Année sociale: 2005-06
L'Année de l'Amour
Les messages suivants de Dieu n'ont pas été traduits par un traducteur professionnel. S.E. Mons. Claudio Gatti a reconnu l'origine surnaturelle des apparitions (Décret du 14/9/2000), il n' a toutefois donné son approbation ecclésiastique qu'aux messages en langue italienne, parce qu'il n'est pas responsable des fautes éventuellement commises par le traducteur.
Messages de Septembre 2005
Fonte San Lorenzo (MC), le 3 septembre 2005 - 15h00 (Lettre de Dieu)
La Madone - Mes chers enfants, mes très chers enfants, je vous remercie vous qui êtes venus si loin. Vous avez affronté un voyage qui a demandé aussi quelque sacrifice.
Mes chers enfants, souvenez-vous quand Don Claudio a été ordonné Evêque? Comme il a souffert! Que Dieu a-t-il fait et dit l’année suivante? "Je ne fais pas de miracles pour ceux qui ne sont pas en état de grâce". Cette phrase: Dieu n’accomplit pas de miracles dans les mains d'imposteurs, figure dans la lettre adressée au Pape par votre Evêque. Si votre Evêque avait été un imposteur, l’année suivant sont ordination épiscopale, il n'y aurait pas eu le grand miracle eucharistique pendant la Sainte Messe, quand au moment de la consécration, après avoir prononcé les paroles de Jésus, le sang est sorti de l’Eucharistie; bon nombre d’entre vous étaient présents ce jour-là.
Marisa - Pensons maintenant au pèlerinage; faites-le avec tout l’amour possible, ne parlez pas, priez aussi en voiture, récitez le Saint Rosaire, priez le plus que vous pouvez pour la paix dans le monde, pour les missions, pour les enfants, pour tous ceux qui meurent et pour ce qui s'est passé à la Nouvelle Orléans. J’ai été de nouveau en bilocation au Nigeria et dans d’autres nations africaines où il y a beaucoup de souffrances. Beaucoup d’enfants sont morts dans mes bras, parce qu’ils avaient faim, soif et n’avaient rien. Et nous, que faisons-nous? Nous jetons la nourriture, par notre faute, parce qu’elle n'est plus bonne. Ceci est un grave péché. Dieu a dit: "C’est un grave péché de jeter de la nourriture", parce que beaucoup de gens meurent de faim. Je le répète: les enfants surtout ont faim, ont soif, sont nus, n'ont rien et te regardent avec ces grands yeux comme pour dire: "Aide-moi, maman, je suis aussi ton enfant". Ceci fait beaucoup souffrir. Avec moi, il y avait la Madone, mes petits neveux et naturellement l’Evêque qui a confessé et célébré des mariages.
Quand vous êtes en voiture, ne dites jamais du mal de quelqu’un, mais priez et aimez. Souvenez-vous que l’amour est la vertu qui nous conduit au Paradis où seul l’amour existe; la foi et l'espérance sont des vertus que l’on pratique pendant la vie sur Terre. Après la mort, il reste seulement l’amour et au Paradis il n'y a que l’amour. Malheureusement, tous ne le comprennent pas. Est-il si difficile de s’aimer, de se vouloir du bien? Si un frère se trompe, il faut le reprendre, le corriger comme le dit le Saint Evangile. Vous devez souffrir pour le frère, l’aider et l’aimer jusqu'à la fin, quand la mort arrivera et qu’il s'envolera au Paradis.
C’est ce que désire la Madone, c’est ce que désire Jésus. La Sainte Trinité descend maintenant au milieu de nous! Que ceux qui le peuvent, se mettent à genoux devant la Trinité. O Trinité bienheureuse, aide-nous à aimer tous les hommes de la Terre, même ceux qui nous font souffrir.
Quand vous serez arrivés à fonte San Lorenzo, le lieu béni par Dieu, priez, prenez de l'eau et buvez en parce qu’elle est bénie par Dieu, tout est saint dans ce lieu, comme notre lieu à Rome est saint.
Maintenant que la Trinité s'en va, la petite Madone arrive, nous regarde et nous demande de mettre en pratique ce que Dieu a écrit dans sa lettre.
Souvenez-vous que l’amour vainc tout et que je suis toujours avec vous. L’Evêque célébrera pour vous la Sainte Messe à Fonte San Lorenzo. Je n'y serais pas, je ne peux malheureusement pas parcourir cette route, je ne peux pas marcher. Soyez heureux d'y aller écouter la Sainte Messe, faites silence, ne tournez pas la tête de droite à gauche, mais regardez où se trouve Jésus, notre Jésus.
La Madone - Merci encore à tous d'être venus ici.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les enfants présents et ceux absents, je bénis tous les enfants malades.
Marisa - Et il y en a beaucoup, croyez moi, beaucoup! Quand je vais dans les hôpitaux, je vois beaucoup d’enfants malades, j’essaie de les aider, de leur enlever leurs douleurs et je fais de même avec les adultes. Je prends leurs douleurs, puis le Seigneur me les enlève, il ne me les laisse pas pour toujours, mais ce jour-là les douleurs des enfants et des adultes deviennent miennes.
La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Souvenez-vous de la lettre au Pape, ne l’oubliez pas.
Merci à tous d'être venus. Adieu à tous.
Messages d'Octobre 2005
Rome, le 1er octobre 2005 - 18h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Je viens parmi vous à un moment critique pour l’Evêque et la Voyante. Je suis très heureuse que ce soit aujourd'hui le premier samedi du mois afin de pouvoir vous tenir compagnie, vous revoir, mais je ne vous ai jamais oubliés, même si quelqu’un a fait souffrir la Maman.
Participez comme vous le pouvez à ce mariage, soyez proches de Domenico et Federica, aidez-les avec la prière, l’amour, la charité et le sacrifice. La Maman le répète toujours; l’amour signifie sacrifice et pénitence. Priez pour ces deux enfants, pour toutes les mamans tous les papas et tous ceux qui aiment et suivent le droit chemin.
Marisa - Petite Madone, je désire te recommander Maria; l'emmènes-tu avec toi au Paradis? Ainsi que beaucoup de malades qui se sont recommandés à mes prières.
Voilà, Maria, je la connais bien! Bonjour, Maria, dommage que je n’ai pas pu te voir avant. Tu as fait un grand bond, tu es toi aussi auprès de maman et de Marina.
Je suis heureuse, petite Madone, merci de m’avoir fait voir Maria, je l’ai tant aimée, j’ai prié et souffert pour elle. Merci à tous ceux qui prient pour nous sur la Terre, nous en avons besoin, nous sommes seuls, seules quelques personnes nous entourent et nous aiment. Malgré tout, nous continuons à prier et à souffrir pour le triomphe de l’Eglise, pour la conversion des hommes, pour tous les enfants malades.
La Madone - Merci, Marisella. Es-tu heureuse que je t’aie fait voir Maria Winkler?
Ensemble avec mon grand Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés, en particulier ceux du mariage, les alliances que vous n’avez pas dans les mains. Courage, vous oubliez toujours les choses les plus importantes.
Je bénis ces alliances pour qu’elles vous tiennent toujours unis.
Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Embrasse aussi les alliances, Marisella.
Marisa - Merci. Adieu à tous ceux du Paradis, à grand-mère Iolanda, à Marina et à Maria.
Merci, adieu. Elle est partie.
Rome, le 7 octobre 2005 - 19h00 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ.
C’est aujourd'hui la fête de la Madone du Rosaire, mais souvenez-vous que je suis toujours la Mère de l’Eucharistie. Je prie énormément pour vous et je vous remercie de vos prières et de tout ce que vous faites, pour qu’arrive ce triomphe béni pour votre Evêque qui s'effondre de jour en jour.
Marisa - Nous te l’avons dit tant de fois: Marie, va trouver Dieu, implore-le et supplie-le, dis lui que nous sommes fatigués. Nous prions, nous souffrons, nous faisons pénitence, nous faisons l'heure sainte, mais nous ne voyons jamais rien. Marie, Mère de l’Eucharistie, je t’implore au nom de tous, supplie Jésus, supplie le Saint Esprit, mais surtout supplie Dieu, que se réalise rapidement ce qu’il a promis. Je sais que vous allez voir souvent Dieu, que vous vous mettez à genoux pour le supplier et qu’il répond: "C’est la mission, je ne peux rien faire d’autre, l'heure n'est pas encore venue". Quand viendra-t-elle ? Cela fait des années que nous peinons, que nous souffrons et nous sommes si fatigués. Quoi qu’il en soit l’amour envers le Paradis ne manque pas; nous vous aimons tant, mais faites que ce triomphe arrive pour notre Evêque. C’est un homme bon, un homme pleine d’amour et prêt à tout. Pourquoi doit-il continuer à vivre caché? Va trouver Dieu. Je dis moi-même: "Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu aide-nous, donne-nous un signe pour que nous sentions que tu es avec nous".
La Madone - Marisella, Dieu est avec vous, Dieu est avec tous. Combien de fois ne vous ai-je pas dit que vos prières ne sont pas perdues?
Marisa - Oui, je le sais, elles vont au bénéfice de tant de personnes: malades, pauvres, enfants, mais nous aussi nous avons besoin de l’aide de Dieu. Je t’en prie, je ne peux plus voir l’Evêque dans cet état, il ne le mérite pas et vous le savez, il ne le mérite pas. Vous l’avez déclaré saint et il souffre terriblement, il n’a pas la force de parler, de recommencer les rencontres bibliques, de recevoir les gens, d’accomplir ses tâches. Oh Dieu, m'entends-tu? Cela ne te fait pas de la peine? Ne peux-tu faire quelque chose? Pourquoi ceux qui ne sont pas en ordre triomphent-ils et ceux qui sont saints doivent-ils continuer à souffrir? Je t’en prie, Oh mon Dieu, je t’en prie, fais que cette grâce arrive pour lui, non pour moi. Tu le sais, je suis prête à tout, à me faire découper en morceaux, à souffrir pour lui, nuit et jour, mais que l’Evêque ne souffre plus, fais-le triompher et fais de moi ce que tu veux.
La Madone - Moi, la petite Madone, je remercie tous ceux qui prient, souffrent et participent aux rencontres de prières, font l'heure d’adoration, je vous remercie tous, mais souvenez-vous que vos prières ne sont pas perdues, mais vont à ceux qui en ont besoin, à ceux à qui Dieu les destine.
Mes voeux à tous, parce que lorsque c’est la fête de la Maman, c’est également la fête de ses enfants.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous ceux qui sont loin, qui travaillent et n'ont pu venir.
Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - As-tu compris? Va trouver Dieu, je t’en prie, va trouver Dieu, je ne peux plus voir l’Evêque dans cet état.
Elle a dit qu’elle va tous les jours trouver Dieu avec maman et tous ceux que tu sais, afin de le supplier, d'implorer. Il dit non, que le moment n'est pas encore venu.
L’Evêque - Qu’il fasse venir le moment, Il est Dieu et il peut tout faire.
Rome, le 16 octobre 2005 - 10h40 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
Mon retard est dû, malheureusement, à votre soeur qui ne va pas bien, il lui faut plus de temps pour se préparer, parce qu’elle doit faire divers pansements et prendre divers médicaments, ne vous souciez donc pas s’il y a un peu de retard; je tiens à la ponctualité, mais malheureusement il est parfois difficile de l’obtenir.
Je suis venue vous recommander toutes les personnes qui sont mortes à cause des ouragans, des tempêtes, des tremblements de terre et autres calamités naturelles. Le temps de la purification a commencé, cela je vous l’ai déjà dit. La majeure partie d’entre vous prie beaucoup, fait des heures d’adoration et pratique le jeûne, ce qui fait très plaisir à Dieu. Je sais que vous attendez quelque chose de beau et de grand, mais si la purification ne se calme pas, si les grands hommes ne se convertissent pas, tout deviendra difficile. Vous vous êtes demandés: pourquoi Dieu fait-il une promesse qui est ensuite ajournée? Il semble que nous soyons prêts du but, puis au contraire tout recule. Pourquoi? Dieu n'est pas comme vous le pensez, Dieu est amour, est joie. Il faut avoir foi en Dieu, si Dieu agit ainsi, c’est qu’il a ses raisons, que personne n’a le droit de contester et de critiquer. Quelqu’un a dit: "Pourquoi Dieu ne dit-il pas la vérité?". Cette plainte a fait beaucoup souffrir Dieu le Père. Vous attendez avec joie le grand moment qui doit arriver, mais vous savez aussi que quelqu’un doit mourir avant que ceci n’arrive. Même cette mort semble arriver, puis recule comme les promesses que Dieu a faites.
Marisa - Alors que devons-nous faire, nous les croyants, nous qui avons foi et confiance en Dieu?
La Madone - Prier, rien d’autre que prier. C’est aujourd'hui la journée des malades et il y a ici des malades. Priez pour les malades et pour que cessent toutes les catastrophes qui arrivent dans le monde. Ce qui est le plus triste, c’est que ce sont les enfants et les pauvres qui sont touchés. Que se passerait-il si une catastrophe devait arriver en Italie, à Rome? Priez Dieu que cela n’arrive jamais. Je vous demande de tout mon coeur: priez pour votre Evêque, vous pouvez le faire. Don Claudio ne célèbre pas la Sainte Messe dans la basilique parce qu’il n’a pas la force de descendre et quand il descend le dimanche, c’est avec beaucoup de fatigue mais il y fait face volontiers, parce qu’il y a quelques âmes qui l’aiment et l’attendent. J’ai dit aujourd'hui à Marisa: "Prépare toi ma fille, tu descends aussi et je t’aiderai. Je serai ici avec vous avec beaucoup de joie".
Courage et en avant. Excellence, ne te sens pas fini, n’aies pas l’impression que l’on se moque de toi, Dieu ne se moque de personne, il éprouve ceux qu’il sait pouvoir mettre à l'épreuve. Dans le monde entier, il n'y que trois personnes qui ont dit un oui total à Dieu, vous connaissez bien l’une d’entre elles. Comment peut-on dire non à Dieu quand il vous parle? Jamais! Vous devez donc avoir la foi, du courage, de la force; priez pour celui qui est malade et Le sert.
Marisa - Personne ne s'occupe de moi, personne ne me rend visite, personne ne me cherche, je ne vois personne. Si je n’avais pas l’Evêque qui me sert de père, de mère, de frère, je ne sais ce que j’aurais fait jusqu'à présent, je serais déjà morte, comme maman. Quoi qu’il en soit, je suis quand même heureuse, je veux seulement que toi et ma maman, vous veniez la nuit me consoler et m’aider parce que je n’ai plus de force. Cette nuit je me suis un peu reposée et je t’en remercie, comme je remercie ma maman. Allez aussi auprès de l’Evêque, de ceux qui souffrent, vous appellent et demandent votre aide.
Petite Madone, je sais que tu nous aimes et que tu aides ceux qui sont malades. Quand nous nous faisons le tour des hôpitaux, combien de personnes sont guéries! Je prends leurs maladies qui disparaissent ensuite, sinon comment pourrions nous aller voir les enfants à l'hôpital de l’Enfant Jésus et ailleurs? Ces enfants qui avec leurs grands yeux écarquillés, nous regardent, comme pour dire: "aide-nous!". Et nous les aidons, nous faisons ce que nous pouvons: avec tous les malheurs qui arrivent dans le monde, nous devons courir également dans d’autres nations.
La Madone - C’est bon, mes chers enfants, je compte toujours sur vous. Je vois que votre nombre diminue de plus en plus, certains sont probablement fatigués de venir, mais cela ne fait rien. Je vous ai dit une fois que je viendrais même s’il ne restait que l’Evêque et la Voyante ou seulement deux ou trois personnes, le nombre ne m’intéresse pas. Je suis toujours ici avec vous.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, tous les enfants et les objets sacrés. Je veux bénir encore plus ces femmes qui attendent un bébé et ne viennent pas. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Dieu veut que je vous dise encore qu’il y a quelques jours, l’une d’entre vous était mourante, alors j’ai pris Marisella par la main, je suis allée avec elle à l'hôpital pour l’aider et elle est guérie maintenant, elle est sauvée. Vous devez toujours remercier Dieu.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu.
La Madone - Adieu, petit Emanuele. Tu envoies un petit baiser à la petite Madone?
Marisa - Oui, ce sont des enfants en Or. Adieu.
Elle est partie. As-tu compris?
L’Evêque - As-tu compris?
Marisa - Moi, oui.
Rome, le 23 octobre 2005 - 11h25 (Lettre de Dieu)
Marisa - Jésus, Jésus! C’est toi qui es venu? As-tu quelque chose de beau à nous dire, quelque chose qui nous donne un peu de courage pour continuer sur cette route si douloureuse? Tu es si beau, Jésus! Nous t’aimons tant et la Maman le sait.
Voilà la Maman! Tout le Paradis entoure Jésus.
Jésus - Mes enfants adorés, c’est moi votre Jésus. Ne te fais pas de soucis, Marisella, au sujet de ta voix, l’important est qu’ils te comprennent.
Marisa - J’ai une boule dans la gorge.
Jésus - l’un de vous a perdu l'espérance et je suis venu pour vous la redonner.
Celui qui est à la tête, celui qui est le chef ne pourra rester encore longtemps. Celui qui devra monter ensuite sur le trône aura beaucoup à faire, à travailler; il devra destituer de leurs charges ceux qui font souffrir.
Mes deux petits enfants ont vécu 34 années de souffrance, de grandes souffrances; ce que votre Evêque vous a raconté hier n'est rien en comparaison de toutes les souffrances qu’ils ont vécues, et quelques uns d’entre vous le savent.
Je suis venu, et il m'en coûte de le dire, pour vous informer que certains cardinaux ont vraiment accompli de mauvaises actions pendant le conclave; ils ont cherché par tous les moyens à faire ce qu’ils voulaient et n'ont respecté ni le Saint Evangile ni le Code du droit Canonique. Ne pensez pas que l’Esprit Saint soit descendu sur le conclave, l’Esprit Saint est avec vous, Dieu le Père est avec vous, et moi, Jésus Eucharistie, je suis avec vous.
Marisella, tu vois derrière Moi une grande Hostie, et tous mes saints l'entourent. Tu vois une grande lumière lumineuse qui ne te fait pas mal aux yeux mais te permet de tout bien voir.
Moi, Jésus, je vous répète: ne vous découragez pas. Je sais, je sais, Excellence, que pour toi chaque jour qui passe est une semaine, chaque semaine un mois et chaque mois une année. Tu connais une partie de ma vie, ce qu’en dit l’Evangile, tu ne connais pas toute ma vie. Je voulais la dicter et la faire écrire par votre soeur, mais elle n'est pas en état de le faire. Je pourrais l’aider, mais ce serait mon oeuvre et non la sienne. Il est très difficile, quasi impossible, pour Marisella, d'écrire même une seule page. Vous ne vous rendez pas compte de l'état de sa santé. J’ai même entendu quelqu’un dire: "Marisella va bien". Ce n'est pas parce qu’elle rie, plaisante ou fait des blague que l’on peut dire qu’elle va bien, elle le fait pour vous et pour les autres. Excellence, je n’ai pas dit sourire, mais rire, c’est difficile, je le sais. Je te dicterai ma vie, Excellence, et tu l'écriras assis à ton écritoire d'or. Tu écriras ce que je te dirai et ce que tu entendras dans ton coeur, parce que tu m'entends dans ton coeur, comme tu m’as entendu hier quand tu as couru le dire à ta soeur.
Pour Nous, le triomphe n'est pas loin, mais pour vous les hommes il est loin. Je suis venu enflammer l'espérance et la foi en Dieu. Marisella, qu’as-tu dit?
Marisa - Je plaisantais avec Dieu, je ne parlais pas pour de vrai. Jésus, tu devrais comprendre que nous sommes des hommes faibles, fatigués, mais nous prions, nous faisons l’adoration eucharistique, nous récitons beaucoup de rosaires et de prières et attendons quelque chose de Toi. Je ne demande plus rien à la petite Madone, c’est à toi que je le demande directement, Jésus Eucharistie.
Oui, tout ce que tu dis est beau, c’est beau pour moi qui m'en irait bientôt, mais pour les autres ? Et pour l’Evêque? Beaucoup de promesses ont été faites à l’Evêque; les mauvaises se sont toutes réalisées, comme l’attaque de satan, mais nous ne voyons pas encore les belles. N'est-ce pas Excellence?
L’Evêque - C’est vrai, c’est vrai.
Marisa - Fais-toi entendre de Jésus.
L’Evêque - Je suis d’accord avec Marisella.
Marisa - Seigneur, est-ce que ce que j’ai dit est vrai?
L’Evêque - Jésus doit répondre.
Marisa - Seigneur, est-ce que j’ai dit est vrai?
C’est bon, je suis troublée, mais moi aussi je te dis et je te répète: fais que ce jour arrive rapidement même si cela doit être difficile et pénible au début pour l’Evêque parce qu’il sera entouré de mauvaises personnes; mais Tu peux faire place nette.
Jésus - Célébrez aujourd'hui la fête de la Mère de l’Eucharistie, de ma Maman; même si sa fête est demain le 24 octobre, mais tous travaillent demain et ne peuvent venir. Quoi qu’il en soit il y aura demain la Sainte Messe pour la fête de la Mère de l’Eucharistie.
Marisa - Que ceux qui le veulent, et peuvent venir, viennent. Si vous ne venez pas, dites-le, parce qu’alors nous prierons dans ma chambre.
Pourquoi la Madone sourit-elle? Ils sourient tous maintenant, je ne sais pas s’ils sourient de ce qu’a dit Jésus ou de ce que j’ai dit.
Jésus, veux-tu nous aider? Nous ne sommes pas beaucoup, nous sommes peu nombreux, nous sommes si peu, tu le vois toi-même. Certains sont partis, parce que déçus et fatigués, cette vie ne convient pas à tous. C’est très dur de toujours dire oui. Dernièrement j’ai également dit non à Dieu.
Jésus - Ton non ne compte pas pour Nous, ton oui grand comme le soleil est resté.
Marisa - Mais si la situation se répète, je te le dis devant tous, je ne répèterai pas ce oui.
Jésus - Marisella, veux-tu aller ?
Marisa - Oui, oui, oui, j'y vais.
Jésus - Tu vois, tu as dit oui? Donc courage, courage, courage. Excellence, ne te décourage pas, sinon tu feras une dépression et tu ne tiendras plus debout. Tu ne vas pas bien déjà et tu manges peu, très peu; Je mangeais plus avec les apôtres; nous péchions le poisson, le cuisinions et le mangions.
L’Evêque - Tu étais plus jeune que moi.
Jésus - Mais tu n'es pas vieux, quand le coeur est jeune, on est jeune. Les vieux sont ceux qui se plaignent toujours. Tu penses que tes jeunes sont plus jeunes que toi, parce qu’ils ont plus ou moins trente ans? Non, ils le sont seulement par l'âge. Tu es fort, tu es courageux, redeviens ce que tu étais avant et tu verras que Dieu ne t’abandonnera pas.
Cela fait douze ans que la Mère de l’Eucharistie vient pour tous et il y a eu 185 apparitions eucharistiques.
Braves enfants, vous avez eu de très belles idées. Mes remerciements ne s’adressent pas seulement aux jeunes, mais à tous mes enfants, donc également à ceux qui ont plus de 80 ans, comme Giulia.
Marisa - Ils sont tous adultes, pourtant ils sont petits devant toi, ils agissent comme des enfants et sourient, l’un sourit toujours et l’autre fait toujours la moue.
Voici maintenant les trois Jésus. Ils se sont tous mis à genoux parce que la Sainte Trinité est présente: Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
La Madone - Tu voulais me dire quelque chose, Marisella?
Marisa - Non, il vaut mieux pas, je parle avec Jésus parce que c’est sa fête, la fête de Jésus Eucharistie.
Jésus - Nous sommes trois Jésus, nous sommes un seul Dieu en trois personnes, nous sommes égaux et distincts.
Marisa - Le Saint Esprit a la colombe, Jésus les stigmates.
Dieu le Père - Je suis Dieu.
Marisa - Oui, Tu es Dieu. Nous t’aimons, mais cherche à faire quelque chose pour nous. Je ne comprends pas ce que je vois, je le demanderai ensuite à son Excellence.
L’Evêque - Je te l'expliquerai après.
Jésus - Cherchez à avoir espérance, courage et foi, cherchez à vous aimer, à vous vouloir du bien, à faire tout par amour.
Marisa - Jésus, me laisses-tu parler un peu avec la petite Madone? Regarde ce que nous avons fait? Je ne sais pas si tu parviens à lire jusqu'à moi ? Tu vois?
Vous nous voyez?
La Madone - Mes chers enfants, je vous serre toujours sur mon coeur. Moi, la Mère de l’Eucharistie, je vous aime tant.
Marisa - Ecoute, je voulais te recommander quelques malades.
La Madone - Oui, je sais qui tu veux me recommander, parce que si tu me dis tous les noms, nous n'en finirons plus.
Marisa - Je peux te dire seulement, Iolanda, Vincenza, Marcelletti et tous ceux qui m’appellent en permanence et se recommandent aux prières. Tu sais de qui il s’agit.
Ecoute, il y a Pasquale qui me demande chaque fois: "Dis à la Madone, dis à la Madone?" Qu’est que je luis réponds?
La Madone - Tais-toi.
Marisa - Tu l’aimes, n'est-ce pas?
La Madone - La Maman aime tout le monde! Les grands et les petits.
Marisa - Les trois Jésus s'en vont peu à peu. La Madone est restée avec tous les saints.
La Madone - Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, vos enfants, en particulier ceux qui parlent tant et celle qui danse quand on chante l’alléluia.
Marisa - C’est Mariasole!
La Madone - Je bénis tous les enfants, tous, des plus grands présents, Mauro et Jacopo, aux deux petites filles: Mariasole et Sara.
Marisa - C’est bon, citons alors également Emanuele et Samuele.
Ecoute: ce n'est pas que je veuille aller bien parce que je connais mon chemin, mais j’aimerais aller un tout petit peu mieux. Hier et aujourd'hui j’allais un tout petit mieux, est-ce que cela durera?
Adieu, ma petite maman, adieu à tous.
La Madone - Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Marisa - Elle a ouvert son manteau et recouvert tous les saints et les enfants.
La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Tous mes voeux et bonne fête à tous.
Marisa - Adieu.
Rome, le 30 octobre 2005 - 10h45 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
C’est toujours avec beaucoup de joie que je viens parmi vous. Je vous remercie encore une fois de l’adoration du Saint Sacrement et des prières que vous faites. Souvenez-vous que rien de ce que vous faites n'est perdu, car beaucoup de personnes sont sauvées, aidées, converties. Vous attendez le grand jour, nous au Paradis, nous l’attendons aussi. Vous ne pouvez pas connaître tout le mal qu’il y a dans l’Eglise et la Maman ne peut également pas vous le dire, je ne peux en parler qu’avec la Voyante. Il se passe des choses très, très, très graves dans l’Eglise. Dieu cherche des âmes capables de prier et d'offrir leurs souffrances pour aider l’Eglise. Ne regardez combien de personnes se rendent à Saint Pierre, la majeure partie d’entre elles sont des étrangers qui vont au Vatican non tant pour le Saint Père que pour visiter la basilique et les musées.
J’ai vu mes deux enfants se réjouir en voyant le film "Saint Pierre" et ils le voient maintenant pour la seconde fois. Si vous l’avez vu et l’avez enregistré, regardez-le, on peut en retirer beaucoup de choses, en particulier ce que nous du Paradis, nous avons prêché: l’amour, l’aide envers les frères, la charité. L’amour ressort dans les apôtres, dans leur témoignage jusqu'à la mort que le Christ est le Fils de Dieu, le Messie. Vous y trouverez beaucoup d’explications que vous avez déjà entendues de votre Evêque. En regardant les images, vous verrez l’amour total qu’ils éprouvent les uns pour les autres, ainsi vous changerez vous aussi, vous vous aimerez les uns les autres et aimerez tout.
Je vous confie maintenant un secret. Vous savez combien Mr. Ruini et d’autres prélats ont fait souffrir et font souffrir mes deux enfants, pourtant Marisella prie pour eux, elle veut sauver leurs âmes avec l’aide de Dieu. Ceci est amour: priez pour tous, aimez les tous, conversez avec tous, non seulement avec ceux qui vous sont sympathiques, qui sont vos amis. Ne formez pas de petits groupes, mais priez et travaillez tous ensemble comme les apôtres. Donnez amour et témoignage, du reste, vous appartenez au "Movimento Impegno e Testimonianza" (Mouvement Engagement et Témoignage); ceux qui le font sont déjà assurés du Royaume du Ciel.
Excellence, je sais que tu ne veux pas que je te dise courage, courage, courage, courage, mais en tant que maman, je dois te dire: courage et continue.
Mes chers enfants, je sais que vous venez dans ce lieu thaumaturgique et que vous êtes très, très bons. Aimez votre Evêque le plus que vous pouvez. Beaucoup sont partis parce qu’ils ne voient rien, qu’il n’arrive rien, ne se passe rien, mais quand votre heure arrivera, où seront ceux qui sont partis? Comme certains n'entreront pas dans le Royaume des Cieux, ceux aussi qui sont partis ne rentreront pas dans le lieu thaumaturgique, personne ne les a renvoyés. Quoi qu’il en soit, je vous invite aussi à les aimer et à prier pour eux. Priez pour les enfants pour qu’ils grandissent bons, saints et forts.
Marisa - J’ai beaucoup de neveux et quelques petits-neveux, mais je prie pour tous les enfants.
La Madone - Cette nuit, quand nous sommes allés à l'hôpital de l’Enfant Jésus, nous avons vu beaucoup de souffrance, surtout dans les parents des enfants, dont certains sont morts, bien qu’ayant été bien soignés. De là, nous nous sommes rendus dans un autre hôpital encore plus triste, un hospice pour les vieux, seuls et abandonnés. Si un vieux est bon et a sa tête, on l’aide alors que ceux qui ont perdu la raison, ne sont pas tenus propres; ils sont abandonnés à leur sort et on leur donne des doses élevées de médicaments pour qu’ils restent calmes. Nous avons visité deux hospices, un pour enfants et un autre pour vieux, tous les deux étaient très tristes. Nous avons pris les enfants dans nos brans, ils agitaient leurs mains, te regardaient, te souriaient et étaient mourants. Vous n’avez pas vécu ces douloureuses expériences. Alors priez, priez pour tous ceux qui sont dans les hôpitaux.
Souvenez-vous que toutes les choses horribles qui sont arrivées jusqu'à aujourd'hui, représentent la purification, qui a commencé dans les pays lointains. Vous, comme je vous l’ai déjà dit, n’avez pas encore eu la purification, alors essayez de prier, d’aimer, d'offrir des sacrifices et de faire l’adoration du Saint Sacrement. Que ceux qui le peuvent, qui ont le temps, qui n'ont pas de problèmes familiaux, fassent l’adoration et prient. Priez aussi pour votre Evêque, afin qu’il se rétablisse complètement et puisse être davantage parmi vous. Nous espérons que les rencontres bibliques pourront recommencer bientôt, si sa santé le permet et si vous êtes contents.
Quoi qu’il en soit, merci à tous ceux qui travaillent pour aider mes deux enfants, parce qu’ils n'ont personne de compétent qui les aide à la maison; il y a tous les jours quelque chose qui les fait souffrir, souffrir et souffrir. Vous ne vous en rendez pas compte, mais ceux qui ont passé plusieurs jours avec eux, ont tout vu et dit: "Cela me semble impossible. Comment faites-vous pour vivre?".
Marisa - Parce que tu es ici, petite Madone, toi qui nous aides et continues à nous aider, nous avons tant besoin d’aide.
Quand tu me fais souffrir, j’espère sauver quelques âmes avec l’aide de Dieu, parce que je suis si fatiguée.
Je voulais t’adresser une demande, mais je ne sais pas si je peux la faire devant tous.
La Madone - Oui, je sais, tu aimerais te nourrir uniquement de l’Eucharistie.
Marisa - Oui, parce que je ne réussis plus à manger, et au contraire hier quand j’ai reçu l’Eucharistie, je me suis sentie mieux. Quand je mange quelque chose, tu as vu ce qui se passe après?
La Madone - Je demanderai maintenant à Dieu le Père.
Marisa - Ne dis pas toujours que tu demanderas à Dieu le Père, je serai morte et enterrée avant que sa réponse n’arrive. Je veux la réponse maintenant.
La Madone - Marisella, qu’exiges-tu là?
Marisa - j’exige de connaître la réponse à ce que j’ai demandé: si je peux me nourrir de l’Eucharistie. Cela ne me semble pas être mal.
La Madone - Ne te fais pas de soucis, ce soir même, quand je viendrai avec ta maman pour t’aider à dormir, je te dirai oui ou non, mais sois tranquille, ce sera un oui total comme tu l’as dit à Dieu, mais au moment opportun.
Excellence, je n’ai pas le courage de te dire courage, mais je te dis quand même courage.
Marisa - Et de deux!
La Madone - J’aimerais vous encourager tous, priez pour ceux qui ne se portent pas bien, qui devront aller à l'hôpital se faire opérer, priez pour les enfants et pour les adultes. Et disons aussi pour les jeunes, considérons les jeunes aussi.
Marisa - Tu es si gentille. Peut-on dire à la Madone qu’elle est gentille?
L’Evêque - Bien sûr, bien sûr.
Marisa - Oui, on peut le dire. Tu es gentille.
La Madone - Voulons-nous prier ensemble? Notre Père , Gloire au Père Comme vous le savez, Dieu désire que nous récitions aussi le Je vous salue Marie.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les enfants et les personnes âgées qui sont malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Aimez-vous, mes frères. Loué soit Jésus Christ.
Lisez les messages et mettez-les en pratique. Adieu à tous.
Marisa - Adieu. Elle est partie.
Messages de Novembre 2005
Rome, le 5 novembre 2005 - 18h45 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Aujourd'hui, premier samedi du mois, c’est pour moi une grande joie d'être parmi vous. Je sais que vous priez beaucoup, je prie aussi avec vous et je fais prier tous ceux du Paradis pour vous. La Maman n’a pas de mots pour vous remercier, mais vous ne comprenez probablement pas encore ce que Dieu veut. Vous devez changer un petit peu, vous ne pouvez pas toujours demander: "Quand, quand Dieu tiendra-t-il ce qu’il a promis?". n’allez pas trouver l’Evêque pour le lui demander, car il ne le sait pas, comme la Voyante ne le sait pas. Moi aussi, Marie, Mère de l’Eucharistie, je ne le sais pas. Ce sont les plans de Dieu, et vous devez les accepter. Je sais que l’attente est longue et que la souffrance vous consume toujours plus. Continuez à prier, à faire l’adoration du Saint Sacrement et le jeûne; ceci est très beau et très agréable à Dieu le Père. Il veut que nous acceptions Ses intentions, même si nous ne les connaissons pas. Inclinons donc la tête devant Dieu et disons: "Dieu aide-nous, pense à nous".
Une très belle lettre, que l’Evêque vous a certainement lue, a été écrite au nouveau Pape, mais Benoît XVI n'y a pas répondu. Vous pouvez bien comprendre quelle est maintenant l’intention de Dieu. Il veut la conversion, la conversion, la conversion des hommes d’eglise. Ils parlent du Saint Evangile, mais ne le mettent pas en pratique. Je sais seulement que Dieu veut la conversion des hommes d’eglise. Combien d’entre eux se sont convertis? Peu. En revanche, beaucoup de laïcs se sont convertis grâce à la souffrance, aux prières, au jeûne et à l’adoration du Saint Sacrement des membres de la communauté et surtout de mes deux chers petits enfants.
Ne pensez pas être les seuls à prier et à souffrir, beaucoup d’autres groupes prient pour la même intention: pour la conversion des hauts prélats et des prêtres. Si la conversion authentique des hommes d’eglise ne se produit pas, Dieu interviendra, mais pas en ce moment parce qu’il y en a trop, trop, qui vivent dans le péché et n’aiment pas Jésus Eucharistie.
Ayez foi et courage, mes chers enfants. Je sais que votre fatigue est grande, que l'épreuve est longue et que certaines personnes qui vous sont proches vous font souffrir quotidiennement. Continuez à vous abandonner à Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit, ainsi qu'à moi, qui suis votre Maman.
Souvenez-vous que notre première rencontre a eu lieu le premier samedi du mois? Ce jour fut très beau, tout semblait facile et au contraire, que de souffrances, de méchancetés, de diffamations et de calomnies. Alors je répète encore une fois: ayez foi en Dieu, soyez courageux et avancez.
Marisa - J’aurais tant de demandes à te faire, mais je me contente de te recommander les malades, en particulier ceux de la communauté. Je te recommande tout spécialement notre Evêque, qui s'écroule et tu le sais. Tu vois que je ne peux parler de lui, parce que l'envie me prend de pleurer. Je ne sais plus que faire, je souffre tant pour lui et j'offre toutes mes souffrances pour lui.
La Madone - Merci de tout ce que tu fais pour mon et votre Evêque.
Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les enfants, la petite Sara et la petite Mariasole. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Pour certaines personnes qui vous font souffrir, il n'y a rien à faire, rien; le mensonge triomphe.
Allez dans la paix, mes enfants. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Que devons-nous faire pour ces personnes?
Rome, le 6 novembre 2005 - 10h35 (Lettre de Dieu)
La Madone - Mes chers enfants, quand vous récitez le Magnificat, méditez cette phrase: "Il a renversé les puissants de leurs trônes et il a élevé les humbles". Une fois déjà, je vous ai fait répéter: "Il a renversé les puissants de leurs trônes et il a élevé les humbles". Ceci arrivera. Dieu renversera les puissants de leurs trônes, il les fera tomber un par un, de diverses façons et il élèvera les humbles, les simples, les bons, ceux qui prient, ceux qui aiment. Parfois tout semble perdu, mais il n'en est pas ainsi. Vous devez penser que rien n'est perdu. Dieu sait ce qu’il fait, il se fait attendre, se fait désirer, mais ensuite il renversera les puissants de leurs trônes et élèvera les humbles. Je comprends votre souffrance, votre amertume, j'éprouve la même et nous l'éprouvons tous, Nous du Paradis. Même si Dieu ajourne ses interventions, il vous aime. Dieu est bon, Il vous aime, son amour est immense, vous devez le comprendre. Vous ne devez pas posez tant de questions, car il est difficile d’en obtenir les réponses. Je vous dis seulement: ayez foi, courage, confiance et avancez.
Je n’aime pas, Marisella, que tu ne puisses pas descendre; le temps ne te le permet pas, c’est la nature et ce n'est pas Dieu qui veut que ce soit ainsi, par ailleurs la nature a besoin de pluie, de soleil et de lumière.
Soyez heureux, je vous en prie, cherchez par tous les moyens à être heureux, à vous aimer à vous comprendre mutuellement, en particulier ceux qui sont tant aimés de Dieu.
Merci, mes chers petits enfants.
Ensemble avec mon prêtre, mon grand Evêque, mon .., je vous bénis, vos êtres chers, les petits enfants et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Adieu. Adieu, Sara, envoie un petit baiser à la petite Madone.
Rome, le 10 novembre 2005 - 20h30 (Lettre de Dieu)
Marisa - Je dois te demander quelque chose que m’a suggéré mon directeur spirituel: les souffrances peuvent-elles diminuer un petit peu? J’ai honte de te le demander, mais j’ai dû obéir à l’Evêque.
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
Tous mes voeux pour les rencontres bibliques qui commencent aujourd'hui avec beaucoup de fatigue pour votre Evêque, parce qu’il ne va pas bien. Je vous invite, pour cette raison, à prier pour lui, afin qu’il ait la force d’aller jusqu'à la fin de l’année sociale. Priez le Seigneur, afin que se convertissent toutes les personnes dont je vous ai souvent parlées. C’est un moment difficile, il faut prier pour tous, du chef de l’Eglise à la plus petite créature du monde. Je sais que vous pensez dans vos coeurs: "Devons-nous aussi prier pour le Pape?". Oui, pour sa mission et sa conversion et la conversion de tous les prélats qui lui sont proches.
Vous attendez anxieusement le triomphe et Dieu attend anxieusement la conversion de ces hommes, c’est pourquoi vous devez nous aider, Nous du Paradis, et les quelques saints de la Terre. St. Pierre et St. Paul parlaient toujours de l’amour, ils se querellaient parfois, mais l’amour pour tous: les païens, les chrétiens et les hébreux, prédominait en eux. Ce n'est pas seulement à vous, mes chères brebis, mais à tout le monde que je dis de prier pour tous, de s’aimer, parce que l’amour vainc tout.
Si vous lisiez tous les jours une page du Saint Evangile et une page des lettres de Dieu, vous pourriez constater qu’elles sont identiques. Moi, la Mère de l’Eucharistie, je parle souvent du Saint Evangile et j’en répète les enseignements; lisez-le vous aussi, il ne faut pas beaucoup de temps pour lire une page du Saint Evangile. Tenez-le à la portée de tous, même des membres de votre famille qui ne croient pas, demain cela leur fera également du bien.
Je vous en prie, mes chers enfants, lisez le Saint Evangile. Souvenez-vous de ce que j’ai dicté de ma vie? Là aussi il y a l’Evangile. La rédaction du second volume de ma vie est commencée, mais interrompue, parce que votre soeur ne se porte pas bien depuis longtemps: cela ne fait rien. De toute façon, entre ce que dit votre Evêque, le Saint Evangile et les lettres de Dieu, vous êtes si bien préparés que vous savez tout maintenant.
Mes chers enfants, mon amour pour vous est très grand. Dieu vous aime et continuera à vous aimer jusqu'à la fin des temps. Les personnes éprouvées par Dieu, souffrent et offrent leurs souffrances pour tous les malades et tous ceux qui en ont besoin, il y a tant et tant de malades qui souffrent beaucoup. Marisella, Dieu veut que tes souffrances dépassent celles des autres.
Marisa - Encore de grandes souffrances?
La Madone - Oui, mais Nous t’aiderons, sois tranquille.
Marisa - Je désire te recommander Titti, qui est à l'hôpital et va très mal, ainsi que beaucoup de malades à l'hôpital et à la maison. Quelqu’un ne va également pas bien parmi ceux qui participent à la rencontre biblique et à la Sainte Messe. Je te recommande en particulier ton et notre Evêque, saint Evêque, comme tu l’appelles, aide-le, aide-le, aide-le.
Est-ce que c’est Jean Paul II? Je le prie la nuit, mais pas pour moi, je lui dis toujours: "Intercède pour nous, va voir Jésus et la Madone et aide notre Evêque". Je ne voulais pas le dire, mais cela m’a malheureusement échappé parce que comme toujours Marisella ne peut se se taire un petit peu.
La Madone - Je suis heureuse que tu pries Jean Paul II.
Marisa - Je l’ai mis ensemble avec Jean Paul I.
La Madone - Je sais que tu pries tous les derniers papes: Pie XII, Paul VI, Jean Paul I et Jean Paul II.
Marisa - Je prie aussi pour Benoît XVI. Pendant l’apparition, je dis ce que j’ai dans le coeur, je ne suis pas capable de me taire. J’aime tous les papes, ceux qui sont morts et sont au Paradis et celui qui est vivant.
La Madone - Mes chers enfants, continuez à prier, continuez à avoir confiance et foi en Dieu, continuez à prier les uns pour les autres, pour vos enfants et petits-enfants, afin qu’ils grandissent sains et saints aux yeux de Dieu.
Ensemble avec mon et votre Evêque saint, je vous bénis, vos êtres chers, les petits enfants et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Sara, tu donnes un baiser à la petite Madone?
Marisa - Adieu, maman, merci de venir avec la Madone pour me faire dormir, j’ai tant besoin de me reposer, merci. Mais donnez aussi un baiser à l’Evêque.
La Madone - Toujours. et tu le sais.
Marisa - Adieu.
Ils sont tous partis.
Rome, le 13 novembre 2005 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
Vous ne savez pas ou ne vous rappelez pas qu’après la mort de mon Fils Jésus, je fus confiée à Jean, le plus jeune des apôtres. J’accompagnais souvent les apôtres lorsqu’ils allaient évangéliser, mais je ne me faisais pas remarquer, parce que je voulais qu’eux triomphent. Ils ont triomphé, parce qu’ils sont morts pour Jésus et sont désormais saints. Quand j'étais avec eux, je cuisinais, je les aidais et cherchais à faire tout ce que je pouvais. Par contre quand je ne les accompagnais pas et qu’ils revenaient à la maison avec les pieds enflés et malades, je les soignais. Pourquoi vous dis-je ceci? Parce que n'importe qui peut être apôtre, n'importe qui peut faire du bien et faire preuve de charité et d’amour envers le prochain. Vous voyez que nous finissons toujours par parler de l’amour, l’amour qui a converti tant de personnes et qui triomphe toujours? Moi, la Maman de Jésus, je ne me faisais pas beaucoup voir, j'étais presque toujours avec les apôtres en bilocation. Eux ne me voyaient pas, mais sentaient une présence spirituelle très grande qui les aidait.
Mes chers enfants, quand quelque chose doit être fait, faites le, n’attendez pas que l’Evêque ou une autre personne vous le dise, pensez que si vous aidez votre frère avec amour, vous avez déjà gagné un peu du Paradis. Ceux qui croient dans l’au-delà, croient au Paradis, font tout pour le gagner avec amour.
St. Paul parle souvent de l’amour, il est celui qui a persécuté les chrétiens avant de se convertir, mais il a été ensuite converti par Jésus et a commencé à prêcher, à les aimer tous et à évangéliser beaucoup de cités en compagnie des autres apôtres. Je ne vous demande pas, bien sûr, de courir d'une ville à l’autre, parce que seule la traversée de Rome prend beaucoup de temps. Restez dans votre ville, mais aimez et travaillez, si vous le pouvez. Aimez-vous d’abord en famille, puis dans la communauté; il y a beaucoup de communautés dont les membres ne s’aiment pas, sont jaloux et envieux les uns des autres et se disputent. Ils ont pourtant une vie très facile, mais après la mort quelle vie auront-ils? C’est pourquoi je vous invite comme toujours, à prier pour ces âmes qui ont besoin de prières et d’amour et s’ils ne se convertissent pas, tant pis pour eux, ils reçoivent de l’aide de la Mère de l’Eucharistie, mais surtout de mon Fils Jésus.
Souvenez-vous combien de fois je vous ai dit de recevoir mon Fils Jésus en état de grâce? Si vous n'êtes pas en état de grâce, ne le recevez pas, parce que vous commettez alors un péché grave; c’est un sacrilège de recevoir Jésus en état de péché. Donc en avant et courage, avec amour, príère et sacrifice.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis ceux qui sont loin en ce moment pour des motifs familiaux. Je bénis tous les petits enfants, en particulier ceux qui sont à l'hôpital.
Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Rome, le 17 novembre 2005 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
Vous participez aujourd'hui à la deuxième rencontre biblique et je suis ici avec vous. Quand vous venez à la rencontre biblique, cherchez à bien comprendre ce que dit votre Evêque; il est très important de connaître Saint Paul et ses épîtres. Quand vous désirez apprendre quelque chose d'important, mettez y tout votre coeur; ayez également à coeur de connaître Jésus à fond. Le Saint Evangile et les autres livres des Saintes Ecritures sont merveilleux, mais si vous ne mettez pas en pratique leurs enseignements, comment faites-vous pour suivre le chemin de la sainteté? Vous devez apprendre à bien connaître ce que Jésus a enseigné aux apôtres et vous enseigne aujourd'hui.
Mon Jésus est à côté de moi et ne parle pas, il écoute ce que Dieu le Père m’a dit. Il est beau de s’aimer réciproquement, il est beau d'éprouver un grand amour envers tous. Ce matin également pendant l’apparition, Jésus était derrière moi et ne parlait pas, mais pleurait. Les larmes sont également montées à mes yeux, aux yeux de mon époux bien-aimé Joseph et de ceux présents. Jésus souffre de voir autant de misères et de saletés dans ce monde que Dieu a créé. Est-il possible que Dieu ait créé un monde aussi sale? Non, l'homme l’a rendu sale, l'homme qui court comme un fou vers le pouvoir et ne sait pas aimer. Combien de parents ne s’aiment pas et par leur faute les enfants en paient les conséquences! Vous, cherchez par tous les moyens à vous aimer et si quelque chose ne va pas, pardonnez-vous mutuellement. Ne vous couchez pas le soir avant d’avoir fait la paix avec votre conjoint, d’avoir demandé pardon à vos enfants et vice-versa. Ceci est la joie de la vie: s’aimer et se pardonner; sans oublier le sacrifice et la souffrance.
Je vous invite à prier pour Marisella, une créature que Nous aimons tant et dont la souffrance est indescriptible et il en sera ainsi jusqu'à sa mort. Priez pour votre Evêque qui souffre beaucoup, car il aime beaucoup: s’il avait moins aimé, il aurait moins souffert. Il a aimé les adultes et les jeunes de la communauté, aimé ceux qui se sont éloignés, aimé les prêtres et prié pour eux, mais tout est parti à la dérive. Dieu a-t-il voulu cela? Non! Dieu n’a pas créé ce monde aussi méchant où les hommes sont jaloux et envieux les uns des autres. De la jalousie et l'envie on arrive très facilement à la calomnie et au mensonge.
Aimez-vous, aimez-vous et aimez-vous de tout votre coeur et aidez-vous mutuellement.
Je vous laisse, mes chers enfants, parce que votre soeur ne va pas bien. Cette nuit sera dure pour elle, priez donc pour elle et surtout pour l’Evêque, afin qu’il ait la force d’accepter la grande souffrance. Si je viens avec sa maman pour l’aider, tout sera plus facile. Elle est pour nous une petite fille et nous l’aidons comme une enfant, comme vous aidez vos enfants et petits-enfants, nous aidons de même notre Marisella. Elle perdra la vue cette nuit, mais je ne sais pas si ce sera pour toujours ou pour quelque temps. Nous prions Dieu, afin que la cécité n’arrive pas et si cela doit arriver que ce soit pour peu de temps. Elle a été privée de la vue ce matin pendant une heure, mais il n'y avait pas de souffrance en elle mais joie, parce qu’elle avait désormais vu tout ce que Dieu a créé et était heureuse de souffrir pour la conversion des âmes.
Merci de continuer à prier, merci de l’aide que vous donnez à mes enfants.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu.
Ils sont tous partis.
Rome, le 20 novembre 2005 - 10h30 (Lettre de Dieu)
Marisa - Tu es finalement avec nous pendant toute la durée de l’apparition, en compagnie de ta Maman. Je t’ai connu et j’ai vécu avec toi quand tu portais la couronne d'épines, maintenant je te vois comme le Christ Roi, mais tu n’as pas voulu mettre la couronne royale. Maintenant que tu es ici, en tant que Roi, aide-nous.
Jésus - Mes chers enfants, ce que votre soeur a dit est la vérité. J’ai porté la couronne d'épines, j’ai saigné de toute part, puis je suis monté vers le Père qui m’a proclamé Christ Roi, mais je n’ai pas voulu mettre la couronne, comme le font tant de personnages, en particulier les rois, qui tiennent beaucoup à la couronne. Je n’ai pas voulu mettre de couronne, j’ai cherché par tous les moyens à donner mon coeur, mon coeur. Il est beaucoup plus important pour moi de me passer de couronne et de donner mon coeur à tous. Je sais que vous vivez un moment difficile et il vous semble que je ne vous aime pas comme vous l’aimeriez, mais je vous aime tous, mes chers enfants. Quand Dieu le Père m’a dit: "Donne ton coeur à tous tes enfants, bons et mauvais, à ceux qui le méritent et ne le méritent pas", je l’ai donné à tous. Malheureusement parfois, moi aussi je ne suis pas compris. Votre Evêque répète aussi bien des fois: "Je ne suis pas compris, je ne parviens pas à me faire comprendre, et pourtant je les aime tous".
Cela me fait très, très, très mal de voir que l’Evêque ordonné par Dieu le Père n'est pas respecté; heureusement les personnes qui ne le respectent pas sont peu nombreuses, mais elles manquent chaque jour de respect à l’Evêque. Qu’a-t-il fait pour être traité comme on m’a traité? J’ai fait tant de bien, j’ai fait tant de miracles et pourtant j’ai été si peu respecté et on m’a cloué sur la croix.
Votre Evêque a été ordonné par Dieu et après Saint Pierre personne d’autre n’a été ordonné par Dieu, c’est pourquoi il devrait être respecté et aimé immensément par vous tous. Je vois que vous avez fort bien décoré la croix et embelli la basilique, même si ce n'est qu’une tente. Les autres ont de grandes basiliques, de grandes églises décorées de sculptures et de peintures; vous, vous avez une tente qui ressemble à la chaumière Bethléem. Je me trouve bien ici, j'y suis bien, parce que je vis dans un milieu qui me rappelle la chaumière où je suis né.
Je connais votre désir: que Dieu le Père réalise rapidement ce que vous attendez tous. Vous avez déjà reçu beaucoup de grâces par vos prières, votre jeûne et vos sacrifices. Il y a peu de jours vous avez obtenu que Marisella ne reste pas aveugle. Moi, Jésus, je me permets de vous dire que Marisella ne va pas bien du tout et a beaucoup, beaucoup et beaucoup de problèmes de santé. Aucune personne hospitalisée n'est aussi gravement malade qu’elle. Pourtant elle prie toujours pour vous tous, pour les malades, les petits enfants, pour tous, mais surtout pour son Evêque; trente quatre années de vie commune ne sont pas rien. Ils en ont vu de toutes les couleurs; vous connaissez trois ans à peine de leur vie, et le beau vient toujours après. Si l’Evêque avait la force de vous raconter leur vie, une vie si éprouvée, vous vous rendriez compte combien ils ont été héroïques et ils le seront jusqu'à la fin. Je veux que vous aussi, vous soyez héroïques, du reste vous l’avez démontré en aidant mes deux enfants. Il y a beaucoup de personnes malades qui aimeraient beaucoup venir, mais ne le peuvent pas; l’une d’entre elles pour laquelle prie Marisella, est Rosaria. Elle va très mal, elle aimerait venir mais c’est très difficile. Je l’aime, je suis également près d’elle et de temps à autre, comme elle le sait, je lui envoie Marisella et elles avancent ensemble avec la souffrance, la joie et l’amour. Voyez-vous comme le mot amour revient toujours? C’est une parole si belle, l’amour envers tous, tous, tous. Si vous réussissez à les aimer tous, comme je vous ai aimés, vous gagnerez le Paradis.
Je me retire, mes chers petits enfants et je laisse la place à ma Maman.
Marisa - Pourquoi t’en vas-tu? C’est bon.
La Madone - Mes chers petits enfants, la Maman n’a plus rien à vous dire après ce que mon Fils Jésus vous a dit, je suis seulement venue pour prononcer mes paroles de clôture: ensemble avec mon et Votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés, je bénis tous les petits enfants même s’ils font du tapage. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Souvenez-vous que la présence de Jésus parmi vous est déjà une bénédiction.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu à tous. Tout le Paradis est descendu, la Très Sainte Trinité était également présente.
Rome, le 21 novembre 2005 - 18h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Quand je fus présentée au Temple, tout était beau, rayonnant et lumineux autour de moi et j'étais heureuse de me consacrer totalement à Dieu, d'être toute à Dieu; c’est pourquoi je l’ai toujours aimé et je l’aime toujours: Mon Tout.
Tous mes voeux à toi également, Marisella, parce que tu t’es consacrée à Dieu. Mon Tout t’a pris complètement et a accepté ton oui. Ta souffrance a été et est grande, mais je vois que tu es aussi heureuse. Je sais que tu pries les deux derniers papes pour l’Excellence.
Marisa - Parles-tu maintenant comme maman?
La Madone - Oui, j’aime parler comme elle. Nous prions tous au Paradis pour Son Excellence Monseigneur Claudio Gatti, mais c’est elle qui prie le plus, après moi et Saint Joseph. Grand-mère Iolanda s’accroche à Dieu, s’agenouille la tête baissée et prie Dieu pour l’Excellence. J’ai prié aujourd'hui pour toi, pour ta consécration; tu as fêté les noces d'or de ta consécration et tu devrais en être heureuse.
Marisa - Je ne serais heureuse que lorsque vous m'emporterez de cette Terre, vous me l’avez promis tant de fois et puis rien, rien. Si les choses vont mal dans le monde, au Vatican, au Vicariat et ailleurs, dois-je tout porter sur mes épaules?
La Madone - Tu as dit oui à Dieu, Marisella, ne l’oublie pas, et Son Excellence te suit. Te souviens-tu quand je t’ai dit que de tous ceux appelés par Dieu, trois seulement lui avaient répondu? Prions pour que ces trois au moins restent fidèles à l’appel jusqu'à la fin.
Je vous invite à prier, comme toujours, pour chacun de vous, pour les petits enfants, pour les malades; il y a des malades qui guérissent rapidement et d’autres dont la maladie traîne en longueur, puis ils quittent cette terre. Je ne peux pas ne pas vous recommander de prier pour les malades, en particulier pour les malades graves, ceux qui souffrent dans leur esprit et ceux qui ne croient pas en Dieu uniquement parce qu’ils sont déçus ne pas avoir reçu la grâce de la guérison.
Priez pour les jeunes; vous ne pouvez pas vous imaginer comme ils vont à la dérive; il s’agit pour vous d'un engagement spirituel. Priez aussi pour les missionnaires, les petits enfants malades et les jeunes qui vont à la dérive. Vous n’avez pas besoin de réciter de longues prières, faites-le si vous en avez le temps, sinon même un Notre Père adressé au Ciel, un Je vous Salue Marie, un Gloire au Père et la prière jaculatoire: "Viens, Esprit Saint, Esprit d’amour, éclaire mon esprit, embrase mon coeur, fortifie ma volonté" suffisent.
Il n'y a pas beaucoup de monde aujourd'hui, parce que tous ne se sont pas souvenus de cette fête, mais le 21 novembre a toujours été fête. C’est justement ce jour-là que votre soeur a été soumise à une série d’examens cliniques pour vérifier si son cerveau et tout le reste étaient en ordre. En cette circonstance, l’apparition a eu lieu à l'hôpital et les médecins en ont profité pour voir s’il y avait quelque chose qui n’allait pas, tout a été intéressant, régulier et beau. Qui a souffert ce jour-là? Qui a eu honte en voyant tous ces docteurs et infirmières autour d’elle exécutant tous ces examens du matin au soir ? Marisella. C’est donc aujourd'hui doublement ta fête. C’est également la fête de toutes les âmes consacrées, mais si elles ne respectent pas le voeu de pauvreté, le sixième commandement, elles ne peuvent être filles de Dieu.
Courage et en avant. Comme toujours, je termine en disant: courage et en avant, surtout à son Excellence.
Ensemble avec tout le Paradis, tous les anges et les saints, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis les petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu.
Rome, le 24 novembre 2005 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
C’est aujourd'hui de nouveau la rencontre biblique; c’est si beau d'écouter votre Evêque, car ce qu’il dit est la sacro-sainte vérité, méditez la et mettez la en pratique.
Mes chers enfants, je vous demande encore de prier pour mes deux enfants; je sais que je vous demande toujours de prier et que je demande beaucoup, mais ceux qui le peuvent doivent le faire avec amour. Je suis avec vous et je vous aide dans les épreuves, qui arrivent pour tous, pour les uns d'une façon et pour les autres d'une autre, mais personne ne souffre comme mes deux petits enfants.
Je vous invite encore à lire le Saint Evangile; ne le négligez pas, il est très important de le connaître, plus vous le connaissez et plus vous pouvez le mettre en pratique. Aidez-vous et aimez-vous mutuellement et je serai avec vous jusqu'à la fin des temps.
Merci de votre présence. Vous n'êtes pas nombreux à cause du froid, c’est la nature, mais si vous vous couvrez bien vous ne courrez aucun danger. J’ai eu envie de rire en vous voyant entrer dans l'église, vous ressembliez à beaucoup de petites sorcières complètement couvertes. C’est beau que vous fassiez tout pour venir à la rencontre biblique, la Sainte Messe et l’adoration du Saint Sacrement. Merci de tout ce que vous faites, mes enfants. Je vous supplie encore une fois: priez pour mes deux enfants.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les petits enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Sara, tu envoies un petit baiser à la petite Madone?
Ils sont tous partis.
Rome, le 27 novembre 2005 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ.
Comme vous le voyez, mes chers enfants, votre soeur n'est pas descendue. Vous ne savez pas tous qu’elle ne peut pas descendre quand il pleut et fait humide; malheureusement en plus de tant d’autres, elle a également cette croix. Elle était un peu anxieuse et préoccupée ce matin de finir ses jours enfermée dans une pièce, sans pouvoir sortir pour être avec vous. ce qu’elle aime beaucoup. Ce que je peux vous dire c’est qu’elle prie beaucoup pour vous et surtout pour ceux qui sont malades.
Je n’ai rien d’autre à vous dire sinon de prier et de vous aimer. La prière sans l’amour est stérile, vous le savez, aimez donc et puis priez.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur, grands et petits, et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu.
Messages de Décembre 2005
Rome, le 1er décembre 2005 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
Mon cur de Maman bat très fort et cherche à vous aider par tous les moyens. Le monde ne va pas bien et il y a aussi d’autres choses que vous n'ignorez pas et que beaucoup d'hommes qui n’appartiennent pas à votre communauté, ne savent pas. Je vous demande encore de prier, d’aimer et d'être plus sensibles à l'égard de ceux qui souffrent.
Beaucoup ne viennent pas parce que la Voyante ne descend pas.
Marisa - Quand je ne descends pas, je souffre et souffre énormément de rester dans cette chambre.
La Madone - Vous ne devez pas venir pour la Voyante, vous devez venir pour Jésus Christ, vous devez écouter la Sainte Messe et prier; pour Lui, vous devez faire tout ce que l'âme chrétienne peut faire. Si vous venez pour voir ou parler à la Voyante, vous êtes dans l'erreur: Elle descend quand Dieu le Père le lui permet, quand le temps le lui permet, mais sachez qu’elle prie pour vous et vous aime tous. Vous devriez dire: "La Voyante n'est pas là aujourd'hui, prions pour elle, parce que sa vie est très dure et très difficile". Elle parvient pourtant à sourire, à faire des plaisanteries spirituelles et elle le fait pour dissimuler ses douleurs et ne pas faire souffrir ceux qui sont près d’elle. Ce n'est évidemment pas facile et il lui arrive de pleurer quand elle ne parvient pas à supporter la douleur, mais ensuite elle surmonte tout.
Mes chers enfants, que la rencontre biblique soit pour vous une grande mine d'or où vous puiserez des paroles pour votre vie. La Sainte Messe, vous le savez fort bien, c’est vivre avec le Christ, le recevoir, l’aimer. Courage, vous ne devez pas avoir peur du froid, de la pluie, du soleil, de la chaleur, pensez que vous aller à la rencontre du Christ.
Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les enfants, en particulier ceux qui sont malades. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Envoies-tu un baiser aussi aux enfants?
La Madone - Oui, à tous les enfants, Marisella.
Marisa - Adieu, adieu, maman.
Cela fera demain deux ans que tu t’es envolée au Ciel. Samedi, nous dirons la Sainte Messe à ton intention, parce que Selenia sera là aussi; elle n'était pas présente quand tu es morte, ni lors du premier anniversaire de ta mort, mais elle veut être présente cette fois, espérons qu’il n'y aura pas d'imprévus à l'hôpital.
Adieu, maman, adieu.
Rome, le 3 décembre 2005 - 18h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Je suis contente de l’aide que vous donnez dans cette maison à mes deux petits enfants, qui sont quasiment seuls. Nous les aidons du Ciel, aidez-les vous aussi. Quand Jésus cheminait sur les routes, il était suivi par les apôtres, puis par moi, sa Mère, la Mère de l’Eucharistie, parce que je voulais que Lui et les apôtres dominent. De temps à autre, Jésus m’appelait: "Maman, viens à côté de moi". Quand tu te sens mal, Marisella, tu appelles ta maman pour qu’elle vienne t’aider et Nous sommes prompts à l’autoriser à venir. J’aimerais que vous aussi, quand quelque chose ne va pas, vous appeliez la Maman du Ciel à votre secours. Je vous aime tous de la même façon, ceux qui souffrent et ceux qui ne souffrent pas, ceux qui souffrent beaucoup et ceux qui souffrent moins. Comme Dieu l’a toujours dit dans Ses lettres, il faut aimer tous les hommes, bons ou mauvais, quelle que soit leur nationalité, religion et langue. Marisella, je connais ton amour pour l’afrique.
Mon cher petit troupeau, vous avez appris à vous aimer, mais vous devez vous aimer encore plus, vous devez tuer en vous la jalousie et l'envie; ces défauts vous empêchent de grandir spirituellement. Seul l’amour envers tous vous fait grandir et vous fera entrer au Paradis.
Dieu a voulu que grand-mère Iolanda soit déclarée sainte pour le Ciel, pour ceux qui l’ont bien connue et pour ses petits-enfants et arrière-petits-enfants qu’elle aimait tant. Quand elle vivait sur la Terre, elle se consacrait à ses petits-enfants et maintenant elle continue à prier pour eux. Mes chers enfants, les choses ne peuvent pas toujours aller comme vous le voulez, il y a malheureusement des situations qui vont à l'encontre de ce que vous souhaitez. Vous devez tout accepter, même si c’est difficile et que vous en souffriez. Quand vous connaîtrez l'histoire de grand-mère Iolanda, vous comprendrez que c’est une femme qui a souffert, souffert et encore souffert, mais elle est heureuse maintenant. Elle a commencé à être heureuse lorsqu’elle est entrée dans cette maison, mais surtout lorsqu’elle a rencontré l’Excellence. Vous aussi, vous êtes heureux et si vous rencontrez des difficultés, de petites souffrances, acceptez-les au nom de Dieu, en particulier pour ces enfants qui souffrent et meurent, parce qu’ils n'ont pas de médicaments, n'ont rien. Je le répèterai toujours: Acceptez les petites souffrances, les sacrifices pour ces enfants et pour tous ceux qui meurent de faim et de soif. C’est pour cette raison que Dieu a dit, et vous le savez, que si l’on jette de la nourriture par inadvertance ou par oubli, alors que des enfants meurent de faim, on commet un péché. Cherchez à vous priver et à vous sacrifier un peu et je serai toujours près de vous.
Excellence, le baiser que grand-mère Iolanda et moi, nous te donnons chaque nuit est pour te donner de la force et du courage. Si tu entrais aujourd'hui dans le repaire des fauves, tu sais à quoi je me réfère, ce serait dur et difficile et je ne le veux pas, tu as déjà assez souffert; je suis ta Maman, je t’ai toujours aimé et tu le sais.
J’aimerais donner un baiser à tous les enfants, qui sont maintenant loin d'ici. Je commençais avant par le plus grand et je vais faire l’inverse à présent en commençant par la plus petite: Mariasole, Sara, Emanuele, Samuele, Jacopo; j'y ajoute aussi Denise, Michelle et Nicole; ils n’auront pas malheureusement l'éducation dont jouissent vos enfants; laissez les bien grandir, mais ne les battez pas, je vous en prie; grondez-les, punissez-les, privez-les de télévision, mais ne les battez pas. Je sais que c’est parfois difficile, que vous levez parfois la main par désespoir, parce que vous n'en pouvez plus, mais vous devez éviter de les battre; on peut leur donner la fessée parce qu’il est parfois un peu difficile de bien les tenir. Les enfants sont vos joyaux, des dons de Dieu, des miracles vivants, aimez-les toujours. Si vous le pouvez, comme je vous l’ai déjà dit une autre fois, aidez votre Evêque.
Mariasole, viens donner un baiser à la petite Madone. Sara, donne un baiser à la petite Madone, trésor. Ces enfants sont des trésors.
Marisa - Pour nous aussi. Je ne les vois pas beaucoup et quand ils viennent je n'en jouis pas beaucoup parce que je ne peux les prendre dans mes bras et ne peux pas marcher. Vous m’avez tout pris. Pourquoi cette nuit au bord du Jourdain, m’avez-vous redonné ma voix et nous avons chanté, puis tout repris? Tout! Mais vous m’avez laissé l’Excellence, qui est le don le plus précieux. Oh, si je n’avais pas rencontré mon directeur spirituel, que tu m’as fait connaître, je serais probablement tombée moi aussi.
La Madone - Tu ne pouvais pas tomber, Marisella, sinon et moi qu’ai-je à faire ?
Marisa - C’est bon, tu comprends ce que je veux dire.
La Madone - C’est bon, c’est la Sainte Messe maintenant. Elle vaut naturellement pour ceux qui doivent travailler demain. Priez les uns pour les autres, priez pour tous ceux dont je vous ai parlés, surtout pour les malades.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je donne une bénédiction particulière à tous les enfants. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu, maman, l’Excellence célèbre aujourd'hui la Messe pour toi et tu peux distribuer des grâces à tes petits-enfants, arrière petits-enfants et à tous ceux qui en ont besoin. Adieu.
Rome, le 4 décembre 2005 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
La fête de l’immaculée Conception, ma fête, s’approche. Vous pensez: "Combien de fêtes de Jésus et de Marie!". Souvenez-vous qu’en fêtant l’immaculée Conception, vous fêtez aussi la Mère de l’Eucharistie. Si le temps le permet, vous porterez en procession la statue de l’immaculée Conception, celle de la Mère de l’Eucharistie et ma relique. Au cours de ces derniers jours de la neuvaine, intensifiez la prière, cherchez à retenir toutes les paroles de votre Evêque et les explications qu’il vous donne et vous aurez plus de courage pour affronter les nécessités et les souffrances de la vie. Cette vie n'est pas facile, mais souvenez-vous, que contrairement à ce qu’a dit quelqu’un, notre vie n’a pas été meilleure. Nous aussi, nous avons souffert, nous nous sommes toujours accrochés à Dieu le Père et nous priions. Bien qu’ayant le Messie, Son Jésus avec nous, le Dieu sur la Terre, nous nous attachions à la prière. Souvenez-vous, mes chers enfants, que c’est seulement avec la prière que vous réussirez à tout accepter et à obtenir ce que vous désirez. Bien sûr, ce que vous attendez est l'uvre de Dieu et Il fera ce qu’il doit faire. Quand cela ne va pas bien en famille, quand quelqu’un, même de la communauté, vous fait souffrir, priez. Faites semblant de rien et priez à l’intention de ceux qui vous ont fait souffrir. Je vois que vous avancez bien, mais je vous recommande maintenant de ne pas vous laisser aller, car chaque fois que je vous dis que vous progressez, l'engagement diminue; ceci arrive en particulier aux jeunes. Quand la Maman vous dit que vous progressez, que vous vous êtes améliorés, vous devez continuer à avancer. Comme je vous l’ai dit bien des fois, faites un pas à la fois et vous arriverez à vous aimer tous, comme Dieu vous aime, comme moi, la Maman, je vous aime.
Priez pour ceux qui sont loin de mon Fils Jésus, priez pour ceux qui continuent encore à diffamer et à calomnier, priez pour les prêtres; quand je dis les prêtres, j’entends le Pape jusqu’au plus petit prêtre. Souvenez-vous quand je vous disais que Don Claudio était le plus petit prêtre? Il est aujourd'hui l’Evêque ordonné par Dieu, il est le grand prêtre et ceci ennuie beaucoup ses confrères; alors il ne reste que la prière, il ne reste qu'à faire de petits sacrifices et petit à petit tout se résoudra. Mes chers enfants, grand-mère Iolanda prie pour chacun de vous, elle pense toujours à vous et prie pour toute la communauté. Elle prie naturellement pour ses enfants, petits-enfants et arrière petits-enfants, elle en a beaucoup maintenant, mais sa prière permanente et intense, à genoux devant Dieu, est pour Son Excellence, et c’est juste qu’il en soit ainsi. Son Excellence a beaucoup aimé grand-mère Iolanda, et elle a beaucoup aimé Son Excellence. Elle continue à prier, prier, prier pour lui. Vous aussi, priez pour Son Excellence, afin que le Seigneur lui donne un peu plus de force; parce que lorsqu’on souffre autant, le physique s'en ressent également fortement et tout devient alors difficile.
Tous mes vux, Yari, je serai demain près de toi.
Mes chers enfants, je vous remercie de votre présence. Ensemble avec mon et votre Evêque, ordonné par Dieu, je vous bénis, vos êtres chers, les enfants et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Je te bénis Maria Teresa.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu.
Rome, le 8 décembre 2005 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Mes vux s’adressent à tous. Vous êtes une famille qui se réunit autour de l’Eucharistie. La lettre de Dieu reprend plus ou moins ce que l’Evêque vous a dit avant.
Je vous remercie tout d’abord de la façon dont vous avez préparé la fête, en dépit du froid qui se fait sentir. Je remercie Marisella, qui est descendue parmi vous en dépit de ses fortes douleurs, c’est une grâce parce que Dieu a permis qu’elle soit parmi vous; même en ce moment, ses douleurs sont très fortes. Elle a décidé de descendre et nous l’avons aidée à être avec vous afin que vous formiez une seule famille, comme l’a dit Son Excellence. J’aimerais que ce jour ne soit pas semblable à tous les autres, chaque jour qui passe doit être meilleur que le précédent. Faites toujours un pas en avant, même tout petit, mais en avant, pas en arrière. Cela dépend de la pointure, certains font du 35 et d’autres du 46. Je voulais plaisanter avec vous et faire une boutade qui fasse sourire une fois votre Evêque. Son sourire est maintenant plus sérieux, plus affligé, plus douloureux. Don Claudio est plus sensible, beaucoup plus sensible. C’est pourquoi je vous ai demandé bien des fois d’aider votre Evêque, priez pour la conversion des prêtres, des hommes d’etat et pour les nombreuses familles qui se séparent.
Je suis ici avec mon cher époux Joseph et le petit Jésus; notre petite famille est réunie. Je suis maintenant sur la Terre, entourée des angles et des saints et je veux vous aider à faire face aux nombreuses et multiples difficultés de la vie; pour les uns plus et pour les autres moins, tous les hommes ont des problèmes et des souffrances. Marisella est pour Nous l'héroïne de la souffrance, qui passe ses journées clouée sur un lit de martyre et dans un fauteuil de martyre; elle n’accepte pas ces titres, cela la gêne, son humilité est trop grande.
Vous direz: la Maman est venue nous parler de l’Excellence et de la Voyante? Oui, ce sont les personnes les plus chères à notre cur à cause de toutes les souffrances qu’ils ont dues subir. Ce que votre Evêque vous a raconté de leur vie n'est rien en comparaison de ce qu’ils ont subi, mais ils ne peuvent pas tout vous dire. Ils sont toujours prêts à vous aider avec des mots, et moralement; ceux qui les écoutent marchent et progressent, ceux qui ne les écoutent pas reculent. La vraie conversion peut arriver d'un moment à l’autre, mais elle peut aussi s'en aller d'un moment à l’autre. Soyez toujours prêts, comme le dit Jésus, parce que vous ne connaissez ni l'heure ni le jour où Dieu vous appellera. Cherchez à faire ce pas en avant; tous les hommes ont des souffrances, des difficultés, des contrariétés dans le travail, au bureau, à l'hôpital, parce que l'envie et la jalousie qui font souffrir, prennent naissance. Ceux qui aiment souffrent. Votre Evêque a bien dit que vous êtes aujourd'hui une famille réunie et ma famille est unie à la vôtre. Mes chers petits enfants, il n’a jamais été dit à une voyante dans aucun autre lieu du monde, et aujourd'hui il n'y a plus d’autres voyantes que Marisella, que Nous tous du Paradis nous sommes sur la Terre pour être avec vous. Nous n’avons recherché ni la foule ni la grande popularité, mais nous sommes ici sous cette tente à prier pour être unis. Cherchez à vous aimer et essayez de vous convertir. Ne pensez pas seulement à votre petit jardin; beaucoup ne pensent qu'à leur famille; non, intensifiez votre amour, votre aide envers tous.
Priez pour votre soeur Maria Teresa, priez pour Anna, qui a perdu sa maman, priez pour Rosaria di Novara, priez pour tous ceux qui sont malades et sont si nombreux. Il y a la petite Vincenza, que Marisella appelle son petit canard, il y a également beaucoup de malades ici au milieu de vous.
Apprenez à aimer et puis priez; si vous ne savez pas aimer, vous ne savez pas non plus prier, vous pouvez réciter toute la journée autant de rosaires que vous voulez, mais si vous ne savez pas aimer vous ne pouvez pas prier. Mettez en pratique la petite phrase de Jésus: "Apprenez d’abord à aimer et puis prier"; ce n'est qu’ainsi que se réunissent les familles, les communautés, les petits cénacles. C’est à vous de choisir si vous voulez faire un pas en avant ou en arrière, si vous le faites en avant, abandonnez-vous à Dieu, faites Sa volonté qui paraît parfois dure et difficile à accomplir, parce qu’il semble que Dieu ne vous comprend pas, mais il n'en est pas ainsi, Dieu comprend. Comme je l’ai déjà dit, les temps de Dieu ne sont pas les vôtres.
Marisa - Mais moi je te dis qu’il serait mieux que les temps de Dieu soient les nôtres, parce qu'à cette heure nous aurions fini de souffrir. Cela m’a échappé! Regarde comme ils rient, même la Maman. Maman, tu dois nous aider. Quand irons nous au Jourdain?
La Madone - Cette nuit!
Marisa - Vraiment? Puis-je emmener également l’Evêque et les enfants?
La Madone - Bien, mes chers enfants, encore tous mes vux à tous, bonne fête à tous et un grand merci à ceux qui sont venus de loin; certains ont voyagé de nuit malgré lefroid, merci également de la part de mon Fils Jésus, qui est ici comme petit enfant dans mes bras. Mon époux Joseph nous serre tous les deux dans ses bras et nous nous sentons ainsi protégés. Merci de votre aide. Je vous remercie au nom de la Voyante d’avoir tant prié pour qu’elle puisse descendre au milieu de vous, car cela la gêne également de vous dire merci.
Ensemble avec tout le Paradis, mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les enfants présents qui jouent, rient et font un peu de vacarme, mais ils sont petits, que voulez-vous. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Il y a l’immaculée Conception et la Mère de l’Eucharistie, deux Madones.
Adieu à tous. Irons-nous au Jourdain, cette nuit?
Rome, le 11 décembre 2005 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. La Maman vous remercie de votre présence. Malheureusement il n'y a pas toujours autant de monde que le jour de la fête de l’immaculée Conception, où même des personnes qui ne sont pas de Rome étaient présentes. Certains d’entre vous souffrent du froid, comme Jésus lorsqu’il est né dans la grotte de Bethléem. Vous savez qu’en dépit du printemps, les nuits étaient très froides, et que même le jour on souffrait du froid. Le petit Jésus a eu froid, et il a été réchauffé par la chaleur de la Maman et de mon époux bien-aimé Joseph.
Mes chers enfants, je vous dis encore une fois que lorsque commencera la neuvaine de Noël vous devrez commencer à préparer le trousseau du petit Jésus, comme vous l’avez toujours fait, avec de petits sacrifices, des privations et des souffrances, ces dernières dureront tant que vous serez sur la planète Terre. Souvenez-vous que lorsque la mort arrive, elle est vie et résurrection. Beaucoup de personnes sont auprès de moi, certaines sont sauvées. Marisella, voilà Bruno.
Marisa - Bruno? Je ne le connais pas.
La Madone - De toute façon c’est Bruno. Il y a Maria et toutes les autres âmes sauvées dont tu as toujours rappelé les noms; ces personnes ont été sauvées grâce aux souffrances que Dieu t’a demandées. Beaucoup de personnes ont été guéries grâce à tes prières et tes souffrances et bien d’autres sont retournées vers le Père, parce que mourir signifie commencer à vivre la vraie vie. Je suis certaine que vous voulez sauver vos âmes.
Je vous invite, pour autant que cela vous est possible, à faire cette neuvaine du mieux que vous le pouvez, pour que Dieu puisse vous aider tous; l’un d'une façon et l’autre d'une autre. Je suis toujours avec vous, mes chers enfants. Je vous vois souvent prier, mais vous commettez toujours quelques fautes qui me font souffrir. Je me réfère au problème soulevé par le dernier livre des messages. Ce livre a le double de photos par rapport au précédent et les photos coûtent chères; vous devez y ajouter le travail des jeunes qui l’ont mis en page et les coûts de typographie. Vous n’avez pas considéré tout ceci. Avant de juger, avant de parler, vous deviez ouvrir le livre et l'examiner. Vous ne le voulez pas? Ne le prenez pas. Vous n’avez de plus pas tenu compte du travail de votre Evêque, vous avez jugé et manqué de respect à votre Evêque. Vous n’avez pas encore compris que derrière ce livre saint et béni des messages de Dieu, il y a le travail de l’Evêque, des jeunes et des typographes. Que devons-nous faire de plus? Vous venez, vous trouvez l'église décorée, les fleurs en place, les lumières allumées et personne ne vous demande rien. Mais certains de vous ont eu l’audace de réclamer pour un livre qui sort une fois l’an. Je ne me sens pas capable de dire autre chose, parce que cela me fait mal et je pense que cela a également fait mal à votre Evêque, attendu que toutes vos lamentations lui ont été également rapportées. Vous avez jugé sans vérifier, sans regarder. Ouvrez le livre, regardez ce qu’il contient et vous constaterez qu’il contient le double de photos, et ce qui coûte, c’est précisément d'imprimer des photos. Vous ne voulez pas du livre? Ne le prenez pas; personne ne vous oblige à l’acheter. Je ne voulais pas de cette fausse note précisément le jour de la fête de l’immaculée Conception, de ma fête, mais ce reproche ne s’adresse heureusement qu'à un petit nombre de personnes. Au lieu d’aider, quelqu’un a carrément joué double jeu et ce n'est pas beau. Que disent les lettres de Dieu? Elles parlent de l’amour envers tous, mais cet amour vient à manquer de temps à autre. Aimer signifie aussi respecter tous les hommes, grands et petits. j’espère que vous l’avez compris et si vous ne l’avez pas compris, comme je l’ai toujours dit, demandez des explications à qui de droit, ne discutez pas entre vous, parce que vous pourriez ainsi manquer à la charité. La Maman remercie ceux qui travaillent dans le lieu thaumaturgique, préparent les fleurs, cherchent d'une façon ou d'une autre à décorer, nous disons, cette grande chaumière de Jésus, pour y accueillir les gens et ne pas les exposer au froid, à la pluie, au soleil. Tout y est fait pour vous.
Merci encore.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis tous, vos êtres chers, ceux qui sont au loin et prient pour vous. Je bénis vos objets sacrés et les petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Mes chers enfants, acceptez ce reproche, je vous en prie, acceptez-le dans votre coeur. Bonne journée à tous, bon dimanche à tous, mais surtout, bonne Sainte Messe à tous.
Rome, le 15 décembre 2005 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - La Maman vous invite à demander l’approbation de l’Evêque, quand vous faites quelque chose. Je vous recommande également de ne pas lui parler, de ne pas le questionner quand il y a beaucoup de monde autour de lui, car il peut être fatigué, être pressé parce qu’il doit rencontrer des personnes qui l’attendent ou courir voir un malade qui a besoin de lui. Vous ne devez pas vous justifier d’avoir pris une initiative en disant: "L’Evêque est au courant", parce que souvent l’Evêque n'est au courant de rien, comme la dernière fois où il avait donné la permission de faire quelque chose, mais où la décision finale n’a pas été soumise à son approbation. On n'envoie pas de lettres, comme celle que vous avez rédigée, à des personnes haut placées, même si elles ne sont pas comme il faut. En tant que Mère de l’Eucharistie, j’ai souffert en voyant ces lettres. Les évêques et les cardinaux ne sont pas n'importe qui, cela je ne l’accepte pas; même si l’on ne doit manquer de respect à personne, petit ou grand.
La sainte neuvaine pour Noël commence aujourd'hui et comme je vous l’ai déjà dit, préparez le trousseau de l’Enfant Jésus. Lundi, mardi et mercredi seront trois journées très difficiles, très éprouvantes et très douloureuses pour mes deux petits enfants. Mettez tout dans les mains de Jésus, dans le cur de Jésus et avancez. Malheureusement, chaque fois que je vous dis que vous progressez, que vous êtes bons, vous reculez; je ne comprends pas pourquoi cela arrive. Je vous recommande : ne soyez pas protagonistes, n’ayez pas le désir de vous distinguer; la Voyante vous donne un bon exemple à ce sujet. Quand je lui ai dit qu’elle ne valait que ce quart d'heure de l’apparition, elle s'est retirée. La pauvrette est maintenant recluse entre "quatre murs", comme elle le dit et prie, prie pour vous, pour vos familles, vos enfants, pour tous. Je sais que vous avez prié pour elle, mais qu’avez-vous fait en plus de la prière? Rien, parce que quand c’est possible, elle doit se débrouiller toute seule et pour le reste elle est assistée par son Evêque. Ses neveux qui vivent dans la même maison sont très éprouvés et souffrent. Quand ils entrent dans la maison et voient Marisella qui ne va pas bien, qui a un pied dans la tombe, ils souffrent beaucoup. Vous ne pouvez le comprendre parce que vous n’avez fait qu’entendre comment souffre Marisella. Si vous aviez vécu avec elle, vous en ressentiriez bien plus de douleur. De toute façon, préparez ce trousseau au petit Jésus, entrez dans le cur de Jésus, recevez Jésus en état de grâce, comme je vous l’ai toujours dit. s’il y a quelque chose que vous ne comprenez pas, parlez- en à l’Evêque, n'en discutez pas entre vous, parce que vous ne pouvez pas vous aider. Celui qui l’a bien compris, progresse bien. Je vous demande d'être plus humbles, plus simples, d’aimer vivre discrètement. Lisez l’image que vous a donnée l’Evêque parce que tout part de l’Evêque. La phrase qui y est reproduite est de Jésus: "Apprenez d’abord à aimer et puis priez", si vous ne savez pas aimer, si vous ne vous aimez pas, à quoi sert la prière? Commencez aujourd'hui une sainte neuvaine en préparation de Noël, faites de petits sacrifices, préparez ce trousseau au petit Jésus. Quand vous aurez fait tout ceci, glorifiez Dieu et chantez le Gloire à Dieu au plus haut des Cieux et paix sur la terre aux hommes de bonne volonté. Pensez-y: s’il n'y a pas de bonne volonté, on ne peut rien faire. Malheureusement quelque chose a été très mal fait. Que ceux qui jouent les protagonistes, cessent de le faire. Je vous ai dit d’aider l’Evêque, mais pas de cette façon, ce travail a été bâclé. Si quelqu’un n'est pas capable de faire quelque chose, qu’il aille trouver ceux qui s'y entendent et qu’il s'entretienne avec eux. C’est moi qui ai parlé maintenant, après c’est votre Evêque qui parlera. Il y a tant de points d'interrogation. Et pourtant Jésus, la petite Madone, l’Evêque et la Voyante vous donnent tant, vous montrent l'exemple et donnent témoignage. Vous savez que la Maman vous aime, vous veut du bien et cherche à vous aider en tout, mais simplement. Je suis la Mère de Dieu et je ne suis pas protagoniste, je reste cachée. Si vous avez lu ma vie, vous savez que lorsque j’accompagnais Jésus j'étais toujours derrière, à l'écart, et je ne parlais pas pour écouter Jésus, c'était Lui qui m’appelait: "Maman viens près de moi ". Pourquoi me mettais-je ainsi à l'écart? Parce que je voulais que Jésus triomphe, qu’il soit au-dessus de tous. Ici, dans ce petit cénacle, c’est l’Evêque qui doit s’imposer et vous devez aller le trouver; s’il n’a pas le temps, s’il y a des problèmes en famille, soyez alors patients, parce qu’il y a beaucoup de problèmes et ils sont graves. Je sais que vous l’aimez, mais vous ne parvenez pas à bien faire ce que vous devez faire et parfois la peur de vous tromper vous prend également. Il y en a qui ont peur de se tromper et se veulent supérieurs, prétendent savoir tout et tout faire. Les initiatives de Rome doivent rester au siège, dans cette petite communauté. Je ne vous dis rien d’autre, sinon l’apparition serait trop longue et prendrait du temps sur la rencontre biblique, mais je vous dis: courage, commencez aujourd'hui, remettez tous dans les mains de Dieu. Quelqu’un devra demander pardon à l’Evêque. Si je vous dis ceci, c’est parce que je vous aime, mes enfants. Quand Jésus, moi ou l'évêque, nous vous faisons des reproches, cela signifie que nous vous aimons, sinon qui le ferait? L’Evêque souffre énormément, il pourrait très bien rester à la maison, mais au contraire, il se prépare pour la rencontre biblique, pour les veillées, pour les neuvaines, parce qu’il veut vous donner le meilleur, petit cénacle. Merci, j’espère m'être clairement exprimée, que ceux qui n'ont pas compris, demandent des explications à l’Evêque, ne discutez pas entre vous, demandez à l’Evêque. Merci.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je bénis tous les malades et les enfants. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Merci, mes chers enfants, une étreinte et un baiser de la Maman du Ciel.
Rome, le 18 décembre 2005 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
C’est aujourd'hui la quatrième semaine de l’avent et le troisième dimanche du mois dédié à la bénédiction des malades. Avez-vous préparé quelque chose pour le petit Jésus? Vous avez commis des erreurs, mais essayez de les oublier, de vous corriger et de progresser. Quand Jésus parlait à ses apôtres, il les devançait et ils écoutaient ses rappels à l’ordre, ses corrections et aussi ce qu’il révélait de Dieu le Père. Dieu le Fils parlait de Dieu le Père avec ses apôtres. Vous avez un Evêque qui vous aime, vous parle, vous réprimande et vous donne des explications exhaustives du Saint Evangile et des Epîtres de Saint Paul. Emmagasinez le plus que vous pouvez. Progressez autant que vous le pouvez; ne reculez pas, ne parlez pas entre vous pour papoter, mais considérez-vous comme des missionnaires de Dieu, des serviteurs de Dieu. J’ai toujours dit que je suis la servante de Dieu, la messagère de Dieu et que j’apporte ses lettres.
Continuez cette neuvaine, il ne reste que quelques jours et terminez le trousseau du petit Jésus. Priez! Vous vous relayez pour prier pour votre sur, mais tous ne font pas le sacrifice de se lever quand c’est leur tour de prier. Quelques-uns, peu en vérité, dorment tranquillement toute la nuit et la matinée et prient quand ils se lèvent, ce n'est pas bien! Dieu ne vous a rien demandé, vous avez décidé de faire la chaîne de prière. Beaucoup se sacrifient et prient, certains se conduisent comme les apôtres qui dormaient alors que Jésus priait et souffrait. Si vous vous engagez à faire quelque chose dans une bonne intention, vous devez le faire sérieusement.
Maintenant, montre moi la lettre, Marisella.
Marisa - Mais tu l’as déjà lue et vue, tu la connais. Nous aimerions que les évêques et les cardinaux parlent de cette lettre au Saint Père.
La Madone - Moi, en tant que Maman, je conseillerai d’enlever cette ligne.
Marisa - Oh non, devons-nous recommencer?
La Madone - Marisella, enlevez cette phrase.
Marisa - C’est bon, de toutes les façons nous faisons toujours ce que tu nous dis de faire, parce que nous sommes très obéissants.
Regarde comme cette lettre bénie est bien faite.
Madonna - Je connais l’Evêque et je sais qu’il est exact à cent pour cent; il peut faire cette petite correction.
Marisa - j’en parlerai à l’Evêque, parce que moi je ne suis pas celle qui comprend bien.
La Madone - Courage, mes chers enfants, préparez-vous à ce Saint Noël avec pureté, douceur, charité, et amour envers tous et Dieu vous bénira du haut des Cieux. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés, en particulier les malades, les enfants pauvres, les personnes âgées qui sont seules et les missionnaires. Nous sommes allés cette nuit au Soudan, c'était très triste. Je vous serre tous sur mon cur, petit cénacle et je vous couvre de mon manteau maternel. Sentez ma bénédiction et allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu.
Elle est venue, seulement accompagnée des anges.
Rome, le 24 décembre 2005 - minuit (Lettre de Dieu)
La Madone - Mes vux à tous. L’Enfant Divin vient parmi vous en cette nuit de Noël; vous n'êtes malheureusement pas nombreux pour diverses raisons, mais le petit Jésus vient aussi au milieu de vous en chair et en os.
Moi, la Maman, je remercie tous ceux qui ont participé à la sainte neuvaine pour le petit Jésus et lui ont préparé son trousseau, ainsi que je vous l’avais demandé. Bien sûr, tous n'y ont pas participé, mais le petit Jésus s'en contente, il n'est pas comme les hommes, il se contente de tout. Jésus Eucharistie également se contente de tout et tous, pourvu qu’ils soient en état de grâce.
Je n’ai pas de mots pour vous remercier de ce que vous faites et continuez à faire pour mes deux petits enfants, mes deux anges; leur souffrance est très grande, croyez-moi, et ils cherchent par tous les moyens à continuer.
Marisa - Le voilà, le voilà, le voilà! O petit enfant, tout petit, tendre, tu as la chair douce et la peau veloutée. O Petit Jésus, aide-nous tous en ce moment si dur et si difficile, fais qu’il y ait rapidement un changement dans l’Eglise.
Petite Madone, puisque je ne descends pas dans l'église pour la Sainte Messe, parce que Dieu l’a décidé, tu me remets l’Enfant Jésus? Je le garde avec moi et il me tient compagnie.
La Madone - Oui.
Marisa - Merci, merci, merci de m’avoir donné le petit Jésus. J’aimerais tant être meilleure, plus compréhensive, plus proche de Jésus et de toi, Marie, la Mère de l’Eucharistie, de Saint Joseph et de tous ceux qui sont avec vous au Paradis.
Aujourd'hui, ils sont tous descendus sur la Terre, maman, grand-mère Speranza et beaucoup d’autres que nous avons connus. Je te remercie, petite Madone.
Mère de l’Eucharistie, dis au petit Jésus que les personnes qui nous sont chères se convertissent; je t’implore pour leur conversion, je suis prête à continuer à souffrir pour leur conversion, mais n'en dis rien à Son Excellence parce qu’il ne veut pas que je souffre tant.
La Madone - Marisella, Son Excellence a tout entendu, trésor.
Marisa - Cela m’a échappé.
La Madone - Tu es vraiment une enfant.
La Maman vous remercie, vous ici présents, pour votre participation à cette nuit de Noël; soyez heureux, priez pour ceux qui ne le sont pas, pour les malades et les enfants au loin qui souffrent de la faim, du froid et de la nudité. Nous nous reverrons le jour de Noël; de nouveau tous les vux de la part de tout le Paradis.
Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, tous les enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu, adieu à tous. J’ai besoin, tant besoin de toi: aide-nous, décide toi pour que ce changement, ce tournant arrive rapidement. Quelqu’un a dit que quelque chose de bon se cache toujours derrière le tournant, mais où est ce tournant pour nous?
La Madone - Adieu, Marisella, tous mes vux et un baiser à l’Evêque.
Marisa - Adieu.
Rome, le 25 décembre 2005 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
Tout le Paradis est avec moi et nous regardons ensemble cet enfant que vous voyez en plâtre, en bois et dans une autre matière. Nous le voyons en chair et en os; comme hier soir, quand je l’ai dit à Mariselle et qu’elle continuait à dire: "Il est tendre, sa chair est douce, douce, il est tout petit". Les anges sont au-dessus et au-dessous de la simple crèche que votre sur a voulu construire. C’est un Noël nuageux, orageux, mes deux enfants ont beaucoup souffert pendant la sainte nuit. Vous vous demanderez pourquoi. Mes chers enfants, il faut tant lutter pour corriger et convertir beaucoup de gens. Il vous semble étrange que moi, la Mère de l’Eucharistie, je ne parvienne pas à convertir ces personnes. Il y a beaucoup de monde dans les lieux importants, mais ils ne sont pas comme il faut, ils sont là pour le plaisir de voir et d'être vus. Est-il difficile de vivre dans la grâce de Dieu, de vivre avec Jésus Eucharistie? Cela ne me semble pas si difficile ainsi qu'à quelques uns d’entre vous.
Avez-vous préparé un trousseau au petit Jésus? Ceux qui l’ont fait sont avec Dieu et je les en remercie, parce que Jésus, le petit enfant, est Dieu. Vos curs doivent être remplis de joie et d’allégresse pour ce jour. Comme je vous l’ai déjà dit les années passées, pour un bon chrétien, pour un homme qui vit en état de grâce, chaque jour doit être Noël, chaque jour doit être meilleur que le précédent.
Que font les hommes habituellement à Noël? Ils assistent à la S. Messe et puis se mettent à table pour manger, jouer et tout se termine là. Mais ce n'est pas ainsi, c’est encore Noël demain, c’est Noël tous les jours.
Il y en a parmi vous qui souffrent beaucoup et sont toujours dans la grâce de Dieu. Dans les hôpitaux, les missions, il y des enfants pauvres qui n'ont rien à se mettre sur le dos et n'ont pas de médicaments pour se soigner. Remerciez Dieu de la façon dont vous vivez et de ce que vous avez.
Je tiens encore à vous faire une recommandation: quand l’un de vous fait un reproche à un autre, le corrige, il accomplit un acte de charité; si vous ne pratiquez pas la correction fraternelle, vous ne serez pas en bons rapports avec Dieu. Quand Marisella vous fait également une observation, acceptez-la avec amour. Vous devez penser qu’elle est faite pour votre bien, avec amour. Je vous aime mes chers enfants et souvenez-vous que cette année est l’année de l’amour, qui n’a malheureusement pas bien commencé. Je vous dis aujourd'hui: commencez l’année de l’amour, aimez-vous les uns les autres, ne prenez jamais la place de l’Evêque. Souvenez-vous que le chef de tout est l’Evêque; demain il sera le chef de toute Tout doit recevoir son approbation, il doit tout savoir. Aimez-vous, corrigez-vous, s’il le faut; je rappelle que votre sur a dit une fois au cours d'une rencontre de prière où le prêtre était absent: "Vous ne m’aimez pas parce que vous ne m’avez jamais fait de reproche. Je ne suis pas parfaite, je suis comme vous; comme l’a dit la Madone, je ne vaux que ce quart d'heure où je parle à la Madone ". L’Evêque doit triompher, l’Evêque doit dominer, dans le bon sens, naturellement parce qu’il vous aime et peut vous aider. Je sais que vous l’aider aussi avec vos prières, l’adoration, vos sacrifices et le jeûne et la Maman vous en remercie. Aimez-le, les prêtres aussi ont besoin d’amour et d’affection.
Je vous souhaite à tous un saint Noël; que ce soit aujourd'hui, demain et tous les jours, Noël pour vous.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers; je bénis ceux qui sont loin pour des motifs familiaux. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Courage et mes voeux à tous.
Messages de Janvier 2006
Rome, le 1er janvier 2006 - 11h00 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
J’adresse tous mes vux à ceux ici présents ainsi qu'à ceux absents pour des motifs familiaux ou loin d'ici. j’espère avec vous que cette année sera meilleure que celle passée qui s'est avérée dure, terrible et pleine de souffrances. Vous avez tous connu la souffrance d'une façon ou d'une autre; prions pour que cette année soit meilleure pour tous: pour l’Evêque, les parents, les enfants, les adultes, les jeunes et les enfants.
Même si vous ne me voyez pas, je suis toujours avec vous et je vous aime. Comme votre sur l’a dit: pardonnez et aimez. Aucun de vous n'est parfait, seul Dieu est parfait, c’est pourquoi il y aura toujours des erreurs, des contradictions, de petites disputes, mais pardonnez et aimez-vous. Souvenez-vous que cette nouvelle année est l’année de l’amour, mettez-la en pratique et faites que ce soit vraiment une année pleine d’amour pour tous. Je vous souhaite de tout mon cur une bonne année, je suis votre Maman et je vous aime, je vous aime beaucoup.
Courage. Souvenez-vous de ce que je vous ai dit? Que chaque jour soit Noël, même dans la souffrance et les soucis; pour vous qui avez accompli un très beau chemin spirituel, que ce soit tous les jours Noël.
Tous les vux également de la part de tout le Paradis, ici présent. Bien entendu et vous le savez bien, il y a aussi ici avec moi des personnes décédées et sauvées, vous devez en être également heureux.
De nouveau tous mes vux, tous mes vux et avancez au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Bonne Sainte Messe à tous.
Souvenez-vous que je suis près de l’Evêque pendant la S. Messe et que mon époux bien-aimé Joseph et grand-mère Iolanda sont également présents.
Adieu à tous, votre Maman vous embrasse.
Marisa - Adieu.
La Madone - Loué soit Jésus Christ.
Rome, le 6 janvier 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
C’est comme toujours une grande joie pour moi d'être parmi vous. C’est aujourd'hui l’Epiphanie de Jésus. Les Rois Mages sont finalement venus apporter leurs dons à l’Enfant Jésus, car comme vous le savez bien, nous étions très pauvres et n’avions pas suffisamment d’argent pour nous nourrir. Les Mages sont venus du lointain Orient et ont apporté, l’or, l'encens et la myrrhe. Avant eux, les bergers étaient venus aussi apporter leurs offrandes à l’Enfant Jésus, au père selon la loi et à la maman. Nous les parents, nous nous sommes réjouis de la venue du Messie, mais nous avons également souffert, moi, la Maman, en particulier, parce que je connaissais les grande souffrances qui l’attendaient. Je savais que Jésus mourrait sur la croix, puis ressusciterait pour rouvrir le Paradis à nous les hommes. Moi, la Maman de tous les hommes, je me demande parfois: "Qui a mis en pratique ce que Dieu a fait, en envoyant Son Fils mourir sur la croix pour nous et pour nous rouvrir le Paradis?". Combien de vous vivent en attendant d’aller au Paradis pour y jouir éternellement de Dieu? De temps à autre, des âmes vous quittent et partent en voyage pour l'éternité. Vous devez prier afin que ceux qui vont au Purgatoire puissent aller rapidement au Paradis. A la fin des temps, lors du jugement de Dieu, beaucoup iront au Paradis et beaucoup d’autres dans un autre lieu dont je ne désire pas dire le nom, parce qu’il ne me plaît pas de répéter ce mot si dur.
Puisque c’est aujourd'hui la fête de l’Epiphanie, priez pour tous les enfants pour qu’ils grandissent en sagesse et en bonté dans tous les sens du terme et aiment Jésus, la Mère de l’Eucharistie et l’Eglise. Qui que ce soit qui gouverne l’Eglise, même si cela ne vous plaît pas, doit toujours être respecté. Ceux qui connaissent bien l'histoire savent que malheureusement tous les papes n'ont pas fait leur propre devoir, mais vous, respectez et priez pour le chef de l’Eglise. Vous savez qu’il y en a qui souffrent pour la conversion des grands personnages. Marisella était en route pour le Paradis, mais Dieu est intervenu et a dit: "Il est bon que tu restes encore sur la Terre pour sauver beaucoup d’autres âmes ".
Je vous ai toujours dit que chaque jour devrait être Noël, non pas pour manger mais pour prier. Lorsque viendra le moment de votre départ, vous serez ainsi joyeux et très beaux parce que vous aurez fait votre devoir, vous aurez fait que chaque jour soit toujours un Noël de prière, de souffrances et d’amour. C’est l’année de l’amour, ne l’oubliez pas; aimez-vous comme moi, la Mère de l’Eucharistie et Jésus, nous vous aimons tous. Je vous prie de continuer et de ne pas vous arrêter à des bêtises, mais d’aimer et d’aider en particulier ce qui ont besoin d’aide.
Merci à tous, continuez imperturbablement à venir. Je désire que l’amour triomphe toujours dans ce tout petit cénacle. Merci encore.
Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les malades, présents et absents, ceux qui sont loin d'ici, les enfants du tiers monde, les malades, enfants malades, la Maman désire les bénir tous. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Je vous recommande de ne jamais parler des autres entre vous, souvenez-vous que personne n'est parfait et que vous pouvez tous pécher. Parlez d’amour, de prières et aimez-vous. Merci.
Loué soit Jésus Christ.
Rome, le 7 janvier 2006 - 18h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
C’est aujourd'hui le premier samedi du mois de la nouvelle année. Je devrais dire: année nouvelle, vie nouvelle pour tous. Ma venue a été voulue par Dieu, qui m’a dit: "Marie, c’est le premier samedi du mois de l’an 2006, va voir mes enfants, peu importe combien ils sont, car ce sont des enfants qui prient, aiment et continuent à aimer". C’est une très belle journée aujourd'hui, la nature nous sourit, mais il n'en est pas ainsi pour votre sur qui est continuellement éprouvée. Elle est descendue hier pour être avec vous, puis elle s'est sentie mal et elle se sent toujours mal aujourd'hui, mais c’est sa mission et elle est heureuse de la faire avancer jusqu'à sa mort. Je vous demande, au nom de Dieu, d’aimer, de prier, de faire quelques pénitences et petits sacrifices. Ces demandes s’adressent à ceux qui sont en bonne santé, ceux qui ne se portent pas bien ne doivent pas le faire, il suffit qu’ils prient et s'unissent à mes deux petits enfants. Jésus s'unissait souvent à Pierre, Jacques et Jean pour prier avec eux, être avec eux, même si parfois il restait seul, parce qu’ils s'endormaient. Il peut arriver à tout le monde de s'endormir dans les bras du Seigneur; vous aussi, si vous ressentez une forte envie de dormir, abandonnez-vous dans les bras du Seigneur.
Aujourd'hui, premier samedi du mois de la nouvelle année, tous les vux de tout le paradis et une étreinte de la Mère de l’Eucharistie pour vous tous. Jésus ainsi que Saint Joseph, les anges et les saint sont également présents.
Je vous demande encore de prier pour votre sur, afin qu’elle ait la force de mener jusqu’au bout sa mission: ceci vous pouvez le faire. Je vous remercie tous et souhaite tout le bonheur possible, en particulier aux malades, aux enfants malades et aux enfants du tiers monde qui souffrent tant.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés, Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel.
La lettre de Dieu était plus longue, mais je dois m’arrêter parce que votre sur ne va pas bien. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Bonne Sainte Messe à tous, et comme je vous l’ai déjà dit bien des fois, participez à la Messe comme si c'était la dernière de votre vie.
Merci, adieu à tous, un baiser à tous.
Rome, le 8 janvier 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
Marisa - Je vois une grande foule le long du Jourdain et Jean qui baptise. Voilà que Jésus arrive, beau, rayonnant et reçoit le baptême du Baptiste.
Jésus - Tu te souviens du Jourdain, Marisella ?
Marisa - Oh, tant de moments si beaux!
Jésus - Mes chers enfants, c’est votre Jésus qui vous parle et vous aime immensément. J’ai reçu moi aussi le saint baptême pour être comme vous, bien que je sois le Fils de Dieu.
Souvenez-vous toujours de ce que je vous dis aujourd'hui: les enfants qui meurent sans le Baptême vont au Paradis, parce que je suis mort et ressuscité pour tous. Qui est venu au Paradis après ma mort et ma résurrection? Mon père bien-aimé Saint Joseph et tous les autres morts avant moi. Avant ma mort, ma résurrection et mon ascension au Paradis, personne ne pouvait y entrer à l'exception de la Maman. Quand les hommes affirment que les enfants morts sans le baptême ne vont pas au Paradis, ils ne sont pas de bonne foi, écrire les intéresse dans le but de vendre des livres et de se présenter comme des prophètes. Non, tous les enfants, même ceux qui n'ont pas reçu le baptême, sont après ma mort et ma résurrection au Paradis avec Moi; vous devez vous en réjouir. Les prêtres parlent parfois de l'existence des limbes. Mais quels limbes? Que sont les limbes? Je le répète: tous les enfants sont au Paradis avec Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit, moi, Dieu le Fils, la Mère de l’Eucharistie et tous les anges et les saints. Priez et réjouissez-vous en, parce que vos enfants prient pour vous et vos familles. N'écoutez pas ceux qui enseignent une doctrine différente de la mienne. En ce moment tous les enfants chantent au Paradis, d'une voix enfantine "Gloire à Dieu au plus haut des Cieux". Où sont selon eux tous les enfants morts dans les guerres, de famine et par manque de médicaments? Souvenez-vous en, ne l’oubliez jamais et parlez-en à tous: ces enfants blancs, noirs, jaunes, sont tous au Paradis, même sans le Baptême, parce que lorsqu’ils arrivent au Paradis, je peux les embrasser et les baptiser quand je le veux.
Courage, offrez cette journée pour les enfants avortés, morts de maladie ou d’autres souffrances et qui sont maintenant avec Moi au Paradis.
Renouvelez ensemble avec Moi les promesses de votre baptême. Je vous remercie, si vous avez compris mon discours qui est si important.
Marisa - Jésus est parti avec tous les petits enfants.
La Madone - Et moi, votre Maman, ensemble avec mon cher fils, le Saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos petits enfants. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Encore tous mes vux à tous pour la nouvelle année. Priez aujourd'hui les petits anges du Paradis.
Marisa - Et maintenant comment faisons-nous?
Rome, le 13 janvier 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
(Marisa a été privée de la vue pendant plusieurs heures)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
Marisa - Je ne te vois pas, mais je t’entends.
La Madone - Mes chers enfants, c’est aujourd'hui une belle journée pour l’un d’entre vous. La Maman est très heureuse, parce que grâce aux souffrances de votre sur, quelqu’un a obtenu ce qu’il désirait avoir, mais il faut continuer à prier.
Marisa - Voilà la lumière! La voilà!
(Marisa a retrouvé la vue)
La Madone - Mes chers enfants, quand les apôtres cheminaient avec Jésus qui leur parlait, je me mettais derrière eux, mais Jésus n'en était pas heureux, alors il m’appelait et me disait: "Maman, Marie, viens près de moi, avance-toi ". C’est ce que vous devez faire, laissez les premières places aux derniers, mais pas à l'église, car il faut d’abord y occuper les premières places pour être près du tabernacle, près de Jésus. Quand l’Evêque, une personne mieux préparée que vous, vous parle: écoutez ce qu’il dit de beau. Oh, vous ne pouvez pas vous imaginer comme votre Evêque connaît bien le Saint Evangile! Quand le dimanche vous cherchez à vous en approcher, faites comme je le faisais, moi la Maman de Jésus, mettez-vous à part et écoutez le. Puis s’il le pense opportun, il vous appellera et vous dira: "Avance, viens près de moi, écoute ce que j’ai à te dire". Il devrait en être toujours ainsi pour tous.
Aujourd'hui, votre sur a perdu la vue pendant plusieurs heures, mais elle est restée sereine et tranquille parce qu’il y avait toujours quelqu’un près d’elle pour l’aider. Elle me voit maintenant, elle voit la grande lumière, elle voit Jésus, les saints, les anges et toutes les âmes présentes. Elle a finalement retrouvé la vue. Est-ce que cela durera? Il faut le demander à Dieu le Père. Elle est toujours heureuse et contente, elle ne laisse pas voir le poids de sa souffrance et quand des joies arrivent, son bonheur augmente, son amour envers tous augmente. Elle vous aime tous, grands et petits; bien sûr, elle aime surtout les enfants, les malades et tous ceux qui ont besoin d’aide.
Mes chers enfants, continuez vous aussi à avancer en vous aimant mutuellement. Aimez-vous les uns les autres comme Jésus et moi, nous vous aimons. Faites de même vous aussi, prenez exemple sur votre sur qui ne sait pas si elle pourra encore descendre ou non, mais elle se pense toujours à vous et prie pour vous tous, grands et petits et surtout pour les petits et les malades.
La grande grâce devra être portée en avant par ceux qui l’ont reçue avec amour et aussi avec sacrifice, sinon tout sera perdu et cela, Nous tous, nous le voulons pas.
Merci, Marisella, je te remercie, moi aussi, au nom de tous. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis et vos êtres chers. Je bénis tous les enfants. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Tu me laisses encore ainsi?
Sara, trésor, veux-tu donner un petit baiser à la petite Madone? C’est une enfant et comme tous les enfants elle aime jouer. Tu l’aimes beaucoup, n'est-ce pas?
La Madone - Bien sûr, j’aime tous les enfants, comme toi.
Marisa - Donne le bonjour à maman, à grand-mère et à tous ceux que j’ai connus sur la Terre. Adieu.
Rome, le 15 janvier 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
C’est avec une grande joie que je vous parle aujourd'hui de notre cher Saint Pierre. Vous savez combien de fois Jésus lui a demandé: "Pierre, m’aimes-tu?"; et à la fin il lui a répondu: "Tu sais bien, Seigneur, que je t’aime ". Alors seulement Jésus lui a dit: "Pais mes brebis ". Mais le moment le plus beau et le plus important a été quand il lui a dit: "Tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Eglise, et les portes de l'Hadès ne tiendront pas contre elle". Jésus a ordonné Pierre Evêque et l’a institué chef de l’Eglise. Dieu en personne a ordonné Claudio Evêque, le plus grand de tout l'épiscopat et il l’a institué chef de tout. Ceci n’a pas encore été accompli; il faut encore "tenir la dragée haute ", comme vous le dites sur la Terre. Après Pierre et les apôtres, jamais plus personne n’a été ordonné Evêque par Jésus, parce ceux-ci ont ordonné d’autres Evêques. Mais après tant et tant de siècles un nouvel Evêque a été ordonné par Dieu: Monseigneur Claudio Gatti. Cette intervention divine a suscité beaucoup de jalousie et d’envie parmi ses confrères qui, je dois le dire avec des paroles très dures, l’ont massacré sous tous les points de vue. Mais lui, imperturbable et fort, même si un peu moins aujourd'hui pour des raisons de santé, avance comme Pierre avec son petit cénacle. Certes, il n’a pas autant de personnes que Pierre autour de lui, il n’a qu’un petit cénacle qui l’aime. C’est si beau, c’est si grand d'être appelé par Dieu pour faire avancer une de Ses missions. Dieu, qui a créé le Ciel et la Terre, qui a créé l'homme à Son image et ressemblance, a ordonné Evêque votre prêtre et, je le répète, l’a institué chef de tout.
Tout ceci devrait vous surprendre. Elevez un cantique de louange à Dieu, vous devez être tous très heureux, car c’est votre Evêque qui souffre pour cette élection. Les autres Evêques, y compris le chef de l’Eglise, ne l’ont pas accepté, ou s’ils l’ont fait, ont peur de le montrer. Un grand nombre d’entre eux sont bons, l'estiment, l’aiment, mais se taisent par peur. Même, Monsieur Ruini, quand il parle de votre Evêque avec des personnes de confiance haut placées, en dit du bien mais du mal et d'un ton menaçant quand il se trouve avec des personnes qui ne font pas partie de son clan. Comprendre les hommes est très difficile, mais notre Dieu Tout-puissant sait que faire et comment il doit le faire, même s’il vous demande beaucoup et beaucoup de patience en attendant.
Courage, Marisella, je vois que ta santé décline de jour en jour, mais je vois que tu es heureuse, parce qu’en dépit de tant de souffrances, tu fais avancer ta mission.
Mes chers deux petits enfants, vous êtes mes anges, deux martyrs qui souffrent jour et nuit pour la renaissance de l’Eglise, la conversion des hommes, les enfants que tu aimes tant, Marisella, les malades, pour tous.
Excellence, marche comme autrefois, du pas assuré de Saint Joseph. n’aie peur de rien, laisse dire, laisse faire. Ceux qui disent du mal, et tu sais qui ils sont, ne méritent pas qu’on les comprenne, ils sont très malades, très envieux, très jaloux, ils voudraient te voir couler à pic, mais cela n’arrivera jamais. Ne te soucie pas d’eux: confrères, religieuses, parents ou amis, quels qu’ils soient, laisse-les dire, laisse-les faire. Je sais que c’est dur, que les propres parents disent du mal, mais c’est ainsi malheureusement. Toi, avance la tête haute, droit devant toi comme Saint Joseph et comme Saint Pierre. Le premier Pape marchait tranquillement, faisait la navette sur les chemins de la Palestine et du monde et quand il était incertain de ce qu’il devait faire, il entendait une voix dans son cur qui lui disait: "Avance, avance!". Je te dis la même chose :"Avance la tête haute, du pas de Pierre et de Saint Joseph que tu aimes tant". Je suis toujours avec toi. Merci, Monseigneur Claudio Gatti, Evêque du monde entier, chef du monde entier.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés, je bénis tous les enfants. Emanuele, tu m'envoies un baiser, trésor? Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Emanuele, sois sage pendant la Sainte Messe. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. J’aimerais aller un tout petit peu mieux afin de pouvoir descendre, mais je vois que ce n'est pas possible. De toute façon je ne me sens pas bien.
Rome, le 20 janvier 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - C’est toujours avec une grande joie que je viens parmi vous. Comme vous le savez, mon amour est grand, mais aujourd'hui il s’adresse surtout aux malades hospitalisés et à la maison, aux enfants, aux personnes âgées et à tous ceux qui sont seuls et souffrent beaucoup. Il est difficile de guérir et facile de prier; priez le plus que vous pouvez. Moi, la Maman, je vous remercie de ce que vous faites, pour votre sur en particulier. Dieu a décidé que sa mission s’achèvera avec sa mort. Ceci ne devrait pas vous effrayer mais vous encourager à prier, afin qu’elle puisse monter rapidement vers le Père. Vous devez être heureux et contents comme elle l'est. Bien sûr, il arrive parfois que la nature humaine se rebelle et elle aussi demande de l’aide, du réconfort et murmure: "Emmène moi ". Ceci est naturel, normal. Quand elle se sent un petit peu mieux, elle se reprend et parle avec Jésus, avec moi et sa maman.
Je dis à tous et en particulier à ceux qui sont malades, courage mes chers enfants. Vincenza, tu es admirable de venir avec tant d’amour et de souffrance dans cette petite chapelle et la basilique thaumaturgique. Dieu l’a rendue sainte et vous rendra aussi saints si vous vous conduisez bien, si vous aimez et éprouvez de la sensibilité envers le prochain. Merci'.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis les enfants. Emanuele, tu envoies un baiser à la petite Madone?
Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel.
Courage, Excellence, tu n'es pas seul, Nous sommes avec toi.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu, j’envoie un baiser à maman et grand-mère Speranza. Adieu. Aide-moi, j’accepte les souffrances, mais aide-moi.
Rome, le 22 janvier 2006 - 10h40 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
C’est aujourd'hui une journée particulière pour tous les hommes du monde entier pour qu’ils arrivent finalement à une conversion authentique. Convertissez-vous et croyez au Saint Evangile. Chacun de vous doit lire le Saint Evangile, le méditez et mettre en pratique tout ce que votre Evêque dit. Tout ce que Jésus a enseigné aux apôtres, aux disciples et aux hommes qu’il a rencontrés, est écrit dans le Saint Evangile. Malheureusement, le Saint Evangile n'est pas expliqué aujourd'hui comme il devrait l'être, comme le fait votre Evêque qui en fait de chaque ligne un poème, comme je vous l’ai déjà dit d’autres fois. Si vous réussissez à mettre en pratique le Saint Evangile, vous serez déjà saints sur la Terre. On dit qu’il est difficile d'être saint sur la Terre, et pourtant quelqu’un l'est déjà.Vous deviendrez tous saints, si vous suivez les traces de Jésus, de Marie, Mère de l’Eucharistie, de Saint Joseph et des saints. Suivez leurs traces, pensez combien ils ont souffert pour arriver à la sainteté. Il y a quelqu’un sur la Terre qui souffre énormément, plus que ce qu’ont souffert les saints qui sont déjà au Ciel. Etre saint sur la Terre signifie recevoir Jésus Eucharistie en état de grâce. Ne recevez pas Jésus par habitude ou parce que c’est dimanche.
Souvenez-vous que chaque jour est fête. Enseignez à vos enfants, petits-enfants, arrière petits-enfants ce que signifie vivre en état de grâce et aimer Jésus Eucharistie, ce n'est qu’ainsi que vous pourrez monter au Ciel. Le Paradis n'est pas un lieu. Dieu a créé le monde et créé l'homme à Son image et ressemblance. Mettez en pratique le Saint Evangile. Lisez-vous une page du Saint Evangile une fois par jour? Lisez-vous un message une fois par jour? Répondez-y dans votre cur.
Merci. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, les enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Bonne Sainte Messe à tous. Merci.
Marisa - Adieu.
Elle me semblait pressée.
L’Evêque - En effet.
Rome, le 27 janvier 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Merci de votre présence, mes chers enfants. Je vous ai dit une fois: "Formez une chaîne, donnez-vous la main, avancez lentement et cherchez à rejoindre Jésus-Eucharistie". n’abandonnez jamais l’Eucharistie; elle vous donne force et courage pour avancer, accepter les souffrances et supporter les difficultés de la vie.
Depuis combien de temps durent ces temps difficiles? De grandes tragédies ont eu lieu en beaucoup d’endroits, alors qu’ici, comme je vous l’ai déjà dit, vous êtes encore saufs. Il fait froid, il neige, il pleut et des malheurs arrivent: Dieu envoie tout cela pour convertir les pécheurs. Sauver son âme doit être la tâche la plus importante de tous les hommes. Je le répète: donnez-vous la main et avancez lentement, sans courir, jour après jour, c’est ainsi que vous arriverez à Jésus Eucharistie. Je suis la Mère de l’Eucharistie et Jésus Eucharistie est mon Fils et votre Père, qui veut vous aider tous.
Il y aura quelque chose de beau. Je dirai à mes deux petits enfants ce que nous préparons pour eux. Jésus est également contrent de vous lorsque vous marchez sur le droit chemin, recevez Jésus Eucharistie et allez dans les différentes église écouter la Sainte Messe. Quel que soit le prêtre qui célèbre la messe, pensez seulement à recevoir Jésus Christ en état de grâce.
Je vous aime, mes chers enfants, parce que Dieu vous aime, Dieu est amour, amour pour tous. Tous mes vux aussi à ceux qui ne se conduisent pas bien. Dieu a cherché partout quelqu’un qui puisse l’aider à convertir beaucoup de personnes. Beaucoup se sont converties, mais beaucoup doivent encore se convertir, croire au Saint Evangile et prier. Priez beaucoup également en accomplissant vos tâches ménagères ou en travaillant. Les distractions peuvent arriver, mais recommencez ensuite à prier. Si vous récitez le Notre Père et que vous soyez distrait, cela ne fait rien, recommencez-le en vous adressant à Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Mes chers enfants, n’abandonnez jamais l’Eucharistie pour quelque raison que ce soit, mais pour la recevoir, vous devez participer à la Sainte Messe et être en état de grâce. Quand Jésus entre dans votre cur, j'y entre moi aussi ainsi que mon époux bien-aimé Joseph et les saints que vous connaissez, comme grand-mère Iolanda. Vous aussi, vous pouvez arriver à la sainteté comme grand-mère Iolanda, il suffit pour cela d’avoir bonté, charité, confiance et espérance en tout.
Courage, mes chers enfants, Dieu est avec vous. Merci.
Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu.
Rome, le 29 janvier 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ.
Mes chers enfants, le temps passe si vite, il semble ne plus vouloir s’arrêter et la purification se poursuit. Pour vous ce n'est pas aussi grave que dans d’autres endroits. C’est pourquoi je vous invite à prier pour ceux qui souffrent des catastrophes naturelles, aidez-les de vos prières. Combien de morts y aura-t-il encore? Combien de personnes meurent alors qu’elles ne sont pas en état de grâce? Aider ces personnes est une autre tâche de votre soeur.
La purification a également commencé pour vous, mais elle n'est pas très dure, vous êtes encore chanceux parce que vous vous trouvez dans un lieu où ne se produit pas ce qui arrive dans d’autres endroits de l’italie. La purification est partout et tout dépend de Dieu. Dieu ne veut de mal à personne, mais il doit réussir d'une façon ou d'une autre à convertir les hommes et seuls l’amour et la charité le poussent à agir ainsi. Vous savez que Dieu est amour, que l’amour règne au Paradis et nous désirons que vous réussissiez à avoir cet amour pour tous.
Aimez-vous, aimez-vous, priez. La prière du cur est très importante. Priez avec amour, aidez le prochain, quel qu’il soit et vous verrez comme tout deviendra plus facile.
Priez pour votre Evêque, ne l’abandonnez pas, vous au moins, aidez-le. C’est un moment difficile pour lui et cela deviendra encore plus difficile quand il arrivera à une position très élevée, quand il s'envolera à des hauteurs vertigineuses. Sa tâche sera très douloureuse au début et s’il n’a personne à ses côtés et qui prie pour lui, comment fera-t-il ? j’espère et j’ai confiance que vous aiderez tous votre Evêque, du plus grand au plus petit et Dieu vous en récompensera.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les enfants et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. C’est bon.
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Messages de Février 2006
Rome, le 3 février 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
Vous fêtez aujourd'hui, même si c’est avec un jour de retard, la présentation de Jésus au Temple. La fête a été repoussée, afin que tous puissent y participer. Quand Jésus est entré au Temple, un halo blanc et lumineux l’a entouré. Moi, sa maman, et Joseph qui portait les colombes, nous avons présenté le petit Jésus au vieillard Siméon qui l’a pris dans ses bras, l’a soulevé le plus haut qu’il le pouvait et, après avoir béni Dieu, a dit: "Je peux mourir maintenant puisque mes yeux ont vu le salut qui vient de toi". Marisella, tu as dit la même chose, "Laisse maintenant mourir ta servante, puisqu’elle a vu Jésus, le Messie, la Maman et son époux bien-aimé Joseph. Elle a fait tout ce qu’elle devait faire". Remerciez Dieu, parce que des faits merveilleux vous sont révélés, de temps à autre.
Alors que je parle, les colombes volent autour du petit Jésus, vêtu de blanc et d'or, que j'élève vers le ciel. Une grande lumière émane de lui. Les mamans qui ont un petit enfant, devraient l’amener à l’Eglise et l'élever vers Dieu.
Mes chers enfants, je vous invite à prier pour les malades qui en dépit de leur infirmité, sont ici pour prier. Priez l’Enfant Jésus présenté au Temple, puis fermez les yeux et dites: "Jésus, reste près de moi et ne m’abandonne jamais, jamais".
Courage, Marisella, toi aussi tu as vu le Sauveur et tu peux avancer maintenant.
Je vous aime tous, mes chers enfants et je vous bénis avec mon saint Evêque. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu à tous.
Rome, le 4 février 2006 - 18h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
J’aimerais dire, comme Saint Paul, mes enfants bien-aimés, parce que vous êtes vraiment tous mes enfants bien-aimés. C’est aujourd'hui le premier samedi du mois et vous savez combien cet anniversaire est important pour moi. Je suis venue plusieurs fois cette semaine pour vous demander de prier, d’aider votre prochain et pour vous rappeler que les enfants doivent respecter leurs parents et les parents leurs enfants. Je vous demande aujourd'hui de prier pour les malades; quelques malades sont ici présents, parmi vous.
Quand le Seigneur permet une maladie, il donne aussi la force de l’accepter et tôt ou tard vient le moment du départ. Ceci ne doit pas vous faire souffrir, mais vous réjouir. Du reste, je viens au milieu de vous pour vous aider, vous donner force et courage. Oh, comme c’est beau de s’aimer, comme c’est beau que les enfants aiment leurs parents et les parents leurs enfants! Cela demande aide et compréhension réciproques. Vous devez tous aimer, je vous l’ai demandé bien des fois. Aimez-vous mutuellement, souvenez-vous que l’amour est la vertu la plus importante, l’amour vous emmène au Paradis et y reste avec vous, alors que la foi et l'espérance vous servent à lutter sur la Terre. Vous devez avoir foi en Dieu et espérer que tout va pour le mieux.
Vois-tu, Marisella, le bonheur de grand-mère Iolanda? Elle a beaucoup souffert sur la Terre, mais elle jouit infiniment maintenant, comme beaucoup d’autres saints. Sois forte et courageuse, aie confiance en Dieu et lorsque l'heure de ta mort viendra, sois heureuse. Vous devez tous être heureux quand vient le moment du départ, cherchez donc à être bons et à conquérir le Paradis. Vous devez désirer jouir du Paradis avec Jésus, Marie, la Mère de l’Eucharistie, Saint Joseph et tous les saints et les anges. Je suis ici parmi vous. Vous ne me voyez pas, mais je suis ici parce que Dieu le veut et j'obéis à Dieu.
Courage, mes enfants bien-aimés, je vous aime tous, grands et petits, et je serai toujours avec vous.
Marisa - Il y a maman!
La Madone - Avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, vos enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés.
Marisa - Merci, adieu.
Rome, le 5 février 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Mes chers enfants, mes enfants bien-aimés, merci de votre présence. Chaque fois que je descends parmi vous, mon cur bat très fort à cause de la joie que j'éprouve en vous voyant ici réunis, en dépit de toutes vos difficultés et de celles de votre Evêque et de la Voyante, qui pour diverses raisons ne peut descendre parmi vous.
Jésus ne m’a jamais délaissée et m’a aimée et respectée en tant que Mère et Fille de Dieu. Je suis la Maman de Jésus et j’ai toujours été aimée, respectée et mise à la première place. Moi et Marisella, nous avons rapporté, quand nous marchions le long du Jourdain et que Jésus entra dans le lac, prit du poisson, l’apporta sur la rive, le cuisina et nous l’offrit. Puis, enlaçant son Evêque, il continua à marcher le long du Jourdain et lui parla de Dieu, des apôtres et des saints.
Jésus - J’ai toujours respecté la Maman, comme le font beaucoup d’enfants qui sont bons et respectent leurs parents et beaucoup de bons parents qui respectent leurs enfants.
La Madone - Il y a malheureusement dans ce monde des enfants qui ne respectent pas leurs parents, mais davantage de parents qui ne respectent pas leurs enfants; cela me fait mal. Ils ont dit ceci aussi de mon Fils Jésus, l’accusant de choses fausses, très fausses. Oh, combien de choses fausses n'ont-ils pas dit dans mon dos et combien sur moi à mon Fils Jésus pour m'éloigner de lui! Quand nous cheminions sur les routes de Palestine, je cherchais toujours à me mettre au dernier rang parce que j’envoyais devant les apôtres, mais Jésus, ne me voyant pas, se retournait et me disait d'une voix merveilleuse: "Maman, viens à côté de moi, n'oublie pas que tu es ma Maman".
Jésus - Et elle, sans un mot, silencieuse et souriante, s’approchait de moi. Je mettais ma main sur mon épaule et je la serrais sur mon cur.
La Madone - Ceci est le véritable amour que tous devraient éprouver: du plus petit au plus grand. Je vous recommande: amour et respect envers les enfants. Les enfants sont des trésors de Dieu, ce sont des anges de Dieu; il peuvent être capricieux, très vifs, mais n'oubliez pas que ce sont des dons de Dieu. Certains ont reçu ce don plusieurs fois et je vous remercie de tout ce que vous faites pour vos enfants.
Avancez toujours. Priez pour celui (Note du rédacteur: l’Evêque Claudio Gatti) que j’ai toujours recommandé à vos prières; nous espérons que tout s’arrangera au plus tôt.
Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, vos petits enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Merci.
Rome, le 10 février 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
C’est comme toujours, une grande joie pour moi d'être parmi vous. Je veux vous appeler "mes enfants bien-aimés", c’est une expression si belle.
La rencontre biblique sera aujourd'hui très importante, cherchez à la suivre avec amour et attention.
Sara, tu envoies un baiser à la petite Madone? J’attends avec impatience la journée de demain. Votre Evêque vous a enseigné ce que signifie l’onction des malades. Pour recevoir ce sacrement, il n'est pas besoin d'être sur le point de mourir, mais il suffit que l’on ne soit pas bien ou d'un âge avancé. Ce sacrement vous donne la grâce et la force de continuer. Votre sur était mourante, elle a reçu le sacrement et, remerciant Dieu, elle est encore avec vous. Même si les médecins s’accordent à dire que sa mort est proche, elle est heureuse comme vous devriez l'être aussi.
Demain, quand vous recevrez l’onction des malades, priez beaucoup pour ceux qui ne la reçoivent pas, parce qu’ils n'en ont pas besoin et pour les malades qui attendent anxieusement la guérison. Que la volonté de Dieu soit faite.
Avancez en vous démontrant mutuellement amour et désir d'être unis. Femmes, aimez vos maris; maris aimez vos femmes; parents, aimez vos enfants, ce sont des dons de Dieu, des joyaux. Priez les uns pour les autres, chacun de vous a besoin d'être aidé par la prière, des familles entières ont besoin de vos prières. Je vais vous dire une chose qui vous fera plaisir: la nuit, quand votre sur ne dort pas ou ne va pas bien, elle fait une liste d'intentions pour vous tous, elle vous nomme tous, grands et petits. C’est avec plaisir que je viens dans ce lieu, même si vous n'êtes pas nombreux; vous êtes peu en comparaison à d’autres lieux où je n’apparais pas. Je suis ici avec vous; avoir une grande foule de personnes ne nous intéresse pas, peu suffisent, mais bons et saints, et désirant aller au Paradis.
Merci. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que tous les malades, ceux qui recevront demain le sacrement des malades, les enfants et tous ceux qui en ont besoin. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Mes vux à tous. Souvenez-vous que l’onction des malades est un sacrement important qui renforce la grâce et vous donne force et courage.
Marisa - Adieu.
Rome, le 11 février 2006 - 18h30 (Lettre de Dieu)
Marisa - Oh Marie, Mère de l’Eucharistie, aide-nous tous ici présents.
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés.
Je vous répète encore une fois que c’est une grande joie pour moi d'être parmi vous. Certains de vous recevront aujourd'hui le Sacrement des malades. Votre Evêque vous a enseigné que ceux qui peuvent recevoir ce sacrement, sont ceux qui sont vraiment malades ou ont un âge avancé. On ne reçoit pas ce sacrement si l’on a seulement quelques douleurs ou une maladie légère. l’onction des malades est un sacrement pour ceux qui sont vraiment malades et d'un âge avancé. Votre sur l’a reçu deux fois et semble presque refleurir depuis ce jour, même si le temps qui lui reste sur la Terre sera bref; vous savez maintenant ce que brièveté signifie pour Dieu.
Marisella, pour cette grande fête, ta sur, Bernadette, est présente aujourd'hui. Elle prie beaucoup pour toi et pour tous vos malades. Je suis ici pour vous, pour vous aider à baisser la tête et à dire: "Mon Dieu, que ta volonté soit faite". Accepter la volonté de Dieu est le plus beau signe d'obéissance envers Dieu. L’amour et la sensibilité vous font gagner le Paradis. Ne pensez pas aux maladies, à l'âge, mais au sacrement que vous allez recevoir, qui renforcera en vous la grâce. Mais, comme l’a dit notre Evêque, seuls ceux qui en ont vraiment besoin doivent le recevoir; quelques jeunes devraient également le recevoir, mais ce sera pour la prochaine fois. Ce sacrement n'est pas seulement pour ceux qui sont mourants, il a même parfois guéri des personnes malades. Pensez à le recevoir en état de grâce; vous devez d’abord vous confesser, puis participer à la Sainte Messe et recevoir l’Eucharistie. Vous ne me voyez pas, mais votre sur me voit et tous ceux qui m'entourent. Les autres qui sont au Paradis prient pour vous devant Dieu le Père. Dans quelle église, dans quelle basilique font-ils ce que vous faites? C’est pour cela que je suis ici avec tout le Paradis, pour vous.
Un prêtre est avec moi aujourd'hui: Andrea Santoro, il est sauvé, comme d’autres prêtres, évêques et Papes sont sauvés. Ce n'est pas la même chose d'être au Paradis et d'être sauvé, le Paradis attend demain ceux qui sont sauvés. Maintenant, même les sauvés sont ici pour prier pour vous. Regardez autour de vous: combien êtes-vous? Peu en comparaison de ceux qui se réunissent dans les grandes basiliques, et pourtant Nous sommes tous ici présents avec vous. La petite Bernadette est ici et prie pour sa sur Marisa et pour vous tous. Il y en a parmi vous qui ont des douleurs très fortes, n'est ce pas, Vincenza? Certains ont des douleurs, d’autres pas. Les malades qui ne souffrent pas ont vraiment de la chance, alors que d’autres ont des douleurs permanentes et souffrent atrocement de partout. J’ai été pendant de nombreuses années auprès de mon cher époux Joseph et je l’ai vu souffrir, pleurer et se lamenter sous les douleurs. Il y a donc une différence entre une maladie avec ou sans douleurs physiques; la souffrance consume, parce que les douleurs sont quotidiennes. Je vous recommande tous à Dieu, les non malades, les jeunes et les enfants. Vous qui vous portez bien, priez pour ceux qui sont mal et souffrent.
Mes vux à tous, recevez ce sacrement avec joie, force et amour.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés, je bénis surtout les malades, ceux qui sont hospitalisés, les petits enfants malades. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés.
Marisa - Adieu à tous. Nous envoies-tu un baiser à tous? Adieu.
Excellence Révérendissime, il y a avait tant et tant de personnes sauvées et aussi Don Andrea Santoro.
Rome, le 12 février 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
Marisa - Je te recommande, comme toujours, tous les malades et les enfants qui souffrent. Je te recommande nous tous également. Nous sommes peu nombreux, mais c’est avec plaisir que tu viens au milieu de ce petit cénacle. Je te dis merci au nom de tous, parce que tu continues à venir parmi nous.
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants, désormais, mes enfants bien-aimés.
Vous ressentez encore l'émotion éprouvée hier lors de l’administration de l’onction des malades. La cérémonie a été très belle et simple. Dieu a inspiré votre Evêque afin que vous viviez joyeusement ce sacrement. l’onction des malades est un sacrement très important et ceux qui l’ont reçu, doivent être heureux et contents. Une partie des anges et des Saints du Paradis était descendue parmi vous et l’autre était restée à prier pour vous devant Dieu. Vivez ce sacrement avec le même amour que lorsque vous recevez chaque jour Jésus Eucharistie. Je vous recommande cependant de ne pas oublier la Confession; certains attendent trop longtemps avant de s’approcher de ce sacrement. Vous ne devez pas attendre de commettre un péché mortel pour vous confesser, vous savez à présent que chaque sacrement renforce la grâce, la force, le courage et surtout la joie. Vivez avec joie chaque jour l’onction des malades; priez et puis, comme je vous l’ai dit hier, dites: "Que la volonté de Dieu soit faite". Si vous avancez dans la vie spirituelle en faisant toujours la volonté de Dieu, vous serez heureux et joyeux, et davantage demain au Paradis. Vous ne pouvez pas vous imaginer quelle grande joie on y éprouve et comment on vit et s’aime au Paradis! Vous ne devez pas avoir peur de la mort, Dieu seul en connaît l'heure; vivez donc joyeusement ce sacrement et continuez.
Mes chers enfants, c’est une grande joie d'être ici avec vous, de vivre et d'écouter la Sainte Messe avec vous, parce que je dois toujours être près de votre Evêque, sinon il n'y parviendrait pas, il a besoin de nous et aussi de vous; aidez-le et priez.
Ecoutez bien le Saint Evangile d’aujourd'hui et cherchez à le mettre en pratique, vivez dans la joie, avec amour et sensibilité envers tous, spécialement envers ceux qui souffrent. Merci.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que les malades et les enfants et surtout les enfants malades hospitalisés. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Merci.
Rome, le 17 février 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés.
C’est pour moi une grande joie de vous voir ici quand vous entendez la Sainte Messe, recevez Jésus Eucharistie et participez à la rencontre biblique. Jésus a dit: "Convertissez-vous et croyez à l’Evangile". Celui qui vous explique le Saint Evangile est très bien préparé et reçoit l’aide de Jésus. Je sais que la fatigue vous prend parfois, mais ne vous en souciez pas, cherchez à écouter du mieux que vous le pouvez, ne pensez à rien d’autre qu'à la parole de Dieu. Moi, qui suis toujours près de l’Evêque, mon fils bien-aimé, je suis aussi près de chacun de vous. Parfois l’un d’entre vous se laisse aller et s'endort, mais si vous écoutez avec attention la Parole de Dieu, vous ne pouvez pas vous endormir. Vous devez lutter et vous tenir éveillés et prêts à écouter. Si vous ne comprenez pas quelque chose, demandez des explications à l’Evêque. Souvenez-vous de l'homélie faite par votre Evêque lorsque vous avez reçu l’onction des malades? Il l’a présentée d'une façon merveilleuse et tandis qu’il parlait, il semblait presque être au Paradis et vous étiez tous heureux. Continuez ainsi. Quand vous participez à la rencontre biblique, pensez aussi que vous vivez un instant de Paradis. Jésus, mon époux Joseph et moi, nous sommes toujours avec vous.
Merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés.
Merci, Marisella, de tout ce que tu fais pour l’Eglise.
Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Marisa - Adieu.
Rome, le 19 février 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés.
C’est aujourd'hui le troisième dimanche du mois et vous avez avec vous l’Eucharistie qui est apparue il y a dix ans et qui, après tant d’années, est restée telle que vous l’avez vue la première fois. La date exacte du miracle Eucharistique est bien sûr le 18, mais l’Evêque a jugé opportun de le fêter aujourd'hui, parce que c’est dimanche. Je désire que l’amour envers mon Fils Jésus devienne toujours plus grand, plus beau, plus joyeux. Je suis heureuse quand vous aimez mon Fils Jésus, en dépit des nombreuses difficultés de la vie. Regardez ces deux bambins auprès de l’Evêque. Jésus a dit: "Laissez les enfants venir à moi", ils sont les fleurs de la vie chrétienne. Je désire que vous soyez humbles et simples comme des petits enfants et que vous vous aimiez comme des petits enfants. L’amour envers Jésus vous incite à donner témoignage à ceux qui ne croient pas.
Mes chers enfants, mes enfants bien-aimés, j'éprouve une grande joie quand je suis avec vous; vous devriez la ressentir également, même si la joie est parfois liée à la souffrance, mais ayez foi en Dieu.
Priez, priez, pour ceux qui se disent croyants et pratiquants, pour ceux qui sont en haut dans la hiérarchie ecclésiastique, mais ne se conduisent pas comme l'enseigne le Saint Evangile.
Je ne me lasserai jamais de vous répéter de prier pour votre Evêque. Souvenez-vous de la phrase de Jésus: "Apprenez à aimer, puis priez". Aimez et aimez-vous tous.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis les enfants, surtout ceux qui sont malades. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Je veux vous dire une chose que j’ai déjà dite aux jeunes, ou ex-jeunes. Quand vous retournez à votre place après avoir reçu la Sainte Communion, vous devez être recueillis, vous avez Jésus dans votre coeur. j’en ai vu beaucoup revenir les mains pendantes. Jésus est dans votre cur, vous devez être recueillis. Même pendant l’intervalle où l’Evêque se prépare pour la Sainte Messe, priez en silence ou tous ensemble.
Mes chers enfants, mes enfants bien-aimés, la Maman et tout le Paradis vous aiment tous.
Marisa - Adieu.
La Madone - Laissez les enfants en paix dans l'église, ne les grondez pas, on ne peut pas les tenir tranquilles pendant la Sainte Messe. Les enfants ne peuvent rester tranquilles comme les grands. C’est parfois ceux qui désirent les faire taire qui dérangent le plus.
Rome, le 26 février 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Je suis venue vous trouver bien que votre sur n’aille pas bien. Je vous invite, comme toujours, à l’amour mutuel, à la sensibilité réciproque, à prier pour ceux qui sont gravement malades et pour tous les enfants du tiers monde qui souffrent et n'ont rien. J’ai souvent accompagné votre sur dans ces lieux, mais maintenant il est temps qu’elle se repose parce que sa santé s’affaiblit et sa fatigue augmente. Pendant les longs silences avant la Sainte Messe, alors que vous attendez votre Evêque, priez pour ceux qui souffrent, pour ceux qui vous aiment infiniment. Croyez-moi, après Jésus, la Madone et Saint Joseph, votre Evêque et votre Voyante vous aiment infiniment et aiment tous ceux qui souffrent.
Priez, priez, priez pour que les hommes puissants de l’Eglise se convertissent, afin que tout s’aplanisse. Faites que l’Eglise triomphe et triomphe rapidement.
Mes chers enfants, je vous embrasse tous affectueusement et vous serre tous sur mon coeur.
Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et tous ceux qui sont malades.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu.
Messages de Mars 2006
Rome, le 3 mars 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Je connais la prière et je l’ai lue à tous au Paradis; elle est très belle; Excellence, tu es toujours très scrupuleux dans l’accomplissement de tes nombreuses tâches. Je bénis cette prière.
Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés.
Nous sommes maintenant entrés dans le temps du Carême et j’ai noté que bon nombre d’entre vous avaient pratiqué le jeûne le Mercredi des Cendres. Je vous rappelle cependant ce que je vous ai toujours recommandé: attention, vous ne pouvez pas tous jeûner, vous devez comprendre de vous-mêmes ceux qui le peuvent et ceux qui ne le peuvent pas. Je vous dis en exemple que votre sur et d’autres personnes ne peuvent pas jeûner parce qu’elles sont malades. Elles ne souffrent pas d'une simple toux ou d'une simple grippe, mais sont sérieusement malades. J’aimerais que vous méditiez la passion de Jésus pendant ce Carême; mon Fils Jésus est mort pour chacun de vous pour vous ouvrir le Paradis. Je suis certaine que vous voulez aller au Paradis et souvenez-vous qu’il n'y a pas d'âge pour mourir, Dieu peut frapper et appeler à n'importe quel âge. Soyez donc toujours prêts, vivez en état de grâce, approchez-vous du sacrement de l’Eucharistie, mais si ne vous n’avez pas la conscience tranquille, approchez-vous d’abord de la Sainte Confession.
J’aimerais tant que vous viviez ce saint Carême avec Jésus, en serrant fortement la croix sur votre cur; vous arriverez ainsi au jour de la résurrection et rencontrerez Jésus, qui a rouvert le Paradis avec tout son amour et qui vous emportera au Paradis. Soyez prudents, vigilants, ne soyez pas craintifs, n’ayez peur de personne, vous devez seulement avoir peur de ne pas vivre en état de grâce et d'offenser Dieu. Soyez prudents, prudents, prudents avec tous et faites preuve d’amour et de charité envers tous. Faites preuve de sensibilité et aimez votre prochain, quel qu’il soit, parce que lorsque Jésus est mort sur la croix pour les hommes, il n'est pas seulement mort pour les bons, mais également pour ceux qui ne sont pas comme il faut. Je vous recommande de vivre ces jours du Carême avec beaucoup d’amour, de vous aider les uns les autres, de prier pour les malades, en particulier pour les petits enfants du tiers monde qui n'ont rien et pour les missionnaires. n’attachez pas d'importance au fait qu’une personne soit bonne ou méchante; cela ne doit pas vous intéresser, vous devez prier et les aimer tous et je serai toujours près de vous et de ceux qui n’aiment pas Jésus parce que Dieu désire également les sauver.
Plusieurs jeunes manquent ce soir, quelque chose les a attirés davantage; laissez aller se réjouir, pauvres enfants, au moins une fois par an. Chacun décide tout seul ce qui est mieux à faire. Vous ne devez vous préoccuper de rien, ce qui importe c’est de vivre en état de grâce.
Lisez tous les jours, calmement, sans vous presser, cette prière préparée avec tant d’amour; elle peut être lue en famille et aide beaucoup. Comme vous le savez bien, elle a été approuvée par Son Excellence, Monseigneur Claudio Gatti; un jour demain, vous en entendrez de bonnes sur cette prière, sur votre Evêque et sur ceux qui avancent pas à pas à côté de votre Evêque et prient pour lui. Merci.
Merci à tous, mes chers enfants. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les petits enfants, Emanuele, qui ne se porte pas bien, le pauvret, et la petite Sara, que j’appelle le grillon parlant. Je bénis vos familles, vos enfants et petits-enfants. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Marisella, ne souffre plus autant pour ceux qui sont malades, tu as tant de problèmes avec ta santé.
Marisa - Tu dois le dire tout bas et pas tout haut.
La Madone - Allez en paix, mes chers enfants, au nom du Père, du Fil et du Saint Esprit.
Marisa - Adieu. C’est bon.
Elle est partie, il y avait beaucoup d'âmes avec elle, j’ai reconnu beaucoup de personnes, mais pas toutes.
Rome, le 4 mars 2006 - 18h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - C’est aujourd'hui le premier samedi du mois et j’espérais voir un plus grand nombre de personnes. Je ne comprends pas pourquoi, après tant de miracles accomplis dans ce lieu thaumaturgique, les gens ne viennent pas. Vous, qui êtes fidèles et continuez encore à venir pour prier, vous donnez une grande joie à mon Fils Jésus. Ne vous lassez jamais de prier pour ceux qui souffrent, et qui sont si nombreux, pour les petits enfants et ceux qui vivent seuls, abandonnés par leurs enfants.
Lisez le Saint Evangile, récitez tous les jours calmement et avec dévotion, la prière que j’ai bénie hier. Elle est très belle et nous plaît énormément au Paradis.
Je dois maintenant vous laisser parce que votre sur ne va pas bien, mais elle a voulu être présente lors de ma venue et je suis venue pour l’aider. Je me répète: souvenez-vous que les prières ne sont jamais perdues, si vous priez pour quelqu’un et que vos prières ne lui parviennent pas, elles vont à d’autres qui en ont besoin. De toute façon Marisella n’abandonnera jamais sa mission, elle la fera progresser jusqu'à sa mort. Toutes vos prières sont agréables à Dieu et Il vous en remercie. Merci à tous ceux qui prient.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Je suis très fatiguée. Adieu.
Rome, le 5 mars 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés.
C’est aujourd'hui le premier dimanche du Carême; vous êtes-vous demandés comment vous avez passé les journées depuis le jour des Cendres? Avez-vous, en plus de votre travail, prié comme je vous l’avais dit? Combien de siècles se sont écoulés depuis que Jésus a dit: "Convertissez-vous et croyez en l’Evangile!" Je vous ai invité bien des fois à mettre en vue le Saint Evangile dans votre maison, afin que n'importe qui, même par curiosité, puisse le lire et y trouver du bien. Les lettres de Dieu sont très, très belles et vous les lisez le dimanche, mais vous devez également les mettre en pratique; quand vous avez un peu de temps, relisez les à la maison.
Je suis ici aujourd'hui pour vous parler des messages de Dieu, parce qu’ils sont très importants. Vous ne pouvez pas vous imaginer combien de prêtres les lisent; certains le font en secret, d’autres ont le livre regroupant les messages sur leur bureau ou leur table de nuit, parce que la majeure partie des prêtres croie aux messages de Dieu, croie en ce lieu thaumaturgique, croie aux miracles eucharistiques. Si certains ecclésiastiques hauts placés ne continuaient pas à semer la zizanie et à répandre mensonges et calomnies sur l’Evêque et la Voyante, l’Eglise pourrait commencer à changer. Demandez-vous: pourquoi également le nouveau pape n’a-t-il pas appelé votre Evêque? Pourquoi ceux qui se sentent la conscience parfaitement tranquille et qui peuvent faire ce qu’ils veulent n'ont-ils pas appelé l’Evêque? Mes chers enfants, vous devrez y arriver tout seul. Votre Evêque leur fait peur, parce qu’il est droit, résolu, sûr de lui et plein d’amour et de sensibilité envers tous. Pourquoi ceux qui croient ne réagissent-ils pas et ne disent-ils pas au Saint Père ou à Monsieur Ruini: "Que sommes nous encore en train de faire?" Oh si ces prêtres et ces Evêques allaient parler avec le Pape, pas avec Monsieur Ruini, pour lui dire: "Votre Sainteté sait comment vont les choses, pourquoi n'intervient-elle pas pour rétablir la vérité? Pourquoi épouvanter ceux qui vont leur parler? Je viens au nom de Dieu le Père vous apporter les messages et je vous dis de les lire; plus vous les lirez et plus vous comprendrez, mais vous devez les lire avec votre cur, avec amour; c’est ainsi que vous pourrez pleinement comprendre ce que Dieu veut.
Je vous demande aujourd'hui de faire un triduum pour l’anniversaire de l’ordination sacerdotale de votre Evêque. Vous savez que la date exacte en est le 9 mars, mais pour diverses raisons la fête a été repoussée au 19. Priez pour votre Evêque, priez pour chacun de vous, afin d’avoir la force de parler quand vous rencontrez ces personnes. Vous ne devez avoir peur de rien, parce que Dieu est avec vous. Merci et encore tous mes vux pour ce saint Carême
Ensemble avec mon et votre Evêque, saint Evêque, je le crierai toujours, je vous bénis, vos êtres chers, les petits enfants, les personnes âgées et les malades. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Merci, mes chers enfants bien-aimés.
Marisa - Adieu.
Rome, le 9 mars 2006 - 20h00 (Lettre de Dieu)
Marisa - Je ne pensais pas que tu viendrais, je ne m'y attendais pas après la Théophanie Trinitaire de ce matin.
La Madone - Je suis venue cette fois pour les jeunes, pour ceux qui aiment et savent se sacrifier. Chantez le Magnificat, je le chanterai avec vous.
Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants bien-aimés.
Ma venue ce soir est surtout pour vos jeunes. J’aimerais tant que vous mettiez en pratique tout ce que les messages de Dieu ont dit jusqu'à aujourd'hui. Votre Evêque vous racontera la rencontre qu’il a eue avec Dieu aujourd'hui. Je peux seulement vous dire que Marisella a vu une grande lumière, une lumière intense d'où est sortie la voix de Dieu. Mes deux petits enfants en tremblaient d'émotion. C'était très beau. Dieu a parlé à d’autres personnes, mais il ne s'est jamais adressé à quelqu’un comme il s'est adressé aujourd'hui à l’Evêque et à la Voyante. Je vous invite à vous montrer patients avec Dieu, à avoir foi en Dieu, comme il l’a demandé aujourd'hui à l’Evêque: "Excellence, donne-moi encore un peu de temps. Excellence, je veux emmener d’autres personnes au Paradis, je ne veux pas qu’ils se damnent et aillent en enfer". Il l’a appelé Excellence, il l’a appelé saint, ce sont toutes des appellations méritées par votre Evêque. Vous devez prier pour l’Evêque et la Voyante, et comme je l’ai déjà dit à toute la communauté, vos prières ne sont jamais perdues. l’une d’entre vous a dit aujourd'hui: "J’ai tant prié et toi, Marisella, tu as été mal". Dieu sait à qui donner vos prières. Il y a tant de personnes qui en ont besoin, tant qui sont en état de péché et alors Dieu distribue ces prières à ceux qui ne parviennent pas à comprendre l’immense amour de Dieu, de Jésus, du Saint Esprit et mon grand amour de Maman. Je sais que la vie sur terre est dure, difficile et vous entraîne parfois au découragement. Je sais que le découragement peut arriver, mais vous devez vous reprendre immédiatement et continuer avec joie, votre Evêque vous en donne l'exemple. Il a beaucoup pleuré, ces derniers temps en particulier, mais il s'est repris ensuite, n’a jamais abandonné la prière, une prière douloureuse et difficile, il a toujours prié. Je vous demande le même engagement. Aimez les petits enfants, même s’ils ne sont pas sages parfois, car ils sont vifs, doivent l'être et vous devez les comprendre. Quand quelqu’un ne se conduit pas bien en famille, aimez-le davantage et vous constaterez que tout ira pour le mieux. Je suis venue vous apporter cette lettre de Dieu pour vous faire des recommandations. Elles semblent anodines, mais elles sont en fait très importantes. Apprenez à aimer et puis priez. Vous aimez et priez, ce n'est peut-être pas suffisant, mais Dieu est satisfait de vos prières et de vos souffrances, il est heureux que vous ayez prié pour votre sur, même si ces prières ne lui sont pas parvenues, et ont été données à d’autres personnes qui en ont un plus grand besoin, ne sont pas en état de grâce, n’aiment pas et se montrent insensibles. Vous ne devez pas vous en préoccuper, les prières faites en état de grâce et avec amour ne se perdent jamais. Adieu à tous et encore tous mes vux à notre saint Evêque.
Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis vos êtres chers, vos petits enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu.
La Madone - Courage, participez à la Sainte Messe, mettez-y les intentions que vous voulez, mais la première est pour votre saint Evêque, puis pour vos êtres chers et pour ceux que vous voulez, peu importe.
Marisa - Adieu à tous.
Rome, le 12 mars 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés.
La Maman vous apporte aujourd'hui un court message de Dieu; Jésus crie, comme il l’a déjà fait d’autres fois: "J’ai soif d'âmes, j’ai soif d'âmes, j’ai soif d'âmes". Je vous remercie parce que vous lisez les messages, mais vous devez également les mettre en pratique. Priez très fort pour l’Evêque qui descendra sous peu dans la Basilique pour y célébrer la Sainte Messe après avoir passé une très mauvaise nuit à cause de sa sur, Marisella, qui, comme d'habitude, ne va pas bien. Il semble un moment qu’elle se remette, puis tout redevient comme avant; c’est la volonté de Dieu, c’est sa mission, priez pour elle. Bien des choses à tous.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés; je bénis les malades et les petits enfants. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. La Maman vous remercie de votre générosité; merci, mes enfants, vous êtes un petit groupe mais vous avez beaucoup donné.
Merci.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu à tous.
Rome, le 17 mars 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés.
Les temps durs et difficiles approchent, croyez-moi. Ce soir également, je veux être avec vous pour vous dire combien je vous aime et combien je désire que vous parveniez à vous aimer tous. Je suis votre Maman, la Mère de l’Eucharistie; je suis celle qui a livré son Fils à la mort pour qu’il rouvre le Paradis. Quelqu’un souffre énormément pour la conversion des pécheurs. Il est beau d’aimer et je désire tant vous aimer. Ecoutez votre soeur; même si elle a peu de voix, vous pouvez entendre ce qu’elle dit, parce qu’elle fait de grands efforts pour parler. Je vous remercie de vos prières, de l’adoration du Saint Sacrement et de tout ce que vous faites pour mes deux enfants. Merci.
Ensemble avec mon et votre Saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les malades, petits et grands. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Je suis si fatiguée.
Rome, le 19 mars 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
C’est aujourd'hui pour vous une grande fête, une fête double: c’est la fête de Saint Joseph et la fête de votre Evêque. Je vous ai toujours demandé de beaucoup prier pour votre Evêque; unissez-vous à Saint Joseph, à la Madone, à tous les anges et tous les saints et priez pour lui. La souffrance de Marisella continue et est très forte; votre sur n’a pas pu descendre pour être avec vous.
Aimez votre Saint Joseph comme, Marie, la Mère de l’Eucharistie, l’a aimé. Il a souffert pendant des années, alité, et moi, son épouse bien-aimée, j'étais toujours près de lui, tandis que Jésus, grand désormais, allait travailler à sa place. Aidez-vous les uns les autres et priez pour tous ceux qui sont malades, mourants, pour les petits enfants hospitalisés et ceux loin de vous: en Afrique et en Asie; priez pour tous ceux qui ont besoin d’aide et de miséricorde. Dieu voit tout du haut du Ciel et soyez tranquilles, il ne vous oublie pas, Dieu sait ce qu’il doit faire et ce n'est pas à vous de le lui rappeler. Vous ne pouvez pas vous imaginer comme votre sur a du mal à parler et lire le message de Dieu; c’est pourquoi je vous dis; priez, soyez patients, ayez foi et espérance, ainsi tout ira bien et Dieu le Père tout-puissant sera avec vous. Mes vux à tous, en particulier à l’Evêque; tous mes vux à vous ici présents qui aimez l’Evêque. Dieu vous donne la force et de courage de continuer, en particulier à ceux qui sont malades.
C’est une grande fête au Paradis et beaucoup de personnes sont descendues sur la Terre pour être avec vous, pour vous adresser leurs vux. Courage, ma fille, courage. Je termine cette lettre, je le fais pour votre soeur.
Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés, je bénis en particulier tous les malades. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu à tous. Je ne peux plus parler.
Rome, le 24 mars 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés.
Je vous remercie tous ici présents et vous adresse tous mes vux pour la fête de l’annonciation. Je vous demande de prier beaucoup pour ceux qui en ont besoin. Quand je me promenais le long du Jourdain avec mon Fils et les apôtres, j'étais très heureuse parce que je me réjouissais de voir mon Fils heureux. Le voir parler d'une voix forte, belle, bonne et pleine d’amour me donnait beaucoup de joie, alors je levais les yeux vers le Ciel et je disais: "Dieu, Ô mon Dieu quel grand don tu m’as fait!". De même ceux qui se conduisent bien, qui vivent avec Jésus Eucharistie durant la journée, doivent lever les yeux vers le ciel et dire: "Dieu, Ô mon Dieu, quel grand don tu nous as fait, quelle grande grâce tu nous a faite en nous donnant Ton Fils Jésus!".
Courage et en avant. Priez pour ceux qui ne vont pas bien, spirituellement ou physiquement et abandonnez-vous totalement à Dieu
Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel.
Marisella, embrasse les enfants, embrasse Laura, embrasse Yari, embrasse l’Evêque. Courage et en avant, je suis avec vous.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Merci.
J’ai oublié de lui montrer le tableau de Saint Joseph.
Rome, le 25 mars 2006 - 18h30 (Lettre de Dieu)
Marisa - Es-tu venue nous apporter la lettre de Dieu? Je ne demande plus rien pour moi, seulement un peu de voix pour parler, pas pour chanter, j’ai bien compris qu’il n'y a plus rien à faire.
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants bien-aimés. Quand l’ange apparut, il me dit: "Je te salue, Marie, le Seigneur est avec toi, tu enfanteras un fils à qui tu donneras le nom de Jésus". Et j’ai eu un enfant que j’ai appelé Jésus; j’ai fait tout ce que Dieu m’a dit de faire.
Marisa - Avant que tu ne poursuives la lecture de la lettre de Dieu, j’aimerais te montrer ce tableau, je ne sais pas comment cela s’appelle exactement
L’Evêque - Esquisse.
Marisa - Est-ce que cette esquisse te plaît? Regarde, il y a l’Eucharistie, l’Eglise et le monde. Saint Joseph est le Gardien de l’Eucharistie, le protecteur de l’Eglise et le Saint Patron du Monde.
La Madone - C’est très beau; même si ce n'est qu’une esquisse, il faut la rectifier et la rendre plus précise, mais elle est très belle. La Maman fait ses compliments à la personne qui en a eu l’idée et l’a exécutée.
L’annonciation de l’ange Gabriel, envoyé par Dieu, a suscité en moi une grande joie, parce j’allais devenir la Mère de Dieu. Vous fêterez toujours ce jour, parce que je l’avais indiqué pour la célébration de la fête provisoire de la Mère de l’Eucharistie. Puis justement, Dieu a dit de célébrer la fête de la Mère de l’Eucharistie le 24 octobre, jour où les apparitions ont été ouvertes à tous, et c’est ce que vous avez fait; vous m’avez obéi en dépit de vos imperfections. Votre Evêque a toujours accepté ce que Dieu lui a demandé.
Marisa - Tu pourrais alors lui faire un petit cadeau?
La Madone - Dieu l’a choisi et il lutte pour sauver beaucoup de prêtres. Toi, Marisella, tu es une perle précieuse pour Dieu; Dieu aimerait t’emporter immédiatement au Paradis, mais quand il pense à ses enfants, il dit: "Je suis un Père et je dois sauver mes enfants, en particulier mes enfants de prédilection qui ne répondent pas à mon appel". Dieu essaiera encore de les sauver, mais malheureusement à travers ta chair martyrisée; mais tout cela finira bientôt.
Marisa - Puis-je faire une remarque? j’entends dire: "cela finira bientôt, tu partiras bientôt, tout arrivera bientôt", même ma maman a dit: "tu monteras bientôt avec moi"; mais que signifie "bientôt" pour vous? Moi, sincèrement, je n'en peux plus; si je dois souffrir pour tous les enfants de prédilection de Dieu, je creuse ma tombe et je m'y mets toute seule. Les enfants de prédilection de Dieu qui ne célèbrent pas les offices sont si nombreux et ceux qui les célèbrent ont peur. Alors?
La Madone - Tu verras, le désert fleurira et ceux qui souffrent, jouiront. Le soleil, la lune et les étoiles resplendiront pour ceux qui souffrent. Ma petite, tu souffres tant, mais pour toi aussi, le soleil, la lune et les étoiles resplendiront.
Marisa - Mais quand toute cette souffrance prendra-t-elle fin? Aussi parce que ceux qui viennent, les pauvres, sont malheureux pour moi; ils viennent, prient, attendent anxieusement, attendent surtout ma mort, ils seraient tous ainsi bien plus tranquilles.
La Madone - Ne plaisante pas, Marisella, c’est beau que tu réagisses ainsi, parce qu’en ce moment quelqu’un souffre vraiment et tu dois l’aider.
Marisa - C’est notre Evêque qui souffre toujours, souffre toujours, souffre toujours. Je te recommande également tous les malades de notre communauté, ceux qui sont gravement malades et ceux qui doivent subir une opération, nous en avons tant. Je t’implore pour eux de tout mon cur, aide les tous, parce que toute la famille dépend de la maman, comme elle dépend du papa et des enfants, tous ont besoin de ton aide; dis le à Dieu.
La Madone - Dieu sourit de ce que tu dis, il t'écoute et note tout dans son livre d'or.
Marisa - Nous espérons que rien ne se perd entre les lignes. Combien d’autres prêtres peuvent aider le futur Pape?
La Madone - Cinq autres.
Marisa - Eh bien, dépêchons-nous. Nous n'y arriverons pas non plus avec vingt cinq? Je sais que tout sera beau ensuite.
La Madone - Courage, fêtez l’annonciation, parce que c’est le début de l'histoire du salut de l'humanité. L’Annonciation est une grande Fête. Priez, convertissez-vous du fond du cur et croyez en l’Evangile. Lisez le Saint Evangile, lisez les messages de Dieu et tout ce qui peut faire du bien à votre âme.
Oui, je sais, Marisella, ne te fais pas de soucis. Vivre la passion est la souffrance la plus dure, mais la plus belle pour le Seigneur.
Mes chers enfants, courage à tous, la Maman vous remercie de votre présence.
Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, tous les enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Je t’avais demandé de me donner un peu de voix, au moins pour parler. De bonnes choses à tous, spécialement à ma maman.
La Madone - Marisella, tu vas de nouveau vivre la passion, dans très peu de temps.
Marisa - C’est bon, mais n'en disons rien à l’Evêque, à personne, ils seront tous ainsi tranquilles. Merci, adieu.
Partis! Ils ont tous disparu.
Rome, le 26 mars 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés.
Après l’annonciation, j’ai commencé à vivre avec mon petit Jésus et à lui préparer sa chambre. Chaque fois que mon cher époux rentrait du travail, il venait me saluer, mais avant il adorait le petit Jésus dans mon sein, parce qu’il savait qu’il était le Messie, le Fils de Dieu;
Continuez à prier pour la conversion des prêtres, la paix dans le monde, les enfants malades, la conversion des hommes puissants de l’Eglise. La Maman vous indique toujours les mêmes intentions de prière, parce qu’elle compte beaucoup sur vous, mais plus que moi, c’est Dieu qui compte beaucoup sur vous. Que ceux qui souffrent soient courageux et fassent la volonté de Dieu, que ceux qui sont en bonne santé prient intensément pour ceux qui ne possèdent pas la santé spirituelle ou physique. Tous les jours, même si je ne viens pas parmi vous, je prie beaucoup pour vous tous, qui continuez à venir dans ce lieu thaumaturgique avec tant d’amour. Il n'y a pas foule dans ce lieu, mais il y a tout: J'y viens, la Très Sainte Trinité y vient et il y a ici un Evêque déjà déclaré saint par Dieu. Vous savez que cela fera huit ans le 1er avril, que votre Evêque a été déclaré saint par Dieu. Qui est plus fortuné que vous? La santé de certains est vacillante, mais ils doivent faire la volonté de Dieu et prier, prier, prier.
Deux de nos jeunes feront aujourd'hui la promesse de se marier devant Dieu; votre Evêque l’annoncera après. Je vous demande de prier pour ces deux jeunes qui ont mené un dur combat et, qui après des hauts et des bas, sont finalement arrivés au port; au mariage. Nous espérons qu’ils feront tout dans la grâce de Dieu, avec amour et charité envers tous, en se souvenant surtout de ceux qui les ont guidés. Priez la Très Sainte Trinité, priez la Mère de l’Eucharistie, afin qu’elle intercède auprès de Dieu pour vous aider tous sans distinction. Merci de votre présence.
Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, vos enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Cela fait longtemps que je ne vous l’ai pas dit: participez à la Sainte Messe comme si c'était la dernière de votre vie. Adieu et tous mes vux à ceux qui font la promesse.
Rome, 31 mars 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Mes enfants bien-aimés, je serais heureuse si demain, premier samedi du mois, vous étiez tous présents. Vous n'êtes pas nombreux, vous êtes peu, mais comme je l’ai toujours dit: peu de prêtres, mais saints. Je dis aujourd'hui, peu de personnes, mais saintes; je vous veux tous saints.
Aidez ma fille avec vos prières, afin qu’elle ait la force de continuer jusqu'à ce que Dieu l’appelle au Ciel. Priez pour votre Evêque qui a courageusement affronté et démasqué aujourd'hui une personne continuant à semer la zizanie, même si elle n’appartient pas à votre communauté. Je vous demande de prier et d’aimer tous les hommes. Aimez-vous comme Dieu vous aime, comme Jésus vous aime.
Bonne rencontre biblique, bonne Sainte Messe; Je vous attends demain, si vous le voulez, pour la rencontre du premier samedi du mois. Je ne sais pas si votre sur pourra descendre, au moins le dimanche. Elle est très éprouvée et souffrante, c’est pourquoi elle doit rester assise confortablement. Priez afin qu’elle puisse au moins descendre dimanche, toujours si le temps le permet.
Merci, mes chers enfants bien-aimés. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, qui il y aura huit ans demain a été déclaré saint par Dieu, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les malades et les enfants, en particulier ceux d’afrique. Marisella, nous irons cette nuit en Afrique.
Je vous serre tous sur mon Coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dan la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu, maman.
Ils sont partis.
Messages d’avril 2006
Rome, le 1er avril 2006 - 18h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
Aujourd'hui, premier samedi du mois, je suis ici avec joie. Vous savez qu’il y a parmi vous beaucoup de personnes qui ont affronté beaucoup de souffrances et continuent à souffrir; c’est pourquoi je ne me lasserai jamais de vous répéter: priez pour elles. Je ne vous dirai pas combien de petits enfants meurent chaque jour parce qu’ils sont privés du nécessaire; aidez-les de vos prières et si vous le pouvez, adoptez-en un à distance, vous en serez plus heureux.
Marisa - Oui, même les tous petits prient beaucoup.
La Madone - Mariasole, la Maman t’invite à dire une petite prière à genoux.
Mes chers enfants, je connais la souffrance de votre Evêque et la souffrance de Nous tous. Pour recevoir des visites, un malade doit être à l'hôpital, tandis qu’on ne voie jamais personne venir rendre visite à votre sur pour relayer ce pauvre évêque afin qu’il puisse descendre travailler dans son bureau ou sortir prendre un peu d’air; il ne vient personne, tous sont occupés. Je vous invite, comme je vous l’ai déjà dit maintes fois quand grand-mère Iolanda vivait encore, à venir rendre visite à Marisella, mais venez un seul à la fois, parce qu’elle n’a pas de voix pour parler. Nous sommes encore en Carême, faites de petits sacrifices, donnez de la joie à Jésus crucifié et abandonnez-vous à Lui. Aimez-vous tous, aidez-vous les uns les autres; bien sûr, le travail, les études et la famille vous prennent un temps précieux, mais quand vous êtes libres et que vous le pouvez, je ne le dis pas pour votre sur, mais pour l’Evêque, remplacez-le, aidez-le et je vous aiderai comme toujours. Merci.
Ensemble avec mon et votre saint Evêque, qui a été déclaré Saint par Dieu il y a huit ans aujourd'hui, je vous embrasse, je vous bénis et je vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Maman n'est pas venue aujourd'hui?
La Madone - Non, grand-mère Iolanda est restée en Afrique avec les petits enfants, alors que tu avais l’apparition.
Marisa - C’est bon, adieu. Aide-nous, je t’en prie, nous nous sentons si seuls parfois. Je ne suis pas en état d’aider l’Evêque; s’il n'était pas là pour m’aider, je ne sais pas ce que je ferais. Vous dites toujours bientôt, bientôt, bientôt, mais que signifie ce bientôt? Faites-le moi comprendre.
C’est bon. Pardonne-moi de parler ainsi, mais je suis très peinée, ou plutôt, nous sommes très peinés.
Adieu, donne le bonjour à maman.
Iras-tu chez elle ce soir ?
La Madone - Oui, avec l’Evêque.
Marisa - Adieu.
Excellence, ce soir nous irons de nouveau toi et moi chez maman qui est encore en Afrique.
Rome, le 2 avril 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés.
La Maman s’adresse à vous encore une fois pour vous inviter à prier, à vous priver et à faire des sacrifices. C’est la dernière semaine du Carême. Que ceux qui le peuvent jeûnent; bien sûr, ni les malades, ni les personnes âgées. Je n’ai pas aimé la façon dont une personne s'est conduite. L’Evêque lui a dit hier: "Reviens après la Sainte Messe et retire les câbles qui permettent à Marisa d'écouter la Messe". Au lieu de revenir, cette personne est partie parce qu’elle était pressée d’aller s’amuser et a oublié l’Evêque. Je suis contrainte encore une fois de vous parler de l’indélicatesse et du manque de respect, même petit, envers l’Evêque. Quand il vous demande quelque chose, vous au moins, adultes et jeunes, faites-le. Les apôtres, même s’ils désobéissaient parfois, étaient toujours prompts à se sacrifier pour Jésus. Ils savaient qu’il allait à la rencontre de la mort et cherchaient à l’aider par tous les moyens. Qui parmi vous, et je m’adresse aux jeunes, se préoccupe de l’Evêque? Personne. Ce n'est pas bien que lorsque deux jeunes se rencontrent, se fiancent, tombent amoureux, ils ne pensent qu'à eux et oublient ceux qui leur ont servi de père et de mère. L’amour vient à manquer lorsque l’on ne pense qu'à soi et qu’on se désintéresse des autres, y compris l’Evêque. Vous avez montré beaucoup de compréhension pour l’une de vos surs qui était malade à l'hôpital, mais pourquoi pas pour votre sur malade à la maison? Même vous, vous vous excusez en disant: "Il y a l’Evêque". Cherchez en cette dernière semaine de Carême, à vous priver un peu, à faire quelques sacrifices, à aider ceux qui en ont besoin et puis à vous aimer mutuellement, toujours.
Je n’ai rien d’autre à vous dire, parce que je ferais toujours les mêmes recommandations : amour, prière, sacrifice et souffrance. Que puis-je vous dire encore si vous ne parvenez pas à mettre en pratique ce que je vous ai dit vendredi et répété à nouveau samedi? Je dois ajouter que les adultes et les personnes âgées travaillent plus que les jeunes, je vous adresse mes compliments. Moi aussi à l'âge avancé de 84 ans, je travaillais pour mon Fils Jésus, j’aidais les apôtres et ceux qui en avaient besoin, je ne regardais pas s’il s’agissait de Jean, Pierre ou Paul. Merci à ces femmes qui donnent de l’aide et du réconfort aux habitants de cette maison.
Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je bous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Savez-vous qui en plus de la sainte grand-mère Iolanda est à côté de moi ? Le pape Jean Paul II est à mes côtés.
Marisa - j’en suis heureuse.
La Madone - Priez aussi pour lui et il priera pour vous.
Marisa - Je veux qu’il prie surtout pour l’Evêque, afin qu’il soit reconnu par le clergé, parce qu’il en est digne.
La Madone - C’est bon, Marisella.
Marisa - Je n’ai pas de voix. Adieu à tous.
Rome, le 7 avril 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés.
C’est aujourd'hui un vendredi de passion, très dur et très difficile pour votre sur. Priez, offrez à Dieu vos souffrances physiques et morales et aimez-vous les uns les autres. Souvenez-vous demain de l'entrée de Jésus à Jérusalem et priez pour que vienne l'entrée de votre Evêque dans la nouvelle Jérusalem; aidez-le, soyez proches de lui. N'écoutez pas les bavardages de celui qui affirme qu’il est obligatoire de voter pour un candidat, parce que l’Eglise l’a dit. Non, vous devez faire ce que vous dit votre cur et non ce que dit Monsieur Ruini. Chacun doit voter selon son propre cur, selon l’amour qu’il a dans son coeur pour les hommes. Ne vous affligez pas, n'écoutez pas tant de bavardages, mais écoutez Dieu, la Mère de l’Eucharistie, écoutez l’Evêque et aimez-vous. Le dimanche des Rameaux, fêtez votre Jésus qui entre triomphant et sera ensuite crucifié. Vivez d’abord la gloire, la paix, la joie de voir Jésus entrer à Jérusalem, puis peu de temps après accompagnez-le à la mort. Jésus a fait tout selon son cur, et non selon ce que les hommes lui disaient; vous devez aussi agir ainsi, faites tout selon votre coeur.
Quand vous venez ici ou sortez de ce lieu thaumaturgique, ne discutez pas, mais priez, il faut beaucoup prier. Ne discutez pas pour qui voter ou ne pas voter, parce que Mr Ruini s'est prononcé dans un sens, rien n'est bien. Votre Evêque vous a-t-il jamais dit pour qui voter? Le vote doit partir de votre cur et rester secret, personne ne doit savoir ce que fait l’autre, ce n'est qu’ainsi que vous réussirez à aimer et à vous aimer et que la paix règnera entre vous, car autrement la paix n’arrivera pas pour votre Evêque. Jésus meurt en croix pour tous les hommes. Aimez-vous, en frères, aimez-vous et la Maman sera avec vous.
Dimanche, glorifiez Jésus, chantez l’alléluia, célébrez en son nom.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos enfants. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Courage, mes petits enfants, que la paix soit toujours avec vous, ne discutez pas de ce qui ne vous regarde pas, faites ce que votre cur vous dit de faire. Adieu à tous et tous mes vux pour le jour de l'entrée de Jésus à Jérusalem. Alléluia, alléluia, alléluia.
Rome, le 13 avril 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
C’est aujourd'hui une grande fête, la fête de l’Eucharistie et du Sacerdoce, c’est pourquoi je vous invite à prier pour votre Evêque. Cherchez à l’aimer et à ne pas vous en éloigner, à ne pas fuir ce lieu thaumaturgique. Lors de la dernière Cène, Jésus était entouré des douze apôtres, mais le traître était parmi eux, puis s'est tué. Combien ont fuit ce lieu thaumaturgique que vous aimiez tous? Moi, en tant que Maman, je vous dis qu’ils se sont enfuis parce qu’ils n'ont pas réussi à faire la volonté de Dieu.
Je sais fort bien que vous attendez quelque chose de beau et de grand, mais il vous faut également comprendre que Dieu le Père a voulu que son Fil meure pour tous les hommes. Jésus s'est immolé pour tous les hommes et le Dieu tout-puissant veut maintenant encore aider les hommes à se sauver. Vous vous demandez souvent: "Est-il possible que Dieu ne puisse faire tout ce qu’il veut?". Dieu peut faire tout ce qu’il veut, mais les hommes ne l’acceptent pas. Avez-vous réalisé ce qui s'est passé lorsqu’il a ordonné Evêque votre prêtre? Certains sont partis, d’autres ont répandu des commérages, des mensonges et des calomnies. Dieu a dit dans un message: "Vous devez aimer et respecter le Pape en dépit de tout ce qu’il a fait à votre Evêque". Vous que faites-vous ? Vous discutez pour qui voter, vous dites que Mr. Ruini a dit pour qui voter et qu’il faut donc suivre l’Eglise. Pour vous, ceci signifie être avec l’Eglise? Alors pardonnez-moi, mes petits enfants, mais vous n’avez pas compris la bonté, la charité de Dieu. L’Eglise est une réalité, les prêtres en sont une autre. Ils se sont bien battus pour les élections, ils en ont discuté de mille façons, mais vous, mon petit troupeau, mon troupeau bien-aimé, vous ne devez absolument pas faire ce que font les autres. J’ai seulement parlé d’amour, je n’ai pas parlé de vote. Je vous ai parlé de la méchanceté, de la pédophilie, de ceux qui tuent les enfants et les jettent dans les poubelles, alors que des mamans ne peuvent en avoir. Je n’ai pas parlé de vote, parce que le vote est secret, chacun doit voter selon ce que son cur lui dit de faire. Je vous aime, mes enfants, je vous aime tant, mais quand je vois le comportement de certains, j’aurais envie de me retirer et de dire: "Cela suffit! A qui est-ce que je parle?". Qui écoute l’Evêque? Il se passe quelque chose de temps à autre et ce sont des bavardages et des commérages. Ceux qui se conduisent bien n'ont pas le courage de le défendre; ce qui est encore pire. C’est aujourd'hui la fête de tous les prêtres, vous avez un prêtre, c’est lui que vous devez fêter, c’est pour lui que vous devez prier et que vous devez aimer; aimez-le et aimez-vous vous-mêmes.
Marisa - Bonjour, Jésus! Je t’attendais et l’Evêque t’attendait aussi. Il a gardé un goût amer du fait que tu ne sois pas venu lui parler aujourd'hui quand nous étions en prière.
Jésus - Moi, Jésus, je l’aime immensément; Dieu l’a appelé et je l’aime parce qu’il est accablé par la souffrance et blessé par les calomnies, Dieu est avec lui. Moi, Jésus, je suis avec lui, l’Esprit Saint est avec lui, la Mère de l’Eucharistie est avec lui, son cher Saint Joseph, qu’il a vu et dont il ne se souvient pas bien de l’apparence, est avec lui. Que voulez-vous de plus?
J’aimerais voir plus de personnes prier ici, unies toutes ensemble, pour la paix dans le monde, les petits enfants et les malades. Vous jouirez sur la Terre et puis ce sera le Paradis. Ceux qui n'ont pas aimé iront en enfer et ceux qui ont beaucoup aimé iront au Paradis.
Excellence Révérendissime, cher frère, merci de tout de ce que tu fais, merci des souffrances que tu endures, merci de l’amour que tu montres pour ta sur, spécialement lorsqu’elle est très fortement et atrocement broyée par la souffrance, merci de tout. Le cénacle que vous formez est un peu plus grand que celui de Jésus, nous espérons qu’il n'y a pas de Judas parmi vous. Priez, priez, priez toujours.
Adieu, mes chers enfants, votre Jésus retourne au Paradis pour prier et parler avec Dieu le Père.
La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les petits enfants, ceux qui doivent naître et ceux qui sont nés. Je vous serre tous sur mon cur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Marisa - Petite Madone, j’aimerais te remercier pour les deux grâces que j’ai reçues; je ne les mérite pas, mais j’en suis très heureuse.
La Madone - Loué soit Jésus Christ.
Rome, le 16 avril 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
Jésus - Criez tous ensemble: Alléluia, alléluia, alléluia! C’est la Pâque de la Résurrection, de la joie et de l’amour pour ceux qui aiment Jésus Christ. Alors que le chur des anges chantait alléluia, alléluia, alléluia, Jésus est ressuscité, monté au Ciel et a ouvert le Paradis à tous. "Tous criaient - Christ Jésus - emmène nous avec toi, emmène nous jouir du Paradis". Le Christ vous aime trop pour vous laisser sur cette Terre si laide et répugnante. Ceux qui ont été avec Jésus, qui l’ont aimé, seront emportés par Jésus au Paradis. Vous n'êtes pas nombreux, mais cela ne me déplaît pas, car vous pouvez ainsi être mieux guidés et vous pourrez monter plus facilement au Paradis. Courage et continuez. Je serai avec vous jusqu'à la fin du monde. Je n’abandonnerai jamais ni ceux qui ne vont pas bien, ni ceux qui ne se conduisent pas bien, je serai toujours près de vous et je vous aimerai toujours comme ma et votre maman, la Mère de l’Eucharistie, vous aime.
C’est une grande fête ici; vous ne voyez rien, mais, comme toujours, tout le Paradis est descendu sur la Terre et rassemble des âmes du Purgatoire pour les amener à Jésus. Vous devez désirer jouir du Paradis pour toujours, parce que le monde prendra fin, mais le Paradis et Dieu demeureront pour l'éternité.
Merci, mes chers petits enfants, mes enfants bien-aimés, de votre présence. Ne vous faites pas de soucis d'être beaucoup ou peu, pensez que dans d’autres lieux où il y a foule, on ne prie pas comme vous le faites, mais on regarde, photographie, enregistre au caméscope. Même celui qui est le chef de l’Eglise ne prie pas avec eux. Vous avez un Evêque qui prie avec vous et quand il n'est pas avec vous, il ne fait rien d’autre que prier s’il en a le temps et la possibilité; vous le voyez toujours le chapelet à la main priant pour vous et pour tous.
Moi, Jésus, avec mon et votre saint Evêque, la Maman et mon père bien-aimé Joseph, je vous bénis, vos êtres chers, vos enfants et vos malades.
La Madone - Moi, la Maman, je vous serre tous sur mon cur et je vous couvre tous en ouvrant mon manteau.
Marisa - Je voulais te demander: "Est-ce que tu me donneras un peu de voix ou dois-je rester ainsi jusqu'à ma mort?". Je ne peux plus chanter tes louanges et les louanges à Jésus, je n’ai pas de voix, mais que la volonté de Dieu soit faite.
La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu.
Rome, le 17 avril 2006 - 19h45 (Lettre de Dieu)
La Madone - Je suis venue aujourd'hui pour vous dire qu’un prêtre a gravement manqué à la charité à l'égard d'une âme, en la confessant. Les prêtres pèchent contre la charité et l’amour, uniquement parce que les pénitents viennent dans ce lieu thaumaturgique, où j’apparais, moi, la Mère de l’Eucharistie. Je suis lasse, très lasse de ces manquements à la charité de la part d'un grand nombre de confesseurs. Il est temps maintenant d’en parler et de ne plus se taire. La décision de la Mère de l’Eucharistie est que vous écriviez au directeur, Mons. Pelliccioni, et lui racontiez ce qu’a fait ce prêtre, parce que personne ne peut se permettre de refuser l’absolution à un pénitent, uniquement parce qu’il fréquente une communauté portant le nom de "la Mère de l’Eucharistie ". Mon cur souffre énormément, parce qu’il y a beaucoup de prêtres qui font ce qui les arrange: manquent gravement à la pureté, à la charité, à l’obéissance, volent l’argent des églises dont ils ont la charge, mais personne n'en parle, ne dit rien, afin de ne pas déranger les supérieurs. Il est temps d’en finir. Que la personne à qui l’absolution a été refusée écrive à Mons. Pelliccioni, lui raconte tout et termine en disant: "Cela suffit maintenant, vous nous avez fatigués, vous persistez à manquer de charité envers nous. Que faisons-nous de mal? Vous nous condamnez parce que nous prions la Mère de l’Eucharistie? Beaucoup parlent de la Mère de l’Eucharistie, même le Saint Père Jean Paul II en a parlé, même si on l’a censuré et retiré du site Internet l’invocation "Marie, Mère de l’Eucharistie protége nous tous". Indiquez-nous une seule erreur dans notre spiritualité. Nous nous réunissons pour prier et agissons comme il plaît à Dieu". Mes chers petits enfants, vous n'êtes pas tous des saints, mais beaucoup sont en ordre avec Dieu. J’ajouterai encore: "Laissez en paix l’Evêque et la Voyante, parce qu’ils sont saints, humbles et prêts à aider tous les hommes". Moi, la Maman, je suis lasse de savoir que tant et tant de prêtres sont, je n’aimerais pas dire ce vilain mot, bizarres, et attaquent quelqu’un qui est saint, uniquement parce qu’il a célébré la Messe le 8 mars 1998. Même si la date qu’ils ont indiquée est fausse (1997), partez de cet évènement et parlez leur calmement et avec courage. Vous les jeunes, vous ne devez pas avoir peur quand vous rencontrez ces personnes. Défendez la Mère de l’Eucharistie, défendez votre Evêque, oubliez la Voyante, parce qu’elle n’a rien à perdre, mais défendez votre Evêque, défendez la Mère de l’Eucharistie, défendez-vous, parce que certains prêtres sont méchants et cherchent à vous détruire par tous les moyens. Est-ce que j’ai été trop dure, Jésus?
Jésus - Non, chère maman, j’aurais été plus dur. s’ils ne cessent pas de se conduire ainsi, nous recommencerons à écrire des lettres qui ne seront ni douces ni conciliantes, car nous parlerons et écrirons avec dureté et sévérité.
La Madone - Mes chers enfants, je n’aime pas devoir vous le dire, mais j’approuve mon Fils Jésus et je suis contrainte de parler comme vous ne m’avez jamais entendu le faire. Votre sur se meurt pour tous les bavardages, commérages, méchancetés et calomnies répandus par les prêtres. Ils parlent de charité et d’amour et sont les premiers à manquer à l’amour et à la charité.
Marisa - Merci. Je t’en prie, petite Madone, veux-tu m'emmener? Je te demande de tout mon cur de m'emmener. Je ne peux plus vivre ainsi, de plus, ne pouvant pas marcher je ne peux pas non plus aller trouver ces personnes et leur dire ce que j’ai dans le coeur. Emmène moi, l’Evêque est d’accord, emmène moi, même à l’instant, emmène moi, je t’en prie.
L’Evêque - Puis-je parler?
La Madone - Bien sûr, mon fils.
Marisa - Puis-je m’asseoir parce que je ne me sens pas bien?
L’Evêque - Cela fait des années et des années que tant de méchancetés et de calomnies continuent à être répandues contre nous. Tu veux que nous écrivions à ces prêtres qui ont refusé de donner l’absolution aux membres de notre communauté, uniquement parce qu’ils viennent prier et écouter la Parole de Dieu dans le lieu thaumaturgique, ce sera fait, mais ces lettres ne subiront-elles pas le même sort que les autres? Je suis têtu, et je répète que seul Dieu peut intervenir pour tout arranger, parce que nous nous trouvons maintenant dans une situation très dure et très difficile. On nous condamne comme étant désobéissants et indociles envers les autorités ecclésiastiques et l’accord est général là-dessus; même les apparences sont contre nous. Je redemande avec simplicité, comme l’ont fait les apôtres: "Réveille-toi, Seigneur, sinon nous périssons". Dieu demande encore du temps pour convertir d’autres prêtres et pendant ce temps nous sommes continuellement écrasés. Je suis épuisé; cet état de choses m’a consumé et a consumé ma soeur. Dieu doit accomplir quelque chose de grand, de fort pour que les hommes d’eglise ou au moins les fidèles croient que nous sommes des instruments de Dieu, sinon ils continueront à nous écraser et à nous calomnier. Je crois que personne n’a attendu autant que nous le faisons et qu’il n’a été demandé autant de patience à personne, comme à nous. Les hommes puissants de l’Eglise en sont arrivés à me suspendre a divinis, à me réduire à l'état laïc, à nous enlever la Messe, à interdire aux prêtres de venir ici, ils ont fait tout ce qu’ils voulaient contre nous. Je demande maintenant: mais Dieu est notre Père? Je ne demande pas qu’il envoie des anges pour tuer les hommes, comme cela s'est produit à Egitto et dans la Mer Rouge, quand il a fait se refermer les eaux, mais pourquoi Dieu ne fait-il pas quelque chose pour nous? Vois-tu dans quelle situation nous nous trouvons? Le voyez-vous? Excuse mon ardeur, mais nous n'en pouvons plus, nous sommes épuisés et nous les avons tous contre nous. Pour Dieu je suis , mais à quoi bon? Je ne peux même pas ordonner de prêtre, je n’ai pas non plus d'évêque à mes côtés, je ne peux rien faire. Cela fera sept ans en juin que vous m’avez ordonné évêque, mais tu sais mieux que moi comment j’ai vécu cet épiscopat. Ne me dis pas que j’accomplis de grands oeuvres en bilocation, parce que, même si j’en suis reconnaissant au Seigneur, je n'en garde aucun souvenir. Je t’ai finalement entendu, toi, la Maman, forte, décidée, rangée du côté de ceux qui sont dans la vérité, la justice. Je te dis, à toi qui es la Reine des Victoires, remporte toi la victoire. Nous sommes tellement las, que nous ne pouvons plus rien faire, continue toi et nous te suivrons.
La Madone - C’est bon, je continuerai. Mais je désire un engagement des jeunes ici présents que vous rapporterez aux autres. Faites-vous donner le nom de ces prêtres, allez vous confesser auprès d’eux et dites-leur quelle communauté vous fréquentez. s’ils devaient refuser de vous donner l’absolution ou vous répondre mal, dites-leur: "Vous n'êtes pas un bon prêtre, vous manquez à la charité, à l’amour. Je suis jeune et vous me scandalisez". n’ayez pas peur de parler, vous n’avez pas votre langue dans votre poche quand vous le voulez. Parlez et défendez l’Evêque. Si vous avez le temps, entrez dans toutes les églises et dites aux prêtres que vous rencontrez à quel groupe vous appartenez. Conduisez-vous comme je vous l’ai dit.
Marisa - La Madone continuera, elle l’a promis et nous la suivrons. Nous n'en pouvons plus, tous les deux. Ma tête se brise. Nous n'en pouvons plus, nous n’avons fait aucun mal au prochain, même à ceux qui nous ont fait souffrir, parce que nous les aimons tous. Toi, Maman, aime-nous, continue, Reine des Victoires, porte l'étendard. Est-ce que notre Evêque ne te fait pas peine? Oublie-moi, la fin que j’aurai ne m’intéresse pas, mais lui oui, tu dois le sauver, tu dois l’aider, c’est ton devoir! Vous nous avez choisis, vous nous avez appelés, car nous ne vous avons pas cherchés. Vous nous avez appelés, vous nous avez mis sur cette route que j’appelle la route de l'enfer! Nous souffrons énormément. Pourquoi vous avez-nous demandé de faire ceci? Pourquoi? Qu’avons-nous fait de mal? Nous avons toujours souffert depuis la fin de notre enfance. Tu m’as appelée et j’ai dit oui, tu m’as rappelée et j’ai dit un oui grand comme le soleil et je le dis encore, je ne me retire pas. Dieu nous a appelés pour parcourir cette route. Il est temps que vous bougiez, il est temps vous nous aidiez, sinon fais nous mourir à l’instant. Nous ne voulons plus vivre ainsi, je parle au pluriel, parce que je sais que l’Evêque aussi ne veut plus vivre!
(Marisa s'évanouit)
Marisa - Qu’avons-nous fait de mal? Nous avons trop aimé, nous avons trop aimé. Je te remercie du cadeau que tu nous as fait. Donne-nous ta bénédiction et que l'histoire s’arrête.
La Madone - Ensemble avec notre Evêque, Jésus, Saint Joseph, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Loué soit Jésus Christ.
Rome, le 21 avril 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Mes enfants bien-aimés, mes deux petits enfants souffrent énormément et vous ne pouvez pas comprendre leur souffrance. Ils ont travaillé des années et des années et attendent que Dieu réalise ce qu’il leur a promis. Ils attendent vos prières, votre aide, mais surtout l’aide de Dieu, de la Madone, des saints et des anges, parce que même l'homme plus fort peut s'effondrer sous l’impact de la souffrance. Marisella souffre, souffre et souffre et il est logique que l’Evêque vivant auprès d’elle, souffre lui aussi. En quoi consiste son épiscopat? Comment exerce-t-il son épiscopat? Exercera-t-il son épiscopat et son Vous devez être plus proches d’eux et les aider. Hier soir une personne est venue les trouver, son regard n'était ni bon, ni bienveillant; on voyait qu’elle n'éprouvait pas de compassion pour mes deux enfants; Votre Evêque était absent et épuisé et ne parvenait pas à suivre ce qu’elle disait. d’autres personnes sont venues qui ne lui ont également pas donné le moindre encouragement et ne pensaient qu'à leurs problèmes. Ils ont vu que l’Evêque souffrait, mais aucun n’a eu le courage de lui tendre la main et de lui dire :"Excellence, courage, courage, nous sommes avec toi". Ceci me fait souffrir. J’ai vu le regard de cette femme et j’ai essayé de lui faire comprendre son erreur. Quand elle a eu fini de dire ce qu’elle avait à dire, elle a esquissé un salut; et l’Evêque est resté là, seul, abandonné, comme Jésus sur le mont des Oliviers, alors que les apôtres dormaient, et priait. "Mon Dieu, mon Dieu, aide-moi". Personne ne s'est approché de l’Evêque pour lui dire: "Courage, Excellence, courage". Personne n’a compris sa grande douleur; je vous en remercie.
Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis tous au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Ne nous laisse pas ainsi.
Rome, le 23 avril 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés.
J’aimerais vous parler de la rencontre de St. Thomas avec Jésus. Tous les apôtres avaient cru que Jésus était ressuscité, sauf lui. Quand Jésus entra dans le cénacle, Thomas n'y était pas. Il était présent quand Jésus revint vers les apôtres. Thomas avait dit: "Si je ne mets pas mon doigt dans la marque des clous, si je ne mets pas ma main dans son côté, je ne croirai pas!". Jésus lui dit: "Avance ta main et mets la dans mon côté, et ne sois pas incrédule, mais croyant!". Cela n’aurait pas été nécessaire, si Thomas avait eu plus de foi.
La vertu de la foi est très importante. Il faut croire en particulier quand Jésus et les apôtres parlent. Soeur Faustina, la sainte de la Miséricorde de Dieu, a été souvent malade. Elle est allée souvent à l'hôpital où on lui a toujours fait des examens, mais sans jamais rien trouver; et pourtant elle était malade, très malade. Dieu peut permettre une maladie et faire que les médecins ne trouvent rien. Tu comprends certainement ce que je veux dire, Marisella. Vous parlez de Jésus miséricordieux, mais il vous faut comprendre que Jésus est miséricordieux avec ceux qui lui demandent pardon, avec ceux qui retournent dans la grâce de Dieu, mais pas avec ceux qui font ce qui les arrange et disent: "Jésus est miséricordieux et nous sauve". Souvenez-vous qu’il y a la justice de Dieu! J’aimerais tant vous faire pleinement comprendre ce concept que mes prêtres surtout devraient comprendre. Où sont mes prêtres bien-aimés, en commençant du chef au plus petit? Je vous recommande de prier Jésus Miséricordieux, afin qu’il vous accorde la grâce, la foi telle que l’avaient les apôtres et non comme Thomas. Vivez dans la grâce. Que désire Jésus? Que vous fassiez le bien à tous, que vous vous aimiez tous et viviez dans la grâce.
Je vous ai dit peu de choses, mais je suis pleine d’amour, cherchez à le comprendre. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ- Recommandez-vous à Jésus Miséricordieux.
Marisa - Adieu.
Rome, le 28 avril 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Aujourd'hui aussi, je suis très heureuse de venir parmi vous. Malheureusement, il y a des êtres qui souffrent énormément et ce sont mes deux chers petits enfants. Dieu doit les aider, leur vie ne peut continuer d'une façon aussi douloureuse, s’il a fait des promesses si belles, il doit les tenir. Frappez à sa porte, priez et implorez le: "Dieu, souviens-toi de nous. Tu es au Paradis, mais pense à tes enfants sur la Terre qui souffrent tant, aide-les, Jésus!".
Marisa - Ma santé ne m’intéresse pas, mais tu dois aider l’Evêque parce qu’il s'effondre de jour en jour.
Prends moi donc, fais de moi ce que tu veux, mais que je puisse l’aider pour le faire arriver rapidement à ces hauteurs stupéfiantes, comme tu l’as toujours dit. Il y a tant de personnes qui ne se conduisent pas bien, prêtres et laïcs, et pourtant ils sont heureux et se divertissent, alors que nous, qui cherchons toujours à faire la volonté de Dieu, nous souffrons en permanence. Je te le répète, mon Dieu, je n'implore pas pour moi, je suis heureuse, mais je te recommande mon Evêque, l’Evêque de tous. Il n’a pas beaucoup d'âmes autour de lui, il en a peu, mais elles l’aiment et prient pour lui. Tu répètes que tu accompliras bientôt son triomphe, mais ce "bientôt" nous ne le voyons pas encore. Nous t’aimons, mon Dieu, aide-nous à nous conduire correctement et donne-nous cette aide particulière dont nous avons tous besoin. Je t’en prie, Dieu tout-puissant, écoute-nous, ne vois-tu pas à quoi nous en sommes réduits? Ecoute-nous, accorde-nous cette grâce dont nous avons besoin, écoute la Mère de l’Eucharistie qui dit souvent: "Dieu, aide-les", quand elle se prosterne à genoux devant toi avec tous les anges et les saints pour te prier et te supplier. Je sais, je sais que tu feras tout ce que tu nous as promis, mais cette attente est trop longue pour nous, abrège la. Emmène-nous où Tu veux et fais de nous ce que Tu veux. Je te remercie d’exaucer ces pauvres prières, d'écouter ces simples paroles. Je te le répète, ce n'est pas pour moi, mais pour notre saint Evêque, ainsi que tu l’as nommé.
La Madone - Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Rappelle à Dieu ce que je lui ai demandé. Adieu.
Rome, le 30 avril 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Merci de votre présence, mes chers petits enfants.
Je vois que vous êtes toujours moins nombreux. Cela vient du fait que votre soeur ne peut descendre parmi vous et que les gens se fatiguent de ne pas la voir et se retirent; ce n'est pas bien. Vous devez venir pour l’apparition et surtout par amour de Dieu. Je sais que les jeunes font un bel apostolat avec les prêtres. Les résultats sont parfois bons et parfois déprimants, mais ne vous arrêtez pas, tenez bon comme l’ont fait Saint Pierre et Saint Paul lorsqu’ils parcouraient le monde pour l'évangéliser. Continuez, n’ayez peur de rien, à l'exemple de ces deux apôtres qui ont affronté une mort très douloureuse et cruelle. Je ne vous demande pas le martyre, je vous demande seulement de continuer, de lutter et de faire comprendre à mes prêtres la situation de l’Evêque Claudio Gatti ainsi que la vôtre, parce qu’ils ne la connaissent pas. Les hommes puissants de l’Eglise en ont dit du mal et tous en disent du mal sans savoir comment et pourquoi tout ceci est arrivé. Ils se cachent derrière le décret du pape, mais où est le décret ? Le code du droit canon n’a pas été respecté, rien n’a été fait de tout ce qu’il prescrit, c’est pourquoi personne ne peut dire: "Le prêtre est hors de l’Eglise, le prêtre est suspendu a divinis, le prêtre est réduit à l'état laïc". Personne ne peut le dire, parce qu’il n'y a aucun décret, parce qu’aucun procès n’a été fait. Il a été condamné comme votre soeur a été condamnée, on lui a dit des mots très durs, pires que ceux adressés aux femmes des rues, c’est pourquoi elle a été contrainte à la fin de jeter ces prêtres dehors.
Ne vous arrêtez pas, petits enfants, préparez-vous et continuez. Priez le Saint Esprit, n’ayez peur de rien, personne ne peut rien vous faire, même Mr. Ruini qui se sent en ordre avec Dieu. Oh non, il n'est pas en ordre avec Dieu et combien de prêtres ne le sont pas! Je m’adresse à vous, mes chers petits enfants, et je vous invite à livrer ce combat, à aller vers ces prêtres et à leur faire connaître la vérité. s’ils vous refusent l’absolution, demandez leur: "Pourquoi ne me donnez-vous pas l’absolution? Je suis en ordre avec Dieu, j’ai confessé mes péchés et vous devez m’aider". Heureusement, ils ne sont pas beaucoup à se conduire ainsi, mais ce petit nombre est très méchant; je vous invite à prier pour eux. Votre mission est difficile, mais grande et belle, faites-la par amour de Dieu, par amour de votre Evêque, continuez sans peur, avec courage et force.
J’admire la petite Oriana ainsi que d’autres qui ont très bien su parler et répondre aux prêtres. Que ceux qui ont peur n'y aillent pas, que ceux qui n'ont pas peur et se sentent le courage de le faire, le fassent dans une bonne intention: faire comprendre aux prêtres les erreurs de Mr. Ruini. Dieu vous récompensera à la fin pour tout ceci.
Marisa - Ma petite Madone, je ne suis bonne à rien, mais si l'heure arrive et j’espère que ce sera très bientôt, aide-moi, parce que c’est difficile de vivre ainsi. Même à moi, cela me plairait d’aller parler aux prêtres, comme je le faisais avant et c'était très dur et tu le sais. Oh, je le ferais volontiers, même maintenant, mais je n'en ai plus la force! Alors vas-y toi de ma part, va parler aux prêtres à ma place et sauve notre Evêque.
La Madone - Je l’aiderai.
Marisa - Tu me le promets! Vous nous faites tant de belles promesses, et puis nous ne voyons rien venir. Je vais très mal et je souffre énormément, mais je suis heureuse que tu sois venue nous rendre visite.
La Madone - Mes chers enfants, votre Maman vous aime immensément, comme mon Jésus vous aime. Je vous remercie de ce que vous faites, c’est un très bel apostolat.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. j’envoie un baiser aux petits enfants.
Marisa - Adieu. Pourquoi maman n’a-t-elle pas parlé comme les autres fois?
Messages de Mai 2006
Rome, le 1er mai 2006 - 18h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
C’est aujourd'hui le premier jour du mois de mai, le mois qui m'est dédié, à moi Marie. Il y a tant de joie au Paradis et j’aimerais qu’il y en ait aussi sur la Terre. Je vous ai dit bien des fois que cette église était petite, mais qu’il y avait plus d'âmes que dans les grandes églises. Mais la situation change aujourd'hui: il y a plus de monde dans les grandes églises et moins dans les petites. Le mois de mai est le mois de Marie, de la Mère de l’Eucharistie, aidez-la, priez avec elle pour la conversion des pécheurs, pour les prêtres, les pauvres, les miséreux et les abandonnés.
Marisella, j’aimerais te dire que je viendrai te chercher prochainement, mais Dieu dit qu’il a besoin de tes souffrances. Que dois-je faire?
Marisa - Tu me le demandes? Viens me chercher, je t’en prie, je n’ai plus de forces, je n'en peux plus, je suis fatiguée, je ne parviens pas à me réjouir, ni de la Sainte Messe, ni de la Sainte Communion. Je ne ressens plus cet amour et cette joie que je ressentais autrefois, tout me pèse maintenant, tout est insupportable. Je t’en prie, dis à ton et mon Dieu de venir vite me chercher, très vite; je t’en supplie. Je prie et je souffre, mais je vois que les hommes, les prêtres y compris, ne se convertissent pas. J'offre ma vie pour ceux qui ne m'écoutent pas. J’aimerais tant qu’ils progressent dans l’amour envers Dieu le Père, Jésus, le Saint Esprit et envers toi. Je vais mal, je me sens mal. Je suis descendue aujourd'hui au milieu des jeunes pour les apaiser, mais cela a été dur, très dur. Je t’en prie, petite Madone, demande à Dieu qu’il vienne vite me chercher, tout sera ainsi plus facile pour l’Evêque et pour tous ceux qui me connaissent.
La Madone - Marisella, je dois te dire quelque chose qui va te faire souffrir: tu dois rester pour la conversion de Laura.
Marisa - Quoi? Je n'en peux plus, je n'en peux plus! Emmène-nous tous les deux; je n'en peux plus, je n'en peux plus, je n'en peux plus! Je peux prier, si tu le veux, jour et nuit, mais je n'en peux plus de souffrir.
La Madone - Alors, Marisella, prions jour et nuit.
Marisa - Aide mes petits enfants à parler aux prêtres. Merci, de nous avoir donné un saint Evêque; il est saint et fatigué. Merci de tout.
La Madone - Excellence, donne-moi ta bénédiction, donne la à tes enfants, adultes et jeunes, à tous.
Rome, le 5 mai 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
C’est toujours avec une grande joie que je viens parmi vous. Lorsque vous recevez la Sainte Communion, je vous recommande de retourner à votre place, les mains croisées ou sur le coeur et de vous unir à Jésus Eucharistie. Ce serait une grande joie pour Jésus et pour moi de vous voir, profondément recueillis et dire: "Mon Jésus je t’aime tant".
Marisa - C’est toujours très difficile pour moi de le dire, parce que la souffrance est si grande et augmente toujours plus chaque jour. Aide ceux qui sont malades, ne les abandonne pas. Beaucoup sont malades et sont torturés par les douleurs; Toi, Jésus, tu peux les aider. Seulement Toi peux faire ce que notre Evêque te demande.
Jésus - Pensez-vous que Je vous aie abandonnés, que Dieu vous ait abandonnés? Non, cher saint Claudio, il n'en est rien. Il est vrai que votre vie est très dure, que vous passez un moment très difficile, mais finalement les étoiles brilleront pour vous, la lune sera belle et lumineuse et le soleil resplendira comme Jésus. Aimez Jésus, qui n'est pas monté seulement un jour sur la croix, mais a beaucoup souffert pour vous et tous les hommes, dont beaucoup ne savent pas l’aimer. Même les prêtres ne l’aiment pas, ils ne pensent qu'à eux et critiquent les laïcs, jeunes et adultes, s’ils sont mieux instruits qu’eux et les mettent en difficulté. Ils ne se soucient que de ce qui leur convient. Suivez le Saint Evangile, apprenez le Saint Evangile et vous comprendrez ce que sont l’obéissance et l’amour. Aimez-vous, mes frères; vous serez heureux quand vous achèverez la mission que vous faites avancer. Les hommes et les prêtres n’acceptent pas ce que vous dites, parce qu’ils ont très peur, alors ils s'enferment dans leur coquille pour ne pas parler de ce que vous leur expliquez. Vous ne devez pas avoir peur, vous devez parler et triompher. Ils parlent toujours de Saint Père Pio et disent qu’il a toujours obéi. Non, Saint Père Pio s'est mis contre les hommes d’eglise, parce qu’il avait raison. Quand on a raison, il faut lutter contre les hommes d’eglise et aimer Dieu sans réserve.
Merci.
La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Nous du Paradis, nous sommes avec ceux qui aiment Jésus et l’Evêque, qui obéissent à Dieu et aux hommes d’eglise, s’ils sont avec Dieu.
Marisa - Adieu.
Rome, le 6 mai 2006 - 18h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
C’est avec une grande joie que je viens parmi vous aujourd'hui, premier samedi du mois.
Marisa - Je n’arrive pas à parler.
La Madone - Je prie pour vous et vous devez priez pour chacun de vous, pour l’Evêque, pour les malades. Vous chantez: "Tu es toute pure, Marie" et vous devez être purs, parce que le péché originel a été effacé. Récitez le Saint rosaire, priez pour les malades. Ceux qui ont fait le tour des hôpitaux ont très bien vu combien de personnes sont hospitalisées, vous devez prier pour elles. Priez aussi pour ceux que Jésus envoie en bilocation accomplir des missions. C’est fort triste de ramasser les petits enfants gisant à terre, presque mourants et d'être témoins de scènes horribles dont je n’ai pas le courage de vous raconter.
Aujourd'hui, premier samedi du mois, je suis avec vous; Jésus, mon époux bien-aimé Joseph et grand-mère Iolanda sont descendus à l’instant du Ciel pour être avec vous; ils sont tous ici pour vous aider et aider en particulier ceux qui sont malades et qui portent la croix avec Jésus.
Aidez tout le monde, les prêtres en particulier qui n’acceptent pas ce que vous dites et s’ils refusent de vous donner l’absolution, ils n'iront jamais au Paradis. N'oubliez pas que le chemin qui mène au Paradis est long et droit et si vous n'êtes pas en ordre avec Dieu, il vous sera difficile d'y entrer; priez pour ces prêtres et moi, votre Maman, je vous aiderai avec mon Fils Jésus, mon époux bien-aimé et la chère grand-mère Iolanda. Ce qui se passe dans le monde me chagrine énormément. Vous ne croyiez pas qu’il fallait tant prier pour tous les prêtres, mais maintenant que les jeunes accomplissent cette mission, vous avez compris leur situation et l'étendue de leur misère et de leurs faiblesses. Priez pour cette mission et je serai toujours avec vous.
Merci.
Ensemble avec mon et Votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les malades, les petits enfants et les personnes âgées. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Rome, le 7 mai 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés.
Marisa - Puis-je te parler, petite Madone? Je dois te demander de me donner un petit peu de voix afin de pouvoir parler, cela fait maintenant des années que je me trouve dans cet état.
La Madone - Ne te fais pas de soucis; le petit cénacle doit comprendre ta souffrance, celle de ne pas parler, mais surtout celle de ne pas pouvoir chanter.
Marisa - Ce n'est pas que ce soit une aide.
La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence, merci de l’amour que vous éprouvez pour Jésus Eucharistie et la Mère de l’Eucharistie. Je vous ai répété bien des fois: vivez dans la grâce, approchez-vous des sacrements, en particulier du sacrement de l’Eucharistie, en état de grâce, jamais en état de péché mortel et vous aurez ainsi la force et le courage de continuer. Vous constatez de plus en plus que la vie devient de plus en plus difficile, les hommes ne sont plus eux-mêmes, ils ne pensent qu’au profit, au travail et aux plaisirs; même beaucoup de prêtres se conduisent ainsi: pensent à l’argent, au travail, à obtenir le poste le plus élevé et ne prient pas. Certains prêtres ne croient pas dans l’Eucharistie, ils célèbrent la Sainte Messe et font la Sainte Communion uniquement par respect humain.
Je vous demande, petit cénacle, de faire toujours la Sainte Communion en état de grâce et de prier beaucoup pour ceux qui la font en état de péché. Vous devez prier pour les petits enfants pauvres et malades, pour les personnes âgées, pour tous ceux qui attendent anxieusement vos prières. Je suis heureuse et je me réjouis quand vous êtes tous présents, comme lors de la dernière rencontre biblique. Bien sûr, pour le moment du moins, ce n'est pas le grand sanctuaire de Fatima ou de Lourdes, mais Jésus est content quand même, pourvu que vous priiez, soyez unis et les aimiez tous.
Moi, la Mère de l’Eucharistie, je vous remercie et suis heureuse que vous continuiez à aimer Jésus Eucharistie, tous ceux qui vous aiment et même ceux qui ne vous aiment pas; c’est une belle chose d’aimer ceux qui ne vous aiment pas. Vous avez rencontré beaucoup de prêtres ces jours-ci. Comme se sont-ils comportés? Ne vous préoccupez pas s’ils ont mal réagi à ce que vous leur avez dit, continuez à donner votre amour et offrir vos prières pour tous.
Ensemble avec mes prêtres, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les petits enfants, les personnes âgées et les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
Marisa - Adieu, adieu. Merci de m’avoir donné un petit peu de voix.
La Madone - Tu te contentes de peu.
Marisa - Oui, à condition que je te sente près de moi. Merci, merci de tout.
La Madone - Adieu, adieu, ma belle, amour de Dieu.
Rome, le 12 mai 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Vous préparez aujourd'hui la fête pour votre soeur, mais je ne vous cache pas que sa santé se dégrade et je suis quand même venue afin d'être avec vous et de l’aider. Priez pour elle, demandez à Dieu que Sa volonté soit faite et qu’il lui donne beaucoup de force pour faire avancer sa mission.
Mes chères mamans, soeurs, religieuses, vous pouvez me comprendre, aidez cette pauvre enfant et aidez l’Evêque qui ne peut continuer tout seul à l’assister. Pour dire la vérité, je ne voulais pas venir, pour ne pas trop la fatiguer, mais elle m’a dit: "Petite Madone, viens saluer au moins ceux qui sont dans l'église", et j’ai obéi à la petite et grande voyante.
Priez, afin qu’elle puisse se reposer un petit peu, c’est un être humain comme vous. Je sais que vous priez beaucoup, continuez à prier. Excellence, combien de prières adressées à Dieu, combien de souffrance dans tes yeux, combien de larmes n’ai-je pas vu couler sur ton visage! n’agis pas ainsi, sinon Marisella souffre encore plus. Elle est heureuse de faire progresser cette mission, mais tu dois l’aider.
Mes chers enfants, c’est demain l’anniversaire de l'émission des voeux de votre soeur; beaucoup, beaucoup d’années ont passé et elle est encore parmi vous; priez pour elle. Je sais que vous êtes occupés à tout préparer; priez, faites qu’elle puisse passer une bonne nuit avec Jésus, moi, grand-mère Iolanda et le saint Evêque.
Mes chers enfants, je dois vous laisser parce que votre soeur n’arrive plus à parler. Je vous remercie de votre présence.
Ensemble avec mon et votre saint Evêque et les prêtres qui l’aiment, je vous bénis, vos êtres chers et les petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu, merci.
Rome, le 13 mai 2006 - 19h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
Quelle impression cela te fait, Marisella, de voir ce soleil si grand et ce Oui que tu as toujours prononcé?
Marisa - Pour être sincère, je m’attendais à ce qu’il soit encore plus grand, pour tout ce que j’ai souffert.
La Madone - Mes chers enfants, mes enfants bien-aimés, la Maman est heureuse de vous voir ici réunis. Je suis la Mère de l’Eucharistie, vous le savez, mais je suis vêtue comme Notre Dame de Fatima, parce que c’est aujourd'hui sa fête. La Madone est honorée partout sous des titres différents, mais j’aime être invoquée en tant que Mère de l’Eucharistie, parce que l’Eucharistie est mon Fils Jésus et que la Très Sainte Trinité est présente dans l’Eucharistie.
Mes chers enfants, c’est un miracle que votre soeur soit ici parmi vous. Bien qu’elle ait beaucoup de souffrances et beaucoup de peine à parler, elle a décidé de descendre dans la Basilique et a dit: "Je descends avec l’aide de Dieu pour être au milieu des membres du cénacle, même s’ils ne sont pas nombreux". Ce n'est pas important, ce qui importe c’est que tous vivent dans la grâce et soient unis à mon Fils Jésus.
Cher don Luciano, ce que je désire des prêtres: c’est qu’ils vivent dans la grâce et aiment Jésus Eucharistie. La Maman te remercie, cher don Luciano, d'être venu dans le petit lieu thaumaturgique soutenir notre Evêque; c’est une joie pour lui d’avoir un prêtre à ses côtés. Continue à vivre les années qui te restent comme tu vis maintenant; aime notre Evêque, prie pour lui, il en a tant besoin.
Marisella, tous les voeux de la Maman pour tout ce que tu as donné et souffert. Je sais que tu as pleuré, que tu as passé une nuit très dure. Vous avez beaucoup souffert tous les deux, puis la situation a changé en un instant. Tu n’as même pas dormi une heure et tu es ici au milieu de ce petit cénacle. Bien que tu aies pris beaucoup de médicament, tu n’as pas réussi à obtenir un mieux et alors Dieu m’a dit: "Va voir Marisella, aide la ainsi que l’Evêque, parce qu’ils s'écroulent" et je vous ai aidés. Il y a eu aussi la rencontre avec Dieu. Dieu le Père a parlé à votre Evêque et lui a fait de très belles confidences qui l’aideront à tenir ferme sur ce chemin si difficile.
Les jeunes, vous aussi, vous devez être plus forts, ne vous laissez pas abattre, ne vous découragez pas, mais avancez. Vous avez appris un autre secret que Marisella gardait depuis bien des années: devenir de petits missionnaires et aller parler aux prêtres. Vous avez maintenant fort bien compris comme il est difficile de parler aux prêtres qui ne vivent pas dans la grâce. Marisella est allée une fois parler à un prêtre de ses problèmes personnels, eh bien, il est sorti du confessionnal et l’a violemment frappée; quelle triste scène, très triste, mais cela n’arrivera plus, parce que si un prêtre se permettait de faire une telle chose, il serait dénoncé. J’ai dit: "Aimez les prêtres, respectez-les; s’ils sont en ordre avec Dieu, aidez-les, s’ils ne le sont pas, saluez-les et partez, toujours avec le respect qui leur est dû, mais ne leur permettez pas de lever la main sur vous".
Marisa - Jésus, je me suis souvent demandée pourquoi tu m’avais donné la tâche d’aller parler aux prêtres pour me faire finir ensuite dans un fauteuil roulant pendant des années, je ne peux aller voir personne, je ne peux que téléphoner ou communiquer par lettres, mais je n’arrive plus à écrire, mes mains ne sont plus comme autrefois, alors pourquoi m’as-tu donné cette tâche?
Jésus - Parce que Dieu le voulait de toi.
Marisa - Je t’en prie, aide l’Evêque, demain, quand il restera seul, je dis à ceux qui vivront encore: "Aidez votre Evêque!".
Petite Madone, sais-tu que ce matin et ce soir, mes mains tremblaient pendant que j'écrivais? Alors j’ai dit: "Je finirai comme le Pape"; mais c'était sa main gauche, celle du coeur, qui tremblait et moi, c’est la droite. Je voyais ma main qui tremblait et je me taisais; mais personne ne s'en est aperçu. Je l’ai dit pour te faire rire. Quelle sera ma fin?
La Madone - Marisella, tu ne t’es pas aperçue que tes jambes tremblent aussi? Tes muscles fondent, s’affaiblissent, mais tu ne dois pas t’en préoccuper, parce que lorsque Dieu décidera qu’il est temps de t’aider, il enverra quelqu’un à ton aide. Sois heureuse, mon enfant, et bien des voeux de la part de tout le Paradis. Nous t’aimons tant, nous avons beaucoup d’affection pour toi, nous avons pour toi le même amour que celui que tu as pour ceux ici présents. Merci aussi à eux que tu sois descendue ce soir, parce qu’ils ont beaucoup prié. Merci à tous. Courage, ma fille, continue.
Ensemble avec mes deux chers prêtres, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Un baiser à tous les enfants présents et absents.
Loués soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu, maman, adieu, maman.
C’est bon, merci de l’aide que vous avez donné ce matin à mon Evêque, merci d'être venue hier soir, merci. Aide-nous parce que nous en avons tant besoin.
Rome, le 14 mai 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés.
La Maman vous dit, avec un grand chagrin, que votre soeur n'est pas en état de descendre. Ne vous en prenez pas à Nous, c’est le cours de la nature.
Je suis heureuse que vous soyez ici présents et désolée que les nouveaux arrivants ne puissent voir la Voyante. Quand ce sera le moment, vous la verrez, d'une façon ou d'une autre. Je vous demande de prier pour que Dieu décide ce qu’il doit faire; venir la chercher immédiatement ou la laisser, mais dans un meilleur état de santé.
Marisa - Je n’ai pas demandé à me bien porter, j’ai demandé à aller un petit peu mieux, au moins quand des personnes sont présentes. Quoi qu’il en soit, si c’est le cadeau que Dieu m’a fait aujourd'hui, merci.
La Madone - Mes chers enfants, essayez de me comprendre, je suis aussi une maman. Priez et sachez que votre soeur sera en bilocation dans la Basilique pour regarder ce Oui. Vous souvenez-vous quand elle a dit hier que le soleil lui rappelait Mariasole? Mais c'était son Oui, je ne sais si je dois dire béni, ce Oui qu’elle a répété plusieurs fois.
Courage, mes chers enfants, ne vous lassez pas de prier. Quoi qu’il arrive, priez et chantez.
Je dois vous laisser maintenant, parce que je ne peux pas continuer à parler avec votre soeur. J’adresse mes voeux à toutes les mamans, car c’est aujourd'hui également la fête des mères. Vous me les adressez, parce que je suis aussi une maman.
Marisa - Et moi, qui suis-je? Pourquoi Dieu m’a-t-il pris, moi justement? Parce que je te le répète encore une fois, il m’a fait finir dans un fauteuil roulant, vivre entre quatre murs et négliger mon travail quand je courrais de droite à gauche pour rencontrer des prêtres et d’autres personnes. Quelle fin m’a été réservée? Dans un fauteuil roulant, dans un fauteuil! Ce n'est pas une joie, cela me fait souffrir. Je sais que tu me diras que je suis née pour souffrir, eh bien prenez ma souffrance et emmenez- moi.
Pardonne-moi, si je parle ainsi, mais je suis peinée, très peinée. Je ne te demande pas d’aller mieux pour moi, tu le sais, mais pour l’Evêque; donne-lui un peu de paix et de tranquillité. J’ai dit oui totalement à la mission de la souffrance, mais vous le détruisez lui aussi.
Merci quand même, parce que tu es venue au moins pour ceux dans la Basilique.
La Madone - Ensemble avec l’Evêque, je veux te bénir ainsi que tous. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Je vous demande pardon d’avoir osé épancher mon coeur.
Maman, que fais tu? Pourquoi n'es-tu pas venue? Combien de fois t’ai-je invoquée cette nuit! C’est bon, adieu, va vers Dieu pour lui demander de nous aider.
Rome, le 19 mai 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
Je viens toujours avec une grande joie parmi vous. Je n’ai rien d’autre à vous dire que de réciter le Saint Rosaire devant Dieu et de prier pour qu’il vous aide tous, car vous avez tous besoin de son aide. n’ayez pas peur d'élever le Saint Rosaire vers Dieu; vous ne pouvez pas comprendre l’importance du Saint Rosaire.
Votre soeur va mal et est soignée par une doctoresse du nom de Selenia. Selenia a pris en charge les soins de sa tante pour la faire aller un petit peu mieux, mais la situation reste toujours critique. Je vous répète encore une fois: élevez tous le Saint Rosaire vers Dieu et priez, priez, priez pour que la Madone vous vienne toujours en aide. Marisella, tu n’as pas une belle voix, mais tu es une si belle âme et moi je t’aide, comme je te l’ai promis, même si vous continuez à dire que vous ne sentez pas ma présence. Il y a la présence de Dieu, de Jésus, de la Mère de l’Eucharistie, de saint Joseph et de grand-mère Iolanda qui pleure souvent à côté de sa fille. Priez pour la conversion des prêtres, parce que chaque fois que vous ouvrez le journal vous lisez de vilaines choses sur eux. Je vous en prie, récitez le Saint Rosaire, approchez-vous toujours avec plus d’amour du sacrement de l’Eucharistie.
Je termine cette courte apparition pour aider votre soeur.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Merci, docteur Selenia, pour ce que tu fais et pourrais faire pour ta tata, comme tu l’appelles.
Marisa - Tu me fais honte maintenant. Adieu.
Rome, le 26 mai 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
Permettez-moi de parler à votre soeur. Puis-je te dire un mot, ma petite fille? Tu avais deux ans et demi quand tu as commencé à comprendre que tu devais souffrir et tu es maintenant arrivée à la plus grande souffrance: ne pas pouvoir manger, boire et bien d’autres épreuves et douleurs. Jésus te l’a demandé et tu lui as dit oui. Jésus te fait maintenant un grand don. Vous devez savoir qu'à partir de lundi votre soeur se nourrira de l’Eucharistie. Je ne voulais pas le dire, mais j’ai dû vous l’apprendre précisément pour les prières, le jeûne et les souffrances que vous avez offerts pour elle. Dieu a dit: "Je te donnerai l’Eucharistie, ma fille et tu continueras ainsi". Mes chers enfants, rien n'est impossible à Dieu. Combien de fois ne vous l’ai-je pas dit?
Marisa - Ce qui avait été promis est enfin arrivé et je suis inondée de bonheur. Je vous demande maintenant de m’aider à accepter l’Eucharistie tous les jours. C’est une joie pour tous, je crois, le temps de la joie est aussi arrivé pour vous, même si certainement la souffrance ne cessera pas. Quand Jésus me demande: "Veux-tu souffrir avec moi?", vous savez que je réponds toujours oui, ce oui si grand et si total que j’ai toujours prononcé, et je jouis, souffre et offre pour cela. Je vous demande de m’aider de vos prières dont j’ai besoin. Quand je commencerai à me nourrir de l’Eucharistie, tout sera beau, tout sera facile, même si, comme Dieu le dit, la souffrance ne manquera pas. Quelques douleurs disparaîtront, je guérirai de quelque chose, mais pas complètement, parce que j’ai tant de maladies et de souffrances que vous ne pouvez même pas vous imaginer.
La Madone - Mes chers enfants, restez proches de cette petite fille, aidez-la, aimez-la et ne la faites pas souffrir, je vous en prie, vous habitants de la maison en particulier, ne la faites pas souffrir. Elle est silencieuse dans sa chambre, vous ne vous rendez pratiquement pas compte qu’elle est seule dans son fauteuil, parfois elle prie, pleure et souffre. Elle attendait ce jour fatidique, qui est maintenant arrivé: lundi prochain. Je vous demande de m’aider à convertir les prêtres. Vous habitants de la maison soyez affectueux les uns envers les autres; faire preuve d’affection ne signifie pas faire des cadeaux, mais aimer, être sensibles envers ceux qui souffrent.
Courage à tous et surtout à toi, Marisella; sois forte, mon enfant, il ne te reste pas beaucoup de temps, mais pendant ce temps qui te reste, tu te nourriras de Jésus Eucharistie.
Je vous répète encore une fois: priez pour Marisella, ne l’abandonnez pas. Elle ne peut descendre souvent parmi vous, elle le fera à l’occasion de certaines fêtes et pour la première Communion de Jacopo, si Dieu le veut, priez à cet effet.
Marisa - Je n’ai pas de mots pour vous remercier, je remercie l’Evêque en particulier, qui m’a été plus proche qu’un frère, qu’un médecin, qui m’a aidée de toutes les façons et en tout; je le remercie, que Dieu l’aide à continuer avec sérénité. Je ne l’ai jamais entendu se plaindre parce qu’il n’allait pas bien, c’est pourquoi je dois d’abord le remercier et Dieu l’a déjà remercié pour moi.
La Madone - Courage à tous. Ensemble avec mon et votre saint Evêque et don Luciano, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu, merci.
Rome, le 28 mai 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés.
Il s’agit aujourd'hui d'une fête particulière pour le petit Jacopo qui va recevoir Jésus Eucharistie. Priez pour lui et sa famille; Jésus tient beaucoup à ce que l’on prie pour l'enfant qui reçoit la Communion et pour ses proches. Vous devez tous prier pour que le petit enfant reste toujours bon et respectueux. Recevez Jésus Eucharistie, recevez la Sainte Trinité. Petit Jacopo, sois toujours bon, obéissant, sage comme tu l'es à l'école. Quand on est sage à l'école on doit l'être également à la maison. Si tu le peux, bien que tu sois un petit garçon, aide en famille, fais quelques petits travaux pour aider ta maman.
Cher Jacopo, Jésus et Nous tous, nous t’adressons nos voeux. Grand-mère Iolanda t’envoie tous ses voeux, les larmes aux yeux, parce qu’elle aime ses enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants. Sois heureux et prie tous les jours, il suffit que tu récites un "Je vous salue Marie" avant de t’endormir et d’aller à l'école; tu peux le faire.
Je m’adresse à vous tous, mes chers enfants: réjouissez-vous pour cet enfant qui reçoit Jésus Eucharistie et priez pour lui et sa famille.
Marisa - Je prie toujours pour vous et je souffre beaucoup pour vous. Je vous aime tous, grands et petits, mon amour embrasse tout et tous, même ceux qui ne sont pas en ordre avec Dieu et qui me font souffrir.
La Madone - Votre soeur a du mal à parler et est descendue parmi vous malgré toutes ses souffrances, mais son état physique se détériore peu à peu et ses forces diminuent. Je vous remercie au nom de Marisella, des prières, de la nuit et du jeûne que vous avez faits. Je vous remercie parce que vous maintenez votre soeur encore en vie. Tous ne le savent pas encore, mais Dieu a permis à Marisa de prendre l’Eucharistie au lieu de nourriture. Votre soeur se nourrira uniquement de l’Eucharistie, mais vous devez l’aider, parce que, même si cela semble facile, il n'en est pas ainsi, tout spécialement pour un être humain qui a été pratiquement sans manger pendant des mois et des mois et qui à partir de demain commencera à prendre l’Eucharistie comme nourriture. Priez pour elle et aidez-la.
Marisa - Je ne sais pas si tous entendent bien ce que je dis parce que ma voix est faible, mais aidez-moi de vos prières, maintenant plus que jamais. Je vous remercie tous pour ce que vous avez fait pour moi, les mots me manquent, vous avez montré votre amour, même avec les petites imperfections que nous avons tous, nous sommes tous imparfaits devant Dieu, seul Dieu est parfait. En dépit de tout, vous avez fait preuve de beaucoup d’amour pour moi et l’Evêque. Continuez ainsi, Dieu vous en rendra mérite et vous serez heureux et contents. Il faut prier pour les malade, parce qu’ils souffrent et souffrent beaucoup. Merci, je vous remercie tous du fond du coeur.
La Madone - Je vous bénis, ensemble avec mon Evêque et don Luciano, que j’aime beaucoup. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Tous nos voeux, Jacopo.
Rome, le 31 mai 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
Vous savez que c’est dimanche la fête de la Pentecôte, et vous avez toujours fait la neuvaine à cette occasion, mais cette année il est malheureusement impossible de la faire à cause de l'état de santé très précaire de votre Evêque et de la Voyante. Priez le Saint Esprit qu’il les éclaire tous, du Pape au plus petit prêtre. Ne vous lassez jamais de prier pour tous ceux qui ne vivent pas dans la grâce.
Pendant ces jours précédant la Pentecôte, invoquez le Saint Esprit, pour qu’il descende sur chacun de vous et sur tous ceux qui vivent dans la grâce.
Quand je vous dis d’aider mes deux enfants, vous devez les aider de vos prières et de vos sacrifices. Il y a deux personnes dans la maison qui les font beaucoup souffrir, parce qu’elles sont insensibles et ne font rien pour Marisella; l’Evêque fait tout. Vous, aidez-le de vos prières. Invoquez le Saint Esprit et faites fête dimanche, jour de la Pentecôte. Merci.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et les enfants qui font partie de cette communauté. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Courage, Excellence, courage, Marisella.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu, merci, merci, merci de l’aide que tu me donnes, merci.
Messages de Juin 2006
Rome, le 3 juin 2006 - 18h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés. Vous ne pouvez pas savoir comme mon nom est mélodieux pour Dieu, c’est si beau de m’appeler Mère de l’Eucharistie. Je suis avec vous, vous ne devriez plus avoir de doutes que la Mère de l’Eucharistie est avant tout avec Son Excellence Monseigneur Claudio Gatti et avec vous tous, mes enfants bien-aimés, en particulier avec ceux, même s’ils sont peu nombreux, qui viennent de loin prier dans ce petit lieu, ce petit sanctuaire tant aimé de Dieu.
Que puis-je vous dire? De vous aimer, de vous vouloir du bien et de vous aider mutuellement. Quand je dis d’aider l’Evêque, je ne veux pas dire l’aider dans les tâches de la maison mais dans celles concernant la chapelle et la Basilique. Les jeunes ne sont pas nombreux, les femmes non plus, mais mettez tout votre amour à rendre service du mieux que vous le pouvez.
Priez pour votre soeur; depuis qu’elle reçoit l’Eucharistie comme nourriture, elle dort toutes les nuits. Cela fait des années qu’elle ne pouvait trouver le repos, mais les douleurs naturelles, la passion et son amour pour vous demeurent, parce qu’elle vous aime beaucoup et vous remercie de tout ce que vous avez fait.
Aimez Jésus Eucharistie, aimez la Mère de l’Eucharistie, aimez l'époux de la Mère de l’Eucharistie; aimez les tous et soyez heureux, ainsi lorsque votre heure viendra de partir pour le Père, vous serez prêts et tout sera beau, tout sera plus facile.
Oh doux nom de Marie, Mère de l’Eucharistie, aide-nous tous. Aujourd'hui, demain et dans les jours qui suivront, invoquez toujours l’Esprit Saint. La prière est si courte: Viens, Esprit Saint, Esprit d’amour, éclaire nos esprits, enflamme nos coeurs, fortifie notre volonté. Il suffit de si peu pour dire cette prière; invoquez le Saint Esprit.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis et vous remercie de tout mon coeur pour ce que vous avez fait et continuerez de faire. Je vous couvre de mon manteau maternel et vous serre tous sur mon coeur. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu el Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Courage, mes petits enfants, la Maman est avec vous. Adieu à tous, bonne fête de Pentecôte, fête du Saint Esprit.
Adieu à tous, mes enfants bien-aimés.
Rome, le 4 juin 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés. C’est aujourd'hui une grande fête. La Pentecôte est la fête du Saint Esprit Saint souvent oublié par les hommes. Je vous ai dit hier: priez l’Esprit Saint tous les jours, récitez cette courte et simple prière qui vous aidera à avancer dans votre travail journalier.
Après Dieu le Père et Dieu le Fils, priez le Saint Esprit, Dieu est unique en trois personnes, égales et distinctes. Je me retire maintenant pour laisser la place à l’Esprit Saint. Viens, Esprit Saint, Esprit d’amour, éclaire mon esprit, enflamme mon coeur, fortifie ma volonté.
Dieu le Saint Esprit - Je suis Dieu le Saint Esprit. C’est vrai que beaucoup d'hommes m'oublient. Peu s’approchent de mon coeur; j’aimerais que vous au moins, vous pensiez un petit peu à Moi. Vous pensez tous à Dieu le Père et Dieu le Fils, alors que beaucoup oublient le Saint Esprit. Pensez à moi et aimez-moi comme je vous aime et cherche chaque jour à vous aider. Même toi, Marisella, je t’aide beaucoup, mais ta vie est celle que tu vis et ta mission est celle que tu remplis, il n'y en a pas d’autre. Je sais que tu souffres pour l’Eglise, les prêtres, mais surtout pour l’Evêque. Moi, l’Esprit Saint, je suis près de vous, je vous aide et je vous aime.
Quand vous chantez "Je t’aime Seigneur", vous vous adressez aussi à Moi, Dieu le Saint Esprit. Chantez le plus doucement que vous pouvez, parce qu’au Paradis, Nous chantons avec beaucoup de douceur. Les anges et les saints prient en silence, ne crient pas, ne chantent pas à voix haute, mais d'une voix modérée, douce, simple et recueillie; tout est une invocation à Dieu le Père, Dieu le Fils et à moi, Dieu le Saint Esprit. Pensez à l’Esprit Saint et priez; je vous aiderai tous, parce que vous avez tous des besoins particuliers, mais d'un autre niveau que ceux de votre soeur et de l’Evêque. La mission de ceux qui acceptent la mission de Dieu, de Jésus et du Saint Esprit est très difficile et doit être accomplie avec beaucoup d’amour. Les souffrances ne manquent pas à mes deux petits enfants, ils en ont chaque jour et chaque nuit, Dieu a maintenant voulu leur faire la grande grâce de se reposer pendant la nuit; c’est un grand miracle. Marisella, tant que tu seras sur la Terre, ta mission sera la souffrance; tu l’accomplis avec beaucoup d’amour et beaucoup de joie. Tu pries toujours pour ce cénacle, l’Evêque, les jeunes, les enfants et les tous petits qui sont ton trésor.
Agissez comme le dit toujours la Mère de l’Eucharistie, aimez-vous tous, soyez affectueux les uns avec les autres, aidez-vous mutuellement. Merci.
Marisa - Puis-je t’adresser mes voeux, Esprit Saint?
Dieu le Saint Esprit - Bien sûr! Je suis désolé que le don de la voix t’ait été retiré, tu l’auras de nouveau au Paradis où tu chanteras. Oh tu y chanteras.
Marisa - En vérité je voulais chanter aujourd'hui aussi, mais si Dieu désire que j'y renonce, je l’accepte. J’ai dit oui du reste et je ne reviens pas dessus, même si cela me fait beaucoup souffrir.
Dieu le Saint Esprit - C’est bon. Tous mes voeux à tous.
La Madone - Moi, la Mère de l’Eucharistie, ensemble avec votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les petits enfants, en particulier ceux qui sont malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils
Dieu le Saint Esprit - Et moi, Dieu le Saint Esprit.
La Madone - Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Que cela me fatigue de parler!
Rome, le 9 juin 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés. Jésus m’a dit: "Remercie mes chers enfants, jeunes et adultes, de la mission qu’ils accomplissent". n’attachez pas d'importance au fait que les prêtres croient ou ne croient pas, ce qui importe c’est qu’ils apprennent la vérité. Quand ils sont seuls, il commencent à réfléchir et à se dire: "Si tout ceci était vrai, qu’adviendra-t-il de nous?". Quand vous abordez un prêtre, ce qui importe c’est qu’il vous écoute, c’est à lui de croire ensuite. Mon Fils Jésus n’a pas de mots pour vous remercier de la mission si grande et si belle que vous accomplissez. Oh, si tous répondaient à cette mission et reconnaissaient en fin de compte: "Ces petits enfants avaient raison en tout. Nous avons cru en quelqu’un qui n'était pas digne d'être cru". Moi, la Mère de l’Eucharistie, je vous remercie avec mon Fils Jésus, de la tâche que vous accomplissez. Souvenez-vous que ce n'est pas du temps perdu, mais du temps gagné pour le Paradis.
Courage, mes petits enfants, nous sommes près de vous et vous aidons. Je vous recommande de ne pas répondre mal, s’ils n’acceptent pas ce que vous dites et vous offensent, saluez, ne recevez pas l’absolution et partez avec un beau sourire. Ils doivent se rendre compte que vous être vraiment chrétiens et en ordre avec Dieu. Vous devez parvenir à démasquer ceux qui ne croient pas et vous y parviendrez. Pensez que votre soeur se rend souvent en bilocation chez les prêtres de rang élevé, qu’elle livre un grand combat et qu'humainement parlant, sa peine est grande, mais son coeur est plein de joie parce qu’elle dit ce qu’elle doit dire.
Courage à tous, soyez de bons chrétiens, ne répondez pas aux provocations, n'élevez pas la voix, ne criez pas, cela n'est pas nécessaire. Si l’on ne croit pas à ce que vous dites, saluez et dites: "Je suis désolé, mais c’est vous qui êtes hors de l’Eglise, pas moi, je suis avec l’Eglise parce que j’ai cru aux oeuvres de Dieu". Il n'y a rien d’autre à dire.
Marisella, je sais que la vie est dure pour toi, manger, boire, tout est difficile. Nous voyons ta situation; si elle s’améliore nous en reparlerons. Je vois que tu ne vas pas bien, courage, courage, n’aie pas peur. Jésus dit: "Courage, j’ai vaincu le monde ; je te dis: "Courage, tu as tant d’enfants, tant de personnes qui t’aiment".
Merci de tout, merci de votre travail, merci surtout de la mission que vous accomplissez avec amour et sacrifice.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis et vos êtres chers. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. De nouveau, bonne mission, je suis avec vous.
Marisa - Adieu.
Rome, le 11 juin 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. J’ai fait le signe de croix très lentement afin de glorifier le Père, le Fils et le Saint Esprit, les trois Personnes divines égales et distinctes.
C’est aujourd'hui la fête de la Très Sainte Trinité, du Père, du Fils et du Saint Esprit, mais c’est également l’anniversaire du miracle eucharistique accompli dans les mains de votre Evêque.
Quand je vous ai parlé de Dieu le Père et que Dieu le Fils était sorti de son sein et de même Dieu le Saint Esprit, je vous ai dit que les trois personnes étaient égales et distinctes; il y a Dieu le Père, Jésus avec les stigmates et le Saint Esprit avec la colombe pour les distinguer, mais les trois sont égaux.
Je vous ai recommandé cette semaine de prier le Saint Esprit, continuez à le prier parce qu’il vous aide en tout et surtout à faire avancer la grande mission, qui comporte parfois également des souffrances. La souffrance est bonne; il faut être heureux même si les prêtres n’acceptent pas ou disent du mal, car tôt ou tard eux aussi réaliseront et comprendront qu’ils se sont trompés.
Où est la vérité? La vérité est avec le Christ. n’ayez donc pas peur, avancez avec beaucoup d’amour comme le fait votre soeur quand elle se rend en bilocation chez les grands hommes d’eglise; sa mission est bien plus difficile que la vôtre. On la jette parfois dehors ou on lui demande: "Par où êtes vous entrée?". "Par la porte" répond-elle, mais ce n'est pas exact; elle n'entre pas par la porte, elle entre par un endroit quelconque, si Dieu le veut. N'oubliez pas qui est Dieu, qui est Jésus, qui est le Saint Esprit; ce sont les trois Personnes divines égales et distinctes qui vous aiment et vous aident beaucoup.
Continuez à priez pour vous-mêmes et pour les prêtres. Dieu n'emportera pas encore votre soeur au Paradis parce qu’il a dit il y a quelques jours: "J’ai besoin d’elle, laissons-la encore un peu sur la Terre ".
Marisa - C’est un peu triste pour moi, parce qu’il y a encore des prêtres qui ne sont pas en ordre avec Dieu, que je suis fatiguée et désire aller vers le Père. La fatigue se fait bien sentir.
La Madone - Priez les uns pour les autres, pour les prêtres, grands et petits, mais surtout pour votre Evêque, afin qu’il arrive là où Dieu le lui a dit. Je n’ai pas de mots pour vous remercier de ce que vous avez fait et de ce que vous ferez. Je remercie ceux qui ont nettoyé et décoré la Basilique avec tant d’amour. Je bénis les petits enfants qui courent et s'ébattent pendant la Sainte Messe. Soyez en heureux parce que Jésus a dit: "Laissez les petits enfants venir à moi. Si vous ne devenez pas comme de petits enfants, vous n'entrerez pas dans le Royaume des Cieux". Pensez à tout ceci et tous mes voeux pour la fête de la Très Sainte Trinité.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et les petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Pardonnez-moi, mes frères et soeurs, j’espérais descendre parmi vous, mais le temps ne me l’a pas permis. Je ne peux descendre quand il pleut ou fait humide et cela me coûte beaucoup, j'offrirai cette souffrance suivant vos intentions.
Je vous recommande de bien faire le signe de croix, ne chassez pas les mouches. Adieu à tous.
Rome, le 16 juin 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés. C’est aujourd'hui l’avant veille de la Fête-Dieu, et je vous demande donc d'intensifier vos prières, de faire une grande fête, de décorer le lieu thaumaturgique là où passera Jésus, de faire la procession avec recueillement et en chantant. Ne vous retournez pas, ne regardez pas devant et derrière, mais seulement là où est Jésus Eucharistie, que vous devez toujours aimer.
C’est une très grande fête, une des plus grandes et Dieu le Père désire beaucoup que vous fassiez tout du mieux possible.
Marisa - Oui, mais je recommande qu’il ne pleuve pas, sinon tout sera inutile.
La Madone - Le temps fait partie de la nature; s’il pleut, vous pourrez faire la procession avec le parapluie, je serai moi aussi avec vous, je vous couvrirai de mon manteau et je vous aiderai.
Je plaisante de toute façon pour remonter le moral à quelqu’un. Dieu le Père tient beaucoup à cette fête et vous devez également y tenir beaucoup. Que ceux qui savent bien faire les décorations et les compositions florales et que j’ai complimentés par l’intermédiaire de Marisella, continuent à bien faire dans l’intention de tout faire pour la gloire de Jésus Eucharistie.
C’est demain la veille de cette fête et j’ai presque peur de vous demander de venir prier demain aussi, afin de vous préparer du mieux possible à la Fête-Dieu.
Dieu le Père - Moi, Dieu le Père Tout-puissant, je vous aiderai. Je vous invite à prier pour les malades, les enfants malades, ceux qui ne comprennent et ne connaissent pas la Fête-Dieu, la Fête du Corps du Christ, que vous recevez chaque jour dans la Sainte Communion.
Merci, merci de tout l’amour que vous donnez à Jésus.
La Madone - Eh moi, votre Maman, je suis heureuse de ce que vous faites, je sais que vous vous engagez au maximum. s’il y a quelques imperfections ou de petites discussions, soyez patients, persévérez quand même, vous êtes des êtres humains et il est logique que quelque chose n’aille pas bien. Ne vous découragez donc pas, mais continuez et priez.
Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtes chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
J'insiste sur le fait que c’est demain la veillée de la Fête-Dieu, Jésus vous y attend. Adieu à tous.
Marisa - Adieu.
Rome, le 18 juin 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
Marisa - Jésus, tu es présent avec ton Corps, ton Sang, ton Ame et ta Divinité. C’est aujourd'hui ta grande fête, mais c’est aussi la nôtre. Nous sommes près de Toi et nous voulons toujours être près de Toi, Te recevoir dans la Sainte Communion. Jésus, comme peu de personnes t’aiment! Nous ne sommes pas nombreux, mais nous t’aimons.
Jésus - Je sais que certains sont partis parce que peu de fidèles venaient en ce lieu. Ils aiment se rendre dans les grands sanctuaires où il y a des milliers et des milliers de personnes, mais où manquent la prière et l’amour. On y parle, on y rit et y plaisante beaucoup. Même si vous n'êtes pas nombreux, vous venez ici pour prier, aimer la Mère de l’Eucharistie, mais surtout aimer Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit qui a été récemment fêté, mais je désire que vous continuiez à le fêter et à le prier.
La vie est très dure, très difficile pou votre soeur, mais elle sourit même lorsqu’elle ne parvient pas à marcher et a un sourire pour tous.
Marisa - Quand l'heure de mon départ viendra, sois près de moi et aide-moi. Jésus, mon époux bien-aimé, je t’aime tant, comme les autres t’aiment également et si nous fautons parfois, pardonne-nous et fais que nous puissions continuer.
Jésus - Mes petits enfants bien-aimés, je ne désire ni le tumulte, ni la foule, mais peu de personnes, qui soient saintes, prient et reçoivent Jésus Eucharistie dans la grâce. Je le répète, je désire peu de personnes, mais saintes, peu de prêtres, mais saints. Vous ne pouvez pas même pas vous imaginer ce qui se passe entre les prêtres, combien de mensonges ils répandent, combien de lettres calomnieuses ils écrivent. Vous, les missionnaires, vous accomplissez une mission très belle et très grande.
Marisella, ne va plus chez ceux qui peuvent te va chez ceux qui sont bons, ou même s’ils ne le sont pas, ils ne feront pas ce que t’a fait Monsieur Ruini. Courage. Combien de fois as-tu reçu de gifles de la part des prêtres? Et pourtant tu es restée sereine, comme lorsque tu as calmé et retenu les séminaristes et le prêtre qui t’accompagnaient et voulaient réprimander celui qui t’avait frappée. Tu étais heureuse d’avoir dit ce que tu devais dire aux prêtres. Ta dernière triste rencontre, tu l’as eue avec Monsieur Ruini. Sois quand même heureuse, ne te fais pas de soucis, reste sereine. Je te répète que l'heure approche. Quand viendra cette heure? Votre Evêque l’a demandé le 29 juin pour de belles et graves raisons, mais nous verrons ce que le Dieu Tout-puissant décidera au sujet de ton départ.
Merci, merci de toutes les décorations que vous avez faites et de l’aide que vous avez apporté, parce que vous démontrez que vous aimez vraiment Jésus et Marie.
Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je bénis les petits enfants: Emanuele, Sara, Jacopo, Samuele et Maria Rosa.
Marisa - Jésus, je ne sais pas pourquoi je dis toujours Maria Rosa, elle s’appelle Mariasole (Marie Soleil), le soleil est l’Eucharistie et Marie est la Madone.
Jésus - Ne te fais pas de soucis, même si tu te trompes, je te comprends toujours. Sois patiente et merci de l’amour que tu montres envers tous. Même s’ils ne te voient pas souvent, tu pries énormément pour le cénacle et les jeunes. Dieu te bénit, mon enfant.
La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis, nos petits enfants, ceux qui sont loin et ceux qui sont malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Tous mes voeux et bonne Fête-Dieu à tous. Priez, priez, priez
Marisa - Adieu.
Ils sont tous partis.
Rome, le 23 juin 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés. C’est avec une grande joie que je viens parmi vous, même si vous n'êtes pas nombreux. Ce que vous donnez est peu, si l’on tient compte du fait que Jésus vous a beaucoup donné.
Je vous invite à prier davantage, afin que Dieu les éclaire tous et éclaire aussi Marisella.
Marisa - j’espère que tu m’aideras un petit peu à aller mieux, je ne désire pas beaucoup. J'implore même la Mère de l’Eucharistie et grand-mère Iolanda pour que Dieu donne un peu de santé à ceux qui vont mal et à ceux qui sont hospitalisés. Nous devons être prêts à tout et faire la volonté de Dieu, parce que Lui nous aidera sûrement et nous donnera la grâce pour continuer.
La Madone - Priez, priez beaucoup, ainsi que le faisaient les apôtres qui priaient, priaient et priaient pour être aidés dans leur grande mission. Vous avez également une grande mission à accomplir, ne l’abandonnez pas, n’ayez pas peur, continuez la et si elle n'est pas acceptée, vous ne devez pas vous faire de soucis, mais continuer et ne pas vous laissez aller, ne pas avoir peur de ceux qui se sont pas dans la grâce et vivent d'une façon déplorable. Continuez à remplir la mission que vous partagez avec votre soeur, car c'était trop lourd et difficile pour elle seule de rencontrer les prêtres, les Evêques et les Cardinaux. Poursuivez cette mission, si nous ne parvenons pas à renouveler l’Eglise, nous ne réussirons à rien faire. Priez pour votre Evêque, car c’est lui qui devra renouveler l’Eglise et vous, petits apôtres et adultes, vous devrez coopérer avec lui. Préparez-vous chaque jour et dites: "Seigneur, aide-moi, je veux t’aider à renouveler la Sainte Eglise". Vous devez aimer l’Eglise totalement.
Courage, mes chers enfants, continuez, toujours, n’arrêtez jamais; la mission peut parfois bien avancer et parfois mal, mais cela ne doit pas vous préoccuper. Avez-vous vu combien ont reçu votre aide? Combien parmi eux ne vous ont pas cru? Très peu. Remercions Dieu que ceux qui ont cru et croient en silence se demandent: "Si tout ce que nous avons entendu était vrai, qu’adviendra-t-il de nous?".
Marisa - Aide-moi, ne me fais pas passer une autre nuit terrible. Je t’aime, mon Dieu, je t’aime, Jésus, je t’aime, Esprit Saint, je t’aime, Mère de l’Eucharistie, j’aime les anges et les saints du Paradis; aidez-nous, nous en avons tant, tant besoin, aidez-nous, je vous en prie. Merci.
La Madone - Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu.
Rome, le 25 juin 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes enfants bien-aimés. Même aujourd'hui, je suis avec vous. Le Saint Père ne croit pas que les apparitions soient si nombreuses, il lui semble impossible que Dieu puisse permettre à la Madone d’apparaître même tous les jours. Vous souvenez-vous que les apparitions ont eu lieu tous les jours au mois de mai? Dieu a envoyé les apôtres dans le monde. A vous, je dis, mes chers enfants: soyez comme les apôtres qui ont fait le tour du monde; faites avancer la mission. Mes chers enfants, la mission n'est pas terminée, vous les jeunes, les petits apôtres, vous devez continuer; que ceux qui le peuvent, retenez bien, ceux qui le peuvent, continuent. Marisella doit se rendre chez les grands hommes d’eglise et faire avancer sa mission.
Les apôtres couraient d'un endroit à l’autre pour faire du bien, pour parler au peuple. Vous êtes peu, mais vous avez fait beaucoup et vous continuerez à le faire si c’est aussi votre désir. Je vous fais des recommandations, mais vous être toujours libres de les accepter. Un jour, alors que Jésus marchait le long du Jourdain avec les apôtres, il se rendit compte que sa Maman n'était pas près de lui, alors il se retourna et dit: "Maman, viens près de moi, parce que j’ai besoin de toi". Vous aussi, vous devez dire: "Maman, petite Madone, Mère de l’Eucharistie, sois près de nous, nous avons tant besoin de toi; nous avons besoin de la Madone, de Saint Joseph, de Jésus, mais surtout du Dieu Tout-puissant". Lui sait, Lui décide de tout, vous devez seulement incliner la tête et dire: "Que ta volonté soit faite". Il est parfois très difficile de faire la volonté divine, mais vous vous êtes rendus compte peu à peu que vous parveniez à accomplir une mission difficile et importante. Continuez, si vous le pouvez, même hors de Rome. En revanche, la route est longue pour Marisella, qui doit se rendre à Venise, Firenze et dans d’autres villes à l'étranger.
Je vous aime, mes chers enfants, et je vous remercie tous encore une fois, adultes et petits apôtres, de ce que vous faites. Tous ne peuvent faire la mission, parce qu’il n'est pas facile de parler aux prêtres qui en savent parfois moins que vous. Courage, je suis près de vous. Merci de tout ce que vous faites et du zèle que vous mettez à décorer cette petite Basilique. Vous n’avez pas de grande Basilique, mais une petite, que Nous aimons tant.
Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis les enfants qui reçoivent aujourd'hui le baptême et les enfants d’afrique qui souffrent tant. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu. Ils sont tous partis, avec les apôtres.
L’Evêque - Et nous sommes ici!
Marisa - Nous sommes ici, parce que c’est notre place pour l’instant, puis quand nous mourrons, nous irons au Paradis.
L’Evêque - Quelle merveille!
Marisa - Tu ne veux pas y aller?
Rome, le 29 juin 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)
Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Ne vous étonnez pas. C’est moi votre Jésus et je suis venu en premier lieu pour adresser mes voeux à votre Evêque et à ceux qui fêtent le septième anniversaire du jour où ils ont été députés ministres extraordinaires de la Sainte Communion. Ce que votre Evêque vous a dit est très important. Si vous parvenez à mettre en pratique tout ce qu’il vous a dit, vous arriverez à un très haut niveau dans la vie spirituelle. Quand il vous a dit de continuer la mission, il a également souligné que vous étiez libres de le faire ou non: que ceux qui veulent continuer, continuent, que ceux qui ne le veulent pas, pour des raisons de famille ou de travail arrêtent, il y aura toujours quelqu’un qui oeuvra pour eux. Je suis votre Jésus, qui vous aime tant et vous est si proche, en particulier quand vous rencontrez les prêtres. Croyez-moi, la majeure partie d’entre eux croit aux apparitions mariales et aux miracles eucharistiques, mais ne veulent pas vous donner raison parce qu’ils pensent: "Qui es-tu pour venir me trouver moi, prêtre, et me dire ces choses?". Vous vous êtes malheureusement rendus compte, que certains ne connaissent pas bien l’Evangile, le Code du Droit Canon et sont alors confondus, ne savent que dire, déforment tout et disent: "Cela suffit, ces choses ne m’intéressent pas, j’ai autre chose à faire et à penser". Cela devrait vous rendre heureux de savoir qu’ils repensent ensuite à ce que vous leur avez dit.
Si vous êtes d’accord, j’aimerais étendre aussi cette mission à ceux qui ne sont pas de Rome. Je dis à ceux qui ne sont pas venus de Rome: si vous voulez participer à cette mission, allez trouver nos jeunes de Rome et demandez leur comment ils font et ce qu’ils disent aux prêtres. Ceux qui le veulent peuvent faire cette mission hors de Rome et vous donnerez ainsi beaucoup de joie au Dieu Tout-puissant, à moi, Jésus, au Saint Esprit et à la Mère de l’Eucharistie.
Je suis venu pour vous parler et vous dire que vous me donnez beaucoup de joie. Même s’il y en vous des imperfections et que quelque chose ne va pas, ne vous découragez pas, continuez de même. Remerciez le Dieu Tout-puissant qui vous fait la grâce d’exécuter cette tâche si belle et si grande. Vous vous rendus compte par vous-mêmes avec qui vous avez à faire. Je suis le Chef de l’Eglise, je suis celui qui aide, qui parle, mais moi aussi je ne suis pas écouté.
Essayez de ne pas vous faire de soucis, de ne pas penser au fait que la rencontre s'est mal passée parce qu’un prêtre vous a mal répondu. Moi aussi, quand je parle, quand je dis quelque chose, je ne suis pas compris, non parce qu’ils n'ont pas compris, mais parce qu’ils ne veulent pas comprendre et ont peur de faire le bien et d’aider le prochain.
Je vous fais maintenant une recommandation qui me tient beaucoup à coeur; priez et offrez vos souffrances pour les malades: il y a tellement de grands malades, beaucoup sont seuls et ne sont pas suivis, aidez-les et priez pour eux. Priez pour les enfants pauvres, souffrants qui n'ont ni médicaments, ni vêtements. Je ne vous abandonnerai jamais, et même si vous ne vous conduisez pas bien, je serai toujours avec vous. Marisella je suis toujours à tes côtés avec la maman quand tu souffres, quand la souffrance se fait plus forte. Ne t’inquiète pas de savoir quand l'heure que Dieu a repoussée maintes fois, viendra, sois heureuse et vous serez tous heureux.
Je vous souhaite à tous une sainte fête, en particulier à l’Evêque. Sept années se sont écoulées depuis que Dieu l’a ordonné Evêque. Pour Nous au Paradis, il est le Pape. Vous sur la Terre, vous ne pouvez pas encore le dire. Ne le dites pas surtout, ils diraient que vous êtes fous; du reste ils m'ont pris Moi aussi Jésus, pour un fou, donc rien de quoi se préoccuper ou s’alarmer. Ceux qui seront encore en vie, qui seront près de l’Evêque, feront une grande fête au moment voulu. Tous mes meilleurs voeux aux jeunes qui ont été députés ministres extraordinaires de la Sainte Communion. Beaucoup le font bien, le sentent bien dans leur coeur, d’autres boitent encore.
Marisa - Jésus, si tu me donnes la permission, je le leur dirai après.
Jésus - Tu peux faire ce que tu veux, mais ne te fatigue pas trop, ne t’afflige pas trop.
Marisa - Il semble qu’il y ait des épines sur cette chaise.
Jésus - Votre Jésus vous laisse la Maman que tous attendent.
La Madone - Mes chers enfants, ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et tous les petits enfants, en particulier ceux qui n’arrêtent pas une minute. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Tous mes voeux, mes petits enfants.
Dieu le Père s'entretient avec ses enfants
PRÉFACE
L’Evêque et la Voyante ont voulu faire plaisir à notre communauté et à tous ceux qui, éparpillés dans le monde, aiment, vénèrent et invoquent la Mère de l’Eucharistie.
Après avoir obtenu la permission du Ciel, ils ont autorisé la publication
des Lettres de Dieu et des entretiens qu’ils ont eus l'été dernier avec les Trois Personnes Divines, la Madone et quelques saints.
Nous nous trouvons devant un évènement unique et une décision importante. En effet, les messages surnaturels donnés au cours de l’année liturgique, en présence de la Communauté, ont toujours été intégralement et fidèlement publiés dans notre petit journal "Perles de la Mère de l’Eucharistie" et mis sur notre site internet www.madredelleucaristia.it, alors que ceux seulement donnés à l’Evêque et à la Voyante au cours des mois d'été des années passées, à quelques rares exceptions près, ont été tenus secrets. Les raisons de ce secret sont :
1) que ces messages sont strictement personnels,
2) qu’ils renferment des nouvelles, révélations et informations concernant l’Eglise et d’autres thèmes délicats et importants.
Comme l'été 2006 a été particulièrement difficile pour l’Evêque et la Voyante, plein de problèmes et riche en souffrances, Dieu s'est manifesté avec une fréquence sans égale dans toute l'Histoire de l’Eglise, ainsi que l’a affirmé la Madone.
Le Père Céleste a permis à l’Evêque et à la Voyante de l’appeler "Papa" et s'est penché avec une douceur inimaginable sur la souffrance de ses deux enfants.
Des larmes d'émotion sont venues aux yeux de ceux qui ont eu le privilège de se charger de la publication de ces lettres de Dieu, qui canalisent l’amour infini du Dieu-Papa envers les deux enfants qu’il a appelés pour assumer la double mission de:
1) faire triompher l’Eucharistie dans le monde entier,
2) faire renaître l’Eglise.
Nous sommes certains que le contenu de ces lettres de Dieu non seulement émouvra et touchera le coeur de ceux qui les liront, mais surtout enrichira leur âme en leur faisant connaître et goûter la paternité de Dieu et la maternité de la Madone.
Nous sommes reconnaissants à notre Evêque, Mons. Claudio Gatti, et à notre soeur Marisa Rossi d’avoir voulu nous ouvrir leurs coeurs, mais surtout le coeur de Dieu et celui de la Mère de l’Eucharistie.
Nous demandons à tous de prier intensément et d'offrir à Dieu, privations, sacrifices, jeûnes et pénitences pour augmenter les conversions des âmes et accélérer les interventions divines qui feront remporter à l’Evêque et à la voyante la victoire qui leur a été promise depuis longtemps.
Alba Adriatica (TE), le 7 juillet 2006 - 12h45 (Lettre de Dieu)
Marisa - Que de monde!
La Madone - Moi, la Mère de l’Eucharistie, je parle en premier en ce jour de la fête de votre saint Evêque, Saint Claudio. J’ai ici avec moi Saint Claude, Evêque de l’Eucharistie, comme toi.
J’aimerais tant que vous vous aimiez comme Nous nous aimons et que la souffrance vous donne aussi de la joie. J’aimerais vous voir sourire et faire fête. Excellence, s’ils te font de petits cadeaux, accepte-les, c’est une joie pour eux de t’en faire; donnons leur aussi de la joie.
Saint Claude - Mon cher Evêque, je suis également Evêque de l’Eucharistie. Je prie tous les jours pour toi et je t’aime beaucoup; si tu savais combien de personnes grandes et petites prient pour toi! A la fin, tu triompheras.
Ta vie est dure, le début de ton triomphe se fait attendre toujours plus, mais tu n'es pas seul, tu as Marisella qui t’aide et a offert sa vie pour toi.
Le Dieu tout-puissant m’a donné la permission de te parler, cher Evêque de l’Eucharistie, Nous sommes deux Evêques de l’Eucharistie.
Marisa - Ecoute, puis-je te dire quelque chose? Ce qui m’intéresse, c’est que tu étreignes mon Evêque, Mons. Claudio Gatti, serre-le fort sur ton coeur, le coeur de Jésus, de Marie et de tous.
Tu dois m’aider, petite Madone, aide-moi à surmonter ce moment de crise, qui je crois ne durera pas toujours, il y aura ensuite la joie, la force, le courage que tu me donneras, que Jésus tous les anges et les Saints du Paradis me donneront. N'est-ce pas, petite maman, que tu m’aideras aussi?
La Madone - Courage, mes chers enfants, soyez forts et si quelque chose arrive par la faute de personnes qui ne se conduisent pas bien, laissez tomber et dites seulement: "Tu t’es mal conduit " cela suffit, sans discuter.
Cherchez à les aimer tous. Vous aimez bien tout le monde et les autres n’aiment pas, c’est pourquoi vous souffrez.
Saint Claude - Mons. Claudio Gatti, je t’aime et je prie pour toi, tous prient pour toi au Paradis. Courage, Dieu dit que l'heure approche. Je ne connais pas les temps de Dieu; je vous dis courage et avancez au nom de Jésus, Marie, Saint Joseph, de la chère grand-mère Iolanda et de tous ceux qui vous aiment, avancez et aimez-vous.
La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
L’Evêque - Puis-je parler?
La Madone - Oui. Demandes-tu encore plus, Don Claudio?
L’Evêque - Nous sommes encore dans le moment de l’attente, de l'épreuve et de la souffrance
Par ton intermédiaire, je remercie Dieu de l’aide visible que j’ai constaté à maintes occasions, si nous n’avions pas eu votre aide, Marisa ne serait plus ici à cette heure.
Tu te souviens quand je t’ai demandé l’an passé de pouvoir être ensemble dans le calme et la sérénité, parce que je croyais que ce seraient nos dernières vacances ensemble? Tout ce que je t’ai demandé l’an passé, je te le redemande cette année, si c’est possible. Elle veut être en notre compagnie, la pauvrette, elle est toujours seule, si on lui enlève aussi notre compagnie quand nous mangeons et sommes ensemble à table, qu’est-ce qui lui reste ? Dieu peut, si c’est Sa volonté, lui donner la possibilité de manger quelque chose, même si c’est peu et conseillé, si possible, par toi?
La Madone - Bien sûr, je peux tout conseiller, mais l'état de Marisella est très grave.
L’Evêque - Je sais.
La Madone - Elle est très sensible, très hypersensible et son estomac s'en ressent, comme en ce moment, parce que sa santé empire; nous luis avons donné l’Eucharistie et elle a faim de nouveau.
L’Evêque - Pourquoi?
La Madone - Elle doit prendre l’Eucharistie et un peu de nourriture.
L’Evêque - Mais elle ne réussit pas
La Madone - Elle arrivera aussi peu à peu à se nourrir uniquement de l’Eucharistie, mais elle n'y arrive pas maintenant, parce qu’elle a une tumeur qui la ronge ainsi que le peu d’eucharistie que nous lui donnons. Nous espérons que Dieu lui donnera ce qu’elle a besoin de manger et avancerons. Nous espérons que tout ceci finira bientôt. Vous devez avoir plus de force et de courage.
Marisa - Bah, plus de ces choses je ne sais pas!
L’Evêque - Ma petite soeur est un roc.
La Madone - Son estomac est maintenant détruit. Même son foie et sa rate sont malades, mais c’est l'estomac qui est le plus mal en point.
L’Evêque - Mais Jésus est Dieu et peut tout faire.
La Madone -Oui, il peut tout faire.
L’Evêque - Je sais qu’elle s’immole pour mon avenir et je devrais l'en remercier à chaque seconde, mais fais-la aller un petit peu mieux pour qu’ainsi nous sortions et qu’elle jouisse du peu dont elle peut jouir. L’Eucharistie est Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
La Madone - Voyons maintenant comment va se passer la journée d’aujourd'hui qui ne se présente pas bien du tout.
L’Evêque - Pouvons-nous sortir un petit peu pour la distraire?
La Madone - Oui, vous pouvez toujours sortir.
L’Evêque - Maintenant? Mais nous ne pouvons pas sortir quand il fait soleil.
La Madone - Ce soleil ne fait pas mal.
L’Evêque - C’est bon, sortons aussitôt et nous verrons ainsi si elle peut se distraire.
La Madone - Il se peut qu’en marchant elle ait un creux à l'estomac, qu’elle ait plus faim.
L’Evêque - Si tu ne le sais pas, toi qui est la mère de Dieu
La Madone - Je sais que je suis la Mère de Dieu.
L’Evêque - Je suis une petite créature
La Madone - C’est Dieu qui décide.
L’Evêque - Oui, d’accord, je ne suis pas convaincu, pouvons-nous le demander à Dieu?
La Madone - Vous pouvez lui demander tout ce que vous voulez.
L’Evêque - J’aimerais la défendre en cette période finale des souffrances causées par les hommes, mais je n'y parviens pas, merci en tous les cas d'être venue.
La Madone - Adieu, mon amour. Tous mes voeux à notre cher Evêque.
L’Evêque - Est-ce que grand-mère Iolanda a parlé?
Marisa -Grand-mère Iolanda a dit seulement: "Aimez ma fille, ne la faites pas souffrir ". Je ne sais pas pourquoi elle l’a dit.
Alba Adriatica (TE), le 10 juillet 2006 - 22h45 (Lettre de Dieu)
La Madone - La Maman te remercie de toutes tes souffrances qui ne sont pas terminées. Je te remercie de la joie que tu donnes aux enfants qui sont avec toi, comme tu l’as fait ce soir en chantant des chants montagnards. As-tu vu que la Maman t’a donné un peu de voix?
Marisa - Me la laisses-tu pour toujours?
La Madone - Cela dépend de Dieu, je te la laisserai toujours. Ne chante pas seule, mais avec le choeur. Vous ne pouvez pas vous imaginer combien de joie vous me donnez, quand vous êtes sereins, chantez, riez même pour des bêtises.
Marisa - C’est pourquoi je désire que les hommes se convertissent.
La Madone - Tu monteras au Ciel avec moi, les anges et les Saints, et l’Evêque te suivra au Paradis, t’embrassera, puis reviendra sur la Terre pour y terminer sa tâche.
Marisa - Peux-tu me dire quand tu m'emmèneras? Parce que je suis vraiment fatiguée, fatiguée de souffrir.
La Madone - Tu sais que c’est Dieu qui décide de tout et qu’il a maintenant besoin de toi, créature. Combien d'hommes se sont éloignés de Dieu et combien ont abandonné la mission qu’ils avaient acceptée! Toi, belle âme sainte, tu es restée encore pour aider Dieu et souffrir pour les âmes. Tu le sais parce que tu es déjà au Paradis, où tout est joie, et jouis avec ta maman, la Mère de l’Eucharistie, Jésus, ton époux, Saint Joseph et tous ceux que tu as connus.
Marisa - J’aimerais que certaines personnes se convertissent et croient en toi.
La Madone - En Dieu. Je veux qu’elles se convertissent, mais personne ne peut prétendre convertir ses propres parents, s’ils ne le veulent pas. Toi, Marisella, tu ferais tout pour convertir ces personnes.
Marisa - Oui, mais aide-moi, j’ai tant besoin d’aide et fais-moi dormir un petit peu la nuit, je t’en prie, sinon comment ferai-je pour aller voir les prêtres en bilocation?
L’Evêque - Je suis prêt à rester éveillé cette nuit pour qu’elle dorme.
La Madone - Merci, Excellence, je m'y attendais.
Marisa - Mon Jésus, mon époux bien-aimé, aide-nous, Toi.
La Madone - Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Courage et tous mes voeux à vous tous.
Marisa - Bonjour, bonjour, ma petite maman.
Grand-mère Iolanda - Quand tu m’appelles la nuit, mon enfant, je viens toujours près de toi et je vois que tu souffres beaucoup. Personne ne peut se rendre compte de l’intensité de ta souffrance, seul l’Evêque peut le comprendre. Courage, mon enfant, nous nous verrons dans peu de temps en haut au Paradis; tu y es déjà maintenant, mais d'une autre manière.
Marisa -J’ai le don de trilocation? Je ne le sais pas. C’est bon, maman.
Grand-mère Iolanda - Donne un baiser à l’Evêque de ma part?
Marisa - Bien sûr, il t’aime beaucoup.
NOTE:
A ceux qui se scandaliseraient en lisant les lettres de Dieu des 14, 15 et 21 juillet 2006, nous reprenons ce que le cardinal Josef Ratzinger a écrit peu de jours avant d'être élu Pape sous le nom de Benoît XVI.
" Mais ne devons-nous pas penser également à ce que le Christ doit souffrir dans son Église elle-même? Combien de fois abusons-nous du Saint-Sacrement de sa présence, dans quel cur vide et mauvais entre-t-il souvent ! Combien de fois ne célébrons-nous que nous-mêmes, et ne prenons-nous même pas conscience de sa présence! Combien de fois sa Parole est-elle déformée et galvaudée! Quel manque de foi dans de très nombreuses théories, combien de paroles creuses! Que de souillures dans l'Église, et particulièrement parmi ceux qui, dans le sacerdoce, devraient lui appartenir totalement! Combien d'orgueil et d’autosuffisance! Que de manques d’attention au sacrement de la réconciliation, où le Christ nous attend pour nous relever de nos chutes! Tout cela est présent dans sa passion. La trahison des disciples, la réception indigne de son Corps et de son Sang sont certainement les plus grandes souffrances du Rédempteur, celles qui lui transpercent le cur.
Souvent, Seigneur, Ton Eglise nous semble une barque prête à couler, une barque qui prend eau de toute part. Et dans ton champ, nous voyons plus d'ivraie que de bon grain.
Les vêtements et le visage si sales de Ton Eglise nous effraient. Mais c’est nous-mêmes qui te trahissons chaque fois, après toutes nos belles paroles et nos beaux gestes. Prends pitié de ton Eglise: en elle aussi, Adam chute toujours de nouveau. Par notre chute, nous Te traînons à terre, et Satan s'en réjouit, parce qu’il espère que Tu ne pourras plus te relever de cette chute; il espère que Toi, ayant été entraîné dans la Chute de Ton Église, Tu resteras à terre, vaincu. Mais Toi, Tu te relèveras. Tu t’es relevé, Tu es ressuscité et Tu peux aussi nous relever. Sauve ton Église et sanctifie-la. Sauve et sanctifie-nous tous. ". (Chemin de Croix - Neuvième Station)
Alba Adriatica (TE), le 14 juillet 2006 - 16h30 (Lettre de Dieu)
Marisa - Je ne suis plus en état de continuer à souffrir, en particulier pour les prêtres. Cela suffit. Je me retire dans ma maison, via delle Benedettine, avec mon Evêque, et ne veux plus aider aucun prêtre, parce que ma santé est compromise et je m'en vais par leur faute. Si l’on me dit d’aider un jeune, une maman, un papa, je suis prête à le faire, mais je ne veux pas souffrir pour les prêtres. Condamne-moi, si tu veux, cela m'est égal, je ne veux plus souffrir pour les prêtres, ils me font horreur (Marisa pleure sur l'épaule de l’Evêque). Je ne veux pas des prêtres, je n'en veux pas, je n'en veux pas.
L’Evêque - Ma petite Madone, je t’en prie, montre-toi, tu vois dans quel état nous sommes? Nous n'en pouvons plus.
Marisa - Je n'en veux à personne, ni à Dieu le Père, ni à Dieu le Fils, ni à Dieu le Saint Esprit, ni à la Madone, mais cette fois, mon non est définitif. Je ne m'occupe plus des prêtres. Pourquoi devrais-je penser à eux, quand j’ai mes frères et soeurs à qui penser? Pourquoi devons-nous continuer à donner aux prêtres qui sont répugnants? J’ai envie de vomir quand je parle d’eux. Ils ont tout reçu, je ne veux plus rien leur donner.
Petite Madone, crois-moi, je ne t’en veux pas, je ne veux pas te désobéir, mais je ne veux plus immoler mon corps, faire souffrir mon âme pour ces hommes. Je me meurs et j’aimerais mourir dans la joie avec Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit, Dieu le Fils, la Mère de l’Eucharistie, ma maman et mon Evêque. Faites-moi quitter ce monde rapidement, parce que je n'en peux plus. Pardonne-moi, petite Madone, si j’ai dit ces choses, ce n'est pas par méchanceté, mais je n'en peux plus. Pardonne-moi, mais je n'en peux plus.
L’Evêque - Moi non plus. Nous sommes deux à être au bout du rouleau.
Marisa - Cela nous a pris tant d’années.
L’Evêque - Trente cinq ans.
Marisa - Trente cinq ans de souffrance, et nous avons toujours dit oui.
L’Evêque -Cela suffit maintenant.
Marisa - Qu’on prenne maintenant quelqu’un d’autre. Ceux qui se sont retirés ont bien fait, certains sont morts, mais pourquoi me maintenir toujours dans la souffrance?
L’Evêque - Demande à la Madone de venir t’aider.
Marisa - Viens m’aider, petite Madone, même si je ne le mérite pas?
La Madone - Mais je suis ici avec toi, trésor, je suis ici avec vous. Tu as raison, ce que tu dis est juste et Nous ferons comme tu le veux.
Marisa - Pour l’Evêque aussi?
La Madone - Oui, cela suffit maintenant. C’en est assez de toutes ces misères avec les hommes d’eglise, cela suffit. Je suis avec vous et vous êtes avec moi. Les hommes d’eglise sont aussi mes enfants bien-aimés, mais ils ne font pas la volonté de Dieu.
Marisa - Pourquoi sommes-nous avec toi? Nous sommes sortis hier pour faire une promenade et nous avons dû faire demi-tour, aujourd'hui nous devons y parvenir, mais je ne suis pas bien.
La Madone - Je verrai à ce que tu y arrives aujourd'hui.
Marisa - Aide l’Evêque, aide-le. Il t’aime, il t’aime trop, il m’aime trop moi aussi.
La Madone - Oui, je le sais.
Marisa - Regarde, maman pleure, elle pleure pour l’Evêque. Aide-nous, aide-nous. Adieu, petite Madone, tu as promis que tu m’aiderais et j’attends anxieusement ton aide.
L’Evêque - Puis-je parler? Demande lui si je peux parler.
Marisa - Peut-il parler?
La Madone - Bien sûr.
L’Evêque - Le moment est-il arrivé où Dieu dira cela suffit?
La Madone - Non, il n'est pas arrivé, mais après ce qu’a dit ta soeur aujourd'hui, je crois qu’elle n’aura plus à penser aux prêtres.
L’Evêque - Qu’est-ce que cela signifie?
La Madone - Cela signifie qu’elle en a fini de souffrir pour les prêtres et que Nous viendrons la chercher.
Marisa - Excellence, veux-tu venir avec moi?
L’Evêque - Je dois accomplir ma mission. Je monterai de temps à autre et tu descendras vers moi.
Marisa - Alors recevons la bénédiction.
L’Evêque - Ce qui compte, c’est que tu ailles mieux.
La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés, je bénis tous les enfants, mamans, papas et petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Faisons maintenant ce qu’elle a dit.
L’Evêque - Sortons.
Marisa - Je n'irai plus voir les prêtres en bilocation.
L’Evêque - j’en suis heureux, j’en suis heureux.
Marisa - Hier soir, quand la Madone m’a parlé de Milingo, j’ai eu un choc.
Alba Adriatica (TE), le 15 juillet 2006 - 13h50 (Lettre de Dieu)
Marisa - Comme tu l’avais promis à nos pères, à nous aussi tu as promis de belles choses. Cela fait trente cinq ans que tu nous as appelés pour la grande mission. Nous avons beaucoup souffert, joui aussi, mais combien n’avons-nous pas souffert. Nous sommes maintenant arrivés à un point où nous n’avons plus la force de nous lever, de nous asseoir, de manger, de parler, de rien faire. Petite Madone, pure, sainte et Immaculée, parle à Dieu pour nous et dis-lui que nous sommes épuisés.
La Madone - Mes chers enfants, Dieu sait tout. Il connaît votre fatigue et votre souffrance et sait également que tu refuses d’aider les prêtres et il y a consenti.
Marisa - j’en suis heureuse.
La Madone - Mais il te reste la tâche d’aider les laïcs, les petits enfants et les jeunes. Tu verras que ce sera plus facile de les aider que les prêtres. Jésus, la petite Madone et Saint Joseph souffrent que tu aies refusé avec justesse de ne plus aider les prêtres.
Dieu le Père - Moi aussi, Dieu le Père Tout-puissant, j'éprouve de la répulsion à parler de Monsieur Milingo. Si cet homme t'écoeure et te dégoûte, imagine ce que cela me fait à Moi, qui l’ai créé. Tous l’ont défendu, en commençant par le Saint Père, des évêques aux cardinaux. Ils lui ont tout donné, maison, argent, honneurs et lui qu’a-t-il fait? Il s'est enfui dans les bras de sa femme. Tu as bien fait de renoncer à aider les prêtres, je ne te ferai jamais de reproches pour ce refus. Cela suffit avec les prêtres, qu’ils soient bons ou mauvais, cela suffit. Jouis du peu de temps qu’il te reste à vivre. Jouis en avec ton frère et ceux qui t’aiment. Pour Moi l'heure de ton départ pour le Paradis est sur le point de s’accompli et je sais que tu en es heureuse. Je sais que tu ne vas pas bien et que ta tumeur à l'estomac te ronge intérieurement, et qu’il serait donc mieux que nous t’emmenions au Paradis. Même en ce moment, tu ne te sens pas bien, parce que tu penses à ces prêtres répugnants. Je sais qu’ils sont abjects. Si tu avais à tes côtés d’autres prêtres comme Monseigneur Claudio Gatti, tout serait plus facile pour toi et pour lui. Mais je t’en prie, n’abandonne pas les enfants, les jeunes et les laïcs qui veulent se convertir. Sois bonne, Marisella, accepte tout, mais sans offrir ta souffrance et tes prières pour les prêtres. Je sais que cela te fatigue de parler et que les douleurs minent ton corps, c’est pourquoi je te demande, Excellence, si tu désires Me parler. Si tu le veux, mais sans te sentir obligé de le faire.
L’Evêque - Seigneur mon Dieu, je Te remercie avant tout de l’aide venant de Toi que j’ai constaté au cours de ces quinze jours, vraiment de grande souffrance, sans lequel nous n’aurions pu fêter nos trente cinq ans. Toi, mon Dieu, Tu as dit à Marisella qu’il lui restait très peu de temps à vivre et Tu l’as exhortée à en jouir. C’est pourquoi je Te demande de lui retirer quelques douleurs, comme Tu lui as retiré sa tumeur osseuse le 15 juillet de l’an passé. J’aimerais tant vivre avec elle cette dernière partie du chemin, en parlant du Paradis, de mon avenir et de comment aider toute cette multitude abandonnée par les pasteurs à se tourner vers Toi, mon Dieu. Voilà, c’est le grand désir que j’ai dans mon coeur et que je ne t’aurais pas dit, si Tu ne m’avais pas invité à le faire. Est-il possible, mon Dieu, que Marisa aille un petit peu mieux? Tu décides du jour et de l'heure de notre naissance et de notre mort, mais il y a cette date que j’ai indiquée pour les raisons que Tu sais. Seigneur, je m'en remets à Toi, fais ce que Tu veux et ce sera toujours le mieux, mais si je peux insister, fais que l'état de Marisella puisse s’améliorer un petit peu. Je n’ai rien d’autre à te dire sinon de Te recommander Ton Eglise et les prêtres qui sont bons et honnêtes. Même si Marisella ne doit plus penser à eux, je crois que c’est mon devoir de penser et de prier pour les prêtres. Je Te demande de bénir les bons et de neutraliser les méchants de la façon que Tu jugeras la meilleure. Ton Eglise renaîtra certainement du côté de Ton Fils, par Ta puissance et la grâce du Saint Esprit, mais aussi par le sang, les larmes et la souffrance de Tes enfants qui ont offert et immolé leur vie pour Elle. Je ne crois pas être présomptueux en pensant que nous sommes aux premières places parmi eux. Mon Dieu, bénis-moi, donne-moi la force de continuer, mais surtout de me dominer et de me maîtriser, parce que la fatigue est parfois si grande que je suis très nerveux. Je ne veux pas que la plus petite parole pouvant faire souffrir involontairement Marisa, qui souffre déjà tant, ou quelqu’un d’autre, sorte de ma bouche. Seigneur, donne-moi, comme Tu me l’as toujours donné, beaucoup de grâces pour l'âme et d'énergie pour le corps, afin que je puisse travailler jusqu'à la fin et faire Ta sainte volonté.
Marisa - Moi aussi, mon Dieu, je Te demande de me donner un peu plus de force, parce que je ne réussis plus à parler, manger, rester debout ou assise, je suis si épuisée. Je sens la fatigue qui me ronge et je suis très faible, mais je veux continuer à t’aimer ainsi que tout le Paradis, mais j’ai besoin que Tu m’aides, sinon il vaut mieux que Tu m'emmènes maintenant sans plus attendre. Je ne Te demande rien qui soit contre Ta volonté, mais si Tu le veux, emmène-moi.
Je te recommande Monseigneur Claudio de tout mon coeur, je pensais vivre jusqu'à son ascension à des hauteurs vertigineuses, mais dans l'état où je suis aujourd'hui, je n'en peux plus, je ne peux pas. Tu sais combien je l’aime, mais je ne peux y arriver, parce que les forces me manquent. Si Tu le veux, Tu peux nous aider, nous donner cette petite force dont nous avons besoin.
Dieu le Père - Moi, Dieu le Père Tout-puissant, je ferai tout pour guérir le mal présent en ces personnes, mais ne vous laissez pas aller. Vous au moins, soyez affectueux et aimez-vous. Moi, Dieu le Père, Jésus, l’Esprit Saint, la Mère de l’Eucharistie et tous les anges et les Saints du Paradis, nous sommes avec vous. N'oubliez pas que grand-mère Iolanda est sainte.
Marisa - Merci. Deviendrai-je sainte? Je ne suis pas bonne comme ma maman.
Dieu le Père - Oh oui ma fille, tu seras bientôt déclarée sainte!
Marisa - Merci.
Dieu le Père - Excellence, si tu n’as plus rien à dire, terminons cette Théophanie qui t’es dédiée, parce que ta soeur est très fatiguée.
L’Evêque - Oui, j’ai un désir dans mon coeur et Tu sais à quoi je me réfère, mais nous en parlerons une autre fois.
Dieu le Père - Non, dis le maintenant, ne t’inquiète pas.
L’Evêque - Seigneur, Tu as accompli les plus grands miracles eucharistiques de l'Histoire de l’Eglise dans le lieu thaumaturgique. Nous conservons l’Eucharistie qui a saigné et diverses hosties qui ont versé du sang, même deux ou trois fois. Pour le triomphe de l’Eucharistie, pour Ton triomphe, qui me paraît modeste, il serait beau que le troisième dimanche du mois, Tu interviennes pour guérir beaucoup de malades, même graves, à la condition qu’ils se soient réconciliés avec Toi dans la Sainte Confession. Tu sais que cette pensée est en moi depuis des années, pensée que Tu connais et que Tu m’as autorisé aujourd'hui à t’exprimer.
Dieu le Père - C’est bon. Je vous remercie de tout le bien que vous faites pour l’Eglise, mais je ne veux pas pour cela que vous continuiez à travailler et à souffrir pour les prêtres. Non, non, cela suffit.
Aimez les invalides, les malades, ceux qui ont faim et soif de justice, mais laissez les prêtres.
Marisa - Oui, oui, je suis contente.
Dieu le Père - Puis-je vous donner ma bénédiction ou as-tu encore quelque chose à dire, Don Claudio, mon Monseigneur.
L’Evêque - Nous t’avons tout dit et maintenant, mon Dieu, je m’agenouille, même si Tu sais que je ne le pourrai pas, mais je dois me prosterner à terre devant Toi. Donne-nous Ta bénédiction et soulage un peu Marisa.
Dieu le Père - Ensemble avec la Maman, Mère de l’Eucharistie, et tous les anges et les Saints du Paradis, je vous bénis et les personnes que je vous ai dit d’aider. Je vous serre tous sur mon coeur et vous deux en particulier, mes chers enfants.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ, Excellence, si tu ne veux pas mettre la mitre, tu peux t’abstenir de la porter.
L’Evêque - Merci.
Dieu le Père - Fais ainsi, parce que tu es plus beau sans mitre.
Marisa - Adieu.
Villetta Barrea (AQ), le 18 juillet 2006 - 14h50 (Lettre de Dieu)
Marisa - Me feras-tu aller un petit peu mieux, la nuit surtout, quand les problèmes et les douleurs se déchaînent? Ecoute, maman, tu vas le dire à Dieu? Ne passe pas par un intermédiaire, va trouver Dieu directement et dis-le lui. Dis-le lui, trésor, maman, sinon emmène-nous. Si l’Evêque ne veut pas venir, cela ne fait rien, emmène-moi, je n'en peux plus. Je suis une grande charge pour l’Evêque et quand je ne serai plus ici, il sera plus tranquille. Tu vas parler à Dieu? Tu le lui dis?
Grand-mère Iolanda - Oui, trésor, je te promets que je vais aller trouver Dieu, mais pas toute seule. j’emmènerai avec moi une troupe d’anges pour parler à Dieu, pour lui dire au moins qu’il te fasse aller un petit peu mieux, seulement un petit peu.
Marisa - Nous ne demandons pas beaucoup, nous demandons seulement d’aller un petit peu mieux, trésor. Ma petite maman, je sais que tu ne commandes pas, mais dis-le à Dieu.
Grand-mère Iolanda - Et l’Evêque?
Marisa - Nous recommençons avec l’Evêque. Il devra faire renaître l’Eglise. Emportez-moi. Dis à Dieu de nous faire aller un petit peu mieux, un petit peu, peu, nous ne demandons pas beaucoup.
(Tournée vers l’Evêque) N'est-ce pas un tout petit peu?
L’Evêque - Sinon je fais la grève.
Marisa - Maman, tu ne nous crois pas? Tu sais que lorsqu’il dit quelque chose, il le fait. C’est bon, maman, écoute, va trouver Dieu et dis-lui de me faire aller un petit peu mieux, de nous faire jouir un peu dans ce coin de paix. Aidez-nous vraiment, parce que nous sommes à bout de force, finis. Adieu, adieu, trésor.
Grand-mère Iolanda - Adieu, amour.
Marisa - Pense à nous, je t’en prie, pense à nous.
Villetta Barrea (AQ), le 19 juillet 2006 - 22h50 (Lettre de Dieu)
Marisa - Nous t’avons attendue et tu es venue accompagnée de ma maman. Petite Madone, vois-tu dans quel état nous sommes? Nous sommes deux loques, aide-nous, je t’en prie, fais nous reposer et passer une journée paisible, un peu plus détendue, sans tant de problèmes qui nous affligent. Je ne suis pas seule à souffrir, son Excellence et les jeunes qui sont avec nous souffrent aussi. Aide-nous, petite Madone, je t’en prie. Maman, notre maman à tous les deux, aide-nous, nous avons tant besoin d’aide. Je ne suis bonne à rien, même si en ce moment je me sens mieux, continue à nous aider, et nous serons avec vous et vous serez avec nous et nous prierons ensemble. Quand je dis non, c’est parce que je suis fatiguée et que je ne me sens pas capable de prier à voix haute, mais je prie dans mon coeur; je prie avec toi, avec maman et ton saint Evêque. Bénis-nous tous les eux, aide-nous, ne nous abandonne pas, nous avons tant besoin de ton aide. Je n'en dis pas plus.
Nous te remercions de tout notre coeur et attendons ta bénédiction au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit il.
La Madone - Loué soit Jésus Christ.
Courage, mes enfants, courage. Vous pensez être seuls, mais vous ne l'êtes pas.
L’Evêque - Puis-je te poser une question?
La Madone - Oui, oui.
L’Evêque - Est-ce que c’est seulement Marisella qui ne doit plus écrire, ni aller trouver les prêtres, les évêques les cardinaux et encore plus haut? Pourquoi me tourmenter avec ces lettres à écrire aux cardinaux.
La Madone - Je sais, mon cher enfant, mais tu dois être le chef des jeunes et des adultes. Marisella n'ira plus parler aux hommes d’eglise pour les diverses raisons que tu connais, mais tu ne peux pas les laisser tous seuls. Laisse les prêtres, mais aide les jeunes et les adultes à leur parler, en restant à l'écart comme Marisella.
L’Evêque - Merci. Je ne dois donc plus écrire à ces messieurs?
La Madone - Si, écrire oui, mais tu ne dois plus aller leur parler ou faire autre chose. Tu en as fini avec ça, comme Marisella.
L’Evêque - Quand notre calvaire finira-t-il?
La Madone - Mon fils, le calvaire est toujours long. Soyez patients.
L’Evêque - Tu as vu combien je prie, comme cette nuit.
La Madone - Oui, je suis très heureuse de t’entendre prier, mais quand ta soeur ne s'en sent pas capable, ne la force pas, parce qu’elle va si mal. Adieu, mon doux fils. As-tu encore quelque chose à me dire?
L’Evêque - Fais-la aller un petit peu mieux et fais-la se reposer. Je ne me sens pas maintenant en état de dire que je veillerai pour elle, parce que, tu le sais, j’ai très peu dormi les dernières nuits. Fais que nous nous reposions tous les deux.
La Madone - Vous devez prendre un comprimé et dormir tous les deux.
L’Evêque - Merci.
La Madone - Salut, mes enfants. Adieu, Excellence, va en paix.
Grand-mère Iolanda -Adieu, Excellence, va en paix.
L’Evêque - Adieu, grand-mère Iolanda.
Marisa - Adieu, petite maman.
Villetta Barrea (AQ), le 21 juillet 2006 - 18h00 (Lettre de Dieu)
Grand-mère Iolanda (s’adresse à Dieu) - Dieu le Père, c’est moi grand-mère Iolanda, Tu me connais. Je ne Te demande rien d’autre que d’aider ces deux enfants qui sont miens. Ils ont toujours souffert, ils ont aussi souffert avec moi, aide-les je t’en prie. Tu peux le faire, je ne peux que prier.
Dieu le Père - Nous les aidons, bien sûr, un peu à la fois, doucement, doucement. Leur mission est très difficile, mais Je ne les abandonne jamais. Grand-mère Iolanda, toi qui es leur maman, aide-les à vivre avec toi, et surtout à vivre avec Dieu, avec leur Papa.
Marisa - Tu as emmené avec toi tous les anges, les petits enfants sont aussi présents. Comme ils sont beaux! Tu sais qu’une petite fille nous est née, Miriam? Puis un autre doit naître, Ismaele.
Grand-mère Iolanda - Quel doux nom que celui d'Ismaele.
Marisa - C’est moi qui l’ai suggéré, il te plaît?
Grand-mère Iolanda - Il est très beau.
Marisa - Est-ce que Gioele te plaît?
Grand-mère Iolanda - Ce sont tous de beaux noms. Allez en paix, mes enfants. Je vous ai dit maintes fois que je ne vous abandonnerai jamais. Votre vie est bien sûr dure, très dure. Aucun saint n’a jamais souffert comme vous. Quand vous finirez de souffrir, vous jouirez ensemble et les autres comprendront qui vous étiez et pourquoi vous avez tant souffert.
Marisa - Puis-je te dire, bonjour Dieu?
Dieu le Père - L’Evêque peut me dire: "Bonjour, Papa" et toi: "Bonjour, Dieu!". Vous faites tout de toute façon.
Marisa - Nous t’aimons. Je me suis demandée bien des fois: "Mais est-ce que Dieu nous aime?". "Pourquoi nous fait-il autant souffrir, s’il nous aime?".Je t’en prie, fais-nous dormir la nuit. Je n'en peux plus, ton fils n'en peut plus. Qu’est-ce que cela Te coûte de nous tendre la main? Il Te suffit de faire ainsi (Marisa claque des doigts), et nous sommes bien. Adieu, adieu, maman.
Grand-mère Iolanda - Adieu, mon fils, je suis ta maman.
Dieu le Père - Adieu, mon fils, je suis ton Papa.
Villetta Barrea (AQ), le 21 juillet 2006 - 18h58 (Lettre de Dieu)
(L’apparition a eu lieu en voiture)
Marisa - Viens m'emmener, maman. Je n'en peux plus. Tu t’occuperas de Claudio, maman. Emmène-moi, je suis fatiguée, je souffre tant, tout le monde ne peut pas comprendre mon immense souffrance qui est un martyre permanent. Maman, maman, demande à Jésus de m'emporter. Envoie quelqu’un aider Don Claudio, ne le laissez pas seul. Ma petite maman, ma petite maman, emmène-moi. Ma vie n'est pas une vie, emporte-moi, je n'en peux plus de vivre. Dieu a dit qu’il m’aidait, mais mon état ne fait qu’empirer. Maman, Mère de l’Eucharistie, de Jésus, Dieu Tout-puissant, anges et Saints du Ciel, je veux souffrir, mais je suis épuisée et je veux venir avec vous. Emportez-moi. Si vous vous faites du souci pour Claudio, emportez-le lui aussi. Que faisons nous sur la Terre? Souffrir, seulement souffrir. Maman, je t’en prie, demande au Dieu Tout-puissant de nous emporter. Maman, belle maman, mon trésor, comme tu es belle, comme tu es belle, maman. Je sais, je sais que certaines personnes t’ont fait souffrir, ce sont des personnes qui ne savent pas aimer et tu sais pardonner, n'est-ce pas?
Grand-mère Iolanda - Alors, Marisella, comme j’ai pardonné, tu dois, toi aussi, pardonner. Pardonne aussi à ceux qui te font encore souffrir. Bien des fois je descendrais sur la Terre pour les réprimander, puis je réfléchis et dis: "Oui, je leur ai pardonné ". Toi aussi, ma fille, tu dois leur pardonner, ce sont des personnes qui ne sont pas bonnes, qui ne savent pas aimer. Tu vois que celle qui se dit athée est meilleure qu’elles. Trésor, et c’est pour cette raison que tu l’aimes, c’est pourquoi tu l’as adoptée comme ta fille, elle dit qu’elle est athée, mais ce n'est pas vrai. Ce sont au contraire, celles qui vont à l'église, qui ont les mains jointes, qui reçoivent Jésus, qui te font souffrir. Mais tu n'es pas seule, tu as Monseigneur Claudio Gatti. Tu as aussi cette personne qui se dit athée, mais ne l'est pas, elle t’aime et vous veut du bien à tous les deux. Il y a Marco qui vous aime, Marco a changé, Marco est devenu un autre homme, spirituellement parlant. Puis tu as tous tes neveux, mais celui qui t’aime vraiment beaucoup, c’est l’Evêque. Mon trésor, je retourne vers le Père prier avec tous les anges et naturellement avec la Mère de l’Eucharistie, Saint Joseph et tous les Saints que tu connais. Je vais prier pour vous, parce que tu n’arrives plus à sortir, c’est trop dur. Je demanderai à Dieu ce qu’il veut encore de toi et nous verrons ce qu’il me dira.
Adieu, ma fille, adieu, mon fils, adieu petite athée, adieu, Marco, un baiser à tous.
Marisa - Je suis fatiguée, si fatiguée.
Villetta Barrea (AQ), le 21 juillet 2006 - 19h00 (Lettre de Dieu)
(L’apparition a eu lieu en voiture)
L’Evêque - Regarde le Paradis. Qui vois-tu maintenant? Regarde devant toi.
Marisa - Pourquoi ne prends tu pas en photo toutes ces montagnes?
L’Evêque - Décris nous le Paradis, c’est plus intéressant.
Marisa - Le Paradis est immense, si grand et si beau.
L’Evêque - Sont-ils arrivés devant Dieu?
Marisa - Pas encore. Ils sont tous en marche pour aller devant Dieu et lui demander si je peux aller mieux ou mourir. Maman va le lui demander, mais ils ne sont pas encore tous arrivés.
L’Evêque - Est-ce que la procession qui va devant Dieu est si longue?
Marisa - Le Paradis est le Paradis. Il est immense.
L’Evêque - Ils y sont tous? Est-ce une grande file, très longue?
Marisa - Oui, ils y sont tous, les petits enfants et beaucoup d'âmes bonnes.
L’Evêque - Y a-t-il aussi Don Giovanni et Don Giorgio?
Marisa -Oui, mais ils sont au fond. Près de maman, il y a la Madone, Saint Joseph et tous les petits enfants.
L’Evêque - Les neveux?
Marisa - Oui, puis tous les autres Saints arrivent, d’abord, entre eux, il y a Fatina.
Grand-mère Iolanda (chantant) - C’est moi, mon Dieu, la maman de Marisa, que veux-tu faire d’elle? Veux-tu l'emmener bientôt ou la laisser encore un petit peu sur la Terre pour qu’elle soit heureuse avec son frère et se porte un petit mieux? Voilà, mon Dieu, nous sommes tous autour de Toi. J’ai vu l'étoile de Dieu. Nous sommes tous autour de Toi pour t’implorer pour cette créature. Les noms que l’Evêque lui a donnés sont justes.
Marisa - Mais je ne m'en souviens pas, parce que j’ai toujours peur qu’on se moque de moi.
L’Evêque - Martyre d’amour.
Marisa - Martyre d’amour.
L’Evêque - Héroïne de la souffrance.
Marisa - Héroïne de la souffrance.
L’Evêque - Victime de l’Eucharistie.
Marisa - Victime de l’Eucharistie. Martyre d’amour. . Victime de l’Eucharistie.
Dieu le Père - Je suis Dieu. Je vous accueille tous auprès de Moi. Priez ensemble pour Miriam, Marisella. Priez, afin qu’elle réussisse à faire totalement la volonté de Dieu. Je ne veux pas l'emporter, je veux la voir finir de souffrir, puis je l'emporterai au Paradis. J’aimerais la laisser encore un peu de temps avec Son Excellence pour qu’elle jouisse un peu de la vie dans le monde. La vie sur la Terre est tellement immonde, tellement infâme que cela me déplaît presque de la laisser dans ce monde plein d'êtres immoraux, à commencer par la tête de l’Eglise.
Marisa - Ne le dis pas, mon Dieu, ne le dis pas. Je t’entends, mais je ne Te vois pas, j’ai vu l'étoile, une grande étoile brillante, est-ce Toi?
Dieu le Père - C’est Moi. Tant que tu seras sur la Terre, tu ne me verras pas, mais tu verras l'étoile, une fleur et beaucoup d’autres scènes merveilleuses, mais tu ne me verras pas tant que tu ne monteras pas au ciel. Essaie de ne pas manger, ma fille, essaie de prendre seulement l’Eucharistie, nous verrons comment cela ira. Moi, Dieu, je veux te laisser encore un peu avec ton frère, mais comme tu le vois, ta santé est très éprouvée. Pense à tous ceux qui sont au Paradis et qui t’aiment tous. Tu viendras bientôt avec Moi et alors tu Me verras et seras heureuse. Sois attentive, regarde l'étoile. Courage, ma fille, courage. Essaie de prendre seulement l’Eucharistie comme nourriture, nourris toi seulement de l’Eucharistie, nous verrons comment cela ira.
Marisa - Mais Tu sais comment cela va.
Dieu le Père - En ce moment Je suis Dieu sur la Terre. Si la situation s’améliore, je te laisserai encore un peu, si cela ne va pas bien, je t’emporterai, ma fille, Je ne peux pas continuer à te voir souffrir ainsi.
(Le Notre Père est récité))
Marisa - Merci, Dieu Tout-puissant, aide-moi à aller un petit mieux, si cela n’arrive pas, emmène-moi avec l'étoile. Adieu à tous. L'étoile a disparu.
Villetta Barrea (AQ), le 23 juillet 2006 - 12h00
Phénomène particulier
Marisa - Je ne souffre pas pour la guerre, mais je prie pour elle, parce que si elle arrive en Italie nous serons tous perdus. Je souffre énormément: j’ai d’abord beaucoup souffert pour les prêtres, maintenant je ne souffre plus pour eux, mais cela me fait mal. Je Te le répète, je ne suis pas capable de parler comme mon frère, son coeur est plein d'une grande richesse spirituelle et vous l’inspirez quand il parle. Je ne sais pas parler, j’ai cette grande douleur qui me ronge. Je Te le répète, si l'heure est arrivée, Tu dois le dire, comme Tu nous l’as promis, parce que nous devons nous préparer spirituellement et matériellement. Je ne suis pas bonne, je ne suis pas sainte, j’ai encore des imperfections à corriger, mais Toi, mon Dieu, ne prolonge pas cette agonie si douloureuse, parce que Tu nous fais mal en la prolongeant. Tu nous dis une chose, puis une autre, Tu as dit, que Tu nous dirais la date de ma mort, Tu as dit que Tu préparerais l’Evêque à ce départ, mais rien encore. J’aimerais aller parfaite au Paradis, peut-être que je demande trop ou que c’est impossible.
L’Evêque - Tu es déjà au Paradis, tu es déjà au Paradis. C’est ce que Dieu t’a dit.
Marisa - Non, je le répète: si l'heure est arrivée, dis-le, je t’en prie, dis-le, et nous rentrerons à Rome pour nous préparer et moi, étendue sur ce lit de mort, je serai avec Toi. Moi quand je dis que je désire avoir un cercueil blanc, un vêtement blanc, je le dis parce que j’aime plaisanter, j’aime rire, j’aime me remonter le moral et celui des autres et je fais parfois des mots d’esprit. Je sens en moi cette espèce de serpent qui bouge et me ronge. J’ai assez parlé. Décide-Toi, Mon Dieu, si je dois partir, fais que nous rentrions aussitôt à Rome pour tout préparer. Si je ne dois pas partir et que Tu désires que je reste encore avec les miens, surtout avec mon frère, fais-moi aller un petit peu mieux, un petit peu, je ne dis pas beaucoup, mais un petit peu. Tu avais dit que Tu me donnais l’Eucharistie pour que je ne souffre pas en mangeant, mais je souffre quand même. Je souffre encore plus, la journée d'hier a été terrible et c’est aujourd'hui comme hier. Je n'en peux plus. Je Te demande pardon si je n’ai pas su Te donner tout ce que Tu me demandais, je Te demande pardon, si je n’ai pas su souffrir pour tous, je Te demande pardon, si j’ai refusé de souffrir pour les prêtres; Cela, Tu l’as accepté. Je Te demande pardon, si je ne parviens pas à m'offrir pour cette guerre, mais seulement à prier pour elle. Je Te demande pardon, si j’ai fait souffrir certains de mes jeunes, certains adultes, si j’ai fait souffrir mon frère, je t’en demande pardon. Mon Dieu, je Te demande pardon, si je t’ai fait souffrir. (Tourné vers l’Evêque). Je te demande pardon si je t’ai fait souffrir. Est-ce vrai que je t’ai fait souffrir quelquefois? (L’Evêque fait signe que non) Si Tu nous dis de partir parce que l'heure est arrivée, nous devons partir.
L’Evêque - Qu’il nous le dise.
Marisa - C’est ce que j’ai dit. Nous ne pouvons pas continuer ainsi. Mon Dieu, je ne sais plus quoi Te dire.
( L’Evêque fait appeler les autres)
Marisa - Je t’aime. Mon Dieu, je t’aime, je t’aime, je t’ai tant aimé, je n’ai pas honte à le dire. J’ai tant aimé les hommes, tous les hommes, même ceux qui me faisaient souffrir. Je pensais ne pas savoir aimer, mais je sais aimer. Je sais les aimer tous, je veux les aimer tous, mais il me reste bien peu de temps, je sens que l'heure arrive. Si cette heure est arrivée, mon Dieu, parle à l’Evêque, dis lui: "Partez pour Rome, c’est l'heure de préparer le départ de cette enfant". Si au contraire ce n'est pas encore l'heure, mais que j’ai encore un peu de temps, fais-moi jouir un peu avec mes amis et mon Evêque, fais-moi aller mieux. Tu as dit que si je prenais l’Eucharistie, j’irais mieux, mais je vais toujours mal, mal, mal.
Mon Dieu, mon Papa, je t’aime, comme je les aime tous, même si parfois des mots forts sortent de ma bouche, mais c’est ma façon de parler, même pour plaisanter un peu, remonter un peu le moral. Je Te demande pardon, corrige ces imperfections, et décide-Toi. Prends une décision, mon Dieu, as-tu besoin de tant de temps pour prendre une décision? Si nous devons partir, partons pour tout bien préparer. (Tournée vers l’Evêque) N'est-ce pas? Tu es d’accord. Adieu, mon Dieu, adieu, Mère de l’Eucharistie, adieu, Saint Joseph, adieu, maman, je viendrai bientôt vous retrouver.
J’aimerais vivre dans une situation meilleure que celle-ci, sinon je viens te retrouver et nous serons heureux ensemble, parce que je n'en peux plus ainsi et l’Evêque n'en peut plus non plus, il ne tient plus sur ses pieds, il ne réussit plus à rien faire. Ce n'est pas possible que Tu aies traité tes deux enfants de cette manière pendant trente cinq ans. Nous avons dit oui à tout, je suis fatigué, fatiguée.
(On chante "Je t’aime Seigneur ")
Marisa - Tu vois Jésus, qu’en dépit de tout, nous réussissons à chanter, pleurer, prier et rire, mais nous attendons une réponse. Si je dois mourir d'ici peu, nous devons rentrer à Rome. Tu sais que je ne veux pas mourir ici, je veux mourir à Rome avec les miens. Mais si tu me donnes encore un peu de santé, fais que j’aille un petit peu mieux. Ne me fais pas passer des nuits pareilles, il y a de quoi devenir fou. Et puis tu dois faire dormir l’Evêque, parce que lui aussi ne tient plus sur ses pieds et comment fera-t-il pour m’aider? Je ne suis pas une petite fille, je suis adulte. La Madone dit: reste une enfant. Tu dois nous aider à aller bien, un petit peu, un tout petit peu, je ne demande pas beaucoup, un petit peu, mais retire-moi cette douleur que j’ai là et qui me tourmente. (Tournée vers l’Evêque) Tu nous donnes la bénédiction ?
L’Evêque - Ils ne disent rien?
Marisa - Pas encore.
L’Evêque - Voulons-nous chanter encore un cantique?
Marisa - Non, bénis-nous, cela suffit, je suis fatiguée.
(L’Evêque donne la bénédiction eucharistique à ceux qui sont présents et la Communion à Marisa)
Villetta Barrea (AQ), le 23 juillet 2006 - 13h20 (Lettre de Dieu)
Marisa - La voilà, la voilà. Je te remercie d'être venue. Nous avons tant besoin de toi, de ton aide, de l’aide de Dieu le Père, de Jésus, de l’Esprit Saint, de Saint Joseph et de ma maman. Nous avons besoin d'une réponse très importante, précise et claire. Nous ne pouvons pas continuer ainsi.
La Madone - Marisella, je prends la parole en m'unissant à toutes les prières que l’Evêque a formulées hier soir, cette nuit et ce matin et avec lesquelles vous vous êtes adressés à Dieu en tant que ses enfants; vous êtes des enfants de Dieu. Ton départ arrive, mais il n’aura pas lieu ces jours-ci. Vous avez encore un peu de temps à passer ensemble, à vous réjouir et à prier. Je sais que la souffrance est grande.
Tu as d’abord dit que tu te sens imparfaite et la Maman te demande: en quoi? Tu ne saurais pas me répondre. La réponse de Dieu est donc que le départ arrive, mais que vous aurez encore du temps, peu naturellement, pour être ensemble. Ceci ne doit pas vous affliger, cela doit vous consoler. Vous devez vous dire que votre soeur finira finalement de souffrir et que lorsqu’elle sera au Ciel avec Nous, elle priera pour vous. Elle priera aussi pour vos êtres chers, vos amis, parents, enfants qui ne croient pas et qui arriveront à croire. Vous devez accepter le départ de votre soeur, parce qu’elle doit finir de souffrir.
Je vous dis qu’elle n’a pas demandé à souffrir pour que la guerre cesse, mais seulement à prier, elle ne demande plus de souffrances, elle ne peut plus prendre sur elle les maladies de ceux qui vont mal, elle peut seulement prier, vous aussi, vous devez prier pour elle. Priez afin que Dieu lui donne la force ainsi qu'à l’Evêque de tout accepter jusqu'à la fin. Quand j’emporterai Marisella au Paradis, vous devrez faire une cérémonie plus belle que celle d'un Mariage, d'une Première Communion, de la Confirmation, et du Baptême. Vous devrez faire une très grande cérémonie aux yeux des hommes, aux yeux de tout le Paradis et vous devrez être heureux. Marisella, je sais que tu souffres énormément que tu sens ce serpent qui te ronge. Oui, c’est vrai que le mal qui est en toi te ronge, te consume, t'épuise, mais vois-tu, tu iras mieux d'ici peu, tu pourras te reposer. La douleur a diminué et tu le dois aux prières de Son Excellence et des amis présents.
Courage, avance dans la grâce de Dieu. Ne vous en prenez pas à Dieu, Il n'y est pour rien, c’est la vie naturelle du monde. Soyez bons, acceptez cette souffrance de Marisella, acceptez son départ, son ascension vers le Père, parce que ce sera également un bien pour vous. Marisella, j’aimerais t’appeler Miriam et de tous les noms que je te donnais quand tu étais petite, mais laissons cela, je te donne la force d’accepter et de continuer, ensemble avec Son Excellence, votre saint Evêque. Je le répète à nouveau, pour être déclaré saint par Dieu, il ne faut ni témoignages, ni procès de canonisation, ni mettre les tapisseries à Saint Pierre. Pour Dieu, votre Evêque est saint et Marisella est sainte.
Dieu vous bénit tous, Dieu vous aide tous, Dieu vous aime et toi, Marisella, tu l’aimes, je le sais. Acceptez tout. Vous voyez que maintenant il n'y a plus le problème de la nourriture qui a créé avant une discussion permanente. Elle prend Jésus et vivra pour Jésus tout le temps qui lui reste à vivre. Merci de vos prières.
Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, vos parents et vos enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Excellence, s’il te plaît, plus de larmes.
Marisa - Adieu.
Elle est partie.
L’Evêque - Pour toi, ton monde approche et quand tu seras là-haut, tu seras très puissante.
Marisa - Très puissante?
L’Evêque - Tu convertiras beaucoup d’autres personnes.
Mais je ne comprends pas: ils pleurent toujours et je ne peux pas laisser libre cours à ma douleur?
Villetta Barrea (AQ), le 25 juillet 2006 - 0h40 (Lettre de Dieu)
La Madone - Deux démons, grands, forts et féroces ont effrayé votre soeur et sont prêts à revenir pour lui faire du mal. Ils sont jaloux d’elle plus que jamais, parce qu’ils savent qu’elle leur enlèvera beaucoup d'âmes.
Quand elle montera au Paradis, elle emmènera avec elle les âmes du Purgatoire choisies par Dieu. La grande frayeur qu’elle a eue aujourd'hui, pauvre créature, lui a rappelé celle qu’elle a eu enfant et qui s'est renouvelée aujourd'hui d'une manière très impressionnante et brutale. Les démons ont essayé de la tuer en la terrorisant. Monseigneur, ne la laisse pas seule. Je sais que tu as beaucoup à faire, mais ne la laisse pas seule. Mets une petite chaire d'or dans sa chambre et travaille à côté d’elle. Je sais que je te demande beaucoup, mais si Dieu n'intervient pas jusqu'à sa mort, elle a besoin de ton aide. Toi aussi, Chiara, quand tu travailles, ne fais pas tant de bruit et surveille l'état de Marisella, afin de voir si elle a besoin d’aide. Aide aussi l’Evêque, parce qu’il ne peut pas faire tout tout seul. Ce qui s'est passé a été terrible, mais nous l’avons aidée et sauvée. Je répète que ce genre de situations terribles et ces méchancetés se répèteront encore. Les démons essaieront de transpercer son corps et son âme, mais elle est de Dieu et ils ne peuvent pas faire ce qu’ils veulent.
Marisella, sois forte et courageuse, plaisante, ris, fais des mots d’esprit, comme tu sais le faire, et continue. Excellence, tu ne dois pas te faire plus de soucis qu’il ne faut. Si tu le peux, fais ce que je t’ai dit, fais-le. Si tu ne le peux pas, envoie quelqu’un auprès d’elle qui vit en état de grâce.
Vous ne pouvez pas vous imaginer comme ce qui s'est passé a été brutal et épouvantable, il s'est passé quelque chose de quoi épouvanter le monde entier. Je le répète, d’autres actes diaboliques seront encore perpétrés contre elle, parce qu’elle est maintenant de Dieu et ils ne le veulent pas. Dieu lui a donné la permission d’emporter au Paradis des âmes du Purgatoire et cela ils ne le veulent pas; c’est pourquoi ils essaieront encore par tous les moyens de la tuer, mais cela n’arrivera pas, soyez tranquilles. Elle souffrira, elle souffrira beaucoup, mais rien n’arrivera qui puisse la tuer. Je vous demande à tous d'être courageux. Je ne voulais pas vous parler de ce qui est arrivé aujourd'hui, j’ai attendu toute la journée et puis finalement, j’ai dit à Marisella: "Marisella, parlons en ce soir, vous dormirez ainsi la nuit". Je vois que Monseigneur est très fatigué, Chiara aussi, mais toi, Marisella, qui a été la plus mal de tous, c’est toi la plus gaie.
Jésus, la Mère de l’Eucharistie, grand-mère Iolanda et tous les anges et les Saints t’aideront et te remercient. Je sais que tu as très faim maintenant. Prends toute l’Eucharistie, tu verras que ta douleur à l'estomac passera. Je sais que Dieu t’a donné une souffrance qui n'est pas rien. Les autres sont heureux que tu ne manges pas, ne boives pas et tu devrais être aussi heureuse, parce que tu souffres beaucoup moins.
Marisa - Mais je souffre maintenant, j’ai souffert hier. Quel est le jour où je n’ai pas souffert? Ce fameux 8 juillet. Aidez-moi, je vous en prie, j’en ai tant besoin. J’ai besoin de votre aide. Vous êtes si nombreux, aidez moi et l’Evêque.
La Madone - Le Paradis ouvre toute la création pour vous faire monter. Comme vous avez vu les enfants jouer avec les fleurs, dans une si belle harmonie, vous devez faire de même. Chantez, priez, louez Dieu, même si, parfois, vous pensez que Dieu vous a fait beaucoup souffrir. Il faut faire Sa volonté et continuer.
Adieu à tous. Adieu, Marisella, je vous souhaite à tous une bonne nuit.
Ensemble avec mon et saint Evêque, je vous bénis, mes enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Souvenez-vous des enfants, des fleurs et des chants.
Marisa - Est-ce que je dois jouer comme les enfants?
La Madone - Marisella, tu es comme les enfants.
Marisa - Ne me fais pas honte.
La Madone - Je t’ai dit d’autres fois, reste comme tu es, parce que tu nous plais ainsi. A ceux qui ne te respectent pas, ne t’aiment pas, fais un sourire, cueille même une fleur et offre leur.
Marisa - Et avec quelles jambes?
La Madone - Ne t’inquiète pas. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.
Marisa - Bonjour, maman.
Grand-mère Iolanda - Donne ce baiser à son Excellence (elle envoie un baiser).
Marisa - Je sais que tu penses beaucoup à lui. Alors, si tu penses beaucoup à lui, aide-le. Il est fatigué, fatigué, je vois qu’il est très fatigué.
Grand-mère Iolanda - Ne t’inquiète pas.
Marisa - Comment ne pas m’inquiéter, quand je vois que mon frère est fatigué?
Grand-mère Iolanda - Ne t’inquiète pas.
Marisa - C’est bon. Adieu à tous.
Ils sont partis.
Villetta Barrea (AQ), le 26 juillet 2006 - 0h40 (Lettre de Dieu)
Marisa - Puis-je parler avant toi, ma petite Madone?
La Madone - Oui.
Marisa - Merci. J’aimerais comprendre ce qui s'est passé ce soir, je t’en prie, même si ce que tu dois me dire n'est pas beau, dis-moi, ce qui s'est passé. Qu’est-ce qui s'est passé dans mon corps? Il n'y a que ça que j’aimerais savoir pour ma tranquillité et te demander ensuite de me faire reposer et de faire se reposer Son Excellence et ceux qui sont avec nous. Dis-moi ce qui s'est passé, parce que je deviens folle, je perds la tête ce soir.
La Madone - Marisella, tu ne te souviens pas que je t’ai dit hier que le démon t’attaquerait par tous les moyens et il t’a attaquée en te faisant manger deux feuilles de salade empoisonnées.
Marisa - Mais pourquoi ne me l’as-tu pas dit avant?
La Madone -Le démon est puissant, très puissant et ceux qui t’ont attaquée sont les plus puissants qui existent. C’est lui qui a essayé de te brûler l'estomac, de te faire mal. Je t’ai dit et je le dis aussi à Son Excellence, vous devez être vigilants, c’est le moment le plus terrible de ta vie, mon enfant. Le démon te tente par tous les moyens, il ne te touche pas parce que tu as l’Eucharistie, mais il fait d’autres choses, bien plus fortes, bien plus graves. Tu étais fatiguée et tu n’as pas compris quand je t’ai dit: "Laisse la nourriture "
Marisa - Je n’ai pas compris, je n’ai pas compris, j’ai seulement remarqué que la salade était très amère, j’ai encore maintenant un goût très amer dans la bouche.
La Madone - Eh bien, je te le répète, mon enfant, les démons t’assiègent. Si l’un s'en va, il en vient un autre, si deux s'en vont, il en vient trois, si trois s'en vont, il en vient quatre, parce qu’ils veulent te détruire, te tuer, c’est pourquoi je t’ai dit: "Ne reste jamais seule", il suffit qu’une personne, en état de grâce naturellement, soit près de toi.
L’Evêque - Ma j'y étais.
Marisa - Mais quand tout cela s'est-il passé? Quand, toi, Excellence, tu te reposais cet après-midi.
La Madone - C’est justement parce que l’Evêque se reposait, qu’ils ont abusé de toi, t’ont donné à manger et tu as mangé.
Marisa - Mais je croyais que c'était toi qui me le disait.
La Madone - Non, Marisella, tu sais que tu dois vivre de l’Eucharistie, je ne pouvais pas te le dire.
Marisa - Mais alors pourquoi ne m’as-tu pas secouée, empêché de manger? J’ai mal, je deviens folle avec toutes ces douleurs, je n'en peux plus de vivre ainsi et ce sera l’Evêque après moi. Cela je ne le permets pas, je ne le veux pas, je t’en prie, sauve au moins l’Evêque, sauve-le, sauve-le.
La Madone - Sois vigilante à partir de maintenant, parce que le démon pourra se présenter sous l’aspect d'un homme ou d'une femme. Tu te souviens quand il s'est présenté portant mes vêtements, mais que son visage était laid? Je te répète que tu dois rester vigilante, parce que le démon peut aussi se cacher sous les traits d'un homme ou d'une femme qui peut te faire du mal. Les démons qui veulent te terroriser et te tuer sont fort nombreux. Ne reste jamais seule, sois toujours avec quelqu’un qui vit en état de grâce. Marisella, écoute la Maman, fais comme je te dis, prie, souffre et offre tes souffrances et n'écoute personne, écoute seulement l’Evêque. Excellence, aide cette enfant.
L’Evêque - Je suis prêt à l’aider, mais je suis dans une confusion totale, je ne comprends plus rien. Tu as vu: je priais et je me suis endormi. Que dois-je faire, veiller vingt quatre heures sur vingt quatre? Rester toujours éveillé? Que dois-je faire?
La Madone - Non, non, quand tu dormiras, je viendrai et je serai ici avec elle.
L’Evêque - Et aujourd'hui pourquoi n'étais-tu pas là, excuse-moi.
La Madone - Je suis venue deux fois aujourd'hui, je ne pensais pas qu’une telle chose arriverait. Même moi, quand je suis sur la Terre, je suis une femme comme vous, j’agis comme vous et je n’aurais jamais pensé qu’en dépit de ma présence, le démon aurait tenté de l'empoisonner.
L’Evêque - Pardonne-moi, Maman du Ciel, il est possible que je ne comprenne plus rien, mais ne pouvais-tu pas me réveiller, me faire comprendre la tromperie que préparait le démon? Qu’est qui se passe ici?
La Madone - Je t’ai déjà dit que quand je suis sur la Terre, je suis moi aussi une femme comme les autres.
L’Evêque - Et alors qui peut nous défendre?
La Madone - Si j’avais compris les intentions du démon à son égard, je t’aurais réveillé et t’aurais dit: "Sors de ton lit et va chez ta soeur".
Marisa - I'Evêque prie beaucoup, beaucoup, beaucoup, il a toujours le rosaire dans ses mains, il est toujours prêt à prier. Petite Madone, fais-nous comprendre encore quelque chose, parce que nous en sommes réduits à la dernière extrémité. Moi aussi, je ne comprends rien, j’ai la tête qui bourdonne et tourne, l’Evêque souffre du même état. Pourquoi nous avez-vous réduit à cet état ? Dieu ne peut-il pas intervenir?
La Madone - Je ne dis rien d’autre, mon enfant, mais à partir de ce soir, toi et l’Evêque vous attacherez le rosaire à votre bras et resterez toujours ensemble, à moins que l’Evêque ait des tâches à accomplir, dans ce cas il y aura Chiara ou quelqu’un d’autre dans la grâce de Dieu auprès de toi. Moi, en tant que maman, je vous demande pardon de ne pas avoir été capable de comprendre la tromperie diabolique. En tant que femme de la Terre, moi aussi je n’ai pas compris ce qui se passait. Pardonnez-moi, mes enfants.
L’Evêque - Mais Dieu ne pouvait-il pas te le faire comprendre?
La Madone - Si, mais il n’a rien dit.
L’Evêque - Pourquoi?
La Madone - Chiara, je te remercie de ce que tu fais pour Marisella. Reste auprès d’elle. Ne la laisse jamais seule, le temps presse.
L’Evêque - Ma petite Madone, tu sais que je suis toujours près d’elle et même aujourd'hui quand un jeune m’a dit de faire deux pas, je lui ai répondu: "Non, je suis fatigué", mais la vérité est que je voulais rester près de Marisa.
La Madone - Je t’en prie, Excellence, je t’en prie, sois fort comme tu l’as toujours été.
L’Evêque - Peux-tu nous débarrasser de ce cauchemar diabolique?
La Madone - Ne t’effondre pas, Claudio, ne t’effondre pas, mon fils.
L’Evêque - Je ne m'effondre pas, je ne m'effondre pas. Mon Dieu, je m’adresse à Toi. Mon Dieu, pourquoi permets-Tu qu’il nous arrive ce qui n'est jamais arrivé à personne? Pourquoi cela nous arrive-t-il dans un moment déjà aussi dur? Père, je m’adresse directement à Toi, sans passer par la Madone. Pourquoi arrive-t-il ici quelque chose qui nous détruit? Mon Dieu, veux-Tu notre destruction? Père Céleste, veux-Tu nous voir finis?
Dieu le Père - Jamais, jamais, mon fils.
L’Evêque - Mon Dieu, j’ai tant prié, parce que je pressentais qu’il se passerait quelque chose de terrible. J’ai prié nos anges gardiens, Ismaele et Gioele, pour qu’ils nous défendent, mais personne ne nous a défendus.
Dieu le Père - Ils vous ont tous défendus, sinon Marisella ne serait plus ici à cette heure et tu n’aurais pu faire la belle cérémonie que tu as faite. Elle est encore avec toi. N'es-tu pas heureux qu’elle soit encore avec toi?
L’Evêque - Si, mon Dieu, mais à quel prix!
Dieu le Père - Alors, tu veux que je l'emporte?
L’Evêque - Non. Nous devons d’abord rentrer à Rome, pas maintenant, mon Dieu. Je t’en prie, je t’en supplie, Tu es Tout-puissant. Je sais que les démons en veulent à mort à ma soeur à cause du bien qu’elle a fait, et des conversions qu’elle a obtenues avec ses souffrances. En la détruisant, ils savent qu’ils me détruisent aussi. Je t’en prie, je t’en supplie, mon Dieu, envoie Tes anges, qu’ils nous servent de rempart contre ces démons. Je lutterai, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour les éloigner. Je sais que c’est le dernier combat et que nous vaincrons contre les démons parce que Tu es avec nous. Mais je me permets de dire, que cela me bouleverse d’entendre parler la Madone comme elle l’a fait aujourd'hui. Mon Dieu, tu m'entends?
Dieu le Père - Oui, je t'écoute.
Marisa - Mon Dieu, mon Père, ne m’abandonne pas en ce moment. Où es-tu? Où es-tu, papa? Fais que cette douleur si atroce s’apaise, que je puisse me reposer et recommencer demain une vie difficile, mais pleine d’amour pour sauver d’autres âmes. Dieu, mon Dieu, mon Père, ne nous abandonne pas, je t’en prie, nous avons besoin de Ton aide. Nous n’avons maintenant qu’une jeune fille qui nous aide. Peux-Tu nous envoyer une autre personne pour nous aider? Mais qui soit bonne, qui nous aime vraiment.
Dieu le Père - Ne pense pas à cela maintenant, reste encore un peu ici, puis va te coucher et attache le rosaire à ton bras.
L’Evêque - Je sais que je dois également attacher le rosaire à mon bras.
Marisa - Nous aimes-Tu, mon Dieu? Aies un peu de bonté, un peu de pitié, un peu de compassion pour nous. Comment vas-tu maman? Vas-tu bien? Pourquoi ne me fais-tu pas aller bien un petit peu? Je vis de l’Eucharistie, je ne mange rien. Ce soir les démons m'ont mis dans cet état, mais si Tu le veux, Tu peux m’aider et me faire aller mieux. Peux-Tu me faire aller mieux? Peux-Tu me faire reposer? Si je pouvais vomir, me libérer de ces vers, de ces animaux que j’ai en moi, je serais heureuse avec toi, Dieu, avec toi, Marie et avec mon frère.
La Madone - Adieu, mes enfants, je vous souhaite une bonne nuit et vous aide autant que je peux. Si les démons se présentent à nouveau, vous devez être forts et vous accrochez au rosaire et si tu devais vomir, mon enfant, ne t’inquiète pas, parce que les vers sortiront et tu te sentiras mieux.
Marisa - Pouvons-nous vous dire bonne nuit? Jésus, bonne nuit, mon Dieu, bonne nuit. Soyez un peu compatissant envers nous, je vous en prie. Adieu. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.
Marisa - As-tu compris ce qui s'est passé?
L’Evêque - J’ai compris, Marisella, ce qui s'est passé.
Marisa - Que dois-je faire? Je ne comprends plus rien.
L’Evêque - Nous t’aiderons.
Villetta Barrea (AQ), le 26 juillet 2006 - 14h50 (Lettre de Dieu)
Marisa -Don Claudio a été suspendu a divinis, parce qu’il a seulement célébré une Sainte Messe dans le lieu thaumaturgique. Puis, parce qu’il a été ordonné Evêque par Dieu, il a été réduit à l´état laïc. L’Evêque a toujours souffert et continue à souffrir. Vous m’avez fait prendre l’Eucharistie à la place de nourriture et je vais encore plus mal, même si j’ai dit à l’Evêque que j’allais mieux, ce n'était pas vrai. J’ai dit que j’avais dormi toute la nuit, mais ce n'était pas vrai.
Mon Dieu, que veux-Tu de nous? Où es-Tu, où Te caches-Tu? A quoi le sacerdoce lui a-t-il servi, s’ils lui ont ensuite interdit de célébrer la Sainte Messe? A quoi lui a servi d'être ordonné Evêque par Toi, mon Dieu? A souffrir, à être humilié et condamné? Combien de calomnies et de diffamations contre l’Evêque! Je Te le répète: A quoi cela a t-il servi de me nourrir de l’Eucharistie, si je suis mal ensuite? De plus, les démons nous tourmentent. Chasse-les. Ils font des choses horribles, épouvantables, écoeurantes. Chasse-les. Pardonne-moi, mon Dieu, mais je suis fâchée après Toi. Pourquoi m’as-Tu donné le don de me nourrir de l’Eucharistie? Pour faire plaisir à l’Evêque? Mais je vais très mal. Pense à tout ce que Tu nous a enlevé. Nous avons seulement souffert. Je Te demande pardon, mais je sens le besoin de Te dire ce que je pense. Et toi, Marie, Mère de l’Eucharistie, pourquoi ne nous aides-tu plus comme autrefois? Et toi, maman, que fais-tu dans le ciel? Pourquoi ne viens-tu pas nous aider?
Grand-mère Iolanda - Mes enfants, je suis avec vous, mais je suis une simple créature de Dieu, je ne suis pas importante comme vous le pensez.
Marisa - Maman, maman, tu es importante, pour nous au moins. Aide-nous, petite maman, je t’en prie, aide-nous ou emporte-nous, dis à Dieu de nous emporter, parce que la souffrance est si grande. Je vous demande seulement d’aider l’Evêque, quand je ne serai plus là. Aide-le, maman, je te le demande, aide ton fils, Petite Madone, aide-le. Mon Dieu, je ne sais pas où Tu t’es caché, mais si Tu le veux, aide l’Evêque. Tu l’as ordonné, mais Tu l’as conduit à une souffrance énorme. Pardonne-moi ce que j’ai dit; si je mérite Ta bénédiction, donne-la moi, si je ne la mérite pas, ne me la donne pas, de toute façon mes pensées à ton égard restent les mêmes. Mon amour pour Toi, mon Dieu, est très grand, mais je me sens morte à présent.
Dieu le Père - Marisella, Je suis Dieu. Je t’ai aidée et tu ne t’en es jamais rendue compte. Oui, c’est vrai que beaucoup de démons tournent autour de toi et cherchent par tous les moyens à te faire mourir, pour que tu n'emportes pas au Paradis les âmes du Purgatoire, mais ils n'y sont pas parvenus jusqu'à présent. Seul Moi sait quelles âmes monteront au Ciel, puis je te le dirai aussi et tu y monteras avec elle. Excellence, ton Papa n’a pratiquement pas le courage de te dire courage.
L’Evêque - Mon Dieu, je n’ai plus ni force ni courage.
Dieu le Père - Je te dis courage. Vous devez avoir beaucoup de courage, parce que vous êtes fortement malmenés par les hommes et les démons. Mais maintenant, je t’en prie, fais-le pour ta soeur, va manger quelque chose pour reprendre des forces, sinon tu vas t’affaiblir.
L’Evêque - Et elle?
Dieu le Père - A elle je dis de recommencer à manger un petit peu.
Marisa - Mon Dieu, je t’ai dit: Tu m’as donné l’Eucharistie pour que j’aille mieux, et tous étaient heureux, mais j’ai souffert et je souffre toujours, mais fais comme Tu veux, ce que Tu veux. Dois-je prendre l’Eucharistie? Je prendrai l’Eucharistie. Dois-je prendre un peu de nourriture? j’en prendrai.
L’Evêque - Papa, dis-le nous clairement.
Dieu le Père - J’ai dit: Marisella, tu peux manger un petit peu.
L’Evêque - Quoi?
Dieu le Père - Quelque chose. Ou elle ne prend que l’Eucharistie, ou l’Eucharistie et un peu de nourriture.
L’Evêque - Qu’est-ce qui est le mieux?
Marisa - Si l'estomac est aussi très malade avec l’Eucharistie, je ne veux pas manger, parce que je n’ai pas faim. Je ne comprends pas pourquoi Tu me donnes l’Eucharistie pour me faire aller mieux et c’est pire au contraire, je ne parviens pas à l’accepter. Même quand nous avons mis l’Eucharistie dans de l'eau, afin que je puisse la boire sans risque, j’ai été malade, cela je ne parviens pas à l’accepter, mon Dieu, mais que Ta volonté soit faite.
Dieu le Père - Attends encore un peu, parce que tu dois agir en secret des démons. Prends l’Eucharistie et nous verrons comment cela ira.
L’Evêque - Mon Dieu, pourquoi ne les chasses-Tu pas? Tu es Dieu Tu me réponds?
Dieu le Père - Je suis Dieu, mais cette créature doit s’immoler jusqu'à la fin pour sauver les âmes.
L’Evêque - Mais nous ne pouvons plus vivre ainsi.
Marisa - Donne moi toute la souffrance, soulage l’Evêque et donne-lui des forces. Il m’a toujours aidée, il a toujours été fort, mais maintenant je le vois dans un état où il n'en peut plus. Nous sommes deux, il ne peut pas me voir dans cet état, et je ne peux pas le voir dans cet état, et Toi que fais-Tu mon Dieu? Tu Te caches?
Dieu le Père - Je suis parmi vous. Si je vous ai demandé, à toi spécialement, Marisella, cette autre épreuve, c’est pour sauver beaucoup d'âmes.
Marisa - Et je n’ai pas besoin d'être sauvée, quand je t’ai dit que je vais très mal à me nourrir seulement de l’Eucharistie? Pardonne-moi ma hardiesse.
Dieu le Père - Non je ne suis pas offensé, je sais que cela ne vient pas du coeur.
L’Evêque - Mon Dieu, nous avons plus d'un mois devant nous, je ne peux plus vivre dans ces conditions.
Marisa - Réponds lui. Il n'en peut plus. Veux-Tu nous aider? Même si je suis mal, donne-lui des forces. J’ai compris maintenant que je garderai mes douleurs, mais ce qui me tue, c’est de savoir que tous pensent, même les neveux, qu’en me nourrissant seulement de l’Eucharistie, j’irai bien et tous étaient heureux, mais ils ne savaient pas au contraire que je souffrais et je ne pouvais pas non plus leur dire.
Dieu le Père - Trésors de Dieu, avancez avec foi et amour. Moi, Dieu, je suis avec vous et je ne vous abandonnerai jamais.
Villetta Barrea (AQ), le 26 juillet 2006 - 22h55 (Lettre de Dieu)
Dieu le Père - Excellence, mon fils, trésor de Dieu, tu t’es immolé pour la conversion des prêtres, en particulier pour celle des prélats de haut rang. Souviens-toi que Je décide de tout et que seulement Moi peux décider si tu peux me voir ou ne pas me voir, tant que tu es en vie. Tu ne peux pas dire: "Quand j’accompagnerai Marisella au Paradis, lors de son départ, je ne verrai pas Dieu".
L’Evêque - Merci, Papa.
Dieu le Père - Je ne parle plus. Parce que si tu devais parler encore
L’Evêque - Non parle, parle, cela me fait plaisir, mon Dieu que Tu parles.
Marisa - Cela te fait plaisir, mais pas à moi, Marisa.
L’Evêque - Pourquoi?
Marisa - Parce que je suis fatiguée et je n’ai pas la force de m'entretenir avec Dieu.
L’Evêque - Alors, abandonnons.
Dieu le Père - Mon fils, tu dois m'écouter.
L’Evêque - Dis-moi, mon Dieu, mon Papa.
Dieu le Père - Tu ne dois rien dire, c’est Moi, Dieu, qui décide de tout. Comme tu le vois, c’est à Moi de décider pour Marisella. Vous les hommes, vous ne pouvez pas changer ce que Je dis ou fais.
L’Evêque - Il ne manquerait plus que cela.
Dieu le Père - Qu’en sais-tu, si tu me verras ou non, quand tu accompagneras ta soeur au Paradis? Tu dois seulement faire ce que Je te dis de faire et si Moi, Dieu, je veux t’emporter au ciel, qui es-tu pour dire non?
L’Evêque - Mais je viens volontiers, et comment.
Dieu le Père - Moi, Dieu je ne plaisante pas.
L’Evêque - Je le sais, Seigneur.
Dieu le Père - Ne dis pas et comment, parce que
L’Evêque - Il est possible que je ne m'exprime pas bien ce soir, mais il est logique que mon grand désir soit de toujours faire Ta volonté.
Dieu le Père - La grande souffrance est celle de ta soeur
L’Evêque - Oui, c’est vrai.
Dieu le Père - Cela ne veut pas dire que tu sois moins saint ou plus saint qu’elle. Laisse Dieu décider, Je suis Dieu, Je suis ton Papa. As-tu bien compris?
L’Evêque - J’ai parfaitement compris.
Dieu le Père - Alors?
L’Evêque - Merci, mon Dieu, mon Papa.
Marisa - Tu dis maintenant merci parce qu’il nous a dit tout ça?
L’Evêque - Cela te parait peu?
Marisa - Dieu nous sourit.
La Madone - Moi, la Mère de l’Eucharistie, Saint Joseph et tous les anges et les Saints du Paradis, nous sommes ici présents avec vous. Mes petits enfants, vous ne devez pas avoir peur. Oui, je connais les démons, ils sont puissants, féroces, méchants et peuvent vous faire du mal. Mais tant que tu auras Jésus, moi, l’Evêque et ceux à côté de toi qui prient, tu seras aidée, ma fille.
Marisa - Je suis sûre que vous m’aidez, mais n'oublie pas que je suis très peureuse. Je ne peux pas oublier ce jour horrible, ce feu horrible, comme je ne peux pas oublier qu’ils m'ont fait manger du poison. Maintenant j’ai peur, j’ai très peur. Si du devais me dire à un certain moment de manger, je ne mangerais pas, parce que j’ai peur de manger, peur de boire, peur de tout. J’aimerais, Seigneur et toi petite Madone, que vous m’aidiez à supporter la souffrance, parce que mon corps est martyrisé de partout et je n’ai plus la force de supporter toute cette souffrance. J’ai posé une question à Dieu et j’attends sa réponse. Je ferai ce qu’il décidera, mais c’est dur de vivre pour moi, très dur. Je désirerais maintenant savoir si tante Anna est au Paradis avec grand-mère et maman.
La Madone - Marisella, ta tante Anna est au Paradis depuis des années. Tu ne te souviens pas quand tu l’appelais petite Madone? Tu as souvent parlé avec elle. Bien sûr au Paradis, c’est grand-mère Iolanda qui trône, mais il y aussi tante Anna, dont c’est la fête aujourd'hui, parce que c’est la fête de Sainte Anne et de Saint Joachim, mes parents.
Marisa - Donc, maman, en plus de sa maman, ma grand-mère, il y a aussi sa soeur.
La Madone -Ta tante Anna est montée au Paradis avant grand-mère Iolanda, cela fait quarante ans qu’elle est morte, trésor.
Marisa - Me donneras-tu la réponse que j’attends de Dieu si anxieusement? Je me ne soucie pas de savoir si ce sera oui ou non, pourvu que j’aie sa réponse et je ferai la volonté de Dieu. De toute façon, combien de temps me reste-t-il à vivre? Si vous le voulez, vous pouvez me donner un peu de joie pour le peu de temps qu’il me reste à vivre.
Ecoute, Jésus, Dieu est-t-il parti dormir? Il ne va pas chez Son Excellence?
Jésus - N'exagérons pas maintenant, nous ne dormons pas, nous chantons, prions, sommes tous unis dans l’amour, la charité, la prière, tous ensemble avec Dieu. Quand tu vois une belle fleur, c’est Dieu, quand tu vois une étoile lumineuse, comme il y a quelques jours, c’est Dieu. Tant que tu vivras sur la Terre, tu verras Dieu sous la forme d'une fleur ou d'une étoile, puis quand tu monteras au Paradis tu le verras, tel qu’il est, ta joie sera alors grande et belle.
Courage, Marisella, sois forte et accepte cette souffrance si grande, sois torturée dans tout ton corps, tu es Martyre de l’Eucharistie.
Marisa - C’est bon, je le demanderai ensuite à mon frère l’Evêque, parce que je ne me souviens jamais des choses.
Jésus - C’est bon, continuez maintenant à faire la sérénade à Marie, puis tu prendras des comprimés pour dormir.
Marisa - Me ferez-vous dormir un peu?
Jésus - Pas toute la nuit, naturellement, tu dormiras un petit peu.
Marisa - Merci.
L’Evêque - Jésus, pouvons-nous veiller à tour de rôle et faire reposer Marisella?
Jésus - Pas les autres, parce qu’ils travaillent dur du matin au soir.
L’Evêque - Je veillerai.
Jésus - Pas toi, parce que tu dois vaquer à beaucoup de tâches, tu dois aider ta soeur, tu dois écrire et faire ton travail. Marisella veillera pour tous. Soyez heureux et obéissants tous tant que vous êtes.
La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis et vos êtres chers. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Il y a aussi tante Anna. Adieu, adieu à tous, dites bonjour à Dieu de ma part.
Villetta Barrea (AQ), le 27 juillet 2006 - 21h27 (Lettre de Dieu)
La Madone -Me voici, Marisella. C’est moi la Mère de l’Eucharistie, et grand-mère Iolanda m’accompagne. Dieu donnera sa réponse à l’Evêque, mais je ne sais pas quand. La seule chose venant de moi est de te conseiller de manger des haricots verts que tu peux même assaisonner.
Marisa - Je ne connais pas les haricots verts.
L’Evêque - Peux-tu manger des haricots verts?
Marisa - Je les connais?
L’Evêque - Ce sont ceux que tu as dit d’assaisonner. Peux-tu les manger?
La Madone - Oui, ce soir.
L’Evêque - Est-ce toi, petite Madone, ou quelqu’un d’autre?
Marisa - C’est la Madone. Qu’est-ce que cela veut dire?
L’Evêque - Est-ce la Mère de l’Eucharistie?
Marisa - C’est la Madone. Oui, elle est très belle, maman est belle aussi.
La Madone - Ce soir et tous les jours, je te dirai quoi manger en fonction de ton état. Si tu n’avais pas ce creux à l'estomac comme aujourd'hui, tu prendrais seulement l’Eucharistie, sinon tu mangeras un peu. Mange ce soir deux haricots verts.
Marisa - Mais je ne les aime pas.
La Madone - Assaisonne les comme tu as dit et tu verras que tu les aimeras, si l’Evêque le permet.
L’Evêque - Oh oui, oui, oui!
Marisa - Qu’est-ce que l’Evêque a à voir avec ça, c’est Dieu qui décide.
La Madone - Non, trésor, ce conseil vient de la Maman. C’est moi, la Mère de l’Eucharistie, qui te dis de manger des haricots verts, tard dans la soirée. Sais-tu pourquoi je te le dis? C’est parce que tu ne les aimes pas. Tu les manges et tu fais ainsi pénitence.
Marisa - Mais tu es rusée! Attends, Don Claudio, sais-tu ce qu’elle a dit?
L’Evêque - J’ai entendu. Demande-lui pourquoi tu as eu toujours faim aujourd'hui, bien que tu aies reçu plusieurs fois l’Eucharistie.
Marisa - Pourquoi ai-je eu toujours faim aujourd'hui, alors que j’ai pris l’Eucharistie?
La Madone - C’est Dieu qui l’a permis. Quand il arrive des situations particulières, importantes, c’est à Dieu, seulement à Lui, de décider, et tu as été très bonne, parce que tu as gardé confiance jusqu'à la fin, tu as accepté de faire la volonté de Dieu, tu as obéi à Dieu jusqu'à la fin. Manger des haricots verts est pour toi un sacrifice, donc tu mangeras des haricots verts, quand tu le pourras.
Marisa - Mais pourquoi?
La Madone - C’est un sacrifice parce que tu ne les aimes pas, c’est une pénitence parce que tu ne les aimes pas.
L’Evêque - Il suffit qu’ils ne te fassent pas mal.
Marisa - Je ne comprends plus rien.
La Madone - Ne t’inquiète pas, l’Evêque a fort bien compris.
Marisa -Ecoute, mais puisque je ne les aime pas, est-ce qu’ils ne me feront pas mal?
La Madone - Non, si je te le dis de les manger. Tu dois faire la pénitence, la mortification et le sacrifice. Tu ne les aimes pas? Tu les manges. Si tu aimes un aliment délicieux, celui dont nous avons parlé aujourd'hui? Tu n'en manges pas. Comprends-moi, tu manges un peu de haricots verts et tu fais en même temps le sacrifice, la pénitence et la mortification qui ont pour Dieu une valeur énorme. Tu auras après l’Eucharistie, trésor. Ne t’inquiète pas si tu devais encore souffrir de la faim, parce que Dieu me dira que faire, j'obéirai à Dieu et tu m'obéiras. Es-tu contente?
Marisa - Oui, oui. Je suis contente, il suffit qu’ils ne me fassent pas mal, mais pour manger deux haricots verts, je dois faire pénitence, une mortification, un sacrifice, et s’ils sont mal préparés, le sacrifice est double.
La Madone - Non, tu les assaisonnes toute seule, comme tu l’as fait les autres fois.
Marisa - Dis-moi la vérité, puis-je vraiment en manger? Parce que je souffre, mais je ne veux pas désobéir à Dieu, par charité, j’ai toujours obéi à Dieu, je ne veux pas lui désobéir. Puis-je vraiment en manger?
La Madone - Marisella, je suis ta Maman, tu ne penses pas que je te dise une chose pour une autre?
Marisa - Non, mais ces derniers temps, il y a eu un tel flot de paroles et je n’ai plus rien compris. Est-ce que c’est bien ce que je lui ai dit?
L’Evêque - Oui, tu es bonne.
Marisa - Bonne? Tu es bon.
L’Evêque - Non, tu es bonne.
Marisa - Si je suis bonne, tu es (elle s’adresse à a Madone)
L’Evêque - Elle est très bonne.
Marisa - Tu es très bonne.
L’Evêque - On peut tout dire à une maman.
Marisa - Je pensais qu’elle avait ri davantage hier.
L’Evêque -Aujourd'hui, elle a moins ri.
Marisa - Oui.
L’Evêque - J’avais compris que Dieu t’avait permis d’avoir un creux à l'estomac, je te l’ai dit.
Marisa - Don Claudio, tu seras avec moi quand je mangerai?
La Madone - s’il y a l’Evêque avec toi, Marisella, veux-tu que je sois là moi aussi? Si je te mange les haricots verts, que mangeras-tu?
Marisa - Ne me mange pas ces deux haricots verts qu’on me donne. Oui, c’est bien, je te remercie, Petite Madone, je sais que je ne mérite rien, mais je ne veux pas désobéir à Dieu, absolument pas.
La Madone - Alors prions ensemble le Dieu tout-puissant, Notre Père
Marisa - Petite Madone, fais que l’Evêque, Marco, Chiara et Marisella aillent bien. Adieu, merci, merci, merci. Ce qui est beau c’est que je n’aime pas les haricots verts.
L’Evêque - Comment va ton estomac?
Marisa - Bien.
L’Evêque - Je suis heureux.
Marisa - La douleur est passée.
Villetta Barrea (AQ), le 29 juillet 2006 - 0h40 (Lettre de Dieu)
Marisa - Dieu le Saint Esprit, nous aimerions que Tu nous dises quelque chose: que Tu nous aimes, que Tu nous veux du bien, que Tu nous aides. Nous avons besoin de Toi. Mon cher Evêque demande toujours le don des langues. Pourrais-Tu le lui donner? Il n' a pas besoin du don de toutes les langes, il suffirait que Tu lui donnes le don de parler le français, l’anglais, l’allemand, le portugais, l'espagnol, l’arabe et le russe.
Dieu le Saint Esprit - Marisella, tu me demandes tout.
Marisa - Je le demande pour lui, parce qu’il ne parvient pas à parler à tous. Quand des étrangers viennent, il ne peut leur parler, parce qu’il ne connaît par leur langue. Me promets-Tu, Dieu le Saint Esprit, que Tu lui donneras ce don? Prends tout de moi, je ne m'en lamente pas de toute façon parce que je n’ai rien et donne-le à l’Evêque, qui a tant besoin de cela. Il a également besoin que des personnes l’aident, l’aiment, le respectent. Envoie-nous quelqu’un, comme il faut, je t’en prie. Esprit Saint, Esprit d’amour, éclaire mon esprit, embrase mon coeur, aide-nous ainsi que tous ceux qui t’invoquent, parce que nous avons besoin de Toi. Je ne demande rien pour moi, je demande seulement le don des langues pour mon Evêque. Quand aura-t-il ce don des langues?
Dieu le Saint Esprit - Quand Dieu le dira, Dieu le sait.
Marisa - Il doit encore dire quand.
Dieu le Saint Esprit - Vous devez comprendre que Dieu fait ce qu’il veut, comme il le veut et quand il le veut, ce n'est pas à vous de décider.
Marisa - Mais nous pouvons demander.
Dieu le Saint Esprit - Oui, vous pouvez demander tout ce que vous voulez. Tu as vu, Marisella, comment Dieu t’a exaucée aujourd'hui?
Marisa - Oui, je ne m'y attendais pas en effet, parce que je nuis pas bonne. Il faut que je dise ce que je pense, je n’arrive pas à me taire.
Dieu le Saint Esprit - Il faut être ainsi: dire ce que l’on pense, toujours dire la vérité. Très cher Excellence, prépare-toi et quand Dieu le voudra, Il te donnera ce que tu lui demandes, mais seulement quand Il le décidera.
Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Que la bénédiction du Saint Esprit et de Marie, Mère de l’Eucharistie, descende sur vous. Attention! Il y a des personnes qui disent: "Au nom du Père, de la Mère, du Fils et du Saint Esprit". C’est un blasphème, une hérésie très grave. Les trois personnes sont: le Père, le Fils et le Saint Esprit; la Madone est la Maman de tous, mais c’est une créature.
Marisa - Nous n’avons jamais dit cette formule, je n'y ai jamais pensé.
C’est bon, adieu.
Dieu le Saint Esprit - L’Esprit Saint descend sur vous. Adieu, Marisella.
Marisa - C’est la première fois que le Saint Esprit m’appelle Marisella, je ne l’ai jamais entendu le dire avant.
L’Evêque - Mais est-ce que tu te rends compte? Nous appelons Dieu, et Il vient.
Villetta Barrea (AQ), le 29 juillet 2006 - 21h35 (Lettre de Dieu)
La Madone - Nous sommes trois Miriam: la Madone, Marisella et la petite fille.
Je suis venue bénir la petite Miriam. Je l’ai déjà bénie à l'hôpital quand elle était à peine née et que tu y étais avec moi, Marisella, là aussi nous étions trois Miriam.
Je bénis les parents, je vous recommande de ne pas la gâter, de ne pas la cajoler de trop et de faire qu’elle grandisse saintement.
Marisa - Miriam voit maintenant la petite Madone et rit. La petite Madone te regarde, trésor. Voilà, elle te sourit.
Bénis-nous tous et aide-nous à supporter ces longues et dures souffrances, aide surtout l’Evêque qui n'en peut plus de vivre ainsi, je ne peux pas l’aider davantage.
Dieu nous avait promis de nous aider à empêcher les démons de nous tourmenter. Ne les fais plus venir, je t’en prie! Nous avons tant souffert. Fais en sorte qu’ils ne viennent plus et donne-nous un peu de paix, de tranquillité et de calme.
Aide aussi la petite Chiara qui nous a été si proche et a beaucoup souffert avec nous, mais je te recommande surtout l’Evêque.
La Madone - Et la Maman recommande l’Evêque aux jeunes.
Marisa - C’est Toi, mon Dieu!
Dieu le Père - Oui, tu me reconnais parce que tu as vu l'étoile. Marisella, tu as un trésor d’enfant dans les bras et grâce à toi, cette enfant est maintenant parmi vous.
Je te promets, Dieu ne ment pas, que les démons ne viendront plus vous torturer, ils ne viendront plus, ma fille! Tu as trop souffert. Prends l’Eucharistie et mange quelque chose que tu te sentes capable de manger.
Excellence, les démons ne viendront plus, parce que Je les écraserai un par un.
L’Evêque - Merci, mon Dieu.
Marisa - Merci, mon Dieu. Tu vois cette enfant? Elle est aussi mienne.
Dieu le Père - Elle est surtout tienne, Marisella, parce qu’elle est née par tes souffrances.
Marisa - Je Te remercie, j’aimerais maintenant avoir Ta bénédiction.
Dieu le Père - Lève-toi simplement, Excellence.
Marisa - J’aimerais Ta bénédiction pour cette enfant.
Dieu le Père - Moi, Dieu le Père, je te bénis, petite Miriam, avec tes parents et Marisella. Croîs en beauté, bonté, force et courage. Je vous bénis tous.
Moi, le Dieu tout-puissant, Je suis trop sévère et trop dur à vos yeux, mais J’ai fait ce que je devais faire. La situation changera maintenant, ces démons ne viendront plus et vous serez heureux. Mais tu sais, Marisella, que Je ne peux pas t’enlever tes douleurs. Ta mission est de souffrir.
Marisa - Oui, c’est bon, je ne pense pas aux douleurs, je suis heureuse que Tu sois intervenu. J'éprouve une grande joie. Merci. Je suis surtout heureuse pour Son Excellence. Est-ce que Tu l’aimes? Tu lui as dit de t’appeler Papa et puis Tu le fais souffrir.
Dieu le Père - Il n’arrivera plus rien. Le Ciel s'ouvre pour votre joie et votre bonheur. Il y aura encore des souffrances et des problèmes, parce qu’ils font partie de la nature humaine et il est humain que cela arrive, mais ce qui importe c’est que ces horribles monstres ne viennent plus, parce que Je les détruirai un par un, comme J’ai commencé à le faire ce soir.
Marisa - Excuse-moi, mon Dieu, puis-je m’asseoir, parce que je n'en peux plus de rester debout?
Regarde, comme elle Te regarde!
Merci, mon Dieu, merci de cette joie que Tu nous a donnée. Tu nous as donné un court message, mais si grand pour nous. Excellence, es-tu heureux?
L’Evêque - Je suis très heureux.
(Ceux qui sont présents chantent l’alléluia)
Marisa - Dieu n'est plus là?
La Madone - Non, Marisella, il y a ta Maman et grand-mère Iolanda. Quand tu sentiras la faim et que l’Eucharistie ne la calmera pas, prends quelque chose, mais tu dois m'entendre et me voir pour manger.
Marisa - Merci, petite Madone, il se peut que je ne mérite pas cette joie. Merci de toute façon.
La Madone - Je vous bénis tous. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, mes chers jeunes. Je bénis l’Evêque et l’Evêque bénit naturellement la Maman et sa soeur.
Grand-mère Iolanda - Adieu, Excellence, c’est moi grand-mère Iolanda. Je prie beaucoup pour toi et Marisella, et aussi pour la petite Miriam.
La Madone - Et moi, la Mère de l’Eucharistie, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
L’Evêque - Marisa, as-tu compris que les démons ne viendront plus? Et il n'y aura également plus besoin de bénir chaque fois ce que tu manges et bois.
Marisa - Je n’avais pas espéré qu’il nous le dise.
L’Evêque - Nous lui avons arraché cette grâce, nous ne pouvions plus vivre.
Villetta Barrea (AQ), le 30 juillet 2006 - 13h10 (Lettre de Dieu)
Marisa -Miriam aussi est là, petite Madone. Elle est agitée, je la berce. Elle a faim, est-ce que l’Enfant Jésus avait toujours faim?
La Madone - Mes chers enfants, je vous remercie de votre présence et de ce que vous avez fait pour mes deux anges. Tout est beau pour ceux qui agissent avec amour et vous avez tout fait avec amour et sacrifice, aussi parce que quand vous êtes nombreux, il est normal de faire quelques sacrifices. Mes chers enfants, mes petits apôtres, même vous avez suffisamment grandi désormais, la Maman vous aime et Dieu a voulu vous concéder des grâces, spécialement à toi, Marisella. Dieu viendra même aujourd'hui pour vous parler, vous dire quelque chose que vous désirez savoir, comprendre, même s’il n'est pas facile de comprendre Dieu. Ce que je dois vous dire est que je suis heureuse de la façon dont vous vous êtes conduits.
Marisa - Voilà Dieu! Je vois aujourd'hui une belle fleur toute lumineuse et c’est Toi qui es là. Je ne Te vois pas, je Te verrai quand viendra l'heure où Tu m'emporteras au ciel, si je le mérite, parce que si je ne deviens pas bonne il sera difficile de monter vers Toi. Tu es venu aujourd'hui avec une belle fleur. J’aimerais T poser une question mais je ne sais pas si je la poserai bien. Tu as dit que les démons seraient écrasés ou que Tu as commencé à le faire, à les détruire. J’aimerais savoir si tous les démons du monde seront détruits, anéantis ou seulement ceux qui nous ont combattus pour nous faire du mal.
Dieu le Père - Marisella, tous ne seront pas anéantis, pour le moment, mais on y arrivera aussi peu à peu. Contentez-vous pour l’instant que ceux qui vous ont importuné soient éliminés. Sois tranquille maintenant, tu me sembles aujourd'hui heureuse et satisfaite parce que tu n’as pas peur.
Marisa - Je n’ai pas peur et puis depuis que Tu viens souvent, je suis heureuse et n’ai pas peur. Donne aussi cet aide à l’Evêque, rends le heureux, il en a besoin. Pardonne-moi si je me permets de Te demander, si Tu ne pourrais pas nous envoyer quelqu’un qui nous aime bien pour nous aider?
Dieu le Père - C’est Moi qui commande, c’est Moi qui décide, c’est Moi qui agis et vous devez rester silencieux. Si Je dis à l’Evêque: "Je t’emporterai aujourd'hui au Paradis avec Moi", il doit seulement l’accepter.
Marisa - Attends un moment, allons lentement, il est encore tôt, il doit d’abord régler la situation de l’Eglise. Jusqu'à ce que tu m’appelles ...
Dieu le Père - Tu vois, Marisella, comme tu es devenue simple, même avec ton Dieu que tu ne vois pas?
Marisa - Oui, mais cette fleur est merveilleuse et ces lumières qui l'entourent sont magnifiques.
Dieu le Père - Donc, courage, mes enfants, ne soyez plus aussi abattus, soyez heureux et donnez un peu de joie à ces deux enfants et Moi, Dieu je vous en donnerai, parce que je veux vous emporter tous au Paradis.
Marisa - Et Miriam?
Dieu le Père - Tu es attachée à Miriam.
Marisa - Oui. Je voulais...
Dieu le Père - Elle reste sur la Terre avec ses parents, tu lui rendras visite, tu l’aideras, tu aideras la petite et puis quand l'heure viendra, puisqu’elle vient pour tous, ils monteront vers Moi.
Marisa - Elle veut chanter, mais elle n’a pas de voix.
Dieu le Père - C’est bien, mes enfants, participez maintenant à la Sainte Messe, pensez que Jésus y est, faites la Sainte Communion, vivez dans la grâce tous autant que vous êtes. Chantez, mais chantez bien! Chiara, vous devez bien chanter.
Villetta Barrea (AQ), le 31 juillet 2006 - 0h50 (Lettre de Dieu)
La Madone - Vous avez vécu trois années pleines de souffrance. Marisella a été plusieurs fois près de la mort et s'en ressent maintenant. La fatigue est grande, l'épuisement est grand, je suis près d’elle même la nuit quand elle dort. Elle était si épuisée ce soir, parce que la pauvre, souffre de tout cela, mais vous ne devez pas vous en inquiéter.
L’Evêque - La feras-tu dormir cette nuit?
La Madone - Si je suis près d’elle, c’est pour la faire dormir. Je vous répète que vous ne devez pas vous inquiéter, parce que le moment est arrivé où elle ressent tout ce qui s'est passé. Elle n’a pas seulement souffert pour elle-même, mais aussi pour vous et en particulier pour toi, Don Claudio, Excellence Révérendissime.
L’Evêque - Je le sais.
La Madone - Elle a souffert à cause de ces personnes que tu connais. Vous ne devez pas vous faire de soucis, parce qu’elles sont...
L’Evêque - Insensibles.
La Madone - Ces personnes la détruisent en ce moment, même si parfois elle fait semblant, elle souffre énormément.
Mes enfants, je suis près de vous. Bonne nuit à tous.
Marisa - Excellence, tu ne dois pas te faire de soucis, parce que si tu t’inquiètes, tu ne me fais plus vivre.
L’Evêque - Es-tu plus tranquille maintenant, Marisa?
Marisa - Oui, même si j’ai l’impression parfois de tomber dans un trou.
Villetta Barrea (AQ), le 5 août 2006 - 22h55 (Lettre de Dieu)
La Madone - Mes chers enfants, il est temps d'intensifier la prière, pour que la guerre se termine et que la paix triomphe. Priez pour tous ceux qui souffrent, qui meurent par la faute des méchants. Priez pour mes deux enfants, je suis toujours auprès d’eux, à n'importe quel moment, même s’ils disent qu’ils ne le remarquent pas. Je suis la Mère de l’Eucharistie et j’aime tous mes enfants, petits et grands. Essayez de comprendre combien ma tâche est difficile.
Quand le ciel s’assombrit, devient mauvais, et vous fait peur, vous pensez aussitôt à vous couvrir et à rentrer à la maison. Puis quand le soleil revient, vos coeurs tressaillent de joie. Le Christ est le soleil, et moi, la petite Madone, je suis la lune. Est-il si difficile de rester tous les jours en contact avec Jésus et la Madone? Qu’il pleuve, fasse soleil, fasse froid, vous devez toujours rester en contact avec tous. Je vous prie de prier pour ceux qui sont à Rome et qui ont souffert de la chaleur et en souffrent encore, pour ceux qui se rendent à notre Basilique pour prier pour vous. Priez, vous, pour eux.
Quand nous partirons pour le Jourdain, tout sera beau, il fera soleil, la lumière sera merveilleuse et notre Jésus parlera avec l’Evêque pour l’aider à avancer sur ce chemin difficile. Toi, Marisella, tu sais ce qui t’attend, alors je t’invite à prier pour l’Evêque et à souffrir pour lui, comme tu le fais toujours.
Marisa - j’espère que tu n’as pas oublié que je prie pour lui, que j’ai donné ma vie pour mon Evêque. s’il arrive là où Dieu le veut, ce sera grâce à tous ceux qui ont prié pour lui.
La Madone - Mes petits enfants, Sara et Emanuele, vous devez être bons et sages, vous devez manger, parler, écrire, jouer, vous pouvez tout faire, mais vous devez surtout obéir à papa et maman. Mes chers enfants, je me retire auprès de Dieu le Père et je serai demain de nouveau avec vous.
Cette nuit, Marisella, tu dormiras peu probablement, parce que je dois te dire quelques noms de ceux que tu emmèneras avec toi au Paradis.
Marisa - Y sont-ils aussi?
La Madone - Oui.
Marisa - Oh mon Dieu! Puis-je le dire à l’Evêque?
La Madone - Après.
Marisa - C’est bon. Je continuerai à prier pour tous. Combien sont ceux qui doivent venir avec moi au Paradis?
La Madone - Ils seront plus de 3000 au total. En es-tu heureuse?
Marisa - Bien sûr que je suis heureuse, mais ce que tu m’as dit m’a rendu encore plus heureuse. J’aimerais que tous les hommes aillent au Paradis avec Dieu le Père, Dieu le Fils et, Dieu le Saint Esprit, pour chanter ensemble des louanges à Dieu, prier Dieu, réciter des psaumes, être unis à Lui.
La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, je bénis Emanuele et Sara. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Villetta Barrea (AQ), le 6 août 2006 - 12h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.
Dieu le Père m’a envoyée aujourd'hui pour vous dire que la colonne de ceux qui doivent monter du Purgatoire au Paradis, avance lentement, ils ne sont plus immobilisés. Dieu vous en donne le mérite, c’est un grand don qu’il vous fait. Vous devriez être heureux de savoir que vos êtres chers montent au Paradis. C’est pourquoi je vous dis: priez, priez, priez pour vos défunts, afin qu’ils montent aussi au Paradis. Une très belle couronne de fleurs s'est formée ayant à sa tête la petite Madone, Saint Joseph et grand-mère Iolanda qui avancent pas à pas pour arriver jusqu’au Paradis. Souvenez-vous que conquérir le Paradis ne veut pas dire être toujours en prière, ou aller dans les sanctuaires pour y prier. Le Paradis se conquiert avec l’amour, l’obéissance et la charité. Vous devez tous être une seule chose, vous devez aimer. Parmi ceux qui avancent vers le Paradis, le chemin est encore long, certains ne sont jamais allés à l'église, n'ont pas beaucoup prié, mais ont su aimer. Il ne sert pas, je vous le répète, de rester à prier les mains jointes, il faut surtout aimer tous les hommes, même ceux qui font souffrir. J’attends ce jour où votre soeur montera au Paradis, emportant derrière elle toutes ces âmes qui sont plus de 3000: il y a parmi elles des enfants ayant l’usage de la raison, des adultes, des prêtres, des évêques, des cardinaux, tous montent lentement, lentement vers Dieu. Ceux qui voient Dieu éprouvent une grande joie et un grand bonheur. Il ne vous est pas possible pour l’instant de voir Dieu, mais quand vous monterez au Paradis, vous le verrez comme Il est. Dieu nous a fait ses enfants et il nous aime comme ses enfants.
Il ne me reste qu'à vous dire: priez et ne vous découragez pas, parce qu’alors le démon vous tente. Si vous vous découragez et êtes abattus, il est plus facile au démon de se jeter sur vous et de vous faire pécher. Vous devez être forts, parce que vous devez vaincre le démon. Comment peut-on vaincre le démon? Avec la prière, l’amour, en vous aimant les uns les autres. Le démon s'enfuit en particulier quand vous avez l’Eucharistie. Recevez l’Eucharistie tous les jours, ne vous abstenez jamais de la recevoir, à moins que vous ayez des motifs importants qui vous empêchent d’aller à l'église. Courrez y au contraire, faites la Sainte Communion, recevez Jésus dans votre coeur et vous verrez que le démon ne pourra rien vous faire. Même si vous êtes abattus et que vous vous effondriez, accrochez-vous à Jésus Eucharistie et avancez. Voyez la misère qu’il y a partout: la guerre, les hommes qui tuent. Vous devez essayer de prier pour empêcher le démon de détruire les âmes et faire que le monde redevienne comme Dieu l’a créé. Dieu n’a pas créé le monde pour vous faire souffrir, mais parce qu’il vous a aimés. Vous les hommes, vous n’avez pas compris tout cela et vous continuez à ne pas prier et à vous décourager. Faites pénitence, faites de petits sacrifices, faites prier vos enfants et vous verrez que tout ira bien.
Merci du fond du coeur à ceux qui participent à cette campagne pour le salut des âmes.
Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis et vos êtres chers. Je bénis tous les enfants et les malades. Je vous serre sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Villetta Barrea (AQ), le 13 août 2006 - 13h00 (Lettre de Dieu)
La Madone - Seulement en recevant Jésus tous les jours, vous pouvez aller au Paradis. Sans Jésus Eucharistie, vous ne pouvez pas aller au Paradis. Je suis seulement venue pour vous dire bonjour. Celui qui viendra après moi aura beaucoup à dire.
Dieu le Père - C’est moi Dieu. Je suis venu tous les jours pendant un certain temps et aujourd'hui, après plusieurs jours, je viens à nouveau vous voir pour vous remercier de tout ce que vous faites: des petits sacrifices, de la pénitence, telle que l’a suggérée votre Evêque, que vous avez faits pour la paix, pour aider Marisella et tant de personnes qui en ont besoin. Continuez, parce que les hommes parlent toujours beaucoup, mais la paix n’arrive pas de façon définitive. C’est aujourd'hui la paix, demain on ne sait. Vous qui partez et quittez ce lieu, priez et faites pénitence, peut-être un peu plus facilement.
Marisa - Ils ont choisi de manger du foie, je ne leur ai pas dit de le faire.
Dieu le Père - Faites ce que vous pouvez, mais priez pour la paix dans le monde. Moi, Dieu je serai à vos côtés, près de vous et je vous aiderai, comme j’aiderai aussi ceux qui sont loin en vacances. Ce sera pour Moi une grande joie de vous voir recevoir Jésus Eucharistie, ainsi vous pourrez un jour monter au Paradis. Savez-vous combien de personnes monteront avec Marisella au Paradis? Ce sont 3.540 jusqu'à aujourd'hui! Et la majeure partie de leurs noms n’a pas été écrite. Pauvre Marisella, c’est difficile pour elle de se souvenir de tous les noms, alors de tant en tant quand Je viens, Je lui dis les noms qu’elle doit écrire avec l’Evêque.
Ajoutez-y aujourd'hui Lauro, Giacomo, Luca, ce sont tous des personnes saintes, et en plus Massimo, Antonello, Giovanni et bien d’autres. Du nom de Iolanda, il y a seulement ta maman. Y aura-t-il une autre Iolanda? Qui sait. Ceci doit vous donner de la joie. Pensez à quand vous formerez vous aussi une guirlande de fleurs et monterez au Paradis, où vous trouverez tant de joie, d’amour et de charité.
Et puis d’autres y viendront, d’autres encore et finalement aussi les enfants.
Marisa - Mon Dieu, pourquoi maman rit-elle?
Dieu le Père - Parce qu’elle pense à toutes les âmes qui viendront avec toi au Paradis, liées les unes aux autres comme des fleurs. Combien d'âmes devons-nous encore sauver, Marisella?
Marisa - Nous voulons les sauver toutes. C’est Toi!
Dieu le Père - Oui, Je veux les sauver toutes. Je t’ai fait beaucoup souffrir pour sauver les âmes, pour sauver l’Eglise, pour le nouveau Pape, et tu sais à qui je pense. Il y a encore beaucoup à faire.
Marisa - Ecoute mon Dieu, parlons d'homme à femme. Puis-je m'exprimer ainsi?
L’Evêque - De créateur à créature.
Marisa - De créateur à créature. Si je dois attendre tout ce que je dois faire, je ne meurs plus! Je devais mourir en mars, puis en juin, nous sommes au mois d’août et je suis encore en vie. Quand m'emporteras-Tu? Si Tu ne m'emportes pas, comment ferai-je pour tirer la cordée de toutes ces âmes?
Dieu le Père - Courage, Marisella, je sais que tu plaisantes.
Marisa - Non, non, non, je ne plaisante pas du tout. Je Te parle de créateur à créature. Tu as entendu comme l’Evêque a parlé? Quand monterai-je au Paradis? Quand emporterai-je tous les autres au Paradis? Je n’ai plus de mots, mon cher Dieu. Je t’aime et je t’aime, mais je ne peux pas taire ce que je pense, parce que Tu es Dieu.
(Marisa se tourne vers l’Evêque) Dis-moi si je commets une faute.
L’Evêque - Non, c’est la fille qui parle au Père.
Marisa - Je suis la fille qui parle au Père. Nous essayons de nous dépêcher, fais que quand nous arriverons à Rome, tout soit finit, terminé, sinon j’irai m’acheter un cercueil et je me mettrai dedans. Ils rient tous là-haut, même maman rit.
Dieu le Père - Courage, mon enfant, je suis près de toi, je t’aime, comme tous ceux qui sont au Paradis t’aiment, en particulier ton époux Jésus, la Mère de l’Eucharistie, Saint Joseph, grand-mère Iolanda, tante Anna et grand-mère Speranza.
Courage, aies confiance et sois forte. Adieu, Marisella.
La Madone - Dieu est parti et a donné de bonnes nouvelles à votre soeur. Ensemble avec votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, vos objets sacrés et toutes ces âmes liées les unes aux autres comme des fleurs pour monter au Paradis. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils, et Dieu le Saint Esprit.
Louré soit Jésus Christ.
Villetta Barrea (AQ), le 14 août 2006 - 14h40 (Lettre de Dieu)
Marisa - J'écoute ce que vous dites.
La Madone - Je te remercie de tous les sacrifices et privations que tu as faits, de l’amour que tu as montré envers les hommes: ton directeur spirituel, Monseigneur Claudio Gatti, tes neveux et petits-neveux et les deux femmes qui sont ici pour vous aider. Ne pense plus à ce qui s'est passé. Ne te laisse pas troubler par ce triste souvenir.
Marisa - Oui, mais quand je mange, je sens encore tant ce goût amer. Je ne devrais pas le dire, mais j'éprouve de la répugnance et je ne parviens pas à manger parce que je sens ce goût amer dans ma bouche. De toute façon, je vous remercie, surtout parce que vous m’avez fait dormir. J’aimerais maintenant vous poser une question, que j’adresse à Jésus, à mon époux: du moment que je ne réussis pas à manger, parce que je sens toujours le goût amer de ce jour, puis-je manger des haricots verts?
Jésus - Bien sûr, c’est toujours une salade pour Nous.
Marisa - Tu m’as dit non hier.
Jésus - Nous voulions voir jusqu’où irait ton sacrifice. Tu as fait aussi le sacrifice, même si tu n’as pas mangé la salade. Donc sois tranquille, vis tranquillement, autrement nous ne parviendrons pas à te dire les noms des autres personnes qui monteront avec toi au Paradis. Sois heureuse, ma fille, c’est demain la fête de l’assomption de Marie. Dites une belle Sainte Messe, même si vous êtes peu nombreux. Priez pour ceux qui sont loin et ceux qui vous ont occasionné tant de douleurs et de souffrances. Tu seras au déjeuner avec eux et tu mangeras avec eux, ce soir je te dirai ce que tu pourras manger.
Maintenant, je vous bénis et ceux qui sont au-dessus, spécialement les enfants. J’aimerais que vous sortiez prendre l’air. Sortez, essayer de faire marcher votre soeur parce que ses jambes ne tiennent plus; essayez quand même toujours de la faire marcher.
Marisa - Ce ne sont pas eux qui ne veulent pas essayer, c’est moi qui n’arrive pas à marcher.
Jésus - Bien, essayez, d’abord une minute, puis une autre minute, jusqu'à arriver à 5 minutes. Cher Monseigneur, tu fois faire un cadeau à ta soeur.
L’Evêque - Cela ne vaut pas pour les lettres?
Jésus - Qui sait si vous l’aurez à temps. Toi, de toute façon, fais lui un cadeau personnellement.
L’Evêque - Je le fais volontiers, tu le sais.
Marisa - Il n'y pas de magasins.
L’Evêque - Je ne sais pas où le faire.
Marisa - Tu dois rester tranquille, parce qu’il n'y a pas d’argent à dépenser. Nous devons payer cette maison, l’autre et la maison de Rome. Ecoute, Jésus, je voulais te demander si tu m’aimes vraiment? Parce que tu me fais tant souffrir, tant, tant et tant? Je sais que les souffrances sont nécessaires pour sauver les âmes, pour faire triompher la paix, pour le futur Pape et pour la renaissance de l’Eglise, mais je suis très fatiguée, très, mais je ne dirai jamais non, je ne me retirerai jamais, sois tranquille. Jésus, je serai toujours ton épouse bien-aimée et Toi mon époux bien-aimé. Merci.
Jésus - Moi, Jésus, je vous bénis et vous emporte avec joie dans mon Coeur. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.
Loué soit Jésus Christ.
Villetta Barrea (AQ), le 14 août 2006 - 23h30 (Lettre de Dieu)
Saint Joseph - Quand Dieu le Père, Jésus et mon épouse bien-aimée sont présents, que puis-je vous dire? Seulement que je vous aime. Aimez-vous tous. Je ne peux rien dire d’autre, sinon de vous aimer.
La Madone - Avec mon époux bien-aimé, Saint Joseph, je vous bénis vous tous ici présent au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.
Villetta Barrea (AQ), le 15 août 2006 - 12h45 (Lettre de Dieu)
Marisa - Tu es en vêtements de fête!
La Madone - Comme vous, j’ai fait aujourd'hui de mon mieux pour être belle.
Marisa - Tes vêtements sont magnifiques.
La Madone - Avant de monter au Ciel et après nous être arrêtés au Jourdain, nous sommes allés au Gethsémani et y avons prié. C'était très émouvant de voir les petits enfants prier, la tête baissée jusqu'à terre et de réciter le Notre Père, le Gloria, le Je vous salue Marie en hébreux. Les petits enfants n'ont pas bougé, jusqu'à ce que nous finissions de prier; même nous, nous avions la tête inclinée jusqu'à terre. Tous les anges nous entouraient et attendaient mon assomption au Ciel. Après un peu de temps, j’ai entendu mon Tout qui m’appelait: "Marie, viens", et je suis de nouveau montée au Ciel. Quand je suis morte, j’ai été immédiatement transfigurée et je suis montée avec mon âme et mon corps au Paradis, où je me suis énormément réjouie en y voyant tous ceux qui m'étaient chers, comme je me réjouis aujourd'hui de vous voir, vous qui m'êtes chers.
C'était très beau quand nous sommes partis du Jourdain et sommes allés prier au Gethsémani, où nous avons vu les enfants, qui priaient, priaient, priaient à genoux, la tête contre terre. Ils ne prient pas maintenant, parce qu’ils jouent, mais faites-les venir à la Sainte Messe; ils sont petits, mais l’un d’eux a fait sa Première Communion et l’autre, s’il le veut, peut suivre son frère. C’est aujourd'hui une grande fête au Paradis et vous devez aussi faire une grande fête. Quelqu’un m’a demandé un cadeau pour Marisella, et m’a dit: "Je lui ai fait un cadeau et toi? Tu m’as dit de lui faire un cadeau et je suis allé lui en faire un. Je désire que vous lui fassiez le cadeau de la faire aller un petit peu mieux". En effet, elle est mieux aujourd'hui et s'est reposée, même s’il y a la maladie et qu’elle soit grave, elle réussit à surmonter cela aussi en faisant le clown et la rigolote.
Marisa - Pourquoi me dis-tu cela? J’aime plaisanter et quand je vais mal si je me décourage c’est pire. Au contraire, je plaisante avec toi, avec Jésus et les autres du Paradis. Puis nous en parlons avec ceux de la Terre.
La Madone - J’aimerais qu’en ce jour de fête de mon Assomption au Ciel, vous priiez encore plus. Allez faire une promenade et quand vous serez en auto récitez doucement le Saint Rosaire de tout votre coeur.
Priez pour tous ceux qui se préparent à monter du Purgatoire au Paradis avec Marisella. Réjouissez-vous de cette joie.
Excellence, tu n'es pas heureux que toutes ces âmes aillent jouir du Paradis?
L’Evêque - Très heureux.
La Madone - Il y a beaucoup de prêtres parmi elles.
L’Evêque - C’est une grande joie.
La Madone -Il s'y trouve également des évêques et des cardinaux.
L’Evêque - Comment s’appelle l’Evêque d’aquila dont je ne me souviens plus du nom de famille?
La Madone - Tu veux que je te dise les noms de famille de tous les prêtres et évêques?
L’Evêque - C’est un de ceux peu nombreux qui nous ont aimés.
La Madone - Je sais. Regarde sur ton agenda, tu y trouveras son nom. Vous écrivez chaque jour le nom de centaines de personnes, tu dois être heureux.
L’Evêque - Je le suis.
La Madone - Doucement, doucement. Ils ne peuvent pas écrire les noms de 3.540 personnes, tous ensemble, c’est une immense fatigue. Tu veilles à ce que Marisella n’ait pas mal à la tête quand je te dis les noms? Faites doucement, doucement. Vous, aidez-les de vos prières et si vous connaissez un bon prêtre décédé, une bonne personne décédée, dites-le à votre Evêque. Je te dis maintenant Anna, la grand-mère de Giacomo.
Marisa - Oui, je l’ai connue. Elle vient avec moi?
La Madone - Bien sûr.
Marisa - Quand je le dirai à Franco, il sera très heureux et ému. Aide-nous à emporter d’autres âmes, et c’est logique, nos parents en particulier.
La Madone - Aujourd'hui, j’aimerais entendre parler l’Evêque. n’as-tu rien à dire à ta Maman?
L’Evêque - J’aimerais avant tout te remercier. Je suis celui qui a dit: "Je lui ai fait un cadeau, faites-lui en un maintenant", parce que quand Marisa va un petit peu mieux, je me régénère. Pardonne-moi d'oser faire une comparaison qui ne veut pas être irrespectueuse. Je me comporte comme Dieu quand il se manifeste à Marisella sous la forme d'une fleur: quand Il lui donne de bonnes nouvelles, elle rayonne de lumière et de joie quand Il lui donne de mauvaises nouvelles elle dépérit. Je réagis de même avec Marisella: quand elle va un petit peu mieux je rayonne de joie et quand je la vois souffrir je dépéris; j’ai donc quelque chose en commun avec notre Papa.
Je me réjouis énormément actuellement, parce que les noms de parents et de prêtres que nous avons connus figurent sur la liste de ceux qui iront au Paradis. C’est une immense joie pour moi, parce que nous serons en bonne compagnie au Paradis. Je te demande maintenant de tenir sous ton manteau les prêtres que je devrai ordonner évêques et les évêques et cardinaux qui devront m’aider. Je commence à penser à eux depuis un certain temps. Je pense maintenant à l’avenir de l’Eglise et à mon avenir. Je désire d'une part que cela s’active pour que le bien triomphe et d’autre part j’ai très peur, puis je pense que ce seront toi, Marisella et grand-mère Iolanda qui m’aiderez et alors je me tranquillise. Merci de toute façon. Je te demande de bénir tous les membres de la communauté qui nous ont été proches dans les moments douloureux et de placer ta main surtout sur les petits enfants. Fais-les croître sains spirituellement et physiquement, éloigne le mal de leurs âmes, pour qu’ils soient vraiment des enfants de la Mère de l’Eucharistie.
Merci de m’avoir écouté.
La Madone - Merci à vous tous.
Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés Je bénis tous les enfants et les malades. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Villetta Barrea (AQ), le 20 août 2006 - 15h15 (Lettre de Dieu)
La Madone - Marisella, ta souffrance est grande parce que les âmes qui doivent être sauvées sont si nombreuses. Regarde, combien d'âmes tu emporteras derrière toi quand tu iras vers le Père Céleste. N'en es-tu pas heureuse?
Marisa - Si, j’en suis heureuse, mais je n'en peux plus. Nous sommes deux à souffrir, nous sommes deux à être exténués, parce que nous n’avons personne qui nous aide, qui soit près de nous. Nous n’avons personne, nous ne sommes que deux.
La Madone - Vous deux et Nous cinq, cela fait sept personnes.
Marisa - Oui, mais Vous êtes là-haut et nous sommes ici bas; c’est terrible. La planète Terre me fait si peur, je ne veux plus rester sur la Terre. Je t’en prie, aide-nous. J’ai mangé un petit peu aujourd'hui, fais que j’aille un peu mieux, que je n’ai pas de douleurs si terribles qui me font crier et me sentir mal. Aidez-nous.
La Madone - Nous vous aidons.
Marisa - Vous le dites toujours, mais nous ne sentons pas votre aide.
La Madone - Nous vous aidons, Marisella, mais nous ne pouvons pas faire plus parce que ta tâche est d’emmener beaucoup d'âmes au Paradis; c’est pourquoi les douleurs qui te font tant souffrir sont si grandes de temps à autre, mais tu verras qu’ensuite tout sera beau et que tu te réjouiras avec ta maman.
Marisa - J’aimerais que tu m'emportes avec toi au Paradis, et l’Evêque aussi. Qu’a-t-il à faire ici? Il ne fait rien d’autre que souffrir, souffrir et souffrir. Cela fait un temps que je le vois toujours pleurer, il n'est pas possible qu’un homme, que Dieu a ordonné Evêque, doive toujours pleurer et souffrir. Je n'en peux plus de le voir dans cet état. Essaie de me comprendre, petite Madone, je t’en prie, emporte-le avec moi, emporte-nous ensemble.
La Madone - C’est une décision que doit prendre Dieu le Père.
Marisa - Dieu le Père doit décider de tout, mais en un mot, nous sommes fatigués, si fatigués. Nous avons donné à tous: aux hommes, aux prêtres et à l’Eglise; c’en est assez maintenant, nous n'en pouvons plus. Tu dois nous aider, je t’en prie, tu dois nous aider.
La Madone - Bien sûr que je dois vous aider, je suis la Maman, mais ta tâche, Marisella, demeure.
Marisa - Encore? Ne me fais pas souffrir comme cette nuit, je t’en prie. Je n'en peux plus de souffrir comme cette nuit. Je t’en prie, Petite Madone, je t’implore de tout mon coeur, emporte-nous et si tu ne veux pas nous emporter tous les deux, emporte-moi et envoie-le là où Dieu le Père veut qu’il aille.
La Madone - Souviens-toi, Marisa, que devenir Pape signifie vivre de grandes souffrances et affronter de grands sacrifices.
Marisa - Tu l’aideras. Quel type de maman serais-tu autrement?
La Madone - J’aime quand tu parles ainsi. Maintenant au nom de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit, ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, je vous couvre de mon manteau maternel, je vous serre tous sur mon coeur, comme je serre sur mon coeur la petite Miriam, et je vous emporte avec moi.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Marisa - Adieu, maman.
La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.
Marisa - Elle était vraiment maman.
Villetta Barrea (AQ), le 20 août 2006 - 23h30 (Lettre de Dieu)
La Madone - Mes chers enfants, merci de ce que vous avez décidé de faire: renoncer au sommeil pour prier pour Marisella. Si vous avez des difficultés, ne vous inquiétez pas, allez vous coucher, mais si vous pouvez faire ce sacrifice pour votre soeur, faites-le et Dieu en sera heureux comme je le serai. Même grand-mère Iolanda en sera heureuse. Vous ne pouvez pas vous imaginer comme mon amour est grand quand je vous vois ainsi les uns près des autres et que vous vous aidez, quand vous parlez de Jésus, de Marie, quand votre Evêque commence à faire le catéchisme qui, entre parenthèses, ne finit jamais. Cela vous plaît et vous êtes heureux, nous le sommes aussi. Je ne devais pas venir ce soir, mais Dieu m’a dit: "Va, Marie, douce Maman, va voir mes petits enfants, aide-les, fais leur comprendre que nous sommes près d’eux, même si la grande souffrance règne, parce que c’est la mission de Marisella". Les autres missions lui ont été retirées, mais celle de souffrir pour les hommes, de faire que les hommes se convertissent, est sienne, et vous devez être heureux.
Marisa - Je voulais seulement te dire de me faire dormir un petit peu cette nuit, parce que les douleurs sont fortes et ma fatigue est grande. Si tu le veux, va trouver Dieu, mets-toi à genoux devant Lui, comme le faisait Jésus au Gethsémani, avec la tête contre terre, et dis-Lui: "Dieu, Père Tout-puissant, aide ces enfants qui sont miens, fais-les se reposer", tu verras qu’il ne dira pas non, parce que Dieu nous aime à sa façon; c’est nous qui parfois ne comprenons pas son amour.
La Madone - Merci, merci à vous ici réunis. Deux brebis sont même revenues, les autres sont encore par monts et par vaux, mais tous les jeunes feront la pénitence de ne pas dormir et de prier. Je vous remercie et ensemble avec mon saint Evêque et martyr, je vous bénis, vos êtres chers, les jeunes qui sont avec vous et tous ceux qui sont loin et ont une famille. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu, maman, ne fais pas comme cette nuit, viens si j’en ai besoin; malicieuse je le dis à la maman et pas à la Madone.
Villetta Barrea (AQ), le 22 août 2006 - 20h15 (Lettre de Dieu)
La Madone - Je suis la Reine du Ciel, mais je n’ai pas de couronne et tu le sais. Regarde tous les anges et les Saints qui sont autour de moi, regarde grand-mère Iolanda comme elle est plongée dans la prière. Je vous aime en tant que Mère et que Reine. Vous ne m’attendiez pas parce que nous deux, nous nous sommes déjà entretenues aujourd'hui.
Marisa - Oui, mais je croyais qu’eux aussi avaient entendu mais ils n'ont rien entendu.
La Madone - Nous avons parlé de Son Excellence, Monseigneur Claudio, et nous en avons dit du bien. Dieu attend la conversion de ses enfants, surtout des prêtres. Cette épreuve si dure qui semble ne jamais finir, se terminera parce que l’Evêque ne peut plus vivre ainsi et ne peut pas toujours se battre contre les pasteurs indignes. Vous devez dans la souffrance être proches de l’Evêque, vous devez prier pour lui, ne vous fâchez pas pour des bêtises. Dieu veut l’amour et vous devez vous aimer, mes chers enfants. Vous devez vous aimer tous et si quelqu’un ne se conduit pas bien, il ne doit pas être présent à mon apparition et quand Dieu se manifeste. Il ne doit pas participer à la Sainte Messe s’il ne peut pas faire la Sainte Communion. Si vous ne faites pas la Communion que venez-vous faire à la Messe? Priez pour tous les pécheurs. As-tu vu, Marisella, combien d'âmes iront au Paradis avec toi? Je suis heureuse qu’il y ait parmi elles des parents de Monseigneur Claudio et des parents à toi: vous le méritez. Quand Dieu le décidera, cette ascension au Paradis sera une grande fête pour tous et toi, ma fille, tu te réjouiras comme Son Excellence se réjouira parce qu’il est temps que vous ayez finalement vous aussi une grande joie. Priez Marie Reine, priez, parce qu'étant reine, elle peut avoir la force de vous aider. Essayez de ne pas pleurer, ce n'est pas en pleurant que les situations se règlent, mais en priant.
L’Evêque - Mais je prie beaucoup.
La Madone - Et tu pleures beaucoup. Courage, Monseigneur Claudio, mon frère, mon fils, courage. Mes chers enfants, vous vivez une épreuve qu’aucun homme n’a jamais vécue dans le monde. Quand vous dites: "Ceux qui sont méchants jouissent et sont heureux, alors que les bons souffrent toujours" c’est vrai, du point de vue humain c’est ainsi; mais Dieu vous donnera quelque chose de plus grand, le Paradis pour l'éternité. Combien de temps aimeriez- vous vivre encore? Vous jouirez ensuite du Paradis pour toujours. Merci de votre présence.
Monseigneur Claudio, je veux te voir serein et lumineux; je sais que c’est difficile, mais tu peux y arriver. Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Je n’aime pas, Marisella, que tu aies tant de souffrances et que les hommes ne réussissent pas à la comprendre, mais je vois que tu es sereine et vis avec joie. Je t’en remercie.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu, belle Reine, sans couronne, seras-tu aussi avec nous pendant la Sainte Messe? Seras-tu auprès de l’Evêque?
La Madone - Oui, comme toujours, et j’amènerai aussi grand-mère Iolanda et Saint Joseph.
Marisa - Soyez près de lui, étreignez le bien.
Marisa - Saint Joseph et grand-mère Iolanda viendront aussi après, pendant la Sainte Messe.
L’Evêque - Oui, j’ai entendu, cette fois j’ai entendu, nous avons tous entendu. Nous espérons que le moment de joie arrivera bientôt; Dieu le prépare.
Marisa - C’est ce qu’il a dit.
Villetta Barrea (AQ), le 22 août 2006 - 23h52 (Lettre de Dieu)
Marisa - Il est si difficile de supporter les souffrances et l’adversité, mon Dieu, Père Tout-puissant, Créateur de toutes les créatures. Toi qui nous as aimés jusqu'à nous donner Ton Fils, aide-moi, je t’en prie, fais que j’aille un petit peu mieux. Ne vois-Tu pas que la Maman pleure? Tu dois le faire surtout pour Monseigneur, il ne peut pas passer des nuits blanches à m’assister, parce que je suis torturée par les douleurs. Je Te l’ai demandé, cela ne t’engage pas. Si Tu le veux, aide-moi, j’ai besoin de Ton aide, si Tu ne peux pas m’aider, parce que Tu as d’autres plans, que Ta volonté soit faite.
Mon Dieu, aies pitié de moi si je ne suis pas capable de souffrir comme Tu le veux, pardonne-moi si quelquefois je t’appelle comme si Tu étais mon frère. Aies pitié de moi, mon Dieu, aies pitié de moi. Pardonne-moi, mon Dieu, pardonne moi la franchise avec laquelle je Te parle. Fais que les douleurs cessent un petit peu, peu, peu, je ne demande pas beaucoup. Je Te demande seulement de pouvoir me reposer, dormir, j’ai besoin de dormir. Vois-Tu que même le jour je ne peux plus rien faire du tout et que je finis par m'endormir à n'importe quelle heure? Dieu le Père, aide-moi, aide-nous: nous n'en pouvons plus. Nous t’avons toujours dit oui et nous continuerons à Te le dire, mais Tu dois nous aider, comme Tu nous l’as si souvent promis.
Dieu le Père - Je suis Dieu. Quand vient le moment de vous aider, je suis toujours présent. Quelquefois, des personnes ne méritant pas d'être en ma présence étaient présentes, Je me suis alors retiré et j’ai envoyé la Maman qui a parlé en mon nom. Marisella, douce créature du Ciel, sois forte. Monseigneur Claudio, mon fils, sois fort. Je vous aiderai, comme je l’ai toujours fait, même si vous pensez le contraire, mais votre route est épineuse et hérissée d'obstacles. Tu t’en souviens, Claudio? Nous traînerons notre chair pauvre et misérable sans prononcer de parole amère de révolte. Tu t’en souviens mon fils Claudio?
L’Evêque - Je m'en souviens.
Marisa - Oui, mon Dieu, mais aide-nous
Dieu le Père - Je vous donne ma sainte bénédiction, au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, Ainsi soit-il.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu, Mon Dieu, merci. Fais-nous aller un petit peu mieux, je t’en prie, parce que nous n’arrivons plus à vivre ainsi.
Dieu le Père - Tu me défies encore, tu n’as pas encore confiance en moi? Je suis toujours prêt à vous aider, ce sont les hommes qui me repoussent.
Marisa - Pas moi.
Dieu le Père - Oh non, ma fille, petite Marisella! Tu as toujours souffert depuis ta naissance, ce n'est pas toi qui me repousses. Adieu, ma petite. Un baiser aussi au petit et grand Evêque que j’ai ordonné. Les hommes qui en disent du mal, qui ne croient pas que je l’ai ordonné Evêque, iront en enfer.
Je suis le maître du Ciel et de la Terre, et je peux faire ce que Je veux. Gare à ceux qui se sont permis de dire du mal, de calomnier mon Evêque! Ta soeur, Claudio, a bien parlé: "Nous pouvons vivre jusqu'à cent ans sur Terre, mais au Paradis nous jouissons pour toute l’Eternité ". Alors regardez le Paradis et ne pensez pas à ce temps que vous devez vivre sur la Terre. Priez avec Marie, la Mère de l’Eucharistie, Saint Joseph, la maman de Marisella, que moi aussi, Dieu, j’appelle grand-mère Iolanda, et soyez unis à Moi. Priez, priez et priez.
Marisa - Adieu.
Villetta Barrea (AQ), le 23 août 2006 - 22h20 (Lettre de Dieu)
La Madone - C’est l'heure de la grande prière au Paradis.
Marisa - Et alors, pourquoi es-tu en train de parler avec moi?
La Madone - Marisella, comment oses-tu?
Marisa - Tu sais que je plaisante. Quand demanderas-tu à Dieu le Père ce qui me tient tant à coeur?
La Madone - Parle d’abord avec ton directeur spirituel et demande lui: "Veux-tu venir au Paradis avec moi?".
Marisa - Il veut venir au Paradis avec moi.
La Madone - C’est bon. Tu le lui demandes et je parlerai ensuite au Dieu Tout-puissant, d’accord?
Marisa - Tu sais que cela me fatigue de parler et de respirer? Oui, j’ai compris. Adieu. Je vais maintenant essayer de manger quelque chose. J’aimerais sentir que les autres m’aiment un peu, un peu. Tu te demandes pourquoi, mais je ressens ce besoin, sentir que les autres m’aiment, me donne du courage.
Tu m'emmènes avec Monseigneur? Emporte-nous, je t’en prie, je ne me sens pas capable de le laisser ici sur la Terre!
L’Evêque - Mais je t’accompagnerai.
Marisa - Non, reste avec moi au Paradis.
L’Evêque - Je dois retourner sur la terre, j’ai à faire, je ne peux pas abandonner la communauté. Souviens-toi de ce qu’a écrit Saint Paul.
Villetta Barrea (AQ), le 24 août 2006 - 23h50 (Lettre de Dieu)
Marisa - Je t’en prie, ne parle plus comme ce soir. Tu as vu quelle journée nous avons eue tous les deux. Quand tu dois venir, avertis-nous, si tu veux, mais ne nous fais pas attendre si longtemps. Nous souffrons énormément. Dieu se fait entendre pour me dire que je dois faire Sa volonté. Toi, quand tu viens, tu es une douce maman, mais tu ne nous dis rien sur ce qui doit arriver. Nous avons écrit les noms de ceux que je dois emmener au Paradis, mais comment et quand cela arrivera-t-il? Demande à Dieu qu’il nous aide un petit peu.
Nous vivons dans des conditions désastreuses, mais nous t’aimons tant et nous aimons Dieu, mais nous sommes sur la terre. Nous souffrons comme aucun homme de la Terre n’a jamais souffert, personne ne peut comprendre notre souffrance. Viens, Maman, viens plus souvent! Nous avons besoin de toi. Ne vois-tu pas à quel point nous sommes détruits? C’est depuis 1999 que nous avons l’impression que l’on se moque de nous: "Cela arrivera, cela arrivera", mais jusqu'à présent rien n'est arrivé. La souffrance est toujours plus grande, mais je ne réussis plus à la supporter. Nous essayons de sourire, de parler à ceux qui viennent nous voir, mais notre coeur est en morceaux. Peux-tu nous aider, Maman?
Dis-nous, je t’en prie, ce que nous devons faire? Je pensais être arrivée, je vais plus mal qu’avant et je suis encore sur cette planète Terre. Dieu m’a appelé "créature du Ciel ". Quel ciel? Qu’est ce qui est en haut ou qu’est-ce qui est en bas? Je ne me sens pas comme une créature du Ciel. Ne me regarde pas, regarde notre Evêque, que tu aimes tant et que tu dis qu’il est ton fils. Tu l’aimes, mais que fais-tu pour lui? Depuis qu’il a été ordonné Evêque par Dieu, qu’a-t-il eu? Souffrance, souffrance et toujours souffrance; nous sommes fatigués. Devons-nous continuer à vivre ainsi? Nous avons l’intention de tout abandonner, de tout arrêter et de nous enfermer dans la maison, peut-être pour travailler et écrire. J’aimerais tant que l’Evêque arrête tout. Il pense toujours à la communauté, mais au fond, même s’ils sont bons, que peuvent-ils faire pour nous? Ils iront dans leurs églises et finiront eux aussi de souffrir. Pourquoi Dieu ne se décide-t-il pas à nous emporter?
La Madone - Marisella, je ne t’ai jamais entendu parler ainsi. On voit qu’il y a une grande souffrance dans ton coeur et dans celui de l’Evêque. J’ai beaucoup prié avec la maman et tu sais combien de fois nous sommes allées nous agenouiller devant Dieu et l’avons prié pour vous la tête baissée. Dieu a ses plans. Faites Sa volonté, ne faites pas souffrir la Maman et vous verrez que tout ira pour le mieux.
Marisa - Maman, ma petite maman, ce n'est pas une belle nuit qui m’attend, viens près de moi pour m’aider, parce que je suis si fatiguée. Viens, ma petite maman!
Grand-mère Iolanda - Je veillerai à ce que tu puisses te reposer, mon trésor, même si tu as beaucoup de douleurs, mon enfant. Je ne t’ai jamais vu souffrir autant et tu veux que la maman ne pleure pas à cause de cela?
Marisa - Je dis seulement: aide-nous, nous avons besoin de votre aide.
La Madone - C’est bon, ce soir nous parlerons de nouveau à Dieu le Père, nous prierons à genoux avec tous les anges et les Saints. Nous lui demanderons ce que tu as dit, Marisella, et nous verrons ce qu’il dira. s’il dit encore que vous devez faire sa volonté, choisissez: ou vous continuez à faire sa volonté ou vous vous retirez comme tu l’as dit.
Marisa - Oui, mais ceci n'est pas beau; devoir se retirer après tant d’années de souffrance ne me semble pas beau.
La Madone - Marisella, je le dis pour toi, pour l’Evêque, même si vous vous retirez, vous n'offenserez pas Dieu. Faites la volonté de Dieu et Dieu vous fera comprendre ce qu’il veut. Tu n'es pas bien, Marisella, la maladie progresse et les douleurs augmentent. Ne prends plus rien sur toi, laisse les autres aussi travailler pour l’Eglise.
Ensemble avec mon et grand saint Evêque, Monseigneur Claudio, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.
Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu, maman.
Grand-mère Iolanda - Donne un baiser de ma part à mon Evêque.
Marisa - Oui, mais priez pour nous, nous n'en pouvons plus.
L’Evêque - Tu as été brave.
Marisa - J’ai dit ce que j’avais dans le coeur.
L’Evêque - C’est ce que j’aurais dit aussi.
Marisa - Mais je ne comprends plus rien du tout.
Villetta Barrea (AQ), le 26 août 2006 - 0h10 (Lettre de Dieu)
Dieu le Père - C’est moi Dieu, Marisella, tu ne me vois pas, mais tu vois la fleur; sa beauté est la beauté de ton âme.
Oui, tu peux prendre l’Eucharistie quand tu le veux et si après tu as encore faim, essaie de manger quelque chose. Nous nous étions déjà mis d’accord ainsi, mais il me semble que toi et l’Evêque vous ne m’avez pas bien compris. J’avais déjà dit que tu devais prendre l’Eucharistie et que si cela ne suffisait pas, tu pouvais manger un petit peu, un peu; ce peu n'est pas entré dans ta tête. N'est-ce pas, Marisella?
Marisa - Oui, mon Dieu, Tu as raison. Qui est venu te le dire, la Madone et maman?
Dieu le Père - Oui. Elles sont venues toutes les deux préoccupées et se sont agenouillées, la tête baissée, comme le font maintenant tes êtres chers. Excellence, je te prie de te lever, tu es déjà assez martyr.
Marisa - Et eux?
Dieu le Père - Non, ils peuvent rester agenouillés.
Marisa - Ecoute, mon Dieu, c’est bien ainsi?
Dieu le Père - Oui, mais, Marisella, fais attention quand tu parles, mon enfant, mon trésor, parce que je te comprends, créature du Ciel, mais tous ne peuvent pas comprendre quand tu parles d'une certaine manière. Levez-vous, mes enfants pour recevoir ma bénédiction. Je vous bénis tous au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit il.
Marisa - Puis-je te dire adieu, mon Dieu?
Dieu le Père -Bien sûr.
Marisa - Je te dis aussi merci, mon Dieu, parce que Tu es toujours près de nous. Je ne désire plus rien pour moi, Tu peux me prendre quand Tu veux, mais je te recommande Son Excellence Monseigneur Claudio. Tu l’as ordonné Evêque et Tu dois penser à lui. N'est-ce pas mon Dieu, que Tu le feras?
Dieu le Père - Si tu me le dis de cette manière.
Marisa - Aide-le, je t’en prie, même quand il restera seul, parce que je ne serai plus là, aide-le, m'enverras-Tu sur la Terre pour l’aider?
Dieu le Père - Oui, sois tranquille, créature du Ciel.
Marisa - Dieu est parti. Bonjour, maman, bonjour, petite Madone, merci d’avoir prié Dieu de venir nous parler. Il est parti maintenant, parce que la fleur n'est plus là, elle est si belle. Oh, combien paierais-je pour la trouver!
La Madone - Un jour quand tu iras un petit peu mieux, nous la dessinerons ensemble.
Marisa - Mais quand?
La Madone - Nous nous assiérons à la petite table et nous dessinerons la fleur et l'étoile de Dieu. Adieu, créature du Ciel, adieu.
Marisa - Adieu, maman, adieu.
La Madone - Donne un baiser à Son Excellence.
Grand-mère Iolanda - L’Excellence est plus beau.
Marisa - d’accord. Adieu, adieu, maman.
Villetta Barrea (AQ), le 26 août 2006 - 23h05 (Lettre de Dieu)
Marisa - Pardonne-moi, si je ne suis pas digne de te recevoir comme je suis, mais tu es venue à l’improviste. Je me déplace difficilement et tu le sais, accepte moi comme je suis.
La Madone - Mes chers enfants, je suis ici pour ceux qui sont venus vous voir pour la première fois depuis que vous êtes à la montagne, pour la petite Mariasole, pour Anna, parce que sa maman est avec moi et pour vous tous ici présents. Nous prions énormément pour connaître la réponse de Dieu, mais il n'est pas facile de l’obtenir cette réponse, comme vous l’aimeriez. Si Dieu venait et disait: "Oui, nous ferons demain tout ce que je vous ai promis", vous seriez tous heureux, mais Dieu veut encore sauver des âmes, au moins celles qui ne connaissent pas bien la religion. Avez-vous vu combien d'âmes sont prêtes à monter au Paradis? Et il y en aura encore.
Je veux vous aider à accepter la volonté de Dieu. Vous ne pouvez pas dire tous les jours: "Mon Dieu, mon Dieu, que fais-Tu? Que dis-Tu? Quand viens-Tu? Nous attendons Ta réponse". Non, on ne parle pas ainsi à Dieu. A Dieu, on dit: "Mon Dieu, nous attendons Ta réponse, mais que Ta volonté soit faite". Vous êtes dans la grâce de Dieu. Les pécheurs doivent se faire du souci, ceux qui ne sont pas en état de grâce.
Grand-mère Iolanda rayonne, depuis qu’elle est montée au Paradis elle est une autre personne. Elle les aime tous, elle m’accompagne souvent chez les petits enfants, les pauvres, les malades et quand elle a fini son travail, elle s’agenouille avec moi devant Dieu et lui demande des grâces pour vous. Elle sait comment sont les choses. Ce que Dieu vous a promis arrivera. Vous avez raison, cela fait maintenant des années que vous attendez que vienne la parole sainte de Dieu; elle viendra, mais nous devons aider d’autres personnes à monter au Ciel. Pensez que sur les 3.540 personnes, les noms de 1 600 ont déjà été écrits; n'est ce pas une joie pour vous? Vous devez en être heureux.
Saint Claudio, Monseigneur, Evêque ordonné par Dieu, sois bon, sois compréhensif, écoute et accepte la volonté de Dieu. Je suis heureuse que tu pries pendant la nuit, mais ta première tâche est de dormir. Vous devez tous dormir, pour pouvoir travailler le jour suivant. Que puis-je te dire, à toi Marisella? Tu es maintenant toute à Dieu, tu es une créature du Ciel. Je te dis seulement de prier pour les âmes qui sont bonnes, mais qui n'ont personne qui leur enseigne les Commandements et tout ce que Dieu veut. Sois donc patiente, ma fille, je sais que l’attente est longue et que tu devrais déjà être montée au Paradis depuis bien des mois. Tu y monteras, ne te fais pas de soucis parce que tu n'es plus bonne à rien. Tu ris, plaisantes, chantes et parles, mais ta santé s'en va et toutes ces âmes du Purgatoire viendront avec toi. Parmi elles, il y a des parents à toi et à l’Evêque ordonné par Dieu. Grand-mère Iolanda m’accompagnera et avec toi nous guiderons toutes ces âmes vers le Paradis. Il n'y a pas de réponse de Dieu; c’est triste, humainement parlant, mais ce n'est pas ainsi, parce que la réponse de Dieu viendra; soyez plus dociles, ayez plus de confiance et d’amour envers Dieu, parce que Dieu est amour et vous aime immensément. Grand-mère Iolanda, dis quelque chose à ces enfants.
Grand-mère Iolanda - Bonjour, Anna, c’est moi ta maman et je suis très heureuse, sois heureuse toi aussi. Bonjour, Selenia, ma petite-fille qui a tant aimé sa grand-mère. Nous avons tant souffert ensemble, mais je suis heureuse aujourd'hui. Tu as ton mari, la petite Mariasole et il y a ici aussi les autres enfants que tu sais. Aimez-vous bien tous.
Marisa - Maman, puis-je dire à la Madone d’aider tous mes neveux et petits-neveux afin qu’ils aillent bien? Maman, tu m'envoies un baiser?
Grand-mère Iolanda - Pas seulement à toi, j’en envoie un également à Anna, Selenia, Mariasole et Angelo. Mariasole, envoie un petit baiser à ta grand-mère et aussi à la petite Madone. Mois aussi, je prie Dieu pour toi, Monseigneur, l’Excellence, celui qui était prêt à tout pour m’aider et qui lorsqu’il me voyait seule, venait parler avec moi. Comme il a été doux, cet homme, ce Monseigneur, cet Evêque.
Marisa - Merci, maman, merci.
La Madone - Moi, la petite Madone, avec grand-mère Iolanda et mon saint Evêque, je vous bénis, je vous couvre de mon manteau maternel et vous serre tous très fort sur mon coeur. Alleu dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Souvenez-vous que je ne devais pas venir aujourd'hui, mais que je suis venue pour vous, mes chéris.
Marisa - Adieu, maman. Ils sont partis.
L’Evêque -Remercions Dieu qu’il nous ait envoyé la Madone et grand-mère Iolanda.
Villetta Barrea (AQ), le 27 août 2006 - 16h15 (Lettre de Dieu)
Marisa - Est-ce vrai que tu as un faible pour Don Claudio?
La Madone - J’ai un faible pour toutes les âmes qui aiment mon Fils Jésus et vivent en grâce avec Dieu.
Marisa - Ecoute, puis-je te poser une question? Où est Dieu?
Dieu le Père - Je suis ici!
Marisa - Tu viens aujourd'hui comme une étoile. Comme elle est belle et grande, grande, grande! Tu as vu, mon Dieu, qu’aujourd'hui aussi les choses n'ont pas bien marché? Nous prions, cherchons à tout faire et puis quelque chose d'imprévu arrive, mais ce n'est la faute de personne. J’ai mal à l'estomac, mais je suis heureuse ne de pas avoir créé de problèmes. Il faut calmer un petit peu Don Claudio, il a raison, toutes les raisons du monde. Il s’afflige beaucoup quand il voit que l’on manque de sensibilité envers ceux qui souffrent.
L’Esprit Saint est venu également. Les trois Jésus sont maintenant présents. Mon Dieu, veux-Tu nous pardonner à tous tant que nous sommes? Nous sommes un peu faibles, nous avons de petites imperfections.
Dieu le Père - Marisella, tu ne dois te préoccuper de rien.
Marisa -Tu nous aimes bien quand même, de toute façon. Je m’incline et adore Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit. Pourquoi Jésus est-il ici et là?
Jésus - Parce que je suis Dieu et que je peux être partout.
Marisa - Jésus, Tu es doux, même trop. Nous aimerions faire une promenade, tu nous envoies un croissant de soleil?
Dieu le Père - Même s’il ne devait pas y avoir de croissant de soleil, vous pouvez quand même sortir. Que faites-vous enfermés dans la maison? Tu auras le temps d'être recluse.
Marisa - Ecoute, y aura t il de l’air au Paradis? A moi, il me manque.
Dieu le Père - Souviens-toi que tu dois dessiner la fleur et l'étoile avec la petite Madone. Tu verras que tout s’arrangera peu à peu.
Marisa - Il y a maintenant les trois Jésus égaux et distincts, le Père, le Fils et le Saint Esprit. Le Père a l'étoile, le Fils les stigmates, le Saint Esprit la colombe.
Adieu à tous, adieu, petite Madone. Adieu, maman, merci de m’avoir aidée avant. Don Claudio
L’Evêque - Dis moi.
Marisa - Les trois Jésus sont venus.
L’Evêque - Je m'en suis aperçu, même si je ne les ai pas vus.
Marisa - J’ai parlé à Jésus.
L’Evêque - Oui.
Marisa - Et j’ai également essayé de parler à Dieu.
L’Evêque -Tu as parlé à Dieu.
Marisa - Ce n'est pas facile de parler à Dieu.
L’Evêque - Mais te rends-tu compte que la Très Sainte Trinité est descendue parler avec toi?
Marisa - Et qui suis-je?
L’Evêque - Tu es importante pour Dieu.
Marisa - Il est parti maintenant, sinon je le lui demanderais.
L’Evêque - Il n'est pas nécessaire qu’il revienne, il l’a dit Lui-même: "Pour Moi, Dieu, tu es la personne la plus important sur la Terre ".
Marisa - Je veux la belle fleur maintenant, où la trouver?
L’Evêque - Je te donne un conseil, prends une feuille de papier.
Marisa - Et je copie un dessin.
L’Evêque - Prends une plume ou un crayon, puis dis à la Madone: "Pose ta main sur la mienne et guide-la pour dessiner ". As-tu compris? C’est ainsi que tu dessineras la fleur et l'étoile.
Marisa - Je me demande: Dieu devait-il venir sous l’aspect d'une étoile ou d'une fleur? Ne serait-ce pas plus facile pour moi s’il venait sous une forme humaine?
L’Evêque - Il est aussi venu sous l’aspect de Jésus. Dans l’ancien Testament, Dieu s'est manifesté sous la forme du feu ou d'un nuage, il s'est montré à Moise sous la forme d'un buisson ardent.
Marisa - A moi sous la forme d'une étoile et d'une fleur.
L’Evêque - C’est plus beau.
Villetta Barrea (AQ), le 29 août 2006 - 23h00
Entretien de Marisa avec Jésus
Marisa - Pourquoi es-Tu triste, Jésus? Qu’avons-nous fait pour te mettre dans cet état?
Jésus - Vous n’avez rien fait du tout.
Marisa - Penses-Tu aux prêtres?
Jésus - J'y pense toujours.
Marisa - Tu m’as dit de ne plus y penser, même de ne plus prier pour eux, et Toi?
Jésus - Tu ne dois pas y penser.
Marisa - Et Toi, Jésus. Tu dois y penser?
Jésus - J’ai institué le sacerdoce, le sacrement de l’ordination et les prêtres l’ont souillé.
Marisa - C’est pour cela que Tu pleures, Jésus? Je t’en prie, ne pleure plus.
Jésus - Il est normal que je pleure pour mes prêtres. Beaucoup se conduisent mal.
Marisa - Puis-je essuyer Tes larmes?
Jésus - Tu le peux.
Marisa - Ne pleure pas, Jésus, c’est moi, si Tu le veux, je recommence à souffrir et à prier pour tous les prêtres.
Jésus - Non, non, non.
Marisa - Ne fais pas cela. Regarde toutes ces larmes qui coulent sur Ton visage.
Jésus - Où est Claudio?
Marisa - Je ne sais pas, je ne sais pas, il était maintenant ici, veux-Tu que je l’appelle?
Jésus - Quand Jésus vient, où va Don Claudio?
Marisa - En haut, au Paradis et il se porte mieux que moi.
Jésus - La Maman est arrivée.
Marisa - Maman, O Mère de l’Eucharistie, viens consoler ton Fils qui pleure. Je ne suis bonne à rien. Je veux souffrir à nouveau pour les prêtres, mais Jésus ne le veut pas.
Jésus - Cela jamais. Je ne le veux pas.
Marisa - Et j'obéis.
Jésus - C’est bien.
Marisa - Mais je ne veux pas Te voir ainsi, Jésus. Nous avons fait tant en parlant ensemble.
Jésus - Essaie de parler avec la maman.
Marisa - Que dois-je lui dire?
Jésus - Ce que tu veux.
Marisa - La seule chose que je peux lui dire est de t’aider, Tu es son Fils. Pourquoi ne l’aidez-vous pas? Vous aidez même l’Evêque et moi. La fin des vacances est arrivée. Avons-nous été en vacances? Nous n’avons eu que des souffrances, souffrances et souffrances. Pourquoi permettez-vous tout ceci? J’aimerais le comprendre. J’ai toujours fait ce que Dieu m’a demandé, j’ai toujours dit oui, mais je ne pensais pas voir Jésus pleurer autant; il va se rendre malade.
Jésus - Jésus ne se rend pas malade, il souffre seulement.
Marisa - Petite Madone, ne pourrais-tu pas venir près de Lui? C’est ton Fils. Il a dit qu’il ne tombera pas malade, qu’il souffre seulement, mais la souffrance est dure aussi, je le sais parce que j'y suis passée et je la vis encore. Maintenant je vais mieux que Jésus.
La Madone - Marisella, qu’est-ce que tu dis.
Marisa - Que je vais mieux que Jésus. Il est au Gethsémani et pleure. Je veux être près de Lui et pleurer avec Lui. Viens toi aussi et maman pleurer au Gethsémani, nous le transformerons ainsi en un lacrymatoire. La seule chose qui m’intéresse c’est que tu viennes aider Jésus, tu aideras après Don Claudio. Tu sais ce que Don Claudio subit, il est fort.
La Madone - Il est fort, mais il s'est écroulé aujourd'hui.
Marisa - Il s'est écroulé et je ne m'en suis pas rendue compte. Je l’ai vu courir, aller acheter un cadeau pour quelqu’un et j’ai pensé qu’il était joyeux (Marisa pleure). Je ne pensais pas je ne pensais pas qu’il s'était écroulé, qu’il allait mal. Comment ai-je fait pour ne pas m'en apercevoir?
Jésus - Ne pleure pas.
Marisa - Mais Tu pleures Toi même, Jésus.
Jésus - Je ne pleure plus.
Marisa - Je vois Tes yeux, ils sont rouges et pleins de larmes. Tu es rouge, Tu n'es pas bien.
Jésus - Mais si, je sui bien.
Marisa - Comme Ton visage brûle!
Jésus - C’est l’amour qui l'enflamme.
Marisa - Qui Te ruine.
Jésus - Es-tu mal, Marisella? Ne pleure pas.
Marisa - Non, je ne suis pas mal.
Jésus - Ne pleure pas, Marisella.
Marisa - Nous ne devions pas finir la journée ainsi. (Marisa pleure) J’ai tout fait pour me tenir debout et je ne me suis pas aperçue que Don Claudia était si abattu.
Jésus - Marisa, Marisa! Maintenant c’est moi qui te de dis de ne pas pleurer.
Marisa - Et comment dois-je faire pour ne pas pleurer?
Jésus - Je te le dis, ne pleure plus, cela suffit.
Marisa - Petite Madone, veux-tu nous aider? Oublie-moi, ne t’intéresse pas à moi, de toute façon, comme Dieu l’a dit, je m'en irai bientôt. Par contre l’Evêque a toujours été calomnié, humilié, ridiculisé; on lui a manqué de respect et on l’a détruit. Essaie maintenant de nous aider, je t’en prie, nous sommes seuls, nous vous avons, vous du Ciel, mais vous êtes en haut dans le ciel et nous sommes encore sur la Terre à nous battre. Je te demande pardon de ne pas m'être rendue compte que Tu étais toi aussi déprimé.
Jésus - Ne le dis plus.
Marica - Non, je dois remarquer quand Tu es déprimé et dans le besoin. Toi, mon Jésus, mon époux. Même l’Evêque est très déprimé.
Jésus - L’Evêque est déprimé, Jésus est déprimé, l'épouse de Jésus est déprimée et la maman?
Marisa - Elle tient debout.
Jésus - Tu vois que je réussis même à sourire? Continue à parler à la maman, elle te comprend.
Marisa - Non, personne ne me comprend.
Jésus - Parle avec la maman.
Marisa - Que dois-je lui dire? Je ne sais pas quoi lui dire.
Jésus - Grand-mère Iolanda pleure.
Marisa - Oui. Je ne sais ce que je dois lui dire.
Jésus - Parle avec grand-mère Iolanda, tu verras qu’elle te répondra, Dieu lui en donné la permission.
Marisa - Maman, maman, ne pleure pas, trésor, tu sais que bientôt, si Dieu tient parole, j’irai au Paradis? Ne pleure pas.
Grand-mère Iolanda - Nous prions tant pour l’Evêque, l’Excellence. Ma fille, tu ne peux pas t’imaginer combien de fois nous courrons à genoux devant Dieu, prier pour l’Excellence. Vous me semblez être deux petits oiseaux en cage, seuls, abandonnés, mais Nous sommes avec vous, Dieu, la Mère de l’Eucharistie, Saint Joseph et tant de personnes vous aiment ici au Paradis. Il est plus difficile d’en trouver sur la Terre qui vous aiment, parce qu’il y a la jalousie, l'envie, la médisance, tant de méchancetés. Marisella, voulons-nous prier tous ensemble, avec Son Excellence, en tournant nos yeux vers Dieu?
Notre Père... Gloire à Dieu... Je vous Salue Marie...
La Madone - Courage, mes enfants, votre victoire viendra, il faut encore attendre, mais elle viendra. Nous ne vous laissons pas seuls, nous sommes avec vous et si les hommes de la Terre vous font souffrir, faites comme disait Dante: "Ne parlons pas d’eux, mais regarde et passe". Aidez l’Excellence, comme le dit grand-mère Iolanda, aidez Marisella.
Marisa - Quand viendra l'heure de mon départ de cette Terre? Ce sera alors aussi mieux pour l’Excellence et j’espère beaucoup que vous l’aiderez.
Marisa - Je te salue Marie, salue Jésus de ma part, je t’attends à l'heure de ma mort. Adieu, merci, adieu, ma petite maman. Claudio?
L’Evêque - Me voici.
Marisa - Où étais-tu jusqu'à présent, au Gethsémani ou au Paradis?
L’Evêque - Au Gethsémani.
Marisa - Avec Jésus?
L’Evêque - Oui.
Marisa - J'y étais, mais je ne t’ai pas vu.
L’Evêque - Don Claudio y était aussi, Jésus et Don Claudio n'étaient qu’un à ce moment là.
Marisa - Et moi qu’est-ce que j'étais.
L’Evêque - Tu étais une avec la Madone, la souffrance de l’une était la souffrance de l’autre.
Marisa - Vas-tu un peu mieux?
L’Evêque - Oui.
Marisa - Sûr?
L’Evêque - Tu ne le vois pas?
Marisa - Non, je ne le vois pas.
L’Evêque - Tu ne vois pas bien?
Marisa - Avant d’aller te coucher, nous prendrons ta tension. Je dois obéir à Jésus et à la Madone.
L’Evêque - Ils veulent que je prenne ma tension?
Marisa - Bien sûr. Tant que tu vivras sur cette terre, il faudra te soigner.
Villetta Barrea (AQ), le 1er septembre 2006 - 0h25 (Lettre de Dieu)
Marisa - Bonjour, bonjour. J’ai eu très peur, parce que j’avais peur que tu ne viennes pas. Maman et Saint Joseph sont également venus. Petite Madone, je n’ai pas été très bonne aujourd'hui.
La Madone - Marisella, ne dis pas cela. Tu es plus que bonne, si l’on tient compte de tout ce qui t’arrive. Ce sont les autres qui doivent t’aider et te comprendre. Tu as gardé pour toi tant de choses affreuses, afin de ne pas faire souffrir ton frère et mon fils, l’Excellence. Tu ne dois pas les tenir cachés longtemps. (quintes de toux)
Marisa - Excuse-moi, je tousse un peu.
La Madone - Disons un peu. Tu ne dois pas garder longtemps pour toi les choses désagréables que tu peux dire à ton frère, à ton directeur spirituel, sinon ton foie et surtout ton estomac te rendront encore plus malade. Tu n’as pas été méchante, sois tranquille, tu as été plus que bonne. Quand l’amour est grand, le conflit arrive aussi. Pourquoi? Ceci arrive parce que vous vous aimez, vous aimez Dieu et aussi les hommes, cherchez à les aider tous. Vous n’avez jamais réussi à faire souffrir une fois Jésus et moi, jamais. Vous ne nous avez jamais fait souffrir, alors que des milliers de personnes nous font souffrir par leur façon de parler et leur comportement. C’est pourquoi nous vous aimons tant et si je ne me suis pas fait voir jusqu'à maintenant, je t’en dirai les raisons cette nuit, quand je viendrai te faire dormir.
Marisa - Tu vas me faire dormir rapidement, parce que je suis très fatiguée?
La Madone - Oui, oui. Voyons maintenant ce qu’il y à faire, parce que nous sommes tous réunis devant Dieu, à prier à genoux. Je me suis éloignée et j’ai amené avec moi ta chère maman et mon époux bien-aimé, nous devons y retourner après. Il y a de longues soirées de prière. Tu sais que chez Nous il n'y a ni soir, ni matin, ni nuit, ni jour; je te parle ainsi pour te faire comprendre que ce sont de longs moments de prière, de chants, de psaumes, d'hymnes, nous devons être tous présents devant Dieu et prions pour vous, mes chers et doux enfants. Créature du Ciel, accepte que je t’appelle ainsi, parce que c’est la vérité.
Marisa - Mais quand les gens entendent cette expression, je suis gênée. Je n’aime pas être appelée ainsi, parce que je me sens comme une créature de la Terre, regarde comme je suis! Je suis une bonne à rien.
La Madone - Non, laisse dire. Comment Dieu, Notre Père, t’a t’il appelée? Joyau de Dieu, Trésor de Dieu, Amour de Dieu, la même chose vaut aussi pour Son Excellence: je vois qu’il sourit. Tu réussis mieux à dissimuler, à cacher ta grande souffrance. Ce que tu as fait hier soir a été une scène fort agréable, nous avons beaucoup ri. Son Excellence est plus réservé et on remarque davantage sa souffrance. Le geste que vous avez fait de téléphoner à ce prêtre a été très beau. Nous espérons que sa conversion se poursuivra et qu’il pourra vous rejoindre au Paradis. Attendez maintenant, voyons comment la situation va évoluer pour lui et puis, probablement, il viendra de nouveau parmi vous.
Marisa - Oui, mais moi, excuse moi si j'ose, j’aimerais savoir quand je vais partir. Quand allez-vous m'emmener? Je n'en peux plus ainsi, je suis aussi une charge pour son Excellence.
La Madone - Oui, je le sais, Marisella, mais c’est Dieu qui décide de tout. Il y a maintenant d’autres soucis et d’autres priorités, tu verras ensuite qui t’emmèneras, ne t’inquiète pas.
Marisa - Oui, mais quand, combien de mois dois-je encore attendre? Attends un instant, ne bouge pas. Il y a une petite image de la Mère de l’Eucharistie.
L’Evêque - Prends-la, Jean.
Marisa - Attends, petite Madone.
Marisa - Tu m’as dicté cette prière le 13 mai 1989, il y est écrit: "Je veux venir avec Toi au Paradis et pour l’instant remplis mon coeur de cette nostalgie". La Madone m’a dicté cette prière en 1989 et je t’en ai lu la fin. Depuis 1989, se sont écoulées
L’Evêque - Dix sept années.
Marisa - Cela fait dix sept ans que je ressens la nostalgie du Paradis. Je devais partir à Noël, puis à Pâques, au mois de mars, et je suis encore ici. Je suis mal, je suis mourante, je sens la mort, puis je renais comme les fleurs.
L’Evêque - Je refleuris.
Marisa - Je refleuris, je renais. Son Excellence m’a suggéré comment m'exprimer: refleuris. Alors quand irai-je au Paradis? Dites-moi au moins une date approximative, je ne demande pas beaucoup. Quand tu viens, tu me parles de l’Eglise, des prêtres, des petits enfants et des mamans qui souffrent, de la guerre et de bien d’autres choses graves. Nous deux aussi, nous souffrons, parce que ma présence sur la Terre gêne les autres et donne des soucis à l’Excellence, qui après ma mort sera libre de voler. Tu as dit qu’il devait partir se reposer après ma mort.
La Madone - Tu es en colère, Marisella?
Marisa - Oui, je me suis mise en colère toute seule. Dis à Dieu que je suis fatiguée d'être ici sur la Terre. Tu dois nous envoyer quelqu’un de bon, parce que nous n'y arrivons plus seuls.
La Madone - J’aimerais dire quelque chose. Comment se fait-il que quand grand-mère Iolanda était là, elle faisait tout toute seule? Le ménage, le repassage, les repas, les courses? Parce que grand-mère Iolanda faisait toutes ces choses avec amour. Elle priait beaucoup et pendant que vous vous reposiez, elle allait à la chapelle pour la nettoyer, en silence, elle et Jésus étaient seuls. Pourquoi avez-vous maintenant besoin de tant de personnes autour de vous?
Marisa - Je ne le sais pas, mais nous avons aussi deux jeunes et deux petits enfants.
La Madone - Oui, oui, je sais combien vous êtes. Je sais qui vous êtes et que vous vous sentez seuls.
Marisa - Nous nous sentons seuls, parce que nos neveux et petits-neveux nous aiment, mais ont leurs familles. Dis-le que nous sommes seuls.
L’Evêque - Nous sommes seuls. Je n’ai pas non plus de prêtre après tant d’années.
Marisa - Après tant d’années. On pourrait peut-être dire qu’il en a eu un qui avait quatre vingt un ans. Cela te paraît beau? Pourquoi doit-il être seul? Pourquoi Dieu l’a-t-il ordonné Evêque?
La Madone - Marisella, comment te permets-tu de me poser toutes ces questions et de m’adresser tous ces pourquoi? Relis la Lettre de Dieu, il est inutile de se poser tant de pourquoi, il n'y aura jamais de réponse.
Marisa - Alors je dois me taire et l’Evêque doit vivre tout seul? Si Dieu l’a ordonné Evêque, il doit lui donner aussi la possibilité d’exercer son épiscopat. s’il était resté un simple prêtre, tant de choses ne seraient pas arrivées qui sont arrivées et sont toutes vilaines.
La Madone - C’est pour cela, Marisella, que tu dois prier. Tu dois aider à convertir ces personnes.
Marisa - Toutes ces personnes qui ont dit du mal? Et moi, quand vais-je mourir? Oh, mon Seigneur! Mais moi quand vais-je mourir, quand vais-je m'en aller?
La Madone - Ne t’inquiète pas, bientôt.
Marisa - "Je veux venir avec toi au Paradis et pour l’instant remplis mon coeur de cette nostalgie ", cette prière est datée du 13 mai 1989, cela fait dix sept ans que je récite cette prière. Il y a ton fils ici.
La Madone - Marisella, ne demande pas tant de pourquoi. Dieu ne trahit pas et sait ce qu’il fait. Tu t’es entièrement donnée à Lui, tu Lui as dit ton "Oui", tu as embrassé la croix, maintenant accepte-la. Quand tu partiras, tu verras que Son Excellence aura plus de force, plus de vigueur et que beaucoup de personnes seront auprès de lui.
Marisa - Mais aide-le, ne le laissez pas seul. Il n’a personne maintenant. Voulez-vous l’aider?
La Madone - Marisella, tu me reprends.
Marisa - Oh Mon Dieu, Don Claudio, je la reprends?
L’Evêque - La Madone plaisante.
Marisa - De toute façon je ne suis pas d'humeur à plaisanter, parce que je suis un peu fâchée. Protège nos jeunes, nos neveux, les petits enfants.
La Madone - Je te donne maintenant une information qui ne va peut-être pas te plaire. Nous partirons dimanche pour le Jourdain.
Marisa - Non, cela me fait plaisir, mais ce que je voulais entendre est quand je quitterai ce monde. Ecoute, je peux partir dans du papier d’argent sans faire de dépenses pour le cercueil?
La Madone - Marisella, tu dois faire comme tous les autres.
Marisa - Excuse-moi, mais pourquoi dois-je faire dépenser de l’argent à Son Excellence? J’achète deux rouleaux de papier d’argent, je m'en enveloppe toute seule, je me fais un noeud ici, me prépare à une bonne mort et puis nous montons au ciel. Je ne suis pas belle, mais cela ne fait rien.
La Madone - Marisella, finis de plaisanter maintenant.
Marisa - Non, non, ce n'était pas une plaisanterie, alors nous ne nous sommes pas compris. Je n’ai pas plaisanté. Je veux quitter cette Terre, je suis fatiguée. Je dois toujours souffrir, souffrir, souffrir, parce que vous venez me dire qu’il faut sauver cette et cette autre personne.
C’est bon, prions. Quand je parle avec toi, ou avec Jésus, Dieu, Saint Joseph, ma maman et l’Excellence, Vous avez toujours raison. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit, Ainsi soit-il. Notre Père Gloire à Dieu Je vous salue Marie
Marisa - Adieu, maman, donne le bonjour également à mes tantes Anna, Gina, Gianna, Silvana et Enza.
Grand-mère Iolanda - Tu sais que tu dois donner mon baiser à l’Excellence.
Marisa - d’accord, maman, dis à Dieu de me faire monter au ciel, je t’en prie. d’accord?
La Madone - Tu ne veux pas non plus la bénédiction, Marisella?
Marisa - Si, d’accord, l’Excellence me la donnera de toute façon. Cela m’a échappé, tu sais que je suis ainsi.
La Madone - Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis vous ici présents, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu, adieu, n'oublie pas, va trouver Dieu pour lui dire que je suis prête. Il n'y a pas besoin de cercueil, je m'enveloppe dans du papier d’argent et je m'en vais. Adieu. Ils sont partis. Elle croyait que je plaisantais, mais je parlais sérieusement.
L’Evêque - La Madone a parlé ainsi pour te remonter le moral et dédramatiser la situation.
Marisa - En vérité, regarde comme elle m’a remonté le moral.
L’Evêque - On verra après et vous poursuivrez l'entretien.
Villetta Barrea (AQ), le 3 septembre 2006 - 0h10 (Lettre de Dieu)
Marisa - Merci d'être venue, petite Madone, nous avons souffert de ton absence.
La Madone - Mes chers enfants, cette apparition vaut aussi pour demain. Il est plus de minuit. Vous êtes très fatigués, vous devez faire vos bagages et rentrer à Rome. C’est triste pour toi, Marisella, de rentrer à Rome?
Marisa - Oui. Si je marchais ce serait mieux pour moi, parce que je pouvais sortir de la maison, comme tous les autres, mais je dois maintenant rentrer à Rome et m'enfermer dans cette chambre sans pouvoir descendre et sortir dans le jardin, cela me coûte. J’avais ici la possibilité de sortir dans le jardin et quelqu’un m'emmenait en voiture dans la montagne.
La Madone - Oui, Marisella, cette joie est finie.
Marisa - Nous avons passé des mois de vacances, mais des mois de dures épreuves, de souffrances, de sacrifices et j’ai très peur maintenant que je rentre à Rome. Si tu m’aides et que tu es près de moi, j’aurai la force d'être calme et d’accepter n'importe quelle souffrance.
La Madone - Nous partirons demain pour le Jourdain et tu y seras heureuse, parce que c’est pour toi comme un coin de Paradis.
Mes chers enfants, je suis très heureuse quand vous donnez la sérénade à la Mère de l’Eucharistie ou à Jésus. Tout cela me fait plaisir, mais j’aimerais vous voir plus unis. Vous devez montrer plus d’amour, de compréhension, de sensibilité, les uns envers les autres; Dieu le veut de tous: de vous qui êtes ici présents et de ceux qui sont loin. Ne créez pas de problèmes à nos deux enfants, ils en ont déjà tant, mais donnez leur votre aide, votre amour et votre compréhension. C’est vrai, Son Excellence a raison quand il dit que nous n’avons pas souffert comme eux quand nous vivions à Nazareth. Nous aussi nous avons été l’objet de moqueries et de calomnies, mais le monde était alors différent.
Vous vivez maintenant dans un monde où les hommes sont nombreux et ne savent pas aimer, y compris mes prêtres. Les hommes sont pris par leurs propres problèmes et ne pensent pas à ceux qui souffrent. Combien de fois j’aimerais venir et dire: "Vous faites souffrir vos frères", mais Dieu me dit: "Marie, laisse, il y en a tant qui ne comprendraient pas, même si Moi, Dieu, j’apparaissais sur la Terre, ils auraient toujours quelque chose à dire ". Vous au moins, que je suis depuis beaucoup d’années, vous essayez de vous aimer, de vous aider.
Vous avez été braves, chaque fois que votre directeur spirituel vous a demandé d’aider Marisella. Continuez ainsi, c’est beau de s’aimer, c’est beau de s'entraider.
Marisa - Ecoute, petite Madone, me feras-tu dormir cette nuit? Je suis si fatiguée d'être sur cette Terre, si fatiguée de ne pas dormir et si fatiguée d’avoir des douleurs, douleurs et toujours des douleurs. j’essaie de les cacher, je fais tout mon possible, mais ce n'est pas facile, c’est parfois très difficile.
La Madone - Marisella, nous sommes venus trois fois la nuit dernière pour t’aider, mais ton corps est crucifié de toutes parts par les douleurs.
Marisa - Oui, je comprends, mais si je me ne repose pas, l’Evêque non plus ne se repose pas, il doit se reposer, il est très fatigué. Tu le vois? Regarde bien le visage de ton fils bien-aimé. Vois-tu comme il est fatigué? Si je dors, il dort.
Je n'ose pas te demander autre chose, même si j’ai toujours des difficultés à manger. Je continue jour après jour et quand je ne pourrai plus manger, j’espère que viendra le moment de mon départ. Emporte-moi au ciel, emporte-moi, je vous en prie, je suis si fatiguée et souffrante, emporte-moi, ne me fais plus attendre.
Petite Madone, petite Madone, ma mère, Marie, je t’en prie, emporte-moi, si tu m'emportes, l’Evêque aussi se reposera.
La Madone - Mes chers enfants, je veux que vous alliez rapidement vous reposer. Ne traînez pas, parce que vous fatiguez et vous n’aurez pas la force de faire ce que vous devez faire. Je vous remercie de ce que vous avez fait, de l’aide que vous avez donné à mon Evêque et à Marisella.
Giovanni, merci de ce qu tu as fait pour mes deux enfants. La Maman te remercie et t’adresse tous ses voeux. Merci, mes chers enfants, ensemble avec mon et votre Saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les petits enfants et ceux qui souffrent. Je vous serre tous sur mon coeur et vous coure de mon manteau maternel.
Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.
Marisa - Adieu, maman, fais-moi reposer, je t’en prie, je suis si fatiguée, je n’ai plus une seule partie du corps qui ne souffre pas. C’est ainsi qu’on dit?
L’Evêque - Oui.
Marisa - Tu vois, je me cache, je plaisante, je ris, j’en fais voir de toutes les couleurs, mais je suis fatiguée. Adieu, maman, reste avec moi cette nuit, restez avec moi, je vous en prie. Soyez près de moi quand ma dernière nuit, mon dernier jour arriveront, restez surtout près de l’Evêque, il aura besoin de votre présence. Adieu, adieu, maman.
La Madone - Donne un baiser à l’Evêque de ma part.
Marisa - Ils sont partis.
L’Evêque - Force, courage.
Marisa - j’essaie de tout donner
L’Evêque - Tu fais de ton mieux.
Marisa - Mais s’ils m'emportent, ce sera mieux pour tous.
L’Evêque - Prions tous pour que ton juste désir se réalise bientôt.
Marisa - Oui, aussi parce que je me trouve mal sur cette Terre, je ne parviens plus à y vivre. Beaucoup me font souffrir, je suis sensible et je souffre.
L’Evêque - Tu te sens prisonnière du monde?
Marisa - Oui, je me sens littéralement prisonnière.