne sera pas belle. La Maman vous invite donc à prier. Je n'exagère pas!
Je dis toujours de prier, je dis beaucoup et beaucoup de paroles, mais réussissez-vous à comprendre tout seul ce qui se passe dans le monde? Que voyez-vous de beau dans le monde? Tous s’amusent, écoutent une musique bruyante dans leurs écouteurs, courent d'un endroit à un autre et s'énervent s’ils n’arrivent pas à faire ce qu’ils doivent faire, mais ils ne courent pas vers Jésus Eucharistie. Je continuerai à le répéter; mon Fils Jésus reste toujours à la seconde place. Je vous ai dit de vous divertir, mes chers enfants, grands et petits, mais ne mettez jamais Dieu à la seconde place. Les apôtres aussi, que j’ai suivis après la mort de Jésus, se sont rendus n'importe où pour parler de Dieu, avec leur Coeur, leurs souffrances et ont été tués. Beaucoup se sont convertis et ceux qui ne se sont pas convertis sont devenus encore plus méchants, plus rebelles, plus vindicatifs. L'homme qui ne se convertit pas est vindicatif, se venge du frère converti, qui aime Jésus Eucharistie, aime la Mère de l’Eucharistie. Je veux vous conduire à la sainteté, mais vous, dans votre petitesse, vous devez tout donner à Jésus Eucharistie. Vous aussi, mes chers jeunes, fréquentez le mois qui m'est dédié, parce que Dieu le veut. Je sais que cela demande des sacrifices, mais c’est un très grand témoignage pour les hommes et pour ceux qui ne croient pas. Je vous ai déjà dit que votre manière de faire, votre exemple et votre témoignage, aidaient les autres à comprendre, à raisonner: "Ces jeunes gens sont bons, honnêtes, comme il faut". C’est ce que les gens doivent dire de vous, mes chers jeunes, mes chers petits enfants. Ils doivent voir que vous êtes des fils de Dieu. Où que vous soyez, vous devez donner l'exemple et témoignage; si les autres ne vous écoutent pas avec patience, faites votre devoir, semez la semence qui sera finalement récoltée, ne vous faites pas de soucis, on ne vous donnera pas satisfaction, mais la récolte viendra même de ceux qui ont été réprimandés dans la communauté. Les adultes n’aiment pas être réprimandés, puis ils acceptent et se disent: "Oui, ils ont raison". Si l’on ne vous donne pas satisfaction, soyez patients, cela ne fait rien, pour vous il est seulement important d’aimer, de donner l'exemple et de témoigner. Priez pour la paix, priez pour ces pauvres créatures qui sont tuées. Je ne dis rien d’autre. Avez-vous entendu les messages de cette semaine? Ils ont été expliqués par le prêtre. Offrez cette sainte Messe pour ceux qui vivent dans des conditions atroces. Ceux qui sont morts sont déjà sauvés, parce que la mort est vie, mais pour ceux qui sont encore en vie, c’est dur, c’est un sacrifice énorme. Priez pour eux.
J’aimerais maintenant adresser tous mes vux à toutes les mamans, y compris celles qui sont grand-mères, parce qu’elles sont deux fois maman, n'est ce pas Marisella ?
Marisa - Oui, mais je ne suis pas grand-mère, ni maman.
La Madone - Tu es maman, pour ceux qui savent comprendre. Tu es une maman spirituelle très importante, mais tous ne le comprennent pas.
Marisa - Si tu le dis. Ce matin j’ai demandé à Selenia, en sa qualité de doctoresse ce que je devais faire, et elle m’a répondu: "Moi, en tant que doctoresse, je dis que tu ne peux pas descendre, mais puisque tu fais ce que dit la Madone, demande-le lui". Alors je te le demande.
La Madone - Non, Marisella, tu ne peux pas descendre si la doctoresse a dit non.
Marisa - Nous voilà bien. Il y a la doctoresse, le prêtre, puis Jésus et toi: dois-je obéir à toutes ces personnes ? Et puis elles sont toutes d’accord, quelle coïncidence.
La Madone - Oui, parce que le prêtre marche sur les pas de Jésus, le docteur sur les pas du prêtre et tu dois seulement obéir.
Marisa - L’idée me plait! Je t’assure, je ne sais plus que dire. Puis-je descendre?
La Madone - Non, la doctoresse a dit non, le prêtre a dit non. Tu avais une très forte fièvre.
Marisa - C’est bon, revenons aux vux pour les mamans, je les adresse à toutes les mamans: tous les vux de Marisella à toutes les mamans et grands-mères. Je suis une maman spirituelle.
La Madone - Marisella, la maman spirituelle est plus importante que la maman terrestre.
Marisa - Bah, tu dis cela pour me remonter un peu le moral, mais je suis quand même très abattue.
La Madone - Voulons-nous dire tous ensemble le Notre Père?
Marisa - Oui. Dois-je dire non? Je dis oui.
La Madone - Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis le petit Jacopo et sa famille. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Excuse moi, j’ai oublié de t’adresser mes vux. Tous mes vux à toi aussi, tu es la maman de Jésus, tu es notre maman. Est-ce qu’ils t’ont apporté des fleurs ? A moi, oui.
La Madone - Mais nous n'en avons pas besoin, nous avons tout Marisella?
Marisa - Oui, excuse-moi. Adieu. Adieu et tous mes voeux. Un baiser. Merci, adieu.
Don Claudio, elle est partie.
Don Claudio - Elle t’a adressé ses voeux.
Marisa - Oui, pas à toi.
Don Claudio - Je ne suis pas une mère spirituelle? Je suis un père spirituel.
Marisa - Et quand est la fête des pères?
Don Claudio - Le jour de la Saint Joseph, le 19 mars.
Marisa - Elle est passée, Dieu soit loué.
Rome, le 13 mai 1999 - 18h10 (Lettre de Dieu)
Marisa - Ils sont tous venus avec toi ?
La Madone - Je suis la Mère de l’Eucharistie. Avec mon époux bien-aimé Joseph, tous les anges et les saints, nous voulons faire fête aujourd'hui avec tous ceux ici présents.
Jésus - Moi, ton époux Jésus, je te dis: "Viens, viens, mon élue, et chante, chante avec moi. Nous du Paradis, nous remercions celle qui a toujours dit oui, en dépit des souffrances et des batailles de la vie; un oui plein d’amour, accompagné d'une grande croix. Oh mon épouse, mon élue, ton époux Jésus te dit merci". Je te dis aujourd'hui également que les prêtres convertis sont 266. Oui, deux, six, six. Je ne te dis pas de retourner le six, car le deux détonnerait, mais 266 prêtres, 25 religieuses et 56 laïcs consacrés se sont convertis. C’est à toi que je le dois, ma chère épouse, et à ceux qui ont prié avec toi et continuent encore à prier pour la conversion de mes fils bien-aimés. Oh, je vois que ton Coeur se réjouit de cette très grande grâce. Mon cher prêtre bien-aimé: 266 prêtres se sont convertis, ne crois-tu pas que ce soit un grand miracle? Et vous, mes chers enfants, qui êtes venus pour vous réjouir, regardez cette grande grâce de Dieu. Il vous a également fait ce cadeau pour vos prières. Je suis Jésus, ce Jésus crucifié, qui a tant aimé les hommes, ce Jésus miséricordieux qui sera juste à la fin.
Comme tu le vois, Marisella, j’ai à côté de moi beaucoup d'âmes sauvées et de saints: regarde mes papes et mes saints: on n’a pas monté le chapiteau pour tous les saints, comme le dit votre prêtre, parce ce qu’ils sont devenus saints en silence et en secret: personne n’a pensé à eux, mais Dieu oui et ils sont ici avec moi. De même que lorsque tu as vu Saint Père Pio, qui n'était pas encore béatifié, mais était déjà saint pour nous et tu le voyais donc toujours avec nous. Aujourd'hui, il est béatifié pour les hommes et saint pour nous. Ton cher frère t’attend au Paradis, à côté de nous, quand Dieu le décidera.
Marisa - Puis-je parler avec toi comme je le fais avec la Maman ? Oui, mais ne m'embrasse pas trop fort parce que je sens les épines.
Jésus - Non, mon baiser est aujourd'hui un baiser d’amour et non de souffrance. Tu as vécu cette nuit la passion, et tu souffres aujourd'hui de douleurs naturelles et de douleurs physiques que tu as en permanence.
Marisa - Ecoute Jésus, pourrais-tu dire également quelque chose à ceux qui sont avec moi? Parce qu’ils ont également beaucoup prié.
Jésus - Mais bien sûr, j’ai dit que la conversion des 266 prêtres provenait également de leurs prières, mais surtout de ton grand sacrifice, de ta souffrance que tous ne comprennent pas et tes parents encore moins, ma chère Marisella.
Marisa - Oui, mais je les aime énormément. Cela ne fait rien, c’est une chose entre toi et moi, parce que les époux se parlent quand ils sont seuls.
Jésus - Oui, mais tous nous entendent ici.
Marisa - Ecoute, Jésus, puis-je te demander de nous aider ? Nous avons tous besoin d’aide d'une façon ou d'une autre. Je sais que ta présence est déjà une bénédiction, mais nous, en tant qu'êtres humains, nous te demandons toujours quelque chose de plus.
Jésus - Tu n’arrives même pas à ouvrir une boîte, Marisella?
Marisa - Oui, parce que mes mains me font très mal. Je voulais que tu les bénisses.
Jésus - Mais je les ai déjà bénies.
Marisa - Une bénédiction particulière! Es-tu content que nous agissions ainsi ?
Jésus - Bien sûr, tout ce qui fait plaisir au Coeur de la Mère de l’Eucharistie me fait également plaisir et me donne de la joie.
(Marisa est visiblement gênée et n'ose pas parler)
Je sais que tu es émue, Marisella, mais parle, sois calme.
Marisa - Je n'y parviens pas, mais comme tu lis en moi. As-tu vu le coeur? C’est ton cur parce qu’il est grand et celui-ci ne saigne pas; ce sont toutes des roses d’amour.
Jésus - Tu vois l’amour partout!
Marisa - C’est toi qui me l’as enseigné ! Ecoute Jésus, je continuerai à prier; je ne peux pas te dire devant tous que je continuerai à souffrir, je te le dis quand je suis toute seule, sinon ils me disent que lorsque je suis devant toi et la Maman je dis toujours oui. Je ne peux pas dire non, je dis oui.
Jésus - Tu as vu beaucoup d’atrocités là où tu es allée? Mais je ne veux pas t’en parler aujourd'hui. Oh mon élue, ma fille, mon épouse, mas sur, merci de ce que tu fais pour l’Eglise, pour les hommes d’eglise, pour les malades. Merci.
Marisa - Merci à toi, Jésus, merci. Bien qu’indigne, tu m’acceptes comme je suis.
Jésus - Mes chers enfants, voulez-vous réciter le Notre Père avec Jésus, en vous donnant la main, pour la conversion des grands hommes, des puissants, quand je dis puissants j’entends les hommes d’eglise et d’etat. Je vous bénis, mes deux chers enfants, je bénis les petits enfants, je bénis Davide Maria, grand-mère Iolanda, seule dans son lit, mais la Maman est déjà près d’elle pour lui tenir compagnie. Je retourne maintenant vers le Père.
La Madone - Mes chers enfants, la Maman vous remercie de toutes vos prières, de tous vos sacrifices et de tout ce que vous faites pour la paix dans le monde, continuez ainsi, ne vous lassez pas de le faire, je sais que c’est un sacrifice, en particulier dans les grandes villes, de se déplacer en voiture ou en bus pour venir ici.
Marisa - Tu sais toi que nous allons en autobus, de ton temps c'était l'ânon!
La Madone - Je parle, Marisella!
Marisa - Tu as raison, pardonne-moi. Quand je suis émue ou intimidée par quelque chose, je parle.
La Madone - Je te connais. Je sais que le côté économique joue également un rôle, comme quelqu’un l’a dit dans sa thèse; c’est pourquoi il y a beaucoup de sacrifices, mais le Seigneur, mon Fils Jésus, ne vous abandonne pas et vous aide d'une façon ou d'une autre.
Mes chers jeunes, merci de l’amour que vous montrez au prêtre, à votre sur, à tous. Ne vous faites pas de soucis, rouspétez simplement, cela je l’accepte aussi, parce que je suis votre Maman.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, je bénis ceux qui vous sont chers et vos objets sacrés. Je bénis les enfants et grand-mère Iolanda. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Marisa - Puis-je te demander quelque chose.
La Madone - Non, Marisella, ne demande rien. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Tu sais que Jésus m’a embrassée, il m’a serré très fort et m’a donné un baiser ?
La Madone - Je sens le parfum de mon Fils.
Marisa - Tu sens aussi le parfum?
La Madone - Maintenant, le moment le plus important est la Sainte Messe et la Sainte communion. Recevez Jésus en état de grâce. Allez, participez à la messe. Mon cher prêtre, célèbre la messe de tout ton Coeur: chaque fois que tu la célèbres, tu sauves une âme. Adieu, Marisella.
Marisa - Don Claudio? Mon Dieu, as-tu entendu? 266. Et les religieuses.
Don Claudio - C'était ce que j’espérais.
Marisa - Je voulais lui demander quelque chose, mais elle m’a dit de ne rien demander et je me suis tue.
Don Claudio - Non, cela passe au second plan.
Marisa - Mais je le demandais pour vous, pas pour moi.
Don Claudio - Nous avons le temps de le demander.
Marisa - Tu sais, quand Jésus s'est approché de moi, il m’a serrée très fort et m’a embrassée. J’ai senti un parfum merveilleux. Même la Madone l’a senti. Ai-je eu tort ?
Don Claudio - Non, tu as bien fait.
Rome, le 16 mai 1999 - 10h40 (Lettre de Dieu)
Marisa - Tu es entièrement vêtu de blanc, Jésus est monté au Ciel.
Jésus - Oui je monte au Ciel, mais je reviendrai pour être avec vous dans l’Eucharistie. C’est moi Jésus, vous aimez Jésus Eucharistie. Comme ton Epoux, je t’adresse tous mes voeux, ma chère épouse bien-aimée. C’est une joie pour moi de vous voir ici réunis à prier pour la même intention. C’est aujourd'hui également la journée des malades et qui est plus malade que toi, mon épouse bien-aimée?
Je me suis réjoui comme ma Maman s'est réjouie de vous voir ici, heureux de préparer, de donner le meilleur de vous-mêmes. C’est beau aux yeux de Dieu, à mes yeux et aux yeux de l’Esprit Saint qui descendra sur vous dans quelques jours. Mes chers enfants, c’est aujourd'hui une grande fête, l’ascension de Jésus au Ciel, fêtez aussi la Mère de l’Eucharistie, Notre Dame de Fatima et votre soeur. Ne vous préoccupez pas si votre soeur ne traduit pas exactement un mot ou un autre, elle est sous calmant et quand c’est ainsi, vous savez fort bien, qu’elle n'est pas très exacte lorsqu’elle parle, si elle commet quelques petites erreurs en traduisant ce que je luis dis, n'y attachez pas d'importance, ce qui importe c’est que vous en compreniez le sens, que vous vous aimiez, mes chers enfants. L’amour ne doit pas être seulement présent les jours de fête, mais tous les jours, comme vous ne devriez pas faire preuve d’amour seulement le jour de Noël, mais tous les jours. L’Emmanuel, Dieu avec vous, monte au Ciel, mais il reste toujours avec vous avec son corps, son sang, son âme et sa divinité dans l’Eucharistie, comme en ce moment.
Marisa - Voilà, les trois Jésus sont de nouveau présents.
Jésus - Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et Moi, Dieu le Fils. La Mère de l’Eucharistie, les anges et Saint Père Pio, ton frère, tous les saints et les âmes sauvées des parents de ceux qui sont ici présents.
Un merci à toi, mon cher prêtre, qui viens de loin pour aider ce prêtre qui aime l’Eglise, Marie et l’Eucharistie: il est seul, tous lui ont tourné le dos parce qu’il devait me jeter, s’il l’avait fait il serait maintenant évêque. Obéissance oui, chantage non! Il devait jeter l’Eucharistie qui avait versé du sang, moi, comme ils le font encore aujourd'hui quand ils jettent les enfants dans les poubelles. Mais, Don Claudio ne m’a pas jeté, ne m’a pas renié. Il devait dire à vous tous qu’il vous avait trompés, mais il ne vous a pas trompés. C’est pour cette raison, que les prêtres en particulier, lui ont tourné le dos. Maintenant je te vois ici, cher père Vladimiro aider mon cher prêtre bien-aimé. C’est une grande joie pour nous tous au Paradis. Il suffit de suivre les pas de Jésus pour être heureux, tu l’as entendu dans ton Coeur et tu es ici. Merci!
Marisa - Combien? Tant et tant de personnes? Je ne te demande rien aujourd'hui, Jésus parce qu’il semble que ce soit aussi ma fête ?
Jésus - C’est ta fête, Marisella, tu es mon épouse. Je retourne maintenant vers le Père, accompagné des anges et des saints, mais la Mère de l’Eucharistie reste encore un peu avec vous.
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence, la Maman vous remercie de tout ce que vous avez fait et si vous parvenez à vous aimer comme Jésus et moi, nous vous aimons! Soyez comme les apôtres qui eux aussi étaient au début étonnés et confus, puis quand l’Esprit Saint descendit sur eux, écoutèrent et mirent en pratique les reproches paternels et maternels, parce que lorsque mon Fils Jésus devait leur faire un reproche, il le faisait avec fermeté et douceur. Souvenez-vous que faire un reproche à un frère, grand ou petit, n'est qu’une preuve d’amour.
Tous mes voeux, Marisella, tous les voeux du Paradis. Tu ne me donnes rien à bénir?
Marisa - Tu te souviens toujours de tout. Attends, parce que je ne me suis pas préparée et j’ai du mal à bouger les mains. Voilà, ce sont les anneaux du rosaire, comme tu l’as dit.
La Madone - Un peu petits, n'est-ce pas Marisella ?
Marisa - Oui, mais j’avais laissé l'échantillon.
La Madone - Celui qui a les petits coeurs me plaît aussi.
Marisa - Celui-ci a tous les petits coeurs, parce que ce sont ceux de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit; puis le tien, celui de Saint Joseph et puis je ne sais pas, il y a encore une place, qui veux-tu y mettre ?
La Madone - Voulons-nous y mettre celui qui a été béatifié en dernier ?
Marisa - Oui, Père Pio. Puis il y en a un blanc, regarde? J'y mets Paul VI.
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Ensemble avec les prêtres, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. j’envoie un baiser aux petits enfants. Je bénis vos objets sacrés. Je bénis grand-mère Iolanda, ici présente au milieu de nous. Merci, grand-mère Iolanda, d'être descendue parmi nous. En tant que votre Maman, je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Tu ne m’as pas encore redonné ma voix. C’est depuis mars, même avant, que je n’ai pas de voix. Adieu. Ils sont partis, un grand nuage les a enveloppés. Mais je n’ai pas retrouvé ma voix.
Don Claudio - Tu ne l’as pas?
Marisa - Non, je ne l’ai pas. Pourquoi ne me redonne-t-elle pas ma voix
Rome, le 23 mai 1999 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - J’admire le chef-d'uvre élaboré pour la descente du Saint Esprit. Tout ce que vous faites est beau et glorifie Dieu le Saint Esprit. Je prie, moi aussi avec vous et pour vous, afin que le Saint Esprit descende sur chacun de vous selon vos besoins: je connais les tiens, Don Claudio, les tiens Marisella et les vôtres, mes chers jeunes et adultes. Priez, invoquez l’Esprit Saint, pour qu’il descende surtout sur les grands hommes.
L’interdiction de célébrer la Sainte Messe hier soir à Rome a fait souffrir mon Fils Jésus ; (Note: La célébration de la messe du samedi soir le 22 mai ne fut pas autorisée par le Vicariat dans le diocèse de Rome en raison du rassemblement des curés sur la place Saint Pierre pour la clôture de la Mission Ville) beaucoup d'âmes ont ainsi manqué la Sainte Messe, parce que l’importance de la grande prière: la sainte Messe et la sainte Communion, n'est pas comprise par tous. Mes chers enfants, vous essayez par tous les moyens de donner à Dieu la première place et ceci plaît à mon Fils Jésus, à Jésus Eucharistie.
Jésus - C’est pourquoi l’Esprit Saint descend ici; le troisième Jésus que tu vois, Marisella, est l’Esprit Saint. Regarde, il est comme moi, mais il a colombe et les langues de feu pour que tu le reconnaisses. Baissez la tête et récitez avec moi: Viens Esprit Saint, Esprit d’amour, illumine mon esprit, enflamme mon Coeur, renforce ma volonté.".
Dieu le Saint Esprit - Moi, Dieu le Saint Esprit, j’aimerais souvent entrer dans vos coeurs pour vous faire comprendre ce qui est important pour la vie éternelle, mais tous ne me connaissent pas, tous ne m'écoutent pas. Si vous ne faites pas silence dans vos coeurs, vous ne pouvez entendre ma voix. Je suis ici pour vous apporter une lettre fort simple de Dieu. Les messages de Dieu le Père sont très simples, mais certains ne réussissent pas à les comprendre et quand on comprend mal, on rapporte mal, on se trompe et sème la confusion. Non. La Maman du Ciel a dit: "Je parle avec simplicité afin que tu me comprennes, Marisella, et si tu me comprends, les autres aussi peuvent comprendre".
Tu as reçu aujourd'hui la grâce de Dieu d'être bien, mais fais attention, n’abuse pas. Nous avons voulu que tu sois ici aujourd'hui pour jouir avec nous du Paradis, où les anges t’emportent maintenant.
Marisa - Je me promène et je vais à la rencontre des saints. Le Père Pio est près de moi. Oh mon Dieu, comme c’est beau!
Dieu le Saint Esprit - Reçois le Saint Esprit, mon enfant, aies la force et le courage de tout accepter, tout supporter, parce que c’est très dur de travailler sur cette planète Terre. Tu as vu combien d'hommes se sont convertis en peu de temps? Dieu le Père, Dieu le Fils et Moi, Dieu le Saint Esprit, nous nous en réjouissons beaucoup. Gloire à Dieu au plus haut des Cieux et paix sur la Terre aux hommes de bonne volonté. Réjouissez-vous et soyez heureux. Je sais que la Maman vous a dit que tant que vous serez sur cette planète Terre, les souffrances, les sacrifices et les privations ne manqueront pas. Priez, priez beaucoup pour ces âmes qui ne savent pas prier. Soyez obéissants, calmes pour autant que cela soit possible, respectez-vous mutuellement, oubliez l'âge, on doit respecter, les grands, les petits, les égaux tous. Ne soyez ni envieux, ni jaloux, ces vices vous entraînent au péché, soyez de braves enfants et grandissez avec Marie, la Mère de l’Eucharistie, qui vous apporte tant de belles lettres de Dieu et avec moi qui suis Dieu le Saint Esprit.
Regarde, Marisella, tu es vêtue comme moi ! Tu portes comme moi un vêtement blanc.
Il est si beau de parler, de se réjouir ou de dire quelque chose qui fasse sourire, parce que nous ne sommes pas qu’au Paradis, mais aussi sur la Terre au milieu de vous, donc si quelque chose ne vous plait pas, priez et invoquez le Saint Esprit. Il n'est nul besoin de faire de longs discours, il suffit de dire: Mon Dieu, pardonne-moi, je t’aime, je t’aime tant Seigneur, je t’aime de tout mon cur". Cela ne demande pas beaucoup de temps, et vous vous sentirez plus forts, plus courageux et vous pourrez allez faire de l’apostolat comme l’ont fait les apôtres.
Marisa - Ils ont reçu le don des langues, est-ce que Don Claudio le recevra également ?
Dieu le Saint Esprit - Quand Dieu le décidera, tu auras tout, Don Claudio.
Marisa - Déjà! Parce que Don Claudio avance en âge!
Dieu le Saint Esprit - Marisella, Marisella.
Marisa - Si ces choses sont dites à une personne dans les vingt ou trente ans, elle peut attendre, mais quand elles s’adressent à nous deux, il faut faire vite, même très vite. Tu dis: " Don Claudio, va, parle toutes les langues".
Dieu le Saint Esprit - j’envoie le Saint Esprit sur tous les couples qui se sont formés dans ce lieu thaumaturgique. Aimez-vous mes chers enfants. Vous ne pouvez pas tous croître de la même façon, parce que les caractères diffèrent les uns des autres. Souvenez-vous que Saint Pierre, Saint Paul et Saint Barnabé avaient leur caractère, mais ils sont ici au Paradis. Je rentre moi aussi dans le Père et je vous laisse la Maman.
La Madone - Mes chers enfants, avez-vous pleinement compris la lettre de Dieu le Saint Esprit? Elle est très humble, très simple et adaptée à chacun de vous, mettez-la en pratique. Donne-moi la petite croix, Marisella.
Marisa - Elle est pour celle que tu appelles Maria Flavia. J’aimerais te demander, petite Madone, si ce serait possible, après la paix dans le monde, de reconstituer cette famille, ce couple. Je sais, qu’ils ne croient pas, ne t’aiment pas, la font baptiser, non parce qu’ils comprennent l’importance du sacrement, mais parce que tous les enfants sont baptisés.
La Madone - Je vous invite à prier pour Maria Flavia, ses parents, ses grands-parents et son oncle prêtre qui a été gravement offensé. Je donne ma bénédiction particulière. Pourrais-tu retirer la croix, Marisella ?
Marisa - Tu dis que tu vois tout, mais tu ne la vois pas dans la pochette ? Il ne faut pas qu’elle se brise et que je doive en racheter une? Je sais que je ne suis capable de rien. Attends, il ne faut pas être pressé. Tu m’as dis de faire les choses calmement et je sors la croix calmement. De toute façon, Petite Madone, dis bien à Jésus que je vous remercie du déroulement de la nuit et du fait qu’aujourd'hui je me sens vraiment au Paradis. Soixante pour cent de mon corps me font mal et quarante pour cent vont bien, mais cela me suffit, c’est suffisant et je suis heureuse ainsi. Ecoute, quand je suis bien ce n'est pas parce que vous m’aimez plus ? et je sauve quand même les âmes ?
La Madone - Oui, Marisella, sois tranquille.
Marisa - Regarde, regarde comme elle est fine! Elle est pour Maria Flavia. Tu sais comment elle est née. Tu sais comme nous l’aimons. Si tu n’avais pas aidé, si tu ne m’avais pas envoyé chez elle, que ce serait-il passé? Je la fais embrasser par son oncle ? On dit grand-oncle. Tu ne connais pas les choses de la Terre, il est le grand-oncle comme je suis la grand-tant de Jacopo, ce petit polisson qui parle toujours. Je la remets maintenant dans l'étui.
La Madone - Mes chers enfants, qui est la Maman. Celle qui se soucie de tous, s’intéresse à tous, apporte la lettre de Dieu à ceux qui en ont besoin. Je ne suis pas seulement une Maman au Paradis ou une statue dans l'église; je suis ici, parmi vous, je vous aide et je vous aime tant.
Marisa - Oh mon Dieu, que de monde! Je reconnais grand-mère Sperenza, il y a même papa auprès de grand-mère Sperenza, grand-père Agostino, Stefanuccio. Oh, que d'âmes.
La Madone - Marisella, tu as reçu ce matin la sainte Communion parce que Dieu le voulait et tu en vis maintenant. Ton amour est si grand que tout ton corps est chaud.
Merci grand-mère Iolanda du sacrifice que tu as fait de venir ici, au milieu de mes enfants, pour goûter quelque chose de beau, hors de ta chambre.
Merci à vous tous ici présents. Merci encore pour la fête que vous avez faite le 16, mais le plus grand merci s’adresse à Jésus Eucharistie qui a versé son sang et puis vous a tous enclos dans son coquillage, vous étiez ainsi tous avec Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Ensemble avec les prêtres, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Faites un beau signe de croix, ne le faites pas comme si vous chassiez des mouches.
Marisa - O.K., adieu. Je t’ai dit O.K.. Adieu. Je ne te demande plus de me rendre ma voix. C’est tabou. Adieu à tous. Don Claudio, sais-tu que l’Esprit Saint était vêtu de rouge et d'un manteau blanc? Il était tout comme Jésus.
Don Claudio - Qui n’avait pas la colombe.
Marisa - Bien sûr, Jésus a les stigmates, l’Esprit Saint a la colombe.
Rome, le 25 mai 1999 - 18h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Le message que je vous ai donné ce matin, mes deux chers enfants, est très important, réécoutez-le et vivez le.
Merci de votre présence, mes chers enfants. Les humbles et les simples attendent quelque chose de la part de Dieu, alors que les grands et les puissants n’attendent rien du Seigneur. Ils poursuivent imperturbablement leur chemin, conquérant pouvoir, fauteuil présidentiel, sans se soucier de l’approbation de Dieu ou de faire Sa volonté. Vous priez pour la paix dans le monde et Dieu est heureux de vos prières, mais vous êtes peu nombreux! Si tous les hommes de la planète Terre priaient les uns pour les autres, pour la paix et ne faisaient pas la course au pouvoir, n'écrasaient pas les petits, bien des choses changeraient et il n'y aurait plus de guerre! Ce ne sont pas les humbles et les simples, mais les grands (et parmi eux pas seulement ce président ..) qui rivalisent à qui vaincra et accumulera le plus d’argent. Vous vous demandez: "Pourquoi Jésus et la petite Madone nous invitent-ils à prier pour la paix dans le monde, puisque nous sommes si peu nombreux?". Même l’un de vous peut l’obtenir, s’il agit avec amour, sans égoïsme, en pensant aux autres. Je vis la passion avec mon Fils Jésus, votre sur et votre prêtre. Il est aisé de comprendre pourquoi les gens ne viennent pas ici: parce qu’ils ne veulent pas faire la volonté de Dieu et parce qu’ici il n'y a pas de fanatisme. Même les grands ne viennent pas ici, parce qu’ils n'y trouvent rien, ils vont là où ils peuvent se distinguer, gagner et obtenir tout ce qu’ils désirent, humainement parlant; ceci fait beaucoup souffrir le Cur de mon Fils Jésus ainsi que le mien.
Je n’ai donné ce message que dans deux autres endroits. Si l’on se réfère à des messages qui ne correspondent pas à celui d’aujourd'hui, ces messages ne sont pas de moi, ce ne sont pas les miens. Faites attention, parce que le démon, comme il y est déjà parvenu, peut apparaître en tant que la Mère de l’Eucharistie. Courage, courage, courage, la Maman est près de vous. Si vous avez une petite souffrance ou si l’un de vos proches va mal, priez avec ferveur pour l’aider. Le monde entier est maintenant blessé et c’est pour cette raison que je vous demande beaucoup de prières. Merci.
Ensemble avec l'évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Je ne te demande rien, parce que d’après ce que tu as dit, je dois continuer et tout accepter. Adieu. Don Claudio, elle est partie, mais elle était triste, pas à cause de nous, pauvres créatures qui venons prier ici.
Don Claudio - Je sais.
Marisa - Ce sont toujours les grands qui font souffrir. Heureusement que je suis petite.
Rome, le 27 mai 1999 - 17h05 (Lettre de Dieu)
La Madone - Mes chers enfants, j’ai remis la lettre de Dieu au prêtre et à la voyante, mais que Dieu vous demande-t-il encore ? Prières et souffrances.
d’autres conflits se déclarent, les grands travaillent pour construire des armes puissantes afin de tuer, dominer le monde entier. Et que vous demande Dieu? Il ne vous demande pas de grandes souffrances, mais de prier. J’ai parcouru le monde, mais il est difficile d'y trouver des hommes prêts à donner leur vie pour leurs frères; Jésus l’a fait, quelqu’un l’a fait et le fait. Vous attendez le grand jour, je l’attends également, mais ce jour doit être solennel et pas assombri par la mort de tant de créatures. Les hommes continuent à mourir, à se massacrer, à se tuer, à piétiner tout ce que Dieu a créé. Ce n'est pas la vraie victoire. Le grand jour doit être grand pour tous ceux qui croient en Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Je suis venue ici tous les jours pour prier avec vous, même si certains ne s'en sont pas aperçus, afin de vous donner force et courage. Des moribonds sont revenus à la vie, des jeunes pensant au suicide ne se sont pas tués, de nombreux enfants mourants ont été sauvés. Dieu ne demande pas des prières pour s’amuser, mais pour que les hommes se convertissent. Vous êtes convertis, mais quand la grande épreuve en préparation du grand jour viendra, serez-vous encore fidèles? Oui, vous avez raison de dire " Dieu était au courant de cette guerre".
Bien sûr, mais il ne peut pas tout arrêter en provoquant la fin du monde, et ceci ne me semble pas beau. C’est pourquoi Jésus m’a demandé: "Maman ai-je échoué?". Voulez-vous l'échec de Jésus, l'échec de ce que Dieu a créé? Non, Dieu peut faire ce qu’il veut, quand il le veut et comme il le veut, mais il respecte l'homme qu’il a créé. Et que fait l'homme créé par Dieu à son image et ressemblance? Il tue pour le plaisir de tuer, invente des armes puissantes, des armes nucléaires, construit des bombes atomiques pour raser et conquérir d’autres nations et si beaucoup d'hommes meurent, peu importe, ce qui compte c’est que les puissants soient vainqueurs. Voulez-vous cela ?
Mes chers enfants, cherchez à comprendre ce que la Maman vous dit, je sais que c’est parfois très difficile. Même votre soeur a dit que c’est parfois difficile de comprendre: parce qu’aujourd'hui elle se retrouve comme au mois de mars, quand elle était mourante à l'hôpital. Alors il faut serrer les dents, continuer et prier, prier pour tous et surtout pour ceux qui ne croient pas, parce qu’il est plus facile pour les non-croyants de se convertir que pour ceux qui se disent croyants. Souvenez-vous de la phrase: "Apprenez à aimer et puis prier".
Réjouissez-vous de ce message, ne vous laissez pas aller et tenez-vous étroitement par la main, avancez avec joie et bonheur, même avec un peu de souffrance, parce que je suis avec vous, Jésus Eucharistie est avec vous. Courage!
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. C’est aujourd'hui le premier jour du tridium de préparation à la fête de la Sainte Trinité. Merci mes chers enfants.
Loué soit Jésus Christ".
Rome, le 30 mai 1999, 10h30 (Lettre de Dieu)
Marisa - Tu n'es pas venue seule, c’est aujourd'hui la fête de la Très Sainte Trinité et j’en profite pour te recommander tous les malades, tous ceux qui sont jaloux, orgueilleux et présomptueux, je te recommande tout particulièrement tous les enfants malades. Je me mets en profonde adoration devant Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Vous êtes encore plus beaux qu'hier! Puis-je vous demander lequel de vous Trois va parler? Toujours Jésus ? Jésus avec les stigmates, pas le premier Jésus, pas le troisième.
Jésus - Oui, mes chers enfants, c’est moi qui parle, au nom de Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit. Je vous ai donné hier soir une lettre fort belle. Ceux qui veulent la mettre en pratique, doivent la lire, la méditer, l’assimiler. Nos paroles ne sont pas difficile à comprendre, tous peuvent les comprendre, en particulier si l’on est en état de grâce et ni jaloux, ni envieux et susceptible, il est aisé de comprendre le message que Dieu vous donne, mes chers enfants. Il y a encore un qui pèche par susceptibilité, présomption, envie et jalousie. Pensez que si au Paradis, les anges, et les saints souffraient de l'envie et de la jalousie, nous serions toujours en train de discuter.
Ces mots vous sembleront insignifiantes, mais ce sont de grands mots car la susceptibilité, l’orgueil, l'envie et la jalousie vous amènent à dire des paroles désagréables à l'encontre de ceux qui aident, qui se dévouent totalement tout entier pour aider les hommes. Moi, Jésus, j’ai pardonné et je peux pardonner, mais je ne peux permettre que certains profitent de Jésus, un enfant comme Jacopo peut le faire, mais pas vous, parce que vous êtes adultes et que vous avez grandi. Je vous ai appris à aimer et hier j’ai ajouté: amour et pardon. Il y a beaucoup de personnes qui attachent beaucoup d'importance à réciter le rosaire, arme très puissante pour arrêter les guerres, mais qui se soucient peu du fait qu’elles font souffrir leur prochain, et cherchent au contraire à les blesser au coeur. Ce sont parfois justement ceux qui se disent proches de l'évêque qui le font souffrir. Jésus a encore quelque chose à vous dire: respectez et aimez mes jeunes, aimez-les; ce sont vos enfants et ils sont imparfaits comme vous, comme le sont tous les hommes de la Terre; aucun de vous n'est parfait, seul Dieu est parfait. Ceci je vous l’ai dit aussi hier soir. Si vous voyez que quelque chose ne va pas, et que c’est grave, intervenez, sinon pardonnez et taisez-vous! Quand j’avais vingt ans et que me trouvais au milieu des jeunes, j'écoutais leurs discours, leurs paroles, il semblait tout savoir et moi rien, mais je les écoutais, souriais et puis frappais légèrement sur leur épaule et disais: "Courage, mon frère, ton chemin est encore long".
Je vous le dis aussi: "Courage, mes chers enfants, éliminez les petites imperfections, émoussez les angles, faites que les perles deviennent toujours plus belles, que les diamants brillent toujours à la lumière du soleil, c’est-à-dire à la lumière de Dieu".
Marisa - L’Esprit Saint est maintenant également rentré dans le Père et la Mère de l’Eucharistie est là. Es-tu fatiguée de rester agenouillée? Nous disons de s’agenouiller à ceux qui le veulent, mais ceux qui ne le peuvent pas, peuvent rester debout, mais pas devant ceux qui s’agenouillent, sinon ils ne voient rien. Mais quand tu te feras voir, même ceux derrière les piliers te verront, n'est-ce pas ?
La Madone - Oui mes chers enfants, votre Maman vous invite à mettre en pratique ce que Dieu le Fils vous a dit. Vous vous rendrez compte vous-mêmes qu’il n'est pas difficile de faire la volonté de Dieu, qu’il n 'est pas difficile d’aimer et de pardonner au frère. Aimez mes jeunes, courage! Pensez à ceux qui veulent uniquement se divertir et d’autres choses. Que font mes jeunes au contraire? Ils viennent tous les samedis pour préparer et tous les dimanches pour aider alors qu’ils pourraient comme ceux de leur âge aller au bord de la mer et à la montagne, mais non, ils sont avec nous, avec vous, surtout avec le prêtre. Ils font tout avec amour, avec sacrifice, même si, comme je l’ai dit d’autres fois, l’un d’eux rouspète, mais c’est normal, parce qu’ils sont comme vous des créatures humaines, donc imparfaites.
Vivez en état de grâce, approchez-vous de Jésus Eucharistie en état de grâce, adorez le, aimez le, demandez lui les grâces dont vous avez besoin et si Dieu le veut, tout s’accomplira pour la gloire de Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit et pour moi, la Mère de l’Eucharistie.
Ensemble avec le prêtre, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés.
Marisa - J’ai vu que tu voulais bénir ceux-ci. Heureusement qu’ils sont petits ! Tu ne veux pas les voir parce que tu sais déjà ce qu’il y a dedans.
La Madone - Je bénis les petits enfants, surtout les malades; grand-mère Iolanda: prie pour la paix dans l’Eglise. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ, Sainte Fête de la très Sainte Trinité, Dieu Unique en Trois Personnes.
Marisa - Tu n'en veux pas un?
La Madone - Non, Marisella, non.
Marisa - C’est bon, adieu. Ils sont partis, la Madone est partie la dernière.
(Quelques minutes plus tard, la Madone apparaît de nouveau à Marisa))
La Madone - Dieu le Père m’a dit: "Marie va de nouveau voir mes enfants, va les féliciter, les aider à faire avancer la mission si dure et si douloureuse". Et je suis revenue vers vous. La lettre que j’ai donnée à votre sur est difficile, mais elle peut le faire. Je vous invite à prier pour sa dure et difficile mission, incompréhensible pour les hommes de l’Eglise. Je suis venue également pour vous dire que tout ce que vous avez préparé pour la Fête du Dieu Unique en Trois personnes est beau et merveilleux; tout ce qui passe à l’intérieur de ce lieu est beau, en particulier parce que fait avec amour.
Courage, Marisella, ta mission est très dure et difficile. Courage, ma fille. Quand le moment viendra, tu viendras te réjouir avec nous, car tu ne peux être heureuse sur la Terre.
Marisa - Je n'ose plus rien te demander, je me contente d'écouter ce que tu me dis. C’est difficile, humainement parlant, de mettre en pratique ce que tu m’as dit, mais si tu m’aides, si tu m'envois l’ange pour m’aider, je ferai ce que Jésus me demande, mais souviens-toi que je suis petite, petite par rapport aux grands hommes.
La Madone - C’est pour cette raison que Dieu t’a choisie, mon enfant, justement parce que tu es petite par rapport aux puissants, aux grands, mais c’est ta mission, puisque Dieu te l’a confiée. Courage, n’aie pas peur, laisse les dire et faire ce qu’ils veulent, ne t’en préoccupe plus. Regarde? Toutes ces personnes ont été sauvées, mais toutes ces autres sont damnées, aide-moi à en sauver encore. Adieu Marisella.
Marisa - Adieu. Don Claudio! Avant quand la Madone parlait, tu étais ici.
Don Claudio - Oui, nous avons entendu et surtout nous avons compris aussi.
Marisa - Tant qu’elle est là, je me sens forte et quand elle s'en va, je me sens faible.
Messages de Juin 1999
Rome, le 10 juin 1999, 17h00 (Message de la Madone)
La Madone - Le coeur de mon fils Jésus a explosé pour la deuxième fois. Si vous regardez bien, l'hostie a pris la forme d'un coeur, un coeur immense, plein d’amour pour tous. Vos prières, vos adorations de l’Eucharistie qui a saigné, vos vigiles ont contribué à obtenir la paix, mais attention mes chers enfants, ce n'est pas encore la paix véritable. Il y a tant de réfugiés;
Je parle également de la paix dans le monde, de la paix dans l’Eglise. Combien de prêtres continuent à proférer calomnies et diffamations! Combien de mal a été fait à Jésus l’Eucharistie qui a saigné.
Les radios catholiques, les prêtres, les évêques et les cardinaux disent du mal de ce lieu thaumaturgique. Mais je suis ici, le cur de Jésus a explosé ici et a déversé son grand amour sur vous tous. Regardez autour de vous, mes chers enfants. Vous êtes peu nombreux mais Dieu vous a fait don des plus grandes grâces et des plus grands miracles. Dans toute l'histoire de l’Eglise, une hostie ayant versé du sang n’a jamais versé de nouveau du sang un an après.
La franc-maçonnerie a bien travaillé. Les grands hommes ont bien travaillé, essayant toujours de resserrer l'étau de fer autour du cou de mes enfants et humainement parlant ils y ont réussi. Regardez votre prêtre: il est seul, il n’a plus de force. C’est à vous de lui en donner, à vous de l’aider.
Mes deux enfants continuent à verser des larmes et moi, la maman, je pleure avec eux. Vous attendez tous la paix, la paix après la guerre, mais quant est-il de la paix dans l’Eglise, de la paix entre les hommes d’eglise ? Combien ont peur, s'en vont et disent pour leur défense "on doit faire preuve d'obéissance".
Mes chers enfants, votre prêtre a toujours été obéissant, il n’a pas succombé au chantage. Aurait-il dû renier l'hostie qui est apparue, renier Jésus l’Eucharistie qui a versé du sang, pour ne pas être suspendu "a divinis ".
Ce genre de chantage n’a jamais eu lieu auparavant dans l’Eglise. Il y a eu de fort vilaines choses, mais on n’a jamais ordonné à un prêtre de renier l’Eucharistie qui est apparue ou l’Eucharistie qui a saigné.
n’ayez pas peur de parler, mais n’attendez rien. Ne discutez pas, racontez le grand miracle du miracle dans le miracle.
La paix ne dépend pas du fait que le Saint Père ait parlé, que les grands hommes aient parlé, non elle se réalise avant tout par votre propre mérite.
Dites le carrément, criez le à tous que vous avez prié pour la paix, mais il reste encore beaucoup à faire. Pensez au grand nombre de familles sans abri, aux nombreux enfants sans parents. Comment un père pourrait-il oublier que son enfant a été étranglé ? Comment une mère ne pourrait-elle avoir constamment sous les yeux toutes ses scènes atroces que toi, Marisella, tu as vu tant de fois en bilocation ? Votre sur aimerait mettre fin à tout ça, s'en aller et se retirer en vous disant auparavant: "Si vous aviez compris l’importance de l’apparition eucharistique, vous continueriez à venir ici sans avoir besoin de moi et des apparitions de la Madone. Je ne suis pas rien, pendant tant d’années j’ai fait tout ce que je devais faire et j’ai accepté toutes les souffrances". Ces paroles, votre sur les a dit à Jésus qui l’a laissée parler et l’a écoutée parce qu’elle a raison.
Mes chers enfants priez, priez pour que le Saint Père comprenne qu’il y a un fils qui meurt pour l’Eglise. Celui qui a vu mourir ses propres fils sait ce que cela signifie.
Faites que le Saint Père ne laisse pas mourir le prêtre uniquement parce qu’il est humble et simple, parce qu’il n’a aucun soutien. Il n’a que vous et c’est une belle chose qu’il vous ait à ses côtés, humbles et simples, vous qui cherchez à l’aider en toutes choses. Jésus en est heureux et la Maman vous en remercie. Je suis la Mère de l’Eucharistie, mais les hommes d’eglise ne veulent pas me reconnaître ce titre et ne veulent pas accepter que l’Eucharistie ait versé du sang dans ce lieu thaumaturgique.
Mes deux chers enfants, je sais que vous avez tout donné pour Dieu, pour l’Eglise, pour les hommes, que vous avez vécu tant d’années de sacrifices et de souffrances. Votre soeur l’a dit avec justesse: "Est-ce que les joies nous sont interdites ? Devrons-nous toujours souffrir et encore souffrir ?". Mes chers enfants, le Padre Pio a beaucoup souffert, mais pas autant que votre prêtre et votre sur, parce qu’il était entouré d'un grand nombre de frères et de personnes qui l’aimaient. Saint François a également beaucoup souffert, mais il était entouré de nombreux frères. Votre prêtre n’a aucun ami prêtre à Rome. Il n’a d’amis qu'à l'étranger qui lui téléphonent et viennent lui rendre visite lorsqu’ils sont de passage à Rome. Il a aussi quelques amis prêtres dans le Nord de l’italie. Mais où sont tous les cardinaux, les évêques et les prêtres qui se sont convertis ? Ils ont peur d'un cardinal ? Comme est-ce possible ?
Mes chers enfants, la maman devait vous parler de cette façon afin que vous puissiez comprendre combien souffrent mes deux enfants. Mon cur est triste et je souffre également de voir que tant de mes prêtres de prédilection ne s’aiment pas, sont sans amour, et n’aiment que le pouvoir, leur position et l’argent qui fait la ruine de tant de gens.
Rome, le 11 juin 1999, 18h30 (Message de Jésus)
Jésus - Je vous remercie de vos prières répondant aux intentions du prêtre.
Dimanche dernier, mon Coeur a explosé de nouveau et le sang s'est remis à couler. C’est le cur qui a tant aimé les hommes pour finalement mourir sur la croix.
Vous avez tant prié, vous avez adoré Jésus l’Eucharistie qui a versé son sang pour obtenir la paix, mais ce n'est pas encore la paix véritable, car vous savez que lorsque je parle de paix véritable je pense à la paix dans l’Eglise. Soyez vigilants, car c’est uniquement parce que Dieu a voulu faire ces grands miracles, qu’il y tant d'hommes, en particulier dans l’Eglise, qui combattent mes deux chers petits enfants.
Combien de fois vous ai-je dit que le prêtre est toujours obéissant. Il ne pouvait obéir aux hommes d’eglise, quand ceux-ci lui ont ordonné de me jeter, moi Jésus l’Eucharistie, car s’il l’avait fait, il aurait commis un péché très grave. Ne pas obéir est commettre un péché grave. Profaner l’Eucharistie est un péché grave.
Mes chers enfants, votre prêtre n’a pas désobéi aux autorités ecclésiastiques, mais obéi à Dieu et à son coeur.
"Jette ce morceau de pain et nous te donnerons tout ". Il eut dû me prendre et me jeter , vous dire qu’il vous avait trompé et tout renier. O non ce n'est pas de l’obéissance, mes chers enfants, l’obéissance signifie amour et sacrifice et non pas jeter l'hostie qui a saigné. Pourquoi toute cette lutte contre ce lieu thaumaturgique ?
Pourquoi le Vatican, le vicariat et les radios catholiques sont-ils contre mes deux chers petits enfants ? Vous demandez-vous pourquoi ? C’est parce que Jésus l’Eucharistie fait peur, parce que recevoir Jésus l’Eucharistie signifie vivre en état de grâce, aimez et faire le don total de soi.
Oui c’est vrai que la maman a donné hier un message très fort et que vous avez souffert, mais c’est la situation telle qu’elle est mes chers enfants.
Ils cherchent à tuer celui qui aime. Cela leur importe peu que l’Eucharistie soit apparue, qu’elle ait saigné et continue de saigner; hier encore, vous l’avez vu, elle a versé quelques gouttes de sang, alors que ma et votre maman pleurait.
Je lui ai demandé: Maman ai-je failli ? Mes deux chers petits enfants lui ont demandé ? Est-ce que nous avons manqué à quelque chose ? Où, quand, et pourquoi ?. Nous obéissons toujours à Dieu et aux autorités ecclésiastiques.
Ils ne peuvent obéir aux autorités ecclésiastiques qui ont ordonné de me jeter, moi, Jésus l’Eucharistie. Pour cette raison, le prêtre est condamné, critiqué, calomnié et diffamé par les cardinaux, les évêques, les prêtres, les religieuses, les laics impliqués et les radios catholiques. Cet étau de fer, si fort, si puissant, parce qu’il sont puissants mais uniquement pour eux et non pour Dieu est toujours serré autour du cou des mes deux chers petits enfants. Ce n'est pas leur faute si Dieu les a choisis.
Je suis votre Jésus celui qui vous a aimé jusqu'à la mort. C’est mon coeur qui a débordé de joie pour vous. Mon sang a explosé non seulement pour vous ici présents, mais pour le monde entier.