Eucharist Miracle Eucharist Miracles

Année sociale: 2003-04

Retour aux racines

Les messages suivants de Dieu n'ont pas été traduits par un traducteur professionnel. S.E. Mons. Claudio Gatti a reconnu l'origine surnaturelle des apparitions (Décret du 14/9/2000), il n' a toutefois donné son approbation ecclésiastique qu'aux messages en langue italienne, parce qu'il n'est pas responsable des fautes éventuellement commises par le traducteur.

Messages de Septembre 2003

Rome, le 6 septembre 2003 - 19h00 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, puisque vous avez prié, je suis venue au nom de Dieu. Vous ne le savez pas, mais au cours d'une des dernières apparitions où mes deux enfants n'étaient pas dans le lieu thaumaturgique, Dieu a dit: "Faites une croix sur le passé et recommencez à zéro". Vous savez bien qu’il n'est pas facile de recommencer ce chemin si beau et si plein de l’amour de Dieu. Rappelez-vous quand je vous ai dit: "Avancez pas à pas, faites un pas l’un après l’autre, avancez peu à peu, mais ne reculez jamais ?"; Ceci n’a pas été fait. Je veux vous expliquer une fois pour toute que lorsque la maman vous fait des remarques, chacun doit les prendre pour soi et si votre conscience est tranquille, vous n’avez aucune raison d’avoir peur. Combien de fois vous ai-je dit, émue jusqu’aux larmes: "Recevez mon Fils Jésus en état de grâce. Si vous n'êtes pas en état de grâce, ne recevez pas la Sainte Communion parce que vous commettez un sacrilège". J’ai cru, dans un premier temps, que mes conseils, mes reproches maternels seraient compris de tous, mais je me suis aperçue qu’ils n'étaient pas acceptés. Je le répète: que chacun prenne pour soi ce qui lui revient. Combien de fois vous ai-je fait cette recommandation: relisez au moins un message par jour, parce que vous y trouverez chaque fois quelque chose d'important!

Lisez avec attention le message de Dieu du 15 mai et ne jugez pas, ne regardez pas ce que font les autres, mais réfléchissez à ce qui vous concerne. Chacun doit réfléchir à soi et pouvoir dire: "Merci mon Dieu, car je ne suis pas dans cette situation", ou bien: "Il s’agit de moi, mais je veux me convertir, je veux aller me confesser pour être à nouveau en état de grâce". Vous ne pouvez également pas vous imaginer combien de grâces Dieu vous a données, vous ne les avez même pas remarquées et ne l’avez également pas remercié. Vous demandez, demandez, demandez, mais dites-vous parfois: "Merci, mon Dieu, merci pour ton amour, merci parce que tu nous envoies la Maman pour nous faire des reproches maternels si beaux, si doux, afin de nous aider à avancer vers la sainteté "?

Remerciez Dieu, même si vous ne savez pas tout, car un jeune parmi vous, aurait pu ne pas être ici aujourd'hui à la suite d'un incident intervenu hier. Remerciez Dieu avec moi parce qu’il est près de vous et m'envoie souvent auprès de vous: vous ne vous en apercevez même pas, mais je suis près de vous, j’envoie l’ange pour vous aider. Nous sommes près de vous et quand quelque chose arrive, vous êtes sous la protection de Dieu. C’est pourquoi vous devez apprendre à remercier Dieu, parce qu’il vous aide et malgré toutes les tempêtes, les méchancetés et les calomnies et tout ce qui vous entoure, il est avec vous. Vous êtes privilégiés par rapport à tous les hommes du monde entier parce que la Maman est près de vous. J’apparais ici, je ne me rends pas dans les grands sanctuaires où se rassemble tant de monde; Dieu m'envoie ici auprès de vous. Vous rendez-vous compte quelle grâce et quel don vous avez reçus de Dieu ? Corrigez les petits défauts, vivez en état de grâce et aimez. Vous souvenez-vous lorsque Jésus a dit: "Apprenez à aimer, puis priez"?

Je le répète, il est inutile de réciter beaucoup de chapelets et de lire des livres si l’on n’a pas l’amour. Alors apprenez à aimer et puis priez.

Merci, d'être ici présents. C’est aujourd'hui le premier samedi du mois et les apparitions ont commencé pour tous le premier samedi du mois. Le nombre de ceux qui fréquentent ce lieu a diminué car des personnes proches et éloignées tentent par tous les moyens de combattre ce don de Dieu, mais elles ne peuvent y réussir. Soyez fidèles à la Sainte Messe, à la communion reçue en état de grâce, au Saint rosaire. Accrochez-vous le plus possible à la prière.

Merci. Aimez votre Evêque. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

Rome, le 7 septembre 2003 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Votre sœur a souffert la passion jusqu'à neuf heures du matin et n'était pas en état de descendre parmi vous, bien qu’elle l’ait fortement désiré. Ce qui importe c’est que la petite Madone soit avec vous, c’est d’assister à la Sainte Messe avec tout votre amour, de faire une croix sur le passé et de recommencer, et comme a dit Dieu, comme a dit Jésus, de vous aimer les uns les autres.

Je vous invite à prier pour votre soeur, afin qu’elle ait la force de supporter chaque nuit la passion si douloureuse et si longue qu’elle devra vivre jusqu'à sa mort pour sauver les hommes et faire cesser les guerres. Pensez-vous que la paix règne dans le monde ? Non, bien au contraire, l’après-guerre est encore plus terrible, les hommes souffrent, s'entretuent et commettent bien d’autres méchantes actions qui font souffrir.

Hier je vous ai quitté en reprenant la phrase de Jésus: apprenez à aimer, puis priez. Je vous ai également dit de lire le message de Dieu du 15 mai. Ceux qui l’ont fait ont compris ce que Dieu a dit; ceux qui ne l’ont pas encore lu parce qu’ils sont un peu paresseux, qu’ils le lisent, car il faut si peu de temps pour lire et méditer les messages de Dieu. s’arrêter cinq minutes est également bon pour le corps parce que vous vous reposez.

Commencez cette nouvelle année sociale avec plus d’amour et de charité envers tous. Si le démon s'est infiltré dans la communauté, chassez-le avec la prière et la Sainte Messe. Combien de fois vous ai-je dit: "Attention, ne laissez pas la moindre brèche ouverte à Satan lui permettant de s'y infiltrer et de faire chuter les âmes "? Vous écoutez les messages, vivez l'enthousiasme du moment, puis tout semble se terminer et vous oubliez tout, comme hier où quelqu’un a dit à Marisella de descendre, oubliant qu’elle vit la passion toutes les nuits et parfois le jour également.

Demain soir, si Dieu le veut, elle sera parmi vous. Elle a appris à faire la volonté de Dieu, même si cela lui coûte beaucoup; apprenez vous aussi à faire la volonté de Dieu, qui en fin de compte ne vous demande pas de souffrir la passion.

Merci, mes chers enfants. Demain c’est la fête de la Maman et de sa nativité. Personne dans le monde entier ne dit la date réelle de ma nativité. Moi, pour ne pas créer de confusion, je venais le huit septembre là où on la célébrait ce jour là et j’apparaissais le cinq août là où elle était célébrée le cinq août, mais les apparitions ont maintenant cessé et n'ont plus lieu que dans ce lieu thaumaturgique. C’est justement parce que c’est un lieu thaumaturgique que je viens ici au milieu de vous. Nous, du Ciel, nous n’attachons pas d'importance au nombre de personnes présentes ou si des personnes importantes se trouvent parmi elles, mais nous venons parce que vous avez une âme à sauver et que je vous désire saints.

Merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés.

Je bénis tous ceux qui sont loin et ceux qui ne vous aiment pas. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

A demain. Bonne journée à tous, mais surtout bonne Sainte Messe. Faites la Sainte Communion en état de grâce.

Marisa - Adieu. Elle est partie.

Rome, le 8 septembre 2003 - 18h30 (Lettre de Dieu)

Fête de la Nativité de la Bienheureuse Vierge Marie

La Madone - Oui, mon âme magnifie le Seigneur. Vous aussi, quand vous vivez en état de grâce, vous pouvez très bien dire: "Mon âme glorifie le Seigneur".

Aujourd'hui c’est ma fête, l’anniversaire de ma nativité et tous les anges et les saints autour de moi me font gloire. Moi, me tournant vers eux j’ai dit: "Donnez gloire à Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit" et tous ont répondu en coeur: "Ainsi soit-il, oh Mère de l’Eucharistie".

Je veux étendre cet anniversaire à deux époux qui célèbrent leurs dix ans de mariage et à leurs enfants: Jacopo et Samuele. Ces deux époux ont beaucoup désiré cette fête parce que lorsqu’ils se sont mariés, Don Claudio qui est maintenant son Excellence Monseigneur Claudio Gatti, était leur père spirituel. Aujourd'hui il est possible de faire une fête bien différente de celle d'il y a dix ans: rien ne presse et personne ne cherche à mettre les gens dehors. Ici on fait tout avec calme, comme Selenia l’a dit à sa tante: "Sois calme, respire bien, la Madone comprend si nous ne pouvons être à l'heure". La Maman du Ciel qui vous aime tant, a attendu en silence, elle était ici et regardait chacun de vous.

De grands et de beaux vœux de la part du Paradis pour Laura et Giacomo, Jacopo et Samuele, une famille tant bénie par Dieu; leur façon de se comporter aide les enfants à grandir bons, saints et purs.

C’est pour moi une grande joie d'être parmi vous et de voir avec quelle fatigue et quel amour vous avez tout préparé. Merci. Ceci montre que vous cherchez à vous aimer, parce que si vous cherchez à faire du mieux possible, cela signifie que vous aimez; c’est ce que je veux: l’amour envers tous les frères, petits et grands.

Tous mes meilleurs vœux également à son Excellence; tout part de lui qui cherche par tous les moyens à faire avancer cette petite communauté de personnes dont le grand désir est de s’aimer.

J’aimerais vous entendre dire: "Tous nos voeux, Maman du Ciel!", comme le font les âmes du Paradis. Quand c’est la fête des mères, vous cherchez par tous les moyens à leur faire fête, vous courrez pour acheter des cadeaux et toute chose utile. C’est aujourd'hui la fête de la Maman du Ciel et de la Terre, c’est une grande fête, mais elle l'est également pour vous et je suis ici pour vous. Dieu qui est immensément bon, m'envoie souvent ici auprès de vous, en dépit des difficultés intervenues et d’autres qui interviendront encore. Dieu est toujours prêt à pardonner parce qu’il aime et vous demande votre amour pour tous.

Marisa - Voulais-tu voir ça?

La Madone - Ce petit missel a été fait avec beaucoup d’amour, de sacrifices et parfois de peines, mais de ces trois choses, celle que Dieu apprécie le plus est l’amour envers les frères et les sœurs. Vous, époux, Laura et Giacomo, conservez dans votre coeur la certitude que la fête d’aujourd'hui est plus grande que celle d'il y a dix ans. Chaque jour devrait être une fête pour vous et intensifier votre amour.

Marisa - Bénis-tu aussi les autres qui sont restés?

La Madone - Je vous bénis tous ici présents ainsi que ceux qui aiment ces petits enfants.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis ma chère grand-mère Iolanda, la grand-mère de ces deux époux. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Tous mes voeux, Maman!

Elle est partie accompagnée de la troupe des anges et des saints.

Rome, le 12 septembre 2003 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Le prénom Marie est fêté aujourd'hui, c’est ma fête et au Paradis tous m'ont adressé leurs meilleurs voeux. J’adresse tous mes meilleurs vœux à toutes celles qui s’appellent Marie et à toi, Marisella, bien des voeux de la part de Nous tous. Je sais que tu souffres encore pour ta maman; il y a des hauts et des bas. Il semblait aujourd'hui qu’elle allait partir pour l’autre vie et tu sais laquelle, mais Jésus m’a dit: "Laissons-la encore avec ses fils" et j’ai répondu:"avec ses filles".

Je vous ai enseigné beaucoup de choses, je vous ai toujours parlé de l’amour, de l’indulgence et de la simplicité. Faites disparaître l’orgueil, la prétention, la susceptibilité, vous devez être tous comme Jésus, lui ressembler, alors vous vous rendrez compte comment peu à peu vous parviendrez à avancer. Ne vous arrêtez jamais.

Je viens vous rendre visite chaque jour, mais vous naturellement vous ne remarquez pas ma présence. Je suis allée avec votre soeur en Slovaquie où se trouve actuellement le Saint Père; hier lui aussi allait trépasser, mais Dieu a considéré opportun de le laisser encore en vie. Combien de malades n'ont pas la possibilité de se soigner et de se remettre et gisent sur un lit abandonnés de tous! Combien de malades ont par contre la possibilité d'être bien soignés, même à l'étranger, parce qu’ils ont beaucoup d’argent! Combien de personnes meurent parce qu’elles n'ont pas d’argent! Le Saint Père a récupéré rapidement, également parce qu’il dispose de tous les traitements possibles, a autour de lui des docteurs et des personnes qui s'efforcent par tous les moyens qu’il se porte bien, de sorte que ce matin il circulait au milieu de la foule. Ceux qui ont de l’argent réussissent à se soigner et à remonter aisément et rapidement le courant.

Toi, Marisella, tu dis qu’en dépit de tous les traitements, tu te sens toujours mal.

Marisa - Non, je ne dis rien, je pense seulement. Il y a des personnes bien plus gravement malades que moi qui sont seules et n'ont personne auprès d’elle, elles me font tant pitié. Ma maman, grâce à ceux qui lui sont proches, n'est jamais seule. Elle gît encore sur son lit de douleur et quand elle reprend vie, elle a un beau sourire, elle nous sourit et puis retourne à son silence. Je veux remercier Jésus de m’avoir donné la possibilité de la trouver encore en vie et qu’elle me reconnaisse. Je te remercie Jésus, je te remercie, Marie, Mère de l’Eucharistie. Pour combien de temps encore pourrons-nous jouir de notre maman ? Après j’en jouirais au Paradis, comme tu l’as dit.

La Madone - Oui, il en sera ainsi, Marisella, ne te fais pas de soucis. Ta santé décline toujours davantage, mais nous te donnons la force de te mouvoir un peu juste assez pour que tu puisses t’occuper de toi-même, car tu ne peux aider ta maman.

Marisa - Cela me fait souffrir, petite Madone, parce qu’elle a tant fait pour moi et je ne réussis même pas à lui donner une cuillère de soupe.

La Madone - Ces choses ne doivent pas te préoccuper, pense au Paradis et oublie tout le reste.

A vous, mes chers enfants, je recommande l’amour envers tous et j’adresse à nouveau tous mes vœux à tous ceux que j’ai déjà cités. J’aimerais adresser mes vœux à tous, mais avant tout à mon et votre Evêque qui souffre tant de cette situation si dure et difficile. Vous, qui vivez dans votre petit nid que Dieu a rendu thaumaturgique, vous ne vous rendez pas compte de ce qui se passe dans le monde. Alors priez, toujours.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisella, allons donner un baiser à ta maman.

Marisa - Je ne peux pas marcher.

Maman, la petite Madone te donne un baiser, as-tu compris ?

La Madone - Loué soit Jésus Christ. Adieu, Marisella, tous mes voeux.

Marisa - Merci, adieu.

Rome, le 14 septembre 2003 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Jésus?!

Jésus - Oui, mon épouse bien-aimée, c’est moi. Je viens vous remercier des prières, de la procession et de tout ce que vous ferez ensuite. Le 14 septembre est la Fête de l’Exaltation de la Sainte Croix et l’anniversaire du premier miracle eucharistique. C'était alors la joie et la gloire pour tous. De beaux jours suivirent et la joie brillait sur vos visages, puis les hommes d’eglise ont tenté de détruire tout ce que Dieu voulait accomplir. Vous, jouissez de ce jour et que chaque jour soit comme aujourd'hui. Souvenez vous lorsque l'hostie est sortie du côté de Jésus sur le crucifix ?

Moi, votre Jésus, je suis ici parce que vous fêtez aujourd'hui l’Exaltation de la Sainte Croix et le grand miracle Eucharistique, le premier dans l'histoire de l’Eglise, quand l’Eucharistie est sortie de mon côté, d'une statue, d'un crucifix en bois. Ceux qui l’ont vu peuvent en témoigner. Certains se sont retirés parce qu’ils ont eu peur de ces miracles eucharistiques qui au contraire vous ont donné force et courage. Lorsque vous avez demandé des grâces, vous les avez reçues si c'était la volonté de Dieu. Il n'est pas donné à tous de recevoir parce que si Dieu n’accorde pas la grâce demandée, il en accorde une autre. Dieu a ses raisons, il sait le pourquoi de tout ce qui arrive.

En ce jour lointain de 1995, la joie était grande et c'était la fête, mais certains ont voulu la détruire. J’ai toujours été près de vous, comme la Mère de l’Eucharistie et tous les anges et les saints.

Mes chers enfants, je ne sais comment vous remercier de votre présence. Vous donnerez une grande joie à mon Coeur si vous participez de tout votre cœur à la Sainte Messe. Tous mes vœux à tous.

Marisa - Il est parti. Voici la Maman!

La Madone - Je suis votre Maman, la Mère de l’Eucharistie, mais aujourd'hui ne j’ai pas l’Eucharistie dans les mains. Je suis aussi venue vous adresser tous mes voeux parce que ce jour est un jour mémorable. Je suis venue au nom de Dieu pour vous donner des grâces et vous bénir, mais en tant que Maman de Jésus et votre Maman permettez-moi de transmettre mes vœux au petit Jacopo né exactement ce jour là. Je suis une maman et je ne peux pas ne pas me souvenir au moins des enfants et de grand-mère Iolanda: qui l’a vue sait bien comment elle va.

Mes voeux à tous. Comme l’a dit Jésus, souvenez-vous de ce jour. Il est très important et l'histoire en parlera, parce que l’Eucharistie est sortie du côté du Christ pour la première fois. Dieu a rendu thaumaturgique ce crucifix en bois d'où est sortie l'hostie; tout ce qui est ici est thaumaturgique. Thaumaturgique signifie saint, miraculeux.

Une recommandation de la part du Ciel: recevez mon Fils Jésus en état de grâce! Si vous n'êtes pas O.K., si vous êtes en état de péché, confessez-vous, ne recevez pas mon Fils Jésus si vous n'êtes pas en état de grâce, sinon vous commettez sacrilèges sur sacrilèges et la mission n’avance pas alors que les méchants continuent à progresser. Les méchants sont plus sereins et joyeux. Pourquoi? Je veux voir la joie d’abord dans votre cœur, puis sur votre visage et dans vos yeux. d’ailleurs si Dieu fait souffrir la passion chaque nuit à votre soeur, il a un motif important pour cela. Pensez-vous peut-être que Dieu s’amuse à faire souffrir une âme ? Alors continuez à prier. L’autre jour je vous ai dit: accrochez-vous à la Sainte Messe, à Jésus Eucharistie, au Saint Rosaire et à la Sainte Croix, le crucifix rendu thaumaturgique.

Récitez avec moi le Notre Père, en remerciant Dieu du don qu’il vous a fait.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Je bénis grand-mère Iolanda, Jacopo et tous les enfants. Je vous serre tous toujours sur mon cœur. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Je vous implore de prier, de ne pas parler et de ne pas vous retourner pendant l’intervalle entre l’apparition et la Sainte Messe, car Jésus est devant vous, regardez le et priez. Merci. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, dois-je le lui dire ? Tu le lui dis. C’est bon, je vais le lui dire. Adieu.

Rome, le 21 septembre 2003 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Pardonne-moi d'être en retard mais je suis très fatiguée et c’est très douleureux de me préparer pour descendre. Tu as attendu parce qu’en tant que maman, tu nous aimes tous. Je veux te recommander trois personnes malades qui se sont recommandées à mes prières. Elles ont demandé de l’aide, mais je dis toujours: je vous recommande à la petite Madone, mais apprenez à dire: "que la volonté de Dieu soit faite ".

La Madone - Tu es héroïque, Marisella, parce que personne dans ton état ne serait descendue.

Marisa - Laissons de côté ce qui me concerne, parce que cela me gêne, parlons du message de Dieu; l’as-tu apporté ?

La Madone - Les messages de Dieu s'épuisent maintenant; Dieu a dit tout ce qu’il devait dire et se répète maintenant. Quelqu’un a dit: "Les messages de Dieu se répètent, Dieu se répète " et je réponds encore une fois: "Avez-vous changé?". Vous ne pouvez pas être comme les autres dans le monde, vous êtes privilégiés, parce que Dieu vous a choisis et vous a appelés dans ce lieu thaumaturgique. Dernièrement il a rendu thaumaturgique un autre lieu proche de Frontignano, dans la province de Macerata, une belle vallée.

Comme vous le savez bien, la mission de mes deux chers enfants a été ralentie, en fait stoppée par la faute de ceux qui avec beaucoup de légèreté ont reçu mon Fils Jésus en état de péché et ont ainsi commis des sacrilèges. J’aimerais ne plus vous parler de cette douloureuse situation parce que les larmes coulent sur mon visage que tu vois baigné de pleurs, Marisella. J’aimerais ne plus parler de sacrilèges, au moins dans ce lieu thaumaturgique, rendu saint par Dieu. Mes chers enfants, recevez Jésus en état de grâce; si vous n'êtes pas O.K., ne recevez pas la Sainte Communion. Recevez le Corps et le Sang de Jésus en état de grâce. Si vous avez honte de vous confesser à votre Evêque, vous pouvez vous rendre dans bon nombre d'église pour faire une bonne confession. Ceux qui reçoivent la direction spirituelle de l’Evêque ne doivent pas lui raconter les peccadilles et taire les péchés graves qu’ils confessent ensuite ailleurs; Dieu ne veut pas de cela parce que le directeur spirituel est bien plus en mesure de vous comprendre que tous les autres prêtres qui ne vous connaissent pas.

Vivez en état de grâce, vivez avec amour. Vous devez vous rappeler qu’il y a une apparition lorsque c’est la fête de la Maman ou de Jésus. Le 15 septembre est la fête de Notre Dame des Sept Douleurs et c'était écrit dans le petit missel, mais personne n'est venu, ni les jeunes ni les adultes. Nous approchons maintenant de l’anniversaire des dix ans de mes apparitions dans ce lieu thaumaturgique et il n'est plus possible que l’Evêque doive vous dire: "Il y a demain une apparition parce que c’est la fête de la Madone". En dix ans vous devez avoir appris quand ont lieu les fêtes de la Madone et de Jésus. Si vous n’avez pas lu les messages de Dieu, vous ne pouvez pas vous en souvenir. Je peux comprendre que vous puissiez oublier les anniversaires des miracles Eucharistiques, parce qu’il y en a beaucoup, parfois l’un après l’autre et ils ne figurent pas dans le petit missel. Lisez le à fond là où sont reprises toutes les fêtes de la semaine. L’Evêque, la voyante ou quelques autres personnes ne doivent plus vous rappeler quand tombent les fêtes de la Madone ou de Jésus ou le premier samedi du mois. Cela suffit, dix ans se sont écoulés, mes chers enfants, vous devez vous en souvenir tout seuls. Si vous venez, la grille est ouverte, si vous ne venez pas la grille est fermée et je reste à la maison avec mes petits enfants; c’est à vous de choisir.

Dans peu de temps, l’Evêque montera à l’autel pour célébrer la Sainte Messe; préparez-vous entre-temps, faites un examen de conscience et demandez-vous: "Suis-je en état de grâce? Puis-je recevoir la Sainte Communion ?". Si vous ne le pouvez pas, cela ne fait rien, personne ne doit vous juger; malheur à celui qui juge celui qui ne communie pas, malheur à lui! Chacun doit se regarder soi-même. Merci.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

j’espère m'être bien expliqué et avoir clarifié tous les points. Rappelez-vous: chacun doit suivre sa propre conscience, n’allez pas pleurer auprès de votre soeur parce que vous ne savez pas ou n’avez pas compris; vous avez une conscience qui doit vous dire si vous êtes bien ou pas.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Elle est partie.

Rome, le 28 septembre 2003 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence, merci d’avoir fait la Porte Sainte et merci de vos prières.

C’est beau de vous voir ici, dans ma petite chapelle que j’ai toujours appelée mon petit joyau et de me réjouir avec vous. Je vous remercie avant tout parce que vous avez fait l’adoration Eucharistique pour réparer les sacrilèges commis; cela m’a émue et a fortement ému mon Fils Jésus. Malheureusement, les hommes continuent à commettre beaucoup de sacrilèges. Il est certain que vous, parce que vous avez une famille, des enfants ou pour d’autres motifs ne pouvez toujours faire l’adoration Eucharistique, mais quand vous sentez le besoin d’aider l’Eglise, faites la. Priez surtout aujourd'hui parce que des Cardinaux vont être nommés, priez l’Esprit Saint pour qu’ils soient bons, saints, purs et vivent en état de grâce.

J’ai dit en 1917 à soeur Lucie, et vous en êtes également conscients aujourd'hui, vous qui êtes déjà presque en 2004 que l’Eglise continue à ne pas marcher bien; alors que ceux qui travaillent dans l’Eglise sont bien économiquement parlant, parce qu’ils ont beaucoup d’argent et physiquement parlant parce qu’ils ont tous la possibilité de se faire soigner, ils sont malheureusement malades spirituellement et profitent de l’infirmité et de la maladie du Saint Père, que l’on requinque ou affaiblit de temps à autre. Les docteurs sont toujours prêts à lui donner quelque chose pour le remonter. Oh, s’ils pouvaient faire quelque chose pour tous les malades, mais laissons faire Dieu. Les hommes d’eglise sont faibles et peuvent se tromper! Priez Dieu pour qu’ils aspirent à la sainteté.

Faites la Porte Sainte une fois par mois; c’est un don que vous avez reçu de Dieu, qui a décidé de vous la laisser pour toujours. Faites la pour vous, pour les péchés et la conversion de tous les hommes.

Mes chers enfants, vous m’avez donné une grande joie de vous voir réunis ici à prier, même si vous êtes sans lumière; il y a tant de lumière au Paradis.

Marisa - Envoyez en nous également un peu.

La Madone - Pourquoi êtes-vous sans lumière ? Vous l'êtes-vous demandés ? Parce que les responsables ne s'en sont pas occupés. Pensez aux pauvres gens, à ceux qui sont seuls et sans lumière, qui ne peuvent téléphoner ou prendre l’ascenseur; ils ont besoin d'un mot de réconfort. Aimez vous, a dit Jésus, comme je vous ai aimés.

Marisa - Ce n'est pas le 2 octobre aujourd'hui!

La Madone - Oui, le 2 octobre est l’anniversaire de grand-mère Iolanda, que le Seigneur la laisse encore au milieu de ses enfants. Elle repose tranquille et calme dans son lit; hier matin elle m’a vue, j'étais sur le rebord de la fenêtre, je l’ai regardée et lui ai souri. Elle m’a vue mais sa fille n’a pas bien écouté ce que disait la maman montrant l'endroit: "Là il y a le portrait de la Madone, la statue de la Madone", mais c'était la vraie Madone qui était à la fenêtre. Oui, c'était moi, j'étais venue pour la consoler, la réconforter et apaiser un peu ses douleurs parce qu’elles ont augmenté, la nuit en particulier. Elle est âgée maintenant, c’est vrai, mais la souffrance se sent à n'importe quel âge.

Marisa - Moi, Marisa, j’aimerais te recommander certaines personnes qui ont tant fait appel à mes prières, en particulier les malades et les personnes jeunes avec des enfants, j’aimerais te les recommander tous. Les grâces arrivent parfois à ceux que je ne connais même pas mais j’aimerais qu’elles arrivent aussi ici.

La Madone - Marisella, Dieu sait ce qu’il fait. Te rappelles-tu quand en 1971, avant de rencontrer ton directeur spirituel, Mons. Claudio Gatti, je t’ai dit de prendre dans tes bras l'enfant qui mourait dans les bras de sa maman et que Dieu l’a guéri? Tu as été un simple instrument, tu m’as obéi et Dieu a guéri l'enfant. Dieu ne peut pas guérir toutes les personnes malades parce que malheureusement, le péché d’adam et d’eve vous poursuit. Alors courage, attachez vous à la prière, au Saint Rosaire. Je vous ai dit bien des fois: "Ne récitez pas le Saint Rosaire avec l’anneau mais avec le chapelet dans vos mains, priez avec le chapelet". Est-ce qu’un chapelet pèse si lourd ? Vous avez de grands sacs, de grandes poches, prenez le chapelet avec vous et récitez le Rosaire. Si vous ne pouvez le réciter entièrement parce que vous n’avez pas le temps, dites une dizaine à la fois, mais ne manquez jamais de réciter le Rosaire. Je vous ai dit que c'était une arme puissante pour apaiser les guerres, faire l’union dans les familles, arrêter les divorces, les avortements et éviter tant d’autres souffrances.

Marisa - Petite Madone, veux-tu nous aider pou l’intention que tu sais et pour toutes les autres qui concernent les jeunes et les enfants ? Combien d’enfants deviennent orphelins, combien d’enfants meurent! Fais qu’ils jouissent aussi un peu de cette vie terrestre. Que la volonté de Dieu soit faite. Nous sommes prêts à faire sa volonté. Moi aussi, je grogne beaucoup, mais ensuite je fais toujours sa volonté; je pense que les autres aussi, l’Evêque et notre petite communauté font sa volonté.

La Madone - Vous ronchonnez et vous vous lamentez parfois, mais vous cherchez toujours à faire la volonté de Dieu. Les ronchonnements et les lamentations ne sont pas des péchés qui offensent Dieu, mais vous devez avoir plus de foi et de confiance en lui.

Merci d’avoir fait la Porte Sainte, mais surtout, je me répète, d’avoir fait l’adoration Eucharistique. Dieu vous bénit tous.

Ensemble avec mon et votre Evéque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Tous mes meilleurs voeux à grand-mère Iolanda et à tous les malades pour qu’ils guérissent. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Protège-nous tous, je t’en prie, petite Madone, nous avons tant besoin de ton aide, l’un pour ceci, l’autre pour cela. Aide-nous tous. Que la volonté de Dieu soit faite, toujours. Adieu.

La Madone - Donne un baiser à ta maman.

Marisa - Merci, merci.

Messages d'Octobre 2003

Rome, le 4 octobre 2003 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. La Maman vous remercie de votre présence. C’est le premier samedi du mois et comme tous les autres samedis, il laisse beaucoup à désirer. Dans les premiers temps, beaucoup de personnes venaient le premier samedi du mois, puis certaines se sont habituées à ces apparitions et ne sont plus venues, d’autres sont parties parce que ce chemin spirituel est difficile à suivre, ainsi qu’une femme l’a dit un jour: "Votre chemin spirituel est trop difficile à suivre, je retourne à ma communauté ". Votre soeur lui a alors justement répondu: "Va, tu es libre d’aller où tu veux, mais nous voulons suivre ce chemin ".

Marisa - Petite Madone, nous voulons le suivre jusqu’au bout et comme tu le sais, nous sommes déjà en train de préparer la fête pour ton triomphe, le triomphe de la Mère de l’Eucharistie. Nous sommes certes peu nombreux, nous sommes fatigués et éprouvés, mais tu nous aideras bien sûr et tu seras près de nous.

La Madone - Oui, mes chers enfants, je ne serais pas votre Maman si je n'étais pas près de vous pour vous regarder, lire dans vos coeurs et vous aider. Puisque votre soeur souffre la passion toutes les nuits et souvent le jour également, que son corps continue à saigner et que cela fait maintenant quatre jours qu’il saigne, quelque chose de grand est en train de s’accomplir. Ne vous occupez pas des autres endroits où vont tant de personnes et où l’on prépare la fête du Saint Père. Qui n’aime pas le Saint Père? Tout le monde aime le Saint Père, mais si lui, en dépit de la souffrance et de l'âge, réussissait à faire la volonté de Dieu consistant à appeler votre Evêque, tout redeviendrait normal. Qui sait! Vous êtes un petit troupeau; si vous étiez trois ou quatre mille, bien d’autres personnes seraient venues qui auraient dit "C’est sûrement la Madone qui apparaît ici, parce qu’il y vient beaucoup de monde". Il n'en est pas ainsi. Je suis ici où peu de personnes sont rassemblées, parce que je vous aime. Dieu m’a envoyée dans ce lieu thaumaturgique parce qu’il vous aime. Que pouvez-vous attendre de plus ? Préparez la fête, comme dit souvent mon fils Jésus, pour la Mère de l’Eucharistie, pour le triomphe de la Mère de l’Eucharistie. j’espère que Dieu pourvoira également prochainement à votre triomphe. De temps à autre il semble que vous vous approchiez de ce triomphe, puis tout s’arrête par la faute des fidèles, la faute des hommes d’eglise, à cause des péchés et avant tout des sacrilèges commis. Ne vous faites pas de soucis à ce sujet, parce que vos prières, votre adoration du Saint Sacrement et celle faite par mes enfants dans la chambre de Marisella sont agréables à Dieu.

J’aimerais tant que vous pensiez à venir le premier samedi du mois parce que ma première apparition pour tous a eu lieu le premier samedi du mois. Dieu m’a dit: "Tu iras voir mes deux enfants chaque premier samedi du mois " et je suis toujours venue vous voir. Quand j’ai manqué dans cette basilique c’est parce que votre sœur n’allait pas bien et qu’il était naturel que je reste auprès d’elle dans sa chambre. J’ai dit aujourd'hui à votre sœur: "Marisella, ne descends pas, réserve toi pour demain dimanche". Elle m’a alors demandé avec beaucoup de simplicité et d'ingénuité: "Aimerais-tu descendre rendre visite à tes enfants ?". J’ai dit oui et elle m’a répondu: "Alors fais que je descende également au milieu de mes sœurs et frères, au milieu de ceux qui j’espère, nous aiment ". Je lui ai dit: "va et si la souffrance augmente, offre la pour la conversion des pécheurs, pour les sacrilèges commis dans le monde entier et ceux toujours commis dans ce lieu thaumaturgique ".

Marisa - Tu veux que je découvre les plaies de mes mains? j’en ai honte. Celles du côté et des pieds non, parce que tu les as déjà vues. Pourquoi me fais-tu faire cela ?

La Madone - Parce que tu es humble et simple, parce que tu pourrais très bien me dire: "Non, petite Madone, cela non, ne m'oblige pas à le faire"; au contraire avec beaucoup de simplicité tu fais ce que je t’ai ordonné de faire. C’est ainsi que je désire mes enfants: humbles et simples. Je dis à ceux qui savent coudre, broder, faire des chaussures, des ornements qu’ils ont reçu des dons de Dieu et ne doivent pas dire qu’ils ne sont pas capables de faire ce qu’ils doivent faire, mais qu’ils y mettent toute leur bonne volonté et s’ils échouent, qu’ils fassent preuve de patience. Je vous ai donné ici un exemple de simplicité et d'humilité en la personne de votre soeur.

Priez pour votre Evêque, parce qu’il vit une période très triste, très amère, très éprouvante. Ne vous lassez jamais de prier pour lui. Je vous remercie encore une fois de l’adoration du Saint Sacrement que vous avez faite vendredi. Merci.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je bous bénis ainsi que ceux qui sont loin et n'ont pu venir pour des raisons de santé ou à cause de leurs occupations. Je bénis ceux qui ont fait preuve de charité en faisant des remplacements pour permettre à d’autres personnes de venir ici. Je vous bénis tous.

Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Saint François m’accompagne aujourd'hui, car c’est aujourd'hui sa fête; les stigmates l’on fait également beaucoup souffrir, mais comme Padre Pio il avait beaucoup de frères qui l’aidaient. Priez pour votre Evêque. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Quand ces stigmates prendront-ils fin ?

La Madone - Quand Dieu le voudra.

Marisa - Je ne dis plus rien, je suis sage. C’est bon, adieu.

La Madone - Donne un baiser à ta maman. Je remercie tous ceux qui ont coopéré aux préparatifs des célébrations pour cette pauvre grand-mère alitée; vous avez très bien fait les choses, merci à tous.

Marisa - Merci également en mon nom, moi qui suis sa fille.

La Madone - Bien sûr.

Marisa - Adieu.

Elle est partie avec Saint François (Francesco) et Sainte Claire (Chiara); ils étaient près de la Madone.

Rome, le 5 octobre 2003 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Ce message de Dieu est très court, mais embrasse tout: amour et miséricorde, amour et miséricorde envers tous les hommes. Merci pour vos prières et pour celles que vous continuez à faire.

C’est une journée très douloureuse pour votre soeur; vous pensiez la voir aujourd'hui au milieu de vous, mais ce n'était pas possible.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Aide-moi parce que je ne sais plus quelle partie de mon corps ne me fait pas mal. Adieu, petite Madone, adieu. Emanuele, envoie un baiser à la petite Madone?

Adieu, pardonne-moi.

Rome, le 7 octobre 2003 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est aujourd'hui la fête de Notre Dame du Rosaire, la journée du Saint Rosaire. Toute l’année est dédiée au Saint Rosaire, pour que cette paix bénie arrive dans le monde, que les hommes s’aiment et que les hommes d’eglise cessent de faire des choses qui ne sont pas bien; je ne dis pas autre chose, je dis seulement des choses qui ne sont pas bien. Mr. Ruini a placé ses hommes dans toute l’italie et aussi hors de l’italie. Vous ne pouvez pas vous imaginer comme mon cœur est triste parce que ce sont des prêtres pédophiles. L’archevêque que tout le monde connaît, a fait tout ce dont il avait envie. Le démon l’a vaincu et lui a permis de tout avoir. Beaucoup d'hommes s'empressent autour de lui, pensant obtenir la guérison, mais c’est impossible parce que l’Esprit Saint ne peut le permettre. Les gens vont le trouver et lui donnent beaucoup d’argent. L’archevêque à son tour a donné de l’argent aux grands hommes d’eglise qui se sont faits construire des maisons et se sont procurés tout ce qui rend la vie agréable et confortable: ne donnez pas d’argent à ces personnes, mais donnez-le aux pauvres du monde entier.

Notre Dame du Saint Rosaire, dont c’est la fête aujourd'hui, doit vous aider à comprendre où se trouvent le bien et le mal. Il y a encore tant de mal sur terre. Combien d'hommes d’eglise continuent à bafouer et outrager ce lieu que Dieu a déclaré thaumaturgique, ainsi que votre Evêque et la voyante. Oh, vous ne pouvez pas vous imaginer la façon dont mes deux enfants sont traités, mais le triomphe arrivera également pour eux! Rira bien qui rira le dernier. C’est ainsi que vous dites, n'est-ce pas ? Eh bien le triomphe arrivera. Mes chers enfants, je vous prie de recevoir encore plus le sacrement de l’Eucharistie, de faire toujours plus d’adorations du Saint Sacrement et de vous aimer chaque jour davantage; chaque jour doit augmenter en vous la grâce et la joie, ne pensez pas seulement à l’argent et au profit.

Marisa - J’aimerais savoir …

La Madone - Marisella, ne te préoccupe de rien, tu as déjà tant de souffrances. Ton corps saigne de partout et les douleurs le ravagent complètement. Laisse dire, laisse faire, ne te fais pas de soucis.

Mes chers enfants, aidez-moi et priez pour la paix dans le monde, dans l’Eglise et les familles. Aidez-moi! Quand les stigmates de votre sœur se sont rouverts il y a trois jours, Jésus et moi sommes descendus sur la Terre et entrés dans sa chambre. Jésus en marchant et saignant a laissé l'empreinte de ses pieds sur le sol. Je pleurais et votre sœur gémissait de douleur tandis que le sang continuait à jaillir de son corps. Pourquoi toute cette souffrance ? Pour l’Eglise, pour la paix et pour le Pape qui ne se décide pas à faire la volonté de Dieu.

Mes chers enfants, soyez compréhensifs et bons. Aidez-vous les uns les autres, ne vous laissez pas aller, aimez-vous. Jouez, comme son Excellence le fait en ce moment avec la petite Sara alors que le petit Emanuele parle, parle et parle encore. Emanuele, envoies-tu un baiser à la petite Madone ? Merci. Oui, je vais m'en aller d'ici peu, tout va prendre fin et ma pauvre petite fille Marisella va rester seule avec sa maman malade.

Courage à tous. Merci pour l’adoration Eucharistique et pour le commencement des rencontres bibliques. N'oubliez pas: seulement cette semaine, la rencontre biblique a lieu mardi parce qu’elle coïncide avec la Fête de Notre Dame du Rosaire. Elle aura lieu ensuite tous les jeudis.

Marisa - O.K.; tu nous traites vraiment comme des enfants.

La Madone - Je suis votre maman, c’est pourquoi je vous traite comme des enfants.

Merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés; je bénis les enfants, ceux qui dorment et ceux qui sont éveillés; je bénis grand-mère Iolanda. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Elle est partie.

Rome, le 12 octobre 2003 - 10h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Merci de votre présence. Comme toujours, vous n'êtes pas nombreux. Je viens malgré tout ici pour vous parler et prier avec vous, parce que je vous aime. Je vous rappelle que je vous ai dit dimanche dernier: amour et miséricorde; amour et miséricorde envers tous ?

Les stigmates de votre sœur se sont rouverts une nouvelle fois et ont saigné. Le sang a coulé abondamment des plaies du front et des pieds parce que vous préparez la célébration du triomphe de la Mère de l’Eucharistie. La souffrance de votre sœur est pour le monde entier: les prêtres, les laïcs, les jeunes et les enfants. Je dois dire que peu de personnes, très peu, acceptent de telles souffrances et qu’aucune ne souffre la passion aussi souvent que votre sœur au cours de l’année. Certaines souffrent du jeudi au samedi saint, d’autres pendant le carême, mais votre soeur ne souffre pas seulement pendant le carême, car quand Dieu le décide, les stigmates s'ouvrent et le sang coule. Vous ne pouvez pas vous imaginer comme tout le linge est maculé de sang. C’est tellement impressionnant que la tentation vient parfois de tout jeter. Mais la première à dire: "Ne jetez pas tout, lavez et remettez les draps ", est vraiment votre sœur, sinon elle aurait déjà dû racheter tout la lingerie. J’ai voulu faire cette remarque, parce que je ne veux pas que vous soyez affligés de voir votre soeur réduite à cet état. Elle n'est pas affligée, mais souffre et sourit et réussit aussi à faire de telles répliques, mais les douleurs, croyez moi mes chers enfants, sont très fortes, ce sont des douleurs qui ne peuvent être comparées à aucune autre .

Marisa - Pourquoi saignes-tu également ?

La Madone - Parce que je veux être comme toi.

Marisa - C’est moi qui veux être comme toi et comme Jésus.

La Madone - Ceci est le miroir de ce qu tu as quand tu commences à saigner; tu es ainsi, comme moi. Tu es une âme qui sourit et plaisante sur ses souffrances qui sont si grandes que la chair est complètement ravagée.

Mes chers enfants, je vous ai dit tout cela pour que vous puissiez continuer à prier pour le triomphe de l’Eucharistie. Maintenant que s’approche également le triomphe de la Mère de l’Eucharistie, soyez prêts, préparez-vous, faites le bien. Je répète les paroles écrites par Dieu: faites une belle et grande fête; je vous souhaite de pouvoir en jouir aussi. Notre basilique, je dis notre parce que c’est la mienne également, est une tente, elle n'est pas en pierres comme tant d’autres églises. Les églises coûtent parfois trente, quarante ou cinquante milliards. Vous avez fait de grands sacrifices pour construire une tente de quarante, au maximum cinquante millions, autres frais inclus.

Pourquoi Dieu m'envoie-t-il ici ? Parce qu’il aime ce joyau, il aime cette basilique faite d'une tente. Nous quand nous voyagions, nous utilisions des tentes, même si elles n'étaient pas aussi belles que celle-ci. Elles nous servaient seulement pour dormir la nuit pour nous protéger du froid.

Soyez heureux, n’aspirez pas aux grandes choses humaines, aspirez aux choses divines, surnaturelles, au paradis.

Je me répète: préparez avec soin le triomphe de la Mère de l’Eucharistie; que celui qui peut participer aux préparatifs le fasse, qu’il ne recule pas. La Maman vous aidera toujours dans la vie.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je bous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés; je bénis les enfants et grand-mère Iolanda. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. C’est bon, comme vous au ciel vous le voulez. Adieu.

Don Claudio, comment faisons-nous?

L’Evêque - Pour faire quoi ?

Marisa - Continuons-nous à avancer?

L’Evêque - Tu veux arrêter maintenant alors que nous sommes arrivés à l’avant dernière station ?

Rome, le 16 octobre 2003 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Quand je suis entrée, j’ai vu ton visage assombri, Marisella. Dieu a pensé à te demander le grand sacrifice pour aider toutes les âmes dans le besoin. Vous ne devez pas seulement pensez à vous-mêmes, tournez-vous et regardez le monde entier. Ne regardez pas s’il y avait aujourd'hui des milliers de personnes autour du Saint Père, Jésus ne voit pas cela.

La souffrance et la pénitence demandées par Dieu à votre soeur sont telles qu’elles l’ont détruite. Dieu lui a dit: "Ne descend pas parmi tes frères pour la fête du triomphe de la Mère de l’Eucharistie". Priez et demandez avec moi à Dieu la grâce de la conversion des âmes et que votre soeur puisse descendre au milieu de vous, car comme vous le savez le 26 octobre est la fête du triomphe de la Mère de l’Eucharistie, mais aussi celle du triomphe de votre sœur car c’est à elle que la Madone apparaît depuis de nombreuses années. Jésus m’a regardée avec beaucoup de compassion et m’a dit: "Maman, prions pour notre fille, afin qu’elle puisse participer à cette grande fête qui précède celle du triomphe de notre Evêque, qui n’aura pas lieu en ce jour". Attention: quand je vous communique le message de Dieu, cherchez à bien comprendre ce que je dis. Ceci est le dessein de Dieu, mais s’il le veut, il peut le changer. Vous devez prier et aider cette créature qui souffre chaque jour et souvent nuit et jour la passion de Jésus. Vous vous demandez pourquoi Dieu lui a demandé ce grand sacrifice. Et pourquoi pas ? Je vous réponds: Dieu sait à qui demander, Dieu sait très bien que votre soeur n’aurait pas dit non, même si elle s'est d’abord rebellée contre sa dernière requête. Elle n'était pas d’accord avec Jésus et a dit non, parce qu’elle voulait descendre au milieu des autres, mais ensuite enfermée dans sa chambre elle a commencé à réfléchir et dit: "Si tout cela contribue à la conversion des hommes, il est bon qu’une personne meurt pour tous".

Aujourd'hui pour la fête du Saint Père, nous avons également prié, mais combien, combien de personnes n'étaient pas en état de grâce! Les hommes d’eglise ont dépensé beaucoup d’argent pour la fête. Seuls les habits ont coûté des milliers d’euros, ce n'est pas comme ta robe, Marisella.

Marisa - Ce n'est pas moi qui dis que cela coûte cher, c’est l’Evêque.

La Madone - L’Evêque est moralement découragé parce que Dieu a dit que tu ne devais pas descendre pour la fête de mon triomphe.

Marisa - Seulement l’Evêque? Non! Tous ceux qui font partie de cette petite communauté sont amers. Nous supplions tous Dieu qu’il nous fasse cette joie, nous ne demandons pas beaucoup, nous pourrions demander beaucoup plus. Nous attendons avec joie le triomphe de l’Evêque et non le mien; je suis prête à souffrir et à renoncer à tout pour notre Evêque. Il est certain que la demande de Dieu me fait beaucoup souffrir et que ma santé décline de jour en jour, parce que pour moi rester seule ce jour là dans ma chambre et ne pas jouir de la fête du triomphe de la Mère de l’Eucharistie est très douloureux. De toute façon moi aussi, acceptant la volonté de Dieu, je m'unis à vos prières.

Je ne sais pas quoi dire d’autre, faites comme vous voulez, je suis maintenant entre vos mains, j’ai toujours été entre vos mains, mais comment m’avez-vous traitée? Comme un ballon dans lequel on tape de part et d’autre pour le faire entrer dans le but. Je me sens ainsi, ballottée de part et d’autre; je me sens jugée, critiquée. De toute façon, si c’est la volonté de Dieu, je ne l’accepte que pour le triomphe de l’Evêque, pour lui j’accepte tout. Le triomphe de l’Evêque doit arriver, cela ne peut plus continuer ainsi.

Entre-nous soit dit, il n'est pas beau que le pape vive dans une telle situation. Un pape jeune ne serait-il pas mieux ?.Si nous attendons encore un peu, même Don Claudio sera âgé et ne pourra plus le faire.

La Madone - Marisella, nous du ciel nous te remercions parce que tu as dit: "je suis prête à tout accepter parce que je veux que l’Evêque triomphe". Nous aussi nous le voulons, mais vous ne connaissez pas les temps de Dieu; il semble parfois que le triomphe soit proche et puis tout s’arrête. Oh, combien d'hommes sont en état de péché, combien commettent des sacrilèges, même ceux près du pape. Vous ne pouvez pas comprendre jusqu'à quel point l’Eglise est en ruine. Le message donné à soeur Lucie: "Les évêques seront contre les évêques, les cardinaux contre les cardinaux" et qui t’a été répété, Marisella, se réalise depuis des années. Ces hommes d’eglise rivalisent à qui paradera le plus, aura le plus d’argent et de pouvoir.

Quelqu’un a dit que l’Evêque vit dans le luxe avec l’argent que vous lui donnez. Mes pauvres enfants, il mourrait de faim, je vous l’assure s’il vivait avec l’argent que vous lui donnez.

Vous ne pouvez pas vous imaginer combien de milliards sont offerts aux grandes églises, en particulier là où il y a le Saint Père. Pensez aux enfants qui meurent. Toutes les secondes, un enfant meurt de faim, de maladie, par manque de médicaments, tandis que les hommes d’eglise rivalisent à qui s’achètera le vêtement le plus beau à qui vivra le plus dans le luxe. J’aimerais vous faire comprendre que votre Evêque ne demande rien pour lui-même et s’il a reçu quelques cadeaux c’est parce que la communauté a voulu les lui faire. Il n’a jamais rien demandé et ne veut rien pour lui, mais pour l’Eglise. Du reste les dépenses sont importantes. Qui a coopéré? Fort peu de personnes. Si c'était une église ou une basilique de Rome, mes enfants seraient riches, mais ils ne veulent pas de cette richesse, ils veulent la richesse du coeur, la paix du coeur, ils veulent recevoir Jésus Eucharistie dans leur cœur en état de grâce.

Merci et pardon de la longueur de ce message. J’aurais encore d’autres choses à dire, mais c’est l'heure de la rencontre biblique et c’est très important. Je vous laisse dans la paix du Seigneur.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, je t’envoie un baiser; si tu le veux, donne le aussi à Jésus. Adieu.

Rome, le 19 octobre 2003 - 10h45 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Je suis heureuse d'être ici aujourd'hui au milieu de vous avec votre soeur. Nous lui avons dit de ne pas descendre, de ne pas prendre froid, mais elle est descendue par amour pour vous. Il lui est difficile d’accepter les douleurs en présence d’autres personnes parce qu’elle a honte et s'efforce alors de les cacher. Même si Dieu lui laisse toute liberté, il lui a ordonné de rester dans sa chambre les 24 et 26 pour prier. J’ai encore espoir et confiance qu’elle sera parmi vous et vous devez les avoir aussi.

Votre sœur vous révèlera aujourd'hui le quinzième secret, si vous êtes d’accord. Vous devez écouter ses paroles avec attention; ce sont les paroles d'une personne simple qui n’a pas fait d'études et n’a pas de diplômes. n’attachez pas d'importance au fait qu’elle puisse faire des fautes de grammaire et écoutez ce qu’elle a à vous dire. Ma visite dans ce lieu thaumaturgique sera plus longue aujourd'hui pour cette raison. Il est bon que la communauté soit au courant; je vous ai déjà dit que lorsque Dieu déciderait de révéler le secret, il serait révélé à tous: d’abord à l’Evêque, puis aux jeunes et aux adultes.

Ce secret ne fera plaisir ni à celui haut placé, ni à nous, car si les grands hommes qui gouvernent l’Eglise ne se conduisent pas bien et disent des mensonges, nous souffrirons beaucoup. Il est bon que vous connaissiez le secret.

La souffrance de votre soeur est pour le monde entier. Elle dit souvent: "pour l’Evêque et Selenia", mais elle sait fort bien que c’est pour le monde entier et en particulier pour l’Eglise.

Vous pensez en voyant les grandes foules à Saint Pierre ou dans les grands sanctuaires que tout est O.K.? Mais ce n'est pas ainsi, ils commettent péchés sur péchés, prient, récitent le Saint Rosaire, puis font ce que font les jeunes de la rue. Ceci fait énormément souffrir le coeur de mon Fils Jésus et mon cœur de Mère de l’Eucharistie.Vous faites la neuvaine pour le triomphe de la Mère de l’Eucharistie et priez de la meilleure manière qu’il soit, avec amour. Ceci est important: faire tout avec amour.

La béatification de Mère Teresa de Calcutta est célébrée aujourd'hui à Rome: je l’ai emmenée ici avec moi, pas à Saint Pierre et elle vous regarde avec un visage à la fois radieux et triste parce qu’elle voit comment les hommes d’eglise continuent à s'occuper de leur propre confort, à rechercher ce qu’il y a de mieux pour eux et non pour les autres. Comme je vous l’ai déjà dit, un enfant meurt de faim toutes les secondes. Il y a des enfants privés de médicaments alors que lorsque les fêtes arrivent, les seigneurs de l’Eglise dépensent des millions d’euros et rivalisent à qui portera les habits les plus somptueux et les plus élégants. Regardez votre Evêque, s’il a quelque chose de beau c’est parce qu’on lui en a fait don et vous n’avez pas dépensé beaucoup pour cela. Par contre dans les grands sanctuaires où je n’apparais plus depuis des années, ils continuent à gaspiller l’argent. Ils parlent du tiers monde, mais ne font rien pour eux. Ce sont les laïcs qui font quelque chose et cherchent à aider. Ce sont les pauvres qui sont généreux. Mon Evêque cherche à aider avec ses petits moyens, avec sa petite pension, il y en a qui possèdent des milliards et d’autres quelques sous.

Marisa - Excellence, il est préférable d’avoir quelques sous plutôt que des milliards. Il est important d’avoir une âme en bonne santé; comme le dit la Madone.

As-tu vu que je le lui ai dit ? J’ai peur de lui dire des choses, j’ai honte c’est tout.

La Madone - Que Dieu vous bénisse chaque jour, mes chers enfants, vous qui êtes encore ici, auprès de votre Evêque. Que Dieu vous donne la force de continuer et de vous accrocher à votre Evêque, lui s’accrochant à l’autel, tout comme le font les alpinistes qui forment une cordée pour l'escalade. Formez cette chaîne: Jésus, la Madone et Saint Joseph aussi, pour notre Evêque; l’Evêque s’accrochant à l’autel et vous vous accrochant à l’Evêque, montons tous ensemble vers le Paradis. Merci à tous. C’est dommage que vous soyez si peu nombreux. Les prêtres ne savent pas que ce que vous avez appris.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Elle est partie.

Rome, le 24 octobre 2003 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - C’est une grande fête aujourd'hui: dix ans se sont écoulés depuis que je suis apparue pour tous la première fois dans ce lieu thaumaturgique. Je suis heureuse que tant de personnes soient venues de loin pour fêter cet anniversaire, mais surtout le triomphe de l’Eucharistie et de la Mère de l’Eucharistie; celui-ci sera fêté en grand le 26. Priez, afin que votre sœur puisse descendre au milieu de vous. Tandis que vous priiez, j’ai récité cette prière : "Seigneur Dieu, pardonne-nous, Seigneur Jésus Christ aie pitié de nous, Seigneur Esprit Saint aide-nous à nous sauver. Marie, Mère de l’Eucharistie, Mère de Dieu, Mère de Jésus, Mère de l’Eglise, Mère de tous les hommes, aide-nous à accepter la volonté de Dieu et à toujours faire sa volonté ".

Comme je vous l’ai déjà dit, fêter le 26 le triomphe de la Mère de l’Eucharistie, parce que c’est un dimanche et qu’il est ainsi plus facile de venir ici. Vous avez de la chance car il y a quelque temps on ne s'en serait pas occupé. Si la fête tombait en semaine, elle était célébrée ce jour là. C’est aujourd'hui le dixième anniversaire de l’ouverture au public des apparitions de la Mère de l’Eucharistie à Marisella. Je lui ai donné beaucoup de joies. mais aussi beaucoup de souffrances pour l’amour de l’Eglise, l’amour de tous les hommes. Qu’est ce que la Maman peut vous dire encore ? Priez, jeûnez, faites l’adoration du Saint Sacrement, mais avant tout aimez-vous.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Mes voeux à tous et bonne fête. Priez avec recueillement, ne parlez pas durant la Sainte Messe, soyez toujours unis dans l’amour, la miséricorde et la paix. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

J’ai accepté de faire la volonté de Dieu, cela me coûte et me coûtera encore. Adieu à tous, tous mes voeux à tous, bonne fête à tous.

Rome, le 26 octobre 2003 - 11h00 (Lettre de Dieu)

Marisa - Une telle joie irradie de ton coeur. Es-tu contente de nous tous ? Nous aurions voulu faire beaucoup plus pour te glorifier, ensemble avec Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Je veux te confier toutes les personnes qui se sont recommandées à mes prières. j’espère que le sang que tu fais jaillir en permanence de moi et me fait tant souffrir est pour le bien de l’Eglise, des hommes d’eglise ainsi que pour nous tous ici présents qui t’aimons, te vénérons et voulons toujours vivre en communion avec toi.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence; c’est votre Maman qui vous parle et vous remercie avec une grande de joie de tout ce que vous avez fait. Je remercie également tous ceux qui sont venus dans ce lieu thaumaturgique, parce que finalement après 10 ans, le triomphe de la Mère de l’Eucharistie s'est accompli. A partir de cette année, la grande fête du triomphe de la Mère de l’Eucharistie sera toujours célébrée le 24 octobre, le jour où Dieu m’a dit: "Va, Marie, commence à apparaître pour tous mes enfants " et j’ai commencé avec beaucoup de joie et de douleur à venir ici pour tous. Mes deux enfants ont également beaucoup souffert. Tant de personnes étaient contre eux, en particulier les grands hommes d’eglise, uniquement par envie, jalousie et peur que les fidèles ne se retournent contre eux. Mais il y a eu également beaucoup de joies: la joie de mes apparitions, des miracles Eucharistiques, la joie de l’Episcopat, la joie du triomphe de l’Eucharistie et du triomphe de la Mère de l’Eucharistie. Votre triomphe fait encore défaut, même si pour nous du Ciel c’est aujourd'hui votre triomphe, mais il doit encore arriver pour les hommes sur la Terre. Le jour même où le Saint Père a nommé de nouveaux cardinaux, tous les princes de l’Eglise ont commencé à discuter entre eux sur celui qui devrait être le nouveau Pape, qui devrait être au-dessus des autres. La lutte entre les évêques et les cardinaux s'est ainsi intensifiée et le message de Fatima se vérifie encore aujourd'hui. Le secret de Fatima n'est pas celui qui a été révélé, pas du tout! s’il l’avait été, ils en auraient parlé bien avant; ce sont les grands hommes d’eglise qui sont derrière l’ajournement et la non révélation du secret.

Quel Evêque parle toujours de l’Eucharistie, organise des rencontres bibliques, cherche à faire un poème de chaque mot de l’Evangile, à inculquer la Parole de Dieu dans le coeur des hommes et aime les âmes ? Votre Evêque aime l’Eucharistie. Celui qui aime l’Eucharistie, aime également les âmes, aime tout.

Il vous est peut-être difficile de le comprendre, mais c’est aujourd'hui également votre triomphe; le triomphe humain viendra, mais vous devez encore patienter. Comme vous le voyez, le Pape désire vivre encore, c’est un pauvre homme souffrant, mais pour les cardinaux il est commode d’avoir un pape dans un tel état.

Ne vous découragez pas, votre moment arrivera et sera tellement grand et glorieux qu’il vous est impossible de l’imaginer. En attendant, votre triomphe, spirituellement parlant, est également célébré aujourd'hui, sinon à quoi servirait tout le sang versé et la passion vécue par votre sœur ? A rien ? Même ce matin elle perdait du sang et doutait de pouvoir descendre au milieu de vous. Elle a alors dit à mon Jésus: "J’accepte tout cela, mais fais moi descendre au milieu de mes frères, je suis bien avec eux". Et elle est ici. Pourquoi endure-t-elle tant de souffrance ? Parce qu’elle veut le triomphe de l’Eucharistie, le triomphe de la Mère de l’Eucharistie et votre triomphe. Les 24 et 26 octobre sont des dates très importantes.

Courage, n'oubliez jamais que Dieu est avec vous, que la Mère de l’Eucharistie et tout le Paradis sont avec vous.

Merci encore une fois de votre présence et merci à tous ceux qui ont décoré avec amour et sacrifice ce lieu thaumaturgique, petit et simple mais grand aux yeux de Dieu. Merci. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis le triomphe de la Mère de l’Eucharistie, je bénis votre triomphe. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Oh la grande flamme, Dieu est ici! Mon Dieu, je ne peux pas te voir, mais je t’entends et sens ton parfum.

Dieu le Père - Oui, je suis Dieu et en tant que Dieu, je bénis moi aussi le triomphe de la Mère de l’Eucharistie, la Mère de Jésus et de votre Mère; je vous bénis et votre triomphe spirituel. Laissez les hommes parler et dire ce qu’ils veulent. Ils ont dit tant de méchancetés et de calomnies contre moi, voulez-vous être encore moins qu’eux ? Non!

Je suis Dieu, je commande au Ciel et à la Terre, je commande à chaque homme et c’est moi qui ai ordonné Evêque Don Claudio, je lui ai donné l’Episcopat et aucun homme de la Terre ne peut le lui retirer. Les hommes d’eglise sont orgueilleux, médisants et font de telles méchancetés à mon Evêque, uniquement par envie et jalousie, mais moi Dieu, je veux qu’il soit évêque à vie, pour toujours.

Marisa - Mamma mia, il y a un grand feu. Mon Dieu, je ne te vois pas et t’entendre parler me procure une certaine peur.

Dieu le Père - Courage, ma fille, tu verses ton sang pour l’Eglise, pour ceux qui aiment, pour ta communauté et j’apprécie beaucoup tes souffrances.

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Comme vous l’avez compris, notre Dieu a également participé à cette grande fête. Dieu ne va pas là où il y a des milliers et des milliers de personnes, il est venu ici, dans ce petit lieu. Avez-vous jamais entendu que Dieu ait parlé dans d’autres lieux ? Non. De toute façon, merci pour tout.

Marisa - Adieu.

(Marisa envoie un baiser à la Madone)

Peux-tu apporter ce baiser à Dieu ? Tu le peux. Adieu.

Tout le Ciel est parti.

Vous qui le pouvez, applaudissez notre Dieu.

Ils sont tous partis. Tous les anges et les saints étaient en rang; on ne pouvait pas voir Dieu, il y avait une grande flamme, Jésus, la Madone et Saint Joseph étaient présents; j’ai seulement vu Jésus comme Dieu. En plus des anges et des saints, il y a avait tous nos chers parents décédés qui sont au Purgatoire d'où ils iront au Paradis quand Dieu le voudra. Si tu avais vu comme le feu d'où sortait la voix de Dieu était grand!

L’Evêque - C’est bien, vivons maintenant le moment le plus important: la Sainte Messe.

Rome, le 30 octobre 2003 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, je suis ici avec vous. Je vous remercie de vos prières et de tout ce que vous avez préparé pour ma fête; vous avez même fait parler Dieu le Père et ceci est beau, merveilleux. Mes chers enfants, si vous aviez écouté avec plus d’attention la rencontre biblique, les catéchismes de votre Evêque et tous les conseils qui vous ont été donnés, vous seriez maintenant probablement bien plus avancés, mais cela ne fait rien, je vois que lentement vous apprenez à avancer.

Comment puis-je vous faire comprendre l’importance de vos prières et de votre amour ? La simplicité et la charité de certains laissent beaucoup à désirer. Quelqu’un manque encore de sincérité, de loyauté et est très têtu comme on dit à Rome. Quand quelqu’un est têtu et ne fait pas ce qu’on lui dit, il lui est difficile de progresser dans la vie spirituelle, sur le chemin qui mène au paradis.

Vous direz: "La Madone se répète toujours". Je vous ai déjà répondu: "Oui, parce que vous commettez toujours les mêmes erreurs". Il est naturel que cela préoccupe une maman et qu’elle vous corrige.

Quand vous écoutez la Sainte Messe, vivez ce moment avec Jésus et Marie, parce que je suis présente à côté de votre Evêque. Retenez tout ce que je viens de dire pour entrer dans le royaume des cieux.

Vous attendez le grand jour, du point de vue humain, parce que pour Nous, le grand jour est déjà arrivé. Il est certes plus difficile, plus dur de convertir les grands hommes qui ne pensent qu’au pouvoir et à leurs intérêts personnels, mais ce moment arrivera et alors combien donneront de la gloire à Dieu, combien demanderont pardon et miséricorde ? Y aura-t-il de la place pour eux?

Réjouissez-vous dans le Seigneur avec Jésus et chantez, chantez, chantez. Chanter est parfois un sacrifice, avant tout les répétitions, mais si vous faites quelques petits sacrifices, Jésus vous accordera des grâces et des bénédictions. Vous ne devez pas être distraits quand vous chantez, mais recueillis, car il suffit d'une fausse note pour détoner; comme dans la vie spirituelle il suffit de manquer de simplicité pour être dans l'erreur.

Mes chers enfants, je vous invite a prier pour les malades, les enfants, tous ceux qui souffrent dans les hôpitaux, qui n'ont rien, qui sont seuls. Cette nuit, votre sœur et moi ferons le tour de tous les hôpitaux de Rome pour aider et surtout convertir les malades.

Merci. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Messages de Novembre 2003

Rome, le 1er novembre 2003 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Toussaint

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Reste simplement tranquille avec tes mains. Marisella, tu ne peux pas faire le signe de croix.

C’est aujourd'hui la fête de la Toussaint et je suis venue pour prier avec vous. l’un de vous a vu le sang couler et les très grandes souffrances de votre sœur qui a voulu, en plus des intentions habituelles: pour votre Evêque, Selenia, Angelo et tous les malades, offrir ces souffrances pour quatre jeunes: pour leur conversion véritable, pour qu’ils deviennent sincères, ne fassent plus de faux mysticisme, ne disent plus de faussetés et de mensonges. Tout cela est très grave. s’ils continuent à se bafouer de Dieu, de la Madone et de l’Evêque, à faire des communions sacrilèges, pouvez vous vous lamenter de ce que font les jeunes hors d'ici ? Vous vous scandalisez des autres ? Vous vous scandalisez des prêtres qui ne vivent pas en état de grâce ? Mais ceux qui ont été appelés à suivre ce chemin difficile, mais beau, pur et saint, comment peuvent-ils continuer à suivre ce chemin coupable ? Heureusement, ils ne sont pas nombreux. Au lieu de se convertir et de croire à l’Evangile, ils ont continué à dire répandre des faussetés et des mensonges, à commettre des sacrilèges, à se moquer du Christ, de la Mère de l’Eucharistie et de l’Evêque. La grande souffrance ressentie aujourd'hui par votre soeur est avant tout pour eux; c’est elle qui a demandé cette fois à souffrir.

Je souhaite une sainte fête à tous ceux qui aiment mon Fils Jésus. Votre sœur a du mal à parler à cause des grandes souffrances qu’elle ressent. Je veux que vous célébriez la fête de la Toussaint et de vos chers défunts. s’ils ont vécu en état de grâce jusqu'à leur mort ou s’ils se sont convertis, même au dernier moment, ils sont sauvés, parce que Dieu est miséricordieux. Dieu n'est pas miséricordieux avec ceux qui ne font que ce dont ils ont envie, mais il l'est avec ceux qui n'ont pas reçu de formation religieuse, qui ne connaissent pas l’Eucharistie comme vous, qui n'ont pas vécu ce que vous avez vécu: les miracles eucharistiques, la théophanie de la Très Sainte Trinité qui est venue plusieurs fois dans ce lieu. Ces personnes recevront miséricorde quand ils se trouveront devant Dieu, mais ceux qui ont beaucoup reçu et continuent à ne pas marcher droit, ne peuvent escompter la miséricorde de Dieu car rien ne leur sera donné. Je vous dis qu’aujourd'hui encore, Dieu vous fait la grâce de la conversion. Convertissez-vous, convertissez-vous. J’attends votre conversion véritable. Vous devez dire: "Que la volonté de Dieu soit faite. Dieu, pardonne-nous nos péchés, pardonne-nous car nous avons péché, mais nous renaissons aujourd'hui, nous voulons renaître et repartir à zéro". Il est difficile de se convertir quand on a commis beaucoup de péchés, années après années, mais celui qui demande l’aide de Dieu, recevra l’aide de Dieu. Dieu donne sa grâce à celui qui la demande avec amour, conviction et sincérité.

La Maman vous adresse tous ses voeux. Rappelez-vous que les saints ne sont pas seulement ceux qui sont canonisés par l’Eglise, mais également ceux qui ont vécu dans le silence et dans l’amour de Dieu.

Je vous remercie de votre présence. Que celui qui a des oreilles, entende!

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Soyez purs et simples comme des enfants.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, merci. Aide-nous. Aide-moi à supporter cette grande souffrance parce qu’elle est beaucoup plus forte que les autres fois: les clous pénètrent encore dans ma chair et les épines dans ma tête; tout mon corps me fait mal.

Adieu, je salue tous les saints, adieu.

Rome, le 2 novembre 2003 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Fête des morts

La Madone - Cela te va bien d’avoir la petite Sara dans les bras, Marisella.

Mes chers enfants, merci de votre présence. En ce jour dédié aux défunts, les hommes vont au cimetière prier sur les tombes de leurs parents, mais ne savent pas que ceux-ci ne sont pas dans les tombes. Je suis entourée d'un grand nombre d'âmes sauvées et beaucoup d’entre elles sont des parents des membres de la communauté.

J’aimerais que ce jour soit considéré comme un jour de résurrection et non de mort; ils sont morts et doivent maintenant attendre la résurrection. Ces âmes sont sauvées, mais vous devez prier et faire célébrer des Messes pour eux, afin qu’ils gravissent chaque jour une marche en direction de la porte du Paradis. Il n'y a ni porte, ni marche au Paradis, mais si je m'exprime ainsi c’est pour vous faire mieux comprendre le principe du Paradis.

La vie devient toujours plus difficile, les hommes sont de plus en plus endurcis. Ils se disputent pour un rien et sont même prêts à tuer pour une bêtise. Ceux-là ne se sauveront certainement pas, car comme je vous l’ai déjà dit, Dieu sera miséricordieux jusqu'à la fin, mais pour ceux qui n'ont pas connu le Christ, connu l’Eucharistie. Pour ceux qui ont connu l’Eucharistie, suivi les rencontres bibliques, vécu les miracles Eucharistiques, participé à la Théophanie Trinitaire et à mes apparitions dans ce lieu thaumaturgique, il sera difficile d’entrer dans le royaume des Cieux, s’ils ne se sont pas vraiment convertis. Ils doivent renaître aujourd'hui même. Comment renaître? En faisant une bonne confession, en disant: "Mon Dieu, j’ai gravement pêché, pardonne-moi". Si la vraie conversion n’arrive pas, il ne leur sera pas possible d’entrer au Paradis. Pour ceux qui aiment, il est facile d’aller au Paradis, mais pour ceux qui ne savent pas aimer ou n’aiment qu’eux et pas les autres, c’est difficile. Une personne très charmante ne voulait absolument pas changer, puis un très beau changement s'est opéré en elle et Jésus m’a dit: C’est une autre âme convertie par mes deux chers enfants". Si cette âme continue ainsi, elle entrera au Paradis, mais les autres ne pourront y entrer. Il n'y a pas de place au paradis pour ceux qui n’aiment pas, qui se comportent mal, commettent des sacrilèges pour déplaire à l’Evêque.

Alors je me répète encore une fois et je dis à vous tous: "Vous devez être convertis pour entrer dans le royaume des Cieux ". Avez-vous honte de vous confesser à l’Evêque ? Allez ailleurs, allez trouver des prêtres qui ne vous connaissent pas. Votre sœur se confesse toujours à l’Evêque parce que les autres prêtres ne la comprendraient pas. Même vous pouvez aller trouver d’autres prêtres, mais ils peuvent ne pas vous comprendre. Je répète la phrase d'hier: "Convertissez-vous aujourd'hui, n’attendez pas à demain car demain pourrait être trop tard". Quand le maître est absent de la maison, le voleur vient pour voler et tout prendre. La mort peut arriver n'importe quand, à n'importe quel âge et si vous n'êtes pas en état de grâce, vous n'entrerez pas dans le Royaume des Cieux. La mort semble lointaine parce que vous êtes jeunes; mais il n'en n'est pas ainsi, car même beaucoup de jeunes meurent. J’ai fait le tour des hôpitaux avec votre soeur et j'y ai vu beaucoup de jeunes mourir; il y a parfois plus de jeunes que de personnes âgées qui meurent.

Mes chers enfants, cherchez à renaître; recommencez le chemin avec paix et sérénité, demandez pardon à ceux que vous avez fait souffrir, sachant que vous les avez fait souffrir. Tout deviendra plus facile et plus simple s’il s’agit d’amour véritable, d'une conversion véritable.

Priez pour vos être chers, mais faites célébrer avant tout des messes pour eux, parce que plus vous ferez célébrer de messes pour eux, plus ils graviront de marches.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Marisa - Oui, je me souviens de la lettre. Nous avons fait ce que tu as dit. Nous avons écrit aux grands hommes d’eglise, c’est ainsi que je les appelle et pas princes de l’Eglise car je n’aime pas l'expression princes de l’Eglise. Les grands hommes d’eglise possèdent l’argent, le pouvoir, tout. Nous leur avons écrit, comme tu nous l’as dit; c’est à toi maintenant de faire en sorte qu’ils reçoivent la lettre, la lisent et ne la détruisent pas. Demain, elle sera pour nous un document authentique. C’est une tentative de notre part pour sauver le Pape qui ne sait rien. Ils lui font dire ce qu’ils veulent, mais le Pape sait qu’il doit faire la volonté de Dieu.

La Madone - Marisella tu sais que certaines lettres ont été acceptées et d’autres déchirées.

Ceux qui ont déchiré cette lettre sont des francs-maçons et ceux qui l’ont conservée ont peur des puissants, des forts.

Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Allez en paix. Priez pour vos êtres chers et ne pensez pas à eux comme des défunts mais comme des vivants, parce que la mort est vie; souvenez-vous en.

Rome, le 6 novembre 2003 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Quand vous êtes ici présents, mon coeur tressaille de joie. Continuez à prier et à recevoir le Sacrement de l’Eucharistie tous les jours avec amour et simplicité. Accueillez Jésus et serrez le très fort dans votre coeur. De la même façon qu’un enfant se réjouit en embrassant sa maman, vous devez également, quand Jésus entre dans votre coeur, le serrer toujours très fort dans votre cœur et le remercier parce qu’il vous aime.

Je suis ici aujourd'hui parce que c’est le jour de la rencontre biblique. Je suis très heureuse de venir et d'être parmi vous, mais, croyez-moi, mon cœur souffre comme celui de mon Fils Jésus quand quelques âmes laissent à désirer. Avancez pas à pas, sans jamais reculer. Je remercie ceux qui aident mes deux chers enfants. Ils ont besoin de votre aide et la maman vous remercie de tout ce que vous faites. Votre amour doit être si grand pour vous amener à supporter tout et tous, à être patients, simples et honnêtes. Priez et soyez vigilants pour ne pas céder à la tentation; priez et travailler pour ne pas céder à la paresse, car c’est alors que le diable pénètre en vous et vous fait chuter. Priez comme Jésus vous l’a enseigné. Les messages de Dieu enseignent la prière et l’amour. Soyez reconnaissants envers Dieu. Apprenez aussi à dire merci, ne demandez pas seulement l’aide de Dieu mais dites aussi: "Merci, mon Dieu pour la journée écoulée. J’ai cherché à faire de mon mieux; accepte-moi comme je suis ". Dieu sera content de vous et de tous ceux qui aiment vraiment mon Fils Jésus.

Pendant ce mois dédié aux défunts, assistez toujours à la Sainte Messe pour vos êtres chers, faites que chaque fois que vous y participez, ils puissent faire un pas en avant vers le Paradis.

Marisa - Je savais que grand-père Agostino devait venir. Il y a grand-père Aladino, ils sont tous là.

Stefanucio est près de grand-père Agostino "comme tu es beau!". Grand-père Agostino, es-tu triste ?

Tu ne dois pas être triste.

La Madone - Marisella, comment peut-il ne pas être triste lorsqu’il voit la situation spirituelle de sa famille ?

Marisa - Dis-lui, petite Madone, que nous sur la Terre nous sommes faibles, nous sommes des êtres de chair et d'os qui chutent parfois et d’autres fois se relèvent. Fais-moi un sourire.

Grand-père Agostino - Je souffre pour mon fils, mon doux et cher fils.

Marisa - Tu as parlé, tu as parlé! Tu souffres pour lui?

La Madone - Oui, Marisella, il souffre pour les méchancetés qui sont faites à son fils, vous n'en connaissez que la moitié.

Marisa - Je ne veux pas en savoir davantage, cela suffit. Adieu, grand-père Agostino, adieu, très cher. Nous prierons pour que tu ailles rapidement au Paradis et de là tu pourras prier davantage pour Son Excellence.

Grand-père Agostino - Mon doux fils Evêque! Quelle grâce immense d'être ordonné Evêque par Dieu!

Marisa - Ne souffre pas, Don Claudio a tant d’autres personnes qui l’aiment.

Grand-père Agostino - Je te remercie parce qu tu as vécu la passion et que tu as souffert aussi pour mes êtres chers.

Marisa - Silence, je ne l’ai dit à personne.

Grand-père Agostino - Comment peux-tu cacher ces choses ? Penses-tu que mon fils n'en a pas eu connaissance?

Marisa - Mais comment se fait-il que tu parles? Tu ne vois pas encore la petite Madone.

Grand-père Agostino - Non je ne la vois pas, mais elle m’a dit de parler. Cela te déplaît?

Marisa - Oh non, j’en suis heureuse. Voici Emanuele, ton petit-fils.

La Madone - Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis vos êtres chers et vos objets sacrés. Tous vos chers défunts attendent vos prières. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Emanuele, veux-tu donner un baiser à la petite Madone?

Marisa - Adieu. Je te recommande la petite Sara, tu m’as dit que tu la protégeras toujours. Adieu.

Rome, le 9 novembre 2003 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Comme toujours, c’est une grande joie pour moi d'être parmi vous. Si vous avez suivi avec attention les catéchismes, vous avez compris que malheureusement, les souffrances ne manquent pas à mes deux chers enfants. Quelqu’un est attristé pour ne pas être monté voir les stigmates sanglants de votre soeur.

Je comprends que tous l’auraient aimé, mais il est difficile d'obtenir toujours ce que l’on désire. Le temps pressait et seuls les premiers arrivés ont pu monter. Vous ne devez pas vous arrêter à de telles choses, vous devez vous fixer sur l’amour envers Dieu, sur l’importance de recevoir mon Fils Jésus en état de grâce. Il y a des mois que je vous répète de recevoir mon Fils Jésus en état de grâce, pourtant certains ont reçu Jésus en état de péché mortel et commis ainsi un sacrilège. Il est inadmissible de commettre des sacrilèges dans ce lieu thaumaturgique, déclaré saint par Dieu. Quand moi, Mère de l’Eucharistie, j’ai lu le message de Dieu en son nom, une personne l’a accepté et a cherché à se réconcilier avec Dieu, d’autres se sont éloignées et ont continué à commettre des péchés et à l’offenser.Vous devez prier pour ceux qui se conduisent si mal. Faites que ceci ne vous arrive jamais. Si vous ne pouvez pas recevoir mon Fils Jésus, parce que vous n'êtes pas en état de grâce, confessez-vous immédiatement ou attendez pour recevoir la Sainte Communion; recevez en premier le sacrement de Pénitence, puis celui de l’Eucharistie.

Comme je vous l’ai dit plusieurs fois, quand vous recevez Jésus, serrez le étroitement dans votre coeur et parlez-lui, demandez-lui les grâces dont vous avez besoin. Ne regardez ni à gauche ni à droite. Ne regardez pas comment votre sœur est vêtue, coiffée, se déplace ou parle. Vous ne pouvez pas non plus vous imaginer quelles douleurs torturent son corps couvert de plaies, même si vous ne les voyez pas. Vous savez que les stigmates invisibles sont encore plus douloureux que ceux visibles. Priez pour elle, ne regardez pas si son vêtement est rouge, jaune, bleu ou si ses souliers lui sont assortis; laissez-la libre, tranquille, elle souffre tant et souffre aussi pour vous, vos enfants et vos êtres chers. Combien de fois lui demandez-vous: "Prie pour mon fils, ma fille, mon mari, ma mère, pour leur conversion, leur guérison". Elle le fait et vous regardez comment elle est habillée. Son directeur spirituel, l’Evêque, lui a dit: "Habille toi comme il te plaira. Celui qui regarde ces choses n’a rien compris".

Venez à l’Eglise pour prier les uns pour les autres, pas uniquement pour vous, car prier pour les autres a encore plus de valeur, car cette prière est faite par charité. Marisa prie pour l’Evêque, pour vous tous, pour les personnes qui se recommandent à ses prières; cela est charité, amour envers le prochain.

Aimez-vous, comme mon Fils Jésus vous a aimés et comme moi, la Mère de l’Eucharistie, je vous aime. Priez pour vos chers défunts. Vous allez au cimetière une fois, deux fois par semaine ou une fois par mois et c’est bien ainsi, mais l'âme n'est plus dans ce lieu. Il est mieux de prier pour les défunts, de faire célébrer la Sainte Messe pour eux. Je cherche à vous aider par tous les moyens et à vous faire comprendre combien l’amour envers le prochain et soi-même est important, parce que si vous vous aimez vous-mêmes, vous aimerez aussi les autres.

Courage, la Maman vous aime tous très fort, mais ce que je vous recommande et vous implore du fond du coeur c’est de ne pas commettre de sacrilèges. Si vous n'êtes pas en état de grâce, ne recevez pas mon Fils Jésus, mais courbez l'échine, demandez pardon et courrez vous confesser. Si vous ne voulez pas aller trouver votre Evêque, parce que vous avez honte, allez trouver d’autres prêtres. Rappelez-vous qu’il y a le secret de la confession et que l’Evêque est Jésus qui vous écoute et veut vous aider. Aimez mon Fils Jésus qui a tant souffert, continue à avoir soif d'âmes et répète: "j’ai soif, j’ai soif, j’ai soif ", mais les âmes ne lui donnent pas à boire. Il y a en tant et elles sont éparpillées dans le monde entier. Vous réussissez à aimer plus que les autres, mais vous devez donner encore plus. Je mets tout mon amour à vous aider, mais il y a toujours quelqu’un qui ne marche pas droit. Pourquoi ? Désormais comme dit votre évêque, vous êtes arrivés à l’université, quelqu’un l’a terminée et a obtenu le diplôme.

Courage, avancez, avancez toujours. Rappelez vous les paroles de Jésus, car vous oubliez souvent ce que Jésus et moi nous vous disons: "Apprenez à aimer, puis priez; apprenez à faire preuve de charité, puis priez". Si vous ne priez que pour prier et que l’amour n'est pas en vous, la prière ne sert à rien. Priez pour les autres, priez pour vos êtres chers, restez toujours unis à Jésus. Apprenez à aimer et puis priez et moi, la Maman, je serai toujours près de vous.

Merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Aide-nous tant que nous serons sur cette Terre.

Adieu à tous ceux qui sont au Paradis. Priez pour nous, nous avons tous besoin de prières.

Don Claudio, ils sont tous partis.

Rome, le 13 novembre 2003 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Un grand merci du fond du cœur pour l’aide que vous donnez en priant pour mes deux enfants. La vie sur cette planète Terre est dure et riche en souffrances. Les hommes continuent à détruire et tuer leurs semblables. Leurs frères ne les intéressent pas, ils ont moins de valeur que les animaux, car ils viennent parfois en aide aux animaux. Ils tuent les enfants, les mères et les pères. Priez et aidez votre sœur à supporter la longue et dure souffrance qui durera jusqu'à sa mort.

Je vous aime. Cherchez à tenir en ordre la petite chapelle et la grotte de la Mère de l’Eucharistie où se trouve la statue bénie par Dieu. Cela ne demande ni temps ni fatigue d' ouvrir la grotte et de la nettoyer. Faites que ne se reproduise plus ce qui est arrivé il y a quelques jours.

Je vous ai dit bien des fois que lorsque vous entrez dans l'église, si vous voyez une fleur fanée, ou une feuille qui pend, vous devez l’arracher sans attendre que votre Evêque vous fasse remarquer ce qui ne va pas, sinon vous l’obligez à vous traiter comme des enfants. Or vous êtes des adultes, des grands; vous pouvez donner et faire plus.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Emanuele, tu donnes un baiser à la petite Madone ?

Marisa - Adieu.

L'enfant ne peut pas toujours comprendre ce que tu dis.

La Madone - Mais je comprends, Marisa, ils ne sont pas comme les hommes.

Courage, ma fille, le but est proche, sois forte et courageuse. Quand tu es fatiguée, n’aie pas honte de le dire et repose toi. Tu le sais, tu ne seras heureuse qu’au Paradis.

Marisa - Adieu. Je t’envoie un baiser de la part d’emanuele, de Sara, Jacopo, Samuele et Maria Sole. Je me recommande à toi: mets le tout petit à côté de Nicolas. Merci, adieu.

Messages de Décembre 2003

Rome, le 8 décembre 2003 -10h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Jésus et l’Esprit Saint t’accompagnent, Marie Immaculée. La Mère de l’Eucharistie se tient auprès de l’immaculée Conception; elle est entourée des anges et des Saints.

Maman, cela fait longtemps que je ne t’ai pas recommandé de vive voix tous ceux qui ont besoin de ton aide: ceux qui désirent avoir un enfant, la guérison, la conversion, la conversion authentique pour laquelle notre Evêque travaille et souffre. Toi, O Marie, avec tous les anges et tous les saints qui t’entourent, intercède auprès de Dieu pour la conversion de tous ceux qui n'ont pas encore appris à aimer.

La Madone - Apprenez à aimer, puis priez. Rappelez-vous toujours cette phrase de Jésus. Sans amour, on ne peut rien faire, on n'est rien.

La Maman est heureuse d'être ici avec vous après si longtemps. J’aimerais être toujours avec vous, mais vous l’avez empêché. Une mère souffre quand elle n'est pas auprès de ses enfants. Dieu m’a permis de venir. Je suis ici avec vous et vous remercie de votre présence; je remercie surtout ceux qui, habitant loin, ont fait des sacrifices pour venir ici dans ce lieu thaumaturgique.

Je suis l’immaculée Conception, la Mère de l’Eucharistie. Moi, l’immaculée Conception, j'ouvre l'histoire; moi, la Mère de l’Eucharistie, je la clos. Quand vous priez, tournez vous vers Jésus en passant par la Mère de l’Eucharistie; allez à Jésus en passant par Marie.

Je désire tant que ce jour soit surtout un jour de conversion et d’amour pour tous: les petits et les grands. La simplicité, l'honnêteté et la sincérité vous aident à aimer. Tout est perdu si vous n’arrivez pas à l’amour. Il est temps que votre directeur spirituel ne doive plus constamment vous inciter à respecter vos engagements: vous êtes adultes. J’ai dit que vous fréquentiez l’université, certains l’ont même terminée. Quand vous préparez un diplôme, vous faites des sacrifices pour l’obtenir et trouver du travail. Pourquoi ne pas faire la même chose pour obtenir le diplôme spirituel? Pensez-vous qu’il soit difficile d’aimer ? Non. Si vous aimez, comme je vous l’ai dit d’autres fois, votre mari, votre mère et vos enfants, quel mérite avez-vous ? Il est facile de les aimer. Aimez ceux qui sont loin de vous, ceux qui ne vous sont pas sympathiques, ceux qui vous font souffrir. Vous devez apprendre à les aimer tous, comme mon fils Jésus les a tous aimés, même Judas qui l’a trahi.

Grand-mère Iolanda qui prie pour vous, pour toute la communauté, comme elle l’a toujours fait, m’accompagne; ses deux petits-enfants sont près d’elle. Elle a été une maman sainte, une sainte femme qui est maintenant heureuse au Paradis. Marisella, tu ne dois pas souffrir mais être heureuse car ta maman est sainte; vois comme elle est belle, lumineuse et rayonnante ?

Grand-mère Iolanda - Ma fille, fais comme le dit la Madone. Sois toujours bonne, approche toi de tous tes frères et continue à les aimer tous, comme je l’ai toujours fait.

Marisa - Maman, maman! Merci, maman, aide-moi, aide-moi, aide-moi.

Grand-mère Iolanda - Oui, c’est toi que j’aide en premier ainsi que son Excellence.

Marisa - Tu l’as toujours appelé ainsi: Son Excellence.

Grand-mère Iolanda - Ne faites pas souffrir l’Evêque. Je ne l’ai jamais fait souffrir; je l’ai toujours respecté et aimé. Moi maman et grand-mère, je dis à ma fille Marisella, mes autres enfants, petits enfants et arrière petits-enfants et à la petite qui va naître, que je prie toujours pour vous ainsi que pour toute la communauté. Adieu, Marisella.

La Madone - Es-tu heureuse, Marisella, du cadeau que je t’ai fait?

Marisa - Oh oui, beaucoup!

La Madone - Souviens-toi que tes souffrances dureront jusqu'à ta mort. Tu sais que je ne te rendrai heureuse qu’au Paradis.

Mes chers enfants, j’ai voulu faire parler grand-mère Iolanda, qui a été pour tous une femme très généreuse, une femme pieuse, égrenant continuellement son chapelet. Elle a beaucoup prié pour vous et continue à le faire. Dieu m’a autorisée à la faire parler. C’est un cadeau qu’il a voulu faire à Marisella. Priez-la pour qu’elle intercède toujours auprès de Jésus et de Marie.

Je vous adresse tous mes meilleurs vœux: bonne sainte fête, je vous aime, aimez-vous toujours.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je bénis ces statues qui me représentent et tous vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ

Marisa - Adieu, maman, aide-moi beaucoup. Adieu. Je te disais :"Adieu trésor" et tu me répondais: "Adieu, amour".

Elle était très belle. Ses deux petits-enfants étaient vêtus de la même façon. Ils portaient la tunique des diacres. Maman prie pour toute la communauté, mais surtout pour l’Evêque et ses enfants. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle parle.

Rome, le 24 décembre 2003 - 24h00 (Lettre de Dieu)

Marisa - Tu es venue finalement pour ceux qui t’aiment. Nous t’aimons tous en dépit de nos défauts. Tu as dit que personne n'est parfait; nous ne sommes pas parfaits mais nous cherchons par tous les moyens à te montrer notre amour. Nous sommes si heureux que tu sois venue pour nous tous. Merci, petite Madone, merci.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Dieu m’a finalement dit: "Va, Marie, va dans le lieu thaumaturgique, retourne chez mes enfants. Je veux espérer qu’ils comprennent cette fois combien il est important de venir dans ce lieu thaumaturgique et que toi, Marie, tu y ailles pour leur parler, les aider et les corriger ". C’est ce que Dieu m’a dit avec tout l’amour qu’un père peut avoir pour ses enfants. Je suis venue de bon coeur, j’attendais anxieusement ce moment; c’est un beau jour et je ne pouvais pas ne pas venir.

Mes chers enfants, je vous recommande d’accepter avec tout votre amour les reproches qui vous sont faits; cela n’amuse pas la Maman de vous faire des reproches. Je le fais parce que je vous aime d'un amour immense. Courage, faites que cette nuit soit le commencement de la renaissance de la vie spirituelle. Aimez Jésus.

Marisa - Maman, maman! Viens plus souvent me rendre visite, aide-moi à supporter toutes ces souffrances: Bonjour, Nicolas, Bonjour, Simon Pietro.

Grand-mère Iolanda - Courage, ma fille. Dieu m’a dit de rester près de toi et de t’aider. Je suis si heureuse, je suis avec Nicolas et Simon Pietro. Mon baiser de maman est pour tous: les enfants, petits-enfants, arrière petits-enfants et pour toute la communauté, que j’ai tant aimée et pour laquelle j’ai souvent prié. J’ai prié pour les malades, vos soucis, la petite Elise et tous les enfants gravement malades. Emanuele, donne un baiser à la petite Madone et à la grand-mère.

Marisa - Merci. Remerciez Dieu de son grand bienfait.

Peux-tu faire que j’aille un peu mieux pour ne pas être un tel fardeau pour les autres ?

La Madone - Mes chers enfants ici présents, acceptez les reproches de votre petite Madone. Je vous aime tant et je vous aimerai toujours.

j’espère que vous avez ressenti mon absence, je suis heureuse d'être avec vous.

Je porte le petit Jésus qui désire que vous soyez toujours heureux, que ce soit toujours Noël pour vous, pas seulement cette nuit et demain, mais chaque jour. Ceux qui aiment Jésus et la Mère de l’Eucharistie doivent toujours faire preuve de joie, d’amour et de pardon envers tous.

(La Madone passe l’Enfant Jésus à Marisa)

Marisa - Hello, petit. J’ai les mains bandées à cause des stigmates. Tiens le bien, Saint Joseph, ne le laisse pas tomber, il est si petit.

Puis-je encore saluer ma maman ? Adieu, maman, adieu. Aide-moi, reste près de moi. Ils m'ont donné ta chambre comme bureau pour que je sois toujours avec toi, viens m’aider.

Adieu, Simon Pietro, adieu, Nicolas.

La Madone - Adieu, mes chers enfants, je veux que vous soyez des soldats du Christ, forts, généreux, pleins d’amour, de charité et de pardon les uns envers les autres. Je vous en prie, aimez-vous, aimez-vous comme Dieu vous aime. Dieu m’a dit de venir parmi vous: ceci est de l’amour.

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et ceux qui n'ont pu venir pour des motifs familiaux ou pour d’autres raisons. Je bénis vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Merci, mes chers enfants de bien conduire envers tous et de vous aimer les uns les autres. Soyez tous frères et soeurs, réconfortés par l’amour de Jésus et de Marie. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Je te demande de ne plus me faire attendre encore une fois.

J’ai vu maman!

Rome, le 25 décembre 2003 - 10h45 (Lettre de Dieu)

Naissance du Seigneur

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Dans beaucoup de familles malheureusement, Noël est une fête uniquement matérielle. L’aspect spirituel dont je vous ai parlé cette nuit est oublié. L’amour, la générosité, la charité, la simplicité et l'humilité font défaut. Je ne suis pas venue aujourd'hui pour vous donner un message, parce que je vous l’ai déjà donné cette nuit, mais pour vous souhaiter un joyeux Noël et vous adresser tous mes meilleurs voeux.

Si la santé vient à vous manquer, cela ne dépend pas de Dieu, Dieu désire uniquement votre amour envers tous. Je suis venue aujourd'hui pour vous transmettre mes voeux en compagnie de la chère grand-mère Iolanda, de ses petits-enfants Nicolas et Simon Pietro et de toutes les âmes sauvées de vos proches. s’il y a tant d'âmes sauvées, cela veut dire que la communauté a fonctionné malgré tout. Il y a avec moi, Fatina, Stefanuccio, grands-pères Agostino et Aladino, grands-mères Speranza et Carmela, les soeurs de grand-mère Iolanda, Ottavio, tante Lucia et beaucoup d’autres âmes sauvées.

Marisa - Comment faire pour reconnaître toutes ces personnes ? Certaines sont saintes parce qu’elles portent des vêtement spéciaux, tandis que d’autres sont des âmes sauvées parce qu’elles sont vêtues normalement. Tu nous a fait une grande joie: nos êtres chers sont sauvés et certains sont au Paradis.

Merci, merci pour tout l’amour que Dieu nous donne. Tu nous aimes malgré nos imperfections, nos péchés, comme le petit Jésus, Dieu le Père et Dieu le Saint Esprit nous aiment.

La Madone - Mes chers enfants, tous nos voeux de sainteté à tous, à ceux qui ne croient pas et à ceux qui croient. Tous nos vœux de sainteté également à ceux qui calomnient et diffament leurs propres parents. Je peux comprendre qu’un ennemi, un ami d’autrefois parle mal de quelqu’un, mais je ne parviens pas à comprendre que des mères, des soeurs et des neveux disent du mal de leurs proches; ceci est très grave. La jalousie les consume et les fait parler. Pensez-vous qu'être jaloux est une chose bête ? Non, c’est une chose très grave qui ne vous fait pas avancer. Priez pour ceux qui vous calomnient.

Merci, merci avant tout de votre présence; quelques uns d’entre vous sont même déjà venus cette nuit. Vous avez prié, continuez à prier. Petite communauté, aimez-vous, aimez-vous, aimez-vous toujours. Vous avez un évêque saint, un évêque qui en dépit de la maladie, est ici parmi vous pour vous enseigner la Parole de Dieu. Votre Evêque vous a tout donné, vous a toujours pardonné, vous a toujours corrigés: vous avez un Evêque saint. Si les autres églises avaient un évêque comme le vôtre, les choses iraient beaucoup mieux.

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les petits enfants. Je vous serre tous sur mon cœur avec l’Enfant-Jésus et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, maman, adieu à tous.

Rome, le 28 décembre 2003 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Sainte Famille

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Comme vous le savez bien, c’est aujourd'hui la fête de la Sainte Famille, c’est la fête de votre famille et de toutes les familles du monde; en disant famille, j’entends également les communautés et les institutions religieuses. Faire partie d'une famille veut dire en aimer tous ses membres, même dans la souffrance et les épreuves, aimer ceux qui vous font souffrir, ceux qui abusent de votre bonté et pardonner, surtout pardonner.

Joseph, Marie et l’Enfant-Jésus ont vécu tranquilles et sereins parce qu’ils aimaient, priaient et faisaient du bien à tous ceux qui leur étaient proches, ainsi qu’aux jeunes qui étaient avec Jésus. Ceux-ci venaient prier et demander à Jésus de leur expliquer la Parole de Dieu. Jésus parlait et se réjouissait de tout ce qu’il disait à ces jeunes qui ne savaient rien et se convertissaient ensuite. Vous êtes les plus chanceux de tous. Votre Evêque a dit tant de belles paroles en vous expliquant le Saint Evangile et les Epîtres de Saint Paul. Une seule explication suffit pour parvenir à la conversion. Certains disent que la conversion est difficile. Non, pour se convertir il suffit de faire la volonté de Dieu. Vous n’avez pas rencontré de grandes souffrances. La vraie douleur est celle qu’ont souffert Jésus sur la croix et les Saints qui ont reçu les stigmates de Jésus. Ne vous fâchez pas pour des bêtises et priez les uns pour les autres.

Marisa - Petite Madone, je désire te recommander des enfants malades qui ont besoin de ton aide, ainsi que tous ceux qui sont à l'hôpital et ceux qui sont seuls en ces jours de fête.

Ils n'ont pas de parents, personne, mais si tu veux, tu peux leur tenir compagnie.

La Madone - Mes chers enfants, imitez la Sainte Famille et aidez-vous les uns les autres, priez les uns pour les autres, aimez-vous comme mon Fils Jésus a aimé tous les hommes de la Terre, depuis sa naissance jusqu'à sa mort sur la croix.

Merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, vos enfants et petits-enfants; je bénis vos objets sacrés. Je vous serre tous sur m on cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Marisa - Maman, maman, tu es toujours plus belle! Quelle joie de te voir avec les deux petits-enfants à côté de toi. Petite Madone, la maman ne parle pas ?

La Madone - Dieu ne l’a pas permis aujourd'hui. Mais elle parlera de nouveau, ne te fais pas de soucis à ce sujet. Regarde la joie de ta maman qui a vécu dans la sérénité, la bonté et la générosité.

Marisa - Adieu, maman, je t’envoie un baiser, puis quand Dieu te dira de parler, tu parleras, comme tu l’as fait la nuit de Noël et pour la fête de l’immaculée Conception. Adieu.

La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, amour, adieu, trésor.

Elle est partie. Maman était là aussi, mais elle n’a pas parlé.

L’Evêque - Elle parlera une autre fois.

Messages de Janvier 2004

Rome, le 1er janvier 2004 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus-Christ, mes chers enfants. Faites que cette année soit une année remplie de joie, d’amour et de pardon.

Vous avez commis des fautes, de graves péchés et des moins graves au cours de l’année passée, mais comme je vous l’ai déjà dit, mettez tout dans les mains du Seigneur. L’année est maintenant écoulée et ceux qui ont fait une bonne confession ne doivent plus penser à ces péchés. Aujourd'hui, premier jour de l’année, recommencez à prier. Souvenez-vous que prier ne signifie pas seulement rester dans une église pendant des heures, mais que vous priez également lorsque vous faites le ménage, voyagez, étudiez, aidez quelqu’un: tout est prière. Prier ne veut pas dire réciter des rosaires et des rosaires sans fin, mais offrir sa journée à Dieu et dire: "Mon Dieu, aujourd'hui je veux faire tout pour toi et le salut des hommes. Je veux faire ta volonté. Pardonne-moi si parfois je chute, car je suis fragile, je suis faible mais avec ton aide je peux tout faire". Pensez simplement que Dieu ne m'envoie pas là où il y a foule, mais ici auprès de vous qui n'êtes qu’un petit groupe, un tout petit troupeau, une toute petite communauté, mais grande aux yeux de Dieu quand tout va bien. Demandez-vous: "Pourquoi Dieu envoie-t-il sa mère ici chez nous? Parce qu’il nous aime tant ? Pourquoi n'envoie-t-il pas sa maman en d’autres endroits là où il y a des milliers et des milliers de gens ?".

Lorsque l’Enfant-Jésus est né, il n'y avait personne auprès de nous. Nous étions seuls, puis les bergers vinrent et finalement les rois-mages. Oui, Dieu, le Messie était là. L'histoire se répète aujourd'hui: Dieu ne m'envoie pas là où il y a beaucoup de monde, mais ici chez vous. L’amour de Dieu est le plus grand, ne l’offensez pas. Essayez d’aimer Dieu, de faire sa volonté, de vous aimer et de vous aider les uns les autres.

C’est aujourd'hui la fête de la Mère de Dieu. C’est une grande fête, mais où est mon troupeau? Quelques absents ont des excuses, d’autres non. Mes chers enfants, les fêtes spirituelles sont belles, mais les fêtes matérielles entraînent de très grandes dépenses. Les hommes pensent seulement à manger et à boire, dorment très peu, puis vont le matin à la messe ou le midi parce qu’ils sont fatigués d’avoir mangé, bu et joué. Que donnent-t-ils à Dieu ? des miettes! Vous êtes ici et vous avez fait des sacrifices pour vous lever et venir dans le lieu thaumaturgique. Continuez à faire des sacrifices pour Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit et le bien de votre communauté. Grand-mère Iolanda avait l'habitude de dire: "Je prie beaucoup pour ma communauté"; la pauvre n'était presque jamais au milieu de la communauté, mais elle priait beaucoup et vous le saviez. Quelqu’un a même reçu des grâces par ses prières.

Grand-mère Iolanda a passé les dernières années de sa vie alitée, toujours seule dans une pièce, mais elle a fait du bien à tous, dans le silence et l’isolement. Vous également, avec vos petits moyens, vous pouvez également faire du bien. Il n'est pas besoin de faire de grandes choses. Le bon chrétien se reconnaît aux petites choses qu’il fait.

Apportez ce message aux absents, mais avant de leur apporter il doit être revu par votre évêque.

Votre maman, escortée des anges, des saints et des âmes sauvées vous donne sa bénédiction. Mes voeux avant tout de sainteté s’adressent à tous, à vos êtres chers, à vos amis et aux personnes que vous rencontrez.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis ainsi que vos chers parents et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus-Christ.

Marisa - Au revoir Maman, au revoir Nicolas; au revoir Simon Pierre.

Continuez à nous aider tous. Au revoir.

Rome, le 3 janvier 2004 -18h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je sais que tu étais déjà là, pardonne-nous d'être en retard, mais pour nous humains, il n'est pas facile d'être ponctuel. Toi avec toute ta patience, tu nous attendais.

La Madone - Oui, j’attendais depuis quelque temps. Marisella, après bien des mois, c’est la première fois que tu descends le premier samedi du mois et cela me fait plaisir ainsi qu'à mon époux bien-aimé et au petit Jésus.

Regarde, ta maman, Nicolas et Simon Pierre sont là.

Marisa - Ma chère petite Madone, j’aimerais te confier toutes les personnes malades, même si je ne te le demande pas, tu sais que je désire te les confier, en particulier les petits enfants: Rossana, Maria et Francesco. Je ne mentionne pas d’autres noms, mais j’ai une longue liste d’enfants, de jeunes et d’adultes malades. Je te recommande bien sûr Selenia et je profite de l’occasion pour remercier tous ceux qui ont prié pour elle. Selenia à son tour adresse ses voeux à tous et t’envoie également tous ses voeux, petite Madone.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence ici. Je ne vois toujours pas tous ceux qui sont venus ici et y ont reçu des grâces, spirituelles ou physiques. Grand-mère Iolanda a dit un jour à sa fille: "Je prie toujours la petite Madone qu’elle me donne toutes tes souffrances mais elle ne m'écoute pas" et toi, Marisella, tu priais pour que je te donne toutes ses souffrances. Grand-mère Iolanda a beaucoup souffert, mais elle est heureuse maintenant, joyeuse, rayonnante et très belle. Mes chers enfants, le vrai bonheur ne se trouve qu’au Paradis. Le bonheur sur terre est de recevoir Jésus en état de grâce.

Veillez à observer le 6ème commandement et tous les enseignements de l’Eglise. Lorsque l'évêque vous donne des explications, mettez-les en pratique, car Jésus parle à travers lui. Si vous apprenez à l'écouter et à mettre en pratique ce qu’il vous dit, vous écouterez et mettrez en pratique ce que Jésus dit, car Dieu parle à travers lui, de même que Dieu parle maintenant à travers moi. C’est Dieu qui m’a dit de descendre sur terre. C’est Dieu à nouveau qui m’a donné l’ordre de venir quand je veux. Je viendrai souvent. Je viendrai le jeudi, le dimanche et les jours de fête. Je viendrai dans le seul but d'être avec vous, d'être en votre compagnie car les messages de Dieu sont maintenant terminés et quand cela s’avèrera nécessaire je vous adresserai des reproches maternels. Dieu vous fait des reproches quand vous fautez. Il vous a dit de respecter les commandements, d’aimer votre prochain, de prier, de pardonner et d'être charitables; ce sont les engagements les plus importants que chacun de vous doit respecter. Il ne sert à rien d'être uniquement charitable envers ses amis et ses parents, il faut l'être envers tous. Il est certainement difficile d’aimer certains hommes, mais essayez au moins de leur pardonner.

Aimez-vous, aimez-vous les uns les autres, comme grand-mère Iolanda l’a fait.

Marisa - Ne laisses-tu pas parler ma maman ?

La Madone - Marisella, elle parlera si Dieu le veut.

Marisa - Au revoir, trésor.

La Madone - Mes chers enfants, je vous remercie sincèrement de votre présence. Je vous remercie avant tout de bien vouloir mettre en pratique ce que Dieu a dit, ce que votre évêque a dit, alors seulement l’Eglise retrouvera sa splendeur, sera sans taches et sans rides.

Je n’ai pas l’intention de vous cacher que les souffrances de votre soeur sont vraiment très grandes. Priez pour qu’elle ait la force de les supporter totalement. Je vous ai déjà dit qu’elle vivait la passion 24 heures par jour. Que votre charité à son égard consiste à prier pour elle pour qu’elle ait la force de tout supporter. Priez pour les autres, ne priez pas uniquement pour vous.

Marisa - Je désire te confier aussi Maria Marcelletti. Tu es maman. Elle est mère, je t’en supplie, aide-la. Je désire te confier à nouveau tous les malades.

La Madone - Marisella, les prends-tu tous sur toi ?

Marisa - Oui, oui, oui. Je prends tous les malades, même ceux malades spirituellement.

La Madone - Merci, je n’ai jamais trouvé d'âme aussi généreuse. L'évêque est auprès de Marisa et il l’aide.

Mes chers enfants, je vous adresse à nouveau tous mes meilleurs voeux pour la nouvelle année, même si elle ne se présente pas si bien car il y aura encore beaucoup de souffrances.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus-Christ.

Marisa - Au revoir, petit Madone, au revoir Maman.

Elle est partie.

Rome, le 4 Janvier 2004 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus-Christ. j’espère que vous avez remercié Dieu du don qu’il continue à vous faire en me permettant de venir au milieu de vous le jeudi et les jours de fête. Lorsque je vous l’ai annoncé hier soir, vous n’avez pas montré beaucoup d’enthousiasme extérieur, mais peut-être que vous vous êtes réjouis intérieurement et que vous avez remercié Dieu de ce grand don.

Que peut dire une maman à ceux de ses enfants qui sont toujours présents ici pour prier la petite Madone, aujourd'hui avec le froid, demain avec la chaleur ? Que puis-je leur dire ? Je viens au milieu de vous pour vous tenir compagnie, pour vous aider dans vos problèmes, pour vous apprendre à aimer. Aimer tout le monde est parfois difficile, mais vous devez au moins pardonner. Aimez les enfants, les adultes et les personnes âgées.

Je te regarde, Emanuele, la Maman t’aime bien comme elle aime tous les enfants qui sont les perles de Jésus et de la Madone. Un jour demain quand ces enfants auront grandi, ils seront à leur tour mères et pères et puis également grands-parents. Je suis seulement la Maman de tous, mais il y a ici grand-mère Iolanda qui est la grand-mère de tous les enfants du paradis. Elle prie beaucoup pour son Excellence, ses enfants, petits-enfants, arrières petits enfants et pour vous tous. Elle prie en permanence, donne gloire à Dieu et apprend aux enfants à prier. Oh, vous ne pouvez pas vous imaginer comme le Paradis est beau et comme grande est la joie, la gloire, l’amour pour Dieu et pour toutes ces personnes au Ciel. Je le répète encore une fois, je désire vous conduire tous au ciel.

Comme je le disais hier soir et comme Marisa m'en avait parlé avant, il n'y a pas d'âge pour mourir: même les jeunes peuvent mourir. Ce qui importe c’est de mourir en état de grâce et d’aller au ciel pour jouir de Dieu à jamais.

Vous ne pouvez pas vous imaginer ce qu’est le ciel, mais également pas ce qu’est l'enfer.

Il n'y a pas de feu en enfer comme tant de personnes, ainsi que Dante l’ont raconté. En enfer il y a des âmes damnées remplies de haine parce qu’elles savent qu’elles ne verront, ne jouirons jamais de Dieu et n'iront jamais au ciel.

Je désire que vous alliez tous au Ciel, vers Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit, la Mère de l’Eucharistie et les âmes sauvées. Pas à pas les âmes sauvées arrivent également au ciel, mais vous devez prier pour vos chers défunts.

Merci de votre présence.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis les deux petites statues. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Je vous en implore: aimez-vous les uns les autres!

Marisa - Au revoir.

Rome, le 6 janvier 2004, 10h45 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus-Christ, mes chers enfants. Les rois-mages sont venus à la grotte; bien que riches, ils sont venus sans faire de bruit. Les bergers arrivèrent en premier, puis les rois mages et rendirent hommage au Messie. Peu de gens allèrent à la grotte de Bethléem, bien que Dieu y ait été présent. Vous êtes plus fortunés parce que plus nombreux. Vous devez atteindre l’autel, le tabernacle, l’Eucharistie.

C’est une grande fête aujourd'hui, l’une des plus grandes. Les bergers, les rois-mages et les anges sont devant Dieu: personne d’autre. Ce sont tous des hommes purs, bons, sincères et généreux: c’est ce que je vous demande d'être, le plus souvent. Il n'est pas difficile d'être bon, loyal, généreux et pur, croyez moi. Ne laissez aucune ouverture aussi petite soit-elle à Satan, sinon tout sera plus difficile et vous chuterez, chuterez, chuterez. Ne le laissez pas entrer dans votre âme et si vous commettez des péchés mortels, confessez les immédiatement. Si vous commettez des péchés véniels, il suffit de dire un acte de contrition avant d’approcher l’Eucharistie. Recevez toujours la communion en état de grâce. Je vous adresse tous mes meilleurs voeux de sainteté, de simplicité, d'honnêteté, de bonté et de générosité et vous souhaite de vivre comme ont vécu les bergers et les rois-mages. Ces derniers bien qu’importants, étaient simples, humbles et bons. Dieu vous demande d'être humbles, simples, bons et capables d’aimer avec joie tous les hommes sur la terre.

Vos parents défunts et les âmes du Paradis sont près de moi. Tu les vois Marisa, c’est pourquoi je ne rappellerai pas chaque fois le nom de ceux qui sont présents.

Le coup de lance a été si violent cette fois qu’il a déchiré ton coeur. Tu as souffert pour les âmes, pour l’Eglise, pour la conversion de tous les hommes, pour ta communauté comme grand-mère Iolanda dit toujours. Le coup de lance t’a traversé de part en part et a blessé ton coeur, mais personne ne l’a compris. Votre soeur est parfois en retard parce qu’il lui arrive toujours quelque chose et elle a besoin de plus de temps pour se préparer pour l’apparition et le temps s’allonge.

Vous devez célébrer l’octave de l’Epiphanie: huit jours encore puis la vie reprendra son cours normal, mais comme je vous l’ai déjà dit à plusieurs reprises, vous devez faire en sorte que chaque jour soit Noël, l’Epiphanie. Ne négligez rien, aimez toujours Dieu et les hommes.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Je ne vais pas te passer le bébé, Marisella, car tu souffres de partout.

Marisa - C’est bien, je n’ai rien dit, mais j'y pensais.

La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus-Christ.

Marisa - Au revoir.

Veille à ce que cette année soit une année de paix, je ne dirai pas sans souffrances, mais une année qui voit tous les hommes jouir de la paix sur terre. Pardonnons à ceux qui se conduisent mal, qui font partie des francs-maçons et essayent de nous blesser chaque jour.

La Madone - Merci de ta compréhension.

Marisa - Au revoir.

Elle est partie.

Rome, le 11 janvier 2004 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - J’ai compris ce que tu m’as dit. J’aimerais te recommander tous les malades. Pendant le Magnificat alors que tu me parlais, je voulais te recommander tous les hommes malades spirituellement et physiquement, il y en a beaucoup dans et hors de notre communauté.

La Madone - Merci de votre présence, mes chers enfants. Vous êtes fort peu nombreux et humainement parlant je me demande: "Pourquoi vais-je dans le lieu thaumaturgique ? Pourquoi est-ce que je ne reste pas au ciel avec mon Dieu, Jésus, les anges et les saints ? Pourquoi dois-je descendre au milieu d'un petit troupeau ?". C’est ce que dit la nature humaine, car vous savez que lorsque je suis sur terre, je suis une personne comme vous et ces pensées me viennent. Alors je me dis: "Marie, tu dois aller dans le lieu thaumaturgique même si seuls l'évêque et la voyante sont présents".

Marisa - Tu viens nous voir deux fois par jour, parfois même plusieurs fois par jour.

La Madone - Mes chers enfants, en dépit de tout j’ai le désir de rester avec vous. Ne pensez pas que cette longue période d’absence ait été facile pour moi, je désirais tant être avec vous. Comment avez-vous ressenti mon absence ? Certains l’ont ressentie, d’autre pas. Vous ne pouvez pas comprendre l’importance de ma venue parmi vous. Je viens seulement dans ce lieu thaumaturgique et si je n'y venais plus, ma mission serait terminée.

Marisa - Mais que dis-tu ? Tu es maintenant au ciel avec Dieu et tu jouis avec les anges et les saints. Ma mission elle ne s’achève pas!

La Madone - Tu as raison, ma fille, ta mission est dure et douloureuse.

Marisa - Parle de moi quand nous sommes seules parce que tu me fais honte. J’ai honte également des stigmates. Combien de fois t’ai-je dit que je les accepte tant qu’ils sont invisibles. Il n'est pas nécessaire que d’autres les voient.

La Madone - Regarde, que te fais-je voir maintenant.

Marisa - Le baptême de Jésus! Que c’est beau!

La Madone - Les personnes qui entouraient Jésus, n'ont pas entendu Dieu le Père, ni vu le Saint Esprit. Le temps passa avant qu’ils ne croient.

Marisa - Mes frères sont bons parce qu’ils croient même sans voir. Ils croient à ta venue dans ce lieu thaumaturgique. Les apparitions ont pris fin dans d’autres lieux, mais tu continues à venir ici pour nous, petite créature. Ceci veut dire que l’amour de Dieu et le tien sont si grands qu’ils dépassent tout. Nous attendons toujours le grand jour, mais j’aimerais te dire mon souci: avec tous ces francs-maçons qui occupent de plus en plus de postes importants que va-t-il advenir de l’Eglise ? Je suis prête à souffrir, mais parfois je me demande: "Pourquoi dois-je souffrir, moi une pauvre créature ignorante ? Pourquoi ne prends-tu pas un prêtre et ne le fais-tu pas souffrir à ma place ?". Je suis un peu fatiguée et c’est ma nature humaine qui parle maintenant. Je suis très humaine.

La Madone - Ma fille, l’Eglise se sauvera justement par tes souffrances.

Marisa - Oui, mais quand quitterai-je ce monde ?

La Madone - Dieu promet et tient ses promesses, mais les temps de Dieu ne sont pas les vôtres.

Marisa - Nous sommes fatigués d’attendre.

La Madone - Mes chers enfants, priez, aimez et pardonnez. Merci de l’adoration du Saint Sacrement; faites le souvent en fonction de votre temps et de votre travail. N'oubliez pas l’adoration du Saint Sacrement en raison d’autres engagements.

Marisa - Petite Madone, j’aimerais peindre, dessiner mais je n’arrive à faire que des taches d’encre. En résumé je ne suis bonne à rien. La seule chose que j'étais capable de faire était de chanter, mais maintenant je ne le peux plus également. Dieu m’a tout pris, mais je ne sais pas ce qu’il en fera.

La Madone - J’aime comme tu parles aujourd'hui, j’aimerais que tu parles toujours comme ça.

Marisa - Aussi bêtement ?

La Madone - Apportez votre soutien à cette mission, mes chers enfants, aidez mes deux enfants à la faire avancer avec sérénité, parce qu’elle est très, très difficile. Autour d’eux il n'y a que des francs-maçons, des francs-maçons et encore des francs-maçons: je parle des prêtres, des hommes d’eglise. C’est pourquoi je vous demande de prier, d’aimer, de faire des adorations du Saint Sacrement. N'omettez pas de recevoir la Sainte Communion à moins d’avoir péché. Continuez d’avancer avec sérénité. Le groupe est réduit à cause des fêtes et du froid, même si maintenant votre basilique est chauffée. Vous trouvez quelquefois des excuses pour éviter de venir et vous n’avez pas compris que je ne viens sur terre que dans ce lieu thaumaturgique. Priez, priez mon fils Jésus de tout votre coeur.

Mes chers enfants, merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis les malades, ceux qui doivent subir une opération, les enfants et toutes les mamans qui attendent un bébé. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisella, tu vois encore le baptême de Jésus, Loué soit Jésus-Christ, mes chers enfants.

Marisa - Adieu. J’ai tout vu, merci.

Tu ne donnes pas de baiser à l'évêque ? Lui donneras-tu lorsqu’il sera seul ? Mais alors …

La Madone - Marisella, sois sage.

Marisa - O.K., je ne dis plus rien.

Rome, le 15 janvier 2004 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Aujourd'hui un miracle très important a été accompli: le sang divin s'étendait sur le sang humain. Vous vous demanderez, pourquoi un tel miracle ! C’est que nous essayons par tous les moyens de convertir les hommes de toutes les nations et de toutes les races. Les pays et l’Eglise ont besoin de cette conversion. Vous vous demanderez également: "Pourquoi justement cette créature doit-elle souffrir pour tout le monde ?". Dieu l’a aimée depuis qu’elle était dans le ventre de sa mère. Il l’a choisie et faite sienne. Quand une personne est à Dieu, elle lui appartient entièrement. Elle est entièrement sienne et n’appartient à aucun autre sur terre; elle doit uniquement obéir à son directeur spirituel. Les souffrances qu’elle éprouve jour et nuit, elle les offre pour la conversion de tous les hommes sur terre, pour la conversion de tous ceux qui se croient eux-mêmes grands et puissants et pour votre résurrection.

Il est parfois difficile de comprendre ce que Dieu veut, mais Marisella a accepté toute petite d'être toute à Dieu et pour cette raison elle continue sa mission. Elle peut pleurer parfois, dire parfois: "Mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonnée ?", se lamenter parfois, mais elle redit toujours ensuite son oui et toujours d'une manière plus généreuse. J’aimerais beaucoup que vous appreniez de cette pauvre créature ce que signifie souffrir pour les autres, pour les malades, pour la conversion des pécheurs, les prisonniers et pour beaucoup d’autres personnes qui ont besoin d’aide. Elle peut le faire avec Dieu, parce que Dieu la guide et la soutient. Vous priez souvent les saints, grand-mère Iolanda pour obtenir des grâces, mais n'oubliez jamais que Dieu seul accorde les grâces et accomplit les miracles. Les personnes que j’ai nommées peuvent intercéder auprès de Dieu, mais c’est lui qui agit, c’est Dieu qui fait tout. Dieu ne veut pas tout détruire car ce serait reconnaître sa défaite et c’est impossible. Si Dieu le voulait, il pourrait faire tout immédiatement, mais il ne le veut pas parce qu’il vous aime, parce que vous êtes ses enfants et il vous aime d'un amour immense, même ceux qui le font souffrir, même ceux qui n’aiment pas l’Eucharistie ou ne connaissent pas l’Eucharistie et ne savent pas ce que signifie pécher contre l’Eucharistie.

Dieu a dit: "Je désire accomplir ce nouveau miracle Eucharistique pour mes enfants ". Vous ne pouvez pas le voir, parce que votre sœur ne peut descendre et vous ne pouvez monter parce que cela ferait trop tard naturellement, mais vous le verrez quand l'évêque le voudra. Courage, mes chers enfants, même si vous n'êtes pas nombreux, répondez à l’appel de Dieu et je serai toujours avec vous.

Marisa - Je désire te recommander Rossana, Maria Marcelletti et bien d’autres malades qui attendent ton aide, mais que la volonté de Dieu soit toujours faite.

La Madone - Mes chers enfants, la Maman vous laisse en bonne compagnie, en compagnie de Jésus-Eucharistie. Quand vous recevez la Sainte Communion, en état de grâce, parlez à votre Jésus qui est en vous. Il vous demande votre aide et vous aime tant, comme je vous aime et comme l'évêque vous aime.

Aujourd'hui encore, le sang a coulé des stigmates de votre soeur, la fièvre a atteint 41°; une fois même le thermomètre s'est brisé. Mais ceci ne préoccupe pas votre sœur, car Dieu lui donne la force d’accepter, de tout supporter. Je vous dis également: courage, ne vous laissez pas aller, invoquez Dieu, invoquez la Mère de l’Eucharistie, invoquez ceux qui sont partis au ciel comme dit le petit Emanuele: "Grand-mère Iolanda est au ciel avec Dieu"; si un enfant peut le dire pourquoi pas vous ?

Je vous remercie de votre présence et prie pour vous avec Marisella. Nous prions beaucoup pour vous et vous ne le remarquez pas. Nos prières sont adressées à Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit; nos chants sont adressés à Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Aimez-vous, aimez-vous toujours.

Je sais que demain il y aura une réunion des adultes et je vous recommande: sincérité, franchise, simplicité et beaucoup d’amour pour tous.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés, Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus-Christ.

Veux-tu donner un petit baiser à la petite Madone, Emanuele?

Marisa - Nicolas et Simon Pierre sont très beaux. Merci, merci pour tout. Adieu, attends, que devons-nous faire ?

La Madone - L'évêque, ton directeur spirituel décidera de ce qu’il faut faire.

Marisa - Quand la tâche est difficile, tu laisses toujours la décision à l'évêque.

O.K. Au revoir.

Messages de Février 2004

Rome, le 15 février 2004 -10h45 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Bienvenue à tous ! C’est une grande joie d'être parmi vous et d’avoir tous ces enfants autour de soi, en particulier la petite Mariasole (Mariesoleil). Méditez cette parole: Marie, la Madone; Soleil, l’Eucharistie. Mariasole a été prise et élevée vers moi pour que je la bénisse devant ses parents, les anges, les saints et toutes les personnes.

Marisa - Elle est petite, tu sais? regarde la. Regarde aussi ses parents, ses proches et amis. Une petite fleur, es-tu contente ? Bénis nous tous. Lui as-tu donné un baiser ?

La Madone - Mes chers enfants, c’est pour moi une grande joie de voir cette petite fleur après tant de souffrances. Sara, tu chanteras après. C’est une fleur magnifique qui a été élevée et que Dieu a bénie en personne. Les anges, les saints, la grand-mère, le petit frère et le cousin ont tous béni et embrassé la petite Mariasole, une autre fleur de cette serre. Maintenant, nous avons maintenant Jacopo, Samuele, Emanuele, Sara et Mariasole.

Marisa - Son nom est encore plus doux quand tu le prononces. L’oncle se moque un peu d’elle.

La Madone - Pensez aux paroles que je vous ai dites: Mariasole, la Lune et le Soleil; la Lune est Marie, la Madone, le Soleil est l’Eucharistie.

j’espère que lorsque mes deux petits enfants ont été absents, vous avez prié et l’avez fait du fond du cœur, que vous avez récité des prières de paix, de pardon et prié pour tous ceux qui souffrent. Ces jours là, j'étais avec mes petits enfants et je leur ai donné des directives; j’espère qu’ils réussiront à s'y tenir. J’aimerais vous faire une recommandation, puis conclure parce que les bambins risquent de se lasser; après Jésus, Marie et Saint Joseph, mettez l’Evêque à la première place. Rappelez-vous que la voyante ne vaut que ce quart d'heure où nous sommes présents, mais que lui est l’Evêque ordonné par Dieu, l’Evêque de l’Eucharistie qui doit commander et être à la première place. La voyante est comme les autres. Elle a ses défauts et ses imperfections. Ce n'est pas vrai que l’Evêque ne serait rien sans la voyante. Celui qui l’a dit a commis un péché grave, parce qu’il n’a pas compris qui est vraiment l’Evêque. Ne regardez pas l'homme et les défauts qu’ont tous les hommes, car Dieu seul est parfait; voyez, comme je vous l’ai dit tant de fois, que son amour est grand, qu’il pratique la correction fraternelle avec amour pour vous aider à grandir et à arriver au Paradis. Considérez la voyante comme l’une d’entre vous et élevez l'évêque. Dieu qui voit tout du haut des cieux, vous sera reconnaissant de l’amour que vous manifesterez à celui qui après Jésus s'est entièrement donné pour les âmes. Oh, comme le mot "amour" est beau! Pensez à aimer tous les hommes.

Marisa - Petite Madone, nous sommes de pauvres créatures comme tu l’as dit, mais nous essayons de mettre en pratique tout ce que tu nous dis, d’accepter les reproches de l’Evêque et de devenir bons, braves et saints comme tu le veux, mais cela demande un peu de temps. Nous avançons pas à pas, parce qu’enfants nous n’avons pas été mieux éduqués. Il se peut que ces fleurs présentes ici deviennent meilleures que nous parce qu’elles recevront plus que nous. Pardonne-nous nos fautes, aime-nous toujours et ne nous abandonne jamais. Aime surtout ces fleurs: Jacopo, Samuele, Emanuele, Sara et la petite Mariasole.

La Madone - Mes chers enfants, je vous remercie de votre présence, de l’adoration que vous avez faite et de toutes vos prières pour mes deux enfants. Vous devez prier pour tous et les uns pour les autres; vous serez alors heureux et les commérages cesseront. Vous ne devez avoir peur de rien, ni de personne. Si quelqu’un se trompe, même si ce sont des évêques, curés ou prêtres, vous devez les reprendre avec amour et charité; celui qui se trompe doit être corrigé: c’est ce qu’enseigne Matthieu.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, tous les enfants présents et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Elle est partie.

Rome, le 19 février 2004 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Merci avant tout de votre présence, bien que vous soyez peu nombreux, mais vous savez à présent que même s’il n'y a que deux ou trois personnes, je viens régulièrement, si vous ne me décevez pas. Je ne peux pas ne pas venir, cherchez donc à vous comporter comme il faut. Dimanche, nous avons longuement parlé du respect dû à l’Evêque, mais je ne le vois pas encore. J’ai respecté mon époux bien-aimé Joseph: bien qu'étant la Mère de Dieu je lui étais soumise, je l’ai aimé et l’ai aidé dans toutes ses tâches. Il a fait de même avec moi et nous avons accueilli ensemble le petit Jésus. C’est ce que j’aimerais que vous fassiez: que vous vous aidiez mutuellement, que vous vouliez du bien et que vous vous respectiez les uns les autres. Rappelez-vous que le respect est dû à tous, au plus petit enfant comme au plus grand prêtre qui est le Pape. Même les prêtres ont besoin de votre aide et doivent être corrigés. Si ensuite, ils n’acceptent pas votre correction, peu importe, vous aurez fait votre devoir. C’est ce que Dieu veut. Défendez votre Evêque. Pensez qu’un bambin de 8 ans a donné témoignage, a parlé de l’apparition de la Madone et de l’Evêque à sa maîtresse: Avez-vous le courage d’en parler aux hommes ? La première excuse que j’entends est: "il m’a répondu de travers, il n’a plus dit un mot et s'en est allé". Cela n’a pas d'importance, je vous ai toujours dit: "Donnez témoignage, donnez l'exemple, respectez les hommes et en premier lieu votre Evêque ".

Je ne veux pas en dire plus parce que je sais que ce soir vous devez étudier une belle lettre de Saint Paul et je désire également écouter aux côtés de l’Evêque. Si moi, la Mère de Dieu, je me tiens auprès de l’Evêque, je l'écoute et le respecte, pourquoi ne devriez-vous pas le faire aussi ? Pourquoi ne relisez vous pas, ne méditez vous pas les messages si beaux et si pleins d’amour de Dieu ? Vous ne lisez pas les livres regroupant les messages, le petit journal. Vous ne lisez rien. Je ne dis pas cela pour tous. Que chacun prenne pour lui ce que je dis. Vous avez reçu tant de dons, le catéchisme et la rencontre biblique qui sont faits par votre Evêque, les messages de Dieu et le journal: mais vous ne savez pas les faire fructifier. Vous vous êtes trop habitués à tout, vous avez reçu beaucoup plus que d’autres par rapport à d’autres apparitions. Tout ceci vous a fait un peu rétrograder, vous ne vous êtes pas réjouis, vous n’avez pas joui de tout ce que Dieu vous a donné, en particulier des miracles Eucharistiques. Oh, si vous compreniez l’importance des miracles Eucharistiques.! Combien ont été accomplis! Et celui intervenu dans les mains de votre Evêque ? Celui seul devrait suffire pour vous convertir, pour vous inciter à vous aimer et à vous respecter.

Courage, la Maman est toujours avec vous et vous aide si vous le désirez. Si vous ne le voulez pas, vous n’avez qu`à me le dire et j’irai en trouver d’autres. Quoi qu’il arrive la voyante et l’Evêque me verront toujours, je suis toujours avec eux. Excellence, ne me dis pas encore que tu ne m’as pas vue parce que tu m’as vue d'une façon plus stylisée, sous d’autres formes. Veux-tu me toucher, me serrer dans tes bras, m'embrasser ?

L’Evêque - Est-ce quelque chose de mal ?

La Madone - Non il n'y a rien de mal à ça. Tu sais combien il y a d’amour pour toi dans le cœur de la Maman, parce que je suis ta maman et je la serai pour toujours.

Rappelez-vous ce que Dieu a dit dimanche: parlez souvent; même lorsque vous êtes à table. Parlez de la spiritualité, c’est très beau.

Je dis courage à vous tous. Je vous le répète encore: aimez-vous, aidez-vous, souhaitez-vous du bien, vous êtes tous frères et sœurs. Ne formez pas de petits groupes, mais soyez une seule famille. Je veux vous révéler maintenant un petit secret: mes enfants jouent souvent à "qui veut devenir millionnaire ". Ils s’amusent avec beaucoup de simplicité et se battent pour arriver à gagner le million très haut placé et y réussissent parfois. Faites la même chose, battez-vous, avancez, cherchez à escalader pour atteindre le milliard qui est Dieu. C’est beau de jouer avec simplicité, avec joie, parce que certains jeux ravivent la mémoire et aident à se souvenir de la langue italienne, de l'histoire et de la géographie.

J’ai voulu vous donner un exemple, peut-être un peu étrange, pour ma façon de parler, étrange mais pas difficile à comprendre. Qui veut comprendre, comprend.

Au lieu de penser à aller vous coucher tôt, parlez de Dieu, de la Mère de Dieu avec la famille, faites aussi des jeux propres et saints.

Merci, mes chers enfants. Ecoutez bien la lettre de Saint Paul de ce soir. Vous savez bien que votre Evêque dit chaque fois après avoir ouvert la page: "Ah que c’est beau!"; pour lui tout est beau. Ils ont aussi joué à l’Evangile: l’Evêque posait des questions et ceux présents y répondaient. L’Evêque disait "Ecoutez comme cette page est belle!". C'était beau mais tout le monde ne connaissait pas les réponses. Pour lui tout est beau, tout est saint, tout est pur. Il devrait en être de même pour vous. Merci.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés,. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Adieu maman, adieu Nicolas, adieu Simon Pietro.

Rome, le 29 février - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est une grande joie pour moi d'être parmi vous. Je vous remercie de l’adoration que vous avez faite, du Saint Rosaire et des prières que vous avez récitées, même lorsque vous étiez seuls. Vous savez que lorsque deux ou trois personnes prient, Jésus est aussi présent; vous aussi, si vous le pouvez, priez avec d’autres personnes et Jésus vous écoutera.

En tant que maman, je sens que je dois vous dire de prier pour votre sœur, afin qu’elle est la force de tout supporter et de tout accepter. Nous ne pouvons pas lui enlever la passion qu’elle vivra jusqu'à sa mort, mais vos prières peuvent l’atténuer un peu. Priez, mais avant tout aimez. Je dis souvent à votre sœur: souffre mon enfant et offre. Il y a de nombreuses intentions pour souffrir et offrir.

Je vois souvent des personnes torturées intérieurement de voir souffrir ma chère Marisella. Vous ne le devez pas parce que Dieu lui donne la force de tout supporter. Aimez consiste également à accepter ce que Dieu demande à une âme; Dieu l’a choisie pour une grande mission et elle ne peut revenir en arrière parce qu’il lui donne la force de tout supporter. Je sais que cela te fatigue de parler, ma fille, mais il est bon que les autres l’apprennent afin qu’ils prient pour toi.

Je ne veux pas m'étendre davantage pour ne pas t'épuiser, mais je voulais seulement …

Marisa - Je ne te dis pas de lire la lettre car je la connais déjà, mais de nous donner une forte bénédiction afin de pouvoir ouvrir quelques cœurs. C’est une lettre pleine d’amour et de miséricorde; elle n'est pas longue non plus, c’est pourquoi ne perdons pas de temps à la lire.

J’ai oublié de te demander une chose: est-ce que l'écusson te plaît?

La Madone - Bien sûr, il est original, très beau, il nous plaît.

Marisa - Alors s’il vous plaît, il nous plaît également énormément, du reste tu m'en as fait rêver.

Quand tu béniras tous les objets sacrés, bénis également cette médaille où est gravé le visage de ma maman. Son Excellence l’a déjà bénie.

La Madone - Cela ne suffit pas ?

Marisa - Si, mais je serais heureuse si toi aussi, Jésus et tous les autres vous la bénissiez également. Je dois la retourner, attends, c’est bien ainsi?

La Madone - Oui, et la pensée de Yari pour la maman est juste également.

Marisa - Je ne m'y attendais pas, je ne sais pas comment remercier les personnes qui ont voulu faire cela.

Regarde, maman, tu es déjà quelqu’un d'important, ton image est gravée sur la médaille. Si tu le peux, aide-moi à souffrir et à tout supporter.

La Madone - Mes chers enfants, la Maman doit vous laisser. Je dois retourner vers le Père et ne peux fatiguer encore plus votre sœur. Priez pour elle, prier les uns pour les autres, priez pour votre saint Evêque.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Je vous recommande, comme tous les ans de donner le meilleur de vous mêmes pour fêter votre Evêque, faites tout avec amour et vous verrez comme tout sera facile. Mes vœux a tous.

Marisa - Adieu, maman; adieu, Nicolas; adieu, Simon Pietro.

Elle est partie.

Messages de Mars 2004

Rome, le 4 mars 2004 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Le 9 mars est l’anniversaire de l’ordination sacerdotale de votre Evêque; il ne veut rien, uniquement des prières, des prières et encore des prières. Donc le 9 mars, que tous ceux qui le peuvent, viennent ici prier selon ses intentions. La neuvaine commencera demain, toujours selon ses intentions et le 14 vous ferez une grande fête. Même si votre sœur n'était pas présente, vous devriez fêter votre Evêque, mais bien que plus que le fêter, j’aimerais que vous l’aimiez encore plus, le respectiez encore plus. l’un d’entre vous ne le respecte pas, le fait souffrir et ce n'est pas juste. Vous savez que dans d’autres endroits l'évêque est mis au pinacle et même s’il prend des décisions ou fait des choses qui déplaisent aux gens, il reste toujours l’Evêque, et c’est pourquoi il est toujours estimé et vénéré. Mais vous qui avez un Evêque saint, vous ne le respectez et ne l’aimez pas encore, même si heureusement tous ne se comportent pas ainsi.

Je vous prie de faire en sorte que ce soit une fête de prière.

J’aurais tant de recommandations à vous faire, mais il est bon que vous assistiez à la rencontre biblique qui est très belle, parce que votre Evêque fait de chaque ligne un poème. Aucun autre évêque ou prêtre dans le monde n'enseigne la Bible comme votre Evêque.

Merci de votre présence, même si vous êtes peu nombreux.

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Ecoute, pourrais-je te demander quelque chose ? Dis à maman que nous sommes un peu déçus parce qu’elle priait pour moi et son Excellence lorsqu’elle était sur terre, mais maintenant nous n'entendons plus ses prières.

La Madone - Ne dites pas cela, car votre maman prie énormément pour vous car même son Excellence est son fils, comme elle le dit.

Marisa - Excuse-moi, maman, pardonne-moi, prie pour nous; nous en avons tant besoin.

Marisa - Il y a un mignon petit enfant près de maman, mais je ne réussis pas à comprendre qui c’est. Cela ne fait rien, car ce qui importe c’est que les enfants qui meurent ainsi, par avortement, soient au paradis avec toi. Adieu.

La Madone - Adieu, Sara.

Marisa - Essaie de la faire aller bien, la pauvrette, parce que bien souvent…C’est bon, adieu. Ne soyez pas offensés de ce que j’ai dit, parce que j’ai dit ce que j’avais dans le cœur. J’ai dit la vérité, car il est nécessaire de la dire. Adieu.

Elle est partie.

Rome, le 6 mars 2004 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est une grande joie pour moi d'être avec les enfants, mais eux se sont enfuis pour aller jouer. Les deux petites, Mariasole et Sara sont restées.

Moi, la Maman de tous, je suis venue pour vous remercier de l’adoration Eucharistique que vous avez faite hier et de la neuvaine que vous avez commencée pour mon et votre Evêque; tous ne peuvent y participer, mais que ceux qui le peuvent, fassent le sacrifice de venir ici.

Dieu tout-puissant est toujours prêt à réaliser ce qu’il a promis, mais comme je vous l’ai déjà dit, il veut encore sauver des prêtres et des hommes. Vous vous êtes rendus compte que le sexe progresse, c’est le sexe qui plaît au monde et les hommes s’amusent à parler d'une certaine façon.

C’est la vie malheureusement, Marisella. De plus, ce que je vous avais prédit s'est réalisé: prêtres contre prêtres, évêques contre évêques et cardinaux contre cardinaux. Le pauvre pape, si nous pouvons parler ainsi, est seul; le pauvre Evêque, je parle de Monseigneur Claudio Gatti, est seul à se battre contre ses proches, la communauté, les jeunes et aussi les hommes d’eglise.

La communauté et les jeunes ont fait un pas en avant, mais ses proches sont malheureusement restés fermes sur leur position. Ainsi que votre Evêque l’a dit, il est bon que je me taise avec Marisella, que je ne lui raconte plus certaines choses, même si je ne les ai dites que pour vous aider, pour vous faire comprendre combien le monde était corrompu et méchant. Vous devez uniquement chercher à vous aimer, à vous vouloir du bien et à vous aider mutuellement. Vous ne pouvez également pas vous imaginer ce qui se passe au Paradis à cause de tout ce qui est arrivé sur la planète Terre. Vous savez que vous avez sauvé le Pape plusieurs fois, quand il était en France et dans d’autres nations. Cette fois je tiens à dire que si le pape est encore en vie, c’est grâce à votre sœur qui par le passé en 1981 a mis la main devant l’arme mortelle pour en dévier le tir et sauver ce qui pouvait être sauvé. Beaucoup se sont mis en avant et ont prétendu avoir sauvé le Pape. Mais c’est simplement une créature que j’avais envoyée en bilocation qui, au moment précis, a allongé la main pour dévier la balle qui aurait blessé mortellement le pape. Si Dieu a voulu que Jean Paul II reste pape, il a de fortes raisons pour cela. Vous devez comprendre que lorsque le pape dit qu’il veut surpasser les années de pontificat de ses prédécesseurs, c’est son côté humain qui parle, car il est aussi un homme et les hommes veulent toujours avoir quelque chose de plus que les autres: ils veulent tous triompher. Vous au contraire vous êtes fatigués de vous battre.

Marisella, le fait que tu aies longuement pleuré cette nuit et aujourd'hui signifie que ta vie est dure. Tu es épuisée et malade et tu ne réussis pas à supporter tant d’amertume, de déceptions et de souffrances. Mais sois tranquille, ma fille, je ne te dirai plus rien. Je parlais avant, uniquement pour vous aider, pour vous faire comprendre qui est à côté de vous, mais si cela te met dans un tel état, je ne dirai plus rien et si je ne te dis rien, l’Evêque ne saura également rien, alors vous vous porterez mieux, même si vos pensées vagabondent là où elles ne doivent pas aller.

Courage, continuez à faire cette neuvaine pour le 14. Votre Evêque ne voulait rien faire, mais j’ai insisté au nom de Dieu le Père. Vous ferez mardi la fête spirituelle et une grande fête le 14 parce que des personnes viendront de Rome, mais ce sera toujours une fête spirituelle et rien d’autre.

J’aurais voulu avoir tous les enfants autour de moi, mais même Sara n'est plus là. J’ai la petite Mariasole, Maria Eucaristia.

Marisa - Je te recommande de la faire grandir saine et forte et de la faire dormir la nuit.

La Madone - La petite Sara est revenue alors que les plus grands, Jacopo, Samuele, Emanuele jouent toujours.

Je vous demande, mes petits enfants, de prier surtout grand-mère Iolanda, parce qu’elle fait beaucoup, beaucoup pour vous. Croyez-moi.

L’Evêque - Merci.

Marisa - Que dois-je te dire, merci, maman.

La Madone - Oui, nous prions et prions beaucoup pour vous.

Mes chers enfants, je suis très proche de vous, mais vous devez priez, ne pas discuter, ne pas vous quereller, ne pas chercher à vous distinguer.

Marisa - Oui, je vois tout, je vois tout, mais si vous ne nous aidez pas … Adieu.

Rome, le 7 mars 2004 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Merci, parce que tu m’as attendue. Je ne vais pas bien du tout: tu m’as fait vivre la passion presque toute la nuit.

Ecoute, petite Madone, la rencontre annuelle des confrères qui ont fêté la Messe avec Don Claudio commence aujourd'hui. Ils ont promis de prier pour lui. Je demande ta bénédiction pour ses confrères, afin qu’ils arrivent à la conversion véritable: beaucoup sont bons, croient en l’Evêque mais ont peur de qui tu sais. Je te les recommande de tout mon cœur, spécialement ceux qui le font tant souffrir.

La Madone - Mes chers enfants, vous devez prier pour les confrères de votre Evêque qui ont été ordonnés prêtres en même temps que lui. Votre Evêque est ici avec vous, tandis que ses confrères fêteront ensemble aujourd'hui et demain l’anniversaire de leur ordination sacerdotale; il est également invité, mais il ne peut y aller dimanche et vous laisser seuls. Disons que c’est le motif.

Comme je vous l’ai déjà dit, les messages de Dieu sont terminés, mais Dieu continuera à m'envoyer pour vous annoncer ce que vous attendez ou pour vous faire des reproches maternels; croyez moi, tous les reproches sont faits uniquement parce que je suis Maman et celles qui sont mamans peuvent le comprendre. Les reproches maternels ont pour but de corriger les hommes, de les transformer, de les convertir; c’est ce que j’attends de vous tous. Il y a en vous un petit changement, faites qu’il grandisse, s’amplifie peut-être, comme l'œil de Dieu qui voit tout. Comme la patience et la sérénité de Dieu sont grandes et belles.

Vous souffrez, mais nous souffrons également et nous cherchons à sauver encore des prêtres. Vous savez bien, puisque vous lisez les journaux, combien de prêtres ne sont pas convenables. Dieu ne veut pas se déclarer perdant, non par orgueil, mais parce qu’il veut convertir les prêtres car ils sont tous nos enfants chéris. C’est pourquoi nous avons fait appel à deux colombes: Nous avons donné à l’une la souffrance physique et morale et à l’autre la souffrance morale, parce qu’elles offrent tout pour les prêtres, même si parfois elles pleurent et veulent abandonner; priez pour elles.

Je vous recommande de faire la neuvaine, de fêter le 9 mars qui est le jour où votre Evêque a été ordonné prêtre. Vous ferez une grande fête le 14 mars.

Merci de ce que vous faites, de l’adoration eucharistique, de l’amour que vous montrez à mon Fils Jésus. Apprenez à dire merci quand je vous fais des reproches maternels, parce qu’ils viennent toujours de Dieu, souvenez vous en.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. j’embrasse tous les enfants avec mon et votre Evêque parce que nous sommes également ses enfants Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Je voulais te demander si la passion va continuer tous les jours ?

La Madone - Pas toutes les heures, mais toute la journée par intervalles. Tu le sais Marisella.

Marisa - Je ne te demande pas de ne pas l’avoir, mais simplement de rester près de moi, de me donner des forces et de m'envoyer ma maman, sinon je ne peux pas, je suis si épuisée. Merci. Adieu.

Adieu, maman; adieu les petits.

Ils sont tous partis.

Rome, le 9 mars 2004 - 19h15 (Lettre de Dieu)

La Madone - Alléluia pour cette grande fête, même si tous n'ont pas répondu à ce grand appel. j’espère que le 14 sera une fête ressentie par tous. Les quarante et un ans de sacerdoce de Votre Evêque représentent quelque chose de si grand qu’il vous est impossible de l’imaginer.

Ce matin, alors que votre sœur ne réussissait pas à dormir pour diverses raisons, elle a demandé des grâces particulières pour l’Evêque, mais elle connaissait déjà la réponse. Elle savait que Dieu leur avait dit: "Ayez encore de la patience. J’attends d’autres conversions car si j’intervenais maintenant, je n'en serais pas heureux, je pleurerais, souffrirais et ce serait un échec". Votre Evêque n'est pas un échec, parce que devant Dieu, devant le Paradis, il a toujours fait tout son possible pour aider les âmes et si certains l’ont calomnié et diffamé, tant pis pour eux. Souvenez-vous et n'oubliez jamais que l'enfer, le purgatoire et le Paradis existent bien. Le purgatoire est un passage vers le Paradis, l'enfer est définitif. Vous savez bien que celui qui calomnie et diffame commet un péché mortel et s’il reçoit la Communion sans se confesser, il commet un sacrilège. Moi, en tant que maman, j’admire l’Evêque qui a fait tout ce qu’il peut pour les âmes, les prêtres, les évêques et les cardinaux, les laïcs et les jeunes; il a donné tout son amour aux âmes et doit continuer à le faire, jusqu'à ce que nous obtenions d’autres conversions.

Vous savez que son triomphe coïncidera avec la mort de votre sœur; j’espère que personne ne dira: "nous espérons qu’elle mourra bientôt".

Marisa - Même, s’ils le disent, cela m’importe peu, je suis contente.

La Madone - Mes chers enfants, la Maman vous remercie de votre présence et de votre amour envers l’Evêque. Pensez que chaque nuit votre sœur monte au calvaire et plusieurs fois également dans la journée; les douleurs se multiplient, les souffrances augmentent et elle les offre toutes pour l’Evêque et répète ce que grand-mère Iolanda a toujours dit: "pour la communauté". Elle a tant prié pour la petite Elisa, les jeunes, les adultes, pour tous, même si tous ne répondent pas à l’appel, et il y encore celui qui continue à avoir la tête en l’air, à ne penser qu'à lui, à se replier sur lui-même. Même aujourd'hui qui est une fête encore plus grande que celle du 14, parce que c’est le jour anniversaire de l’ordination sacerdotale de l’Evêque, Marisella a souffert pour l’indifférence, l’insensibilité et la dureté des cœurs. Essayez selon vos petits moyens de toujours aimer et vous verrez que finalement vous aussi vous serez heureux.

Tous ensemble, donnons de la gloire à Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit; donnons de la gloire à l’Evêque et chantons alléluia pour sa grande fête.

Ensemble avec tout le Paradis et l’Evêque, je vous bénis et vos êtres chers; je bénis tous les enfants présents et absents et leur donne un baiser du fond de mon cœur de Maman. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisella, je sais qu’il te coûte de mettre l’oxygène, de ne pas pouvoir chanter; même maintenant, souffre et offre tes souffrances. Tu dois toujours y penser.

Tous mes meilleurs vœux, Excellence et alléluia de la part de ta maman du Ciel.

Marisa - Tous mes meilleurs vœux, Excellence!

L’Evêque - Merci.

Rome, le 14 mars 2004 - 11h10 (Lettre de Dieu)

La Madone - Si chaque âme glorifiait le Seigneur, tout serait plus beau, il n'y aurait pas autant de disgrâces et tant d'hommes ne seraient pas mauvais.

J’adresse un merci à tous ceux qui ont préparé la fête, même si vous ne réussissez pas parfois à faire ce que l’Evêque vous demande de faire. Cherchez à être plus éveillés, ne faites pas comme les apôtres qui se sont endormis. La Maman vous remercie et crie alléluia dans son cœur pour cette grande fête du prêtre, de l’Evêque, qui embrasse tous les prêtres qui aiment l’Eucharistie et sont vraiment appelés au sacerdoce; certains ne sont devenus prêtres que par intérêt, pour ne pas rentrer chez eux dans leur pays et ils ne sont pas de vrais prêtres: c’est pourquoi je vous invite à prier pour les prêtres.

Aujourd'hui, la prière ne doit pas se terminer ici, mais doit continuer chez vous. Réciter de temps à autre un Notre Père, un Je vous salue Marie et un Gloire à Dieu pour votre Evêque. Croyez-moi, maintenant plus que jamais il vit lui aussi la passion invisible: il a tant de souffrances morales. Je dois toutefois vous dire que ses camarades du séminaire ont prié pour lui les 7 et 8 mars, à l'exception de 2 ou 3 qui sont francs-maçons. Certains ont même pleuré parce qu’ils voulaient qu’il soit avec eux, mais le temps de votre Evêque viendra et quand il viendra, tous ses confrères ne viendront pas dans ce lieu thaumaturgique, comme tous n'entreront pas dans le Royaume des Cieux. Soyez courageux.

Avez-vous compris que votre sœur était éprouvée dans tous ses sens ? Pour elle participer à la Sainte Messe et ne pas pouvoir chanter est si dur et si douloureux, mais elle offre tout pour l’Evêque, pour son triomphe, pour sa gloire. J’aimerais vous dire de sourire et de courir tous vers le Paradis! Vous les jeunes, pas encore, vous devez rester sur la Terre, vous devez travailler, mais plus vous avancez en âge, plus je vous trouve un peu bébêtes, comme on dit à Rome.

Marisa - Pour ne pas dire retombés en enfance…

La Madone - Vous êtes oublieux, vous oubliez les choses et ce n'est pas beau parce que vous n’aidez pas l’Evêque. Bien au contraire, vous le fatiguez et le fâchez aussi un peu. Il est chagriné quand il vous donne des instructions et vous n'en tenez pas compte; il a chargé récemment cinq jeunes et un adulte de faire quelque chose, mais personne n’a pensé à faire ce qu’il avait demandé. Cela lui fait mal, le fait souffrir et l’Evêque dit alors: "Je me sens seul, je n’ai personne, ni les prêtres et ni les jeunes parce qu’ils ont la tête dans les nuages, ils pensent à eux et ne pensent pas que j’ai besoin d’aide".

Je devais vous faire ce reproche maternel, mes enfants; croyez moi, si je l’ai fait c’est parce que la Maman vous aime tous. Cherchez à vous réveiller, je me répète, ne faites pas comme les apôtres qui dormaient alors que Jésus priait et souffrait. Soyez des apôtres forts; votre Evêque donne l'exemple en tout; je ne vous dis pas d'être comme lui, parce qu’il n'y en a plus du même moule que lui, mais cherchez à donner davantage et à l’aider.

Je vous remercie en tous les cas de tout ce que vous avez fait. Tout est beau et propre et Jésus, moi et mon époux bien-aimé, nous sommes contents. Tous les anges et les saints sont maintenant descendus du Ciel et ta maman, Nicolas et Simon Pietro sont autour de moi.

Marisa - Tu sais, maman, Son Excellence t’a recommandé tant de choses et demandé tant de grâces. Va frapper à la porte de Dieu, frapper et frapper: Mais combien de fois doit-on frapper à la porte de Dieu ? Autant de fois que nous pardonnons ? Soixante dix fois sept ? Combien de fois doit-on appeler Dieu à l’aide? Soixante dix fois sept? Cela veut dire toujours.

La Madone - Merci des baisers, merci à tous.

Marisa - Adieu les petits; adieu maman; je t’en prie aide-nous toi aussi, nous en avons tous besoin. Sais-tu ce que j’ai dit à Padre Pio? Je lui ai dit: "Quand tu étais enfermé dans ta cellule dont tu ne sortais jamais, tu as fait tant de grâces, mais maintenant que tu es mort et que tu es au Paradis, tu peux faire beaucoup plus, pourquoi ne le fais-tu pas ? Tous ceux qui vont au Paradis ne peuvent-ils obtenir plus de grâces?". J’ai dit ceci à Saint Padre Pio et à ma mère: "Tu priais avant pour l’un ou l’autre et ils allaient bien, maintenant je te demande seulement quelque chose pour l’Evêque et rien n’arrive". Cela est sans importance pour moi, car cela ne vaut que pour un quart d'heure; tu ne me permets plus de chanter et tu sais combien j’aime chanter, tu m’as privé également du chant.

C’est bon, je vous remercie tous de votre présence, le Paradis est ici avec nous, aidez nous, nous en avons tant besoin; aidez le Pape, faites qu’il fasse la volonté de Dieu, Merci.

La Madone - Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. j’envoie un baiser à tous les enfants. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

Rome le 18 mars 2004 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est toujours avec une grande joie que je viens ici parmi vous; cette fois je suis venue vous supplier de prier pour la paix, Les terroristes massacrent les gens n'importe où et cela pourrait arriver également en Italie, comme cela c’est produit dans d’autres nations. Vous ne devez jamais vous sentir tranquilles, mais priez et ne pas regarder si ce que font les autres est bien ou mal, jaser et critiquer. Pensez à prier pour que la paix arrive dans le monde entier. Les conflits empirent de jour en jour, même au Kosovo les bombardements ont repris. Les actes des terroristes sont si graves que l’on serait à même de pleurer et de prier du matin au soir car peu leur importe qui ils frappent. Ils tuent les enfants, les personnes âgées, les femmes, qui ce soit, avec tant de facilité. C’est pourquoi je vous dis: ne regardez pas la paille dans l'œil de votre voisin mais la poutre qui est dans le vôtre et priez pour la paix. Vous ne vous êtes peut-être pas encore rendus compte de la gravité du moment, mais si vous faites tout ce que vous pouvez et continuez à prier, Dieu vous écoutera comme il vous a écouté maintes fois. Il est particulièrement important cette fois qu’il vous écoute. Je suis avec vous et prie avec vous: où deux ou plus prient en mon nom, je suis avec eux: Jésus a dit: Priez même quand vous faites le ménage, la cuisine ou d’autres tâches. Faites le avec amour et avec comme intention la paix dans le monde. Vous ne pouvez pas vous imaginer comme votre sœur souffre à cause de tout cela, elle vit maintenant la passion jours et nuits et elle offre tout pour le salut des âmes, mais avant tout pour la paix dans le monde. Vous attendez le triomphe et vous avez raison, mais comment pouvez-vous obtenir le triomphe quand des milliers et des milliers de personnes meurent, sont tuées barbarement, en particulier les enfants, les femmes, les personnes âgées. Alors priez pour le triomphe, mais avant tout pour la paix. Merci, la Maman vous remercie si vous priez. Vous pouvez également prier en travaillant. Je serai avec vous et je prierai avec vous. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

(Marisa coupe le microphone)

La Madone - Je ne peux transmettre mes vœux devant tout le monde parce que cela suscite la jalousie, mais le 15 j’ai beaucoup pensé à la petite Sara et j’ai prié pour elle, pour Mariasole, Samuele, Emanuele, Jacopo, Davide Maria, Elisa et tous les enfants. Adieu.

Rome, le 19 mars 2004 - 19h10 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, c’est votre maman qui vous parle. Je suis ici avec mon époux bien-aimé Joseph, à qui Dieu a ordonné de parler. Moi, comme mon époux bien-aimé le fait souvent, je me retire maintenant avec le petit Jésus et laisse la première place à mon cher époux Joseph

Saint Joseph - Non, mon épouse bien-aimée, reste auprès de moi. Tu sais que je suis simple et humble et tu me donnes de la force et du courage quand tu es près de moi. Le message de Dieu ne diffère pas de celui que la Maman vous a donné hier, message que malheureusement vous n’avez pas entendu, mais que l’Evêque vous a répété. C'était une invitation à la prière, à offrir la journée pour la paix dans le monde. Les terroristes continuent à faire la guerre et les hommes d’eglise s'en désintéressent. Les hommes puissants parlent, mais sans arriver à une conclusion. Je vous dis, petit troupeau, mais cela s’adresse aussi au monde entier, de prier, jeûner, faire l’adoration Eucharistique et un peu pénitence afin que la paix règne dans ce monde et que la venue de Jésus sur la Terre ne soit pas un échec complet. Combien de fois Dieu a-t-il dit: "Moi qui ai créé le monde, dois-je dire que j’ai échoué ?".

Je répète ce que la Maman a dit hier, ne regardez pas la paille dans l'œil de votre voisin, mais cherchez à aimer et à prier. Vous attendez avec angoisse le triomphe. Tous, même nous, nous l’attendons; mais comment peut-il arriver si la guerre sévit et s’il y a des terroristes dans le monde entier, si la haine règne dans les familles et entre parents et enfants ?

Vous avez raison, parce que vous priez et faites l’adoration eucharistique; même s’il y a encore des nuages entre vous, des commérages. Vous priez, mais avant de prier, apprenez à aimer comme le dit Jésus.

Dieu vous demande à vous en premier, petit troupeau, de prier pour la paix dans le monde. Il n'est pas allé le demander à la masse de gens qui se rassemblent dans les sanctuaires ou rendent visite au Saint Père. Vous vous sentez encore tranquilles parce que votre pays l’italie n'est pas encore touché, mais attention, les terroristes cherchent également à y entrer. Ce n'est que lorsque les terroristes auront terminé leurs attentats, que les hommes s’agenouilleront et se traîneront à genoux vers l’autel où se trouve Jésus pour lui demander de l’aide. Vous savez que les terroristes ne respectent personne, qu’ils tuent les enfants, les jeunes, les femmes les personnes âgées, qu’ils frappent où ils le peuvent et de préférence là où se il y a des enfants, femmes et personnes âgées.

C’est de vous surtout que dépend quand la paix régnera, précisément parce que vous êtes un petit troupeau. Je vous en prie: transformez-vous, devenez meilleurs, plus compréhensifs, aimez-vous les uns les autres comme Jésus vous a tous aimés et s'est donné pour tous.

Moi, l'humble Joseph, j’ai eu la chance de prendre comme épouse la Mère de Jésus. C’est moi que Dieu a chargé aujourd'hui de vous donner ce message qui est identique à celui d'hier. Si vous aimez, vous vous voulez du bien, vous vous aidez mutuellement, la paix arrivera et avec la paix le triomphe de votre Evêque.

Moi, Joseph, que vous appelez Saint Joseph et qui suis tant aimé par votre Evêque, je vous bénis tous de tout mon cœur, ensemble avec la Mère de l’Eucharistie.

La Madone - Et moi, votre maman, je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Permettez-moi en tant que maman de donner un baiser aux enfants.

Marisa - Merci.

Quand me redonneras-tu ma voix ? Adieu.

Ils sont tous partis, même la Madone, Saint Joseph et l’Enfant Jésus.

L’Evêque - en procession ?

Marisa - Il y a avait plein, plein d’anges, de saints, d'âmes sauvées et de papes.

Rome, le 21 mars 2004 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Je vous invite à invoquer mon Fils Jésus, le bon pasteur. Vous êtes ses brebis et il est votre bon pasteur; tournez-vous vers lui chaque fois que vous en avez besoin et si c’est la volonté de Dieu, il vous accordera la grâce que vous demandez. Ici, beaucoup d’aide a été accordé et beaucoup de miracles ont été accomplis qui ne sont pas connus de tous. Tout cela est dû au grand amour de votre sœur; elle vous aime tant, même ceux qui la font souffrir. Je vous invite à dire chaque jour: "Jésus, bon pasteur, aide-nous, pauvres brebis" et vous verrez que vous deviendrez plus forts, plus courageux et plus sensibles à la souffrance d’autrui, parce que la compassion envers celui qui souffre fait parfois défaut. Ne m'obligez pas à vous faire toujours les mêmes recommandations: sincérité, humilité, simplicité, amour, le grand amour qui embrasse tout. Si vous aimez, comme mon Jésus vous aime, vous vous apercevrez que tout sera facile, même si vous rencontrez des difficultés et des souffrances.

Je vous aime, mes chers enfants, petits et grands, je ne fais pas de différences. Comme je vous l’ai dit maintes fois, priez afin que la guerre s’arrête, n’augmente pas et n’affecte pas toutes les nations.

Je sais que je vous demande beaucoup d’engagement: la prière, le jeûne, la souffrance et la pénitence. Faites attention: tous ne peuvent jeûner pour des raisons de santé, mais tous peuvent faire de petits sacrifices, se priver, prier, il suffit d’adresser de temps à autre un Notre Père au ciel. Si vous regardez votre montre, vous verrez que réciter un Notre Père ne demande qu’une minute, mais vous avez parlé avec Dieu.

Je vous laisse la décision uniquement en ce qui concerne le jeûne, car celui qui ne va pas bien, prend beaucoup de médicaments, ne peut le faire, mais de petites privations ou sacrifices, tous peuvent le faire, en particulier les jeunes,

Quelqu’un laisse encore à désirer parce qu’il ne pense qu'à lui, ne fait pas preuve d'humilité, de simplicité, de compassion et de sincérité. Il trahit ceux qui aiment la maman; ce n'est pas beau. Le mot Maman est le plus grand et le plus beau mot qui soit prononcé: le mot papa est beau également.

Ecoutez ces messages humbles et simples que Dieu vous envoie; ils ne sont pas compliqués, ne sont pas formulés comme les discours des grands théologiens qui enploient de grands mots et l’on ne comprend jamais ce qu’ils veulent dire. La vraie théologie est celle que Dieu communique chaque fois qu’il me confie son message. Merci.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les enfants. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Emanuele, donnes-tu un baiser à la petite Madone ? Merci, trésor. Bon dimanche à tous. Tous mes vœux à la petite Mariasole qui a eu deux mois; quand les enfants sont petits, ils sont fêtés plus souvent.

Marisa - Qu’entends-tu par fêter ?

La Madone - Tu le sais, Marisella.

Marisa - C’est bien, comme tu veux. Adieu.

La Madone - Donne un baiser à Mariasole. Tous mes vœux.

Marica - Adieu. Elle est partie, Excellence. Elle ne t’a rien dit, mais à nous elle a tout dit.

Rome, le 25 mars 2004 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est aujourd'hui la fête de l’annonciation où l’ange m'est apparu et m’a dit: "Voici que tu concevras dans ton sein et enfanteras un fils et tu l’appelleras du nom de Jésus. Il sera grand, et sera appelé fils du Très-Haut". Ce grand amour que Dieu a montré en donnant son fils Jésus, à moi, Marie, qui porte maintenant le nom Mère de l’Eucharistie dans le monde entier, est un immense miracle. Vous dites qu’il n'y a pas de miracles; alors qu’il y en a tant et tant.

L’ange, après m’avoir dit que je serais la Mère de Dieu, s'est agenouillé, parce que l'enfant était dans mon sein. Il me dit également que ma cousine Elisabeth qui était maintenant très avancée en âge, avait conçu un fils. Ce sont de grands miracles. Tous ces enfants sont des miracles.

Il y a tant de malades, tant de personnes qui implorent, désirent et attendent la grâce ici, mais, mes chers enfants, Dieu ne peut donner la grâce à qui la demande, car elle vient toujours selon la volonté de Dieu. Votre sœur a toujours fait la volonté de Dieu.

(Mariasole pleure)

La Madone - Elle a même été trop bonne. Sara ne pleure pas, Emanuele dort. Je vous demande, mes chers enfants, comme toujours de vous aimer les uns les autres, de vous aider mutuellement.

Il y a un péché qui me fait souffrir et fait souffrir mes enfants: recevoir Jésus sans être en état de grâce, commettre un sacrilège aussi facilement; ce péché tue l’Evêque et votre sœur. Mettre dehors ces personnes signifierait les jeter en enfer, mais les garder avec vous est dur et difficile et fait souffrir encore plus.

Marisa - Que devons-nous faire?

La Madone - C’est simple à comprendre, les mettre dehors signifie les jeter en enfer, aux mains du démon. Donnez tout ce que pouvez, aidez les.

Marisa - Nous les avons toujours aidés, toujours encouragés.

La Madone - Toi et moi parlerons seules de cette situation. Que le petit groupe, le petit cénacle, la petite communauté comme l’appelle grand-mère Iolanda, se réjouisse maintenant de ce jour de fête. Je suis la Mère de Dieu et vous êtes les enfants de Dieu, mais pour ceux qui ne se conduisent pas bien, l'enfer est ouvert et les portes du Paradis sont fermées.

Je vous recommande, de ne pas pécher, mais surtout de ne pas recevoir Jésus en état de péché. Je vous le répète encore une fois: aidez mes deux chers enfants, aidez les. Faites aujourd'hui une fête plus solennelle, parce que c’est une grande fête au paradis, c’est la fête de la Mère de Dieu, des anges, des saints et de toutes les personnes sauvées.

Merci.

Je vous fais toujours des recommandations, mais tous ne les observent pas, heureusement ceux qui s'en abstiennent ne sont pas nombreux. Si vous réussissez à vivre en état de grâce, à ne pas offenser Dieu, le Paradis vous attend. Ne vous faites pas de soucis, pas directement, parce que les jeunes ont peur de mourir. Quand je parle du Paradis, je ne parle pas de l'âge, mais uniquement de l’amour envers Dieu. Courage, Excellence, je sais que tu souffres énormément. Tu ressens chaque jour une peine, une grande souffrance. Cette Eglise que tu portes sur tes épaules te mine, mais comme je l’ai dit aujourd'hui, tout changera finalement. Si les guerres continuent, Dieu se lassera et décidera de ce qu’il faut faire. Comme je l’ai dit une fois: le deuxième châtiment universel deviendrait nécessaire pour changer les hommes. Quoi qu’il en soit, c’est ma fête et je vous retourne les vœux que vous m’avez transmis. Tous mes vœux à tous. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je donne un baiser à tous les enfants. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ .

Marisa - Adieu, adieu, maman; adieu les petits. C’est bien. Oui.

Elle est partie.

Rome, le 28 mars 2004 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Aujourd'hui également, votre Maman qui est ici parmi vous, a prié avec vous. Vous attendez les temps que Dieu a promis; je les attends moi aussi. Quand je viens sur la Terre, je souffre comme vous et je suis fort triste que vous justement, petit troupeau, deviez attendre la conversion des hommes avant de pouvoir jouir du triomphe. Je suis votre Maman, la Mère de l’Eucharistie et comme vous le savez bien, je n’apparais que dans ce lieu. Malheureusement, quelqu’un s'est approprié ce titre et se cache derrière le Saint Père. Les autres répètent tout ce que dit votre Evêque et continuent à lui voler ses idées et ses belles paroles. Les religieuses qui ont pris le titre de Mère de l’Eucharistie, soutiennent que ceci figure dans les enseignements de Jean Paul II, et cela uniquement pour vous éliminer. Votre site Internet est accessible à tout le monde et n'importe qui peut y prélever ce qu’il veut. Elles prétendent avoir fondé la congrégation selon la volonté de Dieu en 1997; vous avez commencé à écrire dans Internet en 1996 et la Madone s'est présentée à vous comme Mère de l’Eucharistie en 1989; tout cela figure dans Internet. Je suis ici avec vous et je n’apparais à nul autre, mais les hommes cherchent à voler ici et là pour se faire une renommée. Ils ont même fondé une congrégation religieuse portant mon nom.

Je vous fais le reproche que si vous aviez été plus unis et aviez fait preuve de plus d’amour réciproque vous auriez pu également fondé une congrégation. Il n'y pas que des religieuses qui puissent faire partie d'une congrégation, des laïcs le peuvent également, des personnes libres peuvent se consacrer à Dieu et fonder une congrégation laïque. Je me suis souvent demandée si quand je vous fais des suggestions ou vous adresse des reproches, vous écoutez ou faites seulement acte de présence ? Je vous ai déjà dit d’autres fois de former un groupe de laïcs engagés et croyez moi l'engagement demandé ne serait pas grand. Fondez-vous aussi une congrégation de laïcs, de jeunes et d’adultes. Qu’est ce que cela vous coûte d’aller trouver l’Evêque et de lui dire: "Je veux me préparer pour faire partie de cette congrégation"? Quand je parle, je ne suis pas toujours écoutée et une fois sortis d'ici, vous ne vous souvenez plus de rien et parlez de tout autre chose. Parlez au contraire des messages de Dieu et prenez conscience que si Dieu parle ainsi c’est qu’il vous aime malgré tout ce qui peut arriver. J’aimerais voir si quelqu’un de vous a compris ce que j’ai dit et réussit à le mettre en pratique. Même ceux qui ont une famille, qui sont âgés peuvent devenir membres de la congrégation laïque.

Quand je parle, il me semble que je m'exprime simplement, tout comme je suis simple quand je parle à votre sœur; je m’adapte à elle et si elle me comprend, vous devez pouvoir également me comprendre. L’amour que Dieu vous a donné est si grand, si immense que vous devriez pouvoir donner le triple, le quadruple, le quintuple de ce qu’il vous a donné. Si quelqu’un, comme je l’ai déjà dit à plusieurs reprises, ne comprend pas, qu’il n'en parle pas avec les autres, mais qu’il aille trouver l’Evêque, parce que parler entre vous ne vous fait pas comprendre ce que la Madone a dit. Aimez-vous toujours les uns les autres.

Je sais que les miracles Eucharistiques sont fort nombreux, qu’il y a ceux avec l'écoulement de sang et ceux sans écoulement de sang. Je comprends très bien qu’il soit difficile de se souvenir de tous, mais si quelqu’un en a déjà fait un calendrier pourquoi ne pas en faire d’autres et les distribuer aux membres de la communauté ?

Marisa - Je l’aimerais bien parce qu’il est très difficile de se souvenir de tous les miracles. Mais si nous continuons à prier et nous ne souvenons pas de tous les miracles, Jésus sera content malgré tout; car l’important c’est de prier.

La Madone - Merci de votre présence. Ceux qui travaillent au petit journal devraient être plus autonomes. Vous êtes presque tous diplômés, n’allez donc pas trouver l'évêque pour un rien. Le journal est très demandé et est très bien fait, mais celui qui travaille le plus est votre Evêque. Je vous en prie, ne soyez pas offensés, mais donnez toujours plus; faites un effort tous les jours pour continuer à progresser, merci.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je bénis tous les enfants et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

Messages d’avril 2004

Rome, le 1er avril 2004 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ. Mes chers enfants, le nombre de participants à la rencontre biblique diminue. Tout le monde n’a pas compris l’importance de la connaissance de la Parole de Dieu.

Dimanche, je vous ai invités à fonder une congrégation. Il n'est pas nécessaire pour l’instant que des prêtres et religieuses en fassent partie, car il leur est interdit de venir dans le lieu thaumaturgique. Il suffit que des laïcs fondent cette congrégation qui doit avoir l'évêque à sa tête. Celui qui le veut, peut y entrer et en devenir membre en donnant simplement son accord.

Je dois vous faire un reproche qui me fait un peu mal: vous ne bougez pas, ne prenez pas d'initiative, ne favorisez pas le travail en union avec l'évêque. Dans bon nombre d’autres lieux où je n’apparais plus, des congrégations, des groupes de prières ont été fondés et leurs membres sont prêts à aller n'importe où, en dépit des mauvais traitements qu’ils subissent parfois. Le fait que certains aient maltraité mon Fils Jésus une fois qu’il eut accompli beaucoup de miracles: même ceux qui en avaient bénéficié l’ont maltraité, ne doit pas vous arrêter. Il me semble que vous êtes un peu endormis. Vous venez ici de bon coeur mais n’allez pas plus loin, vous n’apportez pas votre aide et votre soutien à l'évêque. Vous devriez dire au contraire: "Ce pauvre père n’a ni prêtres, ni religieuses pour le soutenir, faisons nous quelque chose pour lui, aidons-le ".

Si je vous ai dit de fonder une congrégation, c’est parce que vous pouvez le faire; bien sûr tout le monde ne peut en faire partie, mais vous entendrez l’appel de Jésus dans votre coeur. Fondez la congrégation avec l'évêque à sa tête et peu à peu vous verrez que d’autres personnes viendront s'y joindre. Pensez-vous que les membres d'une congrégation n’aient pas de travail, d'études à faire ou de famille ? Oh, si, mais ils s'entraident et se consultent dans l’accomplissement de leurs tâches. J’ai constaté que vous étiez toujours fatigués, il semble que vous ne faites que travailler, alors que l’on travaille pour manger. Il y a des hommes qui meurent parce qu’ils n'ont pas de travail, allez voir ce qu'y se passe au Mozambique. Les gens y meurent parce qu’ils sont sans travail, sans médicaments et sans médecins. Des centaines de milliers de personnes y meurent chaque mois, en particulier les enfants.

Combien cela vous coûte-t-il de dire: "Excellence, je désire faire partie de la Congrégation "? Vous ne devez pas venir ici uniquement pour écouter. Si quelqu’un veut faire quelque chose, qu’il n’ait pas peur de le faire et mène à bout avec sérénité ce qu’il a entrepris de faire.

j’espère avoir réussi à vous faire comprendre mes paroles. Je vous veux plus forts et plus courageux. Voyez comme les membres d’autres religions sont forts, ils avancent sans peur. Vous, vous vous êtes arrêtés dans ce petit lieu thaumaturgique et ne faites rien d’autre. Vous préparez l’autel et l'église quand il y a fête et êtes prêts à aider mes deux chers enfants, mais vous devez également aller ailleurs pour témoigner. Il n'y a pas grand chose à dire: "Jésus aide moi, fais que je puisse faire partie de la Congrégation". On a besoin de prêtres et de religieuses, mais également de laïcs; le Pape lui-même compte sur les laïcs et les jeunes, mais pour lui ce n'est pas difficile, il n’a qu'à lever le petit doigt et tous les jeunes d'Italie et d’ailleurs accourent. Ils dansent, chantent des chansons profanes, font des discours émouvants, mais ne prient pas, n’assistent pas à la Sainte Messe, n'écoutent pas la Parole de Dieu. Pour ces jeunes il est facile de venir car leur voyage est payé et leurs repas sont gratuits. Mais la prière, la Sainte Communion et la Sainte Confession font défaut. Ce soir lors de la rencontre des jeunes retransmise par la télévision, le Saint Père est arrivé après beaucoup d’attente. Il s'est contenté de faire le signe de la croix et n’a pas fait ce que je recommande dans mes messages. Si vous ne vous en souvenez pas, lisez le premier livre. Lisez chaque jour un message, cela ne vous prendra qu’une ou deux minutes. Est-il possible que cela vous arrête ? Courage, je vous désire forts. Votre évêque et la voyante vous donnent l'exemple. En dépit des douleurs, des souffrances de la passion et de toutes les souffrances morales, votre sœur a insisté pour descendre, alors que son docteur l'en avait dissuadé à cause du bronchospasme. Vous ne pouvez pas comprendre ses souffrances et ce qu’elle vit pendant la passion et en dépit de tout, elle réussit à parler à ceux qui désirent la rencontrer.

Ce soir elle a dit avec beaucoup de force et de courage: "Excellence, je veux descendre aussi". Elle a fait preuve de courage et de force pour être parmi vous, avant tout pour vous faire comprendre combien il est important de fonder la Congrégation. Vous attendez ce que Dieu a promis, mais que désirez-vous au fond ? La satisfaction de la victoire ? La victoire viendra, mais vous devez faire preuve de plus d’engagement et témoigner davantage.

Mes chers enfants, je suis votre Maman et je vous veux du bien. C’est pourquoi je vous parle ainsi parce que je vous aime, je vous aime, je vous aime. Faites de même. Merci.

Comme d'habitude, assistez à la Sainte Messe et recevez la Sainte Communion en état de grâce, puis écoutez ce que l'évêque a à vous dire, je serai près de lui.

Merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre évêque je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés.

(Marisa montre tous les objets sacrés devant être bénis)

Marisa - Petite Madone, mes mains me font mal et je n’arrive pas à tenir les médailles

La Madone - Fais les choses lentement, Marisella. Prends les médailles des deux mains parce que je désire que Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit les bénissent et que tous vos neveux et toutes les personnes au ciel les voient.

Marisa - Je fais tout calmement.

La Madone - Je dois remercier celle qui a eu l’idée de faire ces médailles, elle a été très habile. Merci.

Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Marisa - Je te recommande tous les malades, les enfants en particulier, et Elisa de tout mon cœur.

La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, merci. Merci pour ce que tu m’as dit avant l’apparition. Merci. Maintenant je me sens vraiment bien. Adieu. Ils sont partis ensemble.

Rome, le 3 Avril 2004 - 19h00 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Votre Maman vous parle après avoir eu un entretien avec votre sœur. Je suis heureuse d'être parmi vous.

Vous vous préparez pour la fête de demain quand vous crierez: "Hosanna" à Jésus entrant à Jérusalem sur un pauvre âne. Tous alors crièrent "Hosanna au fils de David " et cinq jours plus tard: "Crucifiez le ".

Combien de fois crient-ils: "Hosanna" à l’Evêque puis le condamnent ? Ils l'élèvent, le placent bien haut, très haut, puis le laissent retomber par terre. Il est aimé et haï, haï et aimé. Aujourd'hui, les grands et les petits hommes de l’Eglise se querellent. Il y a ceux qui disent du mal de l'évêque et ceux qui le défendent; ils se disputent comme au temps de Jésus quand il y avait ceux qui l’aimaient et ceux qui le condamnaient. Ces violentes discussions nous déplaisent, mais il est bon que les prêtres, les évêques et les cardinaux commencent à se réveiller. Quelques uns ont même des cauchemars parce qu’ils savent que l'évêque, Monseigneur Claudio Gatti, est dans le vrai et a toujours été dans le vrai. Mais que font-ils? Ils discutent et se querellent, l’un dit blanc et l’autre noir. Quand ils se retrouvent pour une fête et pour manger, ils s'embrassent et se serrent la main, puis la fête terminée la querelle reprend, accompagnée de haine parfois.

Les bons prêtres défendent Monseigneur Claudio Gatti, tandis que les mauvais le condamnent, mais de cette division naîtra le courant qui vous amènera au triomphe. Vous devriez en être très heureux.

Gloire à Dieu, Gloire à Jésus, Gloire à l’Esprit Saint, Gloire au plus haut des cieux et paix sur la terre aux hommes de bonne volonté.

J’aimerais vous faire une petite recommandation: lorsque qu’arrive l'heure de l’apparition et que vous avez commencé à réciter le Je vous salue Marie, terminez le, ne l’interrompez pas, puis chantez après le Magnificat, car je suis déjà ici. Je vous recommande de terminer la récitation du Saint Rosaire avant de quitter ce lieu.

Je vous fais ces recommandations parce que je vous aime, sinon je ne dirais rien. Cela m’importe peu que vous disiez le Je vous salue Marie en entier ou en partie, mais j’aimerais que vous soyez bons et parfaits en tout. Si vous avez commencé à réciter le Notre Père ou le Je vous salue Marie, terminez les même si l'heure de l’apparition est arrivée. Parfois j’ai l’impression d'être avec des étudiants, d’autres fois avec des enfants auxquels je dois tout dire. Jésus a dit de devenir comme des enfants parce que seuls les enfants entreront dans le royaume des cieux, mais pas ainsi; vous devez toujours êtres grands, mais simples comme des enfants.

Mes chers enfants, je tiens beaucoup à la fête de demain, parce que la semaine sera très difficile et très douloureuse pour votre sœur.

Marisa - Encore ?

La Madone - Oui, tu ne peux jeûner toute la semaine à cause des médicaments que tu dois prendre. Donc ne jeûne pas, mais souffre beaucoup. Tu dois sauver les âmes, ma fille.

Marisa - Ne pourrait-il pas y avoir aussi d’autres personnes qui souffrent comme moi? Pas l'évêque, pas le cénacle. Ces pauvres petites créatures présentes ici ne peuvent supporter que les souffrances quotidiennes.

La Madone - J’aimerais bénir tous ceux qui ont voyagé pour venir dans ce lieu thaumaturgique ainsi que les religieuses qui ont pris le nom de "Mère de l’Eucharistie ". Je n’apparais que dans ce lieu sous le nom de "Mère de l’Eucharistie" et vous le savez bien.

Je veux vous donner un exemple pour vous faire comprendre l’intensité de la souffrance de votre sœur. Selenia, la maman que vous connaissez tous, s'est fait mal à un doigt de pied, a des douleurs atroces et ne peut marcher; votre sœur par contre a tout le corps martyrisé, lacéré, et percé de clous, c’est pourquoi je vous demande de prier pour elle. Elle est très héroïque, il lui coûte beaucoup de parler de ses souffrances et elle ne veut pas que d’autres la voient lorsqu’elle vit la passion de Jésus, elle veut souffrir seule. Je vous demande de prier pour elle pour qu’elle ait la force de tout supporter. Merci.

Ensemble avec mon et votre évêque, tous les anges et les saints présents ici, la grand-mère et les enfants, je prie pour vous et vous bénis. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, maman, Nicolas, Simon Pietro et Paolo. Adieu.

Rome, le 8 avril 2004 -. 21h00 (Lettre de Dieu)

La Cène du Seigneur

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Moi, la Mère de Dieu, après les paroles dites par votre Evêque, comme lors du dimanche des Rameaux lorsqu’il a prononcé des mots venant du cœur et pleins d’amour, je ne peux rien dire d’autre que de vous demander de prier et vous exhorter à l'humilité et la simplicité. Que ceux dont les pieds seront lavés vivent cet instant avec humilité et beaucoup d’amour; comme vous le voyez, l’amour vient toujours.

Aujourd'hui, Jeudi Saint, Dieu a institué le sacrement de l’Eucharistie et le sacrement du sacerdoce. C’est aujourd'hui la fête de tous les prêtres et en premier lieu celle de votre Evêque. Vous devez beaucoup prier pour lui. Que ceux dont les pieds seront lavés, baissent la tête avec humilité et prient pour que Dieu vous fassent tous grandir à nouveau.

Le Sacerdoce et l’Eucharistie sont deux grands sacrements. Votre Evêque vous a expliqué que l’Eucharistie ne peut exister sans le Sacerdoce et que le Sacerdoce n'est rien sans l’Eucharistie. Aimez l’Eucharistie le plus que vous le pouvez.

C’est une grande fête aujourd'hui, parce qu’une nouvelle créature, toute petite est là, Mariasole (Marie-Soleil). Le Soleil rappelle l’Eucharistie et Marie la Mère de l’Eucharistie. Dieu a fait ce don aux parents après beaucoup de prières de la part de tous et beaucoup de souffrances de celle que Dieu a appelée. Aujourd'hui vous avez une nouvelle créature et cela se répètera à Pâques, à Noël et aux autres fêtes: vous avez le soleil, l’Eucharistie, vous avez Marie, la Mère de l’Eucharistie.

Votre Evêque a déjà tout dit, de sorte que j’ai peu à ajouter; il me reste à moi, votre Mère, de vous dire de prier, de vous aimer et de vous aider les uns les autres, sans voir la paille dans l'œil de votre voisin. Soyez humbles, simples et miséricordieux. Je remercie tous ceux qui d'une manière ou l’autre aident mes deux petits enfants.

Tous mes vœux, Excellence, de la part de Dieu, de la Mère de l’Eucharistie, de grand-mère Iolanda et des ses neveux qui sont près d’elle et de tous les enfants. Tous les anges et les saints te font une grande fête. Mes deux chers enfants, il y a tant de souffrance en vous, c’est ce qui meurt en dernier, mais il y a aussi tant d’amour. L’amour vous emportera au Paradis et au Paradis il y a toujours l’amour envers Dieu et envers toutes les âmes qui s'y trouvent.

Merci à tous. Ensemble avec mon et votre Evêque, le grand Evêque de la terre, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. j’envoie un baiser à tous les enfants ici présents - un dort, un autre est éveillé et l’on berce un autre pour l'endormir - à ceux qui sont loin et aux malades; à tous. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Tous mes vœux à toi, Marisella, pour ce qui t’attend encore.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Merci au nom de tous.

Excellence, tu es un orateur. Tu ne dois pas parler avant qu’elle ne le fasse.

L'évêque - A partir de maintenant, l’apparition aura lieu en premier, de sorte que la Madone pourra parler la première et moi ensuite.

Rome, le 11 avril 2004 -10h30 (Lettre de Dieu)

Pâques

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Pour commencer, je vous adresse tous mes meilleurs vœux et vous invite à chanter l’alléluia au Christ ressuscité. Il arrive aujourd'hui encore ce qui arriva aux apôtres: ils dormaient lorsque Jésus se retira pour prier. Aujourd'hui, il y a encore ceux qui dorment, ceux qui préparent le grand repas et ceux qui s'en vont; tandis que vous, petites âmes, vous êtes ici, en dépit de tout pour prier, et même si vous êtes peu nombreux, le ciel descend sur vous. Voici Jésus triomphant!

Marisa - Comme tu es beau!

La Madone - Ensemble avec Jésus, il y a ici mon époux bien-aimé Joseph, tous les anges et les saints ainsi que ta maman, Marisella.

Comment se fait-il que dans d’autres endroits, comme Saint Pierre, il y ait tant de monde ? Vous dites que la majeure partie sont des étrangers, et pas des Romains parce que ceux-ci doivent préparer …

Marisa - Dis le!

La Madone - L’agneau! Ils ont beaucoup à faire dans la cuisine. Au lieu de cela, mes deux enfants pensent en premier à la prière, à la Sainte Messe, puis s’il reste du temps, ils font le reste. Vous n'êtes peut-être pas capables maintenant de jouir du Paradis qui est au milieu de vous, mais fermez les yeux et pensez que Jésus est ici avec sa famille, les anges, les saints, et les enfants qui sont venus vous adresser leurs vœux.

Cette fois, Dieu a permis à grand-mère Iolanda de vous adresser ses vœux; et vous, priez la, priez la vraiment.

Grand-mère Iolanda - Mes vœux à tous.

Marisa - Hello maman! Vois-tu comme j’arrive aussi ? Peux-tu dire à Jésus que lui est ressuscité, mais que moi je suis encore morte. Demande-lui s’il me fera me sentir un peu mieux aujourd'hui pour que demain reprennent toutes les douleurs et les souffrances. Il m’a dit maintes fois que je souffrirai jusqu'à ma mort. Regarde: les enfants jouent autour d’elle et tirent sa tunique. Cher Nicolas, ta petite sœur n'est pas là, elle est partie; Simon Pietro, peux-tu donner un baiser à ton petit frère et ta petite sœur et toi, Paolo, à tes cousins?

La Madone - Mes chers enfants, même si les fêtes vous fatiguent davantage, en particulier vos mamans, n'oubliez pas les prières, on a en tant besoin. A vous, petit troupeau, qui êtes si peu nombreux, le Paradis qui est ici vous demande des prières. Priez pour la conversion de tous les hommes, des prêtres et des évêques. Priez pour vos âmes et cherchez à être plus charitables, plus généreux en particulier envers ceux qui sont sans famille. Cela vous demande si peu d’aider ceux qui n'ont personne et de leur servir de maman. La générosité est une grande vertu et vous fera grandir. Si vous connaissez des membres de la communauté qui sont seuls, servez leur de maman et aidez-les.

Merci encore une fois pour ce que vous avez fait pour mes deux enfants, mais faites le également pour ceux qui n'ont plus de parents, plus de famille. Cherchez à comprendre ce que je dis. Que ces paroles entrent dans votre cœur: je dois être généreux, je peux être une maman pour ceux qui sont seuls.

Quand je voyageais avec Jésus en Palestine, je servais de maman à tous, aux apôtres, aux enfants qui courraient pour venir à sa rencontre, je n'étais pas seulement la maman de Jésus, mais de tous. Vous aussi, faites la même chose, cherchez à vous entraider avec les prières et les besoins matériels. Celles qui sont maman peuvent le comprendre.

J’adresse de nouveau, tous mes meilleurs vœux à tous: à ceux qui sont partis, à ceux qui dorment, à ceux qui préparent à manger; à tous et en particulier aux enfants.

Ensemble avec mon et votre Evêque, l’Evêque ordonné par Dieu, l’Evêque de l’Eucharistie, et ne l’oubliez pas l’Evêque de l’amour, je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Lève-toi, Excellence, et bénis avec moi ceux ici présents ainsi que les absents. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Chantez comme vous le pouvez. Que chacun chante comme il peut, vous devez tous chanter.

Marisa - Merci. Adieu, maman, adieu, vous les petits. Tu es toujours plus belle. As-tu vu comme nous sommes peu nombreux? Prie pour nous. Tous les soirs, avant de m'endormir je prie tous les saints et en dernier je te prie d'intercéder pour la communauté. O.K., adieu. Nous allons maintenant écouter la Sainte Messe et nous ferons tout notre possible pour nous recueillir et chanter. O.K ?

Il y avait d’abord tout le Paradis, et maintenant on ne voit plus rien.

L'évêque - Nous sommes ici.

Marisa - Nous sommes ici. Oui, mais ce n'était pas tout ça.

L'évêque - C'était quelque chose de mieux.

Rome, le 18 avril 2004 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Alors que vous récitiez le Saint Rosaire et que j'étais déjà présente, il m'est revenu à l'esprit les paroles menaçantes dites par un évêque à l’un de ses employés: "Si tu vas à Rome écouter la Sainte Messe et recevoir la Sainte Communion dans ce lieu, tu perdras ton travail et je te renverrai ". Ce pauvre homme qui aime tant le lieu thaumaturgique, s'est senti coupable parce que son évêque le forçait à trahir la Mère de l’Eucharistie. Il téléphona donc à votre Evêque pour se confier à lui et lui dit: "Je veux venir dans le lieu thaumaturgique et ne pas trahir la petite Madone ". Votre Evêque, avec la charité et l’amour qu’il sait avoir, lui répondit: "Dis à ton évêque qu’il te fait du chantage. En tous les cas, n’abandonne pas ton travail parce que tu as une famille dont tu dois t’occuper. Ne viens pas à Rome, ne te fais pas de soucis, parce que tu auras la possibilité d’apprendre ce qui se passe ici. Tes amis te feront parvenir le journal, les cassettes et les livres: tu seras informé de tout ".

Cet évêque, qui montrait en parlant un visage très dur et méchant, était prêt à enlever le travail à son employé, sans penser que celui-ci a une famille à nourrir et lui faisait du chantage pour l'empêcher de venir à Rome dans le lieu thaumaturgique écouter la Sainte Messe et recevoir la Sainte Communion. Les paroles de l'évêque pénétrèrent dans mon cœur, j’en souffris beaucoup et je dis: "Mon cher fils, si tu ne te convertis pas et continues à menacer tes employés, je le regrette mais tu ne jouiras jamais de Dieu". Par contre, la personne humble est assurée d’aller au Paradis, si elle continue à être bonne. Moi, Maman de la Terre, j’ai souffert et pleuré devant cette méchanceté.

J’ai voulu vous citer en exemple ce qui s'est passé hier. Pendant plusieurs jours, les prêtres et l'évêque ont harcelé ce pauvre homme sans penser à sa famille. La même chose se passe dans d’autres endroits, en particulier à Rome: si quelqu’un travaille pour un évêque ou un prêtre et fréquente le lieu thaumaturgique, il perd immédiatement son travail.

Pensez-vous que le démon soit ici présent ? Pensez-vous que le miracle eucharistique où le sang est sorti de l'Hostie consacrée pendant la Sainte Messe célébrée par votre Evêque soit l'œuvre du démon ? Pensez-vous que le sang qui s'écoule des stigmates de votre sœur lorsqu’ils sont ouverts, soit l'œuvre du démon?

Ces calomnies sont répétées par les hommes d’eglise et beaucoup d’autres personnes.

Il est arrivé fréquemment, dans d’autres endroits également, qu’un évêque ou un prêtre se mette en colère en apprenant par l’un des espions qui se cachent à proximité du lieu thaumaturgique, que l’un de ses collaborateurs venait en ce lieu, et le menace en disant: "Si tu vas via delle Benedettine, tu perdras ton travail!".

Beaucoup de prêtres ne viennent pas, mais pleurent comme le 9 mars quand 3 prêtres pleurèrent et d’autres souffrirent parce que votre Evêque n'était pas avec eux. Ils prièrent pour lui, mais n'eurent pas le courage de se réunir et d’aller ensemble chez ceux qui détiennent le pouvoir pour leur dire: "vous nous avez menacés pendant des années, il est tant que ce chantage s’arrête ". Ils n'en ont pas le courage parce qu’ils perdraient leur poste, leur paroisse, leur maison et leur soutien financier.

Certains n'ont même pas le courage de reprendre les personnes discutant, riant et plaisantant devant le Saint Sacrement lorsqu’elles sont dans l’Eglise pour y mettre de l’ordre. Personne ne leur dit: "Silence, Jésus est ici ". Au lieu de cela, ils demandent: "De quoi parlez-vous ?" et les gens leur disent: "Nous parlons de cet endroit où le curé ne veut pas que nous allions ", ils répondent alors: "Ne parlez pas de cet endroit, car le démon s'y trouve ".

Je n’ai jamais vu le démon ici et vous non plus. Ceux qui ont quitté ce lieu sont des démons.

Je vous ai parlé ainsi pour vous faire comprendre la grande difficulté qu’il y a à faire comprendre aux hommes d’eglise comme il est important de venir dans le lieu thaumaturgique. Beaucoup de prêtres disent: "Il n 'est pas possible que la Madone dise du mal des prêtres ". Non, je ne dis pas du mal des prêtres. Si je parle ainsi c’est parce que je veux les corriger, les sauver et les conduire au Paradis. Ils se damnent au contraire et entraînent avec eux d’autres âmes en enfer.

Merci de l’adoration que vous avez faites.

Beaucoup d'âmes se sont converties et ont dit après avoir lu en secret les messages de Dieu: "C’est Dieu qui parle ici ". Ils ont compris que les prêtres, les curés, les évêques et les cardinaux se trompent grandement, mais n'ont pas le courage de défendre la vérité.

Vous attendez tous le jour du triomphe, je l’attends également. Cela fait maintenant cinq ans que Dieu a dit et répété qu’il viendrait. Dieu tient toujours ses promesses, mais combien de temps doit-il encore s'écouler ?

Marisa - C’est exactement ce que je te demande, petite Madone, combien de temps doit-il encore s'écouler ? Tu as dit que l’Evêque triompherait lorsque je mourrais, mais j’aimerais le voir triompher. Vous pourrez ensuite disposer de moi comme vous voulez. Que l’attente cesse. Nous sommes fatigués, vraiment fatigués.

Nous prions pour la conversion de tous les hommes, mais pour moi il est plus facile de prier pour ceux qui n'ont pas connu le Christ. Pourquoi dois-je prier pour ceux qui ont étudié la théologie et le Saint Evangile ? Je désire prier pour les non-croyants, pour ceux qui ne connaissent pas ton fils Jésus et pour mon Evêque.

La Madone - Courage, mes chers enfants, il est parfois difficile de vous dire d’avoir du courage. Courage, ne vous laissez pas abattre, pensez que Dieu est avec vous. Si Dieu est avec vous, qui pourrait être contre vous ? Persévérez dans la prière, les petits et grands sacrifices et avant tout dans l’adoration de Jésus dans le Saint Sacrement.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis ainsi que vos être chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Attends, j’ai quelque chose à te demander que l'évêque m’a dit.

O.K., je le lui dirai. Merci, adieu.

Excellence, elle est partie.

Rome, le 22 avril 2004 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence, merci de l’amour que vous montrez envers tous. Malheureusement, une personne ne marche pas encore droit, ne sait pas aimer, se montre insensible, ne pense qu'à elle et à montrer qu’elle sait tout. Mes chers enfants, vous ne devez pas vous comporter ainsi car cela fait souffrir ceux qui sont à vos côtés.

Moi, la Mère de l’Eucharistie, je viens pour vous suivant l'horaire établi, pas pour l’Evêque et la voyante, parce que pour eux je peux venir à tout moment. Vous devez chercher à corriger les petits défauts de jalousie et d’envie; heureusement il y a peu très peu de personnes qui agissent mal. Il y a une personne qui se sent supérieure à tous, qui sait tout, qui décide de tout sans même demander la permission à l'évêque; ce n'est pas bien.

Je demandais à Jésus, quand il avait 20 ans, la permission de pouvoir aller avec lui annoncer la Parole de Dieu. Et vous? Rappelez-vous que votre évêque a été ordonné par Dieu et doit toujours être respecté. Comme je l’ai déjà dit d’autres fois, celui qui ne respecte pas l’Evêque pèche. Celui qui manque de charité, d’amour, de sensibilité pèche, comme on pèche si l’on ne reçoit pas l’Eucharistie en état de grâce.

Marisella, je dois te dire maintenant quelque chose.

Marisa - Non la souffrance…

La Madone - Non, quelque chose qui concerne l’Evêque.

Marisa - Vraiment ?

La Madone - Oui. Pour ne pas perdre plus de temps, avant la Sainte Messe et la rencontre biblique, je bénis maintenant tous les enfants ici présents: Mariasole, qui chante la sérénade, Sara, le petit Emanuele, Jacopo, Davide Maria et Samuele.

Bénissez vos enfants matin et soir. Celui qui a déjà de grands enfants, qu’il prie avec eux. Vous les parents, n’ayez pas peur de prier avec vos enfants. De combien de temps a-t-on besoin pour dire un Notre Père, un Je vous salue Marie un Gloire à Dieu en l'honneur de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit ? Priez ensemble; si vous priez ensemble, Jésus est avec vous.

Marisa - Oui, je les vois tous..

La Madone - Courage, Marisella, je ne peux pas te dire que tu ne souffriras plus, tu sais que la souffrance durera jusqu'à ta mort. J’ai éprouvé beaucoup de joie lorsqu’ils t’ont prise comme marraine de la petite Mariasole. Peut-être ne pourras-tu pas te vêtir comme tu le voudrais, peut-être ne pourras-tu pas marcher, mais l’important est que tu sois la marraine.

Courage, aidez votre Evêque, restez à ses côtés, autant que vous le pouvez.

Marisa - Oui, nous parlerons ensemble après.

La Madone - Je voudrais maintenant que nous récitions tous ensemble le Notre Père en tournant les yeux vers le ciel et regardant en haut vers Dieu. Répétez: "Dieu, mon Dieu, viens à notre aide, aide nous tous qui cherchons par tous les moyens à t’aimer".

Marisa - Ce n'est pas ma faute, je le lui ai dit. Je ne sais pas non plus où elle est.

La Madone - C’est bon, cela veut dire que je la ramènerai.

Marisa - Fais dire où elle est. Tu sais où elle est. Tu l’as déjà bénite.

Merci de ce que tu m’as dit pour l’Evêque.

La Madone - Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers, ces enfants ainsi que vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 25 avril 2004 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. La Maman est présente ici et comme toujours, elle est accompagnée de tout le Paradis.

Aujourd'hui, c’est un bambin Matteo, que toi, Marisella, doit me présenter au nom de la maman, du papa, des grands parents et de l’oncle afin qu’il croisse saint, beau et fort.

Je suis la maman de tous et je veux du bien à tous, spécialement aux enfants parce qu’ils sont l’avenir de l’Eglise et ont en plus la paix et la sérénité en tout et pour tout.

Il me semble que je vous fais peur quand je viens au milieu de vous pour prier et vous donner des conseils maternels; je suis une maman et c’est ainsi que je me présente. Vous ne me voyez pas, mes chers enfant, mais je ne crois pas que mes paroles puissent vous faire peur.

Marisa - Maintenant ? Donnez-moi le petit, s’il vous plait ?

La Madone - Tout le Paradis bénit ce petit enfant, Matteo, qui a le nom d'un apôtre.

(Marisa prend dans ses bras le petit Matteo et l'élève vers le ciel)

Marisa - Quand je l’ai soulevé, j’ai eu l’impression de soulever une fleur.

La Madone - Parce que les anges t’ont aidée.

Je veux bénir également la maman, le papa, les grands parents, l’oncle et tous les autres.

n’ayez pas peur de la Maman, parce que j’aime tous mes enfants.

Papa et maman, priez ensemble et le soir avant de vous coucher, bénissez votre fils en faisant le signe de croix sur son front.

Marisa - Il te plaît ?

La Madone - Tous les enfants sont beaux, Marisella.

Marisa - J’ai consacré aujourd'hui toute la journée à Matteo et hier à Mariasole et à ses cousins.

Adieu, amour.

La Madone - Mes chers enfants, je vous remercie pour tout ce que vous faites. Vous avez enfin commencé à lire les messages de Dieu rassemblés dans le premier livre; en les méditant on peut comprendre tout le reste.

Merci, merci pour avoir obéi après tant de peine et d'insistance de ma part.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers ainsi que tous les enfants et vos objets sacrés.

Marisa - Bénis les bien.

La Madone - Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu à tous. Elle est partie.

Rome, le 29 avril 2004 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ.

J'étais présente pendant la récitation du Saint Rosaire et je voulais attendre 20h30 pour vous communiquer le message de Dieu, mais vous avez entamé le Magnificat à 20h25. Ceci est sans importance, ce qui compte c’est que vous soyez ici présents pour écouter la parole de Dieu et assister à la Sainte Messe et que je sois ici avec vous. Vous devez savoir que cela ne va pas bien dans le monde à cause de la guerre et des hommes importants; les choses ne vont pas bien non plus dans l’Eglise, où l’on médit en permanence contre une personne: votre Evêque. On ne doit jamais juger quelqu’un avant de bien la connaître, encore mieux on ne doit juger personne, mais prier. Celui qui juge son frère n'est pas digne du Paradis et je veux vous conduire tous au Paradis. Les évêques et les cardinaux jugent votre Evêque sans le connaître, ne lui ont jamais parlé ou n'ont jamais essayé de s’informer pour comprendre ce qui se passe. Pourquoi ne sont-ils pas venus ici pour voir et enquêter ? C’est une grande douleur pour moi. Mes deux enfants souffrent tant et moi, leur maman, je prie constamment pour eux. Quand je descends sur la terre, j'y vois tant de misères, tant de méchancetés, tant d’arrogance et j’entends tant de jugements négatifs prononcés contre votre Evêque ordonné par Dieu, par des hommes d’eglise qui ne cherchent qu’un moyen de l’anéantir. Cela me fait mal, me fait souffrir. Ceux de vous qui se sont permis quelques fois de juger votre Evêque ont commis une faute. Rappelez-vous que mal juger quelqu’un est un péché grave.

Certains ne marchent pas encore droit, mais heureusement il n'y a qu’une ou deux personnes qui sont toujours prêtes à juger l'évêque en disant: "il sait tout, il a toujours raison, il peut tout faire ". Et bien et si c'était vraiment ainsi ? Dieu l’a appelé, l’a choisi parmi beaucoup d'hommes d’eglise. Le pape a été élu par les cardinaux, votre Evêque a été appelé par Dieu le Père et personne ne peut se permettre d’aller contre Dieu. Dieu est amour, mais il est également justice. A la fin des temps, il sera un juge sévère pour ceux qui ne se sont pas bien conduits, beaucoup reçu et rien rendu. Ceux qui reçoivent trente doivent donner soixante, ceux qui reçoivent 100 doivent donner deux cent. Ceux qui ne donnent rien n'ont pas appris à suivre ce chemin.

Vous attendez avec beaucoup d’anxiété la victoire, mais les temps de Dieu ne sont pas les vôtres. Ne comptez pas les années écoulées, Dieu sait bien ce qu’il fait; qui êtes-vous pour juger Dieu ? Rien!

Si Dieu a choisi votre sœur pour souffrir jusqu'à sa mort, qui êtes-vous pour discuter la décision de Dieu ? Vous devez prier pour Marisella, afin qu’elle ait la force de tout supporter. Je vous remercie de l’adoration du Saint Sacrement que vous avez faite le vendredi et des nombreuses prières que vous avez dites pour mes deux enfants, mais en plus de la prière, vous devez leur montrer de l’amour parce que vous ne pouvez vous imaginer combien grande est leur souffrance. Si vous apprenez à aimer comme Dieu vous aime, la situation changera, la victoire viendra et tout ce que vous voulez, mais vous devez suivre le droit chemin comme il est enseigné dans les messages de Dieu.

Je vous ai déjà dit bien des fois de lire les messages de Dieu, à raison d'un par jour, le soir avant de vous coucher et si c’est possible de les lire avec d’autres. J’ai l’impression au contraire que vous avez peur ou honte de prier ensemble. Je répèterai jusqu'à la fin, que ce que Dieu a promis se réalisera, mais que vous devez faire preuve de beaucoup de patience, devez prier, aimer et ne pas juger. Faites attention au jugement: celui qui juge son frère n'est pas digne d’entrer dans le Royaume des Cieux.

Aujourd'hui comme vous le savez, c’est la fête de Sainte Catherine, une sainte qui aimait beaucoup l’Eucharistie. Soutenue par l’Eucharistie, elle se présenta devant les prêtres; quand je parle des prêtres, maintenant vous le savez, j’entends également les évêques et les cardinaux. Vous ne pouvez faire ce qu’elle a fait, car elle avait reçu un don de Dieu, mais vous pouvez faire l’adoration Eucharistique, parler à Dieu, converser avec Dieu. Priez pour ceux qui souffrent, pour les enfants, les mamans, les malades et les personnes âgées.

Rappelez-vous que le vrai prêtre est celui qui ne demande rien, ne désire pas devenir grand, ne recherche pas la fortune. Comme vous le savez, votre Evêque n’a jamais osé demander de l’argent, excepté dans les premiers temps pour aider les jeunes qui n’avaient pas de travail à partir en vacances. Aujourd'hui les jeunes travaillent tous et il ne demande plus d’argent, mais seulement de l’amour, des prières, des sacrifices, des pénitences, l’adoration Eucharistique et la participation à la Sainte Messe et aux rencontres bibliques. Je vous ai donné une fois cette échelle de valeurs: en premier la Sainte Messe, la Sainte Communion et la Sainte Confession, puis la rencontre biblique, le Saint Rosaire et pour terminer l’apparition. Je viens pour vous donner de la force et du courage pour avancer, mais ne manquez jamais la Sainte Messe dans ce lieu où j’apparais. Comme je vous l’ai déjà dit, j’apparais seulement dans ce lieu thaumaturgique et nulle part ailleurs dans le monde.

j’espère que vous avez compris ce que je voulais vous dire. Il me semble que je parle simplement comme votre sœur le fait souvent, pour vous faire comprendre combien l’amour est grand.

Je veux prier aussi pour les enfants qui sont malades et pour ces pauvres enfants en Afrique, en Asie et dans d’autres parties du monde qui souffrent et meurent parce qu’ils sont sans soins. Vous mes chers Italiens, vous avez encore de la chance. Priez Dieu pour que n’arrive pas en Italie ce que les hommes tentent de faire.

Excellence Révérendissime, tu es l’Evêque ordonné par Dieu, ne l’oublie pas. Quand les moments de désolation arrivent, quand le moral s'écroule, quand tu réalises que tu es seul, continue à faire ce que tu fais chaque matin, va vers Jésus Eucharistie et parle lui, ouvre lui ton cœur. Une fois que tu as parlé à Jésus-Eucharistie, ton visage doit être serein, tranquille parce que tu es prêtre éternel et aucun pape, cardinal et évêque ne peut te retirer ton sacerdoce. Accepte également cette grande épreuve, tu as supporté tant de choses, tu as tant souffert. Avais-tu pensé qu’avec la dernière attaque de Satan, lorsque tu as été réduit à l'état laïc, que tout serait terminé ? Malheureusement d’autres souffrances ont suivi parce que cela ne va pas bien dans le monde, les hommes ne vont pas bien, les grands hommes politiques et les grands hommes de l’Eglise rivalisent à qui sera le plus grand, le plus puissant et le plus riche. Tu restes comme tu étais lorsque la voix puissante de Dieu t’a appelé et t’a dit: "Tu es Evêque parce que je t’ai ordonné évêque". Il ne t’a pas demandé ta permission pour t’ordonner Evêque. Tu as fait preuve d'une grande obéissance, mais tu as également ressenti une grande souffrance et de la peur parce que tous se sont dressés contre toi disant: "Qui est-il? Pourquoi Dieu l’a-t-il ordonné Evêque ?". Maintenant je veux vous dire quelque chose de grand: votre Evêque n’a pas été ordonné évêque par des hommes. Le Saint Père a été élu par des cardinaux, Don Claudio a été ordonné par Dieu, ne l’oubliez pas. Priez pour lui. Ceux qui vivent dans sa maison l’aiment, le respectent et l’aident. Malheureusement une personne ne marche pas encore droit, ne le respecte pas, ne lui obéit pas, fait ce qu’elle veut. Que les deux jeunes qui vivent ici prient pour lui et l’aident quand il y a quelque chose à régler en particulier avec l’ordinateur: Yari, Massimo, Alessandro, Domenico, aidez votre Evêque également en ces choses.

Je m’arrête de parler, sinon je vais faire comme votre Evêque qui lorsqu’il commence à parler, dit que c’est pour deux minutes, puis ne s’arrête plus. Il est important d’assister à la Sainte Messe, à la rencontre biblique. Je vous demande pardon de vous entretenir plus longtemps que d'habitude.

Ensemble avec mon et votre Evêque je vous bénis, vos êtres chers, vos enfants, vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa -Ecoute, l’Evêque m’a dit de te demander si je ne pourrais pas faire un pas un jour et rester un peu debout et marcher seule. Je te le demande parce que l’Evêque me l’a dit, sinon je n’aurais pas osé te parler ainsi. Sara marche mieux que moi.

O.K. comme Dieu le veut, que sa volonté soit faite. Adieu à tous.

Messages de Mai 2004

Rome, le 1er mai 2004 - 19h00 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Le mois qui m'est dédié commence aujourd'hui. C’est le premier jour, mais soyez tranquilles parce que les apparitions n’auront lieu que le jeudi, le samedi et le dimanche. Je ne viendrai pas tous les jours, mais il est bon que vous désiriez un peu ma venue. Je n’ai pas de mots pour vous remercier de l'engagement que vous avez montré lors de la répétition de chant, en particulier ceux qui y ont participé pour la première fois. Le chant est une double prière: pensez combien de Gloire vous donnez à Dieu quand vous chantez.

Quand Jésus cheminait avec les apôtres, il s'entretenait avec eux, parlait de tout ce qui s'était passé et moi la Maman, j'étais réellement ou en bilocation auprès de mon Fils et j'écoutais tout ce qu’il disait. Vous savez qu’il est difficile pour une mère d’accepter la mort d'un fils et je savais depuis longtemps que mon Fils mourrait sur la croix pour la rédemption des hommes. Tandis que Jésus conversait avec les apôtres, il se retournait de temps à autre et appelait quelqu’un. De tout son cœur, il disait souvent à ses apôtres: "si vous voulez me suivre, il faut que vous sachiez que la vie est douloureuse". De temps à autre un disciple ou une personne de passage s’approchait de lui et lui disait: "Maître, je veux te suivre " et Jésus répondait: "Je te répète mon fils que mon chemin est très difficile". Certains restaient, d’autres s'éloignaient et renonçaient, mais moi je vous aime tous, aussi bien ceux qui disent "oui" que ceux qui disent "non".

Je vous dis que lorsque Dieu appelle une âme, celle-ci doit faire Sa volonté. Elle ne doit pas se détourner de lui et le renier. Renier Jésus est un péché qui fait souffrir tout le monde. J’ai souvent dit à des âmes: "Faites la volonté de Dieu et vous verrez que finalement vous serez heureux et contents". La souffrance ne vous a jamais manqué, à certains un peu plus qu'à d’autres. Vous avez tous souffert, comme j’ai souffert, mais si vous apprenez à faire la volonté de Dieu, à avoir confiance et foi en lui, vous verrez que peu à peu tout s’ajustera. Je dis à ceux qui pensent maintenant que pour eux il n'y a plus rien à faire; "Mes chers enfants, Jésus est juste et un jour il sera un juge sévère, mais à présent si vous avez fait une bonne confession, avoué vos péchés, Dieu ne pense plus à ce que vous avez fait et dit de mal ". J’ai entendu bien des fois votre sœur dire: "Les mois et les années passés sont dans les mains de Dieu. Reprenez aujourd'hui le chemin, croissez de nouveau, abandonnez-vous à Dieu, demandez l’aide de la Mère de l’Eucharistie et de l'évêque". Si vous pensez avoir offensé Dieu et vous être mal comportés, demandez lui pardon. Vous savez que Jésus est venu pour les malades, pour ceux qui se laissent soigner. Je veux vous ouvrir mon cœur et vous faire comprendre combien il est important d'oublier le passé, de le laisser dans les mains de Dieu et de grandir à nouveau; commencez aujourd'hui, premier mai.

C’est aujourd'hui ma fête et tout le mois de mai m'est dédié. Je ne veux pas de cadeaux, par charité, mais je vous demande de prier et de faire pénitence. Cela m'émeut beaucoup de vous voir faire l’adoration eucharistique. Merci de ce que vous faites. Rappelez-vous: Dieu vous rendra mérite de tout.

Comme il est beau d'écouter la Parole de Dieu! Vous êtes-vous rendus compte qu’elle vient vous enseigner et pénètre dans votre cœur ? Je souffre quand je vous entends dire: "Je suis ignorant et je ne comprends rien ". L’ignorant est parfois supérieur au lauréat; car les études ne comptent pas. Ce qui importe c’est d’aimer, aimer uniquement le Christ, le Christ crucifié qui est mort, ainsi que vous le savez bien, pour chacun de vous et qui a donné tout son corps pour vous.

Cela me chagrine que tous ne répondent pas à l’appel de Dieu. Dieu vous a appelés. l’un a dit "oui" et l’autre s'est détourné. Celui qui se détourne de Dieu ne doit ni critiquer, ni calomnier et diffamer, car il commet ainsi des péchés mortels. Si vous ne voulez pas suivre cette voie fatigante et douloureuse comme le font mes deux chers enfants, allez ailleurs. Je veux vous aider et vous conduire tous à la sainteté.

Vous ne pouvez également pas vous imaginer ce qu’est le Paradis. ! Votre sœur a raison de dire qu’il est difficile de le décrire, parce que tout ce qui concerne Dieu est difficile à comprendre, mais vous savez que le Paradis est déjà dans votre cœur lorsque vous recevez Jésus en état de grâce.

Courage à tous, aux jeunes et aux moins jeunes. Ayez du courage et demandez à ce que tout finisse, à ce que ce monde corrompu par les grands hommes et non par les petits s’achève, car ce sont les grands hommes qui sont la ruine de tout. Cherchez toujours à rester simples et à faire la volonté de Dieu.

Merci, mes chers enfants, pour les prières, l’adoration Eucharistique et votre présence ici. Même jeudi vous n'étiez pas nombreux, mais votre Evêque est resté et vous a parlé comme il le fait toujours et comme il a bien parlé. Rappelez-vous que ce que vous dit votre Evêque, vous ne l'entendrez jamais de quelqu’un d’autre.

Bon mois de mai à tous. Je vous recommande de réciter le Saint Rosaire et de prier. Qui sait si Dieu ne s'est pas décidé à faire ce qu’il a promis. J’avais demandé à Dieu de pouvoir venir vous rendre visite tous les jours, mais il m’a dit: "Marie, ce serait trop de fatigue et ma petite fille serait trop affaiblie. Elle ne peut plus se tenir sur ses jambes et il lui est même parfois difficile de sourire, de parler et de converser". Attention: ne soyez pas insensibles à la souffrance d’autrui. Apprenez à aimer comme je vous ai toujours aimés. Quelqu’un a entendu votre sœur dire: "je n'en peux plus, je n'en peux plus". C’est la nature humaine. Sur la terre il peut arriver que le corps soit si fatigué, épuisé, fini et cela n’a rien avoir avec Dieu. Dieu peut l’aider et lui dire: "Allons, Marisella, marche, avance", mais Dieu sait que faire. Peut-être ne l’aime-t-il pas ? Oh non! Dieu aime tous les hommes, mais il a ses desseins; Lui sait pourquoi demander autant de souffrance à quelqu’un.

Je vous remercie encore une fois de votre présence ici. Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis, vos êtres chers ainsi que tous les enfants. Je bénis vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ

Marisa - Adieu, adieu maman. Elle est partie.

Rome, le 2 mai 2004 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ mes chers enfants. Aujourd'hui encore je suis ici avec vous. Je suis surtout venue pour vous remercier de m'être restés fidèles. Ce matin vous avez lu quelques messages de Dieu et dans chacun il était écrit; "Avancez, faites un pas l’un après l’autre, lentement, lentement". Au lieu de cela, beaucoup ont renoncé et se sont éloignés. Où vont ces enfants qui n'ont pas compris l’importance de ce lieu thaumaturgique ? Attention, je n’ai pas dit "Eucharistique", j’ai dit "lieu thaumaturgique, lieu saint". Là où vous marchez et tout ce que vous touchez est saint, parce que Dieu l’a voulu ainsi, mais on y trouve malgré tout des bouts de cigarette et des bouts de papier. Je trouve que ce n'est pas tout le respect que le lieu saint exige. Vous priez lorsque vous vous trouvez devant l’urne d'un saint ou devant Jésus Eucharistie et c’est bien ainsi; pourquoi ne vous comportez-vous pas de la même façon lorsque vous vous trouvez sous la tente qui aux yeux de Dieu est la plus belle église ? Quand vous touchez un morceau de la tente, une fleur ou un caillou, vous touchez quelque chose de saint. Dieu l’a voulu ainsi. Il n’a pas seulement rendu sainte cette tente, mais en commençant par la chapelle il a rendu sainte toute la maison. Je sais Marisella, que tu as honte, mais je voulais te transmettre mes vœux …

Marisa - C’est bon, tu me les transmettras après.

La Madone - Quand vous vous trouvez dans ce lieu thaumaturgique, quand vous allez vous asseoir ou vous agenouiller à votre place, ne parlez pas entre vous, faites silence, pensez que la main de Dieu est passée ici. Pensez-y en touchant une fleur …

Marisa - Attends, les toucher oui, mais les prendre non.

La Madone - Tout le lieu thaumaturgique et tout ce qu’il contient est saint. Parfois des enfants reposent sur un lit, et bien ce lit est saint et le petit enfant est saint, en particulier quand il a reçu le Saint Baptême.

Cherchez à comprendre ce que je dis, car je m'efforce d'être simple avec vous pour que tout le monde me comprenne.

Marisa - Parce que même moi je ne comprendrais pas. Tous n'ont pas reçu le don de la compréhension.

La Madone - Non, Marisella, tous peuvent comprendre le langage de la maman. Celui qui ne comprend pas, c’est qu’il ne veut pas comprendre, comme celui qui n'entend pas c’est parce qu’il ne veut pas entendre et celui qui n’aime pas parce qu’il ne veut pas aimer. Me suis-je clairement expliquée ? Pensez que lorsque vous vous asseyez sur un lit ou marchez dans le lieu thaumaturgique, le sol et les objets que vous touchez sont saints

Moi-même je me demande avec vous: "Pourquoi Dieu a-t-il rendu saint ce simple lieu, cette maison qui vous semble grande, mais qui ne l'est pas pour ceux qui y habitent - et tous ses objets ?". J’aimerais tant que les personnes qui y vivent soient vraiment saintes et servent d’exemple et de témoignage à tous.

Rappelez-vous un autre enseignement: la correction fraternelle ne se fait pas seulement envers les petits. Si les petits remarquent que les grands se trompent, ils doivent les corriger et ne pas dire: "Je ne sens pas capable de dire quelque chose parce qu’il est plus grand que moi". Qu’est-ce que cela veut dire ? il n'y a pas de plus grand et de plus petit dans la vie spirituelle, car vous êtes tous égaux. Quand quelqu’un a fait une remarque ou un reproche à votre sœur, elle l’a regardé, a souri et dit: "Merci". Vous pensez qu’elle ne vient pas à être réprimandée ? Oh, si! et il est juste qu’il en soit ainsi; même si elle a reçu le don de voir Jésus, la Madone, les anges et les saints, ce n'est pas pour cela qu’elle ne doit pas être réprimandée si elle se trompe; la même chose est valable pour vous. Quand vous devez réprimander quelqu’un, je vous recommande de le faire avec beaucoup d’amour, de charité et de ne pas penser à l'âge, parce que si vous le faites, vous vous bloquerez; pensez à l’amour et au désir de voir votre frère se corriger. Cela peut vous irriter un peu parfois, mais en réfléchissant, l’intelligence devrait vous amener ensuite à comprendre et à dire: "s’il m’a réprimandé, c’est qu’il a raison, parce que je sais que mon frère me veut du bien". Ceci est beau: aimez, aimez les petits et les grands et priez, priez, priez pour ce qui ne savent pas aimer. Tous mes vœux, Marisella.

Marisa - Merci.

La Madone - Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je bénis tous les enfants. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Je vous rappelle également de prier pour ceux qui vont recevoir ce mois-ci le baptême, la première communion et la confirmation. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Tu es toujours plus belle, plus belle que la maman, que Nicolas, que Simon Pietro et Paolo. Vous êtes tous beaux. Il y a tous les anges, les sains et les trois papes qui prient tous les soirs pour l’Evêque: Pie XII, le grand Paul VI, comme je l’appelle et Jean Paul I. Quand le pape actuel mourra, que devrons nous dire, "Jean Paul II"?

La Madone - Marisella, ne fais pas la coquine.

Marisa - Adieu.

Rome, le 9 mai 2004 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, je voudrais adresser en premier tous mes meilleurs voeux à toutes les mamans, moi comprise, parce que je suis également maman. J’adresse ces vœux également à toutes les grand-mères, parce qu’elles sont deux fois maman; n'est-ce pas grand-mère Iolanda?

Il y a quelque temps je vous ai dit de ne pas interrompre le Notre Père, le Je vous salue Marie et le Gloire à Dieu quand l'heure vient de chanter le Magnificat. Vous ne devez pas interrompre la prière, mais la terminer puis entamer le chant.

Aujourd'hui j’ai amené avec moi beaucoup de mamans, de grand-mères et d’enfants. Vous vous demandez: "Pourquoi toujours grand-mère Iolanda ?". Parce qu’elle est la fille de grand-mère Iolanda, mais beaucoup d’autres mamans sont également présentes. Les enfants adressent leurs voeux à leurs mamans.

Mes chers enfants, j’aimerais qu’après le départ de votre Evêque et de la voyante, vous ressentiez leur absence. Ils ne s'éloignent pas pour se divertir, mais pour suivre un ordre médical. Ils sont si fatigués qu’il ne leur est plus possible de travailler.

La voyante souffre beaucoup physiquement et moralement et l’Evêque souffre beaucoup moralement. Vous devez comprendre que depuis 32 ans qu’ils vivent ensemble, l’un souffre de ce que l’autre souffre. Quand je vous dis de prier pour l’Evêque et la voyante, je ne plaisante pas, je parle sérieusement. Priez pour eux et que dans ces jours d'éloignement vous puissiez ressentir leur absence.

Je dois vous faire une recommandation: pendant l’absence de l’Evêque, vous verrez un prêtre que vous connaissez bien. Je vous demande de le respecter et de ne pas le suivre d'une façon maladive. Vous ne le faites pas avec votre Evêque alors ne le faites pas avec aucun autre prêtre venant ici.

Le prêtre n'est pas seul, il y a ceux qui l’assistent, c’est pourquoi il n'est nul besoin de lui porter à manger. Chaque fois que ce prêtre est venu, il y a eu des bavardages et commérages. Le prêtre n’appartient à personne, il appartient à Dieu et aux âmes dans le besoin, pas à celles qui viennent uniquement pour bavarder et commérer. Quelqu’un en profite parce que ce prêtre n’a pas le courage de dire: "Si vous avez quelque chose à faire, allez travailler, sinon rentrez à la maison". En tant que maman, je n’aime pas vous dire cela parce c’est bien d'être proche du prêtre pour l’aider. n’allez pas vous confesser pour converser avec lui, mais pour vous accuser de vos péchés. Ne vous approchez pas de la Sainte Communion si vous êtes en état de péché.

C’est un conseil donné par votre maman, qui fête aujourd'hui comme vous la fête des mamans, bien que ce ne soit pas une fête religieuse; n'est-ce pas Emanuele et Sara? Hier la petite Sara m’a vue: elle m’a regardée et je l’ai regardée.

Vous avez relu ce matin le message dans lequel je dis qu’une grand-mère de 84 ans peut également se convertir et devenir simple et humble comme un enfant.

Je vous recommande de ne pas dire de mensonges même pour vous échapper. Soyez toujours sincères et simples avec tous et Dieu vous bénira.

Marisa - Voilà Sara!

La Madone - Emanuele, donne un baiser à la petite Madone. Bravo.

Mes chers enfants, pendant ces jours où vous serez sans votre Evêque, je vous recommande d'être bons, humbles, simples comme des colombes et prudents comme des serpents.

Je me répète: n’allez trouver le prêtre qu’en cas de besoin; celui qui n’a pas compris qu’il se fasse répéter ce que j’ai dit. Allez trouver le prêtre pour confesser des péchés graves et non des péchés véniels.

La maman transmet de nouveau, du fond du cœur, tous ses meilleurs voeux aux mamans, grand-mères et bisaïeules ici présentes. Grand-mère Iolanda, tu dis que tu as eu six petits enfants ?

Marisa - Tu ne laisses pas parler la maman aujourd'hui ?

Grand-mère Iolanda - Adieu, ma fille, tous mes meilleurs voeux. Je suis si heureuse et prie pour vous.

Marisa - Adieu maman, je pleure de joie. Adieu.

La Madone - Je suis venue aujourd'hui pour être avec vous; je ne vous ai pas apporté de message de Dieu, mais je suis en union avec vous et j’ai apporté avec moi, mamans, enfants et grand-mères.

Merci de votre présence. Mes baisers vont naturellement à Mariasole, Jacopo, Samuele, Elisa et tous les enfants. Merci de votre présence.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je bénis toutes les mamans, grand-mères ici présentes ainsi que celles qui n'ont pu venir. Je bénis vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la Paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

(Marisa, l’apparition terminée, se tourne vers ceux présents)

Marisa - Tous mes voeux également à tous ceux ici présents. La Madone vous a déjà dit comment vous deviez vous comporter. Je vous demande uniquement de prier pour nous, pour que tout aille bien et que nous revenions un peu reposés avec quelque chose en plus à vous donner.

Merci et au revoir à tous. Adieu.

Rome, le 23 mai 2004 - 10h30 (Lettre de Dieu)

L’Ascension du Seigneur

La Madone - Mes chers enfants, vous fêtez aujourd'hui l’ascension de Jésus au ciel. C’est une grande fête. Après sa résurrection, Jésus est resté 40 jours sur la Terre pour terminer sa mission, puis est retourné vers le Père. J'étais toujours près de lui.

Quand il pleut et fait humide, votre soeur ne peut malheureusement descendre parmi vous; vous devez avoir beaucoup de patience. Je vous vois recueillis en prière, je vous ai entendu prier et ceci plaît beaucoup à Jésus. Jésus est monté au Ciel et est allé vers le Père pour lui transmettre vos requêtes. Jésus dit toujours que les temps sont proches, que Dieu ne déçoit pas et tient ses promesses. Il en a tenu certaines, mais vous attendez quelque chose de plus, parce que ce qui doit arriver n'est pas encore arrivé. Lorsque je viens ici, je dois toujours vous parler du respect dû à l’Evêque. Certains ne le respectent pas, le traitent comme l’un des leurs; ce n'est pas bien. Je vous ai dit tant de fois que vous lui devez en premier le respect. C’est bien de lui montrer de l’amitié et de le tutoyer également si vous le voulez, mais vous ne devez jamais lui manquer de respect. Ceux qui ne l’acceptent pas ne l’accepteront jamais. Je vous répète encore une fois que vous ne rencontrerez jamais d’evêque comme Monseigneur Claudio Gatti, il n'y a pas d'évêques comme lui.

Dans les jours passés, votre soeur a rencontré un prêtre au bord de la mer qui l’a regardée fixement dans les yeux. Quand, elle, avec force et courage, a fixé son regard sur lui, il a baissé la tête et est parti tout droit. Qui est ce prêtre ? Un de ceux qui ne respectent personne, un petit franc maçon. Il n'est pas difficile à Marisa de reconnaître un franc-maçon. La physionomie de tous les francs-maçons est gravée dans son esprit. Revenant de nouveau au respect dû à l’Evêque, j’ajouterai que même un prêtre de 70, 80, 90 ans doit montrer du respect envers l’Evêque, même si celui-ci n’avait qu'à peine 30 ans. Qui ne respecte pas l’Evêque ordonné par Dieu ? Dois-je le dire ?

Marisa - Non, ne le dis pas parce que cela fait mal de te l'entendre dire.

La Madone - Non, je ne le dis pas. Heureusement, la majeure partie des membres de la communauté a compris qu’elle devait faire preuve de respect et d’amour envers l’Evêque. Ce sont les jeunes avant tout qui l’aiment, le respectent et lui obéissent; c’est bien ainsi. L'évêque est la tête de tout le groupe et c’est lui qui commande, c’est à lui que Dieu a confié la mission et pas à vous.

Moi, la Mère de l’Eucharistie, je me suis fais bénir bien des fois par l’Evêque parce qu’au Ciel nous le respectons. Vous devez également lui faire preuve de respect parce que vous avez été choisis par Dieu qui a des desseins en ce qui vous concerne. Dieu ne veut pas de foule ici, il n'y veut pas beaucoup de personnes. Celui qui vient ici doit faire preuve de respect et d’amour envers tous. Jésus en allant au ciel transmettra tout cela au Père. N'est-ce pas ? et pour Mariasole, qui a consenti ? Avoir obtenu Mariasole, Emanuele et Sara est vraiment un grand don.

Marisa - Je voudrais te recommander également Jacopo, Samuele et Nicolò qui font aujourd'hui leur première Communion ainsi que toutes les personnes malades qui font appel à moi pour des prières. Je me sens parfois tout à fait inutile quand on fait appel à moi pour des prières, mais je te les apporte, je te les donne parce que je ne peux rien faire d’autre.

Mariasole chante. Tu nous a enseigné que le chant est une double prière.

La Madone - Mes chers enfants, goûtez cette journée et pensez à Jésus qui est parti au Ciel. Priez pour chacun de vous, pour ceux qui sont loin, pour les prêtres qui ont peur et ne font pas leur devoir et pour les missionnaires. J’ai emmené votre soeur en Ouganda où elle y a vu des scènes horribles dont je ne vous parle pas.

Merci de votre présence. L’Evêque va maintenant vous bénir avec moi. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Courage, Excellence.

(L’Evêque donne la bénédiction)

La Madone - Merci, Excellence!

Marisa - Tu t’es mise à genoux. Je ne peux pas me mettre à genoux.

Madonna - Non, toi, Marisa, tu ne peux malheureusement pas te mettre à genoux. Ta vie est ainsi, il n'y a pas d’autres possibilités.

Marisa - Ecoute Mariasole! elle chante à ma place.

La Madone - Mes chers enfants, allez écouter la Sainte Messe dite par votre Evêque.

Je donne un baiser à tous les enfants.

Marisa - Où est la prématurée ?

Rome, le 24 mai 2004 - 19h20 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Aujourd'hui les Salésiens me fêtent en tant que Marie Auxiliatrice. Mon cher Saint Jean Bosco me demande souvent: "Petite Madone où sont mes vrais salésiens ?". Moi, la Maman, je lui réponds afin de l'encourager: "Aie foi, ils redeviendront comme ceux que tu as formés ". Moi, la Mère de l’Eucharistie je vous dis: ayez foi en Dieu.

Aujourd'hui bien que ce soit un jour non chômé, vous ne pouvez vous imaginer combien de personnes auraient pu venir ici, mais elles n'écoutent pas la requête de Dieu. Dieu a voulu ce lieu thaumaturgique. Il a rendu ici tout thaumaturgique: la maison, l'eau, le sol sur lequel vous posez vos pieds et tout ce qui fait partie de ce lieu. Vous devriez dire à tous ceux que vous connaissez: "Est-il possible que vous ne vous rendiez pas compte que ce lieu est thaumaturgique, c’est-à-dire saint ?". Malheureusement quelques personnes vivant dans la maison ne comprennent pas que le lieu où elles vivent est saint. Toute cette maison est remplie de l’amour de Dieu.

Je veux dédier cette fête à Marie Auxiliatrice, mais avant tout à l’Esprit Saint. Continuez la neuvaine à l’Esprit Saint et invoquez-le pour qu’il entre en vous et puisse vous donner l’aide et la grâce dont vous avez besoin.

Voici l’Esprit Saint qui s'étend sur ce lieu thaumaturgique et vous prend tous. La troisième personne de la Sainte Trinité est descendue parmi vous, bien que vous soyez peu nombreux. Dieu a concédé beaucoup de guérisons dans ce lieu thaumaturgique, même à des personnes qui n'y sont pas venues, mais pour lesquelles vous avez prié. Je m'étonne souvent: "Dieu que ton amour est grand pour venir dans un lieu si petit où il y a si peu de personnes ?". Dieu me répond: "Je suis l’amour infini, je suis celui qui aime et embrasse tous les hommes comme vient de le faire l’Esprit Saint qui est descendu dans ce lieu et vous a tous embrassés".

Vous êtes peu nombreux, mais je vous veux pleins d’amour envers Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit et Marie Auxiliatrice, dont c’est aujourd'hui la fête et la Mère de l’Eucharistie parce que ce nom que je porte est important pour l’Eglise et pour tous. Je vous invite à prier pour que la guerre s’arrête. Je vous invite à prier pour chacun de vous; que chacun prie pour l’autre. Vous aurez ainsi plus de force et de courage pour accepter également la souffrance. Quand vous vous sentez déprimés et découragés, ne vous laissez pas aller, venez dans ce lieu thaumaturgique ou approchez vous du tabernacle, invoquez Jésus et dites: "Jésus aide moi, aujourd'hui c’est une journée si triste". Ceci vaut pour tous, pour l’Evêque, la voyante, pour vous tous et vos êtres chers. Courage, mes chers enfants.

Vous devez prier pour qu’il ne pleuve pas dimanche parce que votre soeur ne supporte pas l'humidité. Cela lui coûte beaucoup malheureusement. Quand le temps est bon elle vient parmi vous et si elle est en retard, c’est parce qu’il n'y a pas de jeunes pour l’aider à descendre. Aujourd'hui deux jeunes sont venus à temps pour aider Yari, parce qu’elle ne peut descendre seule et qui sait si elle pourra jamais le faire.

En tous les cas la Maman vous remercie de votre présence. Priez toujours le Saint Esprit à la maison et où que vous vous trouviez: "Viens Esprit Saint, esprit d’amour, éclaire mon esprit, enflamme mon coeur, renforce ma volonté". Il suffit de dire une prière très courte, que vous pouvez répétez plusieurs fois au cours de la journée. Merci.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis ceux qui ne sont pas venus et ceux qui auraient pu venir, les enfants et les malades en particulier. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, toutes mes salutations à ma maman. Merci.

Ils sont partis. L'esprit Saint était immense, il embrassait tout le monde.

Rome, le 27 mai 2004 -20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - J'éprouve une grande joie quand j’entends des âmes prier. Priez et dites à tous ceux que vous rencontrez: "Convertissez-vous et croyez en l’Evangile".

Mes chers enfants, cela me chagrine de devoir vous dire que les choses ne vont pas bien dans le monde. Des guerres et guerres civiles éclatent. Votre sœur a été en bilocation au Népal et a vu des scènes à faire pleurer, pleurer et encore pleurer. Vous continuez à prier et attendez ce que Dieu a promis. Moi-même j’ai dit: "Qui sait si quelque chose arrivera à la fin du mois de mai". Quelque chose s'est passé: les stigmates de votre soeur se sont rouverts, les plaies du front et des jambes; elle offre tout pour la paix dans le monde.

Ce qui me chagrine le plus, ce sont les prêtres, les évêques et les cardinaux qui pensent aux femmes, au pouvoir et à l’argent; ils organisent de grandes réunions de masse pour contenter le Saint Père, mais dans le monde les hommes continuent à mourir. Mais qui meurt? Les pauvres, les enfants, les mères, les pères sans travail et les personnes âgées, ceux qui n'ont rien. C’est pourquoi des guerres civiles très cruelles éclatent et ceux qui se battent ne semblent être ni des hommes ni des animaux, car les animaux sont aidés et soignés, tandis que si dans ces régions un homme ou une femme commet une faute, il est immédiatement condamné et exécuté. Encore aujourd'hui, je vous dis: vous avez de la chance, même si beaucoup de personnes ne vont pas bien et prient pour obtenir la guérison. Votre soeur n'est pas mieux lotie et offre toutes ses souffrances pour la paix dans le monde, pour les prêtres, pour mon et votre Evêque et pour chacun de vous. Vous devez combattre: regardez comme les témoins de Jéhovah se battent, comme ils sont prêts à supporter rebuffades et insultes. Vous ne devez pas rester dans votre petit jardin sans vous préoccuper de rien, mais vous devez raconter les oeuvres de Dieu et si l’on vous répond et vous traite mal, allez ailleurs. Vous savez du reste que ce lieu a été la cible d'une campagne diffamatoire, commençant par les grands hommes d’eglise et allant jusqu’aux plus petits. Une forte campagne malveillante a été menée. Mes deux enfants ont énormément souffert et vous ne pouvez vous imaginer l’intensité de leurs souffrances.

Le mois qui m'est dédié se termine, il sera suivi du moi dédié à mon Fils Jésus. Si votre soeur n’a plus les stigmates en forme de croix couvrant tout son corps, Jésus viendra ici comme moi le jeudi, le samedi et le dimanche. Moi, la Mère de l’Eucharistie, j’irai trouver Dieu pour lui demander les grâces qu’il vous a promis. Je serai toujours avec vous. Vous savez que lorsque mon Fils allait évangéliser avec les apôtres, j'étais toujours avec lui en bilocation et je fais maintenant la même chose avec vous; même si vous ne me voyez pas, je suis auprès des hommes, mais seulement auprès de ceux qui sont en état de grâce.

J’adresse tous mes meilleurs voeux à ceux qui ont fêté leurs deux ans de mariage. Je ne voulais pas le faire parce que cela suscite la jalousie chez certains, mais cela a été plus fort que moi. Tous nos voeux de la part de tous .

Mes chers enfants, votre soeur souffre énormément. l’un de vous a vu à quel point son corps est affaibli et qu’il ne lui est pas possible de s'habiller. Elle, à part les quelques fois où elle pleure, comme hier, accepte tout par amour pour vous, pour vos êtres chers, pour ceux qui souffrent, pour celui qui a un parent à l'hôpital dans un état grave. Bien qu’elle n'en parle pas, elle pense à tous: aux jeunes et aux enfants malades. Quand elle dit qu’elle prie, soyez en sûrs, elle prie beaucoup et n'oublie personne.

Mes chers enfants, je vous rappelle que la rencontre biblique est importante. Vous savez que votre Evêque fait un poème de chaque ligne. Quand vous remarquez qu’une personne y manque, appelez-la et si elle a décidé de ne plus venir, n'insistez plus, merci.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés et surtout les malades, les enfants seuls et orphelins. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Tu te sens mal, ma petite fille, n'est-ce pas ?

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Emanuele, donne un baiser à la petite Madone ensemble avec ta petite soeur ?

Marisa - Adieu. Pardonne moi si je ne parviens pas à accepter toutes ces souffrances qui chaque jour me semblent devenir plus fortes. Je te recommande les personnes que tu sais. Adieu, toutes mes salutations à ma maman et à mes neveux. Adieu.

Nous attendons; tu vois que nous nommes très patients. Adieu.

Rome, le 29 mai - 19h00 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Je viens toujours avec un grand amour au milieu de vous et cette fois ci je ne veux parler ni de la guerre, ni des francs-maçons, ni des autres qui vous font souffrir. Je veux seulement vous parler du grand amour que Dieu a pour vous. Même si vous ne comprenez pas bien ce que Dieu demande et veut, croyez moi; Dieu vous aime. Parce que vous êtes peu nombreux, il me vient la pensée de vous dire: "Etant donné que vous êtes peu nombreux, vous recevez une plus grande part de l’amour divin, parce que si Dieu devait partager son amour avec tous ceux qui viendront ici demain, il ne vous resterait pas grand chose".

Marisa - Tu dis ceci pour nous remonter le moral. L’amour de Dieu est grand pour tous parce qu’il est infini.

La Madone - Bravo. Je voulais t’entendre dire que l’amour de Dieu est grand pour tous les hommes de bonne volonté, pour tous ceux qui font la volonté de Dieu, pour ceux qui reçoivent Jésus en état de grâce. Je vous recommande de recevoir Jésus en état de grâce et de veiller à ne pas commettre de sacrilège; malheur à ceux qui ne reçoivent pas Jésus en état de grâce.

Le mois de mai se termine cette fois avec beaucoup de précipitation pour différentes raisons, avant tout à cause de la santé de votre soeur, qui n’a pu seulement être que quelques fois parmi vous. Vous célébrerez demain la grande fête de la Pentecôte, la fête de l’Esprit Saint, la fête de Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit et aussi votre fête. Cherchez à la fêter avec la prière, j’entends, sur le plan spirituel, du mieux que vous le pouvez. Faites une belle procession, soyez recueillis. Ne vous retournez pas pour regarder qui c’est ou qui ne c’est pas, mais invoquez l’Esprit Saint afin qu’il descende sur chacun de vous.

Mes chers enfants, votre soeur a souffert aujourd'hui une passion terrible, les stigmates ne se sont pas ouverts, n'ont pas versé de sang parce qu’ils ont déjà saigné abondammen, mais elle a beaucoup souffert pour vous tous, pour les malades, tous les enfants pauvres qui l’aiment; vous devez également prier pour tous les enfants.

Marisa - Voilà! Une petite fille est ici parce qu’elle va bien.

La Madone - Vous devez prier pour tous les enfants pauvres, malades, qui n'ont ni nourriture, ni médicaments.

Vous devriez être comme de petits anges, purs, chastes, bons et chercher à sauver les âmes avec votre mode de vie. Dieu vous bénira et continuera à vous aimer. Je ne vous répète plus que Dieu tient ses promesses car je vous l’ai déjà dit maintes fois, mais vous pensez chaque jour à quand et comment Dieu tiendra ses promesses. Je ne le sais pas ! Vous devez chercher à vivre chaque jour toujours en union avec Dieu et à le prier sans vous poser tant de pourquoi. Il est difficile de comprendre ou de connaître les pourquoi de Dieu, mais vous savez que Dieu vous aime.

Bonne Fête de Pentecôte à tous et que l’Esprit Saint descende demain sur chacun de vous et vous aide à comprendre et à vous aimer les uns les autres.

Merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre évêque ordonné par Dieu, évêque de l’Eucharistie, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Avant de terminer avec les salutations je vous rappelle que celui qui dit du mal de l’Evêque, ne le respecte pas, commet un péché grave.

Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Tu me les feras voir tous demain ?

La Madone - Oui, Marisella.

Marisa - Adieu. Acceptez-nous comme nous sommes, nous ne pouvons être parfaits, seul Dieu est parfait .

La Madone - Parfaits non, mais bons.

Marisa - Adieu.

Rome, le 30 mai - 11h00 (Lettre de Dieu)

Fête de la Pentecôte

Marisa - Le ciel est illuminé, de toutes les couleurs et voici le premier Jésus. Le second Jésus que je reconnais aux stigmates est sorti du premier. Le troisième Jésus, l’Esprit Saint avec la colombe, est également sorti du premier Jésus. Les trois Jésus sont présents parmi nous. Ce lieu thaumaturgique ne pouvait recevoir un plus grand don.

Jésus, je me tourne vers toi, parce que c’est en toi que j’ai le plus de confiance: aide tous les malades, tous les jeunes et les enfants malades. Aide les missionnaires et tous ceux qui se trouvent en guerre, spécialement ceux où règne la guerre civile, parce que les enfants et les mères y meurent et les hommes s'y entretuent avec tant de facilité.

Le premier Jésus embrasse les deux autres Jésus. Je reconnais Jésus Eucharistie aux stigmates et l’Esprit Saint à la colombe.

Jésus - Mes chers enfants, je suis votre Jésus que vous aimez tant et pour lequel vous faites l’adoration en permanence. Je suis votre Jésus Eucharistie qui est mort et ressuscité pour vous tous. Alléluia.

J’ai fait de grandes oeuvres pour vous, j’ai guéri les malades et je vous ai donné toutes ces choses dont vous avez besoin.

Oh, combien de guerres se sont déclarées dans le monde. Dans quelles nations se battent les hommes ? Là où il est possible d'y gagner de l’argent. Et les pauvres meurent. Je vous ai dit il y a peu de temps que j’avais emmené votre soeur au Népal. Elle y a vu tant de misères et tant de femmes et d’enfants tués.

Vous demandez des grâces et si c’est la volonté de Dieu, elles viendront pour guérir ceux qui sont malades spirituellement et physiquement. Même dans votre belle Italie, il y a beaucoup de pauvres et de personnes dans le besoin.

La fête de la Pentecôte est célébrée dans toutes les églises, mais pour vous c’est une fête double et plus sainte parce que le 11 juin 2000, fête de la Pentecôte, l'hostie a saigné dans les mains de votre Evêque pendant la Sainte Messe, au moment de la consécration. Souvenez-vous de ce miracle Eucharistique qui s'est réalisé un an après l’ordination épiscopale de Don Claudio par Dieu. C’est la plus grande confirmation que Son Excellence Monseigneur Claudio Gatti a bien été ordonné évêque par Dieu. Quand l’ordination épiscopale a eu lieu, je le répète à tous, Dieu n’a pas dit: "Si tu le veux je t’ordonne évêque", il ne lui a pas demandé sa permission, il a seulement dit: "je t’ordonne Evêque ". Depuis lors mon et votre évêque a souffert de tant de méchancetés, en particulier de la part des hommes d’eglise. Mais un an après, le jour de la Pentecôte exactement, Dieu a accompli ce grand miracle qui a secoué tout le monde. C’est le plus grand miracle, le plus beau qui pouvait arriver pour confirmer que l’ordination épiscopale de Don Claudio est bien l’oeuvre de Dieu, parce que Dieu peut faire ce qu’il veut. Il peut secouer le monde, faire pousser des arbres jusqu’au ciel, faire mourir des hommes s’il a décidé de les conduire au Paradis, ou en faire vivre pour souffrir la passion. Dieu peut tout faire, mais ceci les hommes ne le comprennent pas, en particulier les hommes d’eglise. Si Dieu commande à un homme, sans lui en demander la permission: "Je t’ordonne Evêque, Evêque de l’Eucharistie!", ce dernier ne peut s'y opposer. Votre Evêque a pleuré ce jour là, parce qu’il savait fort bien que les hommes d’eglise ne l’accepterait pas. Depuis lors il est arrivé ce que vous savez aujourd'hui, mais jusqu'à sa mort, Don Claudio restera l’Evêque ordonné par Dieu, votre Evêque, l’Evêque de tous et demain il sera élevé à des hauteurs vertigineuses.

Mes chers enfants, c’est votre Jésus qui vous parle avec tout son amour infini. J’aime aussi ceux qui ne me connaissent pas, ne savent pas aimer et ne connaissent pas l’Evangile. Convertissez-vous et croyez en l’Evangile! Il y en a tant qui ne connaissent pas l’Evangile, mais vous, vous le connaissez. Vous avez parcouru un très beau chemin. Celui qui a suivi les enseignements de l’Evangile et je vous ai déjà dit que votre Evêque en fait de chaque ligne un poème, l’a mis en pratique, l’a relu à la maison et a écouté les cassettes, jouit déjà à moitié du Paradis. Celui qui reçoit Jésus en état de grâce, jouit de l’autre moitié du Paradis, vous pouvez donc déjà être au Paradis, si vous le voulez.

N'oubliez jamais le miracle du 11 juin 2000, fête de la Pentecôte, accompli une année après l’ordination épiscopale de Don Claudio. C’est la preuve tangible que Dieu a bien ordonné votre Evêque.

Je vous invite à continuer à prier, parce que je sais que vous attendez avec beaucoup d'impatience le grand jour, le jour du grand triomphe. Ce jour arrivera quand votre évêque gravira les degrés et que votre soeur sera au Paradis. Vous jouirez alors et ceux qui ne pourront en jouir parce que Dieu les aura déjà appelés, ils en jouiront au Paradis s’ils sont en état de grâce.

Je vous bénis tous! Ensemble avec la Sainte Trinité, mon et votre Evêque, je vous bénis tous.

Marisa - Jésus est maintenant rentré dans le premier Jésus et l’Esprit Saint également. La Madone arrive maintenant, mais elle n’a pas l’Eucharistie. Elle est venue pour nous bénir.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. Merci. Demandez, demandez, demandez les grâces dont vous avez besoin.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que votre êtres chers, les malades et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Meilleurs voeux à tous. Bonne Sainte Messe et recevez mon Fils Jésus en état de grâce.

Marisa - Tu m’avais promis que je verrais la maman et les petits neveux.

La Madone - Les voilà, Marisella!

Marisa - Merci! Au revoir à tous.

Mamma mia! La lumière était encore plus intense et avait tant de couleurs. Les trois Jésus sont apparus. Jésus avec les stigmates est sorti du premier Jésus comme toujours et l’Esprit Sain est également sorti du premier Jésus, puis ils sont rentrés dans le premier.

L’Evêque - C’est le mystère de la Sainte Trinité: Dieu le Père est la source de la divinité, Dieu le Fils est engendré du Père et l’Esprit Saint procède du Père et du Fils. Un seul Dieu en trois personnes égales et distinctes.

Marisa - Mais aujourd'hui Dieu était encore plus beau, il est toujours plus beau à chaque fois.

L’Evêque - C’est comme avec une peinture. Une peinture paraît belle à distance, mais plus on s'en rapproche, plus elle nous paraît belle parce qu’on la voit mieux. Il en est de même pour Dieu, plus on s’approche de Dieu, plus il nous semble beau. Plus quelqu’un est saint, plus il voit et jouit de Dieu. Marie est la plus sainte des créatures parce qu’elle est la plus proche de Dieu. Elle jouit de sa présence plus que les autres et elle le voit plus beau que les autres. Ceci s’applique également aux créatures qui jouissent de Dieu au Paradis et à celles sur la terre auxquelles Dieu décide de se manifester sous des formes différentes, comme celles de Jésus. C’est seulement au Paradis que l'âme atteint un niveau de sainteté si élevé que la jouissance de Dieu y est complète et totale, mais nous devons garder présent à l'esprit que la jouissance de Dieu au Paradis sera fonction de la sainteté que nous aurons acquise sur Terre .

Marisa - Mamma mia, en aurais-je un peu ?

L'évêque - Oui, je pense que oui.

Rome, le 31 mai 2004 - 19h00 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, c’est aujourd'hui le dernier jour du mois de Marie et la fête de la visitation à Sainte Elisabeth. J'étais enceinte de Jésus et Elisabeth de Jean; les deux bambins se sont entretenus dans le ventre de leurs mamans.

Le mois qui m'est dédié se termine et le mois dédié à mon fils Jésus commence. Vous direz peut-être: "La petite Madone nous demande toujours tant de choses". Non! Si vous vous en souvenez, je venais tous les jours les années passées, puis j’ai commencé à réduire ma présence parce que j’ai noté que vous n’alliez pas bien, que vous étiez fatigués, que c'était trop pour vous de venir ici chaque jour. Alors Dieu le Père m’a dit: "Va rendre visite à mes enfants trois fois par semaine". Même ainsi l'engagement et le nombre des personnes a diminué; les gens ne sont plus venus. Dieu avait décidé du vendredi , parce que vous veniez déjà pour la rencontre biblique, du samedi en souvenir du premier samedi du mois et parce que personne ne travaille ce jour là et du dimanche parce que c’est le jour du Seigneur, mais même ainsi cela semblait trop à beaucoup et ils voulaient venir encore moins. Moi, parfois, mes chers enfants, je ne sais pas comment me comporter, car si Díeu le Père me dit de descendre sur la Terre, je dois lui obéir et venir, même si je ne trouve ici que l’Evêque et la voyante. Je suis certaine que cela n’arrivera pas.

Quand je vous ai parlé du respect dû à l’Evêque, je ne m’adressais pas seulement à vous, mais à tout le monde. Vous savez comment les prêtres, évêques, cardinaux, religieux et laïcs et quelques uns ici présents traitent l’Evêque. Lui avec sa sainte patience a aidé une âme et que s'est-il passé ? Elle lui a manqué subitement de respect. Je vous ai dit fréquemment que celui qui manque de respect à l’Evêque commet un péché grave, parce que l’Evêque a été ordonné par Dieu et qu’il est saint comme l’a dit Jésus. Pourquoi continuer ainsi ? Vous n'êtes plus des gamins, vous êtes tous grands à l'exception des enfants. Pourquoi agissez-vous comme des enfants ? L’Evêque vous a tant donné, aux adultes comme aux jeunes. Pourquoi tout cela ? Pourquoi manquer de respect à une personne qui vous aime tant ? C’est pour cette raison que je vous répète chaque fois de recevoir mon Fils Jésus en état de grâce. Vous péchez si vous offensez l'évêque, il est alors inutile de vous approcher de Jésus Eucharistie parce que vous l’offensez.

Le message de Dieu consistait à vous encourager et à vous donner de bonnes nouvelles, mais malheureusement j’ai du le changer parce que vous continuez à manquer de respect à l’Evêque. Vous n'êtes pas nombreux à lui manquer de respect, car vous avez heureusement progressé et en fait il n'y a qu’une personne qui continue à lui manquer de respect. Si l’on reconnaît que l’on n'est pas bon, que l’on est méchant, on doit dire: "Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit aide moi car je suis faible et je n’ai pas la force de changer".

J’aurais aimé conclure ce mois de mai d'une façon plus belle. Je vous adresse à tous mes remerciements pour la journée d'hier qui a été très belle et pour celle d’aujourd'hui où vous avez fait preuve d'un grand amour envers l’Eucharistie. Vous n'êtes malheureusement pas nombreux. Certains répètent toujours qu’ils habitent loin, mais si des personnes viennent de Pescara, Teramo, Foligno et d’autres villes, pourquoi ne pourraient-ils pas venir également d'Ostie et du quartier de l’EUR de Rome ? Est-ce que ce sont des lieux éloignés ?

Je demande aux jeunes ici présents, de s’aimer, de s’aider et d’aider l’Evêque.

Marisa - Je n’ai pas de mots pour te remercier pour Mariaole, Sara, Emanuele, Samuele e Jacopo, essaie de le faire aller bien parce qu’il doit prendre l’air. Ce sont les bébés que tu as donnés à ces enfants. Je te remercie du fond du coeur. Je ne suis pas préoccupée en ce qui me concerne, mais j’aimerais que l’Evêque soit respecté par tous, par les hommes d’eglise aussi. Je n’ai pas l’impression que ce soit trop demander.

La Madone - Marisella, pas à pas nous y arriverons. Vous devez faire preuve de beaucoup de patience.

Quand vous avez une petite souffrance, vous la grandissez, quand l’Evêque a une grande douleur, vous dites: "L’Evêque est fort, il sait qu’il doit souffrir". Non, ce n'est pas ainsi car la souffrance est ressentie et elle est très forte. Cherchez donc à l’aider et à l’aimer parce que lui vous aime énormément. Qui sait ce qu’il ferait pour vous voir tous réunis, comme lorsque vous faites l’adoration. Quand vous faites l’adoration Eucharistique vous procurez une grande joie à mon Fils Jésus. Mais au point de vue importance, la rencontre biblique suit l’adoration.

Je vous invite maintenant à participer à la Sainte Messe comme si c'était pour vous la dernière. Priez, chantez, pas avec force et pour qu’on entende votre voix, mais avec douceur et amour. Glorifiez Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Continuez à prier le Saint Esprit chaque jour: l’invocation est très courte et prend peu de temps. Quand vous tenez des enfants dans vos bras et les cajolez, invoquez l’Esprit Saint pour qu’il descende sur eux.

Marisa - Je veux te recommander tous les malades qui ont téléphoné: Fabrizio, cet adolescent de 18 ans qui a été mis dans cet état par la faute des médecins, tu le sais.

La Madone - Oui, Marisella, les médecins ont …

Marisa - Et puis je te recommande toutes les personnes qui font appel à mes prières et dont sincèrement je ne me souviens plus.

La Madone - Sois tranquille, je m'en souviens, ne te fais pas de soucis. Maintenant c’est la Sainte Messe.

Marisa - Est-ce que le bébé fille te plaît ? Quels joyaux vous avez fait. Sara, Emanuele, qui sont hors de vue et la petite Mariasole qui sourit. Je te demande de les protéger quand ils auront grandi et que je ne serai plus là. Tu es la maman de tous.

Je voudrais te demander une chose; aide Emanuele et Jacopo, fait qu’ils deviennent des enfants saints et forts.

Adieu, maman; adieu les petits, adieu.

La Madone - Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. C’est bien, comme tu veux.

Elle est partie.

Messages de Juin 2004

Rome, le 3 juin 2004 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, c’est le dernier mois au cours duquel vous pourrez assister aux rencontres bibliques, à l’apparition et à la Sainte Messe célébrée par votre Evêque. Il reste peu de temps, puis il y aura deux mois de vacances et vous ne devrez plus faire la course pour venir ici dans ce lieu thaumaturgique: en tous les cas, que ceux qui le peuvent, continuent à venir ici. Vous devrez prier pour vos deux amis, je parle naturellement de l’Evêque et de la voyante qui quitteront Rome pour se reposer.

Cette année a été si dure pour eux, remplie de tant de souffrances, de douleurs physiques et morales. C’est pourquoi le repos leur revient de droit. Priez pour que tout se passe bien, parce que chaque fois que ces deux pauvres enfants sont partis, il est toujours arrivé quelque chose qui a ruiné leurs vacances. Nous aimerions cette fois que tout se passe bien. Si quelque chose ne va pas bien, c’est avant tout parce que l’un de vous ne marche pas droit; ce n'est pas bien. Priez, priez Jésus Eucharistie. Que ceux qui restent à Rome, continuent à venir prier ici dans ce lieu thaumaturgique et que ceux qui partent, continuent à prier à la maison ou à l'église pour les hommes puissants, les petits, les malades et surtout les pauvres petits enfants en Afrique, ainsi que pour bon nombre d’autres intentions. On a tant besoin de prières.

J’ai parfois l’impression que lorsque je parle, celui qui a fait des études de médecine a peine à me comprendre alors que celui qui m'écoute avec plus de simplicité et se dévoue totalement aux soins des malades peut me comprendre. Tous peuvent comprendre ce que je dis, car mon langage est adapté à la voyante que Dieu a choisie. Ce que je dis est aisé à comprendre et convient à tous; tous peuvent le comprendre, même le petit Jacopo.

Vous attendez le triomphe et vous avez raison; je suis avec vous, mais vous devez faire preuve de beaucoup de foi et de patience. Vous connaissez les lettres de Saint Paul qui a tant de fois invité ses fidèles à faire preuve de patience. Même vous, vous dites souvent que l'évêque ressemble à Saint Paul quand il parle.

Marisa - Saint Paul est beau maintenant, parce qu’il est au Paradis, mais il n'était pas beau lorsqu’il était sur la Terre.

La Madone - Marisella, je parle de choses sérieuses.

Marisa - Tu as raison, je me suis encore trompée.

La Madone - Quand l’Evêque parle de Saint Paul, il le fait d'une façon très spéciale et très particulière, parce qu’il veut vous faire comprendre les écrits de Saint Paul. Il veut que ses paroles entrent dans vos cœurs. Quand vous faites la rencontre biblique, il y a ceux qui s’abandonnent dans les bras du Seigneur et ceux qui prennent des notes pour rester éveillés. Je sais que c’est tard et que vous êtes fatigués après une journée de travail, mais il n'y a que le soir où les jeunes peuvent être présents. Si le sommeil vous prend, ne vous faites pas de soucis à ce sujet, Dieu ne vous en tiendra pas rigueur. Ceux qui réussissent à prendre des notes et à faire des enregistrements peuvent les passer le lendemain à ceux qui n'ont pas eu la force d'écouter. Cherchez à apprendre tout ce que votre Evêque vous dit sur Saint Paul, parce que tout y est plein de force, d'indulgence, de patience et de souffrance.

Le triomphe spirituel est déjà arrivé. Armez-vous de beaucoup de patience dans l’attente du triomphe humain. Vous savez comment vont les choses dans ce monde si cruel, violent et méchant, mais vous ne savez pas vraiment tout ce qui s'y passe. Les hommes continuent à tuer avec autant de facilité. C’est pourquoi je vous demande de prier même si vous en êtes loin. Priez en famille, faites une petite prière et invoquez l’Esprit Saint tous les jours. Que ceux qui ont des enfants les bénissent. Je suis avec Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit, mais je suis aussi toujours avec vous, même si vous ne remarquez pas ma présence.

Dimanche prochain, ce sera la fête de la Sainte Trinité: Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Puis ce sera la grande fête du Corps et du Sang de Jésus, mais vous devez penser également à fêter le 20 juin, jour où fut annoncé que Dieu avait ordonné Evêque Don Claudio. Cette annonce fut répétée le 24, le 27 et le 29 juin 1999.

Vous pensez en vous-mêmes: "A quoi cet évêché a-t-il servi ?". Humainement parlant, à rien pour l’instant, mais vous avez maintenant un évêque qui vous instruit, vous accompagne et vous accueille chaque fois que vous en avez besoin, comme sait le faire Mons. Claudio Gatti. C’est très important, allez trouver l’Evêque pour la direction spirituelle, mais pas pour parler de choses et d’autres, ne perdez pas de temps et ne lui faites pas perdre son temps.

Oui, Mariasole a compris ce que je veux dire.

Allez trouver l’Evêque pour la direction spirituelle et pour vous confesser. Celui qui connaît sa propre paroisse sait fort bien qu’il n'y a pas d’autre prêtre comme votre Evêque; profitez en, ne laissez pas passer le temps.

Je me répète encore: recevez mon fils Jésus en état de grâce, aimez-vous les uns les autres, priez les uns pour les autres, voulez-vous mutuellement du bien comme Jésus et moi, nous vous voulons du bien. Merci.

Marisa - Je veux te recommander tous les malades qui font appel à mes prières. Il y en a tant. Tous les jours quelqu’un téléphone pour les malades. Je te les recommande et tu les recommandes à Dieu.

La Madone - Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Nous ferons de notre mieux, nous ferons tout pour être comme tu le veux, mais fais que nous allions un peu mieux. Adieu.

Elle est partie.

Rome, le 5 juin 2004 -19h00 (Lettre de Dieu)

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est votre Jésus qui vous parle parce que ce mois m'est dédié. Je ne suis pas venu les jours précédents parce que Dieu vous a envoyé la Maman. Je suis venu aujourd'hui bien que ce soit le premier samedi du mois, mais ne vous inquiétez pas, la Maman est avec moi. Je vous rappelle que c’est demain la Fête de la Sainte Trinité.

Comme la Pentecôte, le jour où l’Esprit Saint est descendu sur Marie, ma et votre Maman, et sur les apôtres, est une grande fête, demain est également une grande fête, car c’est la fête de Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et de moi, votre Jésus.

Vous savez à présent que lorsque votre Evêque célèbre la Sainte Messe, je vis au moment de la consécration, la passion, la mort et la résurrection. Votre sœur vit chaque jour la passion; parfois il semble que tout doit finir et puis les plaies s'ouvrent de nouveau et le sang en coule.. Pourquoi tout cela ? Dieu n'en a pas besoin ? Non, mais il se sert d'une âme simple pour vous faire comprendre combien son amour est grand. Pourquoi ? Parce que les guerres sévissent partout. Si rien de grave n'est arrivé hier en Italie, c’est grâce à Dieu qui a choisi cette créature pour souffrir la passion qui est chaque jour plus atroce.

Vous savez comme elle aime chanter, comme elle chantait avant et que Dieu lui a également retiré sa voix. Hier, elle a pleuré au cours de la répétition parce qu’elle souffrait la passion, de douleurs naturelles et ne pouvait pas chanter. Pourquoi toute cette souffrance ? Pour vous. Priez chaque soir pour son Excellence, comme l’appelle grand-mère Iolanda, pour la communauté, pour les jeunes ou ex-jeunes de la communauté, pour tous. s’il n'y a eu hier qu’un petit incident à Rome, c’est grâce à Dieu qui n’abandonne personne et se sert de toutes les âmes. Oh, elles ne sont pas nombreuses les âmes qui se donnent entièrement à Dieu et font Sa Volonté.! Il est parfois très difficile de comprendre la Volonté Divine. Vous voyez votre sœur sourire, faire des recommandations et petits reproches en plaisantant, comme quand elle a vous fait remarqué comment tenir les mains pendant la prière. Vous n'êtes pas obligés d'obéir, mais elle vous a enseigné comment se tenir pendant la prière et la Sainte Messe et c’est à vous ensuite de vous tenir correctement devant Dieu, la Sainte Trinité et la Mère de l’Eucharistie.

Je vais maintenant vers le Père et je vous laisse la Maman. Vous savez que ma présence suffit pour vous bénir. La Maman doit rester un peu et prier avec vous, comme toujours pendant le Saint Rosaire.

Marisa - Tu t’en vas sans rien me dire ?

La Madone - Mes chers enfants, je suis votre Maman. Ce n'est que pour votre bien que je vous fais des reproches maternels, parce que Dieu veut le meilleur de vous-mêmes et vous pouvez le donner parce que vous aimez Dieu.

Je veux surtout vous remercier pour avoir fait l’adoration eucharistique, je veux également remercier ceux qui ont aidé à tenir en ordre l’Eglise et ont décoré l’autel. J’ai dit à l’Evêque: "Quand tu te sens démoralisé, accroche toi à l’autel, au tabernacle et tu seras sauvé". Je vous le répète également.

L’Evêque sera encore longtemps avec vous, mais votre sœur approche du but. Quand Marisella sera arrivée à destination, je n’apparaîtrai plus parmi vous, mais votre sœur viendra et vous reconnaîtrez mon et son parfum. Je vous demande de faire preuve de courage, de vous aimer, de ne pas regarder qui travaille plus ou moins, mais de faire tout par amour de Dieu. Aimez-vous comme Dieu vous aime, aimez-vous les uns les autres, priez les uns pour les autres et vous serez heureux et contents.

La vie sur la Terre ne consiste pas uniquement à courir travailler, à affronter les problèmes de la famille et des enfants. Tout cela est bien, mais vous devez vous souvenir qu’il y a Dieu et que lorsque vous avez des problèmes, il intervient d'une façon ou d'une autre. Il envoie les parents comme anges pour aider les enfants ou les enfants comme anges pour aider les parents. Il se sert également de personnes sur la terre pour aider les hommes et les femmes qui souffrent. j’espère m'exprimer clairement. Je parle simplement comme je parle à votre sœur. Elle est simple et je parle simplement, mais s’il y a quelque chose que vous ne comprenez pas, Son Excellence, Monseigneur Claudio Gatti, est toujours à votre disposition. Allez le trouver pour lui demander des explications.

Je vous recommande de ne pas négliger la direction spirituelle. Ce n'était pas ainsi autrefois, mais vous la négligez maintenant, alors que vous êtes toujours ponctuels au travail. Mettez Dieu à la première place.

Votre sœur prie chaque jour jusqu'à tard dans la nuit pour chacun de vous et surtout pour les malades: faites de même. Tous mes meilleurs vœux pour la fête de demain. Fêtez Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Merci. Loué soit Jésus Christ.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les enfants du tiers monde qui sont privés de tout. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Vous ne le voyez pas, mais l’Esprit Saint est présent et illumine tout.

Courage, Marisella, tu ne peux même pas chanter. Tu sais ce que Dieu t’a demandé.

Marisa - C’est bien. Adieu, adieu maman; adieu trésors, adieu amour, adieu à tous, adieu petits. Si vous venez à nous, je dois vous saluer, je dois vous embrasser; je suis prise parfois entre deux feux.

La Madone - Fais ce que tu sens devoir faire, parce que tout est pour la gloire de Dieu, Adieu, Marisella.

Marisa - Adieu.

Rome, le 6 juin 2004 - 10h45 (Lettre de Dieu)

La Sainte Trinité

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Comme tu le vois, Marisella, les trois Jésus sont présents: Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et moi Dieu le Fils. C’est aujourd'hui la fête de la Sainte Trinité. On ne se souvient qu’un jour de cette fête et on devrait s'en souvenir tous les jours. Tous les hommes, du Saint Père à la plus petite créature du monde, devrait toujours fêter la Sainte Trinité.

Moi, Jésus, je vous invite à prier pour les prochaines élections. Que représentent les élections ? Une grande dépense d’argent et un grand triomphe pour ceux qui se sentent forts et puissants. Ces personnes contactent directement les hommes puissants de l’Eglise pour obtenir leurs voix. Au lieu de dépenser tout cet argent pour la campagne électorale, pourquoi ne l'envoie-t-il pas aux pauvres et aux enfants pour les guérir et les sauver? Pourquoi ne pas sauver les pauvres gens, comme les filles mères et aider les missionnaires ? Combien d’argent est gaspillé dans ce monde ! Ils ne font rien d’autre que de faire des élections dans toutes les parties du monde et ne se rendent pas compte que ce sont toujours les pauvres qui paient. Les riches se portent toujours bien: qu’ils gagnent ou qu’ils perdent, ils ont toujours de l’argent; les pauvres, les vieux, les malades et les enfants souffrent toujours.

Quand Dieu m'embrasse et l’Esprit Saint, il nous appelle Fils et nous sommes Dieu même nous. Que devons-nous faire pour convertir les âmes ? Combien de fois ai-je dit, convertissez-vous et croyez dans l’Evangile ? Aidez ceux qui en ont besoin. Au lieu de cela ils font les élections. Les hommes politiques et les prélats de l’Eglise sont toujours bien devant les hommes mais comment sont-ils devant Dieu ?

Moi, Jésus, je n’ai rien d’autre à vous dire, sinon de prier pour que ces grands personnages du monde et de l’Eglise comprennent qu’ils doivent se convertir. Ils font les guerres, les élections et les grande fêtes pour l’argent. Ils rassemblent de grandes foules autour du Saint Père pour l’argent. Ils font tout pour l’argent.

Nous passons maintenant à la promesse de ces deux jeunes, mais pour cela je laisse la place à la Maman.

Marisa - Les deux Jésus rentrent maintenant dans le Père.

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Je suis votre Maman. Mettez en pratique ce que vous a dit mon Fils Jésus. Il a dit peu de choses, mais si justes.

Je suis venue pour aider ces deux jeunes et pour leur faire comprendre combien la promesse de se marier est importante. La promesse doit valoir pour toujours. Vous ne pouvez penser faire cette promesse, puis la renier, vous ne pouvez avancer puis reculer. La promesse n'est pas une bagatelle, c’est quelque chose d'important; ceci vaut également pour ceux qui devront suivre ces deux jeunes. Vous devez faire votre promesse avec amour, pureté, loyauté et respect mutuel. Vous devez être prudents comme des serpents et simples comme des colombes.

Je bénis ces anneaux comme l’a fait Jésus. Vous n’avez pas remarqué quand Jésus les a bénis, mais comme je vous l’ai déjà dit, il n'est pas besoin de faire le signe de croix parce qu’on est béni par sa seule présence

Mes chers enfants, écoutez ce qu’a dit Jésus et mettez le en pratique.

Mes deux chers enfants, tous mes vœux pour que votre promesse dure, J’aimerais vous dire qu’elle dure pour l'éternité, mais puisqu’on ne peut arriver à l'éternité, qu’elle dure au moins jusqu'à la mort.

Merci à tous ceux ici présents pour les prières et l’adoration Eucharistique, merci de tout.

Merci à toi, Excellence, toi qui te donnes tout entier aux âmes. Je dois dire que les jeunes s'endorment de temps en temps et oublient à leur âge ce qu’ils ont à faire. Il faut qu’ils se réveillent de ce long sommeil.

Marisa - Béni celui qui a sommeil et reste malgré tout éveillé!

La Madone - Je suis avec vous et comme je vous l’ai promis, je vous aiderai toujours.

Mes chers enfants, allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel.

Bonne Fête de la Sainte Trinité. Priez Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Si vous avez lu le premier livre des messages de Dieu (La Catéchèse de Dieu), sachez que j’ai enseigné à ne pas chasser les mouches quand on fait le signe de croix. Celui qui a de bonnes manières doit faire un bon signe de croix, qu’il se souvienne de cette chose importante.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Ils l’ont prise et emmenée.

L’Evêque - Et nous sommes encore ici.

Marisa - Nous sommes malheureusement encore ici.

Rome le 12 juin 2004 - 19h00 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ. Mes chers enfants, la Maman vous remercie de votre présence et surtout d’avoir fait l’adoration Eucharistique. C’est une grande joie pour moi de vous voir prier devant Jésus Eucharistie, même si tous ne le font pas, et je suis aussi heureuse que mon Fils Jésus l'est aussi.

Vous savez qu’il y a un an, en parlant du triomphe spirituel de l’Eucharistie, que vous avez déjà obtenu et que l’un d’entre vous a oublié, votre Evêque a lancé l’idée d'une année Eucharistique ouverte à toute l’Eglise. Deux jours plus tard, le Saint Père en parlait également. Comme se fait-il que tout ce que dit votre Evêque se trouve rapporté avec ses propres mots ? Cela veut dire que tout ce qu’il dit est enregistré et rapporté en hauts lieux. Toutes les réflexions, les idées, les inspirations qui vous sont transmises par votre Evêque, sont immédiatement connues hors d'ici. Cela devrait être pour vous une joie et une satisfaction de voir que les hommes d’eglise, entendent, écoutent, peu importe de quelle façon, et répètent ce que dit votre Evêque. Ne vous inquiétez pas à ce sujet, laissez les faire, laissez les écouter.

Il y aura demain une grande fête. Votre Evêque vous a expliqué que le Corps, le Sang, l’ame et la divinité de Jésus se trouvent dans l’Eucharistie, c’est la Sainte Trinité. Vous connaissez également un cantique très simple et beau qui dit: "Vive Jésus Eucharistie, vive la Mère de l’Eucharistie qui est la racine de l’Eucharistie ".

Demain si le temps le permet, car cela ne dépend pas de nous, vous ferez une belle procession. Sortez tout ce que vous avez préparé: drapeaux, fleurs, étendards. Quand vous faites la procession, vous n'êtes pas tous recueillis, mais la majeure partie le sont et prient conformément aux intentions de l’Evêque. Combien de fois ai-je dit: "Priez pour votre Evêque, il en a besoin, croyez moi", comme je disais aux femmes pieuses, aux apôtres et aux disciples: "Priez pour votre Jésus parce qu’il en a tant besoin ". Aujourd'hui en 2004, je vous dis, bien que vous soyez peu nombreux: "Priez pour votre Evêque parce qu’il en a bien besoin".

Il y aura demain une grande fête, une des plus grandes. Rappelez-vous le 11 juin 2000 quand le sang a jailli de l'hostie dans les mains de votre Evêque ? Ceci était pour vous faire comprendre que le Corps et le Sang de Jésus sont présents dans l'hostie. Ce miracle s'est accompli un an après l’ordination épiscopale de Don Claudio par Dieu, mais les petits et les grands hommes d’eglise n’acceptent pas encore cette ordination épiscopale. Son Excellence Monseigneur Claudio Gatti a été ordonné Evêque par Dieu, il est Evêque de l’Eucharistie, Evêque de l’amour. Je vous demande des prières et des sacrifices pour que les hommes d’eglise acceptent l’Evêque ordonné par Dieu. Je vous demande aussi de préparer la clôture de l’année sociale qui aura lieu le 29 juin.

Quand vous partirez en vacances, n’abandonnez pas la prière, continuez à prier, prier et prier. Apprenez à aimer, puis prier; c’est ce qu’a dit mon fils Jésus. Si vous priez et n’aimez pas, qu’obtenez vous ? Rien. Je vous vois, je lis dans vos cœurs, comme vous le savez bien et je sais qui aime et prie et qui prie et n’aime pas. Donc courage, aimez, puis priez.

Je vous attends tous ici demain. j’espère que les absents d’aujourd'hui, seront présents demain. Ce sont du reste les derniers dimanches et puis il y aura le 29 juin où vous fêterez les cinq années d'épiscopat de Votre Evêque et les quatre années du miracle Eucharistique. Le 29 juin sera une grande fête pour le Paradis et la Terre.

Courage. Jésus a dit, j’ai vaincu le monde. Vous vaincrez, également pour le triomphe de l’Eglise. Merci.

Ensemble avec mon et votre Evêque …

(Marisa montre à la Madone la première page du petit journal sur laquelle sont reproduites les images de Saint Joseph, Saint Paul, Paul VI et de notre Evêque)

La Madone - Oui je les ai vues, Marisella, ne m’interromps pas.

Marisa - Je veux te faire voir ton époux!

Le Madone - Saint Joseph, Saint Paul, Paul VI et Monseigneur Claudio Gatti: ces quatre personnages ont beaucoup de choses en commun, ils feront triompher l’Eglise comme Jésus le veut.

Marisa - Regarde comme ton époux est beau! Excuse moi. Maintenant toi aussi tu me grondes souvent.

Ecoute, vas-tu faire guérir mes plaies ? J’ai honte de les avoir.

La Madone - Tu dois faire la volonté de Dieu.

Recommençons. Ensemble avec mon et votre Evêque, et les quatre grands personnages de l’Eglise, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Je bénis tous les enfants, en particulier ceux pour lesquels tu as tant souffert, Marisa. Allez dans la Paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 13 juin 2004 - 11h15 (Lettre de Dieu)

Fête du Corps et du Sang du Christ

(La procession Eucharistique est à peine terminée)

Jésus - Continuer, achever la longue prière, la longue adoration et la procession eucharistique n'est pas seulement ma tâche, mais également celle de Dieu le Père et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Jésus, aide tous les malades, tous ceux qui sont dans le besoin. Je sais que tu as beaucoup parlé dans nos cœurs et surtout dans celui de notre Evêque. Nous cherchons la meilleure façon de te fêter, de t'honorer, de prier et de souffrir.

Jésus - Mes chers enfants, votre Jésus doit vous communiquer le message de Dieu qui est plein d’amour à votre égard. Réfléchissez: où s'est réalisé en premier le triomphe de l’Eucharistie, le triomphe spirituel ? Dans ce petit lieu thaumaturgique où un petit cénacle est réuni. Pour le moment il ne vient pas beaucoup de monde dans ce sanctuaire. Dieu a choisi ce lieu pour le sanctifier et sanctifier ceux qui y viennent.

C’est aujourd'hui la fête du Corps et du Sang de Jésus, ma fête! Tu es unie à moi par le sang qui continue à couler en abondance des stigmates et tu en connais la raison: sauver le Pape.

Paul VI en premier et puis Jean Paul II sont restés indemnes là où ils devaient être assassinés. La dernière fois, pour ne pas les énumérer toutes, lors de la récente visite du président américain en Italie.

Mêmes les journées d'hier et d’aujourd'hui devaient être de feu et Dieu le Père a cherché par tous les moyens à l'étouffer en demandant la souffrance à qui peut l’accepter, pas à tous.

Moi, devant tant d’amour de votre part, la procession et les paroles dites par votre Evêque, je devrais resté silencieux et tout devrait se terminer avec la Sainte Messe, une messe à laquelle vous devriez participer comme toujours en cherchant par tous les moyens à la vivre comme si c'était la dernière de votre vie.

Mes chers enfants, mes petits enfants bien-aimés, je sais ce que vous attendez. Le temps vous semble long mais pas à nous. Dieu peut décider d'intervenir à tout moment, mais il attend encore des conversions, des conversions et encore des conversions. Comment sauver autrement l’Eglise ? Cette Eglise est dirigée actuellement par des hommes qui ne recherchent que le pouvoir, l’argent et les premières places. Vous ne voulez pas cela. Quand tout aura changé, quand l’Eglise sera renouvelée, tout sera beau pour ceux qui pourront la voir. Je vous ai déjà dit que tout changera à la mort de votre sœur et à l’ascencion vertigineuse de votre Evêque. Pour ceux qui ont vécu loin d'ici, qui ont calomnié, diffamé et vous ont frappé, ce qui revient à me frapper moi, il sera alors vraiment trop tard pour se convertir. Ne vous éloignez jamais du lieu thaumaturgique, mais faites comme votre Evêque, accrochez vous autant que vous le pouvez au tabernacle, c’est-à dire à moi, Jésus. Laissez de côté les petits problèmes journaliers, libérez vous de l'envie et de la jalousie, soyez simples, sincères, honnêtes et bons; souhaitez-vous mutuellement du bien.

Je retourne maintenant vers le Père et le Saint Esprit retourne également vers le Père. Dès que vous aurez reçu la bénédiction, car ma présence fait office de bénédiction, la Maman vous serrera tous sur son cœur et vous couvrira de son manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Ces plaies vont-elles se fermer ?

Jésus - C’est Dieu qui décide, mon enfant.

Marisa - Adieu. Je ne me sens pas bien, j’ai eu beaucoup de contrecoups pendant la procession: aide-moi à assister à la Sainte Messe. Adieu.

Oui, j’ai compris, c’est bon, comme vous voulez.

Jésus - Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit et la Mère de l’Eucharistie, les anges, les saints et les âmes sauvées sont avec vous.

Marisa - Merci, Merci. Je ferai tout ce que je peux. Adieu.

Don Claudio, pardon, Excellence, ils sont tous partis, même Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

L’Evêque - Pendant la Messe, à la consécration, ils seront de nouveau avec nous.

Marisa - La Madone sera également avec toi lors de la célébration de la Sainte Messe.

Rome, le18 juin 2004 - 19h00 (Lettre de Dieu)

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est votre Jésus qui vous parle. C’est aujourd'hui la fête de mon Sacré Coeur. Quand vous récitez le Saint Rosaire, vous répétez l’oraison jaculatoire à mon Cœur; ce qui me rend très heureux. Personne au monde n’a joui d’apparitions aussi fréquentes que vous; ma Maman est venue hier; je suis venu aujourd'hui vous transmettre mes meilleurs voeux et vous inviter à commencer la neuvaine pour le 29 juin.

Merci de l’adoration, même si beaucoup n'y ont pas participé, mais Dieu qui voit tout du haut du Ciel est content de ceux qui la font avec amour et non dans le but de se faire remarquer. Certains la font dans cette intention, mais Dieu voit ceux qui ont aimé et qui l’aiment.

Mes chers enfants, votre Jésus est parmi vous. Bien qu’il y ait sept milliards d'hommes et des milliers de sanctuaires dans le monde, je sui ici, dans ce lieu rendu saint par Dieu. Je suis le Fils de Dieu, Je suis la Seconde Personne de la Sainte Trinité, Je vous aime. Je vous rappelle quand je vous ai dit pour la première fois: "Apprenez à aimer et puis priez"? Apprenez à respecter l’Evêque, faites ce qu’il vous dit, n'en faites pas à votre tête. Si quelque chose plaît à votre Evêque sous une certaine forme, vous devez faire comme il lui plaît. Vous pouvez lui donner des conseils, mais faites ce qu’il dit, ceci est respect et amour.

Chaque fois que je vous fais un compliment ou vous dit que vous avez fait un pas en avant, il se passe quelque chose et quelqu’un recule. Cela suffit maintenant! Il y a des années que nous venons parmi vous et nulle part ailleurs il n'y a eu autant d’apparitions qu’ici. Priez, croyez au Saint Evangile, aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés. Moi, Jésus, j’ai donné ma vie pour chacun de vous. Aimez-vous en frères, aimez-vous toujours. Ne regardez pas la paille dans l’oeil de votre frère mais la poutre dans le vôtre. Si quelqu’un se trompe, reprenez le, mais s’il n’a commis qu’une légère faute, ne faites rien. Priez; regardez le tabernacle, accrochez-vous au tabernacle. Seul Jésus, l'Homme-Dieu peut vous aider et vous sauver.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je bénis les malades, il y en a tant, et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et la Maman vous couvre de son manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Tu m’as promis que demain tu me ferais voir maman.

Jésus - Sois tranquille, Marisella.

Marisa - Adieu, Jésus. Tu es mon époux, mais comme tu me fais souffrir! C’est bon, j’accepte la souffrance, pourvu qu’elle sauve des âmes; comme tu le veux. Mais maintenant cela suffit avec le sang. Des douleurs autant que tu veux, mais pas de sang. Adieu.

Don Claudio, Excellence, pardon, Jésus est parti.

Rome, le 20 juin 2004 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Jésus - Mes chers enfants, merci de votre présence. Comme vous le savez bien, mes meilleurs voeux vont à votre Evêque pour ses cinq années d'épiscopat. Ce n'ont certainement pas été cinq années de joie. Au cours de ces années, l’Evêque n’a pas vu beaucoup d'âmes autour de lui, mais Dieu est content ainsi. Les choses spectaculaires ne plaisent pas à Dieu et s’il s'est descendu dans ce petit lieu, c’est parce qu’il aime les petites choses. Votre Evêque est un grand personnage aux yeux de Dieu, imitez-le dans la prière et le travail qu’il accomplit pour les âmes; même lorsqu’il rencontre des musulmans, il a toujours un mot pour eux, il donne son aide à tous.

Les meilleurs vœux de tout le Paradis vont à votre Evêque, avec l'espérance que l’année nouvelle sera une année de joie pour tous.

Je suis Jésus, celui qui t’a ordonné Evêque et tu le resteras jusqu'à ta mort et même après, parce qu’après ils comprendront. Méditez cette phrase: "Evêque ordonné par Dieu". Après deux mille ans, tu es l’Evêque ordonné par Dieu. Après les apôtres, après Saint Paul, Saint Claudio est arrivé.

Les saints ne sont pas seulement au Paradis, mais également sur la Terre où ils donnent un bon exemple et témoignage; ceci vaut pour tous, et en majeure partie pour votre Evêque. Je vous demande comme toujours de bien prier pour lui. L'engagement le plus important de toute grande fête religieuse est la prière. L’adoration Eucharistique que vous faites le vendredi me donne beaucoup de joie, même si tous n'y participent pas. Ceux qui répondent à cette invitation sont très agréables à mon Coeur.

Je répète ce qu’a déjà dit ma et votre maman: obéissez à votre Evêque! Si l’Evêque vous dit de faire une chose, vous devez la faire comme il le dit. Vous pouvez lui donner des conseils, mais c’est à lui que revient le dernier mot.

Mes meilleurs vœux, Marisella, mon épouse bien-aimée. Je sais que tu ne tiens pas à être fêtée, que tu es heureuse que je vienne fêter avant tout ton évêque, ton frère, ton ami. Vous en êtes maintenant à 33 années de vie communautaire et cette vie a été très belle, très pure et très sincère. Je t’ai entendu dire tant de fois à des personnes: "Pour avancer, pour s’aimer, la sincérité et le dialogue sont nécessaires". Mes deux enfants ont progressé par leur sincérité; ils ont reçu des coups de tous les côtés, mais la sincérité, la loyauté et le dialogue n'ont jamais manqué entre eux. J’aimerais que vous aussi, vous fassiez de même. Ceci est l’amour vrai, c’est le grand amour que Dieu désire.

Moi, Jésus, je dis à mes deux chers enfants de prédilection: "meilleurs voeux!", à toi un peu moins, Marisella.

Marisa - Je sais, je viens toujours après l’Evêque, mais je suis heureuse qu’on l’aime. Je suis heureuse, heureuse, si heureuse quand je vois que l’Evêque est aimé, mais quand au contraire on le fait souffrir, je souffre moi aussi.

Jésus - Que la tristesse s'envole maintenant, pensez à écouter la Sainte Messe pour votre Evêque et Dieu vous bénira tous.

Je suis Dieu, la Seconde Personne de la Sainte Trinité. Comme tu vois, Marisella, j’ai les stigmates. Tu les as presque tous recouverts pour qu’on ne les voit pas, tu t’es vraiment fait faire vraiment un grand pansement.

Marisa - Oui, parce que je suis gênée.

Jésus - Mes chers enfants, courage et en avant! Vous attendez quelque chose de grand?

Marisa - Oui, oui. L’Evêque ne dit rien, mais il dit oui dans son coeur j’en suis sûre. Mais que la volonté de Dieu soit faite, comme toujours.

Je veux te recommander tous les malades.

Maintenant tu t’en vas toi aussi ?

La Madone - Regarde qui je t’ai amené?

Marisa - Maman, maman! Tu te souviens quand tu disais: "Prions pour son Excellence?". Maintenant que tu es au Paradis, continue à prier pour lui. Si tu peux aller voir Dieu, va et recommande le à Dieu. Adieu, maman, comme tu es belle, comme vous êtes tous beaux.

Merci, merci.

La Madone - Je t’avais promis, Marisella, que je t’amènerais ta maman!

Ensemble avec mon et votre Evêque, son Excellence, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis en particulier tous les enfants et tout spécialement ceux qui sont malades. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Pourquoi pleures-tu Marisella ?

Marisa - Je pleure de joie, je suis heureuse.

Ecoute, maman voit-elle toutes ces plaies sur mon corps?

La Madone - Non, non, j’ai pensé à tout.

Marisa - Merci, adieu.

La Madone - Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 24 juin 2004 - 20h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Oui, j’ai compris. Je te recommande toutes celles qui attendent un bébé et ont des difficultés pour l’avoir, la petite Elisa, Lidia et tant d’autres qui se sont recommandés à mes prières. Je te les confie tous et tu les confies à Dieu le Père.

La Madone - Mes chers enfants, c’est aujourd'hui la dernière rencontre biblique, certains en seront peut-être heureux, d’autres pas. Ce sont toujours les mêmes personnes qui y participent, les autres n'ont même pas ressenti le désir de venir à la dernière rencontre.

Il reste encore cinq jours jusqu'à la grande fête, je parle ici du point de vue spirituel, pour l’anniversaire de l’ordination épiscopale de votre Evêque et pour la clôture de l’année Sociale, qui a été une année très difficile et très dure non seulement pour mes deux petits enfants mais pour vous tous également. Il semble que la souffrance court derrière chacun de vous, mais au total vous pouvez dire: "Nous avons remporté la victoire!". Comme Jésus, qui est mort sur la croix pour rouvrir le Paradis à tous ceux qui veulent y aller, est heureux, vous aussi, vous devez être heureux.

Le 29, vous fêterez également Saint Pierre et Saint Paul. Saint Paul est le grand ami de votre Evêque, ils sont très proches l’un de l’autre et se ressemblent. C’est une fête pleine de souvenirs! Je vous aiderai à tout bien faire, à que tout soit O.K. Comme d'habitude, faites la procession, en silence et avec recueillement. La dernière fois quelqu’un était distrait, s'est retourné pour voir ceux qui étaient présents. Quand vous portez le Saint Sacrement en procession, vous devez toujours rester recueillis, ne regarder ni à droite ni à gauche, ne pas regarder si les bannières sont bien droites ou de travers. Unissez-vous à mon Fils Jésus, priez pour la conversion de beaucoup de pécheurs et pour chacun de vous, pour vos êtres chers, vos enfants, petits-enfants et vous verrez que tout deviendra plus facile.

Quand je vous fais des reproches maternels, vous vous corrigez et quand je vous fais des compliments, vous vous écroulez; cela vous ne l’avez pas encore compris. Quand vous priez, êtes à l’Eglise, participez à la Sainte Messe, faites la Confession et la Communion, vous devez le faire avec recueillement et en silence.

Dernier jour de la rencontre biblique; quelqu’un n'y a pratiquement jamais participé.

Marisa - C’est moi. Que puis-je faire?

La Madone - Au cours de cette dernière rencontre biblique, cherchez vous-aussi à parler, à dire quelque chose, à demander des explications. Où trouverez-vous un Evêque qui se consacre tout entier aux âmes? Je fais le tour de beaucoup de paroisses et je vois comment on y fait la rencontre biblique, c’est très décevant.

Courage, cherchez à mettre en pratique les petites recommandations que je vous ai faites. Le 29, faites une grande fête, en premier en l'honneur de Saint Pierre et de Saint Paul. Excuse moi, Excellence, si je les mets avant toi, puis fêtez votre Evêque à l’unisson, sans commérages, sans parler dans le dos des autres et avec amour; c’est ce qui plaît à Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Mes chers enfants, la Maman se retire parce qu’elle aussi se prépare à participer à la Sainte Messe à côté de l’Evêque. Priez, ne soyez pas distraits, surtout les membres de la chorale, cherchez à tout faire du mieux possible, tout pour l’amour de Jésus.

Ensemble avec mon et votre Evêque, son Excellence, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ-

Rome, le 26 juin 2004 - 19h00 (Lettre de Dieu)

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Votre Jésus est venu vous parler parce que c’est le mois qui m'est dédié, qui est dédié à mon Coeur et aussi au vôtre. J’aimerais tant que vos cœurs soient miens et que nous formions tous ensemble un seul coeur.

Il reste à peine trois jours d'ici la fête de Saint Pierre et Saint Paul et de l’anniversaire de l’ordination épiscopale de votre Evêque; continuez à prier! Je veux remercier ceux qui ont fait l’adoration du Saint Sacrement, ceux qui sont venus de loin et ceux qui prient même s’ils ne peuvent être ici présents. Priez pour les malades, il y en a tant. Le nombre des malades augmente comme celui de ceux qui ne m’aiment pas, moi Jésus. Il y a tant de personnes à convertir, c’est pourquoi je viens et vous demande de prier et d’aimer. Ensemble avec moi, formons un seul cœur. Pensez comme c’est beau: le Coeur de Jésus uni aux coeurs de ceux qui lui ont été fidèles en venant chaque fois qu’ils ont été appelés, soit pour la neuvaine, soit pour l’adoration, soit pour la Sainte Messe et ont toujours été présents.

Approche toi, maman! A mon Coeur, je veux ajouter le Coeur de la Mère de l’Eucharistie et celui de mon père Joseph et l’agrandir toujours plus avec les âmes en état de grâce, les âmes qui vivent en état de grâce et les âmes qui ne font pas souffrir volontairement.

Rappelez-vous que la vie n'est pas seulement faite de travail et de tâches domestiques. Mes deux enfants font l’adoration du Saint Sacrement dans la chambre de Marisella, parce qu’elle ne peut descendre. Elle est descendue aujourd'hui, mais elle a été fort éprouvée par le démon qui a maltraité tout son corps alors qu’elle chantait. Elle éprouvait de la joie à chanter parce qu’elle avait plus de voix que d'habitude et le démon l’a attaquée, mais n’a pas gagné. Elle a continué à chanter, à sourire, à plaisanter en dépit des douleurs et des coups. Aucune des personnes présentes ne s'est rendue compte de ce qui arrivait à cette pauvre enfant; elle a tout offert pour vous, pour la conversion des pécheurs et surtout pour son Evêque, notre Evêque.

Cherchons à unir nos coeurs à ceux de la Mère de l’Eucharistie, de Joseph, de tous les anges et saints du Paradis et de ta maman, Marisella, pour en faire ainsi un cœur énorme qui aime Dieu, un cœur qui prie Dieu ainsi: "Dieu, convertis les hommes, nous ne sommes rien mais nous prions beaucoup pour les autres ".

Il ne reste que trois jours de préparation pour l’anniversaire de l’ordination épiscopale de votre Evêque. Souvenez-vous et n'oubliez jamais que Mons. Claudio Gatti est le plus grand Evêque de l’Eglise, parce qu’il a été ordonné par Dieu et non par les hommes. Dieu ne lui a pas demandé sa permission, il lui a seulement dit: "Je t’ordonne évêque!". Il ne lui a pas dit: "Si tu veux, tu es libre d’accepter ou de refuser". Il a obéi et cette obéissance lui a valu beaucoup de souffrances qu’il ne vous est même pas possible d'imaginer, mais son coeur si proche du Coeur de Jésus et de celui de la Mère de l’Eucharistie est devenu grand et beau comme le nôtre.

Meilleurs vœux à tous et merci!

La Madone - Je suis la Mère de l’Eucharistie et après ce qu’a dit mon Fils Jésus, je n’ai rien d’autre à dire. Ensemble avec mon et votre Evêque, son Excellence, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Souviens-toi, Marisella: un seul coeur!

Marisa - Que c’est beau! Adieu, maman; prie pour son Excellence, adieu.

Don Claudio, j’ai dit à maman de prier pour son Excellence.

Rome, le 27 juin 2004 -10h30 (Lettre de Dieu)

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est votre Jésus qui vous parle encore aujourd'hui. Après vous avoir dit hier que mon Coeur, celui de ma Mère, de Joseph et vos coeurs devaient être tous unis, deux personnes continuent à boîter fortement, à manquer de respect à votre Evêque et à en faire à leur aise. Moi, Jésus, qui aime tous les hommes, les pécheurs aussi, que dois-je dire? Je dis que dans l’union de tous ces cœurs, il n'en manque que deux parce qu’ils ne veulent pas se corriger et ne veulent pas changer. Chaque jour votre Evêque a été prêt à reprendre ces personnes avec charité et amour. Il les a vraiment suppliées en disant: "Conduisez-vous bien au moins ces derniers jours où nous sommes ensemble, ensuite nous partirons". Cela n’a servi à rien, ils ont désobéi, ont eut des pensées qui restent sur mon coeur car si je devais parler, tout dire, un scandale éclaterait. Je vous répète, mes chers enfants: "Formez ce coeur comme je vous l’ai dit hier, aimez ceux qui souffrent, les malades, ceux qui sont loin, ceux à qui les évêques ont interdit de venir dans ce lieu thaumaturgique.". Pourquoi? Que fait-on dans le lieu thaumaturgique? On y prie et on y prie beaucoup, mais les évêques ne veulent pas que leurs diocésains viennent ici et font du chantage à ceux qui travaillent sous leurs ordres; ceci n'est pas bien. Savez-vous ce que cela signifie ? Ils leur retirent leur travail. Alors les bons laïcs et les bons prêtres ne viennent pas parce qu’ils ont peur d'être privés de leur charge et de leur travail. Mais, même les évêques ont peur à leur tour. Mais de quoi? Quand tout triomphera, alors ces évêques devront trembler. Vous avez le courage de venir, parce que vous savez où se trouve la vérité.

Même si des milliers de personnes se rassemblent pour les grandes fêtes dans beaucoup de lieux, ma Mère est ici, je suis ici, dans le lieu que Dieu a rendu thaumaturgique et saint. Qu’est ce que cela signifie ? Vous êtes des personnes intelligentes pour comprendre que si la Maman du ciel et moi sommes ici, c’est parce que ce lieu a été rendu saint par Dieu. Nous ne recherchons pas les grandes foules, ni les grands sanctuaires où tant de monde se rend mais ne prie pas. Les personnes raisonnent ainsi: "Si beaucoup de monde y va, alors j'y vais aussi". Ici il n'y a pas beaucoup de gens et ils disent: "Qu’irais-je faire là-bas ?". C’est leur prière. Quelle est votre prière? Celle du sacrifice parce que parfois vous avez également les parents contre vous. Mais vous écoutez la Parole de Dieu et vous avancez sereinement et tranquillement. Vous vous rendez compte que peu à peu tout s’aplanira pour ceux qui veulent changer. Ceux qui vivent la tête en l’air, qui ne pensent ni à Jésus, ni à Marie, ni à l’Evêque, ni à vous tous ne changeront jamais et ne se sauveront pas. Ils n’auront plus l’aide de l’Evêque parce qu’ils l’ont eu, même trop. Je dis à l’Evêque: "Excellence, cela suffit, cela suffit de parler aux têtes vides, aux personnes hautaines, orgueilleuses et menteuses, c’en est assez!". Souviens-toi de ce que j’ai fait ? J’ai pris le fouet et je les ai tous chassés. Pense aux âmes qui veulent te suivre, qui t’aiment, qui veulent changer, qui viennent pour la direction spirituelle. Je te demande de m'obéir. Tu dois seulement parler si des situations graves interviennent, sinon, cela suffit, laisse les. Quand le moment viendra ils se rendront compte de ce que veut dire ne pas avoir aimé.

Marisa - Tu t’en vas déjà, Jésus?

Jésus - Oui, je m'en vais mais je t’envoie la Maman.

La Madone - Moi, la Maman, je n’ai plus rien à ajouter, après ce qu’a dit mon Fils Jésus, je vous dis seulement de lui obéir et de mettre en pratique ce qu’il vous a dit.

Je vois tout une rangée de madones, bien alignées comme vous devriez l'être pendant la procession: en silence, avec recueillement, priant, chantant et sans vous retourner pour regarder les gens, parce que Dieu est présent. Regardez toujours en avant..

Je le dis moi aussi à l’Evêque: "Cela suffit!".

Marisa - Moi ou toi?

La Madone - Moi, mais dis lui toi aussi.

Marisa - Je lui ai déjà dit ce matin: "Cela suffit!".

Excellence, cela suffit!

L’Evêque - Cela suffit!

Marisa - Il a dit: "Cela suffit".

La Madone - Merci, mes chers enfants, de votre présence, je remercie surtout ceux qui avec des sacrifices sont venus de loin. Courage, Ugo, le but est proche.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Ecoute, où est maman? La voilà! Adieu, maman, adieu.

Cela suffit!

Rome, le 29 juin 2004 - 10h50 (Lettre de Dieu)

Jésus - Vous avez chanté avec ma Maman, l'hymne à l’amour, le Magnificat, et moi, Jésus, j'étais parmi vous. Ma Maman vous a suivis pas à pas pendant la procession du Saint Sacrement et à un certain moment, regardant votre soeur, elle lui a dit: "Courage, marche, va jusqu’au bout". Cela a été très dur et douloureux pour elle de marcher à côté de l’Evêque.

Moi, Jésus, je suis si heureux de tout ce que vous avez préparé et réalisé, même s’il y avait quelques inexactitudes, mais cela ne fait rien. Tout ne réussit pas bien toujours, mais vous avez réussi à tout bien préparer, vous avez été vraiment braves. Vous étiez recueillis pendant la procession, même si l’un d’entre vous a parlé, parmi tant de personnes il y a toujours quelqu’un qui perd le fil de ce qu’il doit faire.

Aujourd'hui c’est une très grande fête, mieux encore, il y a plusieurs fêtes mais c’est avant tout l’anniversaire de l’ordination épiscopale de votre Evêque; je vous demande de prier pour lui de tout votre coeur. Les religieuses qui sont ici présentes et rencontrent beaucoup de difficultés dans leur communauté et les laïcs qui ont été éloignés de ce lieu thaumaturgique par le chantage et la menace de perdre leur travail, doivent prier d'une façon particulière.

Vous faites aussi aujourd'hui la clôture de l’année Sociale, une année pleine de fatigue, de souffrances, d’amertume mais aussi de joie, parce que vous ne pouvez également pas vous imaginer combien d'âmes, pas de cette cité, se sont converties et sont revenues vers moi. Même des musulmans et des protestants qui ne croyaient pas à l’Eucharistie se sont tournés vers Jésus Eucharistie. A vous je dis de ne pas vous habituer, recevez-moi toujours dans votre cœur avec tout l’amour que vous pouvez donner. Vous vous rappelez quand je vous ai dit: "Formons un grand coeur avec le mien, celui de ma et votre Maman, de mon père Joseph et les vôtres "? Votre soeur a vu au Paradis un grand coeur embrassant toutes les âmes saintes.

Moi et ma Maman, chaque fois que nous venons dans le lieu thaumaturgique, nous demandons prières et souffrances, nous vous demandons de vous aimer, d'être humbles et sincères. Que l’orgueil, la présomption, le désir de se distinguer disparaissent; ce sont les humbles et les simples qui vont au Paradis; Si vous ne devenez pas comme les petits enfants, vous n'entrerez pas au Royaume des cieux.

Quand il faut dire quelque chose, faire des reproches vous ne devez pas reculer. Combien de fois vous l’ai-je dit ? Vous ne devez pas dire: "Je ne fais pas de reproche parce qu’il est plus grand, au-dessus de moi ". Si tu sais que tu es dans la vérité et que l’autre ment, tu dois le reprendre. C’est ce que je vous ai enseigné dans l’Evangile, c’est ce que le grand Saint Paul, l’ami fraternel de notre Evêque, dit également dans ses épîtres. Saint Pierre et Saint Paul étaient deux hommes bourrus, mais forts, courageux, sincères qui se sont battus contre tous pour me faire connaître et aimer, moi Jésus Christ. Votre Evêque le fait aussi; il lutte, se bat et s’il voit que quelque chose ne va pas, il le dit et ne l'envoie pas dire. L’Evangile enseigne que lorsque quelqu’un se trompe, même si c’est un supérieur, même si c’est le Pape, il faut le reprendre. Si les supérieurs ne font pas leur devoir, ils ne sont rien en face de Dieu et doivent être repris.

J’ai le cœur plein d’amour pour vous et veux que vous veniez tous au Paradis avec moi, la Maman, Joseph et tous les anges et les Saints.

Vous avez fait une belle et douloureuse préparation. Merci à tous: aux adultes, aux jeunes et aux enfants qui ont jeté des fleurs devant Jésus Eucharistie. Merci surtout à ceux qui sont venus de loin, très loin, comme Henry. Continuez ainsi et priez, priez, priez. Que dois-je dire après tout ce que vous avez fait, devant tant de beauté et votre amour qui en est sorti? Que peut encore vous dire votre Jésus? De vous aimer! Apprenez à aimer et puis priez parce que ce ne sont pas les enfants qui font souffrir mais les adultes qui parlent parfois même pendant l'exposition du Saint Sacrement.

Permettez moi d’adresser mes meilleurs voeux aux ministres extraordinaires parce que c’est également leur anniversaire et ils le méritent. Votre Evêque vous veut précis, sincères, humbles et simples. Quand vous y arriverez, alors tout sera beau sur la Terre et au Ciel.

Souvenez-vous de prier pour votre Evêque, parce qu’il porte une lourde croix sur ses épaules, il porte l’Eglise sur ses épaules, priez pour lui. Pour celui qui ne sait pas prier, il suffit qu’il dise: "Jésus, Marie, aidez notre Evêque". Tu seras heureuse, Marisella, là-haut dans le Ciel.

Oui, ici à côté de Moi, il y a ta maman. Vois comme elle est belle?

Marisa - oui, cela me touche de la voir. Oh, que d’enfants, même des négrillons, les africains! Don Claudio, ce sont les enfants que nous avons baptisés quand Jésus nous envoie en bilocation dans le monde.

Jésus - Oui, ils sont tous ici, à côté de grand-mère Iolanda.

Courage, cela doit te donner la force d’accepter la souffrance que Dieu t’envoie et ces stigmates qui continuent à saigner. Fait le pour ton Evêque, accepte tout pour ton Evêque, pour la lourde Eglise qu’il porte sur ses épaules. Ce ne sont pas les murs qui sont lourds mais les hommes d’eglise. Tu souffres et offres pour l’Evêque.

Marisa - Jésus est parti avec tous les anges et les saints. Voici la petite Madone!

La Madone - Mettez en pratique les paroles de mon Fils Jésus: aimez-le et aimez-vous. La règle "Apprenez à aimer et puis priez" est très importante, il est inutile de réciter beaucoup de prières si ensuite on n’aime pas le frère ou l’ami, si on n’aime pas l’Evêque.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus-Christ.

Marisa - Adieu. Je donne un baiser à maman et aux petits-neveux, parce que je n'en ai pas donné avant.

Excellence, ils sont tous partis.

L’Evêque - Ils reviendront ensuite pour la Sainte Messe.

Marisa - Jésus, la Madone et Saint Joseph viendront pour la Sainte Messe.