Eucharist Miracle Eucharist Miracles

Année sociale: 2000-01

3,000,000,000 âmes converties

Les messages suivants de Dieu n'ont pas été traduits par un traducteur professionnel. S.E. Mons. Claudio Gatti a reconnu l’origine surnaturelle des apparitions (Décret du 14/9/2000), il n' a toutefois donné son approbation ecclésiastique qu’aux messages en langue italienne, parce qu’il n'est pas responsable des fautes éventuellement commises par le traducteur.

Messages de Septembre 2000

Rome, le 14 septembre 2000, 22h50 (Lettre de Dieu)

Marisa - Les trois Jésus sont présents. (C’est la Sainte Trinité)

Jésus - Tu ne peux t’agenouiller, mon enfant, mais ceux qui sont au Ciel et vous sur terre, si vous le pouvez, agenouillez-vous et baissez la tête devant la Sainte Trinité).

Moi, Jésus, je vous parle au nom de la Très Sainte Trinité, de Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit, moi Dieu le Fils, des anges, des saints et surtout de ma et votre maman, Marie, la Mère de l’Eucharistie. Nous nous sommes réjouis de votre obéissance. Excellence, tu as signé le décret, tu as comme toujours obéi à Dieu. Tu as également obéi aux hommes d’eglise mais eux t’ont jeté dans la boue. N'insiste pas, comme nous te l’avons déjà dit , obéis à Dieu, obéis nous. Dieu a créé l'homme, Dieu est le maître absolu du Ciel et de la Terre.

En ce grand jour, vous avez donné de la joie à la Sainte Trinité, à la Mère de l’Eucharistie à tous les anges et tous les saints. Il est tard, mais au Paradis brille une lumière douce qui n’aveugle pas, comme tu peux le voir, Marisella. J’aimerais que cette lumière entre dans vos coeurs; c’est une lumière qui réjouit le cœur de ceux qui s'en approchent. Lorsque vous avez reçu en communion l’Eucharistie que la Madone et moi avons apportée dans ce lieu thaumaturgique, vous en avez senti le parfum et une grande chaleur a envahi votre coeur. C’est Dieu.!

Personne sur terre n’a jamais vu Dieu. Toi, Marisella, a vu à travers des images, le Dieu du Ciel et de la Terre. Le Dieu qui aime les hommes et qui retient encore son bras parce qu’il attend les conversions qui se font attendre.

Vous vous êtes réjouis et nous aussi nous nous sommes réjouis. Vous avez vu des papes, des évêques et des prêtres autour de moi. Toutes les âmes que vous avez sauvées par vos sacrifices sont présentes. Elles entourent la maman et vous regardent comme pour dire: "Courage, frères, pensez à la joie éternelle ".

Aujourd'hui c’est la fête de l’Exaltation de la croix. C’est ma fête et la fête de chacun d’entre vous. Je vous ai dit : la croix est joie et non souffrance ; la mort est vie et non souffrance.

Celui qui a suivi un chemin spirituel comprend que mourir c’est vivre et que la croix est joie. Ces âmes prient pour vous. Tu reconnaîs ton frère, le Saint Padre Pio, Saint Jean XXIII, Saint Pie IX, Pie XII, Paul VI et le grand Don Enrico. Quand vous avez parlé de la suspension " a divinis " à Don Enrico, il vous a répondu: "Je vous présente le calice et la patène pour la Sainte Messe". Souvenez-vous de ce jour là ?

Mes chers enfants, mes enfants adorés, je n’ai pas de mots pour remercier votre évêque qui a obéi à Dieu en signant le décret. Vous n’avez pas tous compris l’importance de ce décret. L'évêque ordonné par Dieu a obéi à Dieu en signant le décret. Courage, vous n'êtes pas seuls. Celui qui est avec Dieu est avec le Paradis, de qui pouvez-vous avoir peur ? vous êtes avec le paradis.

Il y a cinq ans, l’Eucharistie est sortie du crucifix: vous vous en êtes réjouis puis vous avez beaucoup souffert. Il y a eu d’autres apparitions eucharistiques et bien d’autres souffrances jusqu’au 11 juin 2002, jour où Dieu a posé son sceau avec le dernier miracle eucharistique. Après la consécration de l'hostie, où je suis présent avec mon corps, mon sang, mon âme et ma divinité, le sang a jailli. Je suis le fils de Dieu, la deuxième personne de la Sainte Trinité, je suis Jésus qui a été calomnié, diffamé, sur lequel on a craché, qui a été blessé et qui est mort sur la croix. Je vous le répète: la mort est vie, la croix est joie.

Tous mes meilleurs souhaits et merci à tous. Je suis Jésus, j’entre dans le prêtre et le prêtre entre en moi, nous sommes un.

La Madone - Je suis votre maman. Je te remercie de l’obéissance faite à Dieu, excellence révérendissime, mon cher prêtre de prédilection, et de tout ce que tu fais pour les âmes, pour l'église, pour tous.

Messages d'Octobre 2000

Rome, le 1er octobre 2000 - 10h45 (Lettre de Dieu apportée par le Saint Esprit)

Dieu le Saint Esprit - Moi, la troisième Personne de la Très Sainte Trinité, le Saint Esprit, je suis venu aujourd'hui pour vous parler de Moi. Le Saint Esprit vient et souffle là où il veut, il appelle les âmes, donne des dons et aucun homme de la Terre ne peut dire: "A moi oui, mais pas à lui". C’est Nous qui choisissons à qui faire ces dons. C’est Nous, Dieu Un et Trois, qui envoyons des dons. Comme le vent, le Saint Esprit souffle là où il le veut et quand il le veut et ne reçoit d'ordres de personne. Mais parfois, mes chers enfants, quelqu’un exige de Dieu quelque chose qui n'est pas dans son esprit.

Nous sommes arrivés à un point où l'homme commande à Dieu. Marie, la Mère de l’Eucharistie, a dit dans la lettre qu’elle vous a apportée: "Dieu est mis à la seconde place, pas par vous, mais par les autorités. Selon les hommes, les autorités ecclésiastiques viennent en premier, puis Dieu. Ses commandements et les préceptes de l’Eglise ne sont pas respectés, le sixième commandement n'est pas observé et ceux qui observent le troisième le font par habitude".

Vous ne pouvez pas vous imaginer combien d'hommes ne respectent pas le sixième commandement et quand je dis hommes j’entends aussi les femmes. Les malades non plus ne sont pas respectés.

J’aimerais aborder aujourd'hui dans mon discours le thème des personnes âgées. Les petits enfants sont consolés, on les prend dans ses bras et on les berce, mais les personnes âgées elles sont mises à l'écart, on ne se souvient d’elles qu’une ou deux fois par an. Combien de personnes âgées sont mises de côté et vivent seules? Leurs enfants n'ont pas le temps, ont à faire, sont très occupés et les parents se morfondent. Faut-il attendre que les personnes âgées meurent pour que tous se réunissent autour d’elles? Ceci est grave et c’est un péché.

Mes chers enfants, vous savez que les lettres que je vous donne ici, s’adressent au monde entier, à tous les hommes de la Terre. Essayez d’aller rendre visite aux personnes âgées: elles pleurent, ont des enfants mais ils ne leur rendent pas visite, elles sont seules. Essayez de leur tenir compagnie pendant une petite heure. Les personnes âgées fatiguent, n'écoutent pas, ne comprennent pas; oh non, elles comprennent parfois mieux que leurs enfants. Et quand elles ne comprennent pas, il faut les aimer quand même, leur être proches et leur offrir un peu de votre temps.

Je ne vous ai jamais parlé ainsi des personnes âgées, mais Dieu le Père a voulu que je vous en parle aujourd'hui.

Marie était âgée lorsqu’elle est morte, mais elle n’a jamais été seule. Elizabeth, Sainte Elizabeth, la mère de Jean Baptiste, est décédée à un âge avancé. Zacharie est également mort âgé. Aujourd'hui, les hommes ne pensent qu'à eux, ils ont tout maintenant. Que représentent les vieux pour eux? Rien, rien, ils ont désormais vécu leur temps. Non! Ce n'est pas ainsi que nous pensons. Les personnes âgées doivent être respectées, ont besoin de compagnie, de quelqu’un qui leur rend visite, ce quelqu’un devrait être leurs enfants, leurs proches qui ne se rendent pas visite. Ils ne peuvent avoir d’amis parce qu’ils sont âgés, leurs parents sont pris par leur travail. Combien de pauvres vieux sont placés dans les hôpitaux, en particulier ceux qui viennent de pays lointains.

La raison en est toujours la même: la charité manque. Et quand elle manque, tout vient à manquer: vous pouvez faire beaucoup d’aumônes, aider beaucoup de personnes, mais si vous n’aimez pas, si vous manquez de charité, vous n’avez rien fait. Lisez l'épître de Saint Paul: "Vous pouvez faire les plus belles choses du monde, mais si vous n’avez pas la charité, vous n’avez rien fait ". Moi, qui suis le Saint Esprit, qui souffle là où je veux, je dis à beaucoup de mamans, de papas et de jeunes: allez voir les personnes âgées, donnez leur une heure de votre temps et Dieu vous en bénira, c’est du reste en plus d'être un acte de charité, aussi un devoir.

Mes chers enfants, divers points ont été abordés dans cette lettre qui était d’abord un message privé, puis la lettre de Dieu: Nous demandons seulement l’amour, vous demandez la paix, mais vous êtes les premiers à ne pas vous la donner entre vous.

Permettez-moi d’adresser mes vœux à grand-mère Iolanda, dont c’est demain l’anniversaire. Cette femme est plongée dans la prière et les douleurs et personne ne sait combien elle souffre et elle prie. Cela fait 94 années de souffrances et de prières. Elle prie pour ses enfants, petits-enfants et pour vous tous ici présents, elle prie pour quiconque demande des prières et ses prières s'élèvent vers Dieu, surtout pour l'évêque. Tous mes vœux grand-mère Iolanda, merci de ce que tu fais pour l’Eglise et pour l'évêque, merci des prières que tu récites pour tes enfants, petits-enfants, pour tous.

La Madone - Le Saint Esprit est parti et ce qu’il a dit est très important, même s’il a abordé brièvement beaucoup de points. Je suis venue pour t’adresser mes vœux grand-mère Iolanda, mes vœux de sainteté pour toutes les prières, toutes les souffrances que tu vis pour l’Eglise, pour tes enfants, pour tous, surtout pour ton évêque. Quand quelqu’un entre dans ta chambre, tu lui dis: "Je prie ce rosaire pour l'évêque"; en vérité tu dis pour: "Son Excellence". Nous nous en réjouissons beaucoup. Continue à prier pour son Excellence, il en a tant besoin. Et vous tous, apprenez à aimer et puis priez, apprenez à respecter et puis priez. Merci.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. j’envoie un baiser aux enfants et à ceux qui sont encore dans le sein maternel.

Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Merci, Marisella, pour la passion que tu vis.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Elle est partie, Don Claudio.

Rome, le 15 octobre 2000 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Saint Joseph - Dieu m’a appelé, moi, l'époux de la Mère de l’Eucharistie, humble et simple charpentier et m’a dit: "Toi, Joseph, va porter la lettre à mes enfants". Dieu vous dit que le privilège qu’il vous a accordé, il ne l’a donné à aucun autre; personne d’autre ne jouit d’autant d’apparitions, ne reçoit autant de reproches maternels, n'est le destinataire de la correction fraternelle et de tant d’amour comme vous. Depuis sa naissance jusqu'à ce jour, Jésus, n’a jamais recherché les choses éclatantes, il a seulement fait la volonté du Père. Mes deux petits enfants aussi font toujours la volonté du Père, comme vous. Bien sûr, il arrive parfois que la nature humaine se rebelle, qu’on rouspète, se lamente, mais c’est normal, parce que vous vivez sur la planète Terre. Vous devez chercher à vous aider mutuellement; mais attention ne vous dorlotez pas mutuellement, mais aidez-vous les uns les autres. Il y en a un qui ne pense qu'à sa famille, même s’il ne parvient pas à donner de bons conseils, parce que les différences entre les parents et les enfants sont très grandes. Un autre étend un petit peu sa vue aux amis et proches. l’un de vous a un dévouement total. Quand il s’avère nécessaire de faire un reproche, une correction, l'évêque doit le faire, il ne peut se taire, il manquerait de charité à votre égard et ce n'est pas bien de manquer à la charité.

Foi, espérance, charité. La foi s’acquiert en priant, l'espérance donne la certitude d’aller jouir de Dieu, la charité demeure à jamais, même quand Dieu vous emmènera au Paradis : Dieu est amour. Personne d’autre n’aime comme Dieu.

Mon épouse bien-aimée vous aime, vous réprimande, vous fait des reproches maternels, parce que Dieu le veut.

Vous ne prêtez parfois attention qu'à ceux qui vous sont proches et êtes prompts à tout leur raconter. En revanche, vous ne parlez pas à Dieu, parce que vous ne le voyez pas.

Parlez à Dieu, mais avant de lui parler, aimez votre prochain; j’entends par là non seulement, votre noyau familial, vos amis et proches, mais tous. Vous devez aimer tous les hommes, en particulier ceux qui en ont le plus besoin, ceux qui souffrent, qui sont seuls et abandonnés et je me réfère ainsi aux personnes âgées et aux pauvres. Que de pauvres dans le monde!

Dieu attendait que la moitié des hommes de la planète Terre se convertisse, mais malheureusement ces conversions n'ont pas eu lieu. Il ne sert à rien que les journaux relatent que des milliers et des millions de personnes se sont réunies pour une journée et qu’ensuite tout soit fini. Vous, au contraire, êtes plus chanceux, car comme vous êtes peu nombreux, vous pouvez être mieux guidés par le prêtre. Quand il y a beaucoup de monde, comment faire pour suivre ceux qui se conduisent bien ou mal? Je vous ai déjà dit que lorsqu’il y a foule, on discute, on se querelle et on se bouscule. Qu’ont gagné ceux qui ont organisé ces imposantes réunions? La gloire? Mais la gloire est à Dieu et à vous aussi, si vous êtes en union avec lui. Vous devez aimer tous les hommes de la Terre, pour être totalement unis à Dieu. A quoi servent trésors et milliards si vous perdez ensuite votre âme? Les radios catholiques reçoivent des milliards tous les ans, le Vatican possède des trésors, les hommes d’eglise possèdent des maisons et des villas, alors que des enfants meurent de faim et n'ont pas de médicament.

Il y a des guerres partout; les hommes sont tués, fauchés comme des brins d'herbe. Non! Dieu vous a choisis pour cette mission et ne peut vous abandonner, mais il ne peut pas ne pas vous réprimander si quelque chose ne va pas. Baissez la tête et dites: "O mon Dieu, c’est vrai, j’ai fauté!".

Pensez-vous que votre sœur ne souffre pas lorsqu’elle ne peut descendre? Elle était prête à descendre aujourd'hui, mais le temps ne le lui a pas permis. A cause de sa maladie, elle ne peut être avec les gens et sortir lorsque le temps est mauvais.

Vous êtes toujours des privilégiés par rapport à des millions de personnes qui vont d'un sanctuaire à l’autre et font des dépenses. Ils ont de grandes églises et vous qu’avez-vous? Une tente qui ne peut même pas être utilisée lorsqu’il pleut; mais ceci n'est pas important, ce qui importe c’est d’aimer.

Dieu a fait beaucoup de promesses et Il les tiendra, croyez-moi, mais il attend la conversion des hommes. Il crie chaque fois: convertissez-vous et aimez-vous.

Bonne sainte Messe à tous. Tous mes voeux à celle ….. et aux femmes enceintes. Quand mon épouse bien-aimée attendait l’Enfant Jésus, je caressais souvent son ventre et tandis que nous croisions les mains, nous levions nos yeux au ciel vers Dieu et récitions les psaumes. C’est la beauté de la maternité: unir l'homme et la femme en caressant le petit enfant dans le sein maternel.

Merci de votre présence, mes chers enfants.Vous êtes venus écouter la lettre de Dieu en dépit du mauvais temps et Dieu vous en bénira un jour.

La Madone - Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les enfants, les malades, les personnes âgées, les drogués, les prisonniers, les alcooliques; combien de personnes doivent être bénis. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Saint Joseph - La maman étend son manteau sur chacun de vous. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Merci à Dieu qui m’a donné la possibilité de venir vous apporter sa lettre. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Adieu, Saint Joseph. Don Claudio est heureux quand tu viens. Tu ne t’es fait voir de lui qu’une fois, fais-toi toujours voir!

Saint Joseph - Il me verra toujours, quand Dieu le voudra.

Marisa - Adieu. Ils sont partis, Don Claudio. Saint Joseph était beau et ce n'était pas moi qu’il regardait, mais toi.

Don Claudio - Nous avons un feeling.

Rome, le 22 octobre 2000 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Aide nos malades. Tu dois les réconforter, donner de la force à ceux qui sont proches de ceux qui souffrent ainsi qu'à leurs parents, parce que ceux qui meurent en état de grâce vont au Paradis, mais ceux qui restent, les parents et les amis souffrent davantage; aide-les tous. Je ne sais pas si je te verrai encore, si ma vie se termine aujourd'hui. Est-ce que je ne te verrai plus? Mais si tu le veux, aide ceux qui restent et donne leur beaucoup de force.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Votre soeur désire vous laisser ce testament spirituel d’amour et de paix.

Ne soyez pas en colère après quelqu’un, ne soyez ni envieux ni jaloux de quelqu’un; vous savez maintenant que l'envie conduit à la méchanceté et la méchanceté à la calomnie et à la diffamation. Tout commence avec la jalousie; la jalousie envers le frère plus doué, envers les proches ayant un salaire plus élevé; jalousie envers les biens d’autrui.

Vous connaissez maintenant l'histoire de mes deux chers petits enfants et vous savez que beaucoup de prêtres, d'évêques, de cardinaux et d'âmes les ont accusés, calomniés et diffamés uniquement par jalousie et envie, bien que possédant tout: pouvoir, argent et position.

Votre sœur désire vous laisser ce testament spirituel: aimez-vous toujours, aidez-vous les uns les autres, ne médisez pas, ne soyez pas envieux, ne critiquez pas, ne confondez pas critique et correction fraternelle; la correction fraternelle s’adresse à tous, grands et petits. Vous confondez souvent la correction fraternelle avec la critique; quand l'évêque vous reprend, il s’agit de correction fraternelle. Si quelqu’un qui n'est pas comme il faut critique son frère, il n'est pas digne de Dieu, il n'est pas digne de son amour, parce que Dieu est amour, aime tous les hommes même ceux qui se conduisent mal.

Vous, vous êtes assez bien, mais il y en a qui vont mal, très mal et ne verront pas demain. Si avant d’exhaler le dernier soupir, une âme demande pardon à Dieu et s'unit davantage à Dieu, elle sera sauvée; ceux qui meurent dans les bras de Dieu sont sauvés.

Vous devez beaucoup y réfléchir et dire: "Entre le bien et le mal, il est préférable pour moi d’accepter le bien" vous devriez même être un peu malins: "Si je dois mourir aujourd'hui, entre le mal et le bien, je cherche le bien, je cherche l’amour de Dieu".

Marisa - Moi aussi, petite Madone, j’aimerais mourir dans tes bras, quand j'étais enfant, tu me prenais dans tes bras, tu me cajolais et nous jouions ensemble avec les anges.

Aujourd'hui je veux être dans tes bras, parce que malgré tout, je t’aime tant. Si ces souffrances sont des souffrances naturelles, je dois les accepter, je ne dois pas me lamenter. N'est ce pas?

La Madone - Oui, mais se plaindre est humain, Marisella. Se plaindre pour une douleur aussi grande est humain, donc ne t’inquiète pas, plains-toi simplement, pleure simplement.

Marisa - Je voulais aller au milieu de ton et mon petit troupeau. Ne grandira-t-il jamais?

La Madone - Si, tout viendra pour ceux qui savent attendre, mais bien sûr pas pour toi. Intensifiez vos prières, mes chers enfants.

Quand vous êtes à l'église, ne regardez pas ce que fait votre frère: s’il prie ou ne prie pas, s’il est assis ou debout. Quand vous assistez à la Sainte Messe, il ne doit y avoir que Jésus pour vous.

Comme il est beau de parler avec Jésus et d’assister à la sainte Messe en y participant intensément! L'âme en état de grâce, écoute Jésus dans son Coeur et lui parle comme si elle le voyait.

Quand vous êtes en état de grâce, parlez à Jésus et vous l'entendrez dans votre coeur. Cherchez à lui parler, à frapper à sa porte et à lui demander son aide, cet aide que beaucoup d'hommes de la Terre ne demandent pas, cet aide dont ils disent ne pas avoir besoin parce qu’ils se sentent en ordre.

Avez-vous vu combien de millions de personnes sont venus à Rome pour ces jours de fêtes, mais qu’en est-t-il resté? Rien, rien. Ils font des choses éclatantes, Jésus ne l’a pas enseigné, mais il faut écouter, méditer et mettre en pratique l’Evangile. La rencontre biblique laisse à désirer; vous êtes présents quand vous êtes curieux d’apprendre et absents quand vous ne l'êtes pas, et vous n'étiez pas là jeudi.

Je dois dire que vous n’avez pas compris l’importance de la rencontre biblique, l’importance de connaître votre Jésus. Le connaître signifie lui parler et attendre que Jésus vous parle. J’ai parfois l’impression que la lettre de Dieu vous entre par une oreille et sort par l’autre et que l’on ne met pas en pratique ce que Dieu dit. Combien de fois ne vous ai-je pas dit, que lorsque vous sortez de la Messe, vous devez méditer ce que vous avez entendu au cours de l’apparition, des lectures, du Saint Evangile, de l'homélie; parlez-en. Ne vous arrêtez pas à la grille pour parler, presque crier, discuter de choses qui n'ont pas de rapport avec la spiritualité. Ne gaspillez pas votre salive, gardez-la pour Dieu, gardez-la pour l'heure de votre mort; alors vous comprendrez combien l’amour est important, combien il est important d’aimer et de prier. N'est-ce pas, Don Claudio? Don Claudio, ne sois pas aussi abattu pour ta soeur, elle appartient désormais à Dieu et non à la Terre. Si elle était de la Terre, il n'en ne serait pas ainsi. Je vous recommande mes chers enfants de chercher à méditer cette lettre de Dieu et surtout d’accepter le testament spirituel. Désirez-vous embrasser Jésus et la Madone ? Desirez-vous aller au Paradis? Faites et acceptez le testament spirituel, il est très beau et sage également. Merci. Ensemble avec mon et votre évêque, qui souffre énormément, je vous serre tous sur mon Coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Adieu. Je suis prête, fais de moi ce que tu veux, je n’ai rien à te demander, que la volonté de Dieu soit faite. Adieu.

Rome, le 24 octobre 2000 - 19h10 (Lettre de Dieu)

Marisa - Tu as dit que tu voulais fêter aujourd'hui le septième anniversaire des apparitions publiques, mais je ne savais pas si je devais en avertir les gens, car ils ont parfois beaucoup à faire et si leur cœur ne les incite pas à venir mais qu’ils s'y forcent, tu n'es pas heureuse.

La Madone - Mais moi, Marisella, je ne pouvais pas ne pas fêter ce jour, car c’est une grande fête au Paradis, et vous devez vous en réjouir aussi sur la Terre. Vous avez tout repoussé au dernier dimanche du mois et c’est bien qu’il en soit ainsi, parce qu’il y en a qui travaillent, mais tu ne devais pas négliger le 24, parce que c’est le 24 octobre 1993 qu’a eu lieu ma première apparition ouverte à tous, mais je veux pas te faire de reproches. Tu as bien fait d'informer les gens et ceux qui le pouvaient sont venus. Quelques-uns ne l’ont pas fait, alors qu’ils auraient pu faire ce sacrifice, mais ceux qui sont malades, loin d'ici ou travaillent, ne pouvaient pas venir. Si Dieu m’avait dit: "Marie, fais toi voir de mes enfants", n'en aurais-tu pas souffert?

Marisa - J’aurais souffert d'une part, parce que tous ceux qui sont toujours venus manqueraient et d’autre part j’en aurais été très heureuse. Est-ce que Dieu te l’a dit?

La Madone - Non, Dieu n’a rien dit. Je veux également dire à ceux ici présents que Dieu n’a jamais dit à aucune voyante de la Terre quand aura lieu la fin de tout. Il n’a jamais parlé de trois jours de ténèbres et de tout ce qui s'ensuivra. Dieu a seulement demandé des prières pour qu’au moins la moitié des hommes de la Terre se convertisse. Ce point, la conversion de tous les hommes est laissée de côté. Si quelqu’un va à la messe et reçoit la Communion, cela ne signifie pas qu’il est converti. Etre converti signifie aimer et faire la volonté de Dieu. Quand je suis apparue pour la première fois, des prêtres, des religieuses et beaucoup de personnes étaient présents. Aujourd'hui les prêtres continuent à se retirer et à trembler; ils n'ont pas encore le courage de rassembler leur force et de dire à tous: "Réveillez-vous! Vous tombez de plus en plus bas, si bas". Mon amour pour vous et pour tous est immense. Cela fait sept ans que vous progressez avec fatigue et souffrances.Tout semblait facile au début, puis les grands hommes d’eglise en sont venus à vous retirer la Sainte Messe, l’Eucharistie et à qualifier les miracles eucharistiques de "phénomènes de foire" dus à l’intervention du démon; ils ont dit toutes sortes de choses. En dépit de ceci, vous êtes toujours ici et les apparitions continuent; il importe peu que vous soyez dix, vingt ou cent, ce qui compte c’est que la Mère de l’Eucharistie soit connue partout. Vous ne pouvez pas vous imaginer combien d'âmes connaissent à présent la Mère de l’Eucharistie, combien de groupes de prières se sont formés qui portent le nom de la Mère de l’Eucharistie.

Marisa - Pourquoi ne te fais-tu pas voir de lui?

La Madone - Don Claudio, tu m’as vue de façon stylisée et tu n'en es pas heureux; veux-tu me vois comme tu as vu mon époux bien-aimé Joseph?

Don Claudio - Oui.

La Madone - N'es-tu pas trop exigeant? Tu me verras, tu me verras quand Dieu le voudra, maintenant contente-toi de me voir sous une forme stylisée. Mes chers jeunes que votre et mon cher évêque appelle "ex jeunes" vous êtes venus en dépit des difficultés, de la fatigue, du travail et des études; malheureusement l’un d’entre vous a mis Dieu à la seconde place, même à la dernière et ceci est grave. Pour certains qui ont beaucoup reçu de Dieu, du prêtre et de la voyante, tout vient d’abord et puis Dieu, s’il y a le temps. Je vous donne un petit exemple, mais suffisamment important: je vous ai apporté dimanche un message douloureux, quelqu’un en a même pleuré, mais qui a pensé ensuite au moins à téléphoner à l'évêque pour prendre des nouvelles? Seuls deux ou trois. Les autres ont dit qu’ils n’avaient pas téléphoné pour ne pas déranger. Dans la chambre de Marisa aussi, seules deux ou trois personnes peuvent y entrer à la fois; vous ne pouvez y entrer en foule, parce qu’elle manque d’air et a du mal à respirer. Elle souffre énormément, physiquement, moralement et spirituellement et les stigmates sont particulièrement douloureux. Et pourtant, votre soeur s'est presque sentie coupable de ne pas vous avoir informés de l’anniversaire, puis avec mes encouragements elle vous en a parlé, mais elle n’a invité que les jeunes à venir et pas les adultes parce qu’il est plus difficile de les joindre. Combien de personnes étaient alors présentes le 24 octobre 1993, mais elles n'étaient venues que pour voir la voyante, demander des grâces et pas pour prier. Certaines d’entre elles sont parties après l’apparition, bien qu’il y eut ensuite la sainte Messe, qui a été supprimée après. Ces gens ne sont plus venus pendant trois ans et demi. Dieu s'est lassé et a dit: "Tu dois célébrer la Messe, tu dois célébrer l’Eucharistie". Don Claudio a recommencé à dire la Messe et le Vicariat lui a infligé d’autres coups durs.

Le moment le plus dur et le plus difficile a eu lieu ensuite lorsque Don Claudio a apporté au Vicariat l’Eucharistie qui avait saigné, l’Eucharistie qui se trouve maintenant devant vous: il s'est agenouillé et l’a montrée à l’Evêque qui, nerveux et le visage dur, lui a dit: "Jette ce morceau de pain, il est démoniaque comme le lieu où vous vous réunissez ". Puis il a continué en disant: "ou tu jettes ce morceau de pain ou nous te suspendons a divinis" et le prêtre a été suspendu a divinis. Dieu s'est lassé encore une fois et a dit: "Je t’ordonne évêque! Je te donne la plénitude du sacerdoce, parce que tu es l'évêque de l’Eucharistie". Combien de souffrances, combien de calomnies et de diffamations ont frappé mes deux enfants, mais ils sont ici: l'évêque dont la santé est chancelante et la voyante … dont vous connaissez bien la situation, mais je ne veux pas vous attrister, je veux plutôt vous remercier de l'effort que vous avez fait pour venir ici. Je vous demande de prier. Demandez à Dieu qu’il fasse descendre votre soeur dimanche, car cela fait longtemps qu’elle n'est pas descendue.

Marisa - Excuse moi, ne peux-tu le lui demander?

La Madone - Je joue mon rôle, ils jouent leur rôle.

Marisa - Oui, mais si tu vas trouver Dieu et que tu lui dis: "Mon Dieu, mon Tout, fais descendre Marisa?"Il te dira oui ou non. La voix de Dieu est pleine et forte, l’Evêque aussi a une voix forte et pleine, s’il le veut, il peut aussi faire trembler, non pour effrayer, mais pour se faire entendre. Puis-je te demander de me faire aller un tout petit peu mieux et puis-je te recommander Domenico et Silvano ainsi que tous ceux qui me téléphonent, me donnent des photos et ne vont pas bien? Moi, bien que mon état soit pire que le leur, je dois les écouter et les aider.

La Madone - Oui, Marisella, quand on ne se sent pas bien, on doit se mettre à part et écouter les autres. Je vous laisse maintenant à la Sainte Messe; chantez et glorifiez Dieu.

Marisa - Me direz-vous au moins une fois oui? Regarde, ma robe est déjà prête. Tu ne veux pas me dire, plus ou moins, quand tu m'emmèneras? Don Claudio me l’a demandé. Mère de l’Eucharistie, me feras-tu voir mes quatre petits-neveux qui doivent naître?

La Madone - Je le demanderai à Dieu.

Marisa - Oui, mais ne lui demande pas d'une voix douce, demande lui d'une voix ferme: "Mon Dieu, guéris Marisa". Non, je ne veux pas être guérie, bien que ce serait mieux de guérir; je me suis trompée, dis lui : "Mon Dieu, laisse-la voir ses petits-neveux".

La Madone - Disons maintenant ensemble devant l’Eucharistie qui a versé du sang: Notre Père …

Oui, dites aujourd'hui le Je vous salue Marie bien qu’il y a ait Jésus Eucharistie. Mes chers enfants, je vous adresse aussi mes vœux et vous remercie de votre présence. Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis ceux qui sont loin d'ici, je bénis les malades. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Tous mes vœux. Merci.

Marisa - Tu sais que je lui ai demandé cette chose …

Don Claudio - Je l’ai entendu.

Rome, le 26 octobre 2000 - 17h00 (Lettre de Dieu)

Marisa - C’est St. Joseph qui est venu! Comment se fait-il que la Maman ne soit pas avec toi?

Saint Joseph - Je suis venu, mes chers enfants, pour vous dire de faire au moins le triduum pour le septième anniversaire des apparitions de la Mère de l’Eucharistie. La lettre de Dieu est une lettre très importante et pénible.

Le Jubilé n’a été fait que pour attirer les gens à Rome et pour l’argent. Combien et combien de milliards ont été ainsi dépensés. Ils continuent à faire le Jubilé pour toute sorte de personnes. Pourquoi ne le font-ils pas pour tous les pauvres du monde? Pourquoi ne font-ils pas venir les pauvres à Rome pour faire le Jubilé? Pourquoi ne leur donnent-ils pas à manger et ne les aident-ils pas économiquement et spirituellement? Ceux qui ont fait le Jubilé n'ont élevé leurs prières, si nous voulons les appeler des prières, que pendant leur séjour à Rome, car une fois rentrés chez eux, ils ont repris leur vie normale: la course à l’argent, au travail et aux plaisirs, mettant Dieu à la dernière place; ceci n'est pas beau. Les hommes continuent à rivaliser à qui gagnera le plus, à qui aura le plus de pouvoir et à qui aura le rang le plus élevé. Ils parlent, organisent des conférences et des réunions, mais que donnent-ils après à ceux qui ont besoin de tout? Rien!

Votre Maman ne se sentait pas en état de venir. Je vous demande de faire les trois jours du triduum pour la conversion des grands hommes, de ceux qui disent croire, mais ne croient pas. Les âmes choisies par Dieu continuent à souffrir et à être harcelés dans et hors de la maison, partout, mais finalement ils auront la gloire. Dieu n’a besoin de personne, mais il choisit des âmes bien-aimées pour que les hommes se convertissent. Vous pensez souvent à vos enfants, à vos parents qui ne se convertissent pas, mais ils ont plus d’excuses que les grands hommes d’eglise qui ont tout reçu de Dieu, qui ont étudié et connaissent l’amour que Dieu leur a donné.

Reconnaissez-vous dans la croix qui donne la vie, la résurrection, la joie. Le démon continue encore à vaincre, continue à être fourbe et à pénétrer dans les coeurs aux moments les plus inimaginables.

Mes chers enfants, vous devez avoir beaucoup de courage. Pourquoi les gens ne viennent-ils pas dans ce lieu? Parce qu’ils disent qu’il n'y a rien. Mais il y a eu ici des miracles eucharistiques et des hosties y ont versé du sang! Mais ils ne savent pas tout cela, ou pire, cela ne les intéresse pas. Au lieu de cela, ils continuent à se rendre dans d’autres lieux où la Maman n’apparaît plus, parce qu’il y a quelque chose à voir qui n’a rien à voir avec le surnaturel. Ici au contraire, on vient pour prier.

Combien de fois Dieu n’a-t-il pas dit: "Venez pour prier, ici il n'y a que prière et amour : si vous n’avez pas l’amour, c’est du temps perdu".

Mes chers enfants, acceptez cette lettre de Dieu et répétez la à ceux qui sont absents pour de bonnes raisons. Dites que les grands hommes ne pensent qu'à l’argent et au pouvoir.

Dieu continue à être miséricordieux, mais quand sa justice viendra, alors ce sera triste pour ceux qui n'ont pas aimé et pouvaient aimer, parce que Dieu leur a donné l’intelligence et s'est montré patient; il les a même guéris de maladies qui ne faisaient pas souffrir. A d’autres, par contre, il a donné des souffrances spirituelles, morales et physiques et ils ne se lamentent pas; ils portent en silence une croix très lourde pour vous, vos enfants, vos êtres chers et tous les enfants. Je me répète: faites au moins le triduum pour la Mère de l’Eucharistie et fêtez son nom dimanche.

Dieu a été chagriné de voir que peu de personnes se sont souvenues le 24 octobre de l’anniversaire des apparitions, parce que l’Evêque n'en a pas parlé et ceci est triste. Quand c’est l’anniversaire dans d’autres lieux, on fait fête même si personne n'en a averti auparavant. Vous, au contraire, vous avez été un peu trop gâtés, vous attendez toujours que l’Evêque vous dise: "Aujourd'hui nous faisons ceci ou cela"; personne n’a pensé le 24 octobre, que cela faisait sept ans que la Mère de l’Eucharistie apparaissait dans ce lieu, si combattu et calomnié. En dépit de tout, mes deux chers enfants continuent à faire avancer leur dure mission. Qui de vous a pleinement compris en quoi consiste la grande mission de mes deux petits enfants et la grandeur de leurs souffrances? Vous n'y pensez pas, mais vous êtes prompts à juger et ce n'est pas bien.

Que ceux qui le veulent fassent le triduum à la Mère de l’Eucharistie, à la Mère de Jésus à mon épouse bien-aimée. Je vous en remercie, au nom de Dieu. Vous êtes peu nombreux parce que les gens sont tirés de part et d’autre et ne comprennent plus rien; mais ceux qui, le 11 juin, ont vu le sang sortir de l'hostie, alors que l’Evêque célébrait la Sainte Messe, ne peuvent reculer. Et pourtant quelqu’un l’a fait, seulement parce qu’il a reçu un reproche paternel. Mes chers enfants, si l’on se conduit ainsi, cela veut dire que l’on n’a rien compris.

Vous n’avez peut-être pas compris combien l’amour de Dieu est grand à votre égard et combien de grâces il a accordées ici dans ce petit lieu thaumaturgique, dans ce lieu saint. Mais attention: Satan peut s’infiltrer par tous les moyens. Priez et aimez-vous tous.

Merci, mes chers enfants. Ensemble avec votre Evêque, moi Joseph, je vous bénis. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Est-ce que la petite Madone ne vient pas du tout?

Saint Joseph - Non, Marisella. Fais ce petit sacrifice, elle ne viendra pas aujourd'hui. N'es-tu pas heureuse que je sois venu?

Marisa - Si, mais la petite Madone est la petite Madone.

Saint Joseph - Oui, mais moi, Joseph, je suis Joseph. Tu as raison, Marisella, la petite Madone est très importante pour tous, spécialement pour toi. Adieu, ma douce enfant, adieu.

Marisa - Adieu à toi aussi, adieu.

Rome, le 29 octobre 2000 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je te vois aujourd'hui aussi en habits du dimanche.

j’en profite pour te les recommander tous, en particulier ceux qui sont malades spirituellement et physiquement et qui attendent des grâces de Dieu. Je t’implore que Dieu donne des grâces à ces âmes qui en ont besoin et souffrent dans les hôpitaux. Je te recommande tous ceux qui sont venus ici, tous ceux ici présents ainsi que ceux qui se sont éloignés; nous ne pouvons pas juger de ce qui les a poussés à le faire, mais je veux également te les recommander.

La Madone - Oui, ma chère Marisella, et tous mes voeux à toi parce que c’est aussi ta fête.

Marisa - En quoi est-ce ma fête? Celle d'être malade? Merci quand même.

La Madone - Je suis venue avec tout le Paradis pour toi et pour les autres aussi, même s’ils ne me voient pas; tout le Paradis est descendu dans ce lieu thaumaturgique. Vous ne comprenez pas jusqu'à quel point la descente du Paradis dans ce lieu thaumaturgique est importante. Ceux qui n'ont pas compris tous les miracles accomplis dans ce lieu n'ont également pas compris Dieu. Ceux qui se sont éloignés pour un simple reproche paternel n'ont pas compris Dieu, ils ne venaient pas ici pour prier, pour demander de l’aide mais uniquement pour se faire remarquer. Ce n'est pas un lieu ici où l’on peut se faire remarquer. Avez-vous vu peut-être votre soeur s'exhiber quelque fois? C’est tout le contraire qui se produit.

Mes chers enfants, je vous remercie de votre présence ici. Cela fait sept ans, trois jours et quelques heures que je viens dans ce lieu thaumaturgique vous apporter les lettres de Dieu. Des milliers de gens sont passés ici au cours de ces sept années et vous ne vous en êtes pas rendus compte. Je veux vous dire de ne pas continuer à répéter: "Prions pour que l’Eucharistie triomphe". Pour vous et pour l'étranger, l’Europe, l’asie, l’afrique, l’amérique et l’australie, l’Eucharistie a triomphé. Même à Rome, elle a triomphé, mais les grands hommes d’eglise ne veulent pas le reconnaître. Aujourd'hui cependant ils font adorer le Saint Sacrement. Ils n'en mentionnent pas l’origine, mais ils invoquent la Mère de l’Eucharistie, ceci s'est réalisé grâce aux souffrances de mes deux chers petits enfants et à vos prières qui ne sont jamais perdues. Il y a tant et tant de gens qui attendent des prières. Si vos prières n'ont pas atteint votre soeur, elles ont atteint d’autres personnes, car elles ne sont jamais perdues. Mettez-le vous bien dans la tête, vos prières ne sont jamais perdues, Dieu sait quoi en faire.

Les gens changent, il en vient d’autres et parfois il faudrait tout recommencer comme on le fait dans certains lieux où les apparitions ont cessé et où l’on répète toujours les mêmes choses. Ici votre évêque avance et explique les nouveaux messages de Dieu qui parfois ne sont pas simples. Souvenez-vous lorsque je vous ai dit: ne posez pas tant de pourquoi, car vous n'en obtiendrez jamais la réponse; je vous répète aujourd'hui: nous ne le savons pas, mais Dieu sait ce qu’il fait et ce qu’il veut faire. Vous serez sûrement les privilégiés de Dieu, comme Jean l’Evangéliste.

Quand Jésus est mort, il vous a laissé Jean et la Mère. Il m’a laissée, m’appelant femme, femme de toutes les femmes, de tous les hommes, puis il a appelé Jean qui a tout pris en mains. Jean a été le seul apôtre, le seul évêque sous la croix. Qui est Jean? Jean est le frère de tous, l’ami de tous, ceci a été dit sur la croix. Alors que Jésus se mourait, il pensait encore à vous les hommes. Mais qui a alors obéi au Dieu mourant? Même pas ceux qui avaient été miraculés. Et vous vous lamentez que les prêtres ne répondent pas? Faites votre devoir jusqu’au bout, priez pour eux et Dieu saura ensuite rendre justice.

Soyez fidèles, fidèles en amour, dans l’aide mutuelle, dans le travail dans ce petit lieu thaumaturgique. C’est peut-être pour cette raison que Dieu ne fait pas la grande église parce que vous ne viendriez plus ensuite faire ici votre devoir. Il y en a qui font plus et d’autres moins, certains en parlant, d’autres en agissant. Ceux qui agissent, priant et offrant à Dieu ce qu’ils font sont plus près de Dieu.

Vous ne devez pas vous faire de soucis pour votre soeur, priez oui, mais vous devez aussi vous souvenir qu’il lui a été dit plus d'une fois: "Tu seras heureuse au Paradis"; c’est pour cette raison que j’ai amené tout le Paradis avec moi.

Celle que Dieu a appelée ne sera heureuse que là. Vous pensez qu’elle n’a pas un grand désir d'être avec vous, de descendre et de faire fête? Mais Dieu l’a voulu ainsi, ne nous demandons pas pourquoi. Nous savons qu’il la rendra heureuse au Paradis et ceci est une belle chose qui n'est pas dite à tous.

Je vous invite à prier surtout pour les prêtres, vous ne pouvez pas vous imaginer combien se sont convertis. Il est plus facile à un athée de se convertir qu'à un croyant qui dit l'être, dit aimer Dieu et célèbre la Sainte Messe. Vous devez prier pour eux, mes chers enfants.

Cela suffit. Alléluia, alléluia, alléluia. Bonne fête à tous. Merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis grand-mère Iolanda qui avec votre soeur Marisella et l’Evêque ont le plus besoin d'être aidés. Je bénis tous les petits enfants, même ceux qui parlent toujours.

Je vous serre sur mon cœur et vous couvre de m on manteau materne, Regarde, Marisella, comme mon manteau se déploie.

Marisa - Bien sûr, pour couvrir le monde entier.

La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Attends, ne t’en va pas parce que quand tu es ici je n’ai pas de douleurs. Vois-tu que je n’ai pas de douleurs?

La Madone - Toi, Marisella, tu es comme un bouton qui s'ouvre chaque jour toujours plus sous les yeux de Dieu.

Marisa - Oui, mais ne t’en va pas, parce que je suis bien maintenant, si tu t’en vas, toutes les douleurs vont recommencer. C’est bon, je n’ai pas beaucoup de forces.

La Madone - Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Tu ne pouvais pas me donner la force de descendre? Tu t’en vas maintenant et toutes mes douleurs reprennent, naturelles et surnaturelles.

La Madone - Marisa, ma chère Marisella, fais la volonté de Dieu.

Marisa - Oui, adieu. Si je devais les embrasser tous, je n'en finirais plus. Tous mes vœux à vous, à tous. C’est bon, c’est bon. Adieu à tous. Don Claudio, ils sont partis. Tout le Paradis était là.

Messages de Novembre 2000

Rome, le 16 novembre 2000, 17h10 (Lettre de Dieu)

La Madone - J’aimerais vous parler de l’obéissance. Comment est-il possible que personne, même pas les supérieurs, n’ait compris ce que signifie l’obéissance? Combien de fois ne vous ai-je pas dit: obéissez oui, mais pas sous l'effet du chantage? Si l’un de vous se rend compte que son supérieur lui fait du chantage, il ne doit pas lui obéir, car il n'obéit pas à Dieu et Dieu doit toujours être mis à la première place.

On répète souvent en ces temps: "Cette personne est obéissante, l’autre pas". Pas un de vous n’a compris que lorsque le Saint Père Pio disait "J'obéis", son obéissance s’adressait au Dieu tout-puissant. Quand il s’aperçut que ses supérieurs lui faisaient du chantage, il se rebella parce qu’il devait obéir à Dieu. J’ai donné l'exemple du Père Pio parce qu’il est l’un des derniers béatifiés, mais je pourrais en citer bien d’autres en exemple. On doit obéir à ses supérieurs par amour et non sous l'effet du chantage. Rappelez-vous que vous devez obéir en premier à Dieu, à Jésus, à l’Esprit Saint, à la Mère de l’Eucharistie, puis directement après à votre directeur spirituel, à votre évêque, toujours si ce qu’ils vous disent est dicté par l’amour et non par le chantage. Quand un supérieur dit: "je ne veux pas que tu te rendes dans ce lieu, sinon je te punis", il ne s’agit pas ici d'obéissance, mais de chantage.

Le Père Pio disait "j'obéis", mais il faisait ensuite ce qu’il devait faire et continuait la tâche que Dieu lui faisait comprendre dans son coeur; Don Bosco a fait de même, ainsi que bien d’autres saints. Vous êtes arrivés au troisième millénaire et vous devez être tous plus mûrs et plus responsables. Les grands hommes d’eglise ont empoché des milliards et des milliards, votre Evêque continue sa vie comme toujours et pourtant lui aussi est arrivé au troisième millénaire. C’est à Dieu que l’on doit obéir.

Entre l'évêque ordonné par Dieu et le pape ordonné par les hommes, qui est le plus grand? Quand Saint Pierre fut ordonné pape par Jésus, il fut considéré comme un grand homme; votre évêque a été ordonné par Dieu, mais il n'est pas considéré comme un grand homme. Les grands, les évêques et les cardinaux ne veulent pas comprendre que celui qui a été ordonné par Dieu est bien plus grand que celui ordonné par les hommes. Comment votre évêque est-il arrivé à une telle grandeur? Par son obéissance à Dieu; il ne pouvait pas dire non à Dieu.

Mon petit troupeau, celui qui suit un chemin spirituel doit dire, que la volonté de Dieu soit faite. Même en rouspétant, en ressentant un certain refus, on doit obéir en premier à Dieu, puis aux hommes, mais sans chantage, sans violence, sans profaner le cœur et l'âme de l'homme; cela Dieu ne le veut pas.

La calomnie et les diffamations continuent. Je ne veux plus en parler, je désire uniquement vous parler de l’amour que Jésus, que Dieu a pour vous. Amour, amour, amour; obéissance à Dieu, obéissance à Dieu. Qui sont ces supérieurs qui commandent et disent: "Ou tu fais ce que je te dis ou je te retire ton poste et t’envoie au loin "? L’Eglise appartient à Dieu et non aux hommes! Ils ne peuvent dire non plus: "Tu n'entres pas dans ma paroisse parce que tu te rends dans ce lieu". Est-ce que cette paroisse leur appartient par hasard? Non, elle est à Dieu! L’Eglise est à Dieu et l'homme ne peut rien y faire. Ils se lamentent parce que l'évêque dit la vérité. Moi, Marie, la Mère de l’Eucharistie, je parle, Jésus parle et ils en rendent responsable votre évêque. Non.

Si vous avez compris ce message, compris l’importance de l’obéissance à Dieu, l’importance d'obéir, mais pas sous l'effet du chantage, alors vous êtes sur la bonne route. Si l’un obéit par peur à ses supérieurs, hommes et femmes choisis par Dieu, il n’a pas de mérite. Les évêques et les cardinaux ne sont pas seulement des supérieurs pour commander, montrer quelqu’un du doigt et lui dire: "Ou tu fais ce que je te dis ou tu es suspendu " a divinis "; "ne va pas dans ce lieu, sinon je te mets dehors, sinon tu es exclu de notre congrégation". Ils ne disent pas que Dieu a dit d’aimer. Dieu parle d’amour.

Je me répète: Dieu se montre encore miséricordieux, mais il sera juste et il y aura alors vraiment beaucoup de pleurs, de pleurs. Rappelez-vous que si votre évêque doit élever la voix pour que vous compreniez que vous êtes dans l'erreur, vous devez l’accepter, car il ne s’agit pas ici de chantage, mais d’amour.

j’espère beaucoup, mes chers enfants, que vous avez bien compris ce que je veux vous dire; ne vous méprenez pas sur le sens de la lettre de Dieu, car elle n'est qu’amour. n’as-tu rien à me dire, Marisella?

Marisa - Oui, je voulais te recommander Selenia, les futures mamans, tous les malades et tous ceux qui se recommandent à moi pour des prières. Mais aujourd'hui, après la lettre de Dieu je veux te recommander tous les grands hommes d’eglise et d’etat, les supérieurs et tous ceux qui n’aiment pas Jésus. C’est ma pensée, excuse-moi petite Madone, si je me permets de te dire cela.

Le Madone - Ne te fais pas de soucis, Marisella, ne te fais pas de soucis, nous au ciel nous savons bien comment vont les choses. L'église se divisera. Il y aura vraiment beaucoup et beaucoup de pleurs. Ils ramperont à genoux devant mon fils Jésus, mendiant miséricorde, mais il sera trop tard, trop tard.

Bienheureux, vous à qui Dieu a donné un évêque plein d’amour pour les âmes. Evêque ordonné par Dieu, évêque de l’Eucharistie, évêque plein d’amour pour les âmes. Bienheureux, vous.

Combien de personnes disent à ma Marisella: "Bienheureux, vous qui avez un évêque si bon qui vous aide ". Je le dis également: bienheureux, vous.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers, vos objets sacrés et les malades. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Tous mes voeux à tous. Mettez en pratique la lettre de Dieu, ne vous contentez pas de l'écouter, mais méditez la.

Loué soit, Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Excellence, elle est partie.

Rome, le 21 novembre 2000 - 6h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Comme tu es belle! Tes parents te conduisent au temple et te recommandent à la prophétesse Anne. Tu es si belle, ma toute petite.

La Madone - Mes chers enfants, je suis la petite Marie. Mes parents m'ont conduite au temple et toi, Marisella, tu vois une scène si belle: mon papa et ma maman me conduisent au temple pour prier.

Vous aussi, vous entrez dans la maison de Dieu pour y prier pour toutes les intentions que vous connaissez. Ce sont des intentions très importantes qui requièrent vos prières.

Dieu dit dans sa lettre que c’est ici le champ de Dieu. Avez-vous compris? Ce petit coin de Terre insignifiant, abandonné et qui accueille peu de personnes dont l’amour est grand, est le champ de Dieu, de mon et votre Dieu, de mon Tout. L’amour que Dieu vous donne est très important.

Votre soeur souffre la passion. Ses stigmates sont invisibles, parce qu’elle a voulu qu’on ne les voit pas; quelque fois Dieu a permis qu’ils se voient afin de faire comprendre aux hommes l’intensité de sa souffrance. Mais elle a demandé à ce que personne ne les voit pour se sentir plus libre. Moi aussi, j’ai souffert la passion, j’ai souffert des stigmates avec mon fils Jésus, mais personne ne l’a jamais vu, parce que cela se passait en moi et était invisible pour les hommes. Au temple, avec ma maman Anne et mon papa Joachim, j’ai très fortement prié notre Dieu pour la conversion des hommes. Est-il si difficile et impossible aux hommes de réunir les nations, les religions et les races? Combien de fois n’ai-je pas dit dans les messages que nous sommes tous fils de Dieu, même si nous n’avons pas la même religion et n’appartenons pas à la même race, parce que Dieu est amour et aime tous les hommes.

Le jour de ma présentation au temple, je me suis unie à vous en priant le Dieu Tout-puissant pour la conversion des grands hommes d’eglise et d’etat, pour les malades, les drogués, les alcooliques, les détenus et les petits enfants hospitalisés. Priez pour chacun de vous, vous avez tous besoin de beaucoup d’aide.

Les hommes n'ont pas encore compris le grand miracle eucharistique. Il est plus facile d’aller trouver une personne qui a les stigmates ou de se rendre là où la Madone pleure, où les statues pleurent et où il y a beaucoup de monde. Peu de gens viennent ici, parce que les hommes ne comprennent pas l’Eucharistie. Que représente l’Eucharistie pour eux? Ils se rendent dans des lieux où l’on prie, chante et où il y a fête, mais pas là où on l’aime l’Eucharistie et où tant de miracles eucharistiques ont été accomplis; le dernier, celui du 11 juin 2000 est le plus important.

Ils ne croient pas en l'épiscopat de Don Claudio? Mais alors pourquoi Dieu a-t-il accompli ce grand miracle? Il a dit: "Tout est accompli" parce que désormais, après le grand miracle de l’Eucharistie qui a saigné pendant la messe célébrée par l'évêque, il n'y a rien de plus grand et les hommes doivent aimer Jésus Eucharistie, éprouver de l’amour envers leurs frères et prier pour ceux qui les font souffrir.

Mes chers enfants, malheureusement si l’on ne comprend pas totalement l’Eucharistie, on ne peut rien comprendre. Je vous souhaite d’aimer toujours l’Eucharistie et de rendre témoignage. A ceux qui ne croient pas en l'épiscopat, je dis: "Pourquoi Dieu a-t-il accompli ce grand miracle pendant la Messe célébrée par l'évêque?".

Souvenez-vous, mes chers enfants, que même si un prêtre n'est pas en état de grâce ou est excommunié, la Messe et la consécration sont toujours valides.

On ne peut donc réfuter sous aucun prétexte l'épiscopat de Don Claudio, et tous les arguments trouvés par l'homme sont faux; Dieu n’aurait pas accompli le miracle si Don Claudio n’avait pas été évêque. Dieu l’a ordonné évêque et ceci les ennuie beaucoup, car s’il était reconnu par le Pape, ils devraient tous venir ici; ils y viendront, mais quand il sera trop tard.

Mes chers enfants, je retourne maintenant avec ma maman et mon papa vers Dieu le Père, nous allons y prier, chanter et réciter des psaumes et des hymnes.

Nous prions aussi pour vous; tous les anges et les âmes sauvées prient pour vous. Dieu a choisi ce coin de terre qui est le champ de Dieu, ce lieu thaumaturgique est sien et il importe peu que vous soyez peu nombreux ou nombreux, mais que vous soyez bien suivis par votre évêque.

Merci de votre présence. Vous êtes peu nombreux? Patience, ne vous faites pas de soucis à ce sujet, ne vous découragez pas et pensez seulement à aimer et à prier.

Marisella, tu ne dois pas te laisser aller. Tu souffres déjà tant: laisse tout dans les mains de Dieu. Il sait ce qu’il fait. Dieu le Père, mon Fils Jésus et Dieu le Saint Esprit ne sont pas partis en retraite; les hommes qui vivent sur la Terre vont en retraite. Dieu sait et saura toujours ce qu’il doit faire et aucun homme ne peut l’ignorer et dire: "Il est impossible d'être ordonné évêque par Dieu, parce que c’est le pape et donc les hommes qui ordonnent les évêques". Non, si Dieu le veut, il peut ordonner les évêques.

Les hommes ont ordonné les cardinaux, les monseigneurs et autres; Dieu a ordonné les apôtres évêques, puis Pierre Pape et les apôtres ont ordonné les hommes évêques et les hommes se sont pris tout ce qu’ils voulaient en nommant les cardinaux et les monseigneurs. Votre évêque a été ordonné par Dieu parce qu’il aime l’Eucharistie et les âmes. Ne l’oubliez pas.

Sachez répondre quand quelqu’un vous dit qu’il n'est pas possible que Dieu ait ordonné évêque Don Claudio. On téléphone maintenant en disant: "Nous acceptons tout, mais pas l'épiscopat". Et pourquoi pas? Qui êtes-vous? Pour eux, Dieu ne commande pas, Jésus ne commande pas et la Mère de l’Eucharistie ne commande pas, mais les hommes commandent à Dieu.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers, vos objets sacrés et tous les malades ici présents. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Marisa - Tu n’as pas de manteau maintenant parce que tu es petite, tu as seulement la petite robe et la longue tunique.

La Madone - Oui, mais je suis la Mère de l’Eucharistie, Marisella, et j’ai le manteau.

Marisa - Je ne comprends pas beaucoup de choses, de toute façon…

La Madone - Et je vous couvre tous de mon manteau, même ceux qui ne sont pas venus.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - La maman et le papa de la Madone sont beaux alors qu’ils sont vieux sur les images pieuses. Pourquoi sont-ils vieux? Ici ils sont beaux, si beaux; peut-être comme tu le dis, parce que leur âme est belle.

C’est bon, adieu. Mais aide-moi, parce que ce n'est pas facile de tout supporter. Vas-tu m’aider un petit peu? Donne le reste à l'évêque. Connais-tu les 100%? Disons que tu l’aides à 99% et moi à 1%, c’est d’accord? Pourquoi ris-tu?

La Madone - Oui, courage, Excellence révérendissime, courage. Acceptons ce que ta soeur a dit: "99% pour toi et 1% pour elle. ".

Marisa - Un pour cent? Disons trois. Trois pour cent? Je ne sais pas si vous connaissez les mathématiques. Trois pour cents pour moi et 97% pour lui.

La Madone - d’accord, ne te fais pas de soucis. Marisella, et maintenant un autre petit sacrifice, une autre souffrance, tu dois entendre la Messe à la radio.

Marisa - Cela fait deux mois, depuis le 15 septembre, que je ne suis pas descendue. Vous n’avez peut-être pas de calendrier; je ne sais pas comment cela fonctionne au Paradis parce que quand j'y suis allée avec toi, nous avons seulement chanté et récité des psaumes. Nous marchions le long de ces avenues qui n'ont ni commencement ni fin.

La Madone - Tu vas maintenant participer à la messe à la radio et tu feras la sainte communion. Je reste avec toi et ta maman.

Marisa - d’accord, merci. Adieu. Elle est partie. Tu sais que je lui ai parlé des 100%. Qui sait si elle a compris?

Don Claudio - Tu as demandé trop peu pour toi.

Rome, le 26 novembre 2000 - 10h45 (Lettre de Dieu)

Marisa - C’est aujourd'hui ta fête et nous t’adressons tous nos voeux. C’est la fête du Christ roi, mais tu n’as pas de couronne, car tu as dit que tu n'en portes pas.

Jésus - Oui, c’est moi votre Jésus, le Christ roi. Je suis roi, mais sans couronne. J’aimerais que tous les hommes soient des rois sans couronne, sans pouvoir ou richesses, afin de jouir de la vraie vie.

C’est beau d'être roi, mais il faut vivre dans l'honnêteté, la sincérité et l'humilité. J’aimerais que vous soyez tous des rois comme moi, parce que votre amour pour l’Eucharistie est grand et c’est ce qui compte. Vous avez eu beaucoup de miracles qui n'ont pas été acceptés par les hommes d’eglise, mais vous ne devez pas vous en préoccuper. Je sais ce qui se passe, ce qu’ils disent, ce qui arrivera, je sais tout, mais vous devez seulement vous armer de sainte patience. Dans la dernière lettre de Dieu, ma Maman vous a dit que c’est ici le champ de Dieu; si c’est le champ de Dieu, c’est aussi le vôtre, puisque vous êtes fils de Dieu. Parfois, il n'est pas nécessaire d'être un grand théologien, un mariologue, d’avoir tous ces grands titres qui te font rire toi, Marisella; il n'est pas nécessaire de lire dans les livres ou d'étudier parce que ce je veux c’est l’amour de l’Eucharistie. Est-ce que vous réalisez que vos prières sont exaucées peu à peu? Combien sont-il maintenant à commencer à parler de l’Eucharistie, à faire l’adoration du Saint Sacrement, alors qu’il n'y a pas longtemps on n'en entendait pas parler! Ce sont les laïcs qui aiment l’Eucharistie et font l’adoration. Vos prières, vos privations et vos sacrifices sont agréables à mon Coeur. Je vous remercie de toutes les prières que vous faites et de leurs intentions; même si les prières n’atteignent pas l’intéressé, elles ne sont jamais perdues.

Aujourd'hui, fête du Christ roi, souvenez-vous du cinquième anniversaire du grand miracle eucharistique. Marisella, cela ne fait pas quatre ans, mais cinq.

Marisa - Qu'y puis-je, Jésus, je me trompe toujours, je ne suis pas devin. Je suis une étourdie.

Jésus - Qui a compris le grand miracle eucharistique accompli il y a cinq ans? Avez-vous remarqué que lorsque les gens entendent parler de quelque chose, ils y courent? Et après? Je vous répète ce que ma et votre Maman vous a dit bien des fois: si une statuette pleure, verse du sang, si le soleil tourne - et parfois ce n'est pas le soleil qui tourne, mais un simple effet optique -les gens y courent, font des sacrifices au point de vue financier et des veillées. Qui est venu ici en courant pour l’Eucharistie? Quand le miracle a été annoncé, beaucoup sont venus en courant, mais quand il y a eu un miracle eucharistique qui n’a pas été annoncé, qui était là? Qui était présent quand je suis né dans une étable? Mon père Joseph l’avait nettoyée de fond en comble parce que je devais y naître; mais qui était là? Les humbles Marie et Joseph; puis les bergers arrivèrent, mais au commencement il n'y avait que ma Maman et mon papa.

Quand les miracles eucharistiques ont été accomplis, vous étiez peu en comparaison de tous qui peuplent la ville de Rome et l’italie entière et l’Eucharistie ne s'est pas enfuie; elle n'est pas partie parce que vous étiez peu nombreux, mais elle est restée au milieu de vous et se trouve toujours au milieu de vous.

Lorsqu’avec le miracle du 11 juin, Jésus a dit : "Tout est accompli", Dieu a apposé son sceau sur tous les miracles et confirmé encore une fois l'épiscopat de Don Claudio.

De tous les actes de Dieu, celui qui a provoqué le plus d’ennuis, c’est le don de l'épiscopat à Don Claudio. Devons-nous alors le faire Pape? Cela les ennuierait de même.

Marisa - Sois bon Jésus, laisse-nous un peu respirer.

Jésus - Oui, de toute façon mon langage est très simple, humble et vous pouvez tous comprendre ce que je veux dire. Je ne parle pas comme un grand théologien, un grand mariologue, non, je parle simplement et je me mets à votre niveau. Soyez donc heureux de vivre ces expériences et ces joies que personne n’a.

Marisa - Tu ne parles plus? Jésus est parti, la Madone arrive maintenant. Es-tu également en fête?

La Madone - Oui, Marisella, nous sommes en fête, c’est une double fête: au Ciel et sur la Terre. Comme mon Fils Jésus l’a dit, même si vous n'êtes qu’un petit troupeau, comme les bergers lorsqu’il est né, nous sommes en fête; nous chantons et récitons des psaumes à Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit, que vous devez invoquer chaque jour en chantant ou en priant.

Je constate que vous avez dessiné l'hostie et les trois colombes que, tu as vues, Don Claudio; mais tu as oublié de faire dessiner les petites colombes qui volent autour de la Sainte Trinité. L’Eucharistie que vous avez vue a illuminé toute la mer. Toutes mes félicitations, la décoration est très simple et belle, comme l'était le décor où est né Jésus et comme ce lieu est simple; tout y parle de simplicité et d'humilité.

Mes chers enfants, merci de votre présence, merci de votre amour envers mon Fils Jésus. Merci de ce cinquième anniversaire du miracle eucharistique. Le plus grand miracle eucharistique est celui qui est intervenu au cours de la Sainte Messe, quand votre évêque a vu l'hostie saigner lors de la consécration: Ceci Dieu l’a voulu. Dieu a accompli beaucoup, beaucoup de miracles, mais il y a quelqu’un qui ne pense pas aux miracles, mais à lui-même; il suffit de peu de chose pour ne plus venir, ceci est de la susceptibilité.

De toute façon, je suis une reine sans couronne, humble et simple comme vous; humble et simple comme la décoration que vous avez faite.

Regarde, Marisella, qui est près de moi?

Marisa - Oui, celui que l’on compare toujours à notre évêque.

Dis la vérité, père Pio, quand ton supérieur t’a dit: "Je t’ordonne de me donner l’argent", as-tu dit oui?

Père Pio - C’est vrai, j’ai désobéi, j’ai dit non!

Marisa - Tu vois, tu es quand même devenu saint, donc je peux également devenir sainte. Dieu t’avait dit de dire non et tu lui as obéi.

Père Pio - Oui, Marisella, ma petite soeur, mais les hommes sont ainsi faits: un jour ils te portent au pinacle et l’autre ils te jettent à terre.

Marisa - Les hommes nous rabaissent toujours plus. Les grands, tu me comprends.

Père Pio - Courage. Il est certain que ta souffrance dépasse de beaucoup la mienne parce qu’au moins en ce qui me concerne, les stigmates se vidaient.

Marisa - O.K., mais tu ne dois pas le dire. Tais-toi, père Pio. Sais-tu que tu es très beau? Cela me console; si je vais moi aussi au Paradis, après être passé par le purgatoire, je deviendrai aussi belle. C’est l'âme qui doit être belle.

Tous les saints sont maintenant silencieux. Il y a aussi les papes Paul VI, Pie XII, il y en a beaucoup. Les voilà, heureusement qu’ils ne portent pas la mitre. Cela coûte très cher, je me suis renseignée une fois à ce sujet. Notre évêque n'en veut pas.

La Madone - Oui, récitons maintenant tous ensemble la prière de Jésus en étendant les bras et en regardant vers le ciel.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers, je bénis tous les malades et ceux qui sont sur le point de quitter cette planète et qui iront jouir et ne souffriront plus. Je bénis vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Puis-je demander une chose? Mais où est parti Jésus?

La Madone - Il est parti vers le Père, Marisella.

Marisa - C’est bon. Adieu. Donne un baiser à Jésus de ma part. C’est bon, adieu. Don Claudio, j’ai parlé avec le père Pio.

Don Claudio - Je l’ai entendu. Il n’a pas obéi à ses supérieurs.

Marisa - Non, parce qu’il a obéi à Dieu.

Don Claudio - Moi aussi, j’ai fait de même.

Marisa - Pourquoi est-il accepté et toi pas?

Don Claudio - Je serai accepté après ma mort.

Messages de Décembre 2000

Rome, le 17 décembre 2000 - 10h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Vous savez que tout a été accompli et que l'épiscopat a été confirmé avec le dernier miracle Eucharistique. Quelque chose de très important est dit dans la lettre de Dieu: Ceux qui croient et ne peuvent venir dans le lieu thaumaturgique parce que cela leur est interdit, mais prient pour votre évêque et sa grande mission, y viendront un jour et se sauveront; par contre ceux qui ne croient pas, calomnient et diffament celui qui est si fortement uni à mon Fils Jésus, ne se sauveront pas. Ces derniers continuent à dire: "n’allez pas là-haut chez ce fou", ainsi qu’ils ont dénommé votre évêque; mais Jésus a été également taxé de fou. Ils disent avec ironie: "Seuls ceux qui vont là-bas se sauvent"; oh non, se sauvent tous ceux qui croient, prient et ne répandent pas de calomnies et de diffamations. Beaucoup ne croient pas et ne se taisent pas, mais calomnient et diffament avec beaucoup de facilité. Ce sont les grands hommes d’eglise qui sont suivis par leurs curés et vicaires. Si l'évêque dit du mal, les prêtres disent également du mal, si le curé dit du mal, le vicaire dit du mal. Eh bien, ceux-là ne pourront se sauver parce qu’ils profanent l’Eucharistie. Le miracle Eucharistique du 11 juin 2000 a été trop évident, il a été accompli sous les yeux de tous. s’ils voient le soleil tourner, peut-être par un effet optique, ils croient au miracle, par contre s’ils voient le sang sortir de l’Eucharistie lors de la consécration pendant la Sainte Messe, ils ne se convertissent pas. Vous croyez parce que vous avez vu, mais quelqu’un qui a également vu ne croit plus parce que le curé ne croit pas.

Mais comment peut-on écouter ceux qui calomnient et diffament? Malheureusement, votre évêque n'est pas encore totalement compris, même par ceux qui disent l’aimer et viennent ici tous les jours. Vous ne pouvez pas comprendre le degré de sa préparation, son sacrifice et son travail; Don Claudio s'enferme dans son bureau pour vous donner ce qu’il y a de mieux, parce qu’il veut vous amener à la sainteté. Il a composé des neuvaines et des prières et quand vous devez les réciter ensemble, personne n’a le texte en main. Ceci est un grave manque de respect, parce que vous n’avez pas compris combien vous donne votre évêque, combien d'heures il passe à se préparer et à étudier afin de vous donner le meilleur; aucun prêtre ne le fait, aucun ne passe des heures à se préparer pour donner tout aux âmes. Chaque fois que des groupes viennent ici, j’entends dire: "Bienheureux, vous qui avez un évêque aussi préparé et disponible". Vous qui l’avez, vous ne l’appréciez pas. Votre amour est très faible. Même quand vous écoutez les messages, vous êtes émus sur le moment, puis quand vous sortez, tout est fini et l'envie, la jalousie et le commérage recommencent.

Le grand miracle Eucharistique du 11 juin est connu dans toutes les parties du monde. Pourquoi la majeure partie des étrangers croit-elle, alors que les italiens continuent à dire du mal? Comment le démon peut-il vaincre Jésus? Dieu n'est-il pas plus fort que tous? Ne peut-il faire ce qu’il veut? Ne peut-il prendre votre évêque et l'élever? Ne peut-il faire ce qu’il veut avec les hommes de bonne volonté, avec ceux qui aiment vraiment? Réjouissez-vous, chantez car ceux qui suivent ce chemin, qui font ce que l'évêque dit, parce que Dieu parle en lui, ont le chemin préparé pour le Paradis, pour la sainteté.

Cette lettre de Dieu est très importante. Ceux qui viennent ici et font ensuite des commérages ne se conduisent pas en vrais chrétiens. Ce sont toujours les mêmes qui fréquentent ce lieu. Bien qu’ayant lu toutes les lettres qui ont été envoyées, les autres ne viennent pas parce que le vicaire du Pape a interdit de venir; il a dit que ce qui se passe ici est le fruit de la magie et de l’intervention du diable. Par peur ils restent tous au garde-à-vous, personne ne s’avance pour contredire le cardinal, car ils disent que "Dieu parle en lui". Dieu peut-il parler à quelqu’un qui a profané l’Eucharistie? N'oubliez jamais que le vicaire du Pape a ordonné de jeter l’Eucharistie qui a saigné et dit les mots suivants: "C’est un phénomène de foire, l’oeuvre du démon. Ils sont tous possédés". Ils se sont comportés avec votre évêque exactement de la même façon que mon Fils Jésus a été traité. Ils ont d’abord accusé la voyante et dit qu’elle était folle, hérétique, schismatique, possédée, maintenant ils accusent l'évêque. Qu’est-ce qui se déclenche dans ces gens? La jalousie, l'envie et la peur que tous les gens se tournent vers votre évêque et viennent ici. Mais les gens viendront ici, même non préparés, parce que personne ne leur a parlé de l’Eucharistie. Personne ne leur parle de la Trinité en termes très simples et compréhensibles.

Vous avez beaucoup reçu. Souvenez-vous que plus vous recevez et plus vous devez donner. Si vous recevez dix, vous devez donner cent. Mais vous recevez beaucoup et ne donnez qu’un; non, ceci n'est pas pour le Seigneur.

C’est la lettre de Dieu, à laquelle votre Maman a ajouté quelque chose, Aimez, aimez, aimez, aimez, aimez, aimez. L’amour vainc tout, mais l’amour vrai, simple, sincère, loyal. Alors vous serez vraiment des fils de Dieu.

Courage, Excellence, la Trinité, la Mère de l’Eucharistie sont avec vous.

Souvenez-vous de dire "l’ange de Dieu", la prière que j’ai apprise à Marisella quand elle était petite.

Marisa - Puis-je te demander quelque chose? Dois-je aller à l'hôpital? Dois-je souffrir là également?

La Madone - Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis et vos êtres chers. Je te bénis, grand-mère Iolanda, toi qui pries et aimes tant. Je bénis vos objets sacrés.

Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Don Claudio, as-tu entendu la lettre de Dieu?

Don Claudio - Oui.

Marisa - Pourquoi ne puis-je plus parler maintenant?

Messages de Janvier 2001

Rome, le 1er janvier 2001 -10h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Tous mes voeux, Mère de Dieu, Mère de l’Eucharistie, Mère de Jésus et notre Mère à tous. Nous voulons être les premiers à t’adresser nos voeux.

La Madone - Tous mes voeux, mes chers enfants. Je vois que vous êtes un peu ensommeillés, mais Dieu récompensera le sacrifice que vous avez fait de venir ici, dans ce lieu thaumaturgique. Dieu tiendra sa promesse. Vous vous demandez: "Quand?". Oui, vous avez raison, quand? Je suis toujours avec vous, chaque fois que je viens sur la Terre et aussi quand je suis au Paradis à prier et chanter devant la Sainte Trinité, avec les anges et les saints. Nous, quand nous regardons le monde, nous prions toujours pour vous tous, hommes de la Terre.

Dans un premier temps, beaucoup d'hommes se sont rapprochés de mon Fils Jésus, puis certains se sont ensuite éloignés à cause du manque de sérieux des hommes d’eglise et d’etat.

Vous savez que le monsieur de Naples a été acquitté parce que le pouvoir des hommes d’eglise est encore plus grand que celui des hommes politiques. Beaucoup de personnes n'ont pas cru en lui; ceux qui l’ont cru, l’ont fait seulement pour l’agent et par intérêt.

Vous savez que bon nombre de mes fils bien-aimés ne se conduisent pas bien et moi, étant leur maman, j’en souffre plus que vous. Ils jouent avec la Sainte Mère Eglise et les hommes simples, pauvres en esprit, qui ne savent pas répondre aux discours théologiques. Vous au contraire, vous pouvez parler et discuter même avec les prêtres forts en théologie, les mariologues et tous ceux qui ont étudié. C’est pourquoi je vous ai toujours dit que la rencontre biblique est importante: ce que vous savez aujourd'hui, vous ne le saviez pas il y a quelques années. Oh, vous en savez plus que beaucoup de prêtres, croyez-moi! Ceci me fait souffrir, car lorsque Dieu appelle et donne la vocation, il attend quelque chose de grand de ceux qui sont appelés. s’ils ont reçu cent, ils doivent donner mille, alors qu’il y en a qui ont reçu cent et ne donnent que dix ou rien du tout, parce qu’aujourd'hui ce qui compte dans le monde, c’est l’argent et le pouvoir. Quand les fidèles le constatent, ils se retirent, car ils n'ont pas été bien éduqués et se disent: "s’ils se conduisent mal, pourquoi dois-je me conduire bien?". Au contraire, si les prêtres se conduisent mal, vous devez prier pour eux; ne vous éloignez pas de l’Eglise parce qu’un prêtre ne se conduit pas bien ou que l’autre trahit. Parfois même les laïcs engagés ne se conduisent pas bien et les simples fidèles s'éloignent de l’Eglise. Mes enfants bien-aimés, vous ne devez pas aller à l'église pour le prêtre, l'évêque, le cardinal, mais pour vous-mêmes, pour prier, pour être avec Mon Fils Jésus que je tiens aujourd'hui dans mes bras; il est tout petit et vous regarde de ses yeux splendides d'où émane une lumière grandiose. Vous devez participer à la rencontre biblique; aller vous confesser parce que c’est un sacrement et comme tout sacrement il vous donne la force et le courage de continuer. Allez y pour Jésus, pas pour les hommes, parce que ceux qui vont à la Messe pour se faire remarquer, se faire voir, font tout à l'envers.

Mes chers enfants, je vous remercie de votre présence, je vous remercie parce que malgré tout, vous réussissez à venir dans ce lieu thaumaturgique. Dieu vous en récompensera.

Merci de ce que vous avez fait pour l’Enfant Jésus. Je vous remercie de tout. Priez pour vos frères proches et lointains, pour les prêtres, afin que l’Eglise se renouvelle et que tout soit comme Dieu le Désire, comme Jésus l’a enseigné.

Aujourd'hui premier jour de 2001, priez pour chacun de vous. Ce n'est pas une journée seulement dédiée aux plaisirs de la table et aux divertissements, mais également à la prière. Quand vous le pouvez, priez ensemble ou retirez-vous un instant dans votre chambre et priez, Jésus vous y aidera. Tournez-vous vers Jésus afin que ce qu’il a promis pour tous arrive bientôt.

Priez! Il n'est pas besoin de faire de longues prières, ne les lisez pas dans les livres écrits par d’autres; parlez à Jésus avec votre coeur en employant des mots simples. Jésus n’a pas besoin des prières faites par les grands érudits ou les grands mariologues; parlez Lui, demandez lui tout ce dont vous avez besoin. Priez pour tous.

Ensemble avec mon et votre évêque, mon époux bien-aimé, tous les anges, les saints et les petits enfants, je vous bénis. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Si j’ai demandé tant de souffrances à votre soeur, c’est pour votre bien à tous, pour l’Eglise. Priez pour elle et pour votre Evêque.

Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 6 janvier 2001 - 10h35 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, je n’ai rien de nouveau à vous dire, sinon vous répéter que malheureusement la conversion des grands hommes de l’Eglise, des prêtres, religieuses et laïcs engagés tarde à venir. Vous avez raison de dire que je ne vous demande que souffrances et prières, mais ne pensez-vous pas que nous sommes plus intéressés que vous à ce que le monde change totalement ? Vous vous rendez compte vous-mêmes que tout va à la dérive et que rien ne va.

Vous vous demandez souvent dans votre coeur: "Pourquoi Dieu ne se décide-t-il pas à faire ce qu’il a promis?" Moi, en tant que maman, je peux vous dire que: "Vous avez raison de le penser et même de pleurer parce que Dieu ne se décide pas. Pourquoi Dieu attend-il ? Oh, les pourquoi sont si nombreux, infinis".

Les hommes, comme vous le voyez, ne se comportent pas devant mon Fils Jésus Eucharistie, comme ils le devraient. Dans beaucoup d'églises, les gens entrent, distraits, rient, parlent devant le Saint Sacrement. Les prêtres, religieuses et laïcs entrent dans l'église comme s’ils se rencontraient entre amis. L’Eglise est un lieu de rencontre entre Jésus Eucharistie et les hommes. Devant Jésus Eucharistie, on doit se recueillir en profonde adoration, en prière, et vous devez intervenir si quelqu’un ne se comporte pas correctement; vous devez intervenir même si celui qui plaisantait et riait dans l'église devant le Saint Sacrement était le pape. Personne ne doit se comporter incorrectement devant Jésus Eucharistie.

Que puis-je vous dire? J’ai presque peur de vous répéter de prier, de ne pas vous lasser de prier. Quelqu’un, bien qu’il ait écrit "oui" sur le petit billet, s'est éloigné et n’a pas compris que le grand miracle eucharistique du 11juin fait partie de l'histoire de l’Eglise. L'épiscopat a d’abord été donné par Dieu à Don Claudio, puis le grand miracle que vous avez tous vu, s'est accompli dans ses mains. Ceux qui ont vu le miracle et se sont retirés l’ont fait parce qu’ils disent que rien ne se produit et que rien n’arrivera. Mes chers enfants, ce message est pour le monde entier. Regardez autour de vous: où est l’amour entre époux? entre parents et enfants? Y at-il de l’amour dans l’Eglise? Y at-il de l’amour entre les hommes politiques? Y at-il de l’amour envers les pauvres, les enfants abandonnés et les personnes âgées? Non, Dieu est amour et il l’a montré de maintes façons. Ce n'est pas que Dieu n’aime pas si ce qu’il a promis ne s'est pas réalisé: Dieu aime tous les hommes, mais vous hommes de la Terre, que donnez-vous en réponse à l’amour de Dieu?

Les 3 Mages se sont rendus à la grotte pour y porter leurs dons, vous venez devant Jésus, prier, apporter votre coeur plein d’amour, de charité, de compréhension et d'humanité. Plus les hommes d’eglise se conduisent mal, plus les hommes bons s'éloignent parce qu’ils pensent: "Si les hommes d’eglise se conduisent mal, pourquoi devrais-je me battre? Je me conduis bien, j’aime ma famille, je travaille, cela suffit".

Vous êtes étroitement encerclés et il semble que vous êtes seuls à faire avancer cette mission: le grand amour envers Jésus Eucharistie. Il y a bien sûr d’autres groupes qui travaillent dans le même but, mais ils sont si peu comparés à ceux qui n’aiment pas Dieu.

Au début, votre soeur venait avec joie à l’apparition, elle ne regardait pas l'heure, elle exultait, alors que maintenant elle a peur parce qu’elle aimerait pour vous et pour l'évêque quelque chose qui n’arrive jamais. Le petit troupeau diminue et se réduit parce qu’on ne comprend pas vraiment ce que Dieu veut. Les gens disent oui dans un moment d’enthousiasme, puis ensuite il suffit d'un rien et ils s'écroulent, la susceptibilité, l'envie et la jalousie se répandent.

Cette lettre de Dieu s’adresse à tous les hommes, non seulement à ceux ici présents. J’ai peur de vous le dire, ne vous enorgueillissez pas, mais vous êtes meilleurs que ceux qui devraient être les guides, les bergers du troupeau. Mais, du moment que vous marchez sur le droit chemin, celui que Jésus désire, je dois vous reprendre même si vous commettez une petite faute. Je désire agir ainsi avec vous, comme je l’ai toujours fait.

Il semble presque inutile de vous dire: courage, soyez forts, priez, ne vous laissez pas aller, mais je dois vous le dire.

Je sais que tu es abattu, mon cher évêque et je sais que la souffrance morale est plus dure à supporter que la souffrance physique, mais si tu t'écroules, tes jeunes s'écrouleront, je ne dis pas tes ex-jeunes car pour toi ils sont toujours tes enfants, et avec eux ce petit troupeau s'écroulera. Courage, tu sais que je suis avec toi, combien de fois as-tu senti ma présence? Ces moments de découragement arrivent, c’est normal. Tu n’as pas commis de faute, tu n’as offensé ni Dieu, ni mon Fils Jésus, ni moi-même, tu n’as offensé personne. La souffrance morale est plus dure à supporter que la souffrance physique, c’est pourquoi vous dire courage, continuez à avancer et à prier, c’est tout vous dire.

Regardez comme le petit troupeau de fidèles a diminué! Pourquoi? Parce que les hommes ne vont pas là où il y a peu de monde, mais là où il y a foule, même si là on ne prie pas, mais parle, rit et plaisante. Ils peuvent même rester deux heures sous la pluie à Saint Pierre, mais ici ils se lamentent parce qu’il fait froid. Que voulez-vous de plus de mes deux petits enfants qui font avancer seuls depuis des années une mission si dure et si difficile? Avez-vous froid? Il ne fait pas froid. Ils ont construit une tente pour que l'église soit plus grande, ils l’ont fermée et j’entends encore dire: "Il fait froid, il nous faut un poêle ".

Pourquoi vous plaignez-vous d'un petit inconvénient alors que lorsque vous allez dans un autre endroit, dans un quelconque sanctuaire, vous êtes en plein air, dans le froid, sous le soleil ou sous la neige et vous ne dites rien? Si vous pensez à prier, vous ne pouvez sentir le froid. Si ceux qui vont sous la pluie ou la neige pour prier, parler, rire, se raconter leurs expériences n'ont pas froid, pourquoi vous lamentez-vous ? Que voulez-vous de plus? Ici on ne peut pas faire plus!

Dieu a promis une grande église de la "Mère de l’Eucharistie " et vous vous rendez compte vous-mêmes, sans qu’il soit besoin de répéter toujours les mêmes choses, que personne ici ne demande de l’argent. Ils doivent construire des églises à Rome et ne font rien d’autre que de demander de l’argent. A qui le demandent-ils? Aux hommes politiques, aux acteurs, à ceux qui ont des millions, des millions et des millions. Ici, au contraire, dans ce lieu thaumaturgique où l’argent ne circule pas, mais où il n'y a que prière et amour, vous demandez continuellement à faire des dépenses pour vous sentir à l’aise.

Vous devez donner de l’amour à votre évêque qui vous a tant donné et ne s'est jamais dérobé lorsque vous avez fait appel à lui. Il a vraiment beaucoup donné à tous ceux qui lui ont demandé de l’aide, même si son moral est bas, encore plus brisé que le vôtre, parce qu’on ne parle pas bien de lui, ni de toi, ma chère enfant. Le plus grand péché est de croire au miracle du 11 juin, car ils ne peuvent plus en douter, mais d’avoir peur de l’admettre, parce que les gens viendraient ici. Ils ont peur de perdre leurs ouailles parce que si les fidèles ne sont pas nombreux, les offrandes diminuent, tandis que si leur nombre est grand, elles augmentent. Essayez de vous imaginer le montant des collectes effectuées dans ces églises fréquentées par de nombreux fidèles. Si le nombre des fidèles diminue dans ces églises, les ecclésiastiques perdent leurs collectes et leur pouvoir. C’est pourquoi ils se battent, calomnient, diffament, rudoient les fidèles qui ne sont pas en mesure de répondre à ceux qui ont étudié la théologie, à moins qu’ils n'y soient préparés comme nos jeunes ou vous adultes qui avez suivi le catéchisme. Trouvez-moi un prêtre qui explique la catéchèse comme le fait votre évêque; trouvez-moi un prêtre qui soit toujours prêt à vous apporter son aide; naturellement pour des questions graves, pas pour des bêtises. Certains vont parfois trouver votre soeur pour lui demander, s’ils sont victimes de sortilèges ou ont le mauvais oeil. On ne doit pas poser de telles questions à l'évêque et encore moins à la visionnaire qui ne connaît pas ce genre de choses; il est préférable de connaître les choses de Dieu.

J’aimerais vous souhaiter une bonne Epiphanie, mais mon cher évêque, mon coeur se serre aussi. Alors ces mots jaillissent du plus profond de mon coeur "amour, courage, force"; vous avez tous, d'une façon ou d'une autre, une croix à porter, petite ou grande, en fonction de la force que vous possédez.

J’ai aujourd'hui ici avec moi, l’Enfant Jésus et mon époux Joseph. Tous les anges et les saints sont ici avec moi, mais où sont ceux qui ont reçu des grâces? Vous qui avez toujours demandé de l’aide, où êtes-vous? Alors je vous demande à vous ici présents: qu’est-ce que votre évêque n’a pas donné pour vous faire avancer sur le chemin de la sainteté? Tout, il vous a tout donné!

Mes voeux à tous, bonne Epiphanie.

Marisa - Même aujourd'hui, tu ne me donnes pas l’Enfant Jésus?

La Madone - Non, Marisella, offre aussi ce sacrifice.

Rome, le 14 janvier 2001 - 10h45 (Lettre de Dieu)

Marisa - Comme toujours, je veux te recommander tous ceux qui ont besoin de toi et de ton aide. Même ceux qui souffrent moralement ont besoin de ton aide. Tu sais combien de personnes se sont recommandées à mes prières et combien sont loin de ton Fils Jésus. Même les malades sont si nombreux, ils recherchent l’aide et la force de supporter leurs souffrances, parfois très grandes et fortes. Tu peux intercéder auprès de Dieu pour nous tous.

La Madone - Et toi, Marisella, est-ce que tu souffres?

Marisa - Je dis comme l'évêque: "Je vous laisse la réponse". Je ne me sens pas bien maintenant. Si tu allégeais mes souffrances, je me sentirais un peu mieux, je pourrais également prier davantage, parce que prier me fatigue.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence; merci d’avoir accepté le don que Dieu vous a fait; de ne pas vous faire fermer la Porte Sainte. Vous pouvez profiter de ce grand don, mais vous devez vous confesser et communier. C’est un très grand don qui n'est donné à nulle autre église, même pas aux plus grandes, ni à celle où se trouve le Saint Père; priez pour le Saint Père.

Tous les dons que Dieu vous a faits, en partant du premier, l’apparition, jusqu’au dernier, le grand miracle eucharistique du 11 juin, n'ont été accordés à nul autre; personne n’a reçu tous ces dons. Dieu vous les a donnés pour vous faire grandir, pour vous porter à la sainteté, mais, surtout, parce qu’il a posé ses yeux sur ce lieu thaumaturgique qu’il a aimé depuis le début. Bien sûr, étant donné que vous vivez sur la planète Terre, vous avez des problèmes et des souffrances, vous subissez des méchancetés, comme le vol du crucifix et ces blessants appels téléphoniques anonymes. Rien ne vous sera épargné, tant que vous vivrez sur la Terre.

Vous pensez: "Dieu peut faire immédiatement tout ce qu’il veut ", mais comment beaucoup de ses enfants pourraient-ils se sauver? Et surtout, comment Jésus pourrait-il accepter que tant de ses enfants vivent dans le péché et ne puissent jouir demain du Paradis? Quand l’un de vos enfants se conduit mal, vous le réprimandez, le corrigez, pleurez, priez, faites tout pour l’aider. Dieu, dont beaucoup de ses enfants se perdent, doit aussi tout faire pour les sauver. Dieu vous a tout donné. Pourquoi vous arrêtez-vous sur un seul point? C’est dur pour vous, mais c’est encore plus dur pour Dieu de voir que tant d'hommes se damnent.

Les ecclésiastiques organisent de grandes réunions de prière dans de grands lieux, font tout sauf prier. Ceux qui se rendent dans ces lieux prient peu ou pas du tout, ils ne sont ni guidés, ni aidés, parce qu’ils sont nombreux. Vous, au contraire, comme vous êtes peu nombreux, vous êtes guidés et aidés, un par un, vous êtes plus proches de Jésus, parce que votre évêque vous l’a fait connaître de différentes manières. Ne vous laissez pas aller, vous devez avancer même seul, vous devez faire de l’apostolat, sinon quels apôtres seriez-vous? Vous devez faire de l’apostolat envers tous, sans peur. Pourquoi avez-vous peur? Je ne comprends pas encore pourquoi les chrétiens ont peur de parler, alors que ceux qui ne sont pas chrétiens sont prêts à faire tout. Cela demande plus de courage: Les chrétiens ne doivent pas avoir peur. On doit reconnaître un chrétien à son engagement, ses oeuvres, son aide envers les autres, même s’il n'est pas compris, même s’il est rejeté. Vous devez penser que vous avez semé des graines qui seront récoltées ailleurs. Ne vous découragez pas, ce n'est ni bien ni juste. Ne vous en prenez pas à Dieu parce qu’il n’a pas décidé de faire ce qu’il a promis. Il vous a tout donné, il n’a pas donné aux autres groupes tout ce qu’il vous a donné.

Je vous invite aussi à prier pour les visionnaires, car eux aussi recherchent la richesse et le luxe, ils cherchent à tout posséder et ne donnent rien. Certains ne sont plus voyants, mais sont suivis par beaucoup de personnes, parce qu’ils continuent à dire: "La Madone nous dit de faire ceci ou cela", alors que je n’ai rien dit. Si quelqu’un désire faire quelque chose, qu’il ne le demande pas au nom de la Madone; je sais qu’il est plus facile de demander en mon nom, mais vous, ne le faites jamais. Dieu sait ce qu’il veut et ce qu’il doit faire; Il tiendra sa promesse, mais il désire d’abord la conversion de ses enfants, même si ce n'est pas celle de tous, car cela s’avèrerait trop long et difficile, mais au moins celle de ceux qui ont beaucoup reçu, car il est plus facile aux non croyants d’entrer dans le Royaume des Cieux.

Regarde, Marisella, qui est ici avec moi?

Marisa - Il y a papa. Il y a aussi grand-père Agostino, grand-mère Speranza. Et qui sont tous ceux-là? Est-ce que ce sont les soeurs de maman? Alors j’irai moi aussi au Paradis!

La Madone - Marisella, Marisella, Marisella!

Marisa - Oui, je sais. Celle-là, je la reconnais, c’est ma tante Lucia.

La Madone - Et celle-là, c’est grand-mère Carmela.

Marisa - Je ne l’avais pas reconnue, est-ce que c’est Fabio?

La Madone - Marisella, c’est Stefanuccio.

Marisa - O.K., mais ils se ressemblent beaucoup. Mon dieu, tu as amené tous nos parents et tous les proches de ceux ici présents! Celui-là, je le reconnais, c’est le père de Daniela; je ne peux pas me souvenir de tous les noms. Il y a Silvano, Bruno, et qui est celui-là?

La Madone - Es-tu heureuse d’avoir vu tous tes êtres chers ainsi que ceux de l'évêque? Ces personnes n'ont pas été aidées, on ne leur a pas enseigné l’Evangile, mais Dieu a été miséricordieux et les a sauvées. Elles ont fait ce qu’elles ont pu. Les curés peuvent fournir une aide économique aux pauvres, mais ils doivent également les enseigner et leur faire connaître Jésus. En effet, ils vont leur apporter de l’aide, boivent à leur santé puis reviennent à la cure, sans donner l’aide spirituel.

Marisa - Je n’ai pas bien compris cela.

La Madone - Je désire seulement qu’aucun de vous ne perde la foi en Dieu, de votre chef au plus petit qui est pour l’instant Samuel, puis qui sera Emanuele.

Mes chers enfants, courage. Continuez à faire la Porte Sainte, afin que Dieu la laisse ouverte, mais vous devez la faire en état de grâce. Je ne me lasserai jamais de vous dire de vous aimer les uns les autres. Merci de votre présence.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Chère Marisella, aujourd'hui aussi tu dois offrir la souffrance de rester dans ta chambre. Tu ne m’as rien demandé.

Marisa - Que dois-je te demander? Maintenant, j’ai compris ce qui m’attend. Adieu. Don Claudio, finalement tu souris quand je te regarde.

Rome, le 18 janvier 2001 - 17h10 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Après deux mille ans, l'homme ne croit pas encore aujourd'hui à ma virginité. Ils veulent retirer du Je vous salue Marie: "Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni".

Après deux mille ans d'histoire, ils me combattent toujours. Je n’ai pas envie de dire la raison de cette lutte contre ma virginité. J'étais vierge avant, pendant et après l’accouchement, comme vous le dites justement dans la sainte litanie composée par votre évêque: "Mère toujours vierge de Dieu le Fils ". Ils parlent contre moi qui suis bienheureuse dans le ciel; mais je souffre quand je viens sur la Terre.

Vous devez approfondir la compréhension des sacrements; chaque sacrement donne ou accroît la grâce. Ceux qui ont reçu le sacrement du mariage ou de l’ordre laissent beaucoup à désirer. Vous devez recevoir proprement le sacrement de confession. Ceux qui font la communion sans être en état de grâce commettent un péché grave.

Souvenez-vous quand les guerres sévissaient et qu’il y a eu des tremblements de terre ? Je vous ai demandé de vous priver de fumer, de regarder la télévision et de faire le jeûne. Malheureusement ceux qui pouvaient se priver de fumer ne l’ont pas fait.

Vous avez beaucoup exigé de Dieu et vous vous êtes continuellement demandés: "Pourquoi mon Dieu, pourquoi mon Dieu, pourquoi mon Dieu?". Mais vous n’avez pas fait le petit sacrifice qui vous a été demandé, comme si Dieu s'était adressé à d’autres. Les lettres de Dieu sont pour tous les hommes.

Que ceux que Dieu a appelé petits apôtres et qui doivent soutenir l’Eglise fassent attention. Vous voyez comme il est facile de fauter, alors que vous êtes prompts à dire: "Pourquoi, mon Dieu?". Vous, qu’avez-vous fait? Vous êtes des gens de prière, vous assistez quotidiennement à la Sainte Messe et faites la Sainte Communion, vous êtes bons par rapport à tant d’autres, mais gare à moi si je vous demande quelque chose, parce que vous répondez: "Je n'y parviens pas, je ne peux pas, j’ai besoin de me détendre". Assieds toi donc, Excellence, parce que tu es fatigué. Prenez exemple sur votre évêque et la voyante. Ils ont vraiment besoin de se détendre et auraient donc besoin d'une cigarette. Au contraire, ils continuent à faire leur devoir en serrant les dents, peut-être en pleurant et en se plaignant auprès de Celui qui est Tout pour eux. Ils continuent à embrasser cette croix si lourde, si pleine d'épines et de souffrances.

Le soir quand vous vous couchez, faites un examen de conscience, priez et puis en parlant avec Dieu, dites: "Mon Dieu, qui ai-je aimé aujourd'hui?". Vous êtes capables de faire de grandes choses, de grands sacrifices, mais vous n’avez pas fait le petit sacrifice que je vous avais demandé au nom de Dieu, ni pendant la guerre, ni pendant les tremblements de terre, ni pour tout ce que vous souffrez par la faute du Vicariat. Personne n’a dit: "Je fais le sacrifice de ne pas fumer". D'un autre côté, comme quelqu’un l’a dit, la cigarette fait du mal au porte-monnaie et à la santé.

Marisa - C’est moi.

La Madone - Oui, Marisella, c’est toi qui l’as dit … C’est un petit sacrifice, mais il est grand aux yeux de Dieu et il peut vous aider à faire beaucoup de bien.

Je n’ajoute rien d’autre, il suffit que vous réfléchissiez sur ces points.

Mes voeux à celle qui doit accoucher et à celui qui fête son anniversaire. Dites une prière pour la défunte qui a quitté la Terre aujourd'hui.

Merci, je vous aime tant, mes chers enfants, et je suis très heureuse quand vous faites un petit sacrifice demandé par Dieu. C’est bon pour vous, pour vos êtres chers, pour l’Eglise, pour tous.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Je vous bénis avec mon évêque et mon époux bien-aimé Joseph.

Marisa - Tu ne nous couvres pas de ton manteau maternel?

La Madone - Bien sûr, même si je ne le dis pas, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Marisa - Adieu, il semble que tu sois pressée aujourd'hui.

La Madone - Moins je parle, plus l'évêque peut parler. Vous n’avez pas encore tous compris combien il est important de connaître la parole de Dieu pour pouvoir donner l'exemple, témoigner et répondre à ceux qui se croient grands. Adieu, Marisella.

Marisa - Adieu. Vas-tu toujours me l’amener? Adieu.

Messages de Février 2001

Rome, le 11 février 2001 - 17h10 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je te recommande très chaudement Jacopo, Samuele et Beatrice, le docteur Giuseppe et tous ceux qui sont malades à la maison et à l'hôpital. Je te les recommande tous, mais les enfants, en particulier. Aide Jacopo et Samuele.

Je sais, tu ne me dis rien, mais ce serait bien de savoir une chose quand je te la demande.

Je te recommande tout particulièrement Anna qui t’aime beaucoup et est à l'hôpital.

Tous ceux qui viennent ici t’aiment, même avec leurs imperfections, parce que nous vivons dans le monde et nous sommes imparfaits. Aucun de nous n'est parfait. Peut-être que le petit Emanuele est parfait. Es-tu heureuse qu’emanuele soit ici? Ses parents s'en vont et l'emmènent avec eux et je reste seule.

La Madone - Ses parents ne peuvent le laisser avec toi …

Marisa - Te souviens-tu du fameux jour?

La Madone - Cela suffit, Marisella.

Marisa - Il y a beaucoup de malades, même Maria Teresa. Si je devais les énumérer tous, je n'en finirais pas.

La Madone - Mon désir est que les malades guérissent d’abord dans leur coeur, puis dans leur corps.

Marisa - Tu guéris le corps et l'esprit, ainsi nous ferons plus vite.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. L’amour maternel que j'éprouve pour vous est si grand et si fort que je viens toujours pour chacun de vous, pour vous aider, même si vous ne me voyez pas, en particulier quand vous trébuchez et chutez sur des épines et des pierres rencontrées sur votre chemin. Si des difficultés se présentent au cours de la journée, ne vous découragez pas, mais continuez à marcher et dites une prière. Si vous vous découragez, satan entrera en vous et vous fera chuter. Ce n'est pas ce que vous voulez, n'est-ce pas? Quand vous avez des soucis, contrariétés ou autres problèmes familiaux, priez le Dieu Tout-puissant qu’il vous aide si vous ne voulez pas chuter et vous verrez que le démon, même s’il vous tente, ne pourra rien vous faire.

Il est parfois difficile de lutter contre le démon, parce qu’il est fourbe, mais il est également stupide, comme le dit votre évêque, car Dieu est plus fort que lui. Néanmoins s’il trouve une créature faible qui ne recherche pas l’aide de Dieu, il est prompt à l'enjôler et à la faire chuter.

Ces enseignements sont fort simples et compréhensibles pour tous. Il n'est nul besoin de lire beaucoup de choses sur le démon ou ses tentations. Le démon pénètre dans ceux qui ne sont pas en état de grâce et il vainc les créatures qui se laissent aller, se découragent et voient tout en noir, parce que la porte est alors ouverte et le chemin facile. Ce que je dis vaut pour vous ici et pour les hommes du monde entier.

Combien de fois les hommes tuent-ils pour un rien, par envie ou jalousie. Quand ils n'ont plus la grâce, ils n'ont plus l’amour et deviennent la proie de la haine et de la violence. Vous au contraire, vous devez surmonter les petites incompréhensions et les petits ennuis journaliers. Il y aura toujours des contrariétés sur la planète Terre. La jalousie et l'envie, comme je vous l’ai dit maintes fois, conduisent à la calomnie et à la diffamation, au meurtre moral: ce qui est très grave.

Celui qui, d'une façon ou d'une autre, jette une pierre pour tuer, manque gravement à la charité; ceci est grave. Je ne peux pas ignorer ces choses, parce que Dieu est amour, la Mère de l’Eucharistie est amour et ne peut se taire, elle doit parler. Vous devez vous aider mutuellement. Combien de fois ne vous ai-je pas dit que vous ne deviez pas former de groupes et ne fréquenter que ceux que vous jugez bons et avec lesquels vous aimez parler, laissant de côté ceux que vous jugez antipathiques. Rapprochez-vous de ceux qui souffrent. Si je vous dis ceci c’est parce que vous suivez un beau chemin et qu’il serait dommage de le détruire par manque de charité, ceci peut vous sembler être une chose insignifiante, mais cela ne l'est pas aux yeux de Dieu. De plus, si Dieu vous a donné cette lettre, c’est que ce ne sont pas des bêtises, mais des fautes graves. Dieu a été blessé, parce que certains ont détruit quelque chose que Lui voulait créer. C’est pourquoi je vous ai dit: n’achetez pas les hommes avec des cadeaux. Ceux qui ne peuvent faire de présents, car ils n'en ont pas les moyens, sont mis à l'écart. On recherche la compagnie de ceux qui peuvent donner et s’ils n’aiment pas, cela ne fait rien. Je désire d’abord l’amour, puis les cadeaux. Je désire également un présent, votre coeur. L’amour vient en premier, puis les cadeaux; aimez-vous d’abord, puis donnez-moi votre coeur. Aimez-vous d’abord, et ensuite vous pourrez échanger des cadeaux. Ceux qui sont en ordre avec Dieu n'ont pas à se faire de soucis, chacun répond de sa propre conscience.

Je n’aimerais pas devoir toujours vous parler de l’amour et de la charité chaque fois que je viens sur la Terre. Essayez de faire un pas en avant. Obéissez à Dieu et à l’Evêque; il est facile d'obéir. Vous devez raisonner ainsi: "Dieu me dit-il quelque chose par l’intermédiaire de l'évêque? Je le fais". Si ce que vous demande l'évêque est difficile et dur, n'en parlez qu’avec lui, pas avec les autres. J’ai toujours dit que vous faisiez une erreur en parlant entre vous, parce que vous ne possédez ni le don de la pénétration, ni le don du discernement. Ne jouez pas au grand maître et laissez la place à l'évêque, ou parlez directement à la personne concernée, mais pas entre vous parce qu’il se pourrait que vous ne compreniez pas ce que Dieu dit dans ses lettres, si l'évêque ne vous les explique pas auparavant. Mes chers enfants, je vous aime tant et je dois vous dire ces choses, n'est-ce pas Marisella?

Marisa - Oui, à moi tu me l’as toujours dit. J’aimerais te demander: Est-ce que je suis si mauvaise?

La Madone - Mais que dis-tu là?

Marisa - Hier soir, le docteur m’a dit que je ne peux plus marcher et que je ne dois pas non plus me lever seule, à moins que tu n'interviennes. Il m’a même dit: "Pourquoi ne le demandes-tu pas à Dieu?". Donc je te le demande: laisse-moi marcher un petit peu, non pas pour moi, mais pour soulager ceux qui sont dans la maison, en particulier l'évêque. Si je dois vivre ainsi, emmène moi, parce que je suis une charge.

La Madone - Le docteur a raison, tu ne dois pas te lever, tu ne dois pas te fatiguer parce que ton coeur en souffre. C’est ainsi, Marisella, tu dois obéir au docteur.

Marisa - Merci, je le savais déjà! Le docteur m’a dit de vous demander si vous vouliez m’aider et je lui ai dit que ce don n'était pas pour moi, mais pour les autres, mais je te le demande: peux tu m’aider un petit peu? Vous devez le faire au moins pour l'évêque et pour ma maman.

La Madone - Je le demanderai à Dieu le Père.

Marisa - Oui, va le demander à Dieu le Père. Que font tous ces enfants autour de toi? Ils jouent. Regarde un peu celui qui commande? Il a le caractère de sa mère. Il est beau, il est si beau. Tu es si beau. Tous les enfants sont beaux.

La Madone - Marisella, quand tu te sens abattue, quand tu penses à cet enfant, pense à Emanuele.

Mes chers enfants, merci de votre présence. C’est aujourd'hui la fête de Notre Dame de Lourdes et l'évêque célèbrera la Sainte Messe pour les malades présents et pour les absents également. Recevez la bénédiction eucharistique pour vous-mêmes et pour les malades, priez pour eux. Bien des voeux à tous de la part de la Maman.

Marisa - La Madone est une personne, mais j’en vois trois maintenant: Notre Dame de Lourdes, Notre Dame de Fatima et la Mère de l’Eucharistie, mais vous êtes toutes pareilles!

La Madone - Bien sûr, Marisella, parce que c’est toujours moi. Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers, tous les enfants, en particulier ceux qui sont malades. j’envoie un baiser à Jacopo, Samuele et à cette petite famille qui passe de très mauvais jours.

Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Deux Madones prennent maintenant les enfants par la main et s'en vont vers le Père. Seule la Mère de l’Eucharistie est restée.

La Madone - Nous ne nous saluons pas, Marisella?

Marisa - Adieu. Me feras-tu marcher un petit peu? Sinon, je n'y arriverai pas … d’accord, je ferai ce que Dieu veut. Depuis que je suis née, je répète: "Faites comme vous l'entendez". Ma maman a raison, j’allais déjà mal quand j’avais seize mois, j'étais mourante et aujourd'hui je suis encore en vie, mais je végète, parce que je ne fais rien.

C’est bon, adieu, Adieu, ma belle.

Don Claudio, je lui ai dit: "Adieu, ma belle".

Rome, le 18 février 2001 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Tu as amené les anges, les saints et toutes les âmes sauvées avec toi.

La Madone - Il y a aussi ton frère Père Pio.

Marisa - Oui, je le reconnais.

Je désire te poser une question: devons-nous tous souffrir pour aller au Paradis? Gagne-t-on le Paradis seulement avec la souffrance?

La Madone - A quoi te réfères-tu, Marisella?

Marisa - Tu lis dans nos coeurs et tu sais à quoi je me réfère.

La Madone - Non, c’est en faisant la volonté de Dieu que l’on va au Paradis. Beaucoup d'âmes sont appelées à offrir leurs souffrances pour la conversion des pécheurs, mais vont au Paradis, ceux qui font la volonté de Dieu.

Mes chers enfants, demandez-vous chaque jour, dans quel état vous vous trouvez: "Est-ce que je fais la volonté de Dieu ", et vous entendrez la réponse dans votre coeur. Si vous recevez Jésus Eucharistie dans un état de recueillement et d'écoute, vous l'entendrez parler, mais vous devez être silencieux, très silencieux.

Il y a un autre point que je trouve important; ne dites pas du mal des autres, on tue plus avec des mots qu’avec le fer.

Qu’est la langue au fond? `Un petit membre du corps humain et pourtant elle réussit à faire beaucoup de mal avec la calomnie et la diffamation; ceci s’adresse à tous les hommes de la Terre, parce que je sais que les lettres de Dieu sont répandues dans le monde entier.

Ne dites pas du mal des autres, en particulier des absents. Parlez à la personne intéressée ou avec l'évêque; les autres parlent avec leurs prêtres, parce qu’eux seulement, s’ils sont en état de grâce, peuvent vous donner toutes les explications que vous désirez. Souvenez-vous de ce qui est arrivé le 18 février 1996: tout d’abord, votre soeur, en obéissance à Dieu, a mangé de l'herbe, puis la Sainte Trinité est descendue du ciel et finalement l'hostie s'est déposée dans ses mains. Vous vous êtes tous réjouis de cet évènement, mais certains qui n'étaient pas en état de grâce ont immédiatement répandu des calomnies et des diffamations.

Vous fêtez aujourd'hui ce miracle eucharistique, mais combien de souffrances avez vous endurées pour l’Eucharistie? On vous calomnie et vous diffame parce que vous aimez mon fils Jésus; On s'est conduit de la même manière avec mon fils Jésus: s’il guérissait les malades, on le calomniait parce que c'était le sabbat; s’il ne les guérissait pas, il n'était pas le Fils de Dieu.

Pour les hommes, Jésus aussi se trompait toujours. Vous pouvez beaucoup donner parce que vous avez beaucoup reçu. Vous avez eu la chance d’avoir à vos côtés un évêque qui vous instruit très bien; comme je vous l’ai déjà dit, ses rencontres bibliques sont tout un poème.

Beaucoup viennent de Rome et même d’ailleurs pour l'écouter, mais vous devez chercher à mettre en pratique ce qu’il vous explique au cours de ces rencontres et du catéchisme.

Mes chers enfants, cette lettre de Dieu est très belle, parce qu’elle renferme un grand nombre de petits reproches maternels et la caresse de la maman.

Cette nuit, j’ai emmené votre soeur dans les hôpitaux pour y voir la grande souffrance qui y règne. Elle a aidé beaucoup d’enfants qui souffraient, certains étaient seuls et n’avaient personne à leurs côtés.

Allez rendre visite aux malades, ne les laissez pas seuls, ils ont besoin de votre aide, car si vous n’avez pas la charité en vous, vos actions sont mortes.

Dieu est amour. Et ainsi que vous vous demandez pourquoi mon Dieu? demandez vous pourquoi Dieu vous aime tant.

Père Pio - Ma chère soeur, c’est Père Pio qui te parle et qui t’aime.

Je vois que tes souffrances continuent à augmenter et sont bien plus grandes que les miennes. Tu souffres bien plus que ton frère Père Pio.

Marisa - Mais que dis-tu, Père Pio! Oui, en somme…

Père Pio - Il est inutile que tu les caches, on ne peut cacher certaines souffrances. C’est faire preuve d'humilité que de dire; oui je souffre, j’ai beaucoup de douleurs.

La Madone - Mon Joseph est ici. Dieu lui a confié une très belle mission, comme celle qu’il a confiée à son épouse bien-aimée. Et il doit agir, doit donner, doit aider, en particulier ceux qui sont en difficulté. Ceux qui embrassent Jésus, embrassent la croix et quand on voit des malades, qui souffrent à la fin de leur vie, c’est une très grande souffrance.

Alors la Maman vous invite à continuer, elle vous serre tous contre elle et vous donne force et courage. Priez pour votre enfant. On obtient tout avec la prière; le saint rosaire est une arme puissante qui transforme tout.

La Madone - Mes chers enfants, réjouissez-vous de cet anniversaire du miracle eucharistique, jouissez-en et aimez-le: priez et conversez avec mon Jésus comme je le faisais quand il était dans mon sein maternel.

Marisa - Adieu, adieu Père Pio. Adieu.

Rome, le 22 février 2001 - 17h05 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je te recommande tous les malades, et il y en a même dans notre communauté.

Giorgio et Iolanda: les deux enfants Jacopo et Samuele. Il y a beaucoup et beaucoup de personnes qui demandent toujours l’aide de la Madone. Il y a nous également, ton petit troupeau, qui te demande ton aide spirituel et matériel.

La Madone - Il y a également grand-mère Iolanda, je le sais bien. Et toi comment vas-tu Marisella?

Marisa - Que dois-je te dire?

La Madone - Tu ne demandes rien?

Marisa - Pas pour moi. Combien de fois ne m’avez-vous pas dit que vous ne me rendriez heureuse qu’au Paradis? A propos, dois-je passer par le purgatoire?

La Madone - Non.

Marisa - j’en suis heureuse, mais je te demande un peu de soulagement uniquement pour permettre à l'évêque de respirer, car la situation le préoccupe beaucoup.

Voilà le fils de l'espérance et du miracle.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Merci de l’amour que vous démontrez à mon Fils Jésus, à votre évêque et à la petite communauté. C’est vrai que vous êtes peu nombreux, mais vous grandissez dans l’amour de Dieu, même s’il y a de petites difficultés et incompréhensions et que la tempête gronde parfois.

Mes chers enfants, l'heure de Dieu est proche, selon ses temps. Vous savez fort bien qu’en 1917, Dieu avait dit que quelque chose de très grand devait arriver, mais tout ne s'est pas encore accompli. Ceci également parce que le message de Fatima n’a pas encore été intégralement révélé, les points les plus importants en ont été omis. Personne n’a osé révéler le secret, les papes non plus. Plusieurs papes ont eu en main le secret et ne l’ont pas révélé. Le secret ne consiste pas en ce qu’on a voulu faire savoir. Un grand nombre d’années se sont écoulées et on continue encore à le falsifier, alors que vous attendez depuis un an à peine quelque chose de grand et de beau. Vous avez déjà eu le triomphe de l’Eucharistie, le triomphe de la vérité, parce que même ceux qui disent n'y pas croire, y croient; comme je vous l’ai déjà dit: ils ont peur de perdre pouvoir et richesse.

Votre évêque ne s'est pas enrichi avec les apparitions, il continue à mener une vie simple et retirée comme toujours. Beaucoup se sont enrichis en faisant croire: "La Madone a dit … La Madone a demandé …", et ils ont encaissé des milliards et des milliards. Tous s'enrichissent, les cardinaux, les évêques, les prêtres. Devenir cardinal ou évêque intéresse les prêtres, dans le but de s'enrichir. C’est pour moi fort triste et douloureux de vous dire ces choses. Il ne s’agit pas là d'un bon comportement, ce n'est pas celui d'un chrétien, ce n'est pas le style de vie chrétienne que mon Fils Jésus a enseigné au pape Pierre. Les apôtres sont restés humbles, simples et pauvres. Ils ont continué à vivre comme avant lorsqu’ils étaient de pauvres pécheurs et collecteurs d'impôts. Votre Evêque aussi ne s'est pas enrichi, il est resté comme il était avant que les apparitions ne soient ouvertes à tous. Tout ce que Dieu a donné à l'évêque et à la voyante, la maison comprise, est resté comme c'était. Qu’ont-ils en plus? La basilique de la Mère de l’Eucharistie? Il est si beau de prier sans penser être dans une grande église ou sous une tente, ce qui importe c’est de prier, d’aimer et de s’aimer comme Dieu vous a aimés.

Parfois quand le malheur vous frappe, il vous fait blâmer Dieu, mais Dieu est amour et vous ne pouvez le rendre responsable de qui se passe, c’est la nature qui suit son cours. Est-ce que Dieu rend malade votre soeur? Non, Dieu la rendra heureuse au Paradis, mais la maladie suit son cours comme pour tout le monde. Je vous en prie, quand votre croix est lourde, quand vos souffrances sont grandes, ne vous en prenez pas à Dieu, Il n'y est pour rien, Dieu est l’amour vrai, Dieu désire la paix, tout ce qui peut rendre les hommes paisibles, mais malheureusement le monde ne va pas bien. Pensez-y: les hommes sont des milliards et ces trente millions de convertis sont peu en comparaison. Pour vous, c’est un beau nombre parce que vous n'êtes pas nombreux et que vous avez fait beaucoup en priant, en faisant des sacrifices, en souffrant.

Ne vous découragez pas, cherchez à garder le moral, ne vous en prenez pas à Dieu, je vous en prie. S'en prendre à Dieu, c’est s'en prendre à tout le Paradis. Vous aimez Dieu, même si parfois des tentations et des tourments envahissent votre coeur. Dieu vous aime et sa Maman vous aime. Je vous demande de prêter témoignage, mais l’un a peur de témoigner, a peur de parler, ce n'est pas bien. Participez à la Sainte Messe et priez pour les intentions de votre Maman qui sont finalement aussi les vôtres. Essayez d’apprendre tout ce que l'évêque vous dit au cours des rencontres bibliques et apprenez à lire l’Evangile à la maison aussi. Lire l’Evangile demande peu de temps, en particulier la page expliquée par votre évêque.

Que pourrais-je vous dire encore? Vous avez tout mon amour et j’envoie ma bénédiction aux malades. Ensemble avec l'évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les malades.

Marisa - Est-il possible qu’emanuele pleure toujours quand tu viens?

Adieu. C’est bon, je fais tout mon possible, mais le moral est très bas.

Rome, le 25 février 2001 - 10h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence.

Je suis venue parmi vous pour vous apporter la lettre de Dieu, pour vous donner du courage et vous encourager à accepter ce que Dieu vous envoie. Vous devez apprendre à tout accepter et à offrir et souffrir. Continuez à prier, à aimer, à accepter les petits malentendus, à aider mes deux chers petits enfants dans leur mission, si grande, si difficile et si éprouvante, et sur laquelle les hommes de l’Eglise semble avoir remporté victoire, parce que tout s'écroule autour de vous. Mais si vous êtes avec Jésus, avec la Mère de l’Eucharistie, aucun de ces hommes ne pourra vous faire du mal, à moins qu’ils n'essaient de vous entraîner dans un piège même … et alors tout deviendrait plus difficile pour vous et pour Dieu aussi, parce qu’il devrait intervenir avec amertume et beaucoup, beaucoup d'âmes seraient perdues.

Pour le moment, la lutte est moins dure parce qu’ils ont obtenu ce qu’ils voulaient. Au fond, ah quoi bon se faire du souci? Vous êtes un petit groupe et de grands pèlerinages ne viennent pas dans le lieu thaumaturgique. Dieu a posé ses yeux sur ce petit endroit, sur ce petit groupe d'âmes qui prient, cherchent à aimer et si Dieu a posé ses yeux en cet endroit, c’est parce qu’il sait ce qui doit arriver. Priez afin que Dieu n'envoie pas tous les hommes en enfer parce que les hommes continuent à marcher et à se battre pour avoir le pouvoir. Il semble que tout s'écroule, mais, Don Claudio, rien ne s'est écroulé autour de vous, ce qui importe c’est de continuer à faire avancer la mission, de répandre et faire connaître les lettres de Dieu.

Et toi, Marisella, il ne faut pas avoir peur, de quoi as-tu peur? Tu sais maintenant que tu ne seras pas heureuse sur la Terre, mais seulement au Paradis; de quoi as-tu peur, que crains-tu?

Marisa - J’ai peur pour l'évêque, pas pour moi, parce que j’aimerais le voir couronné, comme vous l’avez promis, mais nous nous écroulons. Ils me disent de te demander d’aller mieux. Je sais que je ne peux rien demander pour moi, mais beaucoup de personnes prient pour moi et alors pour les contenter aussi, je te demande de me faire aller mieux. Ils veulent me voir aller une petit peu mieux et que je sois parmi eux. Nous sommes un petit groupe. Fais que moi aussi je sois parmi eux. Je n’ai pas honte de te dire que je me sens très mal et l'évêque veut que je t’implore pour moi-même, que tu m’aides. Je sais maintenant que le don que je possède n'est pas pour moi, mais pour les autres, mais j'obéis à mon directeur spirituel et je te demande ce que lui m’a commandé de te dire: "Peux-tu me faire aller un petit peu mieux? Seulement cela. Fais que l'évêque triomphe, parce que nous sommes fatigués, ton petit troupeau est fatigué, tes jeunes sont fatigués d’attendre; je t’en prie, intercède pour nous auprès de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Merci.

La Madone - Mes chers enfants, je vous invite à avoir foi en Dieu et du courage. Ensemble avec mon évêque bien-aimé, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés.

Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisella, Dieu s'est décidé pour l’abstinence pendant le carême. Je ne viendrais dans ce lieu thaumaturgique que le dimanche et le jeudi pour vous tous et tu ne me verras que ces jours là.

Marisa - Vraiment? Et comment vais-je faire?

La Madone - Dieu te donnera la force, la grâce et le courage.

Marisa - Que dois-je dire? Fiat. Que dois-je dire?

Messages de Mars 2001

Rome, le 15 mars 2001, 17h10 (Lettre de Dieu)

On chante le cantique "Lieta armonia".

La Madone - Oui, Dieu seul est Saint, Dieu seul est tout puissant. Vous attendez quelque chose de grand et de beau que Dieu vous a promis et je suis fatiguée de devoir vous répéter que Dieu tient toujours sa parole.

Je vais maintenant vous dire quelque chose que personne ne sait. Votre sœur était mourante hier et Dieu m’a dit: "Marie va et redonne la vie à cette créature, car l’Eglise a encore besoin d’elle ". Je suis venue ici et je l’ai sauvée au nom de Dieu parce que l’Eglise a besoin d’elle. Vous vous demandez: "Comment une créature comme elle peut-elle servir à l’Eglise?" [1], car vous savez que les hommes suivent, louent, chantent et invoquent celui qui est saint, bon et martyr, celui qui a des milliers de personnes autour de lui. Non, la sainteté est ici, dans ce lieu [2]. Vous n’avez rien demandé et n’attendiez rien. Vous attendez seulement que Dieu tienne la promesse qu’il vous a faite et que son bras s’abaisse, mais Dieu aime tous les hommes et il ne peut le faire pour l’instant. Il a sauvé cette créature parce qu’on a besoin d’elle. Dieu n’a pas besoin d’elle, mais les hommes d’eglise qui continuent d’avancer, d'occuper les postes clés, d’accumuler de l’argent, en ont besoin. Il semble que tout va bien pour eux, alors que tout s'écroule autour de vous ou comme dit quelqu’un que je connais [3], que tout s'est déjà écroulé autour de vous. Humainement parlant, vous pouvez le dire, mais spirituellement parlant non, parce que Dieu n'en serait pas heureux. s’il a posé ses yeux sur vous, s’il a choisi ces deux pauvres créatures pour sauver l’Eglise, c’est qu’il a ses raisons. Quand et comment tout cela arrivera, je ne peux pas vous le dire maintenant. Ne pensez pas que là où il y a foule, tout est bon, grand et saint. Non. Quand mon fils Jésus est né dans une grotte, il était seul, il n'y avait personne autour de lui. Il était le Messie. Il était Dieu. Il n’a pas cherché la foule, il a cherché l’amour, l’amour que je vous demande chaque fois que je viens ici. Aimez-vous les uns les autres; n’aimez pas seulement vos amis, mais aimez tous les hommes. Aimez aussi ceux qui ne sont pas vos parents, ceux qui vous font souffrir et vous calomnient.

Je veux le dire encore une fois - en tant que femme, comme si j'étais l’une d’entre vous - tout serait plus simple, si Dieu avait choisi un petit endroit avec seulement quelques personnes et un évêque, au lieu de cette grande cité. Mais qui sommes-nous pour suggérer à Dieu le choix qu’il doit faire ? Il a choisi Rome, une ville déchristianisée qui devrait grandir en amour et non en puissance et richesse. Il a choisi mes deux enfants de prédilection à Rome et leur a confié une grande mission riche en souffrance. Mes chers enfants, vous ne pouvez pas le comprendre et vous n’auriez pu supporter cette souffrance. Je vous demande ensemble avec mon époux Joseph, pour lequel vous dites une neuvaine qui n’attire partout que peu de personnes, de prier pour mes deux enfants bien-aimés et en particulier pour votre évêque. Il ne voulait pas devenir évêque [4], mais Dieu l’a choisi en lui disant: "Je t’ordonne évêque, je veux que tu sois évêque pour que tu possèdes la plénitude du sacerdoce " et donc: "porte la croix pectorale, l’anneau pastoral et la crosse. d’autres insignes épiscopaux ne sont pas nécessaires" [5]. La plénitude du sacerdoce est sainte, bonne et grande, ainsi que Dieu l’a voulu.

Oui je sais, il y a des moments ou on pense que tout s'écroule, des moments où vous dites: " Dieu m’a abandonné, Dieu m’a déçu " [6]. Humainement parlant, je dirais comme vous parce que se plaindre ainsi n'est pas une offense, mes chers enfants. A votre place, je dirais également "Dieu m’a déçue, Dieu m’a oubliée". Spirituellement parlant, Dieu ne déçoit pas, Dieu n'oublie pas, Dieu sait ce qu’il doit faire. Dieu n’a fait que repousser les choses afin de pouvoir sauver un plus nombre de ses enfants et d’atteindre 3 billions et demi de convertis, la moitié de la population du globe. C’est maintenant très difficile, très dur d'y parvenir.

Votre évêque s'étonne: "Avec tant de personnes sur la terre, pourquoi Dieu a-t-il choisi deux pauvres créatures comme nous ?". Moi je dis: "Il y a beaucoup de prêtres sur la terre, mais il n'y en a pas un seul qui soit proche de lui ". Votre évêque ne reçoit actuellement aucune aide, que ce soit de l’intérieur ou de l'extérieur. Beaucoup se moquent de lui, mais Dieu l’a doté d'une bonne intelligence et lui a donné le don d’entrer dans les âmes, de lire dans les cœurs. C’est pourquoi on ne peut le tromper. Ceux qui se moquent de lui pèchent gravement et ceux qui reçoivent la communion en état de péché mortel, commettent des sacrilèges. Mes chers enfants, combien de sacrilèges sont commis dans le monde, en particulier par mes chers enfants qui diffament et calomnient en permanence, puis célèbrent la Sainte Messe. Celui qui n’aime pas son frère et le rejette, commet un péché grave.

Mes deux enfants bien-aimés souffrent en permanence pour vivre en état de grâce. Ils pleurent lorsqu’ils sont seuls. Ils ne veulent pas être vus et être une charge pour les autres. Vous avez célébré l’anniversaire du sacerdoce de votre évêque, mais qui s'est rendu compte de ce qu’il éprouvait ? Vous avez pensé à remplir votre panse et n’avez pas tous remarqué l'état dans lequel lui et votre sœur se trouvaient. Souffrance, amertume et désillusion continuent. Ils endurent la souffrance morale et la grande souffrance physique. Priez pour eux avec tout votre amour.

Faites cette neuvaine pour mon époux bien-aimé qui s’achève dans quelques jours, avec beaucoup d’amour pour mes deux enfants bien-aimés, pour vous-mêmes, vos parents, vos familles, vos enfants. Les enfants ne sont parfois pas compris lorsqu’ils sont bons. Etre bon signifie souffrir, mais il es préférable d'être bon et de souffrir que d'être mauvais et de vivre en état de péché mortel

Mes chers enfants, cette lettre de Dieu est très belle, méditez la si vous le pouvez. Cela fait un certain temps que je ne vous ai pas demandé de lire les messages de Dieu.

Lisez les, mettez les en pratique et Dieu vous récompensera.

Je vous bénis ensemble avec mon et votre evêque, le grand évêque de la terre et du ciel. Je vous porte tous serrés dans mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Je bénis tous les jeunes qui n'ont pu venir, qui sont loin et travaillent. Je bénis les petits enfants.

Je vous porte tous serrés dans mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel qui s'étend partout où se trouvent mes enfants.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Adieu, Marisella, tu as été si brave de ne pas pleurer, tu avais la gorge serrée. Adieu ma fille.

Marisa - Adieu, Excellence, elle est partie.

NOTES

[1] Les grandes souffrances de Marisa et les prières de la communauté ont permis la conversion de 200.000.000 personnes, ainsi que l’a souligné La Mère de l’Eucharistie et Saint Joseph.

[2] Parce que les membres de la communauté doivent s'efforcer de mettre en pratique l'enseignement de l’Evangile, les instructions des messages de Dieu et le catéchisme de l’Evêque.

[3] L'évêque Don Claudio Gatti.

[4] Cela notre évêque l’a répété à plusieurs reprises.

[5] Il est scandaleux de dépenser tant d’argent pour les habits et insignes épiscopaux et cardinalices.

[6] L'évêque et la voyante ont confessé qu’ils avaient pensé à plusieurs reprises à tout arrêter et à se retirer dans le silence et le confinement de la vie privée, parce qu’ils étaient écrasés par le poids des souffrances.

Rome, le 25 mars 2001, 10h40 (Lettre de Dieu)

Ceci est la traduction intégrale du dialogue échangé entre la Madone et Marisa en présence de son Excellence, Monseigneur Claudio Gatti et d'un bon nombre de fidèles.

Marisa - Ne nous as-tu pas apporté la lettre de Dieu ?

La Madone - Joseph, mon époux bien-aimé, a pris l’Eucharistie et l’a donnée au petit Jésus.

J’ai apporté la lettre de Dieu. Je sais ce que vous aimeriez savoir. Dieu vous demande: que devons-nous faire?

Marisa - Toi qui viens de si haut? Comment pourrais-je le savoir!

Tu peux dire à Dieu que j’ai dit oui, maintes et maintes fois, mais que maintenant je ne me sens plus capable de dire oui, car je n'en ai plus ni la force ni le courage. Le oui que j’ai dit en 1973 et que j’ai répété maintes fois lorsque j’ai accepté les souffrances que Dieu me demandait ne concernait que moi. Mais maintenant après près de trente ans, je suis consciente que la souffrance concerne également notre évêque. Vous lui avez ordonné de célébrer la Sainte Messe dans notre chapelle où il ne l’avait plus célébrée depuis trois ans et demi et il vous a obéi. Vous avez dit à notre évêque de continuer à obéir à Dieu et nous avons toujours obéi.

Tu me regardes avec un visage souriant et triste, mais j’aimerais encore ajouter que nous n’avons jamais rien demandé. C’est Dieu qui a décidé de donner l'épiscopat à notre prêtre. Il lui a dit: "Je t’ordonne évêque pour que tu ais la plénitude du sacerdoce et tous les pouvoirs " et notre évêque, le cœur plein de larmes et d’amertume a dit oui. J’ai dit oui, nous avons tous dit oui. Mais vous qu’avez-vous fait pour nous défendre contre les hommes d’eglise ? Nous avons tous dit oui, les petits comme les grands et surtout notre évêque.

Je suis désolée de te parler ainsi, ma chère maman, j’en suis désolée, mais nous sommes si abattus. Ceux qui ne le comprennent pas, peuvent s'en aller, mais cette situation nous tue: plus nous agissons bien, plus nous restons dans notre petite église et plus nous sommes condamnés, diffamés et calomniés. Une lettre pleine de calomnies et de diffamations, écrite par les hommes d’eglise vient d’arriver.

Excuse moi et pardonne moi, mais ce sont l’amertume et les larmes qui m’incitent à parler ainsi et au nom de l'évêque. Où est passé l’amour que tu dis avoir pour lui ? Lorsque tu dis: "je t’aime, tu es grand, obéissant, honnête" ? Les hommes d’eglise nous assènent entre-temps des coups violents. Nous sommes avec l’Eglise et nous sommes poursuivis par les hommes d’eglise; que devons-nous faire ? Nous ne savons plus que faire. J’ajoute encore, petite Madone, que je suis descendue aujourd'hui parce que nos jeunes ont recouvert de planches les trois escaliers pour m’amener en bas. Six, sept jeunes m'ont aidée à descendre dans le fauteuil roulant, pour m’amener ici parce que c’est ta fête. Je suis descendue, surtout pour eux, à cause du grand mal qu’ils se sont donnés pendant toute la journée d'hier et jusqu'à tard dans la soirée. Seuls les jeunes savent le mal qu’ils se sont ainsi donnés. C’est pour eux que je suis descendue. j’en suis désolée, mais je ne serais pas descendue pour d’autres raisons.

Je t’ai toujours obéi depuis que j'étais toute petite. J’ai toujours dit oui, je n’ai jamais dit non, le prêtre non plus. Te rappelles-tu quand vous lui avez ordonné de laisser les " Coccinelles et les Louveteaux " pour aller où vous vouliez nous envoyer ? Il y en avait quatre cents. Il les a laissés et nous sommes allés où Dieu voulait que nous allions; Nous avons abandonné tant de choses pour servir Dieu, pour obéir à Dieu. Beaucoup de personnes peuvent témoigner que nous avons toujours obéi à Dieu. Et qu’ont fait les hommes d’eglise? Ils ont même diffamé le dernier miracle eucharistique, le miracle intervenu dans les mains de notre évêque, le 11 juin 2000. Tout a été diffamé par eux. Je sais que c’est Dieu et toi qu’ils offensent avant tout, mais ils ne peuvent rien vous faire, tandis qu'à nous oui, à nous oui. Nous n’avons plus de force pour continuer. Quoique dise l'évêque, je suis fatiguée et je ne veux plus m'occuper de rien, de rien, de rien; je n'en peux plus.

Ceci est la lettre dont vous avez sûrement pleinement connaissance au ciel. Cette lettre qui nous décrit, comme des Caïns, des assassins, nous qui enseignons à aimer l’Eucharistie. Ils nous accusent de mener les hommes à la ruine. Je ne sais pas ce que nous allons faire, je ne le sais pas, je ne le sais pas et de la façon dont tu me regardes, je me rends compte que tu ne le sais pas non plus. Qu’allons-nous faire ? Ils envoient des espions pour contrôler où nous allons. Ils ne nous saluent pas si nous allons vers eux. Si nous entrons dans une boutique et si quelqu’un nous reconnaît, il s'enfuit. Certains docteurs qui nous ont reconnu ne nous ont même pas respecté en tant que patients. Que devons nous faire pour ne pas mourir sur cette planète Terre ? Notre croix est si lourde, je n'en peux plus, crois moi. Avec tout l’amour que je te porte, je n'en peux plus. Notre évêque dit également qu’il n'en peut plus. Aucuns de ceux qui nous aiment et sont encore avec nous ne peuvent supporter de voir notre grande souffrance. Combien se sont éloignés de nous lorsque les hommes du vicariat ont dit du mal de nous. Combien nous ont abandonnés alors que nous avons toujours donné à chacun une parole d’encouragement, un geste d’amour, un signe d’affection.

Qu’allons-nous faire ? Réponds, qu’allons-nous faire ? Qu’allons-nous faire ? Tu ne réponds pas ? Va voir Dieu, demande à Dieu qui nous a dit de lui obéir. Nous avons fait tout ce qu’il nous a demandé de faire, nous avons toujours dit oui. Aujourd'hui, chère petite Madone, je dis non, je n'en peux plus; ma chair est torturée, je n'en peux plus. J’ai toujours tout accepté: la passion, la souffrance physique et morale. Aucun voyant n’a jamais souffert autant que nous; au contraire, eux ont joui, grandi, ont pu réalisé divers projets. Nous, nous sommes ici. Nous sommes comme avant les apparitions. Qu’avons-nous de plus ? La grande tente, la basilique que Dieu aime tant. Nous n’avons ni pouvoir, ni église. Nous n’avons rien, ne demandons rien et ne voulons rien.

Je te demande pardon. Je suis désolée de te parler sur ce ton, car nous nous sommes toujours aimées, mais la souffrance est si grande. Cela fait tant d’années que je souffre. Je n’ai pas peur de la souffrance, mais vous m’aviez promis que j’aurais toujours à souffrir et que le prêtre triompherait. Au lieu de cela il est condamné par tous: petits et grands. Ils ont envoyé des lettres aux curés et les ont menacés: "si vous allez le voir, nous vous suspendrons "a divinis". Ils en ont informé leurs vicaires et ils ne viennent plus, sinon ils seraient suspendus. Il y a maintenant des millions de convertis à cause de notre souffrance, mais où sont-ils ? Envoie nous au moins l’un d’eux pour nous aider.

Pourquoi ne réponds-tu pas? Dis-nous ce que nous devons faire. Que devons-nous faire ?

Quand tu m’as dit: "Jésus veut que tu vives la passion", j’ai dit oui. Je ne me suis jamais dérobée. Devais-je souffrir pour sauver une âme ? J’ai dit oui. J’ai toujours dit oui mais aujourd'hui ne me demande rien, car je ne me sens pas capable de dire oui. Parle, je t’en supplie, dis au moins quelque chose. Toi également tu n’as pas envoyé de lettre. A qui les hommes d’eglise ont-ils envoyé des lettres pleines de calomnies et de diffamations ? à un pauvre évêque. Que fait-il de mal ? Il fait connaître et aimer l’Eucharistie. Nous sommes ici, juste quelques uns. Que faisons-nous de mal ? Pourquoi prions-nous ? As-tu vu que beaucoup font maintenant l’adoration eucharistique, mais ils le font pour jeter une lumière défavorable sur nous. En fait ils disent: "Cela ne peut être vrai que la Madone nous reproche de ne pas aimer l’Eucharistie car nous faisons l’adoration eucharistique". Qu’allons-nous faire ? Pourquoi le pape n'intervient-il pas ? Ils veulent que nous pensions que le pape approuve tout, même si son nom n’apparaît pas. Pourquoi le pape recherche-t-il seulement la foule ? Pourquoi aime-t-il les grandes parades ? Ces gens invitent des chanteurs pour attirer une foule de jeunes.

La Madone - Merci, Marisa, notre chère petite Marisa, merci de tout ce que tu as dit. Tu as raison, mais Dieu ne désire pas tuer ses enfants; il ne veut pas d'une seconde arche de Noé qui ne sauverait qu’un très petit nombre d'hommes; il attend les conversions.

Marisa - et nous? Que devons-nous faire ?

La Madone - Dieu vous a dit de continuer et de ne pas vous occuper de ces gens. Si l'évêque désire écrire aux évêques italiens en répondant point par point à tous les mensonges repris dans le communiqué officiel de la Conférence Episcopale Italienne (CEI), qu’il le fasse.

Don Claudio - Quel en serait l’intérêt ?

Marisa - Ils ne répondront pas, au contraire ils nous accablerons encore plus. Que devons-nous faire ? Nous attendons ta réponse. Je ne sais pas si nous allons faire ce que tu as dit. Laisse nous décider si nous allons répondre ou non. Laisse-nous agir à notre guise.

La Madone - d’accord, petite Marisa, vous êtes libres de faire comme vous l'entendez.

Marisa - Je suis quand même désolée, car nous devions célébrer aujourd'hui la Mère de l’Eucharistie et nous sommes si abattus par cette situation si douloureuse. Nous attendons une réponse ferme, sûre et encourageante. Je ne crois pas que nous demandions trop. Depuis tant d’années je ne peux dormir à cause de la souffrance que j'offre pour l’Eglise et les hommes d’eglise. Mais que suis-je ? Une simple laïc. Prends des prêtres, convertis les et fais leur faire ce tu nous as fait.

La Madone - Puis-je dire quelque chose petite Marisa?

Marisa - Oui, oui.

La Madone - Mes chers enfants, l’assistance fort clairsemée me fait énormément souffrir, car cela signifie qu’en dépit des nombreux miracles réalisés par Dieu dans ce lieu thaumaturgique, même ceux qui sont venus ici n'ont rien compris. Je le répète encore une fois: "Il est plus facile d’aller voir une petite statue qui pleure ou saigne que de venir voir ici mon fils Jésus l’Eucharistie qui saigne ". Vous êtes ici pour fêter la Mère de l’Eucharistie, alors fêtez la! La lettre qui vient d’arriver est un communiqué officiel rempli de mensonges. Ils ont triché autant qu’ils ont pu pour vous contraindre à arrêter, pour vous affaiblir, pour vous mettre à mort. Mais comme je vous l’ai déjà dit, ils ne peuvent pas vous tuer parce que nous sommes avec vous. Il est juste de répondre à ce communiqué, Excellence, parce qu’enfin tu as dit ce que tu pensais avec vérité et honnêteté. Tu es bien sûr dans la vérité, mais souviens-toi qu’ils ne répondront pas.

Vous espériez que ceci serait la dernière attaque de Satan, mais il serait malheureux qu’il en soit ainsi car il n'y aurait plus de temps pour d’autres conversions. Par ailleurs, ce qu’ils ont ajouté à la fin du communiqué laisse entendre qu’ils sont prêts à vous tourmenter, agissant toujours sous le manteau, ne se montrant jamais et envoyant toujours d’autres en avant. Le cardinal Ruini a bien des raisons de se réjouir car il a signé le communiqué en tant que président de la Conférence Episcopale Italienne (CEI) et non en tant que vicaire du pape. Ceci signifie qu’ils progressent, que leur pouvoir grandit, qu’ils amassent de l’argent et vous mes deux enfants bien-aimés savez qui ils sont.

Mon évêque bien-aimé, je ne veux pas t’ordonner d'écrire ou de ne pas écrire. Tu es libre d’agir selon ton cœur. Je peux seulement te conseiller d'écrire pour que la vérité triomphe. Ce que tu écriras restera enregistré. Vous pouvez faire ce que Filippo et petite Marisa ont pensé au sujet du site Internet. Tout le monde devra savoir à l’avenir que mes deux anges sont morts pour l’Eglise. Tous ceux ici présents sont libres de les aider.

Merci, Samuele, de tes salutations. Merci de m’avoir saluée et toi petite Marisa, tu ne me salues pas ?

Marisa - Je t’aime et tu le sais, mais j’avais à te dire tout ce que j’avais sur le cœur. j’en suis désolée mais je devais te le dire. Je devais défendre l'évêque. Je devais le défendre parce que j’ai dit oui et lui a souffert. Si j’avais dit non, il n’aurait pas souffert ainsi; c’est ma faute parce que j’ai toujours dit oui. Si je n’avais pas accepté, il n’aurait pas souffert; j’ai toujours dit oui sans penser que la grande souffrance lui était réservée.

La Madone - Cela suffit maintenant, Marisella, cela suffit. Voulez-vous participer à la Sainte Messe comme si c'était la dernière de votre vie ? Voulez-vous fêter avec moi la Mère de l’Eucharistie en y mettant toutes vos forces ? Je vous aime, ne l’oubliez pas ?

Marisa - Mais nous t’aimons également, c’est uniquement que je ne suis plus d’accord pour dire encore oui, car je me sens coupable d’avoir conduit Don Claudio à l’immolation et à l'exécution, parce que je t’ai toujours dit oui. J’aurais dû dire non, mais je ne m'en sentais pas capable. Il ne me semblait pas bien de dire non à Dieu et j’ai toujours dit oui. Mais maintenant je n'en peux plus.

j’espère que ceux ici présents peuvent comprendre mon état d'âme.

La Madone - Ils te comprennent sûrement. Ceux qui ne te comprennent pas montrent qu’ils n'ont rien compris de ta vie. Sois calme, pense à toi en ce moment.

Marisa - Ah oui? Et tout ce que j’ai donné jusqu'à ce jour ? J’ai toujours souffert pour une raison ou une autre depuis que je suis née.

La Madone - Voulons-nous prier ensemble Dieu le Père avec la prière que Jésus vous a tous apprise ? Courage, Marisella, tendons les bras et tournons nos yeux vers Dieu le Père. Récitons la prière fervente que Jésus aime tant: " Cœur eucharistique de Jésus, tu sais, tu vois, tu peux, pourvois à nos besoins, aide nous de ta grâce. Mère de l’Eucharistie priez pour nous". Mes chers enfants, pardonnez-moi de vous avoir parlé ainsi, mais je suis la Maman du ciel et de la terre et je dois également obéir à Dieu; pardonnez-moi. Votre maman vous demande pardon.

Marisa - Non, tu n’as pas besoin de nous demander pardon. Nous désirons seulement une aide plus consistante. Nous sommes comme des brebis égarées, nous ne savons plus que faire.

La Madone - Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis ainsi que vos chers parents et vos objets sacrés. Je vous porte tous dans mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisella, l'évêque a-t-il compris ce que j’ai dit.

Marisa - As-tu compris ?

Don Claudio - Que dois-je comprendre, que toutes les souffrances continuent ? Puis-je poser une question ? Demande si je le peux.

Marisa - Peut-il te poser une question ?

La Madone - Bien sûr.

Don Claudio - Nous sommes arrivés à la situation que je craignais: être condamnés par tous les hommes d’eglise. J’avais demandé à Dieu de ne pas permettre qu’on en arrive là: avoir contre nous toute l’Eglise italienne, la Congrégation pour la doctrine de la foi et la Congrégation pour le clergé. Que signifie cela pour Dieu ? Pour moi, cela ne signifie qu’une chose: nous sommes condamnés par l’Eglise que nous aimons et pour laquelle nous sommes prêts à donner notre vie. Tu ne nous as pas dit ce que nous devons faire. Dois-je écrire à Ruini et perdre encore du temps ? Dois-je écrire aux évêques italiens qui ont peur de leur président ? Je partage totalement ce qu’a dit ma sœur. Oui, c’est vrai que nous nous sentons abandonnés, jetés dans une mer en furie, submergés, battus par les vagues, et nous crions comme les apôtres: "Jésus, réveille-toi, sinon nous périssons ". Je n’ai jamais parlé de cette façon devant mes frères et sœurs, mais je sens que le moment est venu de le faire. Je suis dérouté, Dieu me tire d'un côté et l’Eglise de l’autre. Que veut Dieu ? Je ne me sens pas capable de continuer à combattre et tu en connais la raison: parce que tous les hommes aux postes clés y ont été placés par le pape: à la Congrégation pour la Doctrine de la foi, à la Congrégation pour le clergé, à la présidence de la Conférence Espiscopale Italienne. J’aimerais que tu me dises clairement: dois-je combattre ces personnes choisies par le pape et qui disent que le pape est avec eux et non avec nous ? Peux-tu me répondre à ce sujet ?

La Madone - Le Pape n'est pas avec eux. Le pape a été trompé, tout comme ils ont essayé de vous tromper. Ils sont plus forts et humainement parlant, ils progressent. Leur cercle s’agrandit de plus en plus. Alors il faut être avec eux ou contre eux. Mais qui est contre eux ? Personne, car ils ont tous peur. J’aimerais au moins que toi tu n’abandonnes pas et ne deviennes pas l’un d’eux. Le pape ne sait que ce qu’ils veulent qu’il sache. Il est également au courant de ce communiqué, mais il ne peut rien faire actuellement et ne sait rien. Tu sais comment ils le maintiennent sur ses jambes, qu’il était autrefois un Saint Père vital et qu’il est maintenant faible. Aujourd'hui il est aux mains des hommes d'église qui le trompent comme ils le veulent. Ils se sentent forts et puissants et font croire aux gens que le pape a également approuvé ce communiqué, mais ce n'est pas vrai, c’est une manœuvre infâme de Mr. Ruini".

Cher Don Claudio, si tu le désires, arrête tout. Tu penses: "J’ai perdu trente ans". Non, tu n’as pas perdu trente ans, tu as sauvé beaucoup d'âmes. Est-ce que les personnes présentes te laisseront mettre fin à tout ou seront-elles avec toi ? Le moment est arrivé de prendre une grave décision: être avec toi ou avec les francs maçons; C’est ce que je peux te dire. Je comprends ton point de vue et je me mets à ta place, à la place de chacun de vous, car je sais que l’Eglise a atteint le moment le plus critique de son histoire. Jamais auparavant une visionnaire et un simple prêtre ordonné évêque par Dieu ne se sont vus l’objet de tant d’envie et de jalousie allant jusqu'à la calomnie et la diffamation. Le Saint Padre Pio, Sainte Bernadette et Sainte Jeanne d’arc n'ont jamais souffert autant que vous. Aucun saint au paradis, aucun homme sur terre n’a jamais souffert autant que vous deux. Cette souffrance a sauvé beaucoup d'âmes. Vous m’avez demandé: "Pourquoi ne viennent-ils pas ici ? Ils ne le peuvent pas, ils en sont empêchés. s’ils sont prêtres, ils seront suspendus "a divinis", s’ils sont laïcs, ils subiront d’autres punitions. Vous avez sauvé tant d'âmes, vous êtes arrivés à 200 millions, ce n'est pas rien, mon évêque bien-aimé, ma chère petite Marisa.

Marisa - Tu as dit 200 millions ?

La Madone - Oui, 200 millions d'âmes. Vous, petit troupeau, avez ajouté vos prières, sacrifices et jeûnes à la grande souffrance de l'évêque et de Marisella, pour arriver à ce grand nombre: 200 millions d'âmes.

Marisa - Mais verrons-nous jamais au moins l’une de ces âmes ?

La Madone - Qu’en est-il du Salésien qui avait l'habitude venir ici?

Marisa - Lui aussi?

La Madone - Il est avec eux, il est allé avec eux parce que le secrétaire de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, Monseigneur Bertone est un Salésien.

Marisa - En sommes-nous arrivés à ce point ? Dis-nous comment les choses vont se passer.

La Madone - Votre intelligence est fort subtile. Don Claudio, Excellence Révérendissime, as-tu encore quelque chose à me dire ?

Don Claudio - Non, je ne sais pas, je suis si dérouté, si déchiré. Je sens la joie que me procure la conversion de 200 millions de personnes mais … je ne peux pas parler, je n'y parviens pas, j’ai une boule dans la gorge.

La Madone - Voulez-vous participer à la Sainte Messe et fêter la Mère de l’Eucharistie ? Et toi mon prêtre de prédilection, évêque ordonné par Dieu, veux-tu célébrer la Sainte Messe avec tout l’amour que tu as toujours montré ?

Don Claudio - Oui, oui.

Marisa - Mais nous attendons votre aide. Nous aimerions savoir ce que nous devons faire. Devons-nous tout arrêter ? Que devons-nous faire, devons-nous tout démonter et nous en aller ? Que devons-nous faire?

La Madone - Restez où vous êtes, même si ceci doit vous donner la mort

Marisa - Si nous devons en arriver là, je dis non, je préfère terminer tout. Je ne sais pas ce qu’en pense l'évêque ? Veux-tu tout arrêter ?

Don Claudio - Non, jamais, ce n'est pas ce que je veux. Je ne veux pas arrêter. Je répète seulement encore une fois que ne je veux pas être considéré comme celui qui détruit l’Eglise. Cela je ne le veux pas. Je ne peux l’accepter, c’est au-dessus de mes forces. J’aime l’Eglise et être présenté par mes confrères, mes collègues séminaristes et les prêtres de Rome comme l'homme qui détruit l’Eglise, est quelque chose que je ne peux accepter et tu le sais.

La Madone - Mais tu sais également qu’une grande vengeance est en cours contre toi à cause du courage et de la force dont tu uses pour défendre la vérité et protéger l’Eucharistie. Comment un seul homme peut-il détruire l’Eglise ? Ils vont la détruire, ils parlent et parlent à tort et à travers. Comment pourrais-tu détruire l’Eglise à toi seul ? Ils écrivent contre toi pour te faire souffrir par vengeance. Tu sais que Mr. Ruini a dit : "Je prendrai ma revanche et je l'écraserai" et il en est là. Donc reste calme, car tu n'es pas celui qui détruit l’Eglise. Tout homme intelligent, tous ceux qui lisent dans Internet, tous ceux qui vous connaissent ne diront jamais que tu "détruis l’Eglise". L’Eglise peut-elle être détruite par un simple évêque et une voyante handicapée ? Excuse moi, petite Marisa, si je parle ainsi. Il faut bien plus que cela; ils détruisent l’Eglise. Essayez de rester calmes, laissez les parler, laissez les faire. Il s’agit bien sûr d'une attaque de Satan, mais ces attaques ne s’achèveront que lorsque vous aurez tout arrêté, mais Dieu ne le désire pas, même s’il vous laisse libre de décider. Avant que Dieu ait parlé, toi mon cher évêque tu as dit: "Je n’arrête pas, et toi petite Marisa: "j’arrête". Pardonne-moi, mais nous, nous acceptons la décision du supérieur.

Marisa - Bien sûr, parce que la décision du supérieur vous satisfait, mais vous n’accepteriez pas les décisions de ces supérieurs où le Saint Esprit parle

La Madone - Non, Marisella, l’Esprit Saint ne parle pas en eux. Sois tranquille, ce n'est pas l’Esprit Saint qui parle en eux. C’est un autre, c’est celui qui se révolta en premier contre Dieu.

Maintenant je te prie Excellence, si tu n’as rien d’autre à me dire, de te préparer pour la Sainte Messe. Aujourd'hui je désire que tu me bénisses, mon cher époux, les anges, les angelots qui m'entourent, les saints, les papes. Je te prie à genoux de nous bénir tous. Courage je suis devant toi et Marisella. Bénis nous mon cher fils de prédilection.

Don Claudio - Que la bénédiction du Dieu tout-puissant, du Père, du Fils et du Saint Esprit descende sur vous et y reste toujours, amen.

La Madone - Loué soit Jésus Christ. Marisella, ne me donnes-tu pas un baiser aujourd'hui ?

Marisa - Si. De toute façon je fais ce que mon directeur spirituel me dit de faire. Il a dit oui et je te donne un baiser.

La Madone - Vient-il du cœur, Marisella?

Marisa - Bien sûr, même si mon cœur est complètement disloqué, je te le donne.

La Madone - Samuele, chante pour Dieu.

Marisa - Si tu le fais souffrir, je ne sais s’il pourra encore chanter. Adieu. Est-ce que j’ai été méchante ? Je lui ai dit tout ce que j’avais sur le cœur

Don Claudio - Tu lui as dit ce qu’il était juste de lui dire.

Messages d’avril 2001

Rome, le 1er avril 2001 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Les anges et les saints avancent en file deux par deux, et la Mère de l’Eucharistie arrive en dernier.

Je te recommande tous ceux qui ont besoin de l’aide de Dieu. Que sa volonté soit toujours faite, mais comme il est difficile de faire la volonté de Dieu.! Cela me semblait plus facile autrefois, tout est plus compliqué maintenant.

La Madone - Bien sûr, Marisella, plus on grandit aux yeux de Dieu, plus la mission grandit et plus il est difficile d’avancer.

Marisa - Si je ne me trompe pas, tu as dit Jeudi que Dieu préparait quelque chose. Est-ce que ce quelque chose est pour nous ou pour ces hommes?

La Madone - Je comprends ce que tu veux dire, mais tu ne dois pas t’en préoccuper, laisse faire Dieu. Fais comme tu l’as toujours fait, abandonne-toi à Dieu.

Marisa - Dieu fait ce qu’il veut, mais moi, petite créature du monde, je ne me sens plus en état de dire oui. En dépit de mon non, vous m’avez fait vivre deux jours de passion. Alors il est clair que pour vous aussi, je compte pour des prunes.

La Madone - Marisella, tu réussis, malgré tout, à me faire sourire.

Marisa - J’aimerais sourire, moi aussi et nous tous.

La Madone - Cela ne vous fait pas de bien de ressasser et de reparler toujours des mêmes choses. Vous souffrez beaucoup, mais nous aussi, quand nous sommes sur la Terre, nous souffrons comme vous. Nous aimerions tant vous aider, et je vous répète pour la énième fois que: Dieu tient toujours ce qu’il promet. Vous ne connaissez pas les temps de Dieu, mais Lui tient toujours ses promesses.

Marisa - A-t-il tenu sa promesse de 1973 à 2001? Les temps de Dieu sont longs? Alors quand irons-nous au Paradis, si les temps sont aussi longs?

La Madone - Mes chers enfants, je vous remercie de votre présence, de l’amour que vous montrez envers ce lieu, envers votre évêque et votre soeur; amour que vous devez également démontrer entre vous.

C’est aujourd'hui un bon et mauvais jour à la fois; il y a trois ans, le 1er avril exactement, votre évêque a été suspendu a divinis, parce qu’il n’a pas jeté l’Eucharistie maculée de sang, apportée dans ce lieu thaumaturgique. On ne peut suspendre un prêtre parce qu’il ne jette pas l’Eucharistie. Vous savez qu’on lui avait ordonné de jeter l’Eucharistie, définie par les hommes d’eglise comme: "phénomène de foire, bout de pain". Je demande à chacun de vous, bien que vous ne soyez pas des prêtres: qu’auriez-vous fait à sa place? Auriez-vous pris l’Eucharistie et l’auriez-vous jetée? Voilà: l'évêque ne l’a pas fait et il a été suspendu a divinis.

Dieu a attendu trois ans et demi, pendant lesquels votre évêque n’a pas célébré publiquement la Sainte Messe, puis il est intervenu et l'y a contraint en disant: "Tu dois dire la Sainte Messe". Les hommes d’eglise lui ont fait du chantage: "Si tu renies ce que tu as vu, si tu dis aux hommes que tu les as trompés, si tu dis que les hosties ont été apportées par le démon, nous te ferons évêque et te donnerons tout", mais votre évêque n’a pas cédé au chantage, devenir évêque ne l’intéressait pas, comme le pouvoir et tout le reste et il leur a répondu: "Non, cela jamais".

j’espère que certains d’entre vous ont réussi à comprendre combien cela a été dur pour votre évêque qui s'est trouvé comme le Christ sur la croix. L’Eglise le tirait d'un côté et Dieu de l’autre. A qui devait-il obéir? à Dieu, et c’est ce qu’il a fait. Puis Dieu est intervenu de nouveau et d'une voix triomphante, d'une voix de tonnerre a dit: "Je t’ordonne évêque", sans lui en demander la permission. Seul Don Claudio sait ce qui s'est passé dans son coeur, car il savait comment réagiraient les hommes d’eglise: ils ne le croiraient jamais.

Le grand miracle eucharistique a eu lieu après l’ordination épiscopale. Si le miracle eucharistique a eu lieu le 11 juin 2000 et que Don Claudio a été ordonné évêque le 20 juin 1999, ceci signifie que Dieu a confirmé l’ordination épiscopale qui est grande et sainte.

Les hommes d’eglise n'ont pas porté leur attention sur le miracle eucharistique sur lequel vous avez écrit dans le livre "Tu es évêque ordonné par Dieu, Evêque de l’Eucharistie", mais se sont arrêtés sur son épiscopat, sur la plénitude de son sacerdoce. Quel mal y a-t-il d’avoir un évêque de plus, de donner aussi à votre prêtre préféré la plénitude du sacerdoce? Où est le mal? Où est la désobéissance? Dieu ne peut-il faire ce qu’il veut? Don Claudio fut de nouveau condamné. Cette histoire finira-t-elle? Vous devez encore payer votre contribution, mes chers enfants, puis l'histoire s’achèvera et une nouvelle ère commencera, une nouvelle histoire.

Nous sommes en carême, continuez à prier; faites le chemin de Croix plus lentement, avec plus d’amour, en méditant ce que vous dites, sans courir; ce n'est pas en finissant cinq ou dix minutes plus tôt que vous gagnerez quelque chose. Priez, offrez à Dieu vos privations et vos sacrifices, votre jeûne, pour ceux qui peuvent le faire; il y a tant de privations et de choses que l’on peut faire. Il y en a qui sont appelés à souffrir spirituellement, une mission bien plus difficile, priez pour eux.

Nous ne sommes pas loin du Dimanche des Rameaux quand Jésus entra triomphant dans Jérusalem. La même scène se reproduit aujourd'hui aussi: ils crièrent d’abord "hosanna" puis "crucifiez-le". Il y en a qui disent hosanna à votre prêtre, qui croient en lui, mais la lâcheté et la peur sont si grandes que beaucoup n'osent même pas passer un simple coup de téléphone pour dire; "Je ne viens pas, mais je suis avec toi". Souvenez-vous de ce qui est arrivé à Jésus: après avoir eu un si grand nombre de gens autour de lui, il est resté sur la croix seul avec sa maman, quelques femmes et Saint Jean. Même si beaucoup sont passés ici, votre évêque est resté avec un petit troupeau; il est plus chanceux que Jésus, parce qu’il a plus de gens autour de lui.

Ne vous lassez jamais, priez. Même si quelqu’un souffre très fort, n'est-ce pas Marisella? Prie, ma fille, prie et souffre beaucoup.

Merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les enfants présents, les enfants malades et les jeunes malades.

Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

Rome, le 7 avril 2001 - 17h10 (Lettre de Dieu)

Marisa - Chère petite Madone, je te confie tous ceux qui se recommandent à mes prières: la liste devient toujours plus longue. A présent, j’aimerais te recommander Giuseppe, tu sais qu’il est très faible, donne-lui la force d’accepter cette épreuve et fait que maman Anna aille rapidement parmi les âmes sauvées.

La Madone - Quand vous récitez le Pater Noster, vous devez étendre les bras.

Mes chers enfants, vous ne pouvez pas vous imaginer la grande joie que vous avez donnée à mon Fils Jésus en faisant cette journée d’adoration du Saint Sacrement; vous ne pouvez comprendre sa joie lorsqu’il voit ses enfants prier. Quelques uns ont chancelé, d’autres ont été distraits par des pensées et les yeux de certains se sont fermés, mais Jésus en est quand même heureux, parce que vous êtes des hommes de la Terre. Je vous ai dit bien des fois que vous pouviez également vous endormir dans les bras de Jésus, mais vous ne devez pas en profiter et vous laissez aller avec facilité. Si vous ressentez le besoin de fermer les yeux et de sommeiller, reposez-vous avec Jésus, puis recommencez à prier et à converser avec Lui, à lui demander son aide et à lui dire: "Jésus, quand finira tout ceci? Quand se convertiront les grands hommes de l’Eglise?". Ne laissez-vous pas aller, sinon satan, comme vous le savez, est prêt à s’infiltrer avec beaucoup de facilité; vous ne pouvez comprendre comme c’est facile pour lui. Bouchez les portes, fenêtres ou fentes par lesquelles Satan pourrait entrer et priez.

Mes chers enfants, la joie de cette journée est aussi très grande pour nous; beaucoup d'âmes se sont sauvées grâce à votre soeur qui vit la passion jour et nuit. Vous savez que pour elle il en sera ainsi jusqu'à la nuit du Vendredi Saint. Elle jeûnera également du lundi au mercredi, s’interrompra le jeudi, fête du sacerdoce, puis recommencera à jeûner le vendredi; elle ne pourra remanger que le samedi soir. Si Dieu le lui demande, il lui donnera la force de le supporter; elle devra de toute façon obéir à son directeur spirituel qui peut en décider autrement et lui dire: "Dieu l’a demandé, mais je t’ordonne maintenant d'interrompre le jeûne"; Dieu ne s'en offensera pas. Nous du Paradis nous le désirons et nous lui donnerons toute la force nécessaire pour sauver les âmes. Marisella, nous courons: nous sommes arrivés aujourd'hui à trois cent millions et vingt deux mille.

Marisa - Je ne parviens pas à prononcer le nombre! Est-ce que ce sont trois cent millions et vingt deux mille?

La Madone - Mon petit troupeau, le mérite de tout cela est aussi le vôtre, parce que vous avez travaillé et coopéré à cette mission, mais c’est surtout le mérite de Son Excellence qui souffre, prie et peine. j’espère que les destinataires de la lettre comprendront. n’attendez rien, puis s’il se passe quelque chose, ce sera d’autant mieux. Mes chers enfants, participez maintenant à la Sainte Messe et que ceux qui le peuvent continuent l’adoration jusqu'à tard dans la soirée; veillez et priez avec mon Fils Jésus pour ne pas tomber en tentation.

Votre évêque fera l’adoration à la maison avec les malades; il sera un peu avec vous et un peu avec eux, parce que les malades ont besoin de prier et le droit d'être en compagnie de mon Fils Jésus pour l’adorer, comme vous. Merci pour les âmes que vous parvenez à sauver.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers, et vos objets sacrés. Je bénis ce crucifix qui prendra la place de celui qui a été volé. Beaucoup de temps s'est écoulé depuis que les femmes pieuses l’ont donné à l'évêque qui à cause de la fatigue a oublié de le faire bénir. s’ils prennent aussi celui-ci pour le vendre ou le mettre chez eux, soyez en heureux et contents, ne vous faites pas de soucis à ce sujet.

Je vous bénis tous, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Ne t’en vas pas si vite, attends un instant; puis-je te demander quelque chose?

La Madone - Marisella, je sais déjà ce que tu veux me demander.

Marisa - Tu as dit que trois cent millions et vingt deux mille âmes se sont converties et ceci est magnifique; tu as parlé du crucifix et des âmes sauvées, mais est-ce que l'heure se rapproche? Don Claudio, vois-tu comment elle fait? Elle embrasse tous les enfants et s'en va avec les anges.

Rome, le 8 avril 2001 - 10h50 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. C’est aujourd'hui un jour de gloire pour mon Fils Jésus, c’est le jour où l’on chante "Hosanna, hosanna, au fils de David". Beaucoup ont chanté hosanna quand Jésus est entré triomphant à Jérusalem! Il a vu tous ces gens, dont certains avaient obtenu des grâces et des miracles, mais il y avait parmi eux également ceux qui se moquaient de lui et ceux qui cherchaient comment le capturer et le tuer.

La joie et le bonheur de mon Fils Jésus étaient si grands que lorsqu’il jetait son regard sur quelqu’un, cette personne ressentait quelque chose au fon d’elle-même et se convertissait. Si je vous dis ceci, c’est parce qu’entre vous également, il peut arriver que l’un en fixant une personne de la bonne manière, jusqu'à plonger dans son cœur, réussisse à lui faire comprendre qu’il l’aime et l’amène à la conversion, et quand ceci arrive il est difficile de revenir en arrière.

Comme je vous l’ai déjà dit, ceux qui se convertissent sont meilleurs que ceux qui se disent convertis, c’est pourquoi la campagne de prières et de souffrances que vous faites pour la conversion de tant et tant d'hommes de la Terre est très belle, très grande.

Quand je vous ai communiqué hier le nombre de ceux qui se sont convertis, certains sont restés ébahis, alors que d’autres au contraire étaient presque indifférents, et ont dit "nous devons de toute façon arriver aux 3 milliards et demi". l’un d’entre vous a même pensé: "Devons-nous les sauver tous?". J’ai répondu: "La plus grande tâche est ici, dans ce lieu thaumaturgique; beaucoup d'âmes vous y aideront, mais elles ne seront pas à votre niveau, à un niveau aussi grand, aussi élevé". La plus grande contribution et la plus remarquable part d'ici; c’est pourquoi j’ai demandé à la voyante de jeûner toute la semaine, à l'exception du jeudi parce que c’est jeudi la fête du sacerdoce et c’est une grande fête; vous savez que la passion continuera pour elle jusqu'à la nuit de vendredi.

Si je vous dis ces choses, c’est que pour vous puissiez prier pour elle, afin qu’elle ait la force de tout supporter. Ce matin aussi, elle ne va pas bien, elle va mal: elle a de graves problèmes, mais elle a quand même voulu descendre parmi vous. Alors c’est à nous du Ciel de l’aider. Vous en attendant, priez pour vos êtres chers, pour les âmes des défunts. Recommandez-vous à ceux qui sont montés au Paradis et qui peuvent vous aider et prier pour vous, comme ils peuvent en descendre pour vous caresser et vous embrasser. Vous priez et eux prient à leur tour, afin que leurs prières retombent sur vous. Combien de fois ne vous ai-je pas dit: "priez selon mes intentions", mais comme mes intentions sont aussi les vôtres, mes prières sont donc toujours pour vous. Courage, mes chers enfants, je ne veux pas vous retenir plus longtemps, parce que vous aussi, vous devez crier: "Hosanna au Fils de David".

Mes chers enfants, votre soeur m’a recommandé dans son coeur tous ceux qui se sont recommandés à ses prières. Même si elle ne l’a pas dit, j’ai tout lu dans son coeur et ne lui ai pas donné le temps de le dire, d’autant que je sais ce qu’elle désire et ce qu’elle pense.

Courage, vous ne devez pas vous effrayer de la pluie, du soleil, de la lune, des étoiles et du vent; ces choses ne doivent pas vous préoccuper. Quand il pleut, jouissez de la pluie, quand il fait soleil, jouissez du soleil; d’autant que d'ici quelques mois, quand il fera plus chaud, vous vous plaindrez de la chaleur. Avancez sans peur, sans hésiter. Faites ce que vous êtes capables de faire en chantant, en priant; souvenez-vous que chanter, c’est prier deux fois, si vous chantez bien, de tout votre coeur, avec amour, pas bien sûr en vous exhibant. Comme chanter, c’est prier deux fois, intensifiez toujours plus le chant, mais renforcez surtout l’amour envers tous.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés.

Marisa - Don Claudio, sais-tu qui est ici?

La Madone - Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Elle est partie rapidement. On voit qu’elle aussi a beaucoup à faire là haut.

Rome, le 15 avril 2001 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Jésus ressuscité! Comme tu es beau, Jésus! Ta Maman, ton papa, les anges et les saints sont également présents: tous les enfants saint font cercle autour de vous.

Jésus, j’ai tant de malades à te recommander et tu sais que ces derniers temps beaucoup de personnes ont été malades; je te recommande Giacomo, Jacopo et Samuele, fais qu’ils puissent comme tous jouir aussi de la Sainte Pâque. Je te recommande tous les malades dans les hôpitaux ainsi que tous ceux qui se sont recommandés à mes prières. Jésus, fais nous également ressusciter, pas ensemble avec Toi, parce que ce serait trop grand et trop beau, mais après Toi. Pour ton amour, nous avons cherché à faire tout de notre mieux et je sais que tu en es heureux et content, comme la Maman nous l’a dit. Jésus, aide les malades, ils sont si nombreux et aide tous ceux ici présents; il y a également des malades parmi nous. Tu le peux, si tu le veux, parce que Tu es Dieu!

Jésus - Je suis venu vous donner ma bénédiction après la résurrection, puis je retournerai vers le Père. Je bénis tous mes chers enfants. Que l’Esprit Saint descende sur chacun de vous.

Marisa - Envoie ton Esprit, Seigneur!

Les trois Jésus sont venus! Que c’est beau! Cela faisait longtemps que je ne Vous avais pas vus tous les trois ensemble.

(Théophanie trinitaire. Le Gloire au Père est récité trois fois)

Marisa - Ils sont rentrés l’un de l’autre et sont partis.

La Madone - Mes chers enfants, c’est moi votre Maman; je vous remercie de votre présence et de tout ce que vous avez fait ces jours-ci, de la façon dont vous avez tout préparé pour glorifier Jésus condamné à mort. Jésus est ressuscité aujourd'hui et est venu ici parmi vous pour vous donner sa bénédiction. Souvenez-vous que sa seule présence est toujours une bénédiction continue.

Je vous ai dit il y a peu de temps, que quelque chose devait se passer; essayez de lever une main le long de votre tête, puis abaissez-la un petit peu vers l’avant; voilà, la main de Dieu s'est encore abaissée un peu plus. Mais j’ai quelque chose de plus beau à vous dire; Marisella, je t’en prie ne te trompe pas avec les chiffres!

Ecris: 725 millions et 500 mille. Bien.

Marisa - Si nous avançons aussi vite, je préfère avoir la passion tous les jours, nous arriverons ainsi plus tôt au but.

La Madone - Non, Marisella, tu as trop souffert, mon enfant. Tu as souffert la passion jusqu'à cette nuit, tu as donc fait plus que ce que nous t’avions demandé.

Marisa - Oui, c’est bon, mais cela ne m’intéresse pas maintenant; ce qui importe c’est que nous soyons arrivés à 725 millions et 500 mille âmes converties: j’espère l’avoir bien dit.

La Madone - Vous êtes un petit groupe, mais pensez à ce qu’a fait ce petit troupeau. Pour autant que cela soit possible, laissons de côté ce que votre soeur et l'évêque ont souffert, car c’est aussi votre mérite, le mérite de vos prières, du travail que vous avez fait ici, avec amour. Vous aussi, vous avez sauvé des âmes; il n'est pas besoin de faire de grandes choses pour sauver une âme, de petits sacrifices suffisent. Vous vous êtes rendus compte vous-mêmes qu’il est plus facile d'obtenir la conversion d'une personne au loin que celle d'un de vos proches, de votre fils ou de l’un de vos parents, c’est pourquoi la Maman vous dit toujours de ne jamais vous lasser de prier. Souvenez-vous de l’amour: vous trouverez l’amour même au Paradis, parce que vous y rencontrerez Dieu, qui est amour.

Je n’ai rien d’autre à ajouter sinon de vous adresser tous mes voeux, ainsi qu'à vos familles, vos êtres chers et aussi à ceux qui ne croient pas, mais cela n’a pas d'importance, transmettez mes voeux à tous, de la part de la Madone, de la Mère de l’Eucharistie.

Les lettres de l'évêque sont arrivées à destination; comme d'habitude certaines ont été acceptées et conservées comme des reliques, d’autres ont été déchirées, d’autres ….je préfère ne pas le dire, parce que la Pâque est déjà un peu dur pour vous. Cette lettre peut convertir le pécheur le plus endurci, le mécréant ou l’athée le plus éloigné, mais ceux qui se disent hommes de Dieu, qui ont été appelés et choisis par Dieu, qui ont reçu le don du Saint Esprit, continueront à lutter contre votre évêque. La main de Dieu s’abaisse lentement, parce que Dieu continue à attendre les conversions. Mon petit troupeau, regardez où vous êtes arrivés en peu de temps. Il y a aussi d’autres personnes qui prient pour les hommes d’eglise, mais c’est à vous que la plus grande tâche a été confiée, vous devriez être heureux, contents que Dieu vous ait confié cette mission.

Courage, tout le paradis est avec vous.

Marisa - Pourrais-tu envoyer le petit chez ses parents pour les accompagner et les aider?

La Madone - Il va souvent les aider et les accompagner. Votre soeur a accompli hier un acte d'héroïsme très grand, mais elle devra en accomplir un autre encore plus grand. Priez beaucoup pour le 28 avril, priez beaucoup parce que votre soeur doit faire un plus grand pas et si elle parvient à le franchir, tout sera plus serein pour tous.

j’espère que vous avez compris ce que j’ai dit, vous savez de qui je parle. Aidez votre soeur avec la prière.

Merci de tout, mes chers enfants, merci de la joie que vous avez donnée à mon Fils Jésus, merci de tout ce que vous avez fait le Jeudi, le Vendredi et le Samedi Saint; merci de tout. Vous étiez peu, mais cela n’a pas d'importance; ces quelques personnes ont glorifié Dieu et aiment Jésus Eucharistie, aiment l’Esprit Saint. Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis ´également les oeufs de pâques que tous ont reçus.

Marisa - Ils ne m'en ont pas donné parce que mon taux de glycémie est élevé, comme l’a dit l'évêque, mais si l’on m'en donne un, je le regarde et ne le mange pas.

La Madone - Marisella, c’est beau de te voir toujours plaisanter avec les jeunes en dépit de tes douleurs et souffrances.

Marisa - Si je ne le fais pas, ils sont tous raplaplas. Sais-tu ce que raplapla veut dire? Comment dit-on?

Don Claudio - Faibles.

Marisa - O.K. je ne dis plus rien, parce que si je commence à parler …

La Madone - C’est bon. Voulons-nous réciter ensemble le Notre Père?

Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit, alléluia, alléluia.

Marisa - Adieu. Je te recommande encore tous les malades, ceux qui sont ici, à l'hôpital et à la maison. Tu es si belle, Jésus aussi est si beau. Adieu.

Don Claudio, Jésus ressuscité est venu en premier, puis la Sainte Trinité et en dernier la Madone. Toutes les âmes sauvées et tous les petits enfants étaient avec elle.

Don Claudio - 725 millions d'âmes se sont converties.

Marisa - Et 500 mille. N'oubliez pas le chiffre: 725 millions et 500 mille. Mais quand arriverons-nous aux trois milliards et demi?

Messages de Mai 2001

Rome, le 3 mai 2001 - 17h10 (Lettre de Dieu)

La Madone - Marisella, nous nous verrons finalement à la rencontre biblique.

Marisa - Pourquoi tiens-tu dans tes mains des banderoles avec les noms de tous les sacrements?

La Madone - Parce que tous les sacrements ne sont pas respectés. Seuls le saint baptême parce qu’il est reçu par les petits enfants et l'extrême onction sont respectés. Les sacrements sont gravement offensés. La sainte confirmation n'est reçue que pour pouvoir célébrer le mariage.

Le mariage, célébré en état de péché, conduit à la ruine. Beaucoup s’approchent de ce sacrement pour pouvoir dire: "Je me suis marié"; ils se soucient d'être beaux extérieurement, mais leur âme, dans quel état est-elle? Lors de la confession, ils disent ce qu’ils souhaitent dire et ne confessent pas le reste par honte; ils reçoivent la sainte communion en état de péché, ils arrivent à l'église à la fin de messe et ne reçoivent la sainte communion que pour dire: "Je fais comme les autres", ne sachant pas qu’ils reçoivent mon Fils Jésus. Ils sont des millions à recevoir la Sainte Communion sans savoir ce que cela signifie. Ces sacrements sont oubliés, ils ne sont plus vécus.

Dieu le Père m’a également dit: "Ceux qui observent mes commandements, la loi de Dieu sont peu nombreux". Tout ce qui concerne l’Eglise, tout ce qui conduit à la sainteté ennuie aussi bien les prêtres que les laïcs. Ils organisent de grandes fêtes, ils les annoncent même par microphone et tous, comme des moutons, vont recevoir l’Eucharistie. Qu’est-ce que l’Eucharistie? Ce n'est pas un morceau de pain à avaler ou à jeter; l’Eucharistie est Jésus dans son corps, son sang, son âme et sa divinité. Qui respecte les commandements? Ils disent aimer Dieu, mais peu respectent la loi de Dieu. Toi, Marisella, tu as dit quelque chose de très beau: "Si nous parvenons à convertir un milliard de personnes, ceux qui restent pourront-ils être convertis par d’autres?". Si vous arrivez à un milliard, qui aidera les deux autres milliards et demi de personnes? Où mon fils Jésus ira-t-il frapper ? Chez les prêtres qui ne sont pas prêts au sacrifice?

Vous comprenez maintenant pourquoi il n'y a pas beaucoup de personnes ici: parce que ce discours ennuie et n'est pas accepté. Quand on doit parler de Dieu, des commandements et des sacrements, les hommes répondent: "Non, ce n'est pas pour nous ", mais quand un concert organisé par des prêtres a lieu, beaucoup s'y rendent, parce que cela ne les ennuie pas, ils s’amusent au contraire. Vous direz: "Mais la Maman vient toujours pour nous réprimander?". Je ne vous fais pas de reproches, je veux seulement vous faire comprendre que lorsque vous marchez sur la voie de la sainteté, les commandements de Dieu, tous les sacrements doivent être respectés à la lettre. Cela les ennuie d’aller à la messe, de se confesser, de ne pas regarder une autre femme, de respecter le sixième commandement, d’aimer Dieu et son prochain comme soi-même, cela les dérange et les fatigue. D'un autre côté, ils récitent le Saint Rosaire, ils en récitent même trois à la fois. Ils marmonnent des rosaires et peut-être bien qu’ils ne vont pas à la messe, ne se confessent pas et ne reçoivent pas la communion. C’est pourquoi quand je viens sur la terre parmi vous, mon cœur est plein d’amertume, mais pas par votre faute, mes chers petits enfants, non. Quand une maman voit que ses enfants bien-aimés ne respectent pas les commandements de Dieu, elle en souffre. Les laïcs, qui fréquentent les paroisses, qui se sentent importants, apportent leur soutien aux curés, ne respectent pas les commandements de Dieu, mais cherchent à se distinguer. Ils disent: "Je connais l'évêque, je suis un ami de l'évêque, j’aide le curé, je collabore dans la paroisse, je , je …, je ….…", et les commandements? Qui respecte les commandements? Les gens ne viennent pas ici, parce que l’on y parle seulement de prière, d’amour, des commandements de Dieu, de la loi de Dieu, des sacrements. Ici on ne parle pas dans l'église, tandis qu’on le fait ailleurs, et personne n’a le courage de dire: "Taisez-vous parce que Jésus est ici ". Personne ne le fait, tout est bien, pour autant qu’il y ait du monde.

Alors je te dis, mon cher évêque, sois heureux comme tu es et comme sont ceux qui viennent ici pour prier, pour aimer, parce qu’ils aiment Jésus Eucharistie.

Oh, la Maman aurait tant de choses à vous dire pour vous faire comprendre combien l’amour de Dieu est grand et comme Dieu est peu aimé des hommes. Je vous ai dit hier soir: si vous essayiez de mettre des affiches annonçant la venue de grands chanteurs, vous verriez le jardin se remplir immédiatement de monde et tous viendraient pour écouter les chanteurs, mais pas pour prier. Non, ce n'est pas ce que Dieu veut de vous qui avez fait un certain chemin, soyez heureux ainsi. Vous êtes peu, c’est vrai; cela me fait mal de voir peu de gens ici; même ceux qui ont reçu des grâces ne viennent plus, parce qu’il est fatiguant de prier, d’entendre parler de Dieu et de la Madone. Mais s’il y a un évènement important, tous y courent, mais pas ici où le plus grand miracle Eucharistique a été accompli. Ils ne reviennent pas ici, parce qu’ils ne se sentent pas bien intérieurement. Comment les gens peuvent-ils parler du miracle Eucharistique, s’ils ne savent même pas ce que c’est? Ces miracles Eucharistiques dérangent les prêtres. Même ceux qui ont vu les miracles Eucharistiques de leurs propres yeux se sont éloignés, parce qu’ils ne savaient plus que dire et que faire et que leur âme n'était pas en ordre avec Dieu.

Combien de fois ne vous ai-je pas dit: ne trahissez jamais mon Fils Jésus. Je vous ai invité une fois à écrire votre oui sur un papier et la corbeille les contenant était pleine de oui. Tous avaient écrit oui, mais maintenant où sont tous ces gens? Pourquoi le miracle Eucharistique les a-t-il fait fuir? Parce qu’ils n'étaient pas en ordre; ceux qui sont en ordre, n'ont pas peur, mais se réjouissent des interventions de Dieu.

Jésus - Qui a ordonné Saint Paul évêque, Excellence?

Don Claudio - Toi, Jésus?

Jésus - Moi, Jésus, je suis venu ici, et je suis près de la Maman qui vous parle. Il y a auprès de moi les apôtres, mais avant tout il y a Saint Pierre, le premier chef de l’Eglise et Saint Paul. J’ai arrêté Paul alors qu’il s'en allait tuer des chrétiens. Je l’ai rendu aveugle, puis je lui ai redonné la vue. Je l’ai ordonné évêque, comme je l’ai fait avec toi.

La Madone - Mais ton ordination épiscopale, Don Claudio, est encore plus grande, parce qu’elle est partie de Dieu, qui t’a dit: "Je t’ordonne évêque!". Dieu est venu dans ce lieu: a ordonné l'évêque qui ordonnera demain d’autres évêques et prêtres.

Marisa - Mais il faudra attendre pour Jacopo, parce que nos jeunes auront beaucoup à faire.

La Madone - Quand le moment viendra où tu devras travailler, mon cher évêque, tu auras aussi la force de te battre et de lutter, mais souviens-toi que le premier impact, le début sera très difficile et pénible pour toi; tu n’auras auprès de toi que ces gens, pauvres, mais saints.

Marisa - Attends, dans combien d’années? Parce que …

La Madone - Marisella, tu essaies toujours de me faire parler. Je ne suis pas Marisella, souviens-toi; Je ne tombe pas dans le piège.

Marisa - C’est bon, je n'y tomberai pas non plus, j’ai juste essayé.

La Madone - Soyez heureux, soyez vraiment heureux de ce que vous êtes, même si personne n'est parfait parce que Dieu seul est parfait. Faites toujours un pas en avant, comme je vous l’ai dit bien des fois: un pas en avant, jamais en arrière, vous ne devez jamais reculer, jamais tomber dans une crise et si vous vous laissez aller, reprenez-vous sans attendre, sans attendre. Voyez comme Jésus est bon, Il est venu donner à votre évêque la nouvelle tant désirée, puis il est retourné vers le Père avec ses apôtres. Je suis ici avec mes anges, les enfants, les saints et les saints papes; ceux qui n'ont pas été canonisés par l’Eglise, mais ils sont pour nous également de saints papes. N'est-ce pas petit? Donne ta petite main à la Madone.

Marisa - Pourquoi est-il toujours avec toi?

La Madone - Marisella, c’est une question que tu ne dois pas poser, tu connais la mission de cet enfant.

Marisa - C’est vrai, mais j’ai toujours peur de me tromper.

La Madone - Maintenant que vous êtes profondément recueillis, priez mon et votre Jésus afin qu’il aide tous ceux qui ne savent pas aimer ou s'éloignent de Dieu lorsque quelque chose arrive. Il peut y avoir ici des moments tristes et douloureux, c’est la vie sur terre; mais il n'en est pas ainsi au Paradis, c’est tout autre chose au Paradis, n'est-ce pas Marisella?

Marisa - Oui, mais je t’avais dit de ne plus m'emmener au Paradis, parce que lorsque je reviens ici-bas, je vois tout encore plus sombre. C’est bon.

La Madone - Tu ne veux pas ouvrir la petite boite?

Marisa - Je ne sais pas, dois-je l’ouvrir?

La Madone - Je bénis ces alliances, mais l’amour des époux n'est pas aussi grand que je l’aimerais, que Jésus le souhaiterait. Sans sainte messe et sans communion, il n'y a pas d’amour.

Courage, mes chers enfants, ne vous découragez pas, avancez et priez. Beaucoup de couples reçoivent le sacrement du mariage au cours de ce mois, mais pour beaucoup d’entre eux, seul ce jour là est une grande fête, parce que la joie ne dure pas. C’est pourquoi je dis que les sacrements ne sont respectés par personne. Priez pour les couples qui commencent leur vie matrimoniale, priez surtout pour que leur union demeure toujours forte et qu’ils soient unis à Jésus.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Bienvenue, Marisella, à la rencontre biblique.

Marisa - Je viens, tant qu’il y a des jeunes qui m’aident à descendre. J’ai manqué beaucoup de rencontres bibliques. Je suis sûre que je suis la plus mauvaise de la classe. Adieu. Adieu, petit.

Elle est partie, mais Jésus est parti le premier avec les apôtres.

Don Claudio - Il est venu dire ce que je désirais savoir depuis longtemps.

Marisa - Il est parti avec les apôtres, mais elle est restée entourée de tous les enfants.

Don Claudio - Qu’est ce que la Madone tenait dans ses mains?

Marisa - Elle tenait des rubans portant le nom des sacrements. Ensuite, lorsqu’elle parlait, c'étaient les enfants qui les tenaient. Elle gesticule en parlant.

Rome, le 6 mai 2001 - 10h45 (Lettre de Dieu)

Marisa - Tu arrives toujours à l'heure. Aujourd'hui également, je veux te recommander les malades: Amadeo et ses êtres chers, Mercedes, Beatrice et ses proches, Don Enrico, Anna, Maria, Giuseppina et tous ceux qui ont besoin de ton aide. Je te recommande, comme toujours, tous les malades.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Je vous répète encore aujourd'hui ce que je vous ai dit jeudi, lorsque je vous ai parlé des sacrements et des commandements de Dieu, de la loi de Dieu. Mettez-les en pratique, étudiez-les et s’il y a quelque chose que vous ne comprenez pas, demandez-le à l'évêque. Lorsque les parents ne s'y opposent pas, il est facile de recevoir le baptême et l'extrême onction, mais tous les autres sacrements sont reçus par un grand nombre avec légèreté et sans être en état de grâce. Bon nombre d’adultes reçoivent le sacrement de confirmation uniquement parce qu’ils doivent se marier et le sacrement du mariage uniquement pour dire qu’ils sont mariés, mais il n'y a pas d’amour entre eux. Je vous ai dit il y a longtemps qu’il est beau qu’un couple marche ensemble dans la vie spirituelle, mais si l’un avance et que l’autre chancelle ou ne veut pas avancer, le couple commence à perdre son union et à vaciller. Ceci se produit lorsque le mariage est célébré seulement pour dire qu’ils sont mariés ou qu’ils ont trouvé l'âme soeur, mais si le chemin spirituel n'est pas parcouru ensemble, les discussions et les querelles commencent et ruinent leur relation.

Ce qui se passe pour le mariage, se passe aussi pour le Sacrement de l’ordre: combien y en a t-il qui arrivent au sacerdoce sans en être convaincus? Ils le reçoivent uniquement par peur d'être jugés par leurs amis, parents ou leur pays et après un certain temps, ils se retirent et mènent une double vie. Ceci n'est pas juste. Ceux qui ne respectent pas les sacrements pèchent gravement. Comment l’Eucharistie est-elle reçue par un grand nombre de personnes? Ils entrent dans l’Eglise au moment de la Sainte Communion, reçoivent l’Eucharistie, puis sortent rapidement, s'entretenant de choses futiles, l'hostie encore dans leur bouche. C’est pourquoi je dis que les sacrements et commandement ne sont pas respectés et observés comme Dieu le veut. Si Dieu est amour, que donnez-vous à Dieu?

Parfois des souffrances et des malheurs arrivent et les hommes s'en prennent à Dieu, mais où est sa faute ? Les malheurs peuvent arriver tant que vous vivez sur cette planète Terre, tout le monde peut avoir des problèmes. Tout le monde ne reçoit pas de grandes souffrances, mais il peut arriver qu’un être cher vienne à disparaître ou qu’une personne vous fasse du mal, ceci fait partie de la planète Terre; qu’est-ce que Dieu a à faire avec ces souffrances? Dieu peut faire tout ce qu’il veut, mais n'oubliez pas qu’il a laissé l'homme libre de faire le bien ou le mal. Pourquoi dans les hôpitaux quand tout va bien. le mérite en revient-il aux docteurs mais s’il y a des complications la faute en revient-elle à Dieu ? Combien sont-ils à parler ainsi dans le monde entier! Il faut savoir répondre à ces personnes.

Dieu aide, mais il vous laisse libres de faire ce que vous voulez, car il vous considère comme des personnes adultes et intelligentes.

Le petit Samuele fête aujourd'hui son anniversaire; comme pour son baptême, il doit attendre aussi un peu pour sa fête. Aujourd'hui, sa famille et Nous du Ciel nous le fêtons, nous lui adressons tous nos voeux, n'est-ce pas tout petit? Nos voeux s’adressent également à son petit frère Jacopo, à ses parents, aux deux anges et à celui qui descend souvent les embrasser. Samuele, la Maman te bénit ainsi que tous les enfants. Elevez vos enfants et petits-enfants en leur faisant connaître peu à peu leur ange gardien en premier, puis la Maman et Jésus.

Mes chers jeunes et chers adultes, la Maman vous remercie, en dépit de vos imperfections, comme je l’ai déjà dit, tous les hommes en ont, personne n'est parfait, seul Dieu l'est. Aidez-vous les uns les autres, ne soyez pas susceptibles et si une personne vous reprend, acceptez la correction. Si votre frère vous réprimande, répondez-lui: "Merci de me l’avoir fait remarquer"; ceci est la vraie charité envers le prochain. Croyez-moi, ce n'est parfois pas agréable de réprimander les autres parce que l’on en souffre, mais ceux qui le font dans une bonne intention font preuve d’amour. La Charité vous accompagnera jusqu’au paradis et restera pour toujours avec vous.

j’espère que cette simple lettre de Dieu sera comprise de tous et que peu à peu vous réussirez à la mettre en pratique et à arrondir ces angles que chacun de vous a; n'est-ce pas Marisella ?

Marisa - C’est ce dont j’ai besoin, j’ai beaucoup d’angles!

La Madone - Tu ne devais pas descendre, tu le sais?

Marisa - Quand tu es venue, tu m’a dit: "Si tu te sens bien, descends", et je t’ai répondu oui. Je pensais t’avoir obéi. Ne l’ai-je pas fait?

La Madone - L’as-tu dit à l’Evêque?

Marisa - Oui, Je l’ai même importuné. Puis-je le dire? C’est bon; peux-tu m’aider maintenant? Je ne te demande pas de me guérir, mais de m’aider. Je ne peux pas toujours rester le dimanche dans ma chambre.

La Madone - Ne désires-tu pas sauver des âmes?

Marisa - Si, mais je ne dois pas toujours rester dans ma chambre.

La Madone - As-tu froid?

Marisa - Un petit peu.

La Madone - Et si je te disais de remonter maintenant?

Marisa - Non, je t’en prie. Je me suis beaucoup fatiguée pour descendre et les jeunes aussi parce qu’ils m'ont fait descendre les escaliers avec des cordes.

La Madone - C’est bon, cette fois-ci tu peux rester en bas avec les autres, mais couvre-toi parce qu’il fait froid.

Marisa - Don Claudio, comment sait-elle qu’il fait froid?

Don Claudio - Quand elle est sur Terre, elle est comme nous.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers; Je bénis les bébés, j’envoie un baiser au petit Samuele et à son petit frère. Je bénis vos objets sacrés. Prends la croix, Marisella.

Je te fais prendre la croix parce que la statue de la Madone est plus lourde.

Je bénis ces objets avec Jésus, avec sa présence Il vous donne sa bénédiction.

Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ,

Marisa - Vas-tu nous donner maintenant un petit baiser? Adieu. Don Claudio, elle est partie. Elle m’a demandé de porter la croix parce qu’elle est légère, alors que la statue de la Madone est lourde.

Don Claudio - Je ne parviendrais pas non plus à la soulever.

Marisa - Alors elle avait raison.

Rome, le 15 mai 2001 - 18h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Je suis venue vous saluer; je laisse maintenant la parole à mon époux bien-aimé Joseph.

Saint Joseph - Aujourd'hui, la lettre de Dieu a été donnée à votre Joseph, l'époux de la Bienheureuse Vierge Marie. Je vous aime tous et du Paradis, je vois moi aussi beaucoup de choses horribles sur la Terre et peu de belles choses. C’est pourquoi, ainsi que Dieu l’a toujours demandé dans ses lettres, je vous invite à prier, à faire des sacrifices, comme le jeûne et l’abstinence. Je recommande que le jeûne ne soit fait que par ceux qui le peuvent, ceux qui sont en bonne santé et ne prennent beaucoup de médicaments, n'est-ce pas Marisella?

Marisa - Toujours moi?

Saint Joseph - Tu ne peux pas faire ce que je demande aux autres. Moi, l'époux de la Vierge Marie, je vous félicite, parce que bien que vous soyez peu nombreux, vous avez fait beaucoup durant ces premiers quinze jours du mois dédié à mon épouse bien-aimée.

Comptez combien sont venus, combien ne viennent plus et combien ne font pas le mois de Marie parce qu’ils travaillent, sont fatigués ou loin. Que puis-je dire si Dieu a choisi ce lieu et pas un autre? La Madone apparaît ici chaque jour et pas ailleurs, parce que ce lieu est thaumaturgique. Vous n’avez probablement pas encore compris ce que signifie ce mot, bien que l'évêque vous en ait longuement parlé: c’est un lieu saint, où vous pouvez recevoir des grâces, toujours selon la volonté de Dieu. Quand réussirez-vous à faire toujours la volonté de Dieu, à tout moment de la journée et non seulement dans les grandes occasions? Dieu n’attend pas de grandes choses de vous, il vous demande seulement de vivre simplement, en faisant sa volonté chaque fois que c’est nécessaire.

L’important est d’aimer, parce que l’amour embrasse tout, sauve et aide tous les hommes.

J’ai emmené ce matin votre soeur avec deux enfants en Roumanie; la misère y règne et il y a beaucoup de méchanceté dans le coeur des hommes. Les enfants grandissent comme de petits animaux, ils semblent dire: "Que pouvons-nous faire?". Beaucoup ont été baptisés. Croyez-moi, c’est très dur et douloureux d’aller dans ces endroits. Les petits enfants ressentent le manque d’affection, de nourriture, de vêtement et de tout ce qui est utile à chaque créature dans le monde.

Combien de créatures jouissent et vivent dans l’aisance, mais combien vivent au contraire dans la pauvreté!

Des milliards ont été dépensés pour le Jubilé et les jeunes qui sont venus à Rome, mais en même temps les enfants continuent à mourir de faim. Combien de pauvreté au voisinage de la Roumanie, en Afrique, en Yougoslavie, en Palestine, surtout à Gaza! Vous tous seriez insuffisants pour aider le prochain dans ces lieux. Quand vous travaillerez tous, Dieu vous demandera encore quelque chose.

Tu le sais, Marisella, il te l’a déjà demandé.

Marisa - Il l’a demandé à l'évêque, pas à moi.

La Madone - Priez pour ces enfants et leurs mamans, qui souffrent de la faim, de la soif et sont sans vêtements parce qu’ils n'ont rien à se mettre sur le dos. Les enfants cherchent au milieu des ordures de quoi apaiser leur faim. Oh, quelle tristesse!

Vous vous demanderez pourquoi Dieu ne fait rien pour eux, il ne peut pas toujours intervenir, et ils sont des millions à être dans le besoin.

Marisa - Est-ce que je dois t’appeler Joseph ou Saint Joseph? Pourquoi n'envoies-tu pas les neuf cent vingt millions de personnes converties dans ces lieux? Ils sont beaucoup, ils aident et font la volonté de Dieu; ils ont été sauvés grâce aux prières et aux souffrances, ils doivent maintenant donner quelque chose. Que la volonté de Dieu soit faite.

Saint Joseph - Marisella, ta façon de parler me stupéfait chaque jour davantage. Quand je t’entends parler avec mon épouse bien-aimée, je souris derrière elle parce que c’est un spectacle de te voir parler avec tant de simplicité et d'ingénuité.

Marisa - Tu le dis aussi! Mais n’ai-je jamais grandi dans ma vie?

Saint Joseph - Sois heureuse ainsi parce que le bonheur t’attend et tu seras très heureuse. Mes chers enfants, si vous ne pouvez rien faire pour ces êtres, priez pour eux. Merci.

La Madone - Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Qu’est-ce qui te bouleverse, Marisella?

Marisa - C’est surtout ce que j’ai vu ce matin qui me bouleverse.

Saint Joseph - Ecoute maintenant la Sainte Messe à la radio.

Marisa - Est-ce que c’est également la volonté de Dieu?

Saint Joseph - Oui, Marisella, cela aussi. Les autres vont participer à la Sainte Messe.

Marisa - Adieu, Saint Joseph, puis-je te donner un baiser? La Madone est peut-être jalouse?

Qu’est-ce que j’ai dit! M’ont-ils entendu?

Rome, le 27 mai 2001 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Jésus, tu es encore venu aujourd'hui ? Mais aujourd'hui c’est la fête de la Madone!

Jésus - Je suis venu pour fêter la Madone, ma et votre maman.

Mes chers enfants, merci de votre présence ici. Je suis votre Jésus. C’est mon amour qui vous parle. Je vous remercie de tous les préparatifs que vous avez faits pour ma et votre maman, pour la Mère de l’Eucharistie. Oui, c’est vrai: L'histoire commence avec l’immaculée Conception et se termine avec la Mère de l’Eucharistie. Quelle joie de vous voir réunis ici pour prier, spécialement en ce mois où nous vous avons continuellement recommandé de prier, de faire de petits et de grands sacrifices et de jeûner, pour ceux qui le peuvent. Le but est d'obtenir la conversion des hommes, non seulement des catholiques mais également des membres de toutes les religions et des hommes de toute race. Tous doivent arriver à aimer Dieu, tout comme il aime chacun de vous. Dieu a aimé tous les hommes. Il n’a jamais fait de différences entre les bons et les mauvais et il m’a donné, moi son fils, pour tous les hommes. Je suis mort sur la croix et j’ai donné tout mon être et ma chair pour chacun de vous. Faites moi de petits présents ainsi qu'à la Mère de l’Eucharistie, aux anges, aux saints et aux âmes sauvées autour de moi.

Vivez ce jour avec tout l’amour dont vous êtes capables aussi bien dans les choses sacrées que profanes. Laissez vous guider dans tous vos actes par les bonnes manières, le respect l'humilité et la simplicité. Vous n’avez pas besoin d'être de grands hommes, mais vous devez faire preuve de simplicité, d'humilité et de sérénité afin de pouvoir donner la sérénité à ceux dont c’est la fête.

Marisa - J’aimerais te donner ce bouquet de roses, Jésus. Je ne sais pas si l'épouse peut le donner à l'époux, mais j’aimerais quand même te le donner

Jésus - Donne-le à la Maman, car aujourd'hui c’est également sa fête.

Marisa - Qu’est-ce que cela veut dire ? Dois-je aller à l’autel pour le lui donner ?

Jésus - Il est possible que je te demande trop, mais quelqu’un pourrait t’aider à monter les marches et à apporter les fleurs à la statue de la Mère de l’Eucharistie. " Davide " pourrait le faire par ex. .

Je vous donnerai ensuite des nouvelles importantes qui vous rendront tous heureux. Soyez heureux et réjouissez vous autant que vous le pouvez.

Allons, Marisella va porter le bouquet, comme tu l’appelles, à la Madone.

Marisa - Tu désires toujours que nous fassions tout pour la Maman et nous le faisons toujours.

Jésus - Aujourd'hui, Dieu n’a rien d’autre à vous dire dans sa lettre que de vous souhaiter une fête sainte. Comme je vous l’ai déjà dit hier soir, les souffrances de la passion ont été très fortes pour votre soeur cette nuit. En ce jour dédié à la célébration de la Mère de l’Eucharistie et à l’intronisation de la Statue, je vous annonce qu’avec la souffrance, les petits et grands sacrifices de mes deux enfants et de ceux qui ont prié avec tout leur amour, vous avez atteint un milliard de conversions.

(Ceux qui sont présents applaudissent et entonnent avec joie le cantique de l’alléluia à la Sainte Trinité en signe de remerciement)

C’est la grande nouvelle que je vous ai apportée aujourd'hui. Mes chers enfants, mon petit troupeau, vous n'êtes pas nombreux, bien au contraire, vous n'êtes que très peu en comparaison de ceux qui visitent d’autres sanctuaires. Vous avez cependant réussi à obtenir en peu de temps la conversion d'un milliard d'âmes de toutes religions et races, pas seulement des catholiques. Ceci est une grande grâce, vraiment un très grand miracle que vous ayez obtenu la conversion d'un milliard de personnes avec vos petits moyens, votre humilité et votre simplicité.

Marisa - Ecoute Jésus: je ne suis même pas capable d'écrire ce chiffre parce qu’il y a quelque temps je connaissais les nombres mais maintenant non.

Jésus - Tu écris un.

Marisa - Un, puis un, deux, trois zéros, un, deux, trois zéros, un, deux, trois zéros. Maintenant je m’arrête, je ne sais plus continuer. Don Claudio?

Don Claudio - Je crois que tu l’as dit correctement.

Marisa - Il dit qu’il croit que j’ai épelé le chiffre correctement.

Jésus - Que le chiffre ait été correctement épelé ou non, n'est pas important. Ce qui importe c’est que vous compreniez que vous puissiez obtenir de grands résultats si vous le voulez, même avec vos petits moyens: quand vous êtes à la maison, en marchant, en assistant à une fête, à un souper ou en cuisinant sur le feu comme le faisait ma maman qui a appris à votre sœur à faire la sauce.

Marisa - Je t’en prie ne mentionne pas tous ces détails, sinon j’ai l’air d'être incapable de faire quoique ce soit.

Jésus - d’accord: avec vos petites actions, vous avez beaucoup donné à Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Je sais que tu veux me recommander toutes les âmes qui ont besoin de mon aide, mais ne te fais pas de soucis, j’ai déjà lu dans ton coeur et avec ma présence j’ai déjà béni toutes les petites médailles. Je bénis chacun de vous et en particulier tous les enfants.

Marisa - Très bien.

Jésus - Courage à vous tous, mes chers enfants et continuez la fête, battez des mains pour le milliard d'âmes converties.

Marisa - Jésus est parti. La maman du ciel et de la terre vient maintenant d’arriver.

La Madone - Je suis simplement venue pour vous remercier. Je vous bénis ensemble avec mon et votre évêque. Je vous recommande de respecter votre évêque et votre prêtre parce qu’il n'y a pas d’autres prêtres qui donnent leur vie pour les âmes. Je vous bénis mes chers enfants et vos objets sacrés.

Je vous porte tous serrés dans mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Comme toujours je me répète et je vous dis: "Participez à la Sainte Messe et à la Sainte Communion comme si c'était la dernière de votre vie. Et toi, Excellence Révérendissime, dit la Messe comme si c'était la dernière de ta vie, même si je sais que tu le fais déjà, tu sais

que chacune de tes messes sauve une âme.

Marisa - Adieu. Ils sont tous partis, Don Claudio. Je ne savais pas comment écrire un milliard.

Don Claudio - De toute façon, tu l’as dit correctement.

Rome, le 29 mai 2001 - 18h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, aujourd'hui plus que jamais vous avez compris l’importance de la prière. Beaucoup de prêtres, d'évêques, d’archevêques et de cardinaux sont comme celui qui a trahi l’Eglise. Il y en a beaucoup, même s’ils ne font pas la rumeur parce qu’ils ne sont pas connus. Cet archevêque est connu dans le monde entier et la situation est préoccupante parce que tout peut se renverser et emporter beaucoup d'âmes. Je vous demande de prier pour ces âmes, pour ceux qui ont naïvement suivi celui qui disait être avec Dieu. Tout peut changer s’il le veut, comme vous pouvez revenir à la normalité si celui qui signe en tant que Président de la Conférence épiscopale italienne change.

Le monde continue à aller de travers, les malheurs continuent à se succéder pour une raison ou une autre, la haine et la rancune ne cessent de croître. Quand des âmes sont bonnes et dociles, elles sont calomniées et diffamées.

A vous, je demande la prière constante, l’abandon total à Dieu, l’amour envers Celui qui nous a créés.

Que puis-je dire d’autre sinon vous répéter continuellement de prier, prier, prier pour les âmes? Celles qui font le plus peur et donnent le plus de soucis sont justement les âmes qui font semblant de vivre en contact avec Dieu et les hommes, ce sont les personnes qui trahissent ensuite le plus aisément. Il est plus facile à un vrai pécheur de se convertir qu'à l’une de ces personnes.

Priez pour toutes ces âmes qui ont suivi ce chemin et l’ont maintenant abandonné.

Restez dans l’Eglise, restez avec Dieu.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Je te bénis, petit Emanuele, avec tes petits cousins.

Marisa - Adieu. Elle est partie.

Messages de Juin 2001

Rome, le 29 juin 2001, 10h40 (Lettre de Dieu)

Jésus - N'êtes vous pas remplis d'émotion lorsque vous chantez le Magnificat pour ma et votre maman ? Je crois que vous éprouvez une certaine émotion, ce que votre Jésus comprend et apprécie. Ceux qui ont été ordonnés ministres extraordinaires de l’Eucharistie il y a un an, du plus jeune au plus vieux, sont agenouillés devant moi et si l’un de vous pense qu’il n'est pas O.K., ce n'est pas vrai. Vous mes chers enfants, vous êtes tous O.K. et vous pouvez célébrer la première année écoulée depuis que vous êtes devenus ministres extraordinaires. Vous m’avez apporté avec vous, vous avez apporté l’Eucharistie aux malades et à ceux qui ne pouvaient venir à l’Eglise. Vous devez vous réjouir si votre Jésus vous dit que vous êtes tous en état d'être des ministres extraordinaires et de m’apporter aux âmes dans le besoin.

Tous mes meilleurs voeux à vous tous, mais naturellement mes plus grands souhaits s’adressent à mon et votre évêque pour la deuxième année de son épiscopat, vécue au milieu de conflits, de souffrances, de joies et de peines. C’est le lot de la vie sur terre: souffrances et joie; la joie de donner aux autres, la joie d’aider les âmes, la joie d’avoir été ordonné évêque par Dieu. Qui a été ordonné évêque par Dieu après Pierre et les apôtres ? J’ai près de moi Pierre et Paul et comme tu le dis souvent, Marisella, ils sont beaux. En te tournant tu peux voir que tout le monde est beau au paradis. Nous sommes tous beaux; vous serez de même si vous continuez à avancer, pas à pas, vers la sainteté. Vous savez mieux que moi qu’il n'y pas d'âge pour mourir. On peut mourir à tout moment, à toute heure, à tout âge. C’est pourquoi vous devez toujours être prêts pour arriver à la sainteté. N'est-ce pas Pierre et Paul ?

Marisa - Oui, ils sourient. Ils étaient deux chenapans, puis ils sont devenus des saints. Nous sommes actuellement également des chenapans mais nous pouvons également devenir des saints.

Jésus - Je t’adresse tous mes meilleurs voeux, Excellence Révérendissime, pour tout l’amour que tu as pour les âmes. Quelqu’un chante pour toi. Les enfants chantent et continuent de chanter. Ils courent autour de moi et glorifient Dieu. Je suis ici avec tous les enfants, les anges, les saints et les âmes sauvées. Marisella, veux-tu savoir ce qu’il en est d’emilio? Emilio est ici!

Marisa - Emilio? qui? le fils du docteur Prisco?

Jésus - Toutes les personnes sauvées, ainsi que ceux dernièrement décédés sont ici avec moi. Il y a ma et votre maman, mon père qu’on appelle dans les livres mon père putatif. Ce nom ne me plaît pas, je préfère l’appeler papa, comme je l’ai appelé depuis que j'étais tout petit.

Mes chers enfants ici présents, aimez votre évêque, même si quelque fois vous le faites un peu … et qu’il vous demande de remplacer la nappe durant la messe parce qu’elle est sale. Ceci ne devrait pas arriver. L’autel où mon corps repose doit être toujours rangé, propre et ordonné. Ce ne sont pas des recommandations qu’il revient à moi, Homme Dieu, de faire parce que même ma et votre maman a dû également vous réprimander à ce sujet.

Etes-vous conscients que la providence a même toujours pourvu aux fleurs ? C’est pourquoi tout doit être rangé et propre et si quelqu’un ne peut venir pour nettoyer, il doit prévenir pour qu’un autre le fasse à sa place. La chapelle est petite ? Voulez-vous la grande église de la Mère de l’Eucharistie ? Et que ferons nous si vous ne la nettoyez pas ? La démolir ?

Marisa - Je n’ai pas vu la nappe, mais si son excellence a fait ce qu’il a fait, c’est qu’elle était vraiment sale.

Jésus - L'évêque désire que l'église et l’autel soient bien rangés et c’est bien ainsi; car là où vient reposer mon corps, tout doit être propre, soigné et ordonné.

Je ne veux pas rester plus longtemps. J’ai la joie de vous souhaiter encore une fois une joyeuse fête, ainsi qu'à son Excellence Monseigneur Claudio et à tous les ministres extraordinaires. Je le répète, vous êtes tous O.K. pour fêter le premier anniversaire des ministres extraordinaires. j’emmène les petits avec moi et je laisse la place à ma maman.

Marisa - Est-ce qu’il s'en va ? Mais il ne m’a rien dit ?

La Madone - Mes chers enfants, c’est votre maman qui vous parle; mettez en pratique tout ce que Jésus vous a dit.

Ne pleure pas, Marisella, pourquoi es-tu aussi troublée ?

Marisa - Je ne sais pas. Il y a tant de choses qui me préoccupent.

La Madone - Ne te fais pas de soucis. Tous mes remerciements à celle qui a peint le tableau avec tant d'habileté.

Merci à vous tous pour tout ce que vous avez fait pour cette église, pour cette basilique. Je ne vais pas répéter ce que Jésus a dit, mais la nappe de l’autel était vraiment sale.

Marisa - C’est bien, cela suffit maintenant.

La Madone - Je le dis en tant que maman, pour vous remonter un peu le moral. Faites ce que Jésus vous a dit. Pierre et Paul étaient près de moi. Ils vous admirent et admirent la force de votre évêque à faire avancer seul cette mission, lui si sauvagement combattu par les hommes d’eglise, si dissimulés parce qu’ils se refusent à comprendre. Il vous a tous auprès de lui, un petit troupeau qui l’aime tant, envers et contre tout.

(Les enfants présents chantent et jouent)

Voyez vous comment les enfants glorifient Dieu à leur façon et sont heureux et contents ? Parfois ils pleurent, parfois ils chantent. Vous devez faire de même, redevenir des enfants. Ne pensez pas à l'âge; moi aussi j’ai atteint un âge avancé, mais du point de vue spirituel nous sommes tous jeunes, tous beaux si nous le désirons. Pour y parvenir, vous devez toutefois toujours vivre dans la grâce de Dieu, alors l'âge ne compte pas, n'est-ce pas grand-mère Iolanda ? Vous devez seulement être unis à Jésus, priez, aimez, aimez beaucoup, comme vous l’avez fait au cours de cette neuvaine où vous avez été vraiment bons. Vous avez ainsi mérité la conversion de deux milliards d'âmes. Vous ne devez pas vous laisser aller, mais persévérer, car vous savez qu’en toutes choses il est toujours difficile d’arriver au but final; je ne veux pas dire que vous devez faire des neuvaines et des adorations en permanence car cela vous fatiguerait beaucoup, mais ce serait mieux si vous le faisiez.

Marisa - Tu dis toujours de ne pas le faire, mais si nous le faisons c’est mieux. Tu nous mets ainsi dans une situation difficile, car la question se pose pour nous de savoir ce que nous devons faire ? Nous permets-tu maintenant de nous en aller et de nous reposer un peu ?

La Madone - Oui, mais tu dois faire ce que le docteur a dit, ne l’oublie pas!

Marisa - Je fais ce que le docteur a dit, je dois toujours obéir et à tout le monde!

La Madone - Courage, tous mes voeux aux ministres extraordinaires; comme Jésus l’a dit, vous êtes tous en état de grâce pour célébrer cet anniversaire. Tous mes meilleurs voeux à mon cher évêque, son Excellence Monseigneur Claudio, tous mes voeux et tous mes remerciements pour tout ce que tu as fait pour l’Eglise, pour les âmes, dans le secret et le silence comme Jésus le désire, car c’est ainsi que les âmes sont sauvées, dans le secret et le silence

Marisa - Est-ce qu’elles ne parlent pas?

La Madone - Dieu ne leur en a pas donné la permission.

Marisa - Les saints sont tous si laids sur les petites images saintes alors qu’en réalité ils sont si beaux au Paradis. De plus, ils ne sont pas petits mais grands

La Madone - Les enfants sont si heureux de jouer ensemble! N'est-ce pas Jacopo? Pourquoi n'envoies-tu plus de baiser à la petite Madone? Tu es grand, alors que Samuele et Emanuele sont encore petits, mais ils chantent bien aussi.

Merci à tous pour la neuvaine que vous avez faite pour mon fils Jésus. Avez-vous vu que lorsque vous le voulez, vous savez comment donner et faire et qu’en peu de temps vous êtes arrivées à la conversion de deux milliards d'âmes ? Gravez bien ce chiffre dans votre mémoire, c’est très important.

Mes chers enfants, je sais que vous célébrez aujourd'hui également la clôture de l’année sociale: assimilez dans votre coeur ce que vous avez entendu, lisez pendant l'été, même pendant les vacances des passages de l’Evangile. Avez vous réalisé que l'enfant lisait l'évangile aux enfants l’autre jour ? Faites de même, n’ayez pas honte, c’est tout simple de lire une page de l’Evangile. Vous pouvez ainsi apprendre toujours plus et qui sait si au mois de septembre vous ne serez pas plus capable que votre évêque ?

Don Claudio - Si seulement c'était vrai.

Marisa - Jésus lui insuffle ce qu’il doit dire et il fait un poème de chaque parole de l’Evangile. Quand il dit: "avez-vous quelque chose à dire ?", qu’allons-nous dire?

La Madone - C’est bien. Je vous souhaite une joyeuse fête pour la clôture de l’année sociale. Faites en un une fête fraternelle, vraiment fraternelle je vous en prie. Qu’elle soit aussi harmonieuse que possible, car il y a parmi vous quelqu’un qui souffre spirituellement, quelqu’un qui souffre physiquement, quelqu’un qui souffre spirituellement et physiquement, mais avoir un sourire pour chacun est une bonne chose et procure de la joie. Soyez heureux et réjouissez-vous au nom du Seigneur.

Ensemble avec mon et votre évêque je bénis cet anneau que toi, Don Claudio, doit toujours porter au doigt. Ils sauront ainsi que tu es l'évêque de la Mère de l’Eucharistie. Courage, Marisella, mets le au doigt de l'évêque.

Marisa - Cela me gène.

La Madone - Je vous bénis tous. Je bénis les enfants et donne un baiser à tous les enfants présents. Je vous porte tous serrés dans mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Je vous souhaite une bonne sainte messe et vous adresse à nouveau tous mes meilleurs voeux.

Marisa - Adieu.

Messages de Juillet 2001

Roseto degli Abruzzi (TE), le 15 juillet 2001, 19h00 (Lettre de Dieu)

La Madone - Chanter l'hymne à l’amour est une grande chose, mais aimer est encore plus important. Aujourd'hui il y a pour vous une grande fête au Paradis que personne sur Terre ne peut comprendre. Je vous remercie de tous les sacrifices que vous avez faits pour venir et fêter nos deux petits enfants tant aimés de Dieu et qui portent une si lourde charge sur leurs épaules.

Dire merci semble ne rien dire, mais en fait cela dit tout. Merci infiniment, merci de votre présence à tous.

Ce matin j’ai fait le compte des âmes qui se sont converties au cours de ces trente années où mes deux petits enfants ont vécu ensemble avec tant de sacrifices, d’amour et de souffrances. J’ai dit que Filippo devait faire les comptes, mais il était absent. Deux ingénieurs gradués sont maintenant présents.

Marisa - Oui, mais ils ne sont pas bons en calcul.

La Madone - J’ai dit ce que je devais dire. Nous sommes arrivés à un grand nombre d'âmes converties, en premier lieu grâce à vous deux, parce qu’au cours de ces années vous avez donné infiniment aux âmes, vous ne vous êtes jamais pavanés, enorgueillis et n’avez jamais essayé de vous mettre en avant: Vous êtes toujours restés dans le silence et le secret. Dans une lettre de Dieu, j’ai dit que chaque fois que tu célébrais la Sainte Messe, mon cher évêque, tu sauvais une âme. Durant vos voyages et pérégrinations de ville en ville, de pays en pays vous avez sauvé beaucoup d'âmes en répandant partout des rosaires et des prières. Aujourd'hui vous êtes en vacances, pour ainsi dire, mais qui comprend votre souffrance et ce que vous endurez ? Je ne veux pas toujours vous parler de la souffrance et désire également vous parler de la joie, même s’il est parfois difficile de la découvrir, en vous deux mes chers enfants et dans les jeunes. Eux également sont mis à rude épreuve par les examens, le travail et d’autres souffrances et soucis. Je sais qu’il est parfois difficile de courber la tête et de dire: "Oui, mon Dieu, je fais tout pour toi ". Mais c’est ce qu’ont fait mes deux joyaux, même s’il leur est arrivé de grommeler, de reprendre haleine, de pleurer et presque de se rebeller. Ils ont continué parce que l’amour gagne toujours.

Rappelez-vous qu’arriver à 3 milliards de conversions n'est pas rien, mais que ceux qui restent à convertir, sont, j'ose dire, les hommes les plus mauvais de la terre. Il vous faut maintenant intensifier prières et sacrifices. Où que vous soyez, priez et offrez tout au Seigneur: C’est à lui de décider quand le moment viendra. Tout comme il a décidé pour Teresa, pour qui tu as tant prié, Marisella, il décidera pour d’autres. Si c’est la volonté de Dieu la grâce arrivera, mais c’est lui seul qui décide quand.

Je n’ai pas de mots pour vous remercier encore une fois de ce que vous avez fait aujourd'hui et continuez à faire. Même si vous êtes éloignés, continuez à prier et avant tout à vous aimer. Malheureusement cette grande fête est obscurcie par quelques nuages. Si vous avez beaucoup reçu, vous devez également donner. Vous ne pouvez pas que recevoir. Pour certains, le manque de sincérité, le mensonge, le désir de se mettre en avant et l’orgueil laissent à désirer; je répèterai toujours et toujours que malheureusement ces choses arrivent aussi parmi vous. Je souhaite que vous arriviez peu à peu à comprendre que vous devez être sincères, loyaux, francs, même si cela doit vous causer parfois de grandes souffrances. Je vous répète encore une fois que les parents ne sont pas ceux qui vous procréent, mais ceux qui vous aiment, vous font progresser, vous donnent tour leur amour pour vous aider. Ceci s’applique à tous ceux qui aiment mon fils Jésus qui descend maintenant parmi vous avec Dieu le Père et Dieu le Saint Esprit.

Gloire au Père, au Fils et au Saint Esprit.

La Trinité présente vous bénit mes chers enfants.

Jésus - Moi, Jésus, je serai un certain temps au milieu de vous pendant la messe puis j’entrerai dans votre évêque. Lui et moi ne feront qu’un parce que l’amour est grand, l’amour soude. Je bénis les enfants et me permets de bénir également grand-mère Iolanda qui avec une peine et une souffrance que vous ne pourriez pas comprendre, continue à répandre des prières sur toute la Terre pour mes deux chers enfants. L’Eglise s’appuie également sur elle, tout comme elle le fait sur vous, légèrement sur certains et plus fortement sur d’autres, car c’est la volonté de Dieu.

Marisa - Oui, je comprends.

La Madone - Laissez chanter les enfants. Rappelez-vous qu’ils ne sont jamais ennuyés. Ce sont les adultes qui sont ennuyés. Aujourd'hui j’aimerais également remercier Iolanda qui a prêté son aide pour la fête et Giovanni qui cherche toujours à donner en silence et en secret. Vous avez tous donné quelque chose d'une manière ou d'une autre. Votre évêque s'est donné totalement pour vous. Je sais que tu ne veux pas que je le dise, Marisella, mais toi également tu t’es entièrement donnée pour tes jeunes, les tous petits et pour infiniment d'âmes qui souffrent. Tu me recommandes toujours tout le monde, même sans les connaître et Dieu l’apprécie beaucoup.

Marisa - J’aimerais comprendre si nous avons atteint les 3 milliards

La Madone - Tous vos efforts ont été si grands au cours de ces trente dernières années que vous avez atteint les 3 milliards de conversions, mais ceux qui restent représentent la part la plus difficile, la plus compromettante parce que les grands hommes non seulement ne veulent pas se convertir mais cherchent également à détruire ceux qui se sont convertis. Nous avons atteint aujourd'hui trois milliards de conversions.

Marisa - Que devons-nous faire pour ceux qui restent ?

La Madone - Vous savez que même dans les petites choses terrestres, ce qui reste à faire est toujours le plus dur et le plus difficile. Vous devez maintenant intensifier vos prières parce que ceux qui doivent encore se convertir sont les plus récalcitrants. Parmi eux il y a principalement ceux qui ne célèbrent la Sainte Messe que parce qu’ils doivent le faire et ne sont pas en état de grâce et ceux qui reçoivent Jésus sans être en état de grâce

Marisa - Mais alors que pouvons-nous faire ?

La Madone - Continuez. L’Eglise s’appuie sur les épaules de votre évêque, de la voyante, de grand-mère Iolanda et de vous tous, plus ou moins. Il y a ceux qui peuvent donner beaucoup et les autres moins, mais tout le monde essaie d'une manière ou d'une autre d’aider cette pauvre Eglise où il semble y avoir beaucoup d'âmes, mais si celles qui célèbrent la Sainte Messe ne croient pas …

J’aimerais embrasser Jacopo, Samuele et Emanuele, parce que Dieu aime tant les petits enfant, ses petits enfants.

Mes chers enfants, le temps passe vite et vous devez rentrer chez vous; un merci de la part de tout le Paradis pour tout ce que vous avez fait. Réjouissez-vous de ces trois milliards de conversions qui ont été atteints en grande partie grâce à l'évêque et à la voyante. Vous ne savez pas toutefois que la moitié des conversions obtenues ces derniers temps repose sur les épaules d'une vieille dame de 95 ans, grâce à tout ce qu’elle a fait et à tout ce qu’elle a souffert. J’adresse mes voeux à tous parce que la fête est pour tous, au Paradis comme ici parmi vous.

En rentrant chez vous, continuez à prier, à communier avec Dieu et à glorifier Dieu le Père, le Fils et le Saint Esprit.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis ainsi que vos chers parents et vos objets sacrés. Je vous porte tous serrés dans mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Marisa - Ils nous bénissent tous ensemble

La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit.