Eucharist Miracle Eucharist Miracles

Année sociale: 1995-96

L'Année de Humilité

Les messages suivants de Dieu n'ont pas été traduits par un traducteur professionnel. S.E. Mons. Claudio Gatti a reconnu l'origine surnaturelle des apparitions (Décret du 14/9/2000), il n' a toutefois donné son approbation ecclésiastique qu'aux messages en langue italienne, parce qu'il n'est pas responsable des fautes éventuellement commises par le traducteur.

Messages de Septembre 2006

Rome, le 8 septembre 2006 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui la fête de la Nativité de Marie. Je vous remercie de votre présence en ce jour si beau pour le Ciel; après beaucoup de temps vous êtes de nouveau réunis. Je n’aimerais pas commencer en vous adressant des reproches maternels, mais je dois vous demander: "Qui a répandu le bruit que mes deux petits enfants étaient rentrés très tard à Rome?". Pourquoi dites-vous ce qui n'est pas vrai? Nous sommes ici depuis dimanche et nous n’avons vu personne. Aimez-vous votre Evêque? C’est Marie Adulte, qui vous le demande, pas Marie Enfant; je suis ici devant vous et je suis adulte. Quand je suis dans mon berceau, en tant que Marie Enfant, je suis bercée par ma maman Anne, qui me caresse et m'embrasse. Toutes les mamans devraient faire de même, pas seulement lorsque leurs enfants sont à l'âge tendre, mais également lorsqu’ils sont plus grands et font des caprices.

Mes chers enfants, recommencez cette nouvelle année et priez pour votre Evêque et la Voyante, parce que leurs vacances ont été très dures et très douloureuses. Il n'y a eu absolument aucun repos pour eux; c’est à vous de les aider.

Je vous adresse à tous mes meilleurs voeux de bonne rentrée. Conduisez-vous en vrais chrétiens. Souvenez-vous que la vie est difficile, certains ne le comprennent pas, mais vous, persévérez avec amour.

Votre soeur est encore parmi vous, même si elle est très malade. Elle vit encore pour être avec vous et aider ceux qui en ont besoin. Elle continue à se rendre en bilocation dans d’autres pays pour y aider les petits enfants et les pauvres. A vous, je ne demande que de prier pour eux, de vous aimer en famille et de vous entraider.

Merci, mes chers enfants. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous couvre tous de mon manteau maternel et vous serre très fort sur mon coeur. Allez dans la paix de Dieu le `Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Au revoir et à bientôt, tous mes voeux à tous. Bienvenus dans la maison du Père.

Rome, le 10 septembre 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je vous répète ce que je vous ai dit le jour de la fête de la Nativité; merci d'être ici présents. Vous n'êtes certes pas nombreux et ne réussissez pas à remplir la Basilique, parce que le démon tourne autour des hommes pour les en éloigner. Vous, par contre, vous êtes ici présents, parce que vous aimez Dieu de tout votre coeur, sinon vous ne seriez pas ici. Je vous dis: courage, courage, mes petits enfants.

Dans très peu de temps, vous verrez tous la lumière de Dieu, j’ai dit la lumière de Dieu, pas Dieu. Votre soeur a entendu la voix de Dieu venant d'une fleur ou d'une étoile, mais elle n’a jamais vu Dieu. Je vous dis que les souffrances, les tourments, l’impression que vous avez de vous sentir pratiquement seuls prendront bientôt fin. Quand ce que Dieu vous a promis, arrivera, tout sera plus beau et plus facile.

Je sais, Marisella, ce que tu veux dire, tu penses à ton départ.

Marisa - Je n'y pense plus maintenant, vous m’avez fait marcher, je devais mourir le 10 mars, puis la date a été continuellement repoussée. Je suis encore ici aujourd'hui, au sein de ma communauté et quand je dis que je vais bien, toi, petite Madone, tu dis…

La Madone - Non, ma fille, tu ne vas pas bien, tu vas très mal.

Marisa - Je ne vois pas que mon état soit grave. Tu m’as fait chanté pendant deux jours et maintenant tu m’as repris ma voix. C’est bon, de toute façon je dois l’accepter, je dois faire la volonté de Dieu et je la fais entièrement.

La Madone - Priez, mes petits enfants, comme je vous l’ai déjà dit le 8 septembre, ne vous lassez jamais de prier, ne faites pas de longues prières pour ne pas vous fatiguer. Dites le Rosaire et puis quelques Notre Père, Je vous Salue Marie et Gloire au Père, en invoquant la Très Sainte Trinité. Tout doucement, tout devra changer peu à peu. Il semble parfois que Dieu vous oublie. Mais non, ce n'est pas ainsi. Votre Evêque sait fort bien que lorsqu’il l’a affirmé Dieu lui a dit d'une voix puissante: "Je peux être sur la Terre et dans le ciel, personne ne peut me l’interdire. Je peux faire ce que je veux". Dieu a souvent parlé à ses deux petits enfants, comme lorsque l’Evêque a dit: "Tant que je serai sur la Terre, je ne verrai jamais Dieu" et que mon Tout lui a répliqué: "Qui es-tu pour dire que tu ne me verras jamais?". Vous ne pouvez comprendre ni les desseins de Dieu, ni ce qu’il fait. Si vous vous en souvenez bien, il était écrit dans les premiers messages: "Ne posez pas tant de pourquoi à Dieu, vous ne parviendrez jamais à les comprendre".

Marisa - Je m'en suis finalement aperçue, je ne comprends plus rien.

La Madone - Vous devez prier avec tout votre amour, votre amour doit être grand, parce que Dieu est amour, et vous, ses enfants, vous devez être amour. Si vous n’aimez pas et ne pensez qu'à vous, comment pouvez-vous dire que vous aimez Dieu? Courage, je vous le répète encore, soyez forts, luttez autant que vous le pouvez et moi, la Maman, je serai toujours avec vous.

Marisa - Ecoute, puis-je te poser une question "à la Marisa"? Ces personnes que je dois emmener au Ciel, au Paradis, ne sont-elles pas fatiguées de se soutenir mutuellement? Quand nous emmèneras-tu?

La Madone - Elles tiennent ferme, sois tranquille.

Marisa - Nous en sommes arrivés à écrire le nom et l’origine de 2.485 personnes, nous avons été braves, mais nous devons arriver à écrire 3.540.

Imagine que je dois conduire une cordée de 3.540 personnes. Oui, je sais, j’ai compris, je l’ai dit exprès, parce que nous aimerions tous aller au ciel, nous sommes fatigués d'être ici-bas. On s'est moqué de moi pour de bon: tu m’as fait acheter la robe, tu m’as fait faire le couvre-lit et quand j'étais hors de Rome, je voulais acheter aussi le cercueil, mais ils ne me l’ont pas fait acheter. Quand j’a vu l’inscription "Pompes funèbres", j’ai dit: "Arrêtez-vous", mais ils ne se sont pas arrêtés. Alors j’ai pensé: "Je me ferai envelopper dans du papier d’argent et je ferai faire un beau noeud". Tu ris? Je pleure. Redonne-moi ma voix, pourquoi me l’as-tu prise? Je t’ai fait la sérénade tous les soirs et j’avais ma voix, pourquoi me l’as-tu reprise maintenant?

Je te demande d’aider tous ceux qui sont ici présents, pour ceux qui sont loin, surtout pour les malades et je te recommande la petite Mariasole, Lorenza et tous ceux qui sont malades, qui ont besoin d’aide et qui prient, prient et prient.

La Madone - C’est bon, j’exaucerai ce que tu m’as demandé et j’irai trouver Dieu, comme toujours, et je lui demanderai tout ce que tu m’as dit.

Merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 12 septembre 2006 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je suis venue parmi vous pour adresser mes voeux à tous ceux qui portent le nom de Marie. Je suis très heureuse, même s’il en manque beaucoup. Nous ne réussissons jamais à ce que le groupe soit au complet. Je dois vous adresser un reproche maternel: si l’Evêque vous a dit dimanche que le Rosaire commencerait à 18h30 le lundi et le mardi, pourquoi l’avez-vous récité à 18 heures? En agissant ainsi, vous créez de la confusion et c’est également difficile pour moi de venir et parler avec vous. Marie est le doux nom que m’a donné ma maman. Si vous vous en souvenez bien, la fête du Nom de Marie a d’abord été supprimée puis réinstaurée.

Mes chers enfants, vous voyez comme la souffrance continue, comme beaucoup de personnes se sont éloignées, pourquoi se sont-elles lassées d’attendre? Si ce que Dieu a promis n’arrive pas, pourquoi ont-elles abandonné la prière et ne viennent plus participer ici à la Sainte Messe? Il faut toujours aller à la Sainte Messe et faire la Sainte Communion dans la grâce de Dieu. Dieu m’a appelée et m’a dit: "Marie, je te prie de transmettre mes voeux à tous ceux qui s’appellent comme toi"; il y a la petite Miriam, Marisella, et bien d’autres qui s’appellent Anne Marie, Marie-Violette, Marie-Jeanne, Marie-Louise. Ce nom de Marie est également donné à certains hommes, à certains prêtres, parce qu’il est le Nom de la Mère de Dieu, de la Fille de Dieu. Croyez-moi: Dieu travaille pour la mission de mes deux petits enfants si dure, si difficile, si grande! Il vous a demandé, à vous petit groupe, dont le nombre diminue toujours plus, de prier, parce que quand tout se réglera, où seront ceux qui étaient présents avant et ne le sont plus aujourd'hui? Ils disent qu’ils sont fatigués de se battre. Pourquoi, si Dieu n’accomplit pas le miracle immédiatement, ne faut-il plus prier? Où cela est-il écrit? Cherchez à prier avec persévérance.

Je vous ai dit au cours de la première apparition de la nouvelle année sociale: "Priez pour l’Evêque, restez près de lui". Certains l’aiment vraiment et cherchent à l’aider, d’autres ne pensent qu'à eux. Ce n'est pas beau d’agir ainsi. Il faut les aimer tous et surtout le supérieur qui vous guide; il est votre pasteur. Si vous êtes attentifs et l'écoutez quand il parle et il parle très fort, pourquoi fautez-vous? Pourquoi ne vous souvenez-vous pas de ce qu’il dit? Ce n'est pas bien.

Je désire faire une autre remarque. Il fait très chaud dans la petite chapelle et quand votre Evêque y célèbre la messe, il doit porter l’aube et la chasuble en plus de ses vêtements. Et bien hier, il était sur le point de se trouver mal et personne ne s'en est aperçu. Quelqu’un voulait lui apporter le ventilateur, mais un autre a dit: "Non ce n'est pas grave". Ce n'est pas ainsi qu’on se conduit. Si une personne se sent mal ou a chaud, il faut d’abord penser à elle. Que ceux qui ne veulent pas recevoir d’air, aillent au fond de l'église, mais aidez l’Evêque qui n'est pas vêtu comme vous, et porte beaucoup d'ornements. Mes petits enfants, si la Maman vous parle ainsi, c’est parce qu’elle vous aime et désire vous corriger. Je vous aime. Dieu vous aime et vous aimez les tous.

Je vous ai demandé de prier pour Mariasole, mais personne n’a demandé à Marisella de quoi elle souffre et c’est aujourd'hui sa fête. Beaucoup de réflexions sont faites pendant les apparitions et l’Evêque fait de très belles homélies, mais il semble que vous comprenez sur le champ et puis oubliez, ceci n'est pas bien, on ne marche pas ainsi devant Dieu. Que fait Dieu? Il attend, Il espère que les âmes se convertissent.

j’espère bien que vous avez compris ce simple message et vous adresse à nouveau tous mes voeux.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Avancez toujours avec Jésus et Marie.

Marisa - Adieu.

Rome, le 14 septembre 2006 - 21h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Comme tu es beau! Je pensais que tu viendrais avec la croix, mais tu es bien vêtu. C’est aujourd'hui une grande fête et nous avons fiévreusement attendu Ta venue. Jésus, j’ai beaucoup souffert, mais maintenant que je te vois si beau, si rayonnant, si lumineux, cela me donne beaucoup de joie. Le plus grand don que Dieu pouvait nous faire: c’est de donner son Fils pour nous tous, hommes de la Terre.

Jésus - Mes chers enfants, votre Jésus est ici présent et a entendu tout ce qu’a dit votre Evêque. Mes deux petits enfants ont beaucoup souffert et souffrent encore, parce que leur souffrance persiste. La souffrance éprouvée par Marie, ma Mère, et grand-mère Iolanda, quand elles viennent sur la Terre n’a également pas encore pris fin. Moi aussi, quand je descends sur la Terre et que je vois tant de choses qui ne vont pas, en particulier dans les églises, je souffre beaucoup. Vous, même si vous n'êtes qu’un petit groupe, vous me donnez de la joie, parce que vous vous réunissez pour écouter la voix du pasteur. Moi, Jésus, j’en suis heureux.

C’est aujourd'hui la fête de l’Exaltation de la Croix, mais je suis venu vêtu de beaux habits et sans la croix, parce que je veux que mon épouse me voit triomphant. Je suis beau, n'est-ce pas, Marisella?

Marisa - Oui, tu es très beau. Je suis émue, cela faisait longtemps que ne je t’avais pas vu aussi beau, rayonnant et lumineux. Il y a autour de toi beaucoup de lumière et beaucoup d’anges. Aide-nous, pauvres créatures, grandes et petites, aide-nous à te servir dans la joie et surtout dans la charité. Si pour un geste de charité, Tu nous donnes le Paradis, alors vive la charité.

Tu es venu avec joie et allégresse et dans très peu de temps nous te recevrons dans notre coeur, heureux de t’avoir avec nous.

Jésus - Mes chers enfants, je devrais faire un très long discours, mais il est tard pour vous de la Terre, vous devez rentrer chez vous et alors qu’est-ce que fait votre Jésus? Ensemble avec l’Evêque debout, je vous bénis au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Adieu, Marisella, mon épouse.

Marisa - Adieu. Quand me feras-tu monter au Paradis.

Rome, le 17 septembre 2006 - 10h30 (Appel Divin)

La Madone - Loué soit Jésus Christ.

Mes chers enfants, je n’ai pas de bonnes nouvelles à vous donner aujourd'hui. Vous savez qu’une grande tension règne entre les musulmans et le Saint Père. Nous du Ciel, nous demandons que le Saint Père fasse ses excuses, afin que la situation se calme, sinon une guerre très violente se déclenchera et beaucoup d'innocents en paieront le prix.

Si quelqu’un a commis une erreur, petit ou grand, prêtre ou Pape, il doit s'en excuser. Nous espérons qu’il en sera ainsi, parce que nous voyons du Ciel que la situation se détériore de plus en plus. Jésus, mon Fils, a demandé de nouveau à Marisella de souffrir pour éviter la guerre et de prier pour le Pape, afin qu’il baisse la tête et demande pardon.

Vous de la Terre, vous n'êtes jamais tranquilles, car quelqu’un cherche toujours à ruiner la paix. Est-ce que cela coûte beaucoup de dire aux frères: "J’ai commis une erreur, excusez-moi, je vous en demande pardon"? Si des excuses ne sont pas faites, vous savez mieux que moi, que les musulmans sont capables de tout. Pourquoi faire éclater une nouvelle guerre, alors qu’il y en a déjà tant dans le monde? Après, ce sont toujours les jeunes qui en souffrent ou même en meurent. Vous avez été informés par les journaux et la télévision, mais la situation est bien pire que ce qu’en disent les journalistes. Ecoutez-moi, Marie, moi qui vous apporte le message de Dieu. Priez, afin que le Pape baisse la tête et fasse ses excuses. Je veux seulement qu’il s'excuse. s’il ne le fait pas, une guerre éclatera, qui sera très dure pour tous.

Les bonnes nouvelles sont toujours rares et les mauvaises toujours nombreuses. Cette fois, c’est du Pape qu’il dépend de faire éviter que la guerre n'éclate. Que cela coûte-t-il, même si l’on est Pape, de demander pardon? J’ai confiance en vous. Même si vous n'êtes pas nombreux, priez pour cette intention, sinon la situation deviendra de plus en plus dangereuse. Si vous le pouvez, faites-la connaître à d’autres. Ce message doit être immédiatement écrit et diffusé, afin qu’il arrive au Pape. j’espère que quelqu’un parviendra à arriver jusqu’au Pape pour le lui faire connaître, mais ce sera difficile. Marisella, tu te demandes pourquoi Dieu te fait souffrir? Pour des motifs très graves.

De toute façon, moi, la Maman du Ciel, je m'en remets à vous. Priez, priez, priez et si vous le pouvez, faites un peu pénitence, comme quelqu’un l’a fait durant l'été.

Ensemble avec mon et votre évêque, je vous bénis et vos êtres chers. Je bénis aussi ceux qui tentent le tout pour tout pour faire la guerre. Je bénis les enfants, les malades et les enfants qui meurent de faim. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Courage, Marisella, c’est à toi de nouveau de souffrir.

Marisa - C’est bon. Que dois-je dire? Je ne sais pas. Je dois toujours dire oui. En face de cette situation dramatique, je dis; envoyez-moi la souffrance, faites ce que vous voulez.

Adieu, Maman.

Rome, le 24 septembre 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je vous demande encore de continuer à prier pour votre soeur. Ses souffrances ont augmenté, mais ne vous posez pas tant de questions. Moi, la Maman de Dieu, la Fille de Dieu, la Mère de l’Eucharistie, je vous dis: "Il n'est pas facile de comprendre Dieu". Je vous répète encore une fois: Dieu ne trahit pas, Dieu sait ce qu’il fait. Il vous est difficile, hommes de la Terre, de comprendre certaines situations, mais Dieu sait où et comment les choses doivent arriver, il ne vous reste qu'à prier.

Dimanche dernier, le message a été très douloureux pour mes deux petits enfants, mais pas un jeune ou un adulte n'est venu les encourager, leur redonner des forces et voir comment ils allaient. Vous avez un Evêque qui vous a donné tout son amour, une Voyante qui s'est totalement donnée pour vous tous et tout spécialement pour ceux qui étaient malades et ont été guéris grâce à ses souffrances.

Faites un examen de conscience: vous, qu’avez-vous fait pour mes deux enfants? Une semaine s'est écoulée et on n’a vu personne. C’est vrai, il y a le travail, la famille, mais il y a également le téléphone pour savoir comment vont mes deux petits enfants. Même ceux qui habitent à deux pas ne sont pas venus voir comment allaient l’Evêque et la Voyante. Vous ne faites rien d’autre que de prendre et vous ne donnez rien. C’est vrai que vous priez, faites des sacrifices et même le jeune et pénitence, mais c’est bien de montrer de l’affection à ses amis. Je ne sais pas pourquoi cela arrive. Ne dites pas que l’Evêque vous intimide, parce que ce n'est pas vrai. L’Evêque ne fait peur à personne, il vous aime, vous a aimés et continue à vous aimer. Pourquoi cette situation douloureuse arrive-t-elle dans un groupe aussi petit auquel Dieu a accordé tant de grâces, grâces qu’il n’a pas accordées à mes deux petits enfants? Qu’est-ce que Dieu a demandé à Marisella? De souffrir pour éviter que la guerre n'éclate avec les musulmans par la faute du Pape, qui ne veut pas demander pardon. Combien de fois ne vous ai-je pas enseigné l’amour et la prévention? Combien de fois ne vous ai-je pas dit de ne pas oublier que les malades doivent être mis à la première place? On n’a vu personne auprès de mes deux petits enfants, mais, quand il fallait des prières pour obtenir la guérison, beaucoup sont venus. Depuis des mois, on ne voit personne, ou, s’il vient quelqu’un, il reste cinq minutes. Ne venez pas alors, parce que Marisella est bien avec son Evêque et ses neveux. Pourquoi agissez vous ainsi? Je vous adresse un autre reproche maternel: pourquoi continuez-vous à parler entre vous, à affirmer des choses qui ne sont pas vraies, à rapporter des choses qui ne sont pas belles, qui font mal à mes deux petits enfants? Eux ne font rien de mal, ils souffrent et prient pour vous, pour les malades, pour tous. Si la voyante ne descend pas, c’est parce qu’elle va très mal. Elle peut aller un jour un petit peu mieux, un autre mal. Quelqu’un a dit: "Tu vas mieux qu’avant, tu souris, tu plaisantes avec nous". Eh que doit-elle faire? Pleurer et vous faire la tête? Elle a toujours eu ce caractère. Acceptez ceux que Dieu vous a donnés, parce que vous avez beaucoup reçu grâce à eux, l’un d'une manière, l’autre d'une autre.

Je vous dis: courage et je dis à mes deux petits enfants: courage; je ne dis plus que le but est proche, je ne dis rien. Quand je vous adresse un reproche maternel, acceptez-le avec amour, parce que c’est un reproche de la maman, ne parlez pas entre vous ou dans le dos de ceux qui souffrent, parce que vous commettriez ainsi un péché.

Mes chers enfants, modérez-vous un peu, continuez à prier, cela vous le faites. Il y a aussi ceux qui jeûnent, font de petits sacrifices et la pénitence, que vous a suggérée votre Evêque. Manger une fois par semaine quelque chose qui ne vous plaît pas; que ceux qui peuvent le faire, le fassent, ce n'est pas une obligation. Ce qui me fait souffrir, c’est que je ne sens pas votre amour envers mes deux petits enfants; je ne le sens pas et je ne le vois pas, cela me fait mal. Dieu décide de tout. Il est inutile de vous casser la tête; Dieu sait ce qu’il fait, il est difficile de le comprendre, donc ne vous posez pas tant de pourquoi, cela n'en vaut pas la peine, abandonnez-vous tous à Dieu.

Merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les petits enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Courage, mes petits enfants, amour, amour et encore amour. L’année de l’amour est près de s’achever.

Marisa - Adieu, adieu, maman.

Messages d'Octobre 2006

Rome, le 1er octobre 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Nous fêtons aujourd'hui au Paradis le centenaire de la naissance de grand-mère Iolanda qui a prié pour vous tous, spécialement pour l’Evêque, sa fille, ses enfants et petits-enfants; elle a prié pour vous tous. Je sais que l’Evêque désire que Marisella puisse aller un petit peu mieux; nous aussi, nous l’avons demandé à Dieu, mais elle doit poursuivre sa mission ainsi que Dieu le Père en décide. Cela ne doit pas vous décourager, parce que Marisella est forte et que nous sommes auprès d’elle, comme nous sommes auprès de toi, Excellence.

Marisa - Je désire uniquement savoir si je dois faire appel à un médecin pour voir ce que je dois faire, je ne désire que cela; Vous, faites le reste.

La Madone - Je vous invite à combattre la vanité, l’orgueil, la prétention, à ne pas parler dans le dos des autres; si vous devez dire quelque chose, pratiquer la correction fraternelle, comme Marisa l’a fait avec une dame pour lui faire comprendre le message qu’elle n’avait pas compris; ceci est amour. Quand vous aurez vaincu ces imperfections, l’amour explosera dans vos coeurs, le grand amour envers tous.

Viens dire quelque chose, grand-mère Iolanda.

Grand-mère Iolanda - Je t’aide, ma fille, et je suis près de toi, comme je suis près de toi, mon Excellence. J’ai prié pour vous tous et remercié Dieu de m’avoir donné la permission de vous parler. Continuez à prier, nous prions pour vous tous. j’envoie un baiser à ma chère petite fille, un baiser à l’Excellence, un baiser à mes enfants et petits-enfants, dont seule Mariasole, don de Dieu, est présente aujourd'hui.

Adieu, Marisella, un baiser de ta maman.

Marisa - Tous mes voeux, maman, à bientôt, à demain.

Elle s'est mise maintenant derrière la Madone, elle a la tête penchée et a recommencé à prier.

La Madone - Dieu a permis à grand-mère Iolanda de vous parler, parce que vous devez comprendre qu’elle a toujours éprouvé pour vous un grand amour. Comme je vous l’ai déjà dit, il n'est pas facile de comprendre Dieu et de faire sa volonté. Ne vous posez pas tant de pourquoi, mais croisez les mains, regardez Dieu, la Madone, le ciel et dites: "Mon Dieu, que ta volonté soit faite".

Marisa - Mais donne-nous de la force, parce que nous n'en avons plus comme autrefois. L'âge avance et nous sommes très, très fatigués. Je ne parle pas pour moi, mon Dieu, mais pour l’Evêque. Il a compris que je dois poursuivre ma mission, la souffrance, mais pourquoi doit-il autant souffrir? Je Te le répète: Tu l’as ordonné Evêque, mais pour quoi faire? Voilà ce qui nous tourmente. Donne-lui la possibilité d’agir vraiment en Evêque et fais de moi ce que tu veux.

La Madone - Mes chers enfants, merci à ceux qui ont passé la nuit en prière, prié des heures et des heures pour mes deux chers enfants. Merci, Dieu vous en bénit. Mais montrez aussi votre amour d'une autre manière, ainsi que votre soeur l’a dit hier. L’amour ne se manifeste pas seulement par de petits cadeaux ou de petites attentions, mais en faisant également des sacrifices. Quelque chose de triste est arrivé hier soir. Vous étiez quatorze et vous n’avez pas chanté, parce que mes deux petits enfants souffraient beaucoup. Votre soeur allait très mal et ne vous a pas rappelé de prendre les livres pour chanter.

Douce Mariasole, trésor de maman et papa, grandis bien, ma petite fille, parce que la petite Madone et grand-mère Iolanda sont avec toi et également avec vous tous ici présents. Ne vous posez plus tant de pourquoi. Quand le moment fixé par Dieu arrivera, vous serez tous heureux et contents.

Merci de votre présence. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je bénis tous les petits enfants, en particulier ceux du Burundi, où Marisella est allée cette nuit et a vu tant de famine et de misère et tant d’enfants qui y meurent. Je bénis toutes les mamans, tous les papas et tous ceux qui ont besoin de notre aide. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Mes chers enfants, si votre soeur ne descend pas, c’est parce qu’elle ne va pas bien et si vous la voyez sourire ou plaisanter pour vous ragaillardir, ne pensez pas qu’elle ne souffre pas, parce qu’elle souffre, elle souffre énormément. C’est ce que Dieu attend d’elle.

Marisa - Adieu, adieu, maman.

Selenia est ici, Mariasole est par là. L’Evêque l’a déjà embrassée. Adieu, trésor, adieu.

Rome, le 7 octobre 2006 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Merci de votre présence, mes chers enfants. j’envoie un bonjour et un baiser à Mariasole et Ismaele Maria et leur adresse tous mes voeux.

Mes chers enfants, c’est une grande joie pour moi de vous voir ici réunis à prier pour toutes les intentions que je vous ai indiquées; elles sont si nombreuses et vous les connaissez. Quelqu’un a été héroïque en faisant pénitence comme votre Evêque vous l’a enseigné.

Ce qui importe c’est de prier et d'être uni à Jésus Eucharistie tous les jours. Justement quand vous ne pouvez pas aller à l'église, faites la communion spirituelle, appelez mon Fils Jésus près de vous, présentez-lui toutes les intentions que je vous ai dites. Vous savez que vous devez surtout prier pour votre Evêque, les malades, les enfants qui sont loin, ceux qui n'ont ni nourriture, ni vêtements, ni médicaments pour se soigner.

Vous attendez que Dieu vous dise quelque chose de très important, mais laissez faire. Je vous répète encore que Dieu ne déçoit pas, qu’il fera ce qu’il a promis, mais ne demandez pas quand et comment, ne demandez rien, priez seulement, c’est la plus grande joie que vous pouvez lui donner. Je vous le répète, priez pour votre Evêque, il a besoin de force, qu’on l’aide moralement et physiquement, ce que vous pouvez faire, parce que vous êtes mamans et grand-mères et pouvez comprendre si quelqu’un a vraiment besoin d’aide.

Oui, je sais, Marisella, que tu désires me montrer Ismaele Maria, mais je le vois, fais le quand même tout simplement, mais fais attention à ne pas te faire mal, parce que tu as l’aiguille du goutte-à-goutte.

Marisa - Voilà Ismaele, un don que Dieu nous a fait, un grand don.

La Madone - Oui, Marisella. Comme tu l’as fait avec tes petits-neveux, tu as voulu que cet enfant naisse et tu as beaucoup souffert à cet effet, mais voilà le joyau, le don de Dieu.

Je bénis cet enfant au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Je ne peux plus le tenir, parce que l’aiguille me gêne. Mariasole, viens voir la petite Madone?

La Madone - Viens, trésor, donne un petit baiser à Ismaele.

Marisa - Regarde, vois-tu là-haut la petite Madone? Envoie lui un petit baiser. Bravo.

Merci, petite Madone, du bien que tu nous veux à tous, à cette petite communauté, à ce petit cénacle qui t’aime et te veux du bien. Merci.

La Madone - J’aimerais aussi adresser mes voeux aux jeunes parents et aux moins jeunes, je ne parle pas d'âge.

Marisa - Je le sais que tu ne parles pas d'âge.

La Madone - Mes voeux aussi à tous les autres enfants que vous connaissez. Je vous couvre tous de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Elle est partie.

Rome, le 8 octobre 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je viens toujours avec une grande joie parmi vous, qui attendez anxieusement la bonne nouvelle de la part de Dieu. C’est pourquoi je vous demande toujours de prier et vous répète que Dieu ne trahit pas, qu’il respecte les pactes, mais ses temps doivent arriver et ce ne sont pas les vôtres. Priez pour cela, mes chers enfants, et que ceux qui le peuvent fassent pénitence ou jeûnent. Tous ne peuvent pas faire le jeûne ou pénitence; n'est-ce pas, Excellence? Je vous demande à tous d'être unis dans la prière, la souffrance, le jeûne; que ceux qui le peuvent fassent plus, toujours plus.

Mes chers enfants, vous avez cessé de distribuer les petites images et de parler aux prêtres hors de Rome. Vous devez continuer, pas hâtivement, mais tout doucement. Vous avez parlé à beaucoup de prêtres de Rome et pensé que la mission n’avait pas bien marché. Ce n'est pas vrai, elle a bien marché. Même ceux qui vous ont pas mal répondu ou jeté dehors, ont finalement changé d’avis et compris où est la vérité. Où est la vérité selon vous? Elle est ici, dans ce lieu thaumaturgique, que Dieu a choisi pour vous.

Mes chers enfants, c’est toujours avec une grande joie que je vous vois ici réunis à prier, même les jours qui ne sont pas fériés, quand malheureusement tous ne peuvent venir. Mais si vous pouvez faire un sacrifice de temps à autre, faites le tous et je serai toujours parmi vous. Je suis toujours auprès de l’Evêque, jour et nuit, pour l’aider. Je ne sais finalement pas dans quelle mesure vous avez compris dans quel état de fatigue et d'épuisement il se trouve. Il a énormément besoin d’aide. Des personnes, peu en vérité, continuent à parler dans le dos des autres. Combien de fois ne vous ai-je pas dit, depuis le commencement, que si vous ne comprenez pas ce que je dis, vous devez en parler à l’Evêque? Mais ne l’importunez pas. Quand il ne s'entretient qu’avec une personne, tenez-vous à l'écart, parce que vous ne pouvez savoir de quoi il parle. Il doit parfois faire face à des situations graves, c’est pourquoi vous ne devez pas le déranger, soyez patients, vous en particulier, qui êtes de Rome. Armez-vous de patience quand vous voyez que quelqu’un lui parle. Priez les uns pour les autres, comme je vous l’ai toujours dit. Ne priez pas seulement pour votre petit monde, votre mari, votre épouse et vos enfants, vous devez réaliser une union de prière pour tous.

Merci de bien vouloir mettre en pratique ce que je vous ai dit.

Marisella, je sais que tes souffrances sont très grandes, je retourne maintenant vers le Père et je vais lui demander de te faire aller un petit peu mieux.

Marisa - Tu ne dois pas le dire tout haut, parce que tout le monde entend, la souffrance ne regarde que toi et moi.

L’Evêque - Et moi.

Marisa - Et lui. Les autres doivent seulement prier, ils ne doivent pas se faire de soucis à cause de moi.

La Madone - Marisella, comment pourrais-je ne pas dire ce que je pense ou vois?

Marisa - Cela me gêne. Si tu me fais descendre au milieu des autres, je me sens plus à l’aise, je suis souvent seule ici.

La Madone - Tu as tant souffert hier soir.

Marisa - Oui, mais quand on souffre et qu’on offre ses souffrances, on les oublie.

La Madone - Tu as bien appris ta leçon.

Marisa - Oui.

La Madone - Cela vaut pour tous, on ne souffre pas inutilement, si l’on souffre et offre ses souffrances à Dieu, Il saura comment les distribuer

Merci à tous. Ensemble avec mon et saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Je bénis naturellement tous les enfants. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

Rome, le 15 octobre 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Marisa - Je désire te remercier de m’avoir donné la force de descendre. Tu sais comment je vais et ce que j’ai, mais je suis heureuse d'être avec mon petit cénacle et de participer en personne à la Sainte Messe et non au moyen de la télévision. Je t’en remercie Maman du Ciel.

La Madone - Merci de votre présence, mes chers enfants. J’aimerais tant que votre nombre augmente pour faire comprendre aux autres et à ceux qui vous entourent ce que ce lieu saint signifie. Je sais que vous êtes toujours les mêmes et que vous priez beaucoup, mais en plus de la prière, il faudrait plus de travail, de sacrifices et moins de discussions. Pensez avec amour à ce que vous faites: nettoyer la basilique et préparer la table de l’autel pour Jésus. Tout doit être bien et en ordre.

Ceux qui ont vu le film de Saint Paul ou de Saint Pierre, savent qu’ils ont cherché par tous les moyens à rassembler n'importe où et je dirai même dans n'importe quel trou, les fidèles en prière, afin de ne pas être pris par ceux qui voulaient les tuer. Ils sont morts pour Jésus. Combien ils ont souffert et donné aux hommes! Les ennemis de Jésus haïssaient Pierre, Paul et tous les apôtres et cherchaient par tous les moyens à les tuer. Paul était un homme fort, généreux et même bourru parfois. Ne faites pas attention à la manière dont quelqu’un vous fait un reproche, demandez-vous si ce qu’il dit est la vérité et si c’est le cas, baissez la tête et demandez pardon, même si dans le premier moment vous avez envie de contester. Marisella a parlé bien des fois aux jeunes et leur a dit: "Ne faites pas attention au timbre de ma voix, à ma façon de m'exprimer, mais seulement au fait que ce je vous dis est vrai et renferme l’amour, parce que l’amour conquit tout, vainc tout". Des musulmans, orthodoxes, protestants et des membres de toutes les autres religions monteront avec elle au Paradis, ils seront sauvés pour avoir accompli un acte de charité, un geste d’amour. Ce n'est pas vrai que ceux qui n’appartiennent pas à notre religion ne se sauvent pas. Ceux qui accomplissent des actes d’amour, de tolérance, de solidarité se sauvent. Je suis sûre que vous, mon petit cénacle, vous voulez vous sauver. N'oubliez pas qu’il n'y a pas d'âge pour aller vers le Père. Il est inutile de dire: "Moi maintenant je vis ma vie ". Tant que vous êtes sur cette Terre, vous êtes de Dieu et vous devez donner à Dieu et aux hommes. C’est pourquoi on parle dans le Saint Evangile de la charité et de l’amour. L’amour demeure au Paradis, parce que le Paradis est amour, charité et je veux que vous soyez des hommes remplis d’amour. Ne vous demandez pas quand Dieu interviendra, quand Il accomplira ce qu’il a promis, ne vous posez pas tant de pourquoi. Je vous ai déjà dit qu’il n'est pas facile de comprendre Dieu et qu’il est inutile de vous poser tant de pourquoi, parce qu’ils restent sans réponse. Qui le savent mieux que l’Evêque et la Voyante? Ils ont tant de souffrances et de douleurs et pourtant ils continuent, parce qu’ils savent que Dieu viendra à son heure. Quand? Les temps de Dieu ne sont pas les vôtres, vous verrez que tout arrivera rapidement, soudainement, même aujourd'hui, mais Dieu sait quand il devra intervenir.

Mes chers enfants, c’est pour moi une grande joie de vous voir dans ce lieu thaumaturgique, mais je vous le répète, j’aimerais voir l’amour régner entre vous et que vous vous entraidiez. Ceux qui ont des dons doivent les découvrir et ne pas les garder pour eux. Anne m’a appris à broder, travailler, faire de petits vêtements, parce que moi aussi je n'étais pas bonne à rien faire et j’ai pu ainsi vêtir ma famille. Vous aussi, si vous avez des dons, pourquoi les tenez-vous cachés? Marisella a pris des draps de lit et les a peints. Elle ne l’avait jamais fait auparavant dans sa vie, même si c’est un peu brouillon, parce que ses mains sont un peu faibles.

Marisa - C’est réussi, tu me dis cela devant tout le monde?

La Madone - Je voulais plaisanter, Marisella. Je suis si heureuse que tu cherches par tous les moyens à faire quelque chose.

Marisa - Mais je ne te cache pas que je suis très fatiguée et je suis franche en disant que si je suis descendue aujourd'hui, c’est parce que je voulais voir mon cénacle, mon église, être avec mes frères et sœurs pour entendre avec eux la Sainte Messe. Mais tu dois m’aider, sinon j’aurai du mal à aller jusqu'à la fin de la S. Messe.

La Madone - Courage, mes chers enfants, vous avez deux piliers avec vous pour vous soutenir, faites en un trésor.

Merci de votre présence, merci surtout de bien vouloir mettre en pratique tout ce que je vous ai dit.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les petits enfants, les malades et les missionnaires. Je vous serre tous sur mon cœur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, Maman. Oui je donnerai ensuite ton baiser à l’Evêque. C’est bon. Adieu, ma petite maman.

Ils ont disparu.

Rome, le 18 octobre 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Vous participez aujourd'hui à la dernière rencontre hebdomadaire, au cours de laquelle votre Evêque vous raconte son histoire et celle de Marisella. Comme vous l’avez bien compris, leur histoire est très dure, pénible et pleine de souffrances, mais ils ont ainsi sauvé beaucoup d'âmes. Je vous demande de faire ce que votre Evêque a dit, de le mettre en pratique. Ecoutez quand votre Evêque parle et mettez en pratique ce qu’il dit. Il parle clairement, son italien est parfait. Comment se fait-il que certains ne réussissent pas encore à comprendre? s’il lui arrive de parler bas, dites lui: "Excellence, pourriez-vous parlez un peu plus fort, parce que nous n'entendons pas?". Soyez certains qu’il élèvera la voix, il a un beau timbre de voix.

Les rencontres bibliques recommenceront bientôt et je serai toujours avec vous. Dieu m’a permis aujourd'hui de venir, parce que c’est la dernière rencontre au cours de laquelle vous avez appris la vie de ces deux petits enfants. Quand l’ange vint et me dit: "Marie, tu concevras un fils et tu l’appelleras Jésus", j’ai éprouvé une joie immense. Le ciel s'est illuminé d'étoiles et de couleurs, c'était une scène magnifique. Je n’ai pas eu peur, mais j’ai éprouvé beaucoup de joie et d’allégresse. Je n’arrivais pas à comprendre que moi, si jeune, je deviendrai la Mère de Dieu. Vous êtes des enfants de Dieu; Dieu a créé l'homme à son image et ressemblance, mais qui ressemble à Dieu? Combien n’aiment pas Dieu? Dieu est amour, mais les hommes ne sont pas l’amour de Dieu; Dieu est espérance, charité, justice et force; Dieu a tout ce qu’une âme peut avoir. Vous, du moment que vous priez, jeûnez et faites pénitence, vous pouvez ressembler à Dieu. Vous ne pouvez pas vous imaginer comme Dieu est heureux de vous voir ici réunis à prier, même si vous êtes peu, très peu, vous donnez beaucoup et contribuer avec l’Evêque et la Voyante, à sauver beaucoup d'âmes. Toutes les âmes qui sont au Purgatoire iront au Paradis avec la Voyante; quand, comment et pourquoi ne vous le demandez pas, Dieu seul le sait.

La Maman vous remercie d'être venus ici écouter l’Evêque vous raconter sa vie et celle de la Voyante. Oh, comme mes deux enfants ont souffert! Et pourtant je les vois souvent sourire. Quand ils sont au téléphone, ils sont toujours disposés à écouter et à parler avec prudence afin de ne tromper personne, faites de même, vous aussi. Combien de fois ne vous ai-je pas dit: aimez-vous, aimez-vous, aimez-vous! Dieu vous le demande, Il vous demande l’amour, donnez-le lui. Donnez de l’amour à ceux qui ne croient pas, aux petits enfants pauvres qui souffrent de la faim, qui sont privés de nourriture et médicaments, donnez leur votre joie et votre amour.

Merci. Souvenez-vous que je ne serais pas venue si Dieu le Père ne m’avait pas appelée et dit: "Marie, va voir mon petit cénacle et parle leur". La Voyante ne savait également pas que je viendrais. Donc courage, mes chers enfants, Dieu vous aime, mais vous devez également toujours l’aimer.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis et vos êtres chers. Je bénis les petits enfants ici présents: Sara et Emanuele. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Sara, tu envoies un petit baiser à la petite Madone?

Marisa - Sara, envoie de la main un petit baiser à la petite Madone.

Adieu. Pardonne-moi, je ne savais pas que tu viendrais. Je t’ai demandé ce que l’Evêque m’a ordonné de te demander.

La Madone - Obéis toujours à l’Evêque, Marisella, toujours, toujours.

Marisa - C’est bon.

Adieu, adieu, maman, envoie un baiser à l’Evêque.

Rome, le 22 octobre 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Ma prière monte aujourd'hui vers Dieu pour tous les malades et tous ceux qui ont besoin de l’aide divin. Je vous invite également à prier pour les malades dont quelques uns sont ici présents. Je me réjouis de vous voir prier et chanter le dimanche; faites-le avec amour; ne cherchez pas à vous distinguer, ne rivalisez pas lorsque vous chantez, chantez tous en choeur, doucement. Lisez les messages de Dieu, qui sont très, très importants; des messages, comme ceux que Dieu vous a donnés, n'ont été donnés dans un aucun autre lieu. Dieu vous a choisi, petit troupeau, pour donner des messages importants. Vous devez les mettre en pratique. Vous devez être courageux. Souvenez-vous des apôtres? Je vous cite quelques noms: Pierre, Paul, Jacques, Jean. Ils étaient courageux, forts, impétueux et ont lutté contre le mal par amour de Jésus Christ. Vous aussi, vous devez être forts et courageux et quand quelqu’un vous dit quelque chose qui n'est pas dans le Saint Evangile ou dans les messages de Dieu, ne le croyez pas, saluez-le et éloignez-vous. Ne répliquez pas, ne faites pas de polémiques, parce que cela n’arrangerait rien; on obtient beaucoup plus en gardant le silence ou en parlant correctement.

Comme je vous l’ai toujours dit, invoquez le Saint Esprit, afin qu’il descende dans chacun de vous et vous donne la force et le courage d’accepter ce que Dieu vous a donné ou vous a dit pour continuer.

Je vous invite comme toujours à prier pour votre saint Evêque. Il est souvent difficile pour vous hommes de la Terre, d’accepter tout ce que dit Dieu: le pourquoi, le comment et le quand. Vous savez maintenant qu’il n'est pas facile de comprendre Dieu, comme je vous l’ai déjà dit plusieurs fois, mais Dieu ne trompe pas. Il a envoyé son Fils Jésus pour sauver les hommes, pour les pécheurs en particulier. Jésus est mort sur la croix pour tous les hommes, mais surtout pour les pécheurs. Jésus est prés de ceux qui l’aiment et de ceux qui ne l’aiment pas, il est venu pour tous.

C’est ma fête mardi, la fête de la Mère de l’Eucharistie. Elle a été repoussée à dimanche afin de permettre à ceux qui travaillent de venir. Préparez-vous bien quand même chaque jour, récitez le Saint Rosaire tous les jours; même ceux qui travaillent et voyagent, peuvent réciter le Saint Rosaire, c’est une prière très importante qui plaît à Dieu, ne l’oubliez pas.

Ecoutez bien les deux lectures et le Saint Evangile. Vous devez écouter ce que dit l’Evêque, parce que sa voix est suffisamment forte pour être entendue de tous, même de ceux qui n'entendent pas bien. Quand des personnes entrent dans l'église, ne vous retournez pas. Ceci se produit souvent dans la chapelle: quelqu’un entre et vous tournez la tête, pas tous, deux ou trois seulement qui sont prêts à tourner la tête pour voir qui entre. Ce n'est pas bien de se conduire ainsi. Regardez toujours devant vous là où se trouve Jésus Eucharistie, en particulier pendant la Sainte Messe où Jésus, Moi, la Mère de l’Eucharistie, Saint Joseph et la bienheureuse grand-mère Iolanda sommes toujours présents. Regardez toujours devant vous, regardez l’autel ou le tabernacle.

Merci de votre présence.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, tous les petits enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit..

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Ecoute, je voulais te demander, sur ordre de l’Evêque, de me faire aller un petit peu mieux.

Rome, le 22 octobre 2006 - 22h00 (Lettre de Dieu)

La Madone - Moi, la Mère de l’Eucharistie, je n’ai jamais dit du mal du Pape, j’ai seulement dit qu’il devait s'excuser auprès des non chrétiens.

La Voyante que quelqu’un cherche à détruire, n'en est en rien responsable, répétez seulement ce que je dis au nom de Dieu.

Pourquoi les hommes comprennent-ils mal ce que je dis et se vengent-ils sur l’innocente? Quel mal y a t il si moi, la Mère de l’Eucharistie, je dis que le Pape doit s'excuser auprès des non chrétiens?

Est-il possible que les grands hommes appelés par Dieu comprennent toujours ce qu’ils veulent, afin de blesser mes deux petits enfants?

Chaque fois que j’ai adressé un reproche maternel aux hommes d’eglise, ils s'en sont offensés et se sont attaqués à mes deux petits enfants.

Moi, la Mère de l’Eucharistie, je dis que ces méchancetés doivent cesser. J'invite mes prêtres à avancer au nom de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

C’est si beau de demander pardon et de se pardonner mutuellement.

Il serait temps de demander pardon aussi à l’Evêque Claudio Gatti: vous l’avez fait tant souffrir et continuez à le faire souffrir.

Allez dans la paix et approchez vous en état de grâce de Jésus Eucharistie.

La Maman vous couvre de son manteau maternel et vous serre tous sur son coeur.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Rome, le 24 octobre 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui ma fête et cela fait 13 ans que j’apparais pour tous dans ce lieu thaumaturgique. Je suis votre Maman et, puisque c’est ma fête, c’est aussi la vôtre. Tous m'ont fêté au Paradis et c’est vous maintenant qui me fêtez, je vous en remercie. J’aimerais, comme vous, que tout s’aplanisse dans cette vie terrestre, mais malheureusement la situation de l’Eglise est triste, les hommes d’eglise ne se conduisent pas bien. Quand je leur adresse des reproches maternels, ils ne s'en prennent pas à moi, qui suis la Maman, la Mère de l’Eucharistie, mais à la Voyante et à l’Evêque. Si je dis qu’un ecclésiastique a fauté et si je cherche à le corriger maternellement, comme je le fais avec vous, ils ne l’acceptent pas et sont prêts à dire du mal de mes deux petits enfants. Mais ceci n'est rien, en comparaison de tout ce qu’ils complotent dans l'église. On ne comprend plus rien, la situation de l’Eglise s’aggrave toujours plus et fréquemment quelqu’un affirme des choses qui ne plaisent pas à Dieu.

Dieu pourrait détruire le monde entier, mais il ne le fera jamais, parce qu’il aime ses enfants. Il les a créés, malheureusement ils ne sont pas tous comme il aimerait qu’ils soient. C’est la raison de votre grande attente. La victoire de Dieu et la vôtre tardent à venir, parce que comme je vous l’ai déjà dit, Dieu aime les hommes, quels qu’ils soient et cherche par tous les moyens à les aider et à les convertir.

Je voulais vous faire un grand cadeau, parce que vous le méritez et surtout votre Evêque. Il est bon et honnête, s'engage totalement, cherche à défendre les enseignements de l’Eglise, les valeurs du Saint Evangile, mais on ne le comprend pas. Quand nous marchions hier le long du Jourdain, Jésus a longuement parlé avec l’Evêque. La situation de l’Eglise laisse beaucoup à désirer et votre Evêque en souffre énormément. Il est le jouet des vagues, il manoeuvre une barque en péril qui risque de couler, mais lui avec sa grâce, sa force, son amour cherche à la maintenir à la surface. Il est l’ange de la Terre qui vous guide, et le saint que Dieu a voulu. Vous pensez: "Pourquoi Dieu permet-il tout cela?". Pourquoi Dieu ne fait-il pas quelque chose pour éliminer ceux qui ne se conduisent pas bien et qui, quand ils reçoivent Jésus Eucharistie, commettent des sacrilèges? Les hommes d’eglise commettent des sacrilèges avec beaucoup de facilité, ils se vantent devant les caméras de télévision et ne travaillent pas pour Dieu, mais pour eux-mêmes. Votre Evêque ne se vante pas devant les caméras de télévision, mais exulte devant Dieu.

Je désirais beaucoup annoncer quelque chose d'important, de grand qui puisse aider votre Evêque, mais ceci est la lettre de Dieu. C’est ce qu’il a dit et je répète ce qu’il a dit, j’agis comme votre Evêque qui ne change même pas une virgule aux lettres de Dieu que je lui apporte. J’ai donné maintes fois des messages très forts et Marisella, lui a dit ingénument: "Ne publions pas cette phrase, Excellence, parce que nous aurions des réactions dures de la part des prêtres", et il a toujours répliqué: "Je publie tout ce que la Madone dit, je n'y enlève même pas une virgule". Qui ferait cela? Avez-vous jamais lu des messages aussi longs et pleins d’amour de la part de Dieu? Du fait de sa fidélité à Dieu, l’Evêque est la personne la plus persécutée dans toute l’Eglise. Nous prions avec vous pour que son triomphe arrive rapidement et que sa grande douleur, ses grandes souffrances prennent fin. Ne l’abandonnez pas, si vous le voyez parfois déprimé, fatigué, éprouvé, cherchez à le comprendre, c’est votre Evêque et il peut être même pour certains le fils ou le frère. Votre soeur a bien compris la phrase que je lui ai dite ce matin.

Marisa - Pourquoi parles-tu bas maintenant? La souffrance est grande, oui, c’est vrai, j’ai pleuré, crié de douleur, mais maintenant je me sens un petit peu mieux.

Oui, j’ai compris, mais ne veux-tu pas dire quelque chose pour encourager l’Evêque, s’il te plaît? Je t’en conjure. Vous dites qu’il est bon, honnête, qu’il a tant de qualités, eh bien aidez-le. Je crois qu’il est temps qu’on l’aide. Pourquoi les méchants continuent-ils à triompher et que lui qui se conduit comme Dieu le veut, est toujours calomnié et diffamé? Il est maintenant moins calomnié, mais beaucoup de personnes: cardinaux, évêques, prêtres, moines, soeurs, laïcs, amis et ex-membres de la communauté l’ont calomnié.

Oui, j’ai compris ce que tu veux dire, c’est un entretien entre nous deux. Mais tu aimes l’Evêque? Il souffre tant. As-tu vu dans quel état il est aujourd'hui? Il n’a même pas mangé; c’est important de manger, pour nous sur la Terre.

La Madone - Courage à tous, mes chers enfants. Le Paradis est avec vous; Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit, Dieu Un et Trinitaire est avec vous; je suis avec vous, Saint Joseph est avec vous, tous les anges et les Saints du Paradis, en particulier votre chère grand-mère Iolanda, sont avec vous. Courage. Je vous recommande de faire pénitence, de prier et de jeûner pour ceux qui le peuvent! Comprenez moi bien, que ceux qui le peuvent jeûnent, mais ceux qui ne le peuvent pas pour des raisons de santé, ne doivent pas le faire. Vous connaissez bien l’initiative proposée par votre Evêque, manger ce qui ne vous plaît pas. C’est une grande pénitence qui contribue largement à résoudre de graves problèmes.

Courage à tous. Tous mes voeux, Excellence, tous mes voeux, Marisella, tous mes voeux à vous tous ici présents, tous mes voeux aux enfants lointains et proches. Merci. Le cénacle reste le même malheureusement et le nombre de ses membres n’augmente pas. Beaucoup, beaucoup de gens se rendent là où je n’apparais plus et où des messages ne sont plus donnés. Mais il est mieux de prier en petit nombre, d'être unis et de s’aimer. Cherchez à bien comprendre quand votre Evêque vous parle, quand je vous apporte les messages de Dieu. Je vous ai dit bien des fois que si vous ne les comprenez pas, vous devez aller trouver l’Evêque, n'en parlez pas entre vous. Obéissez à votre pasteur lorsqu’il vous dit: "Tu ne dois pas aller chez les prêtres". Il est très important d'obéir à l’Evêque, lui désobéir signifie désobéir à Dieu. Vous savez comment vous conduire.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, ceux qui sont malades et désiraient être avec vous ce soir. Je bénis les petits enfants malades, les missionnaires, ceux qui sont tués et les pauvres. Il suffirait de vendre quelques objets précieux et l’or qui se trouve en certains endroits pour sauver les pauvres et les enfants du tiers monde.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

De nouveau tous mes voeux à tous, même à moi, Mère de l’Eucharistie.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Tu ne t’en vas pas? Tu veux rester avec nous?

La Madone - Oui, je dois participer à la Sainte Messe célébrée par Son Excellence, comme toujours.

Marisa - Adieu, ma belle, adieu, maman.

Rome, le 29 octobre 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Bonne et excellente fête à tous, à ceux qui sont près et à ceux qui sont loin. J’aimerais tant que lorsque Jésus reviendra sur la terre, mais aucun de vous ne pourra le voir, qu’il trouve l’Eglise changée, comme il l’a laissée: une Eglise pleine d’amour et de paix envers tous les frères. Il ne doit pas y avoir de conflits entre les catholiques, musulmans, protestants et membres d’autres religions, parce que vous êtes tous frères et vous devez tous aimer Dieu, d'une manière ou d'une autre.

Je me réjouis de vous voir ici réunis, j’en pleure presque de joie. Quand nous allons vers Dieu et que nous nous inclinons devant Lui pour lui demander des grâces pour vous, spécialement pour mes deux petits enfants, Il nous regarde et sourit, parce qu’il connaît déjà la situation et vos désirs, mais Il ne peut encore les exaucer. Comme je vous l’ai déjà dit d’autres fois, le monde ne va pas bien. Quand mardi, le jour de la fête de la Mère de l’Eucharistie, j’ai emporté des âmes au Paradis en compagnie de Marisella, elle a dû redescendre sur la Terre et en a pleuré parce qu’elle s'est retrouvée dans un monde sale où elle ne désire plus vivre. Nous avons essayé de la réconforter, de l’aider, parce que depuis le 14 septembre elle souffre jour et nuit la passion, mais elle est heureuse, contente parce qu’elle se rend compte qu’elle sauve ainsi les âmes.

Comme elle vous le dira elle-même, beaucoup d'âmes sont montées au Paradis après l’apparition. Il s’agit de vos parents, amis et de beaucoup d’autres personnes que Marisella ne connaît pas, parce qu’ils sont musulmans, hébreux, protestants et membres d’autres religions. Une grande nuée d'âmes est montée avec elle, avec grand-mère Iolanda, mon époux bien-aimé Joseph et moi. Cela a été une grande joie au Paradis que j’aimerais que vous viviez également sur la Terre. Il n'est pas facile de vivre dans ce monde, parce que comme vous le savez, il va vraiment mal. Les hommes d’eglise et les laïcs ne se conduisent pas bien; beaucoup d’entre eux courent uniquement vers le plaisir, l’argent et le sexe; la charité, cette vertu qui vous conduit au Paradis, fait défaut. Beaucoup de non chrétiens sont au Paradis, parce qu’ils ont aimé leur prochain. s’il n'y a ni charité ni amour, il n'y a pas Dieu et pas de Paradis.

Vous fêtez aujourd'hui le treizième anniversaire de mes apparitions pour tous. Vous savez que votre soeur avait à peine deux ans et demi lorsqu’elle a commencé à s'entretenir avec moi, bien que ne sachant pas que j'étais la Madone. Cherchez, vous aussi, à aimer, à être charitables envers tous, parce que l’amour vous conduit à Dieu. Je suis la Mère, la Fille et l’Epouse de Dieu qui est votre Père et votre Mère à tous.

Je me suis plainte par le passé que vous n'étiez pas nombreux, mais je ne le fais plus à dater d’aujourd'hui, parce que même si vous n'êtes pas nombreux, vous êtes saints et c’est ce que Dieu veut. Là où beaucoup se réunissent, on ne parvient ni à prier, ni à écouter un sermon. Même celui qui se montre constamment à la fenêtre d’en haut n’aide pas les hommes à prier; il faut témoigner et donner l'exemple à tous dans la prière.

Aimez-vous en frères, comme Dieu vous aime, comme Moi, la Mère de l’Eucharistie, je vous aime. Merci et tous mes voeux à tous, en particulier à ceux qui avec amour et sacrifice sont venus de loin. Oh, si tous suivaient votre exemple! Cela coûte, mais s’il y a l’amour vous réussissez en tout. Seul l’amour vous conduit à Dieu.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, ceux qui sont loin et ceux qui vous ont quitté. Je bénis les enfants, les malades, en particulier les enfants qui meurent de faim parce qu’ils sont privés de nourriture et de médicaments, priez pour eux. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Tous mes voeux, bonne journée à tous et bon retour à ceux qui sont venus de loin. Je serai avec vous et vous accompagnerai.

Marisa - Adieu.

Messages de Novembre 2006

Rome, le 1er novembre 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - C’est toi qui es venu, Jésus?

Jésus - C’est aujourd'hui la fête de tous les saints et la première et la plus grande sainte est Ma et votre Maman, Marie, la Mère de l’Eucharistie. Marisella, tu as dit la vérité en plaisantant: c’est aujourd'hui la fête de ceux qui n'ont pas leur nom de saint patron sur le calendrier.

De toute façon, je veux vous parler aujourd'hui d’amour. Moi, Jésus, je parle d’amour, parce que j’ai donné beaucoup d’amour aux bons comme aux méchants; il y a ceux qui ont accepté mon amour et me l’ont rendu et ceux qui ne l’ont pas accepté et continuent à ne pas être bons.

C’est la Fête de la Toussaint. Regarde, Marisella, combien il y a de saints autour de moi, ils sont innombrables. Tu dois y ajouter ceux que tu as emportés au Paradis. Même s’ils ne sont pas encore tous déclarés saints, ils sont avec Moi au Paradis. Tu les vois ? Les reconnais-tu?

Marisa - Pas tous, parce qu’il m'est impossible de les reconnaître tous, je reconnais ceux que j’ai connus de leur vivant.

Jésus - Il y a parmi eux des membres d’autres religions que la religion chrétienne et des chrétiens qui n'ont pas participé à la Sainte Messe, mais ont donné beaucoup d’amour et de charité à leur prochain. C’est pourquoi, Dieu, le Suprême, le Tout-puissant, a voulu qu’ils viennent avec toi au Paradis, même si tu as dû ensuite retourner sur la Terre, parce qu’on y a tant, tant besoin de tes souffrances. Quand une autre grande multitude d'âmes montera au ciel, tu y monteras avec elles, mais tu redescendras de nouveau sur la Terre.

Je n'entends pas de plaintes, mais je lis dans ton coeur que cela ne te plaît pas de redescendre sur la Terre.

Marisa - Que dois-je dire? Patience. En tous les cas après la dernière nuit que j’ai passée, je n'espère plus aller un petit peu mieux, mais je suis heureuse que beaucoup d'âmes se sauvent.

Jésus, j’aimerais sauver les petits enfants de la famine et de la maladie. Je te demande aussi d’aider les puissants hommes d'État et d’eglise. Il n'est pas possible qu’il y ait tant d’enfants et de mères qui souffrent et meurent dans un monde aussi grand créé par Dieu. Je ne te demande rien d’autre que de les aider. Maintenant que tu as d’autres saints au Paradis, fais-toi aider par eux pour secourir ces enfants, les malades et en particulier les habitants du Tiers et du Quart Monde. Nous allons bien, nous vivons dans l’abondance, mais eux pourquoi doivent-ils souffrir autant? Si chacun de nous donnait un peu d’amour, de prière et d’aide, ils pourraient aller mieux. Tu nous as toujours enseigné à aimer notre prochain, même ceux qui ne méritent pas notre amour et nous y mettons tout notre coeur pour le faire. Nous nous révoltons parfois intérieurement contre ceux qui ne pensent pas à ces enfants et disposent des moyens et de l’argent pour les aider.

Jésus, toi qui es mort sur la croix pour tous les hommes, aide ces enfants, aide nous, donne nous la force d’aider ces créatures, ces mamans. Je t’en prie de tout mon coeur, Jésus, aide-nous.

Jésus - Adieu, Marisella.

La Madone - Je suis la Mère de l’Eucharistie et suis la première sainte du monde; Dieu l’a voulu ainsi et je veux que, vous aussi, deveniez saints.

Maintenant, ensemble avec votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, vos enfants, les malades présents dans ce lieu thaumaturgique et ceux qui sont loin. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Mes voeux à tous, tout spécialement à ceux qui n'ont pas leur nom de saint patron sur le calendrier.

Marisa - Oui, j’ai compris les noms auxquels tu pensais. Adieu.

Rome, le 4 novembre 2006 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je viens toujours avec une grande joie parmi vous, en particulier le premier samedi du mois, parce que les apparitions furent ouvertes à tous en une telle circonstance. Quand Jésus est mort sur la croix, il m’a dit, à moi sa Mère, Marie: "Voilà ton fils" et en regardant Jean: "Voici ta Mère". Moi, la Mère, j'étais sous la croix et j’ai accepté tous les hommes comme mes enfants. Oui, je suis votre Mère, la Maman de tous les hommes, grands et petits, et je demande toujours que l’on aide particulièrement tous les enfants. Vous ne connaissez pas la situation comme mes deux petits enfants la connaissent. Beaucoup d’enfants continuent à mourir et beaucoup d’entre eux deviennent aveugles ou ont toujours été privés de la vue. Je vous prie de m’aider en priant. Je vous remercie des offrandes que vous avez faites pour soutenir beaucoup de familles nécessiteuses, vous avez été très généreux et devez être heureux d’avoir fait ce geste de charité si grand. Que Dieu vous bénisse et vous donne la paix et la sérénité qui viennent parfois à manquer.

Il y a quelques jours, Dieu s'est manifesté à mes deux petits enfants et leur a dit: "Priez, afin que vous ayez encore plus de patience pour accepter et tout supporter". Soyez patients, mes chers enfants. La patience est utile, elle rend fort, humble et généreux. Moi, votre Maman, je désire que vous soyez patients par amour de Jésus Eucharistie, des anges et des saints. Il y a quelques jours, beaucoup d'âmes du Purgatoire sont montées au Paradis avec moi, et elles prieront aussi pour vous. Vos êtres chers qui sont montés au Paradis, prieront pour vous. d’autres millions d'âmes monteront au Paradis et continueront à prier pour vous, parce que vous avez besoin de beaucoup de force et de patience pour accepter ce que Dieu dit, et répéter toujours avec moi: "Que la volonté de Dieu soit faite".

Mes chers enfants, le premier samedi du mois est très cher au Dieu Tout-puissant, et s’il Lui est très cher, il doit l'être aussi pour vous. Priez aujourd'hui pour toutes les catastrophes qui arrivent dans le monde. Quand quelqu’un monte au Paradis, c’est très dur pour lui de redescendre ensuite parce que son heure n'est pas encore arrivée. Il souffre beaucoup de voir le monde corrompu et réduit à un état que personne ne parvient à comprendre. C’est pourquoi je vous demande de prier et de vous priver en mangeant ou de jeûner. Tous ne font pas ce que je demande.

N'oubliez pas que ceux qui n'ont pas de santé, ne vont pas bien, ne doivent pas faire le jeûne, mais doivent essayer de se nourrir, alors que ceux qui se portent bien et sont en bonne santé doivent jeûner une fois par semaine pour les petits enfants qui meurent de faim. Vous demandez à Dieu beaucoup de grâces, vous voulez qu’il accomplisse ce qu’il a promis, mais quand Il vous demande de faire pénitence, de vous priver, de jeûner, vous ne répondez pas tous à cette demande; et ceci me fait très mal, parce qu’il y en a qui pourraient le faire, mais qui ont peur de le faire. Je vous ai dit il y beaucoup d’années que le jeûne peut donner des vertiges, un creux à l'estomac, mais si le jeûne n'implique pas de petites souffrances, à quoi sert-il? De plus quand la tête vous tourne, l'estomac vous fait mal, le diable vous tente en vous faisant sentir les meilleurs odeurs de nourriture, dites alors à Dieu: "Mon Dieu, tu me l’as demandé et je veux le faire".

Marisa - Petite Madone, je sais que tu m’as dit de ne pas jeûner, mais puis-je te demander de prier pour ceux qui ne vont pas bien? Parce tous ne réussissent pas à avoir la force de l’accepter, tous ne peuvent endurer la souffrance qui arrive parfois à l’improviste.

Oui, je te recommande …, il est si bon, mais quand il souffre, il est faible. Aide-le, il est très fatigué, épuisé, de sorte qu’il ne parvient pas à faire autre chose. Tous ne réussissent pas à mettre en pratique ce que Dieu désire, alors je te le demande, ma petite Madone: Donne nous un peu de force pour accepter la volonté de Dieu, diminue un peu notre faiblesse, c’est pourquoi nous n’avons pas la force de faire quelque chose. Aide tous ceux qui en ont besoin.

La Madone - Marisella, merci de ton intervention, mais penses-tu que Nous ne le faisons pas? Nous le faisons et comment. Je sais à qui tu penses, Nous l’aidons, sois tranquille.

Marisa - Unis toi à nous pour prier pour les deux petits enfants qui deviendront demain chrétiens et recevront le Saint Baptême: Miriam et Ismaele Maria, que tu aimes tant et que tu as fait venir au monde avec tant de joie pour nous tous. Aide-nous tous, car nous en avons besoin.

La Madone - Oui, Marisella, ne te fatigue pas outre mesure. Sois forte, cherche à ne pas prendre sur toi les souffrances des autres, parce que les tiennes suffisent largement. Je sais que tu aimerais aider tous ceux qui souffrent et prendre leurs souffrances sur toi, mais cherche à supporter les tiennes qui sont très fortes.

La Maman vous adresse tous ses voeux.

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - j’espère qu’ils viendront tous demain avec toi pour nous aider et nous bénir. Adieu, maman.

Rome, le 5 novembre 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

J'éprouve une grande joie en voyant ces deux enfants, si petits, qui dans très peu de temps vont recevoir le sacrement du Saint Baptême et entrer dans l’Eglise du Christ pour en devenir membres avec l'espoir qu’ils grandissent bien comme Dieu le veut: bons, saints et pleins de santé, autant que possible.

Avant leur naissance, j’ai beaucoup prié pour eux, avec ma Marisella. Quand nous nous rencontrons la nuit, nous prions pour tous ceux qui en ont besoin, comme nous l’avons fait avec les autres enfants qui sont nés. Soyez tous parrains et marraines de ces deux enfants qui vont recevoir le Saint Baptême, aidez-les de vos prières, parce que chaque enfant a besoin qu’on l’aide. Tout le Paradis, y compris ceux qui y sont montés il y a peu de temps avec moi, prie pour ces deux enfants, Miriam et Ismaele Maria. A vous, mon petit cénacle, il ne reste qu'à prier et à faire ce que je vous ai dit hier soir: faire pénitence, le jeûne, des sacrifices et privations qui servent toujours aux grands et aux petits. Je vous invite également à prier pour les malades, mais surtout pour les petits enfants et les mamans du Tiers et du Quart monde, pour tous ceux qui souffrent par la faute des hommes.

L'homme n'est plus celui que Dieu a créé. C’est pourquoi Dieu attend, attend, attend les conversions; tous sont ses enfants et les perdre Le chagrine; aidez vous aussi Dieu à sauver toutes ces personnes.

Mes chers enfants, je veux bénir les objets sacrés. C’est un don que vous fait votre marraine avec amour, mes chers enfants.

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers; je bénis les enfants, en particulier ceux qui vont recevoir le Saint Baptême. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

La Madone - Donne un baiser aux enfants de ma part.

Marisa - C’est bon. Adieu. Elle est partie.

Rome, le 9 novembre 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Les rencontres bibliques recommencent enfin. Beaucoup en sont heureux, mais cela va demander probablement un grand sacrifice à certains. Quand votre Evêque vous parlera encore ce soir de Saint Paul, vous vous rendrez compte comme tout est beau et que ce qu’il dit vous conduit directement à Dieu.

Continuez toujours à prier. Imitez Paul, qui marchait, ou mieux courrait pour aider les hommes, puis se jetait à terre, la tête baissée pour prier. Je ne vous dis pas que vous devez faire de même, les temps étaient différents alors et l’on priait d'une autre manière. Aujourd'hui, certains ne peuvent pas s’agenouiller, en raison de l'âge ou de la maladie, mais cela ne fait rien, Dieu est content quand même. Après tout Dieu n’a jamais demandé de s’agenouiller à quelqu’un qui ne se porte pas bien, il le demande à ceux qui peuvent le faire. A ceux qui ne peuvent le faire, il demande de prier,

de se priver, de faire pénitence et de jeûner. Vous n’avez pas encore appris comme je l’ai déjà dit par le passé que le jeûne et la pénitence doivent être faits par ceux qui le peuvent. Si quelqu’un se sent mal en faisant le jeûne et la pénitence, qu’il fasse de petits sacrifices. Si certains aiment tout ce qu’il mange, n'importe quelle nourriture, ils ne doivent pas manger ce qu’ils aiment le plus, le pain par exemple. Mais ceux qui se sentent mal après avoir mangé des gnocchis ou du foi, commettent une faute. Vous pouvez manger ce que vous n’aimez pas, mais pas au point de vous rendre malades, ceci n'est pas admissible. N'est-ce pas Excellence? Tu en sais quelque chose? Vous devez agir avec souplesse, calme et dire: je peux faire cela et je le fais, je ne peux pas faire cela et je ne le fais pas; Dieu ne vous demande pas l’impossible, il vous demande ce que vous pouvez faire. Que ceux qui ne peuvent faire le jeûne ou la pénitence, fassent de petits sacrifices, des prières, récitent le Saint Rosaire chaque jour, cette prière est très importante.

En ce qui concerne la rencontre biblique, vous recommencez à la faire ce soir, soyez bien à l'écoute, cherchez à ne pas vous endormir, même si l’on dort bien dans les bras de Jésus, et essayez de suivre et de mettre en pratique ce que dit l'évêque.

Priez pour les malades, pour les petits enfants, pour ceux du Tiers et du Quart monde. Marisella, tu ne peux faire ni le jeûne, ni la pénitence, tu dois offrir toutes tes souffrances. Quand la fatigue physique et l'épuisement que tu traînes depuis longtemps prennent le dessus, tu dois te reposer. Laisse jeûner et faire pénitence ceux qui sont en bonne santé et peuvent le faire. Même ceux qui sont âgés ne doivent pas jeûner. Ne pensez pas à grand-mère Iolanda qui cherchait encore à 96 ans à faire le jeûne et la pénitence qui doivent être faits par les jeunes qui se portent bien. Si vous mettez en pratique tout ce que je vous dis, vous verrez comme tout s’aplanira et vous conduira à Dieu, parce que l’amour est la plus grande vertu qui conduit vers Dieu et demeure avec vous au Paradis.

Merci de votre présence.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Grand-mère Iolanda vous dit quelque chose.

Grand-mère Iolanda - Je prie pour mes enfants, petits-enfants, arrière petits-enfants et pour tous. Merci à ceux qui vont souvent me rendre visite au cimetière et y mettent tout en ordre, mais je n'y suis pas, je suis au Paradis. Adieu, Annarella, adieu, Selenia et Yari, adieu, mes chers petits-enfants. Adieu, Excellence.

Marisa - Bonjour, maman. Tu ne me salues pas?

Grand-mère Iolanda - Si, bonjour, Marisella, courage, je sais que tes souffrances sont énormes, mais je vois que tu réussis quand même à plaisanter et sourire.

Marisa - Maman, merci de tes prières pour nous tous. Moi aussi, la nuit, tu le sais, je prie pour tous, pour les soeurs, frères, neveux, petits-neveux, pour tous en les nommant.

Adieu, maman, j’ai compris. Adieu.

La Madone - Mes chers enfants, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Quand irons-nous emporter d’autres âmes du Purgatoire au Paradis?

La Madone - Je te le dirai, Marisella, mais tu le sais, tu monteras au Paradis et puis tu redescendras sur Terre.

Marisa - Cela me fait tant souffrir. C’est bon, adieu.

Elle m'emmène au ciel et me renvoie sur terre; c’est une grande souffrance.

Rome, le 12 novembre 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est le 26 novembre la fête du Christ Roi et j’aimerais que vous fêtiez mon Fils Jésus du mieux possible. Vous souvenez-vous lorsque Jésus a dit: "Je suis Roi, mais sans couronne"? Nous ne portons pas de couronne. Ce n'est pas la couronne qui fait les souverains, mais le coeur et l'âme; tout ce qui est juste, chaste, pur, fait Roi et Reine; vous pouvez ainsi vous aussi obtenir la royauté. Soyez parfaits devant Dieu. Vous direz que seul Dieu est parfait. C’est vrai, mais l'homme peut aussi devenir parfait, pas au niveau de Dieu, par sa charité, sa bonté, sa patience, si son âme est propre et s’il vit toujours dans la grâce.

Les hommes malheureusement ne sont pas bons, et vous le savez. Il y a ceux qui disposent de ressources importantes et se sentent maîtres et ceux qui sont pauvres et ne sont pas récompensés. Souvenez vous du passage de l’Evangile qui raconte que les riches allaient mettre beaucoup d’argent dans le tronc du Temple en faisant du bruit et en faisant voir à tous qu’ils avaient mis beaucoup d’argent, alors qu’une pauvre veuve qui n’avaient que deux sous les y a jetés doucement, doucement? La pauvre veuve a donné bien plus que les riches qui avaient mis beaucoup d’argent. La même chose se produit aujourd'hui: ceux qui sont riches montrent leurs billets quand il donnent leurs offrandes à ceux qui passent faire la quête; ceci n'est pas beau, ni pour Dieu, ni pour les hommes. Quand vous faites quelque chose de bien, faites le discrètement, en cachette. C’est de l'humilité et l'humilité est une très grande vertu qui vous conduit à la sainteté.

Ne cherchez pas à mettre votre offrande pour vous faire voir des autres, l’offrande se fait en silence, avec recueillement, chacun donne ce qu’il peut, tous ne peuvent pas donner la même chose, certains donnent plus, certains moins, l’important est de le faire avec le coeur, avec amour, pour aider le prochain. Souvenez vous du discours de Jésus? L'éloge qu’il a fait de cette pauvre vieille est très important, très beau. Je le dis parce que j’ai ici à côté de moi grand-mère Iolanda qui a fait bien des fois cette offrande; elle n’avait parfois pas assez d’argent, mais donnait le peu qu’elle avait en offrande. Toi aussi, Marisella, te souviens-tu que tu donnais ton goûter en offrande quand tu allais à l'école?

Comme je le dis toujours, ce qui importe c’est l’amour, l’amour envers tous, mais l’amour manque parfois envers l’Evêque, envers celui qui vous aime tous. En effet, hier le repas était prêt pour tous, mais il n'y avait rien de prêt pour l’Evêque, on n’avait rien fait pour lui. Comment peut on aimer et respecter l’Evêque si l’on n’a pas d’amour et de dévouement pour lui? L’Evêque se tait, se tait, mais jusqu'à quand pourra-t-il se taire? Pourquoi sont-ils ainsi? Je parle de ceux qui servent dans la maison. Pourquoi? Ceci est un manquement grave, en plus du manque de respect, il y a un manque de charité. Changez, mes chers enfants, changez, en particulier ceux qui sont arides et disent aimer mais n’aiment pas. Pourquoi vous lamentez vous sur les prêtres et les hommes politiques si vous agissez de même? Heureusement, seulement quelques personnes se conduisent mal dans cette communauté. Respectez votre Evêque, qui en ce moment est celui qui souffre le plus de tous les hommes. Vous, au lieu de l’aider, vous le faites souffrir; soyez bons, soyez miséricordieux, aimez votre Evêque ordonné par Dieu et tout sera plus facile et vous serez tous d’accord. Heureusement, seules deux personnes se conduisent mal, toutes les autres se conduisent bien, aiment et respectent l’Evêque. Qu’est-ce que cela coûte d'obéir ou de faire ce que dit l’Evêque? Non, ils font toujours tout le contraire. Et alors ceux qui ne vivent pas ici ne savent pas, ne voient pas, ne comprennent pas et pensent que j’exagère, mais ceux qui sont ici dans la journée voient comment est la situation. Moi, qui suis la Maman de tous, qui vous aiment tous, je dois également les aimer, mais s’ils ne changent pas, même si je les aime, ce qui les attend n'est pas beau.

Courage à tous. Je vous répète de temps à autre: aimez-vous tous les uns les autres, comme je vous aimés, comme Dieu vous a aimés. Aimez-vous, mes chers enfants et voulez-vous du bien. Le monde s’autodétruit et si aussi ceux qui se disent pratiquants, agissent mal, que reste-t-il à faire? Je vous ai dit une fois: de jeter dehors ceux qui manquent de respect à l’Evêque ordonné par Dieu, puis je vous ai dit de leur donner encore la possibilité de se convertir. Mais à quel prix? Au prix de la souffrance de mes deux petits enfants, surtout de celle de l’Evêque; il n’a personne qui l’aide à la maison, alors que Marisella, ayant les jeunes filles, reçoit plus d’aide. Je vous aime, aimez-vous les uns les autres.

Merci de réussir à mettre en pratique tout ce que je vous ai dit: aimer, aimer, aimer. C’est l’année de l’amour, mais cet amour je ne l’ai pas vu en tous. Alors recommençons encore une fois. Voulons-nous faire l’année de l'humilité ou l’année de la patience? C’est à votre Evêque de décider ce qu’il veut faire. Vous devez chaque année pratiquer d'une façon particulière l’une des vertus qui vous conduira au Paradis.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

Rome, le 16 novembre 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Priez toujours, réunis au nom de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. J’ai emporté des âmes du Purgatoire au Paradis et vos proches se trouvent parmi elles: vous devriez vous en réjouir, en être heureux, vous devriez parfaire votre amour, vos prières, vous améliorer en tout pour rejoindre vos êtres chers.

Il y a aujourd'hui jeudi la rencontre biblique qui est fort agréable à Dieu et très importante. Votre Evêque sait faire un poème de deux, trois lignes qu’il lit. Tout l’Evangile est un poème pour ceux qui savent bien l'expliquer, se préparent et l'expliquent aux âmes. Vous devez vous réjouir, être heureux que tout ceci soit fait par votre Evêque si maltraité par les hommes de l’Eglise. Cela suffit, je ne dis rien d’autre, priez pour lui.

Ce sera bientôt la fête du Christ Roi, puis le Saint Noël. Il y a beaucoup de fêtes et de moments de grandes prières pour aider les pauvres, et aussi ceux qui sont pauvres spirituellement. Petit cénacle, vous pouvez donner beaucoup plus par rapport à beaucoup d’autres groupes, où il y a beaucoup de pommes pourries, où des hommes et des femmes prient pour se faire remarquer. Ils ne pratiquent pas, comme vous, l'heure d’adoration du saint sacrement, et le vendredi, la veillée de prière pendant toute la nuit. Bien sûr, tous ne peuvent participer pour des raisons de santé ou de famille. Tout ceci donne beaucoup de joie à votre Jésus, à Celui qui est venu parmi vous, se montrant plein d’amour, de charité et vous aidant tous toujours à avancer, l’un d'une façon et l’autre d'une autre. Jésus a appelé votre soeur et l’a fait souffrir comme lui; il lui a donné les stigmates, lui a fait verser du sang pour le salut des âmes. Aujourd'hui, votre soeur continue à souffrir la passion de mon Fils Jésus, sans verser du sang, mais elle souffre énormément et prie toujours pour vous tous.

Ceux qui sont montés au Paradis prient aussi pour vous, pour vos êtres chers, les petits enfants et les malades et surtout pour l’Evêque, la Voyante et la renaissance de l’Eglise.

Soyez toujours unis et cherchez surtout à ne pas vous distinguer dans les petits travaux que vous faites dans la chapelle ou la basilique. Ce ne doit pas être toujours les mêmes qui bougent ou prennent des initiatives. Faites bouger aussi les autres, faites les aussi participer à la joie de porter les cierges, de réciter le Saint Rosaire, de préparer la Sainte Messe, parce que vous êtes maintenant tous prêts à tout faire.

Je jouis pleinement dans le Seigneur quand je vous vois partager ce travail si beau, si plein d’amour, mais je vous en prie, faites que tous y participent, au moins ceux qui peuvent le faire, n'utilisez pas toujours les mêmes, changez. Nous, quand nous nous promenions avec Jésus et ses apôtres, nous priions beaucoup. Celui qui devait commencer à dire les psaumes et les hymnes changeait de temps à autre, ce n'était pas toujours le même. Jésus qui était le chef de tous, ne se mettait pas au premier rang, il laissait parler les apôtres, les disciples. Moi aussi je ne me mettais pas au premier rang, je laissais faire les apôtres, mais ce n'était pas toujours les mêmes, ils se relayaient. Faites vous aussi de même, que ce ne soit pas toujours les mêmes qui fassent les travaux, cherchez tous à participer. Mon et votre Jésus qui vous aime tant, est heureux quand vous réussissez à faire mieux.

Continuez, mes chers enfants, avancez toujours, je vous l’ai dit tant de fois: faites un pas après l’autre et avancez, ne reculez jamais: Jésus et moi, nous serons avec vous.

Ensemble avec mon et votre Evêque, notre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 19 novembre 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est l’avant-dernier dimanche ordinaire de l’année liturgique. Dimanche prochain ce sera la fête du Christ Roi; je tiens beaucoup à cette fête de mon Fils Jésus. Préparez-la avec tout votre amour, comme l’a toujours fait mon saint Evêque; vivez bien la veillée, et puis célébrez la fête du Christ Roi. Souvenez-vous: Le Christ est Roi, mais sans couronne.

Comme d'habitude, j’insiste encore sur la prière, le sacrifice, les privations et le jeûne. Attention: ceux qui font la pénitence, ne doivent pas faire le jeûne, et ceux qui font le jeûne, ne doivent pas faire la pénitence. Vous êtes maintenant grands, cela fait longtemps que je vous dis que vous êtes arrivés à l’université, mais il y a encore un qui n’arrive pas à comprendre quand la Maman parle. Le jour du Christ Roi, 18 millions d'âmes monteront du Purgatoire au Paradis.

Vous devez prier, afin que peu à peu, à l’occasion des grandes fêtes, beaucoup d’autres âmes montent au Paradis. L'âme qui va au Paradis jouit pour toujours, parce qu’il n'y a pas ni souffrance, envie, jalousie, mensonge au Paradis, mais on y prie, chante et adore Dieu, parce qu’il faut seulement adorer Dieu.

Mes chers enfants, pensez-y bien: Dieu vous a choisi, petit groupe, cénacle minuscule, et vous a confié beaucoup de missions à accomplir, parce qu’il croit en vous. Vous aussi, vous devez croire en Dieu, avoir foi en Lui quand viennent les souffrances et les soucis. Restez unis à Dieu, ayez foi et une grande confiance en Dieu. Quand ce sera l'heure, vous monterez tous au Paradis. Songez au Paradis, vivez comme si vous étiez au Paradis, cajolez vos petits enfants, enseignez leur à bien se conduire dans cette société si brutale et pleine de méchancetés, médisances, calomnies et diffamations. Quand une personne est mal jugée, même si elle agit bien, même si elle agit au nom de Dieu, elle est condamnée par ceux qui n’aiment pas. Je vous dis: aimez-vous toujours les uns les autres, aimez-vous en famille, aimez vos enfants, aimez ce petit cénacle tant aimé de Dieu.

Je me répète toujours: aimez votre saint Evêque. Vous devez aussi vous aimez vous-mêmes, parce que quand vous vous conduisez bien, agissez bien, recevez mon Fils Jésus dans la grâce, le Christ entre en vous. Vous devez tous vous conduire comme Jésus et vous demandez: "Que ferait Marie à ma place?". Alors vous verrez que tout deviendra facile. Acceptez-vous et acceptez la souffrance, même si elle est dure, acceptez tout parce que le temps passe et que votre vie terrestre arrivera à sa fin. Si vous faites ce que je vous ai dit dans la lettre de Dieu, vous monterez au Paradis. Vous ne devriez pas attendre de passer des années et des années au Purgatoire, mais allez directement au Paradis.

Marisa - Je suis d’accord jusqu'à un certain point. Pourquoi me faites-vous aller au Paradis et me renvoyez-vous ensuite sur la Terre? Je ne suis pas d’accord sur ce point, mais puisque c’est la volonté de Dieu, je dois obéir. Que la volonté de Dieu soit faite.

La Madone - Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les enfants les malades présents et absents. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

N'oubliez pas que lorsque vous participez à la Sainte Messe, vous devez la vivre comme si c'était la dernière de votre vie.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Rome, le 21 novembre 2006 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - C’est aujourd'hui la fête de ma présentation au temple. A l'âge tendre de huit ans, mes parents, Joachim et Anne, m'ont présentée au temple et là avec la prophétesse Anne et Siméon nous avons longtemps prié pour la paix dans notre cité. Ma maman et mon papa sont morts peu de temps après et je suis restée seule. Vous ne le savez pas, mais mes proches ne m'ont pas recueillie et j’en ai beaucoup souffert. Ce fut alors que la prophétesse Anne me dit d’aller au temple et d'y vivre avec elle. Anne m’a enseigné le travail des étoffes et la broderie pour Celui qui devait naître un jour. J’ai beaucoup souffert, non seulement de la perte de mes parents, mais également du fait que mes proches ne m'ont pas bien traitée. Ceux d’entre vous qui ont fait la même expérience savent fort bien comme cette souffrance est grande. Dieu voulait que je vive dans le temple, où, en plus de prier beaucoup, j’ai appris à faire beaucoup de choses. Je ne vous ai pas dit cela pour me faire plaindre, parce que je suis heureuse dans tous les sens du terme, mais parce que je sais que sur la Terre beaucoup de personnes souffrent par faute de la famille, de l’abandon des parents ou des enfants; la souffrance des pères et mères, des enfants est toujours présente dans le monde. Oh, les parents! Cela vous surprend peut-être que je vous dise de prier pour ceux qui font souffrir, sachant qu’ils font souffrir, c’est la plus grande souffrance. Faut-il prier pour ceux qui savent qu’ils font souffrir? En tant que Maman, Madone, Mère de l’Eucharistie, je vous dis de prier aussi pour eux, même si ce n'est pas facile. Ne laisse pas couler de larmes, Marisella, ce n'est pas nécessaire.

Marisa - Ne me regarde pas.

La Madone - Tu ne dois pas te faire de soucis, il y a un remède à tout. Le Seigneur n’abandonne personne. Ta souffrance et celle de l’Evêque sont grandes et continuent, mais Dieu est avec vous. Mes chers enfants, vous devez tous prier, rester unis et vous aimer. Vous ne devez pas être inutilement héroïques, cela n'est pas nécessaire, faites tout avec simplicité, sincérité, amour, sans chercher à faire plus que ce que vous pouvez faire; donnez ce que vous pouvez donner.

Vous devez chercher à être heureux, même quand vous souffrez, parce que la souffrance ne vous manquera pas tant que vous serez sur la Terre. Cherchez donc à vous aimer, prier et à ne pas flancher.

J’ai eu un témoignage très beau de la part d'un père qui, bien que souffrant beaucoup, souriait, plaisantait avec ceux qui étaient à l'hôpital avec lui. Il a beaucoup aidé ceux qui étaient très abattus, déprimés, se laissaient aller, ne parlaient pas. Ce père, même grand-père, leur a redonné un peu de joie et de confiance. Vous aussi, vous devez faire de même, quand quelque chose ne va pas, quand vous ne vous sentez pas bien, vous ne devez pas vous laissez aller parce que ceux qui sont près de vous s'effondrent aussi. Sur la planète Terre, il y a la souffrance et la joie, un peu de tout; mais si vous vous laissez aller pour chaque souffrance qu’elle soit petite ou grande, ceux qui sont près de vous, votre épouse, votre mari, vos enfants, vos proches en souffrent et vont mal, vous devez donc avoir plus de force et de courage en acceptant les souffrances sur la Terre.

N'oublie pas aussi aujourd'hui, de me faire voir quelque chose, Marisella.

Marisa - La communauté a fait quelque chose et j’ai eu l’idée de l'envoyer à la presse. Si tu penses que l’on doit y enlever quelque chose, dis le.

La Madone - Je vous ai toujours laissé libres de faire tout ce que vous vouliez faire. Il n'y a rien d'inutile ici, tout reste toujours dans l'histoire de mes apparitions. Vous pouvez le diffuser, mais quelques corrections doivent être faites comme je te l’ai dit, Marisella.

Marisa - Oui, mais devons nous envoyer également toutes ces photographies? Veux-tu les enlever, je t’en prie?

L’Evêque - Non!

Marisa - Excuse moi, attends une seconde, je parle à la Madone.

L’Evêque - Je comprends, que veux tu enlever?

Marisa - Voilà, j’aimerais enlever ces deux photos.

La Madone - Mais pourquoi, Marisella?

Marisa - Je ne sais pas si tu me comprends, mais cela me gêne énormément. J’aimerais tant vivre caché et j’aimerais que personne ne me voit quand je parle avec toi. Sois bonne, petite Madone.

La Madone - Non, Marisella, il n'y a rien à enlever ici, mais à ajouter ce que tu as dit. Faites ce que vous aviez pensé faire; ma bénédiction vous accompagne.

Faites maintenant comme si vous entriez avec moi dans le temple et priez avec les prophètes pour tous les hommes qui ne se conduisent pas bien. Restez toujours unis à Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je bénis Sara, Emanuele, Mariasole, Jacopo, Samuele, Denise, Michelle, Nicole, Ismaele, Miriam et tous vos enfants. Les enfants sont la joie du Paradis. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. C’est bon, j'obéis.

Rome, le 23 novembre 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est une grande joie pour moi de vous voir ici réunis pour participer à la Sainte Messe et surtout pour écouter la Parole de Dieu. Votre Evêque est préparé, Dieu lui parle dans son coeur et comme vous le savez bien, il fait un poème de quelques mots, ce que vous savez depuis longtemps. Je ne me lasserai jamais de vous dire de prier pour l’Evêque, afin que Dieu l’aide jusqu'à la fin.

Il y a beaucoup d'intentions de prières: pour les prêtres, les malades, les enfants et tous ceux qui aiment le Dieu Tout-puissant. Je resterai avec vous, parce que comme Maman, je suis avec les enfants, les malades, toutes les créatures du Tiers et du Quart monde, où j’emmène souvent Marisella pour qu’elle y aide les enfants. Vous avez des enfants qui ont de la chance, n'est ce pas Sara? As-tu ton petit garçon?

Marisa - Nous prions toujours, tu sais mieux que moi que beaucoup de membres de la communauté font le jeûne, la pénitence et les mortifications. Puis-je moi aussi, faire le jeûne une fois par semaine?

La Madone - Non, Marisella, tu ne le peux pas.

Marisa - Et la mortification, la pénitence?

La Madone - Obéis à Dieu. Il a dit non.

Marisa - C’est bon, j'obéis à Dieu, de toute façon j’ai obéi à Dieu toute ma vie. Il dit qu’il m’aime, Il a toujours raison.

La Madone - Il est juste que Dieu ait raison, Il aime tous les hommes.

Marisa - Et Toi, Petite Madone, est-ce que tu nous aimes tous? Nous avons besoin de ton amour, parce que tu es notre Maman.

La Madone - Si je ne vous aimais pas tous, je ne serais pas ici, dans ce petit lieu thaumaturgique, dans ce petit cénacle, mais j’irais dans les grands lieux où il y a beaucoup de monde. Mon coeur est ici avec vous, c’est pourquoi je prie pour vous et fais prier toutes ces âmes qui sont montées avec moi au Paradis. Aimez-vous et préparez-vous à célébrer l’année de l'Humilité.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Courage, Marisella, sois forte.

Marisa - C’est bon, adieu.

Elle est partie.

Rome, le 26 novembre 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Jésus Christ, Roi sans couronne, nous te prions de nous aider. Tu es miséricordieux, Tu es patient, Tu nous aimes immensément. Même nous, dans notre petitesse, nous cherchons à t’aimer comme nous le pouvons, mais nous sommes des créatures humaines et nous sommes faibles, mais nous chercherons par tous les moyens à bien nous conduire et à t’aimer de tout notre coeur.

Jésus - Mes chers enfants, je suis votre Jésus, je suis Jésus Roi, mais sans couronne. Après les saintes paroles prononcées par votre Evêque, Moi, Dieu, je ne sais qu’ajouter de plus. Vous savez que votre Evêque parle en Mon nom et au nom de ma et votre Maman. Il est plein d’amour, de spiritualité, de patience et d'humilité qui est une vertu très importante. Elle vous conduit au Paradis pour y jouir éternellement. C’est pourquoi ma Maman vous a dit: "Célébrez l’année de l'Humilité". Mais la patience est aussi très importante, surtout envers vous-mêmes et envers ceux qui vous sont proches et ceux qui vous font souffrir.

C’est aujourd'hui un jour important. Comme vous le savez bien, 18 millions d'âmes vont monter vers le Père, c’est une grande joie que l’on doit à mes deux chers petits enfants ainsi qu'à vous, mon petit cénacle, parce que vous avez prié, souffert, fait pénitence, jeûné et fait les veillées nocturnes. Dieu le Père donne à votre petit groupe, la joie, l'espérance d’arriver tous un jour au Paradis. Les divers groupes se sont maintenant mis en route, c’est beau de les voir, c’est un ensemble de petits nuages blancs: ce sont les âmes de ceux qui montent vers le Père. Ils prient entre-temps pour vous tous.

C’est aujourd'hui la fête du Christ Roi, Je n’ai pas autant de fêtes que la petite Madone. La mort est le moment que Dieu a choisi pour faire partir les âmes de cette terre. Dieu laisse des personnes sur Terre pendant beaucoup d’années, parce qu’elles doivent aider ceux qui sont chefs d’etat et à la tête de l’Eglise. Malheureusement, la situation de l’Eglise est très difficile. Aujourd'hui, l’Eglise n’avance pas, mais recule toujours un peu plus. Aujourd'hui les hommes d’eglise, comme la Maman l’a toujours dit, courent vers le pouvoir, le trône, une belle situation, l’argent et vers d’autres choses que je n’ai pas envie de nommer. Je vous aime parce que vous êtes peu nombreux. Même si vous l'êtes, vous parvenez à faire beaucoup.

Lors de la fête du Christ Roi en 1995, vous avez souffert et vous vous êtes réjouis. Souvenez-vous que Dieu est intervenu ce jour là avec une grosse averse afin de chasser ceux qui étaient venus faire de vilaines choses contre vous et les âmes présentes. Combien seraient tombés dans le mal! Mais ceci n’a pas eu lieu, parce que la grosse averse, si forte et si puissante, a fait fuir les méchants, ceux qui étaient possédés par le démon. Vous êtes saufs et bénis par Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Méditez les paroles prononcées par votre Evêque. Il a été appelé par Dieu, c’est pourquoi il a beaucoup souffert, mais Dieu est avec lui et ne l’abandonnera jamais. Dieu est aussi avec vous, si vous restez unis au sacrement de l’Eucharistie, priez et faites tout ce que j’ai dit avant.

Je souhaite une bonne journée à tous. Pensez à la fête du Christ Roi, c’est Moi, et priez. Il suffit de dire une simple petite prière: "Dieu, Jésus, Esprit Saint je vous aime"; il n'est pas besoin de longues prières.

Merci de l’amour et des fatigues que vous affrontez chaque fois qu’il y a une grande fête. Merci de l’amour, la patience et l'humilité que vous montrez.

Je vais vers le Père et je vous laisse la Maman.

La Madone - Je suis votre Maman, après ce qu’a dit le saint Evêque et surtout Jésus, Christ Roi, que puis-je dire? Je vous donne ma bénédiction, mais vous savez que la seule présence de Jésus est une bénédiction.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les malades et les petits enfants pauvres. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Participez de tout votre coeur à la Sainte Messe.

Marisa - Adieu. Ils sont partis.

Rome, le 30 novembre 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Vous n’avez pas commencé la Sainte Neuvaine parce que votre Evêque a raisonné avec son coeur et pensé que vous étiez fatigués, que vous veniez souvent et de loin. Faites seulement la neuvaine les jours où vous êtes ici, comme le jeudi, le premier samedi du mois et le dimanche. Faites précéder la fête de l’immaculée Conception d'un petit triduum. Je sais qu’il vous semble parfois que nous vous demandons beaucoup, mais vous devez comprendre que si nous demandons, c’est toujours pour vous que nous le faisons.

Je vous invite comme toujours, à la prière, au jeûne et à la pénitence. Je vous exhorte à prier pour mes deux petits enfants; aidez-les de vos prières. Je vous dis franchement que l’Evêque est fatigué, très fatigué. Nous nous réjouirons avec vous, nous vous donnerons la force et le courage d’avancer.

Je suis la Maman, la Madone, la Mère de l’Eucharistie et je souffre beaucoup en ce moment de la situation critique du monde. Priez, priez et priez. Cultivez l’amour, l'humilité, la patience et la charité. La foi et l'espérance doivent contribuer à aimer Dieu encore plus. Je vous le répète de tout mon coeur: ne lâchez pas les filets, laissez faire Dieu. Merci.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, tous les petits enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Nous reparlerons ensuite …

Messages de Décembre 2006

Rome, le 2 décembre 2006 - 18h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Maman, comme tu es belle! Cela fait trois ans que tu nous manques sur la Terre.

La Madone - Quand Dieu me dira quelque chose, je parlerai. Je vous remercie de votre présence, mes chers enfants. C’est une grande fête au Paradis aujourd'hui, parce que grand-mère Iolanda y est avec Nous depuis trois ans. J’aimerais beaucoup que vous la priiez toujours, parce que Dieu lui a donné des dons particuliers pour aider ceux qui l’invoquent sur la Terre. Ceci devrait te donner beaucoup de joie, Marisella.

Je viens pour prier et être avec vous. La vie est très difficile sur la planète Terre, mais si vous réussissez à vous aimer, à vous vouloir du bien, tout deviendra plus facile. Vous souvenez-vous quand je vous ai parlé du secret de Fatima et que je vous ai dit que des prêtres seraient contre des prêtres, des évêques contre des évêques, des cardinaux contre des cardinaux? Qu’est-ce qui est arrivé? Les papes se sont passés ce secret de l’un à l’autre sans le rendre public, sans jamais le révéler. Quand ils se sont décidés à en parler, ils n'ont pas révélé la toalité du secret que j’ai confié aux trois bergers et toi, Marisella, tu le sais, parce que tu le connais bien.

Marisa - Oui. Je veux te demander de nous aider parce que nous, tant que nous pouvons faire dans notre petitesse, nous ne pouvons pas donner plus. Je m’adresse moi aussi à ma maman; si Dieu lui a donné des dons pour nous hommes de la Terre, qu’elle nous aide à vivre bien ce moment si dur et si difficile.

La Madone - Tu vois, Marisella, que tout semble aller bien, que ce soit dans les pays musulmans ou dans les autres nations, mais il n'en est pas ainsi. Je n’ajoute rien d’autre, je vous dis seulement de prier et prier pour tous les grands hommes qui se sentent puissants et se défient les uns les autres, afin de voir lequel d’entre eux est le plus fort.

Grand-mère Iolanda - Dieu m’a donné la permission de vous parler. Je dis bonjour à tous mes enfants, petits-enfants et arrière petits-enfants, c’est moi votre maman, votre grand-mère. Je suis heureuse et je me sens bien au Paradis, mais quand je viens sur la Terre et que j'y vois tant de misère, je souffre et j’ai mal. Mes doux et chers enfants et petits- enfants, aimez-vous bien. J’ai beaucoup d’arrière petits-enfants: Jacopo, Samuele, Emanuele, Sara, Mariasole, Nicole, Denise, Michelle. J’ai beaucoup de petits enfants ici autour de moi! Tu les vois, Marisella, et tu les connais bien. Aimez-vous bien. Mes chers petits-enfants éduquez bien vos enfants, faites qu’ils soient toujours bons, respectueux et surtout qu’ils ne se disputent pas; ils doivent bien s’aimer réciproquement.

Annarella, trésor de ta maman, la plus petite de mes enfants, ma fille adorée, je prie beaucoup pour toi, ton mari, tes enfants et petits-enfants. Je prie aussi pour Roberto et Franco, qui me fait tant souffrir, et toi, Marisella, tu le sais, parce que nous nous voyons tous les jours.

Marisa - Maman, je te demande de prier pour mes frères, ma soeur, mes neveux et petits-neveux, ainsi que pour mes neveux d’adoption, prie pour nous tous, parce que nous avons tous besoin de quelque chose et tu peux nous le donner.

Grand-mère Iolanda - Oui. Je prie aussi pour le petit cénacle, pour tous ceux qui m'ont aimée. Mon amour et mon affection s’adressent à l’Excellence pour lequel je prie beaucoup. Chaque fois que je m’approche et m’incline devant Dieu, je prie pour lui. Il y a maintenant d’autres personnes, comme ses confrères et grand-mère Sperenza, qui prient pour vous tous. Vous membres du cénacle, du petit groupe du Movimento Impegno e Testimonianza, aimez vous et cherchez à bien aimer votre Evêque. Je vous vois du haut du Ciel, je prie pour vous et je m'unis à vous; soyez respectueux les uns des autres. Adieu à tous et un baiser à tous.

La Madone - Moi, votre Maman, je désire que vous continuiez la neuvaine, les uns d'une manière et les autres d'une autre, afin de bien arriver au huit, le jour de ma fête de l’immaculée Conception, où il y aura une grande fête au Ciel et sur la Terre. Vous, bien que vous soyez petits et peu nombreux, vous m’aimez, aimez mon Fils Jésus et vous approchez du Sacrement de l’Eucharistie avec tout votre amour; j’en suis heureuse. Merci de votre présence.

Grand-mère Iolanda - j’envoie un baiser à vous tous du cénacle, ainsi qu'à l’Excellence, mes enfants, petits-enfants, arrière petits-enfants et à ceux qui sont absents pour des raisons diverses.

Marisa - Tu ne dis plus rien, maman?

Grand-mère Iolanda - Non. La Madone vous bénit maintenant au nom de tous.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Merci, petite Madone, remercie Dieu d’avoir laissé parler ma maman. Adieu à tous.

Rome, le 3 décembre 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui le premier dimanche de l’avent. Vous ne devez pas vous étonner si je vous demande déjà de préparer la layette du petit Jésus. Vous êtes maintenant à l’université et vous savez ce que j’entends par là. Les temps se rapprochent et le monde ne va pas bien, qu’est-ce qu’une Maman peut demander à ses créatures sur la Terre? De vous unir pour prier et faire pénitence. Cherchez par tous les moyens à faire la pénitence que votre Evêque vous a conseillée: manger une fois par semaine ce que vous n’aimez pas, au déjeuner ou au diner. Moi, votre Maman, j’ai constaté que je dois tout vous dire, vous n'êtes pas prêts à agir tout seul. Ceux dont la santé est fragile, mauvaise, chancelante, doivent se liver à la prière, faire de petits sacrifices, mais ne doivent ni jeûner, ni manger ce qui ne leur plait pas, en particulier ceux qui souffrent de l'estomac. Ceci je peux vous le demander et je vous demande déjà suffisamment.

Je ne parle dans aucun autre endroit du monde; il serait donc bien que vous publiiez rapidement les messages sur Internet. Certains les liront et les mettront en pratique, comme vous le faites, d’autres ne m'écouteront pas.

Le premier dimanche de l’avent. L’Avent vous prépare à la naissance de mon Fils Jésus. Jésus est Dieu et chaque fois qu’il se mettait à gazouiller et à pleurer devant moi, la Maman, devant mon époux bien-aimé Joseph, nous nous agenouillions devant lui. De même quand mon époux bien-aimé revenait du travail, nous allions ensemble devant son berceau et adorions Dieu. Vous êtes les enfants de Dieu et vous devez l’aimer et l’adorer, même si vous vivez des choses qui vous ne plaisent pas, car Il est Dieu et sait ce qu’il fait. Ce n'est pas à vous de demander pourquoi Dieu agit ainsi, pourquoi Il se comporte ainsi. Il est Dieu et vous êtes des créatures de Dieu. Les créatures de Dieu sont ceux qui souffrent, se conduisent bien, aiment. Il n'y a qu’un Dieu et quand il le voudra, vous le verrez comme il est. Vous écoutez les lettres de Dieu, mais quelqu’un entend Sa voix, mais ne le voit pas; l'entendre et ne pas le voir est douloureux. Pensez combien d'âmes au Purgatoire, qui n'iront certainement pas en enfer, ressentent le manque de Dieu et se demandent: "Quand verrons-nous Dieu? Quand irons-nous vers Dieu?". Vous devez être toujours prêts à mourir, parce que vous ne savez pas quand Dieu vous appellera. Vous devez toujours vivre en état de grâce.

Le jour de ma fête de l’immaculée Conception, 25 millions d'âmes monteront du Purgatoire au Paradis. Puis quand Dieu le décidera, d’autres groupes très nombreux y monteront aussi. Vous êtes vous rendus compte que le nombre d'âmes qui montent vers Dieu augmente peu à peu? Quelqu’un aimerait être déjà au Paradis, mais Dieu lui a réservé d’autres missions importantes sur la Terre et très importantes pour le Ciel.

Dieu, l’Enfant Jésus, descendra dans peu de temps parmi vous; peu de temps ne signifie pas demain, vous savez quand Jésus est né. Mon Fils Jésus est beau; toutes les mamans disent que leur enfant est beau, et je le dis aussi: "Mon fils est beau, aussi parce qu’il est Dieu qui vient parmi nous".

Courage, préparez-vous tous au Saint Noël, comme le faisait toujours grand-mère Iolanda quand elle vivait sur la Terre. Elle prie beaucoup pour vous maintenant, pour chacun de vous et vous embrasse, comme elle vous l’a déjà dit. Elle jouit maintenant énormément après avoir souffert pendant de nombreuses années. Ceux qui souffrent sur la Terre, ont l'espérance, la certitude d’aller au Paradis. Si vous vivez dans la grâce, vous jouirez pour l'éternité.

Courage à tous, Dieu est avec vous, je suis avec vous, tout le Paradis prie pour vous. Merci.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

Tout le Paradis est parti derrière la Madone.

Rome, le 8 décembre 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui une grande fête. La Voyante voit maintenant deux Madones: la Mère de l’Eucharistie et l’immaculée Conception. Comme je vous l’ai déjà expliqué, l'Histoire commence avec l’immaculée Conception et se termine avec la Mère de l’Eucharistie. La consécration de l’Eglise à la Mère de l’Eucharistie par votre Evêque, est une grande chose aux yeux de Dieu, qui en a été très heureux. Ni un évêque, ni un Pape n’a jamais dit les paroles prononcées par votre Evêque. Faites que ce ne soient pas seulement des paroles que vous oublierez ensuite aisement. Je vous invite à prier pour cette consécration de l’Eglise à Marie, Mère de l’Eucharistie.

Il n'y a pas grand chose à ajouter après ce qu’a dit votre Evêque: son coeur est rempli d’amour et de belles paroles qui plaisent à Dieu. Mais vous savez également combien il y a également de souffrance. L’année dernière, votre Evêque a proclamé l’année de l’amour qui s’achève aujourd'hui, car l’année de l'Humilité commence maintenant et comme vous le savez, l'humilité est vérité. Quand quelqu’un possède un don ou sait faire quelque chose, il doit le dire avec simplicité, humilité, et ne doit pas en avoir honte. Souvenez-vous que l'humilité conduit à la sainteté et au Paradis, où 25 millions d'âmes sont montées aujourd'hui. Votre soeur est maintenant ici parmi vous pour écouter et entendre la voix du pasteur qui m’a consacré l’Eglise et tous ses enfants.

C’est un jour très important. Je regrette que les gens n’aient malheureusement pas compris l’importance de venir dans ce lieu thaumaturgique. Les prélats l’ont presque détruit, mais plus encore les deux que Dieu a choisis avec tant d’amour. Vous qui êtes ici présents, vous connaissez l'histoire et votre Evêque et vous savez combien d’amour, de dévouement et de sensibilité sont dans son coeur. Vous aussi, vous devez aimez, être humbles, sensibles et vous dévouez aux autres.

Je suis venue également pour bénir les malades et ceux qui doivent entrer à l'hôpital. Je les accompagnerai avec ma Marisella et les invite à se préparer avec une bonne Confession et Sainte Communion et à toujours faire la volonté de Dieu. Quand vous faites la volonté de Dieu, tout va comme le Seigneur le veut, Il est le Suprême, le Tout, le Maître du Ciel et de la Terre, le Père de tous les hommes, et sait donc ce qu’il fait. Priez afin que tout se passe bien et que la volonté de Dieu soit toujours faite.

C’est fête aujourd'hui au Paradis pour les âmes qui sont venues du Purgatoire, parce que c’est la fête de Marie, l’immaculée Conception et de la Mère de l’Eucharistie. Vous aussi, petit troupeau, faites une grande fête, parce que vous savez fort bien combien vous êtes aimés du Ciel. Qui est aimé du Ciel comme vous l'êtes? Dieu vous aime, même s’il vous met à l'épreuve, parfois très dure et très difficile, mais toujours pour le bien des âmes.

Moi, la Mère de l’Eucharistie, je vous adresse tous mes voeux, parce que je suis votre Maman, parce qu’il n'y a pas de plus beau nom. On m’a donné beaucoup de titres, mais celui que Dieu préfère est celui de la Mère de l’Eucharistie. Si vous réussissez à aimer Dieu et la Mère de l’Eucharistie, vous réussirez aussi à vous aimer vous-mêmes et à vous aimer les uns les autres. Priez pour ceux qui souffrent, surtout pour les enfants lointains qui n'ont rien. Vous avez déjà fait beaucoup dans votre petitesse, mais continuez, si vous le pouvez, à aider tous ceux dans le besoin, Dieu vous en bénira. Bonne fête aussi à vous.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis les malades, les petits enfants malades et tous ceux qui ont besoin qu’on les aide. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Alléluia, alléluia, alléluia. Vingt cinq millions d'âmes sont montées aujourd'hui au Paradis, où il n'y a ni jour, ni nuit, mais toujours plein de lumière. La Petite Madone regarde toujours chacun de vous et est heureuse et contente de voir quand les hommes s’aiment et se veulent du bien.

Alléluia, mes chers enfants, toujours.

Marisa - Adieu, adieu. La Madone et maman sont parties ensemble, en se donnant le bras.

Rome, le 10 décembre 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Regardez bien l’autel, orné de fleurs blanches et pensez à quelque chose de grand et de beau. Qui peut être entièrement vêtu de blanc?

Marisa - Petite Madone, j’ai compris, mais cela suffit, je t’en prie. Toi qui es si bonne, cherche à nous aimer toujours et fais que nous ne souffrions pas plus qu’il ne faut, je t’en prie. J’ai maintenant dans mon coeur quelque chose qui me fait mal et me fait peur.

La Madone - Tu ne dois pas avoir peur, mon enfant. Faire la volonté de Dieu est toujours important et très beau et rend serein.

Marisa - Non, non, non. Tu sais ce que je redoute, pas pour moi, mais pour l’Evêque.

La Madone - Mes chers enfants, je vous invite à prier pour une grande intention. Je sais que vous priez déjà et faites des privations et pénitences, mais aujourd'hui plus que jamais, je vous invite à prier pour votre Evêque. Dieu prépare quelque chose de très important, vous devez seulement prier et aimer. L’année de l'Humilité a commencé, soyez obéissants et dociles envers votre Evêque. Ceux qui ne se portent pas bien ne doivent pas jeûner, ceux qui se portent bien doivent le faire.

Nous sommes dans la période de l’avent, continuez à préparer la layette de Jésus. Invitez d’autres personnes à venir dans ce lieu thaumaturgique. Il faut lutter, s'engager toujours plus et tout deviendra plus beau et plus facile pour vous.

Sois tranquille, Marisella, abandonne-toi à Dieu, quoi qu’il te demande.

Mon petit cénacle, je vois que vous êtes moins nombreux aujourd'hui et du moment que vous êtes peu, vous devez renforcer vos prières, le jeûne, vos prières jaculatoires et vos privations. Vous devez êtres simples, sincères et humbles.

Grand-mère Iolanda est une personne très importante au Paradis, elle prie beaucoup pour vous et pense à chacun de vous. Parmi vous, il y en a qui souffrent, doivent aller à l'hôpital, ne se portent pas bien et ne peuvent pas aller non plus à l'hôpital. Offrez tout ceci au Dieu Tout puissant. Merci à tous.

Marisa - Dieu, je t’en supplie de tout mon coeur, ne me demande pas ce que tu sais.

La Madone - Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Merci, adieu.

Rome, le 14 décembre 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants et merci de votre présence.

Je vous recommande, avant tout, de prier pour les membres malades du cénacle, votre Evêque et tous les enfants qui souffrent. Quand vous commencerez la sainte neuvaine, offrez les prières, privations et sacrifices pour l’intention mentionnée par votre Evêque. Ceux qui ne peuvent faire une chose, peuvent en faire une autre, vous devez faire preuve de jugement dans vos actes, si vous ne pouvez pas faire quelque chose, vous ne devez pas le faire: ceci je l’ai toujours recommandé. Ceux qui prennent beaucoup de médicaments, qui ne vont pas bien ne peuvent pas jeûner, ne peuvent faire de grandes pénitences, mais ils peuent faire de petites privations, de petits sacrifices, des gestes d’amour envers les autres.

Je ne répèterai pas ce que Dieu a dit des hommes et surtout des pasteurs de l’Eglise, je ne le répèterai pas parce que cela vous anéantirait. Ce sont les hommes que Dieu a créés à son image et ressemblance. Ils ne font rien de bon et l’Eglise va de pis en pis. Il faut rénover l’Eglise et donner les richesses aux pauvres, spécialement à ceux du Tiers et du Quart Monde. Ces messages de Dieu doivent parvenir à tous les hommes d’eglise. n’ayez pas peur, il ne faut pas avoir peur de faire le bien. Je vous invite à prier pour l’Eglise. Le geste de votre Evêque renonçant aux cadeaux, petits comparativement aux trésors de l’Eglise, pour en donner l’Equivalent en argent aux pauvres, est grand pour Dieu. Si tous les prêtres, spécialement ceux qui ont de grandes paroisses, Evêques, Cardinaux et même le Saint Père, se décidaient à faire quelque chose pour les pauvres, la situation serait autre dans le monde et tous seraient plus sereins! Faites qu’on y arrive; vous êtes au fond une toute petite communauté, mais vous faites le triple de ce que font les autres. L’Avent a commencé il y a quelque temps, la neuvaine commencera demain, faites-la comme si c'était la dernière de votre vie, afin de donner paix, sérénité et joie à tous ceux qui souffrent. Merci.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Donnez un baiser à vos enfants en rentrant à la maison. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, adieu, maman.

Elle est partie.

Rome, le 17 décembre 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui le troisième dimanche de l’avent qui peut être défini comme le dimanche de la joie, de l’amour envers tous. Quatre personnes ne sont pas dans la joie, mais dans la souffrance; même ceux qui souffrent doivent vivre dans la joie. C’est pourquoi je vous dis: immergez-vous dans la joie, soyez souriants, parce que la douleur et la souffrance ne passent pas sans la joie qui doit toujours régner dans vos coeurs. Ceux que vous approchez doivent voir que vous êtes dans la joie. Ce petit cénacle, très attaché au lieu thaumaturgique, doit vivre dans la joie; tant que vous serez sur la Terre, les peines, les souffrances, les conflits avec les hommes existeront. Que puis-je vous dire, moi, votre Maman? Vivez dans la joie et soyez heureux. Je dis cela en particulier pour Paolo, le grand Paolo, qui vient dans ce lieu thaumaturgique. Chantez des chants d’amour et de joie, pour ceux qui sont à l'hôpital, doivent travailler, sont malades à la maison; exprimez toujours de la joie. La joie vous porte directement à mon Fils Jésus, à la Mère de l’Eucharistie et à tous les Saints. Merci.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Ils sont partis en chantant, ils étaient joyeux.

Rome, le 21 décembre 2006 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est avec une grande joie que nous sommes arrivés au septième jour de la neuvaine. Vous avez été très braves, spécialement ceux qui ces jours ci doivent traverser la ville, venir de loin et affronter une circulation chaotique et tous les désagréments de votre ville de Rome. Dieu doit bénir votre sacrifice, votre amour envers ce lieu thaumaturgique et l’Evêque, mais surtout envers Lui; cela nous donne à tous une grande joie.

Le temps s'est envolé, l’Enfant Jésus naîtra dans très, très peu de temps et vous aurez pratiquement terminé la layette; les uns avec la souffrance, les autres avec des sacrifices, le jeûne, de petites privations et ceux qui ne pouvaient les faire avec des prières simples et humbles. Le petit Jésus, sa Maman et son papa sont contents de tout, parce que c’est fait avec amour.

Mes chers enfants, comme j’aimerais vous voir joyeux. Ces mots font souffrir un peu quelqu’un qui se demande dans son coeur: "Joyeux de quoi?". Vous devez vous réjouir parce que vous êtes attachés à Dieu, à l’Eucharistie, à la Mère de l’Eucharistie et avez encore votre Evêque avec vous. Vous, minuscule troupeau, je vous ai appelé ainsi bien des fois, vous êtes très, très braves. Ceux qui se sont enfuis de ce lieu, y reviendront un jour, mais il ne leur sera pas facile d'y rentrer à nouveau parce qu’ils seront dévorés par la honte, la jalousie et l'envie. Vous au contraire, vous êtes toujours présents ici. Dieu doit absolument faire quelque chose de très beau, grand et éclatant pour vous, même si les ecclésiastiques ne devaient pas l’accepter encore cette fois. Priez dans ce but. Je suis contente que vous soyez proches de votre Evêque, cherchez à l’aider par tous les moyens, mais n'exagérez pas, laissez-le respirer.

Marisa - Mais ils n'exagèrent pas, ils le laissent respirer, parce qu’ils ont tous leur maison, leur famille, leurs enfants et petits-enfants, leur travail. Ils ont tous à faire et quand ils quittent le lieu thaumaturgique ils sont plus tranquilles que nous. Je ne suis pas tranquille, je ne peux pas fermer la maison. Je dois rester ici, au piquet.

La Madone - Comment parles-tu, Marisella? Tu me fais rire ou sourire.

Marisa - Je sais que je te fais sourire. Je voulais faire sourire aussi l’Evêque.

As-tu vu ce que nous avons acheté? Nous ne le voulions pas, mais un monsieur après avoir donné de l’argent pour les petits enfants, a voulu nous faire un cadeau. Aurais-je dû dire non? Nous lui avons dit oui, avons-nous commis une faute?

La Madone - Non, ce ne sont pas des fautes, Marisella. Laisse faire l'homme, s’il a envie de faire quelque chose, pourquoi l'en empêcher? Il a fait son offrande pour les petits enfants du Tiers et du Quart monde, il a donc fait son devoir. s’il a voulu ensuite vous acheter quelque chose, pourquoi l'en empêcher?

Marisa - Mais je ne l'en ai pas empêché. Je ne sais pas bien parler l’italien et j’ai dit empêché, parce que le mot juste ne m'est pas venu à l'esprit. Attends un moment. Que dois-je dire?

L’Evêque - C’est très bien.

Marisa - L’Evêque a dit "c’est très bien". J’aimerais soumettre à ton approbation cette lettre que tu as déjà vue et que nous avons mise sous ton image. Rencontrerons-nous d’autres échecs?

La Madone - Oui, mais tôt ou tard quelque chose devra exploser, doit exploser. Ils doivent comprendre les erreurs qui ont été faites, reconnaître les mensonges qui ont été répandus, comprendre que l’on ne vit pas seulement d’argent, de pouvoir, mais surtout d’amour.

Marisa - Alors tu es contente! Ici, c’est une idée qui m'est venue à l'esprit et que j’ai voulu réaliser; il manque le cadre.

Madonna - C’est la chose la plus belle à laquelle tu pouvais penser ou réaliser, c’est beau et original, la voix de Dieu sort de cette fleur.

Marisa - C’est pourquoi j’ai voulu le faire.

La Madone - Mes compliments, Marisella, mes compliments.

Marisa - Mariasole dit aussi, mes compliments. La voix de Dieu vient d'ici, mais je ne le vois pas.

La Madone - Alors, mes chers enfants, continuez cette neuvaine, il ne reste plus que quelques jours. Que ceux qui le peuvent, qui n'ont pas de problèmes de famille, viennent ici la nuit de Noël adorer l’Enfant Jésus. Merci.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers; je bénis les malades. Comme le disait le bienheureux Jean XXIII, quand vous rentrez à la maison, caressez vos enfants et dites leur que c’est la caresse de la Madone, de la Mère de l’Eucharistie. Mes voeux à vous tous.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adresse aussi de ma part tous mes voeux à ma maman, à toutes mes tantes ainsi qu'à grand-mère Speranza. Adieu.

Elle est partie.

Rome, le 24 décembre 2006 - 23h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Merci d'être présents ici en cette nuit. Prenez l'enfant Jésus (la statue de l'enfant Jésus) et déposez-la dans son berceau parce que c’est juste l'heure. Je suis entourée des anges et des Saints. Tout le Paradis est avec moi. Je porte dans mes bras le petit Jésus qui gazouille, vous regarde et, en levant sa petite main droite, vous bénit tous avec trois doigts.

La Maman n’a pas de mots pour vous remercier d'être présents ici, en cette nuit froide et sombre, pour tenir compagnie au petit Jésus. Je veux surtout remercier ceux qui ont préparé la layette du petit Jésus, en faisant la neuvaine avec des sacrifices, le jeûne, des prières et des privations. Il peut vous sembler étrange que la Maman vous ait demandé de préparer la layette de l’Enfant Dieu, mais vous ne pouvez pas vous imaginez la joie que vous avez mise ainsi dans mon coeur et dans celui de tous ceux qui sont au Paradis. L’Année de l'Humilité a commencé et ceux qui assistent à la rencontre biblique savent fort bien que votre Evêque a parlé de son importance: l'humilité vous conduit à la sainteté. Je suis certaine que vous voulez tous devenir saints. Il y a de la place pour tous au Paradis. Il s’agrandit en ce moment pour accueillir 50 millions d'âmes qui y entrent avec Marisella.

Marisa - Nous en sommes arrivés à 100 millions! Oh, mon Dieu, comme ils sont nombreux! Il semble que le Paradis s'élargisse pour faire entrer ces 50 autres millions d'âmes qui sont montées du Purgatoire au Paradis! Quelle belle vision! Oh comme cela me plaît! Faites-moi rester avec vous, je vous en prie.

La Madone - Marisella, tu sais que ta place est encore sur la Terre, tu sais combien de souffrances t'y attendent. Même si ta santé décline toujours de plus en plus. Tu as voulu faire le sacrifice de descendre dans l'église, parce que tu aimes le petit cénacle et que tu souffres quand tu n'es pas parmi eux.

Marisa - Excuse moi, mais pourquoi ne me faites vous pas alors descendre plus souvent? Pourquoi ne me fais-tu pas aller un petit mieux pour que je puisse descendre au milieu du petit cénacle?

La Madone - Je te donne maintenant le petit Jésus.

Marisa - Cela veut dire que tu me renvoies déjà sur la Terre? Mais j’aimerais rester au Paradis.

La Madone - Prends-le!

Marisa - Ne le fais pas tomber, doucement, doucement. Quelle joie de sentir ses menottes et son petit corps si doux. Il est beau!

La Madone - Je sais que c’est une grande joie pour toi de serrer le petit Jésus sur ton coeur.

Marisa - Je ne sais que choisir: rester au Paradis ou redescendre sur la Terre.

La Madone - Marisella, tu sais où tu es, tu sais où nous t’emmènerons. Nous irons demain au Burundi et dans bien d’autres nations africaines.

Mes chers enfants, vous ne pouvez pas totalement comprendre la joie de cet instant, mais vivez-le avec votre soeur. Soyez joyeux et heureux, continuez dans la prière, l’amour et l'humilité. Si l’année de l’amour a été un peu branlante, faites que l’année de l'Humilité soit plus belle et plus solide. Je vous ai dit bien des fois que vous êtes maintenant à l’université, vous avez maintenant appris beaucoup de choses, continuez toujours à vous améliorer chaque jour. Souvenez-vous que vous ne devez pas être seulement joyeux à Noël, parce que tous les jours sont Noël pour vous, en particulier pour ceux qui reçoivent mon Fils Jésus. Pour les chrétiens croyants, pratiquants et qui aiment vraiment, chaque jour est Noël. n’attendez donc pas le Saint Noël pour vous réunir, vous aimer et être ensemble. Chaque jour est Noël, parce que vous pouvez recevoir tous les jours Jésus Eucharistie.

Tous mes voeux ainsi que ceux du Paradis s’adressent à vous tous, à vos êtres chers et à ceux qui auraient tant aimé venir, mais ne l’ont pu pour divers motifs.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis tous ainsi que vos êtres chers. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. L'enfant Jésus continue de vous bénir en levant sa petite main, et de l’autre me caresse les cheveux, me faisant des boucles.

Allez tous dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Je vous recommande de participer totalement à la Sainte Messe. Vivez-la comme si c'était la dernière de votre vie. Et toi, Excellence, il n'est pas besoin que je te le dise, célébre la Sainte Messe comme si c'était la dernière de ta vie de … tu sais comment. Tous mes voeux à tous.

Marisa - Adieu. Oh mon Dieu!

L’Evêque - Cinquante millions d'âmes sont montés au Paradis!

Marisa - Tu aurais dû voir. Le Paradis n’a pas de porte, mais au fur et à mesure que les âmes y entraient, il semblait s'élargir.

L’Evêque - Ils faisaient de la place pour 50 millions d'âmes.

Marisa - Mais Dieu m’a renvoyée sur Terre.

Rome, le 25 décembre 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Tous mes voeux de joyeux Noël. Comme je vous l’ai dit cette nuit, il n'y a chez Nous ni jour ni nuit, mais toujours la lumière. Noël ne doit pas être célébré uniquement le 25 décembre de chaque année, mais tous les jours, parce que vous devez montrer que vous aimez, que vous vous aimez les uns les autres, que vous être charitables les uns envers les autres, que vous êtes humbles. C’est l’année de l'humilité. L’Enfant Jésus a vécu dans l'humilité, la pauvreté et l’obéissance à Dieu; vous de même, vivez non seulement ce jour, mais les autres également, dans la joie, même si vous êtes occupés avec diverses tâches; les uns doivent s'occuper d’enfants, de personnes âgées ou de malades. Servez les tous dans la gaieté et la joie; les épreuves ne manqueront jamais, vous le savez. Dieu recommande dans sa lettre: joie et gaieté tous les jours, spécialement quand vous recevez Jésus Eucharistie.

La lettre de Dieu que j’ai apporté cette nuit est fort belle. Méditez-la, mot par mot, vous y trouverez beaucoup de points à méditer. Je sais que la lettre que vous attendez tarde à venir, mais vous devez avoir la joie, parce que chacun de vous doit sentir Dieu auprès de lui. En ce moment, le petit Jésus est près de vous et, comme cette nuit, il vous bénit de sa petite main et joue. Votre soeur l’a pris cette nuit dans ses bras et Il continuait à jouer et à bénir. Vos petits enfants jouent, même s’il y a un office religieux, le lieu est étroit, et vous êtes près les uns des autres. Laissez faire les petits enfants, parce qu’ils ne peuvent pas comprendre et sont longtemps enfermés. Mes chers enfants, il faut être patient et humble en toutes circonstances. Il faut comprendre les parents et les enfants, les personnes âgées qui sont dures d'oreille et parlent fort. Il y a beaucoup de désordre dans les autres églises, les fidèles y parlent beaucoup, même pendant la consécration et la communion. Ils regardent les vêtements, les fourrures, les objets précieux et oublient qu’ils sont devant le Christ, le Roi du Ciel et de la Terre, devant Dieu le Père et Dieu le Saint Esprit. Vous au contraire, vous pensez à la Sainte Trinité, à la Mère de l’Eucharistie, et priez pour votre Evêque. Je le répète: Noël doit être tous les jours quand vous vous approchez de Jésus Eucharistie et ne peut être célébré seulement une fois par an, mais tous les jours, même avec des souffrances, soucis, chagrins et maladies. Vivez toujours dans la joie, parce que le Paradis vous attend. Mes voeux à tous, proches et lointains.

Cette nuit, l’Enfant Jésus a donné sa bénédiction à tous, même à ceux qui étaient loin et il continue maintenant à vous bénir. Votre Evêque aussi envoie tous les soirs sa bénédiction à tous les membres de la communauté et à tous ceux qui l’ont connu; Jésus et moi, nous vous bénissons ensemble avec l’Evêque.

Merci et de nouveau tous mes voeux à tous. Je sais que vous êtes peu nombreux, certains sont partis, d’autres sont malades ou ont d’autres problèmes; vous qui êtes ici, intensifiez la prière, parce que cela sera aussi utile pour les autres.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, tous les petits enfants du Tiers et du Quart monde, ainsi que vos enfants et petits-enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Qu'y a t il, Marisella?

Marisa - Tu ne me donnes pas l’Enfant Jésus aujourd'hui?

La Madone - Non, tu n'es pas bien, Marisella, ce ne sont pas seulement les genoux mais tous les os qui te font mal. Tu souffres en plus la passion, je ne peux pas te le donner, sois quand même heureuse.

Marisa - C’est bon.

La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et du petit Jésus qui est ici dans mes bras.

Marisa - Adieu, maman. Adieu à tous. Tu t’es souvenue que l’anniversaire de Yari était le 23?

Grand-mère Iolanda - Oui, oui, j’ai beaucoup prié pour lui.

Marisa - Tu as parlé! Dieu te l’a dit?

C’est bon, c’est bon. Oui, oui, je ne me lamente pas beaucoup. J’ai dit que j’ai repris des forces, que dois-je dire de plus?

Adieu, maman.

Grand-mère Iolanda - Dieu m’a donné la permission d’embrasser mes enfants, même si l’un …, mes petits-enfants et arrière petits-enfants, mais mon étreinte la plus affectueuse est pour mon grand et saint Evêque, pour l’Excellence. Adieu à tous.

Marisa - Adieu, maman.

Rome, le 31 décembre 2006 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Moi, la Maman du Ciel, j’ai dit à votre soeur de ne pas descendre, car elle ne va pas bien, Même si elle continue à dire qu’elle a repris des forces, elle a mal, elle souffre et est épuisée. C’est pourquoi je lui ai dit de ne pas descendre et elle en a souffert, parce qu’elle voulait vous voir pour vous adresser ses voeux. Mais elle peut vous les adresser aussi par la radio.

C’est aujourd'hui la fête de la Sainte Famille. Tous mes voeux à mon époux bien-aimé Joseph, à moi-même, mais surtout au petit Jésus. J'élargis mes voeux à toutes les familles. Il y a beaucoup de familles dont les membres s’aiment et sont unis, mais il y a également des familles dont les membres sont séparés et courent de l’un à l’autre. Les petits enfants, mais surtout les plus grands, souffrent de cette situation. Ceux qui font leurs études souffrent beaucoup de la séparation de leurs parents; je vous invite à prier pour eux. Vous qui aimez la famille et vivez en famille continuez à l’aimer et à prier, à dire ensemble un Je vous salue Marie ou un Notre Père. C’est si beau de se lever le matin et de dire une prière tournés vers le Dieu Tout-puissant. Ceci vaut aussi bien pour ceux qui ne sont pas mariés, que pour ceux qui vivent ensemble. Tous devraient dire: "Levons-nous et disons ensemble une prière. Tournons nos regards vers le Dieu Tout-puissant qui nous aime".

Vous attendez tous sa parole pour voir que les choses changent finalement. Il y a des jours, Dieu a dit du haut des Cieux: "Beaucoup, beaucoup doivent encore se convertir, Je ne me contente pas de ces conversions, elles sont peu nombreuses". Dieu a créé tous les hommes à son image et ressemblance, Il aime ses enfants, même ceux qui le font souffrir, qui ne croient pas, se disent athées, mécréants et sont parfois meilleurs que les chrétiens.

Fêtez la Sainte Famille, vous qui faites partie de cette petite communauté guidée par mon Evêque bien-aimé.

Marisa - Pourrais-tu nous donner un coup de main pour convertir ces personnes? Tu as dit une fois qu’on peut se convertir même à 84 ans; tu t’en souviens? Maman en avait 84 à cette époque là. Si les hommes peuvent même se convertir à 84 ans, pourquoi les nôtres ne se convertissent-ils pas?

La Madone - Le premier de l’an, mes chers enfants, Marisella montera avec 100 millions d'âmes du Purgatoire et les conduira devant Dieu le Père. Mais elle, comme toujours, redescendra parmi vous, parce que son heure n'est pas encore arrivée. Il semblait qu’elle était arrivée, que tout était prêt, mais Dieu a dit: "Marisella me sert", et elle est encore ici parmi vous. Le 1er janvier, elle montera au Paradis avec moi, mon époux bien-aimé Joseph et grand-mère Iolanda, et y restera deux jours avec nous, puis elle retournera sur la Terre parmi vous.

Convertissez-vous tous, vous savez que la mort, comme le dit le Saint Evangile, vient comme un voleur. On ne sait jamais quand elle viendra, comment elle viendra, qui elle prendra et ne prendra pas. Ce n'est pas l'âge qui compte, parce que la mort peut arriver à n'importe quel âge. Je vous dis toujours: Priez pour les malades, priez pour ceux qui sont vraiment malades, priez pour tous les enfants malades, parce que la mort vient pour tous, indépendamment de l'âge et sournoisement. Vous devez donc êtes toujours prêts et vivre en compagnie de Jésus Eucharistie. Vous verrez comme le Paradis est beau, il y règnent l’amour, la joie, les chants, la prière, tout. Beaucoup me demandent: "Que ferons-nous au Paradis? Est-ce que nous nous ennuierons?". Oh non, on ne se lasse jamais des belles choses, n'est-ce pas, Marisella?

Marisa - Je préfère descendre sur la terre que monter au ciel! Je suis deux jours au maximum au Paradis puis je redescends dans ce monde si brutal.

La Madone - Prions maintenant tous ensemble la Sainte Famille pour toutes les familles: le Notre Père …, le Gloria…, le Je vous salue Marie...

Mes chers enfants, ensemble avec ma famille et mon Evêque bien-aimé Claudio Gatti, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les petits enfants, surtout ceux qui sont sous-alimentés, souffrent et n'ont rien à manger. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Je bénis ceux qui sont loin ou ont dû partir ou sont absents à cause de leur travail.

Marisa - L'enfant Jésus joue avec les cheveux de la petite Madone et les tourne, les tourne, les tourne.

La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Moi, Marisa, je vous adresse tous mes voeux de fin d’année. Je prie et demande pardon à Dieu pour vous. Bonne année à tous; commençons cette nouvelle année avec la prière et l’amour envers tous nos frères. Tous mes voeux, petit cénacle, adieu.

Rome, le 31 décembre 2006 - 23h50 : 1er janvier 2007 - 0h10 (Lettre de Dieu)

Dieu le Père - Marisella, je suis venu à la fin de la veillée et au début de la nouvelle année pour vous féliciter et aussi pour vous tirer un peu les oreilles. Je suis votre Dieu et je vous aime d'un grand et immense amour, mais l’un d’entre vous me fait souffrir. Excellence, reste assis. Moi, Dieu, je suis venu pour vous dire encore une fois: courage, avancez, je veux la conversion de mes enfants et je la veux parce que je les ai créés à mon image et ressemblance. Je veux qu’ils soient saints, bien sûr, tous n’arriveront pas à la sainteté parfaite, mais je veux encore des conversions, des conversions et des conversions. Je m'en remets à vous et vous demande votre collaboration et vos prières.

J’ai dit à votre soeur: "Tu dois prier, souffrir et offrir", à vous je ne demande que la prière. Au cours de l’année qui vient de se terminer, j’ai donné à tous quelque chose, à l’un d'une manière et à l’autre d'une autre. Vous avez tous reçu des grâces de Dieu, seuls ceux qui n'en voulaient pas n'en ont pas reçues. Dieu n’a jamais abandonné quelqu’un, de votre Evêque au plus petit d’entre vous. Dieu vous aime et vous aimera toujours, même si vous avez ... je ne dis pas le mot, disons émis des plaintes. "Pourquoi mon Dieu? Pourquoi mon Dieu? Pourquoi mon Dieu?". Combien de fois avec-vous répété cette phrase, vous ici présents, ceux qui sont absents et les adultes! Je suis Dieu et vous devez faire ce que Je dis, accepter ce que Je veux. Je veux maintenant encore des conversions, des conversions et des conversions.

Priez pour l’Eglise, priez, afin qu’elle soit purifiée et renouvelée. Le matin, vous vous levez, vous vous dépéchez pour vous préparer et partez travailler en courant. Pourquoi êtes-vous ponctuels au travail et ne l'êtes-vous pas avec Moi? Pourquoi ne levez-vous pas un regard vers Dieu et dites: "Adieu, mon Dieu, je vais travailler. Adieu, mon Dieu, je t’aime". Je ne vous demande pas beaucoup, mais je demande énormément à mes deux enfants, je le sais, et je leur en demanderai encore, en particulier à Marisella. Ne vous demandez pas continuellement pourquoi, pourquoi. La nouvelle année, 2007, a commencé et vous pensez dans votre coeur: "Dieu nous a fait beaucoup de promesses depuis 1999 et Il ne les a pas tenues". Si Dieu a agi ainsi, c’est qu’il avait ses raisons et vous qui êtes-vous pour demander à Dieu: "Pourquoi, pourquoi? Nous sommes aussi tes enfants? Un Père ne traiterait pas aussi mal ses enfants". Ces lamentations ne me plaisent pas, même si vous avez en partie raison. Je ne veux pas envoyer d’autres hommes en enfer, en particulier mes fils de prédilection, je veux d’autres conversions, conversions, et conversions et puis tout sera beau et bien pour vous. Pensez-vous que les hommes qui se sont sauvés soient nombreux? Oh non, ils sont peu par rapport à tous ceux qui ont vécu depuis le commencement du monde. Vous avez entendu que d’abord 50 millions et puis 100 millions d'âmes sont montés au Paradis, mais qu’est-ce que c’est en comparaison de toutes celles qui sont encore au Purgatoire et sont nombreuses? Et celles qui sont en enfer? Celles-là, malheureusement ne se sauvent pas. Pensez-vous que je n'en souffre pas? Cela me fait mal de voir mes enfants immoraux, malhonnêtes, pédophiles, alcooliques et drogués, mais cela me fait aussi mal de vous entendre dire: "Pourquoi, mon Dieu? Pourquoi, mon Dieu? Pourquoi, mon Dieu?". Dieu est bon et vous aime. J’ai voulu venir et j’ai à côté de Moi, la Mère de l’Eucharistie, Saint Joseph, grand-mère Iolanda, les papes, tous les autres Saints et les anges, parce que Je suis Dieu, Je suis grand, Je suis Celui qui a créé le monde. Qu’est-il advenu de tout ce que Dieu a créé? Croisez les mains sur votre coeur et dites: "Mon Dieu, tu as raison, aide-nous, tu dois nous donner beaucoup de force et de réconfort pour avancer", c’est ce que vous devez dire. J’attends beaucoup de vous. Vous êtes des âmes droites, Je vous ai appelés. Pourquoi ne m'écoutez-vous pas? Je vous souhaite à tous une nouvelle année pleine d’espérance, d’amour, de confiance, mais surtout d'humilité. Soyez humbles, soyez sincères et aimez, comme Moi, Dieu, je vous aime, et alors vous verrez comme tout deviendra plus beau. Est-ce que cette année sera dure? Je ne le sais pas, je ne vous le dis pas. Est-ce que cette année sera belle? Je ne le sais pas, je ne vous le dis pas.

Marisa - Tu sais tout, Tu es Dieu.

Dieu le Père - C’est bien, Marisella, il vaut mieux que tu te taises.

Marisa - Tu sembles un peu sévère.

Dieu le Père - Non, je ne suis pas sévère, je suis un Père, je vous aime et je vous veux tous saints. C’est pourquoi je vous répète: "Convertissez-vous, convertissez-vous, convertissez-vous" et je le dis aussi à tous les hommes dans le monde: "Convertissez-vous".

Marisa - L’Etoile est partie, Dieu est parti.

La Madone - Oui, Marisella. Je suis la Maman, la Mère de l’Eucharistie. Ce que Dieu a dit est juste. Quand vous me demandiez: "Pourquoi, mon Dieu?", je ne pouvais pas vous répondre. Souvenez-vous que Dieu vous aime et vous veut du bien. Dis-le toi aussi, grand-mère Iolanda, parle, grand-mère Iolanda, courage.

Grand-mère Iolanda - Oui, Dieu vous aime et vous veut du bien.

Marisa - Puis-je parler? Nous n’avons jamais dit que Dieu ne nous aime pas. Il se peut que nous nous soyons lamentés dans des moments de grande douleur, mais mettez-vous à notre place. Nous sommes sur cette Terre si corrompue et ce n'est pas facile pour nous de continuer à vivre ainsi. N'est-ce pas petite Madone?

La Madone - Oui, je vous comprends, je te comprends, Marisella, mais tu connais ta route.

Marisa - Et alors ne mettez pas l’Evêque sur ma route, laisser le libre de voler. Oh, il a tant de belles paroles dans son coeur, une avalanche de paroles, tu as dis toi-même qu’il faisait un poème de chaque parole de l’Evangile. Ses prières sont aussi très belles. Il a le coeur plein d’amour pour Dieu, la Mère de l’Eucharistie, Saint Joseph et aussi pour grand-mère Iolanda.

La Madone - Nous sommes ici pour adresser nos voeux à tous. Bonne année à tous, aux absents aussi, et surtout aux petits enfants afin qu’ils grandissent bien, ne soient pas contaminés pas ce monde si dépravé, si corrompu. Excellence, je te pose une question, mais je ne sais si tu y répondras : "As-tu quelque chose à me dire?".

L’Evêque - J’ai exprimé tout ce que j’ai dans le coeur dans la prière d'hier et d’aujourd'hui.

La Madone - J’ai entendu ce que tu as dit.

L’Evêque - J’ai dit, qu’en dépit de tout, je m’incline devant la volonté divine et j’envoie un baiser au Dieu - Père. Bien sûr, je n’ai plus et je le sens, la force nécessaire pour avancer. Je ne demande que la force physique et spirituelle pour poursuivre la mission qui me semble devenir toujours plus dure et difficile, de mois en mois et d’année en année. Dieu nous a dit de nous abandonner à Lui totalement et nous le ferons, même avec peine, mais je crois qu’il est humain de désirer voir germer quelque chose de la souffrance que nous avons vécue et vivons quotidiennement. Nous ne voyons rien, nous sommes toujours moins nombreux, aucun prêtre ne m’assiste. Nous sommes continuellement persécutés et condamnés. Je crois qu’il est légitime de désirer que la vérité triomphe. Nous avons reçu tant de coups et avoir quelque consolation et joie pourrait nous donner un grand élan pour continuer. Tu as dit que le chemin du Calvaire est toujours long, mais celui que Marisa et moi parcourons est très long. Tout en nous abandonnant à Dieu, nous aimerions voir grandir quelque chose autour de nous. Tu le sais, qu’est-ce qui croît autour de nous? Je t’adresse maintenant une demande. Vous nous avez dit que beaucoup de petits enfants sont nés, que des couples sont arrivés sans encombre au mariage, que des guérisons physiques et surtout beaucoup de conversions ont été obtenues par nos souffrances, mais moi, en tant qu’evêque, que puis-je dire avoir fait après tant d’années de fatigue, de souffrances, d'humiliations et de condamnations? Voilà, ce que je te demande.

La Madone - Je ne peux te répondre que comme Dieu t’a répondu. Dieu veut encore des conversions et quand il parle de conversions, il entend également celles des prêtres. Il veut que les prêtres se convertissent parce qu’ils sont ses enfants de prédilection et qu’ils l’ont abandonné. Beaucoup ne pensent qu'à l’argent, à faire carrière et à eux-mêmes. Qui mettrions-nous à tes côtés? Il y en a quelques uns qui pourraient t’aider, mais ils ne l’accepteront pas, parce que tu es Mons. Claudio Gatti, l’Evêque ordonné par Dieu et cela dérange et fait naître beaucoup d’envie et de jalousie.

Marisa - Excuse moi, mais si Dieu savait tous les ennuis que cette ordination épiscopale entraînerait, pourquoi l’a-t-il ordonné Evêque? Nous étions bien même sans Evêque, nous avions notre prêtre et tout allait bien quand même pour nous.

La Madone - Oui, c’est vrai. Je veux vous dire autre chose: "Qu’ont fait les jeunes pour accueillir et parler aux nouveaux jeunes qui sont venus dans le lieu thaumaturgique? Qu’ont fait les adultes pour amener ici d’autres âmes?". Rien. Il ne suffit pas de faire un petit sourire, de donner une poignée de main et de demander les noms. Je suis désolée de devoir vous le dire, mais les jeunes ne se sont pas conduits comme de vrais petits apôtres. La même chose vaut pour les adultes. Si quelqu’un vient et veut s’intégrer, il n'est pas aidé. Je ne peux rien dire d’autre. J’aurais quelque chose à te dire, mais cela ne concerne que toi et je te le dirai en privé. Maintenant avec toutes les âmes qui m'entourent et dont tu connais la majeure partie, parce que ce sont les papes, les prêtres, Fatina, grand-mère Iolanda et d’autres … Pourquoi pleures-tu grand-mère? Les larmes coulent et inondent son visage. Excellence, Dieu est bon, Dieu ne veut pas que ses enfants aillent en enfer.

Dieu n’a pas créé l'homme pour qu’il finisse mal, il y en a déjà tant et tant en enfer et Il ne veut pas que d’autres y aillent. Tu sais que sur la Terre beaucoup sont déjà prêts à aller en enfer. Ces hommes ne peuvent monter au Paradis, n'y passer par le Purgatoire. Mais tu ne le veux pas, n'est-ce pas? Tu veux qu’eux-aussi soient sauvés. Tu ne réponds pas, Excellence?

L’Evêque - Oui, oui, je veux bien sûr qu’ils se sauvent. En fait, j’ai éprouvé ma plus grande joie quand toutes ces âmes sont montées au Paradis en plusieurs voyages et surtout quand j’ai appris qu’il y avait parmi eux, surtout dans le premier groupe, beaucoup de prêtres et de cardinaux que j’ai connus; cela a été une immense joie pour moi et j’espère les rejoindre un jour. Puis-je te demander encore quelque chose?

La Madone - Bien sûr.

L’Evêque - Est-ce que les papes qui sont près de toi et dont j’ai aimé certains d'une façon particulière, comme Paul VI et Jean Paul Ier, pourraient me dire quelque chose pour m'encourager?

La Madone - Dieu ne leur en a pas donné la permission. Si tu le veux, demande à Dieu de les faire parler; si tu savais combien ils prient pour toi. Les prêtres, les évêques et les papes prient pour toi et Marisella afin qu’elle ait la force de supporter toute la douleur et la souffrance qu’aucun de vous, cher Excellence, ne peut comprendre. Il me semble en effet difficile de voir en elle combien elle souffre. Elle cherche par tous les moyens à cacher sa souffrance, à rire et plaisanter et, à part toi Chiara en sait quelque chose, parce qu’elle est proche d’elle, mais d’autres savent aussi qu’elle plaisante. Elle pleure, rit et veut sauver d’autres âmes. Celles qui sont montées du Purgatoire au Paradis sont maintenant 200 millions. Tu ne sais pas combien il y en a encore au Purgatoire et combien en enfer. On dit que l'enfer n'existe pas, mais il existe et il est plein, plein, plein. Comme le Paradis, il s’agrandit aussi toujours plus pour y faire entrer d’autres âmes qui ne sont pas en état de grâce et ne verront jamais Dieu.

Mes chers enfants, la maman vous souhaite à tous une bonne année. Grand-mère Iolanda et tous ceux qui m'entourent se joignent à moi pour vous adresser tous leurs voeux. Aimez, aimez-vous. Vous qui êtes unis, cherchez par tous les moyens à rester proches de mes deux enfants; aimez-les. Prions tous ensemble pour que de saints prêtres viennent pour votre Evêque, je ne dis pas beaucoup, deux ou trois suffisent pour le remplacer, l’aider, l’aimer parce que s’ils viennent ici comme les autres qui ont cherché à le détruire par jalousie et envie, ce n'est pas la peine qu’ils viennent. Tu dirais: "Pourquoi Dieu n'intervient-il pas?". Revoilà le pourquoi, le pourquoi revient. C’est ainsi, mon enfant, c’est ainsi. C’est bon, merci, tous mes voeux à tous, que 2007 soit une année pleine, pleine, pleine de joie, mais il y aura aussi de la souffrance. C’est l’année de l'Humilité, mais vous devez être toujours animés de charité envers tous.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, les jeunes qui sont loin, tous les adultes, les petits enfants et vos êtres chers. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Bonne année.

L’Evêque - Merci.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il. Courage, Marisella, tu devras beaucoup souffrir.

Marisa - C’est bon, c’est bon, faisons la volonté de Dieu. Que dois-je dire?

Chantons tous ensemble Alléluia, un chant de Noël et le Christ vainc.

Messages de Janvier 2007

Rome, le 1er janvier 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Bonne année à tous avec Notre bénédiction. Dieu le Père est venu en personne cette nuit, à minuit, donner un puissant message, beau et plein d’amour, qu’il a annoncé d'une voix si pénétrante qu’il en a secoué les coeurs. Il a répété: "Ne demandez pas tant de pourquoi". Ce peut être une fois un soulagement de le dire, mais ce n'est pas beau de toujours répéter: "Pourquoi Dieu fait-il souffrir? Pourquoi Dieu n'intervient-il pas?". Il a dit: "Je suis amour et je vous aime; si J’agis ainsi, c’est parce que je ne veux pas, ne veux pas et ne veux pas que d’autres âmes aillent en enfer". Il a dit d'une voix très forte: "Convertissez-vous, convertissez-vous. Je veux la conversion d’autres prêtres et d’autres laïcs. Les prêtres sont mes fils de prédilection et je veux les sauver, même si je n’arrive pas à les sauver tous. C’est pourquoi j’ai demandé à Marisella de souffrir, souffrir, souffrir et d'offrir à Dieu ses souffrances pour la conversion des pécheurs et de vous tous".

J’ai pensé à vous tous, même si les adultes n'étaient pas présents. Ceci m’a chagriné un petit peu, parce que j’aurais aimé avoir tout le petit cénacle auprès de moi, mais je comprends bien qu’il faille rester en famille pour les fêtes, parce que les parents ne comprendraient pas qu’on s'en aille à minuit pour aller écouter la lettre de Dieu. Quand cette lettre sera prête et mise sur papier, lisez-la calmement et vous comprendrez combien Dieu est bon, combien il vous aime, même s’il demande de souffrir. N'oubliez pas que la souffrance est donnée à ceux qui peuvent la supporter, et que Dieu leur donne son aide, sa force et son amour. Quelqu’un a dit ces mots: "Un Père ne ferait pas souffrir ses enfants de cette manière?". Ce n'est pas le Père qui fait souffrir ses enfants, c’est la société, le monde corrompu. Puis Dieu a également dit: "Moi, Dieu, je dois aider, sauver, convertir encore quelques âmes". Vous pensez que tout est terminé, parce que cent autres millions d'âmes sont montés aujourd'hui au Paradis? Non. Le Purgatoire est encore plein, et pire encore, vous ne pouvez pas vous imaginer comme l'enfer est plein. Plus d'âmes y entrent et plus il s’agrandit; il y a de la place pour ceux qui ne vivent pas en état de grâce, tuent aussi avec des mots, en critiquant intérieurement, en disant du mal, en jasant, parce que tout ceci sont des manquements à la charité. Ne manquez pas à la charité, parce que ceux qui aiment tous les hommes, qu’ils soient, catholiques, musulmans ou membres d’autres religions iront au Paradis.

Que vous dire après ce que Dieu vous a dit cette nuit? Je ne me sens pas capable d’ajouter quelques choses à Ses paroles, mais croyez-moi, mes chers enfants, son message est, au moins pour ceux qui l’ont compris à la lumière de Dieu, beau, très beau. Il n’a pas dit quand tout finira et tout commencera, mais: "Je veux sauver l’Eglise, je veux sauver mes fils de prédilection", puis, tourné vers ceux qui étaient présents, leur a dit: "Je vous aime tous, j’aime les adultes, les jeunes, les enfants, parce que je suis Dieu le Père et j’aime tous les hommes".

Moi aussi, votre Maman, la Mère de l’Eucharistie, je vous aime énormément. Si Dieu vous aime, il est juste que je vous aime aussi, que mon époux bien-aimé vous aime, que grand-mère Iolanda qui a toujours son regard fixé sur l’Excellence, vous aime. Qu’attendez-vous? Rien. Priez. J’ai dit à votre soeur: "Ma fille, prie, souffre et offre". Je vous le répète aussi: "Priez, souffrez et offrez". Vos souffrances ne sont pas grandes et vives comme celles de votre soeur, vous ne vivez pas la passion tous les jours. Donc courage, aidez-vous les uns les autres et priez, afin que cette période difficile s’achève et que l’Eglise soit rénovée, parce que si cela continue ainsi, il est inutile de faire de grandes démonstrations et que la foule continue à venir à Rome. Beaucoup de personnes se rendent à Saint Pierre, là où est le Saint Père, mais la majeure partie d’entre eux sont des étrangers qui sont ignorants de la situation. Vous qui la connaissez, priez et respectez tous les hommes, petits et grands.

Merci.

Marisa - Et à moi, tu ne dis pas comment cela ira? Vous devez me donner beaucoup de force, parce que cela devient chaque jour toujours plus difficile. J’aimerais descendre le dimanche prier avec le cénacle et participer avec eux à la S. Messe, parce que ce n'est pas la même chose à la radio et télévision.

La Madone - J’adresse de nouveau tous mes voeux à tous.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, tous ceux qui sont loin, dans les pays lointains. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Grand-mère Iolanda, dis quelque chose.

Grand-mère Iolanda - Je vous dis seulement que je prie beaucoup pour vous tous et pense à vous tous. Moi aussi, je vous aime. Que Dieu vous donne la force de tout accepter. Je vous adresse aussi tous mes voeux.

La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Elle ne m’a pas donné de voix.

L’Evêque - Elle t’a donné un petit peu de voix.

Marisa - Un petit peu, mais cela ne suffit pas pour chanter.

Rome, le 6 janvier 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Tous mes voeux et bonne fête à tous. Les Mages sont venus voir le petit Jésus, vous aussi, allez toujours recevoir Jésus Eucharistie, aimez-le et priez pour ceux qui souffrent.

Marisa - Ecoute, avant que je ne l’oublie, petite Madone, je voulais te faire voir ces lettres que Dieu nous a données pendant l'été. Elles sont pleines d’amour, de paix, d’enseignements importants et sont si nombreuses. Si tu nous donnes la permission de les publier, nous les rassemblerons dans un petit livret et les distribuerons à ceux qui les veulent.

Quels passages devons-nous enlever?

La Madone - Laisse maintenant, Marisella, parce que tes mains te font mal, puis vois avec calme les points que je t’ai dit et retire-les.

Dieu a parlé de nombreuses fois avec mes deux chers petits enfants et même il y a quelques jours Il a parlé d'une belle voix, impétueuse et forte pour faire entendre qu’il est Dieu, qu’il commande à tous et peut faire ce qu’il veut. Malheureusement ce que Dieu attend des hommes n'est pas accepté; c’est un péché très grave.

Les hommes d’eglise pèchent très aisément contre le Saint Esprit. Soyez simples et humbles comme les bergers et les Mages qui sont allés rendre visite au petit Jésus, c’est du reste l’année de l'humilité. Souvenez-vous que si vous faites l’année de l'humilité, vous ne devez pas abandonner l’année de la Charité. Continuez l’année de la Charité et ajoutez-y l’année de l'Humilité. Quand vous lirez ces pages, s’il plait à Dieu, vous y trouverez des enseignements très beaux, des remarques et faits qui feront encore souffrir, pas vous, ne vous faites pas de soucis, parce que Dieu sait à qui donner la souffrance.

Marisa - Dois-je regarder toutes les lettres de Dieu de cet été?

La Madone - Mes chers enfants, je vous invite à lire les lettres de Dieu, à être humbles et simples comme les bergers et les Mages. Vous vous trouvez maintenant dans une humble Basilique, où il y a une humble grotte, tout est humble ici. Cherchez vous aussi à être humbles et bons, parce que tant que vous vivrez vous devez être tous bons, grands et petits,

Cette fête clôt toutes les fêtes passées. L’Epiphanie est une grande fête, parce qu’après les bergers, les Mages sont venus adorer Jésus. Vous connaissez l'histoire et savez ce qu’a fait le roi Hérode. Il a tué tous les petits enfants de deux ans et moins, et c’est un acte de férocité et de méchanceté. Vous vous demandez: "Mais comment Dieu l’a-t-il permis?". Je ne sais que vous dire, mais c'était la volonté de Dieu. Je me répète: ne demandez pas tant de pourquoi, parce qu’il est difficile d'y répondre.

C’est fête aujourd'hui, les anges chantent le "Gloire à Dieu". Ils glorifient Dieu tous les jours, mais aujourd'hui encore plus. Ils continuent à chanter des psaumes, ils fêtent Jésus.

Une petite grand-mère fête aujourd'hui son anniversaire au Paradis, c’est grand-mère Speranza, la maman de grand-mère Iolanda, et tous lui font fête. Tous les enfants l'entourent et continuent à lui faire fête et à crier; même au Paradis ils font beaucoup de bruit et Jésus dit: "Laissez-les parler, laissez-les crier, c’est leur manière de glorifier Dieu". On ne peut tenir enfermés les petits enfants, ni les laisser à la maison parce que sinon leurs parents manqueraient la messe. Les enfants font beaucoup de remue-ménage dans l'église, parce qu’ils ne peuvent pas comprendre où ils sont et veulent jouer, comme jouent maintenant tous les enfants du Paradis.

Marisa - Tous mes voeux à vous du Ciel et je vous dis Bonne 'Epiphanie. Ce matin j’ai entendu quelqu’un dire: "Bonne fête des rois".

La Madone - Marisella! Echangez les voeux et continuez le chemin avec Jésus, les bergers et les Mages. Aimez-vous bien! C’est aujourd'hui un jour de fête pour tous, pour les petits qui reçoivent des cadeaux et pour vous parce que vous adorez l' Enfant Dieu. Mes voeux à tous.

Marisella, je te recommande de lire les messages avec l’Evêque et d’en retirer les petits passages que je t’indiquerai.

Je vous remercie, mes chers enfants, les fêtes se terminent avec l’Epiphanie, mais Jésus est toujours dans l’Eucharistie, continuez donc toujours à le recevoir. Priez pour mes deux petits enfants.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous emporte tous dans mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Tous mes voeux, grand-mère, adieu.

Dois-je les lire toutes?

Rome, le 7 janvier 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Vous aussi, comme les Mages, qui ont adoré le petit Jésus, vous devez l’aimer et l’adorer. Que peut vous dire la Maman en ce jour suivant l’Epiphanie? d’adorer toujours le petit Jésus et de toujours recevoir Jésus Eucharistie en état de grâce.

Cela me chagrine que quelqu’un ne soit pas en état de grâce pour recevoir mon Fils Jésus. Les grandes fêtes, qui sont la joie des grands et des touts petits sont passées et j’aimerais tant voir que les hommes changent, mais il n'en est pas ainsi. Je vous ai également dit: " Que chaque jour, qu’il soit beau ou difficile, qu’il pleuve ou fasse soleil, c’est toujours Noël". Vous devez toujours prier et vous aimer; et n'oubliez pas que c’est l’année de l'Humilité. Les humbles ne sont pas nombreux, Ceux qui sont humbles, sont fidèles à la vérité. Cherchez vous au moins, petit cénacle, à posséder cette vertu qui est grande aux yeux de Dieu.

Priez toujours, je vous recommande surtout de ne jamais oublier de prier pour votre Evêque. Réparez ce que les hommes font pour le faire souffrir et intensifiez vos prières. Priez pour ceux qui travaillent aujourd'hui, qui sont médecins et pas libres comme vous. Des personnes sont malades, dont certaines sont présentes. Combien de personnes malades d’esprit et de corps vous avez! Priez pour eux tous. N'oubliez pas qu'être malade ne veut pas dire uniquement devoir être opéré ou avoir des douleurs physiques. La souffrance morale et la souffrance spirituelle détruisent l'homme et votre Evêque en a tant. Si vous priez, vous l’aidez à tout supporter et à bien vivre. Votre Evêque prie beaucoup pour vous, pense à chacun de vous, faites de même. C’est plus facile pour vous, vous n'en avez qu’un, lui en a tant. Beaucoup de personnes hors de Rome, loin de Rome et de l’italie prient pour notre Evêque, pour notre Saint Evêque. Priez pour lui et pour l’Eglise. Merci.

Qu’est ce que la Maman peut encore vous dire? Que je suis proche de vous tous, du plus grand au plus petit.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers ainsi que tous les petits enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père. Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

J’aimerais vous dire une dernière chose: priez afin que quelques prêtres viennent pour aider votre prêtre. Dans cette courte période entre le Jour de l’an et l’Epiphanie, trois bons prêtres sont venus qui ont montré un grand amour envers l’Evêque pour tout ce qu’il a souffert; l’un d’eux a même eu le courage de dire: "Ceux qui ont dit ces choses et outragé l’Eucharistie sont excommuniés". Ils ont été bons et braves. Un beau groupe de plus de 40 personnes est aussi venu de Vicence, d’autres personnes sont venues de Brescia et de Trieste. Voilà, quelque chose commence à bouger, et les lettres qui ont été maintenant expédiées arriveront dans les prochains jours. Alors, priez, priez, priez.

Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 12 janvier 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

La lettre de Dieu est aujourd'hui très courte, pour que vous puissiez entendre ensuite ce que Dieu a dit sur le troisième secret de Fatima. Je vous invite ce soir à écouter attentivement, même si la fatigue et le sommeil peuvent arriver. Cherchez à rester éveillés, pour écouter ce que votre Evêque doit vous dire au nom de Dieu.

Participez à cette rencontre avec sérieux et engagement. Vous entendrez de belles choses pour ceux qui sont bons et des dures pour ceux qui ne le sont pas. Quand vous avez la Maman et Jésus près de vous, tout devient plus facile. Courage, mes enfants, courage à tous, sauvez ce monde, priez pour ce monde. Vous avez dit une fois: "Coeur Immaculé de Marie, sauve ton peuple"; je vous invite à dire maintenant: "Coeur Immaculé de Marie, sauve le monde, sauve le monde, sauve le monde". Moi, Jésus, mon époux bien-aimé Joseph, les Saints et les anges, nous serons toujours avec vous.

Force et courage, Excellence.

Que puis-je te dire, Marisella? Je n’ai pas de mots, de paroles pour te remercier de la manière dont tu fais avancer ta mission. Bien qu’elle soit si difficile et si dure, tu réussis à la faire avancer et à aider les petits enfants.

Merci au petit cénacle qui prie, jeune, fait pénitence et des sacrifices. Faites ce que vous pouvez faire, vous ne devez pas tous faire la même chose. Je vous recommande de ne pas chercher à vous distinguer, de rester toujours dans votre coin, humbles et simples, parce que personne n'est le premier ni le dernier, vous êtes tous égaux devant Dieu. Merci.

Je vous recommande après la Sainte Messe, d'écouter ce que votre Evêque vous dira. Merci à tous.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers ainsi que tous les petits enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père. Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

A plus tard mes petits enfants.

Adieu, Marisella.

Marisa - C’est bon, mais aide-moi, sinon je m'écroule. Adieu.

Rome, le 14 janvier 2007 - 10h:30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Merci, Jésus, merci, chère Madone, pour la souffrance; je jouis en ces jours parce que je vis la totalement la mission de la souffrance.

La Madone - Merci de l’amour que vous avez montré à Jésus Eucharistie, ce qui nous rend très heureux. Vous ne devez pas seulement fêter le jour anniversaire du triomphe de l’Eucharistie, mais chaque jour. Comme je vous ai dit que chaque jour est Noël, que ce soit tous les jours fête pour tous. Hier soir Marisella se mourrait à cause des douleurs et des souffrances, mais Dieu a voulu encore une fois qu’elle reste avec vous. Je vous demande de prier pour tous ceux qui en ont besoin.

"Exulter, les justes, dans le Seigneur, aux hommes droits convient la joie". Soyez heureux, mes chers enfants, parce que la joie et l'humilité vous rendent libres.

Mes chers enfants, qui sait pour combien de temps encore votre soeur pourra parler, parce que sa voix aussi a été donnée à Dieu. Chaque fois que les crises sont violentes, sa voix s'en va, je ne voudrais pas maintenant la fatiguer davantage.

Vous savez que l’amour de Jésus, mon amour, celui de grand-mère Iolanda, de votre Evêque et de votre soeur est immense pour tous. Jouissez dans le Seigneur, glorifiez Jésus Eucharistie.

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et les petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

J’ai retrouvé un peu de voix, sinon je ne réussirais pas à me faire comprendre.

Rome, le 21 janvier 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de la patience que vous avez eue à attendre la Maman. Vous savez que votre soeur n'est pas bien du tout, même si elle se montre de bonne humeur, sourit, rit et plaisante. Je vous répète ce que je vous ai déjà dit, parce que vous oubliez souvent ce que je vous dis: Dieu accepte toujours vos prières et même si elles ne vont pas à la personne à laquelle vous les destiniez, vous ne devez pas vous en soucier, parce qu’elles vont à d’autres personnes: des petits enfants, des malades, des personnes âgées, qui ont besoin d’aide.

La santé de votre soeur est précaire, mais Marisella l’a accepté, même si parfois elle grogne ou pleure de douleur. Elle a totalement accepté sa mission. Cela la fatigue beaucoup de parler, mais elle a voulu que je vienne pour vous, parce que je vous aime, mes enfants, je vous aime tant. Souvenez-vous toujours de ce que votre Evêque vous dit; vous écoutez sur le moment quand il parle et puis vous oubliez ou ne comprenez pas bien et en faites à votre tête, comme on dit à Rome. Vous devez écouter l’Evêque et mettre en pratique ce qu’il dit. Qui plus que lui pourrait vous donner tout ce qu’il donne à vous tous? Avez vous remarqué que lorsque l’Evêque dit qu’il doit vous révéler quelque chose, beaucoup de gens viennent? Puis que leur nombre diminue pour la rencontre biblique. Pourquoi? Parce que vous n’avez pas compris totalement l’importance de la Parole de Dieu. Combien de fois Dieu vous observe, dans le bon sens du terme, vous regarde, vous sourit, vous aide? Combien de personnes a-t-il aidées? Vous dites parfois: "Il aide tous les hommes, mais pourquoi n’aide-t-il pas aussi Marisella?". Elle a une mission particulière à accomplir qui malheureusement doit avancer. Seule sa doctoresse, Selenia, peut l’aider quand elle le peut, parce qu’elle est très prise avec l'hôpital. Hier sa petite fille a eu trois ans et a fêté son anniversaire; moi aussi, Marie, la Maman, la Mère de l’Eucharistie et la grand-mère étions avec elle. Aujourd'hui, c’est la fête d’emanuele, Dieu avec nous. Emanuele, quel âge viens-tu d’avoir?

Emanuele - Six ans.

Marisa - Tu as entendu? Il fête ses six ans, mais ses chaussures lui font mal. Peut-on faire quelque chose?

La Madone - Il doit seulement marcher: une fois qu’il aura marché un petit peu, les chaussures iront mieux. N'est-ce pas, Marisella? Tu sais qu’elles sont très belles. Petit Emanuele, grand petit homme, la Maman t’adresse tous ses voeux ainsi qu'à Mariasole. Nous les adresserons au mois de mars à Sara et aussi à tous les petits enfants, ils sont si nombreux.

Mes chers enfants, je vous aime, vous l’avez compris maintenant. Je suis aussi très tendre à votre égard, parce que je suis votre Maman, et croyez-moi, je suis avec vous quand vous en avez besoin. La vie est certes ce qu’elle est: on naît, meurt, souffre, tous ne guérissent pas, tous ne peuvent pas être aidés de la même manière, mais vous êtes en bonne compagnie. Cherchez à obéir et à faire tout ce que dit votre Evêque; il est compétent, attentionné, prêt à tout et vous révèle tout ce qu’il peut vous dire. Qui fait comme lui? Personne.

Mes chers enfants, je vous répète encore une fois que vos prières ne se perdent pas, Dieu sait comment faire, vous ne pouvez pas le savoir.

Merci de votre présence. Tous mes voeux encore à Mariasole et à Emanuele. Quel beau nom qu' Emanuele, Dieu avec nous; quel beau nom que Mariasole, Marie et l’Eucharistie. Merci.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les petits enfants, les malades et les personnes âgées. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

L’Evêque - Tu permets…

La Madone - Parle, Excellence.

L’Evêque - Je veux exprimer mes remerciements pour l’aide que nous avons reçu de Dieu, dont je suis plus que conscient, parce que dernièrement je n’ai pas laissé Marisa pour une minute et j’ai vu que dans certaines situations, s’il n'y avait pas eu son aide, la situation aurait été vraiment critique et très difficile. Tu es notre Maman, la Maman de Jésus, alors je te charge officiellement avec Grand-mère Iolanda, d’adresser à Dieu mes remerciements et ceux de toute la communauté, parce qu’encore une fois il ne nous a pas abandonnés et est venu à notre secours. Merci, Maman, Merci, Dieu Papa.

La Madone - Merci à toi, Excellence.

Messages de Février 2007

Rome, le 2 février 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - En raison de la santé de Marisella, il n'y a pas eu de lettres de Dieu pendant un court laps de temps, mais la Maman a toujours été près de vous.

Aujourd'hui, nous avons présenté le petit Jésus au temple et Siméon en le voyant a explosé de joie et dit: "Maintenant, Seigneur, tu peux laisser ton serviteur mourir en paix parce que mes yeux ont vu le Messie". Souvenez-vous de ce que vous faisiez quand un enfant vous naissait? Vous le souleviez vers la Madone pour qu’il soit béni. Certains gazouillaient, d’autres souriaient et agitaient les mains. A peine entré dans le temple, l’Enfant Jésus aussi, a commencé à gazouiller, à lever ses petites mains et à bénir. La joie du vieux Siméon, de la prophétesse Anna, de la maman et du papa portant cette petite créature pour la présenter à Dieu était grande.

Bien que je n'en aie pas eu besoin, je me suis soumise à la purification, parce que je voulais respecter ce que les lois prescrivaient. La purification est fort belle et grande pour tous, Purifiez toujours votre coeur dans la prière et l’adoration. Dieu vous fait des dons de temps à autre. Sa gloire se fait attendre, désirer, mais quand il doit faire quelque chose de grand, il est prompt à le faire. Il a voulu faire un don, un cadeau à mes deux chers petits enfants ainsi qu'à tout le cénacle. Je n’ai pas besoin de vous dire de quoi il s’agit, parce que vous le voyez sur l’autel. C’est cette mèche de cheveux que l’Enfant Jésus tournait autour de son petit doigt avec tant de joie sous le voile de la Madone et qui est maintenant ici devant vous. Des cheveux de Jésus Enfant, Jésus Adulte et de Saint Joseph y sont mêlés aux miens.

Les temps sont durs malheureusement pour la santé de tous. La grippe, une mauvaise, circule et les plus faibles l’attrapent. Approchez-vous de Jésus Eucharistie et demandez-lui toujours son aide: pour les pauvres, les enfants, les personnes âgées, parce que ce sont ceux qui sont les plus touchés par cette mauvaise grippe. Je vous répète que je suis proche de chacun de vous: vous ne me voyez pas et n'entendez que ce que dit Marisella. Je lui parle en araméen et elle traduit en italien pour que vous compreniez. Elle, la pauvrette, ne voulait pas vous faire entendre sa voix éraillée, mais quand je lui ai dit: "Marisella, fais-le pour les autres, fais-le pour ton Evêque, fais-le pour les jeunes, fais-le pour le cénacle", elle a obéi. Souvenez-vous qu’il est parfois difficile d'obéir, surtout à Dieu quand il demande de très grandes souffrances, mais elle a toujours dit oui. C’est sa mission et gare à ceux qui oseraient la lui retirer. Elle pleure, sourit parfois, fait des plaisanteries, sait être gaie dans la douleur. J’attends la même chose de vous. Quand vous avez quelques souffrances, ne vous repliez pas sur vous mêmes, priez avec les autres, parce que vous savez que lorsque deux ou trois personnes prient ensemble, Dieu est avec elles. Ceci vous le savez, parce que vous connaissez bien la Bible, le Saint Evangile et ce que votre Evêque vous a enseigné et continue à vous enseigner en dépit de toutes les difficultés qu’il rencontre au cours de sa journée, qui croyez-moi est très longue et dure pour lui. Mon amour pour vous est toujours plus grand, mais c’est surtout l’amour de Dieu qui est grand. Il semble, je dis qu’il semble que Dieu vous oublie parfois, mais il n'en est pas ainsi, Dieu est avec vous. Dieu est toujours prêt à se faire entendre, non voir, bien sûr, le voir serait bien plus beau, mais il faut se contenter de l'entendre seulement ou mieux, Marisella l'entend. Hier matin il s'est de nouveau manifesté sous la forme d'une belle étoile brillante et il lui a parlé. Elle a entendu sa voix, elle ne l’a pas vu, mais Marisella est quand même heureuse. Cherchez, vous aussi, à être heureux dans les petites et les grandes tâches, dans la souffrance, les difficultés de la vie, cherchez à surmonter les moments difficiles. Même la nature n'est pas clémente et vous le savez, il ne vous reste donc qu'à prier, prier, prier. Dieu, Jésus, Moi, Saint Joseph, la chère grand-mère Iolanda, nous sommes avec vous, et nous sommes proches en particulier de ceux qui souffrent et sont malades.

Soyez forts et courageux, la victoire doit arriver, elle se fait attendre et nous l’attendons dans la joie.

Merci de votre présence.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

Elle m’a donné un petit peu de voix. Merci de m’avoir fait me reposer, merci de tout. Adieu, maman, adieu.

Rome, le 3 février 2007 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Je suis venue hier, mais je n’ai rien dit sur ce qui s'était passé.

Des incidents tristes ont également eu lieu aujourd'hui. Quand certaines choses désagréables se produisent, parlez en à l’Evêque et pas entre vous. Il ne suffit pas de passer un coup de téléphone, parce que l’on doit découvrir celui qui a menti et doit être corrigé par amour de Dieu et de ce petit cénacle. Si vous aimez vraiment l’Evêque, si vous aimez vraiment le grand Dieu de la Terre et du Ciel, vous devez vous parler et ne pas vous cacher les uns derrière les autres, ne pas dire de mensonges. Si vous n’avez pas bonne conscience, ne vous approchez pas du sacrement de l’Eucharistie, ne faites pas la Sainte Communion. Jésus ne veut pas de ces Saintes Communions et ceux dont la conscience n'est pas en paix ne doivent pas recevoir Jésus. Quelqu’un aurait pu parler hier soir, mais il s'est tu et a commis une erreur.

Moi, la Maman, je souffre. Nous avons formé ce petit cénacle d’amour et de paix, mais je vois que l'entente n'y règne pas, mais qu’il y a de l’inconscience, de l’amertume et moins de spiritualité. A quoi servent les prières si la loyauté et la sincérité font défaut? J’aimerais tant que vous réussissiez à comprendre tout ce que je vous dis et que vous le mettiez en pratique. Changez, changez, parce que Jésus a dit: "Convertissez-vous et croyez dans l’Evangile ". J’ai essayé de vous aider, je vous ai dit que vous aviez fait un pas en avant, mais vous avez reculé. Par charité, au nom de Dieu, je vous en prie, que ceux qui n'ont pas bonne conscience ne s’approchent pas du Sacrement de l’Eucharistie, par charité, ne le faites pas. Vous savez que c’est un sacrilège de s’approcher de l’Eucharistie, si l’on n'est pas en état de grâce. Il est inutile de critiquer les personnages puissants de l’Eglise, si vous vous comportez comme eux. Changez, mes enfants, changez et je serai de nouveau votre Maman.

Merci d’avoir écouté tout ce que je vous ai dit.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis. Je vous serre sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Corrigez-vous, corrigez-vous tous.

Marisa - Adieu.

Rome, le 4 février 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Laissez dans les mains de Dieu ce qui est arrivé au cours de ces deux derniers jours. Moi, la Maman, je devais parler de ce qui est arrivé, je devais vous adresser une correction maternelle; c’est uniquement à cause de l’orgueil que certains ne l’acceptent pas. L’orgueil est un vilain défaut qui vous empêche d’arriver à la sainteté. Si l’un reconnaît qu’il s'est trompé, qu’il recommence à zéro et mette tout dans les mains de Dieu. Laissez tout dans les mains de Dieu. Moi, Marie, la Mère de l’Eucharistie et votre Evêque, nous vous avons repris, cela suffit maintenant, recommencez, je ne dis pas à zéro, mais à trois, à quatre. C’est uniquement parce qu’ils sont remplis d'orgueil que certains n'ont pas compris le reproche qui leur a été adressé. Les personnes orgueilleuses ne veulent pas être réprimandées, mais ce n'est pas juste. Votre Evêque a le devoir sacro-saint de vous réprimander, c’est sa tâche. Pourquoi a-t-il été ordonné Evêque par Dieu? Pour vous corriger, vous aider et vous amener à la sainteté.

Rejetez l’orgueil, soyez humbles, c’est l’année de l'Humilité, acceptez les reproches avec humilité. Vous devez comprendre que celui qui vous adresse des reproches maternels ou paternels, souffre plus que vous. Votre Evêque a énormément souffert de devoir vous réprimander. Cela suffit maintenant, c’est fini, recommencez et avancez pas à pas, en vous aimant mutuellement, en vous supportant mutuellement en vous aidant les uns les autres. Soyez forts et ayez le courage de faire tout et n’ayez peur de rien. La Maman est toujours avec vous, comme je vous l’ai promis. Je resterai toujours avec vous.

Vous attendez le grand miracle, le grand don de Dieu, mais qu’avez-vous fait pour l’obtenir? Rien n'est perdu, vous verrez que ce que vous désirez qu’il arrive, arrivera, mais vous devez être plus prudents, plus sensibles, moins orgueilleux et faire preuve de beaucoup d'humilité. L’Année de l'Humilité! Vous avez trébuché pendant l’année de l’amour et l’année de l'Humilité n’a pas bien commencé, continuez, courage, la Maman est avec vous, elle vous aime comme mon Fils Jésus vous aime, comme Saint Joseph et grand-mère Iolanda vous aiment; ne l’oubliez jamais; elle aime les petits enfants, les personnes âgées, les pauvres, elle aime tous les hommes, faites de même vous aussi.

Votre soeur n’a pas de voix, Dieu la lui a prise. C’est un grand chagrin pour elle; elle l’accepte parfois, mais elle en pleure aussi parfois, parce qu’elle aime chanter et ne le peut plus. Puisque qu’elle ne peut plus chanter, ne doit-elle plus prier? Oh non, il faut toujours prier! Un baiser aux enfants.

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Courage, mes enfants, la Maman est avec vous.

Marisa - Adieu, maman.

Rome, le 9 février 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Cela fait plusieurs jours que l’Evêque a pratiqué la correction fraternelle. Tout est maintenant redevenu normal, tout est de nouveau tourné vers l’amour envers tous. N'oubliez pas que lorsque deux ou trois commettent une erreur, ils doivent en parler ensemble à l’Evêque, pas séparément, ou dans une lettre. Il faut reconnaître: "Nous nous sommes trompés ". Cela suffit, je ne veux plus rien ajouter à ce sujet. Je veux me réjouir de la décision prise par Dieu qui a dit à votre soeur: "Cela suffit, cela suffit, ta mission est terminée ". Elle ne finira pas de souffrir pour cela, sa souffrance continuera et elle souffrira aussi la passion, comme je l’ai déjà dit à votre Evêque: "Excellence, les roses ont des épines, à moins qu’un brave jardinier ne les enlève et ce jardinier, c’est Toi, mon Dieu très cher, seul Toi peux le faire".

Dieu le Père - Mon amour est grand pour vous. Je sais que vous attendez, espérez le triomphe, je sais tout, mais je dois encore sauver beaucoup d'hommes d’eglise et d’etat. Les hommes d’eglise ne se conduisent pas bien envers le Seigneur et envers tous; même envers Pippo Baudo, parce qu’il a défendu la vérité et a ainsi bien agi. Vous aussi, n’ayez jamais peur de défendre la vérité et aimez-vous les uns les autres, comme moi, Dieu le Père, Dieu Papa, Dieu Maman, je vous ai aimés.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les enfants qui donnent de la joie aux grands. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Aimez-vous bien, merci.

Rome, le 11 février 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui une grande fête à Lourdes. Beaucoup de malades se rendent dans ce grand lieu de pèlerinage réputé, pour y demander des grâces. Vous aussi, vous pouvez demander des grâces, mais ici, là où vous êtes, parce que ce lieu est thaumaturgique et que Notre Dame de Lourdes et la Mère de l’Eucharistie ne sont qu’une personne. Vous pouvez demander des grâces pour la conversion de vos êtres chers, de vos parents, de vos amis en donnant le bon exemple, avec la charité et l’amour. La Maman répète toujours les mêmes paroles: charité, amour, humilité, simplicité. Ces vertus vous emportent très haut, à des hauteurs vertigineuses et à jouir de Dieu. Dieu est bon, Dieu est Père, Dieu est Papa, Dieu est Maman. Il élève parfois un peu la voix pour vous faire comprendre vos erreurs, pour vous aider à vous corriger et pour que vous deveniez toujours meilleurs. Quand il parle avec douceur, il se montre comme le Papa de nous tous. Méritez-vous tout cela? Je dis oui, mais il faut voir ce qu’en pensent les autres. Dieu vous aime, comme la Madone, Saint Joseph et tous les anges et les saints vous aiment.

C’est une grande joie pour moi de participer à cette si grande fête, de voir les malades venir prier et demander des grâces, remplis d'une grande espérance. Comme vous le savez bien, les grâces n’arrivent pas pour tous, mais pour ceux qui savent attendre, parce que je vous le répète, Dieu est amour. En ce moment, aucun d’entre vous ne le voit, mais Dieu étend son regard sur les membres de votre communauté qui sont loin ou qui n'ont pu venir pour des raisons de famille. Qu’a fait votre soeur? Elle les a tous mis auprès d’elle, pour les aider.

j’entends la petite voix de Sara. Sara, tu ne viens pas voir la Maman qui t’appelle? Envoie un baiser à la Maman. Merci, Saretta, tu es brave. Sara, appelle aussi ton petit frère Emanuele, cours. Je suis heureuse quand je vois jouer les enfants, parce que jouer est pour eux prière, même leurs pleurs sont prières devant Dieu. Viens, Emanuele, envoie un baiser à la petite Madone, trésor. Merci, amour. Oh, si tous les petits enfants étaient suivis et éduqués comme ceux-ci! Il ne faut pas seulement leur faire regarder la télévision et les faire jouer. Soyez prudents, mes chers parents, très prudents, parce que le malin est toujours prêt à frapper les petits et les grands et vous devez les aider tous. J’aimerais vous laisser avec un baiser de la part de Notre Dame de Lourdes et de la Mère de l’Eucharistie, mais surtout avec un baiser et une caresse de Dieu, parce que Dieu est amour. Courage, continuez, écoutez la Sainte Messe.

Marisa - J’ai envie de dormir. Tu sais que j’ai passé beaucoup de nuits blanches.

La Madone - Tu ne dois pas te faire de soucis, fais ce que tu peux faire et pense au nombre d'âmes que tu peux sauver quand tu ne dors pas. Merci, mes chers enfants, de votre présence.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, mon Dieu. Je ne Te vois pas, mais je vois une belle fleur lumineuse et je Te dis merci.

L’Evêque - Dieu Papa, je te remercie des roses sans épines que tu nous as envoyées ces jours-ci. Ta promesse est devenue réalité, parce que tu nous donnes paix, sérénité et réconfort. Nous espérons que Tu reviendras régner dans tous les coeurs et faire triompher la joie. Merci, Papa.

Marisa - Merci, Papa.

Rome, le 16 février 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence.

Je reviens à parler du commentaire fait par Ratzinger à la neuvième station du Chemin de Croix. L’Eglise est sale, elle doit être nettoyée; les prêtres, les évêques et les cardinaux continuent à se dresser les uns contre les autres et font comme si tout allait bien, alors que tout va à la ruine. d’abord Dieu le Père est venu et a parlé à mes deux enfants. Maintenant, moi, votre Maman, je vous demande de tout mon coeur de prier, prier et prier pour la conversion des hommes d’eglise. Quand Ratzinger a dit que l’Eglise est sale, il a dit la vérité, mais qu’a-t-il fait pour la nettoyer? Rien. L’Eglise sera nettoyée de fond en comble et vous, mes chers enfants, vous serez les premiers à la nettoyer et à combattre ceux qui la souillent. Même les laïcs se sont rendus compte de l'état dans lequel cette sainte Eglise se trouve aujourd'hui. Jésus reviendra sur la Terre pour y prendre les saints et les emporter, mais ils ne seront pas nombreux, parce qu’il y a peu d'hommes qui cherchent à la nettoyer et à la remettre en ordre. Il faut commencer sur la Terre à sourire, chanter, redresser tout le mal présent et être de vrais hommes de Dieu, de vrais hommes d’eglise.

Courage à tous et aimez vous. Dieu vous aime, moi, la Mère de l’Eucharistie, je vous aime et nous triompherons tous.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers; je bénis tous les enfants, les abandonnés, et surtout les petits enfants du tiers et du quart monde. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Cette lettre a été écrite par notre Evêque et est adressée à ses collègues du séminaire. Ils se rencontreront tous à Ferrara, sans notre Evêque. Peut-il envoyer cette lettre qui est destinée à des prêtres maintenant adultes?

La Madone - s’ils lisent bien cette lettre et mettent en pratique ce qui y est écrit, ils deviendront tous de saints prêtres. Priez, priez afin que l’Eglise devienne propre et sainte. Adieu et mes voeux à tous.

Marisa - Pouvons-nous l'expédier?

La Madone - Bien sûr.

Marisa - Merci.

Rome, le 18 février 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

J’ai le regret de vous dire que votre soeur ne peut pas descendre, parce ce qu’elle est si éprouvée qu’elle n'en peut plus, mais elle est toujours parmi vous, comme je le suis aussi. Je ne m’attarderai pas longtemps, je vous demande seulement de prier pour la Sainte Eglise. Vous souvenez-vous quand je vous ai dit de choisir un prêtre et de prier pour lui? Recommencez maintenant à prier pour les prêtres, mais pas pour Ratzinger, Ruini, Bertone et les autres grands hommes d’eglise, ni pour leurs collaborateurs et secrétaires, qui ne comprennent rien et ne font rien que de se faire des éloges, mais prier pour les humbles, les simples, parce que, comme je vous l’ai déjà dit, l'humilité conduit à la sainteté.

Je sais que cela te fatigue de parler, Marisella, mais c’est ce que Dieu veut. Ta mission est terminée, mais pas ta souffrance. Tu souffres tous les jours la passion et de douleurs naturelles. Souviens-toi que ta devise est "J’accepte la souffrance ". Je vois malgré tout, que dans ta petitesse tu réussis toujours à faire quelque chose.

Excellence, aimes-tu la Maman?

L’Evêque - Mais bien sûr.

La Madone - Change de visage, je t’en prie. Même les jeunes neveux sont fatigués, éprouvés et vivant en contact avec certaines personnes, ils souffrent. Sois heureux, parce que lorsque tout arrivera, tu seras le premier à te réjouir.

L’Evêque - La route est longue.

La Madone - Elle ne Nous semble pas longue.

L’Evêque - Mais à nous oui.

La Madone - A vous oui, mais tu ne dois pas t’en soucier.

L’Evêque - Nous traînerons

La Madone - …notre pauvre et misérable chair sans prononcer une parole amère de révolte. Vous aussi, membres du cénacle, répétez cette phrase. Si vous ne vous en souvenez pas, écrivez la.

Priez, priez, mes enfants, pour tous, mais surtout pour l’Evêque. Vous les jeunes, réveillez-vous de ce long sommeil, vous avez suffisamment sommeillé, vous vous endormez facilement, vous fautez facilement. Vous les adultes, qui êtes parents, aidez ce pauvre Evêque. Quand quelqu’un dit ou fait quelque chose de différent, répondez ingénument: "L’Evêque le veut ainsi". Je vous remercie tous et prie pour vous.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, saint Evêque, je vous demande de prier pour qu’il soit rapidement saint … Je vous couvre de mon manteau maternel et vous serre tous sur mon coeur. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ

Marisa - Adieu, adieu, maman, viens nous aider, merci pour cette nuit, merci à Dieu des roses sans épines qu’il nous a envoyées. Merci. Adieu.

Rome, le 23 février 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Le mois de février se termine et nous nous approchons du grand anniversaire de l’ordination sacerdotale de votre Evêque. Il ne voulait pas le célébrer, mais vous, qui êtes membres du cénacle et ses enfants, parce qu’il est votre pasteur, vous devez lui faire fête. Jésus parfois aussi, quand une fête revenait, ne voulait pas la fêter à cause des problèmes qu’il y avait dans le monde, mais surtout entre ses disciple et les apôtres et il disait d'un sourire voilé: "Que voulez-vous fêter, si vous ne m’aimez pas?". "Mais nous t’aimons, Seigneur" répondaient les apôtres et les disciples. Même si votre Evêque ne veut pas fêter cet anniversaire, dites-lui: "Nous t’aimons, Excellence Révérendissime, accepte nous avec nos imperfections. Nous ne sommes pas parfaits, mais nous cherchons par tous les moyens à t’aimer". Un épisode qui ne figure ni dans l’Evangile ni dans la vie de la Madone, a eu lieu quand les disciples Lui demandant d'un ton légèrement ironique: "Jésus, voulons-nous faire la fête?", Il leur répondit d'une voix forte et sévère: "Non, parce que vous ne m’aimez pas!", et ils murmurèrent les larmes aux yeux: "Jésus, nous t’aimons!".

Jésus - Ne comprenez-vous pas, mes chers enfants, que j’ai soif d'âmes? Où sont ces âmes qui me donnent à boire et boivent avec Moi le calice jusqu'à la lie? Oui, j’en ai deux qui continuent à boire le calice, mais les autres? Et J’ai soif. Combien de fois ai-je crié d'une voix forte: "J’ai soif d'âmes, donnez-moi à boire!".

La Madone - Vous aussi, dans votre petitesse, donnez à boire à Jésus, aimez-vous. Vous devez tous vous aimer et vous aider, l’un d'une manière, l’autre d'une autre. Ne pensez pas à vos imperfections, sinon vous n’avancerez jamais. Pensez à Jésus, qui a soif de vous, et vous devez avoir soif de Lui. C’est pourquoi je vous dis toujours: "Aimez-vous de tout votre coeur, ne médisez pas, ne dites pas de mensonges, soyeux humbles et sincères"; c’est l’année de l'Humilité et je veux que vous tous, grands et petits, soyez humbles.

Votre Evêque lira aux jeunes quelque chose de fort triste, mais cela ne vous ni ne Nous concerne, mais concerne les prêtres de rangs très élevés.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers; je bénis tous les enfants malades en ce moment et ceux qui doivent partir en espérant ne pas être malades. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Sois prudente, Marisella, c’est pour toi le moment le plus difficile pour ta santé, sois prudente, reste dans ta chambre.

Marisa - C’est bon, de toute façon je reste toujours dans ma chambre. Merci quand même, des roses sans épines.

La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu à tous et aide-nous tous.

Rome, le 25 février 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je viens toujours parmi vous avec une grande joie, mais vous ressentez parfois la tristesse de la Mère de l’Eucharistie causée par les hommes puissants de l’Eglise. Je ne dis rien d’autre, sinon de vous inviter à prier pour les laïcs, les pauvres, les petits, les malades. Laissez les hommes puissants de l’Eglise, ils ne méritent pas vos prières. Vous en saurez un jour la raison, mais taisons-nous pour l’instant et prions. Ce sont des jours très tristes, très difficiles, non pour vous, mais pour l’Eglise de Dieu. Quand Jésus reviendra sur la Terre, trouvera-t-il encore son Eglise? Oh oui, il trouvera son Eglise, parce qu’il y a des âmes qui prient, souffrent, aiment vraiment. Donc priez et aimez. Souvenez-vous que c’est l’année de l'Humilité pour tous.

Courage mes enfants, la Maman est toujours près de vous, comme mon époux bien-aimé Joseph et grand-mère Iolanda sont près de vous, mais vous avez surtout près de vous, Dieu le Père, Dieu Papa, Dieu Tout; aimez votre Dieu de tout votre coeur.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

Messages de Mars 2007

Rome, le 2 mars 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

Dieu le Père - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est moi votre Dieu, Dieu Papa, qui vous parle. Vous savez que j’ai parlé à travers une fleur de l’afrique du Sud, une rose et une étoile. Vous ne me voyez pas, votre soeur ne me voit pas, mais elle m'entend; vous entendez ce que je dis par son intermédiaire.

Je sais que les préparatifs pour la fête de l’Evêque, fête qu’il ne voulait pas faire, sont en cours. Je l’invite à faire cette fête pour les autres: pour ceux qui souffrent, les enfants pauvres, tous ceux qui ont besoin de son aide. Il est parfois difficile de faire la volonté de Dieu. N'est-ce pas, Excellence?

L’Evêque - C’est très difficile.

Dieu le Père - C’est très difficile, mais si Je te demande de faire ma volonté, tu ne peux pas dire non, tu dois la faire, n'oublie jamais que tu es libre. Tu n’as pas voulu faire la neuvaine et Je t’ai donné satisfaction, mais le triduum doit être fait pour tous ceux qui ont besoin de prières et d’aide, pour les guerres qui sont nombreuses, pour les hommes qui se tuent avec tant de facilité, pour les petits enfants qui meurent à cause des bombes et de la famine et pour les mamans. Vous devez priez et faire ce que votre Dieu Papa vous dit; puis si vous ne le voulez vraiment pas, mais j’en doute, ne le faites pas. Ceux qui ont besoin de Dieu sont très nombreux.

Je sais que vous attendez un cadeau, un grand cadeau, mais aujourd'hui le plus grand cadeau est d’aider ceux qui sont tués par les guerres et les maladies. Ils ne sont pas considérés comme des êtres humains, mais sont traités pire que des animaux. Un animal est cajolé, protégé, mais les hommes sont tués et vous le savez parce que vous lisez les journaux et regardez le journal télévisé. Je vous répète encore une fois: ce que vous voyez n'est rien en comparaison de ce qui se passe dans le monde et dans l’Eglise. La situation est très grave et il est temps que l'homme apprenne ce qui se passe dans le monde et dans l’Eglise.

J'écoute le matin Son Excellence qui prie: "Coeur de Jésus, Coeur de Marie, sauvez le monde, sauvez les âmes". C’est la chose la plus importante. Qu’est-ce que je vous demande à vous, petit troupeau? Je vous demande de prier pour sauver le monde et l’Eglise. L’Eglise va très mal et Je suis certain que quand mon Fils Jésus descendra sur la Terre, il la trouvera détruite.

Je continue à faire souffrir votre soeur, non pour les prêtres, non pour ceux qui sont haut placés, mais pour vous, les personnes âgées, ces pauvres jeunes qui vont à la guerre pour se battre et y sont tués. Mais dans quel monde vivez-vous? Je n’ai pas créé ce monde si sale et si méchant. Je l’ai créé beau, propre, mais il est devenu sale par la faute des grands hommes. Quand vous lirez ce que votre Evêque sait, vous comprendrez bien des choses. Vous êtes un petit troupeau et pas une communauté importante qui se réunit seulement pour médire et se souiller. Je veux que votre petit cénacle fleurisse chaque jour davantage en écoutant la fleur d’afrique du Sud, l'étoile et la rose.

Vous vous demandez pourquoi Moi, Dieu, je suis descendu sur la Terre? Moi, Dieu, je suis descendu, pour vous faire comprendre l’importance de ma venue.

Courage, mes enfants, votre Dieu Papa est près de vous. Il est inutile que vous dites: "Je ne l'entends pas, je ne le vois pas, je ne comprends pas". Votre Dieu Papa est près de vous, comme la Maman du Ciel, la Mère de l’Eucharistie et tous les anges et les Saints sont près de vous. Réunissez-vous et priez, ne vous lassez jamais de prier pour tout ce qui se passe dans le monde.

Merci, Marisella, de tout ce que tu fais, merci de tout coeur. Oh, si nous ne t’avions pas toi qui aides ces personnes, je ne sais pas comment finirait le monde! Continuez à prier, aimez-vous toujours, veillez sur chacun d’entre vous. Moi, Dieu le Père, Dieu Papa, Dieu Tout, je serai toujours avec vous, je vous aimerai toujours d'un amour que personne ne peut comprendre. Seulement toi, Excellence, tu peux comprendre que si nous en sommes arrivés là, c’est uniquement pour sauver ces pauvres créatures qui souffrent, qui sont tuées par les bombes en jouant, en allant à l'école, qui invoquent le papa et la maman qu’ils ne voient plus.

Priez, mes chers enfants, priez pour tous les petits enfants et les âmes qui en ont tant besoin. Votre Dieu Papa vous remercie et vous bénit tous au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, adieu, Papa.

Rome, le 3 mars 2007 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je suis la Mère de l’Eucharistie, je suis l’amour, la douceur, l'humilité, j’ai la plénitude de toutes les vertus. Mes chers enfants, je vous aime tous démesurément. Ne négligez pas le premier samedi du mois, mais venez et priez pour toutes les intentions que vous connaissez, et je serai toujours près de vous.

Il est parfois très difficile d’aimer et d’aider son prochain et toi, Marisella, tu le fais depuis longtemps, depuis des années. Sois heureuse avec Dieu le Père, Dieu Papa, ton Tout et avec la Mère de l’Eucharistie. Prie pour tous ceux qui en ont besoin. Quand le soir tu essaies de t’allonger et que la santé ne va pas, ne te fais pas de soucis, je suis près de toi avec grand-mère Iolanda et tu le sais.

Mes chers enfants, je vous demande, à vous, petit cénacle, de prier, de vous aimer et surtout d’aimer Dieu.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Attention: ceux qui pèchent contre le Saint Esprit et profanent l’Eucharistie sont excommuniés. Aimez les Trois Personnes de la Très Sainte Trinité et je serai avec vous.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Aide-moi, j’en ai besoin plus que jamais.

Rome, le 9 mars 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui une grande fête pour vous tous, mais surtout pour votre Evêque qui fête ses quarante quatre ans de sacerdoce, une vie passée entre luttes et souffrances, déception et réconfort, amour et le sentiment d'échec. Il a marché sans peur, soutenu par l’amour et la charité que tout prêtre doit donner à tous. Quarante quatre ans représentent beaucoup d’années remplies d’amour pour le prochain, le petit cénacle et pour tous.

Je vous invite à méditer ce long chemin, n'oubliez jamais le passé ni tout ce que votre Evêque a souffert. Dieu est venu en personne ce matin parler à mes deux enfants. Il leur a donné un beau, grand et long message plein d’amour et de charité. Dieu m’a dit ce soir: "Marie, va voir mes enfants, parle leur, ne les laisse pas seuls, fais leur sentir que tu es la Maman et que tu es toujours avec eux". Même si la santé laisse à désirer, conduisez-vous toujours en bons chrétiens et ayez un grand amour envers tous. Je vous ai dit bien des fois de penser aux enfants qui meurent ou sont tués, aux mamans qui voient mourir leurs enfants, aux malades, aux personnes âgées, à toute cette immense misère dans le monde. La misère augmente toujours, c’est pourquoi je vous dis: n’abandonnez rien, priez et abandonnez-vous toujours à Dieu.

La Maman ne peut continuer parce que votre soeur n'est pas bien, je reste près d’elle pour l’aider. Je vous remercie tous de l’amour que vous donnez à mes deux enfants.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Courage, mes enfants, continuez, avancez toujours et abandonnez-vous à Dieu.

Marisa - Adieu. Adieu, maman, adieu, ma belle. Ici il y a Anna, l’Excellence et moi. Adieu, ma belle, nous nous sommes vues longtemps ce matin au Paradis. Adieu, maman, adieu.

Rome, le 11 mars 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Seigneur Jésus, c’est le troisième jour de souffrance et de pénitence pour mon Evêque. J’ai demandé aujourd'hui à descendre dans la basilique pour y écouter la Sainte Messe, nous espérons y arriver. Pourquoi nous as-tu donné toutes ces souffrances? Pourquoi nous as-tu fait souffrir jours et nuits? Je peux comprendre que les hommes qui ne nous aiment pas nous fassent souffrir, mais je ne peux pas te comprendre. Pardonne-moi, Jésus, pardonne-moi, Seigneur. Je pardonne à tous ceux qui nous ont fait souffrir volontairement.

C’est aujourd'hui la grande fête de notre saint Evêque et qu’avons-nous reçu? Rien ou mieux, uniquement de la souffrance. Mais malgré tout nous t’aimons, nous t’adorons, nous te glorifions, toujours, nous voulons t’obéir jusqu'à la fin, faire ta volonté jusqu'à la fin, même si cela nous coûte énormément.

La Madone - Priez, mon petit cénacle, pour mes deux enfants. Ils ont besoin de beaucoup de force, d’amour, de compassion, ils ont besoin de tout ce qu’une âme peut avoir besoin. Ils attendent obstinément cette aide de vous, comme ils attendent depuis des années quelque chose qui se fait attendre. On ne parvient pas encore à obtenir quelque chose.

Marisa - Nous ne voulons pas perdre la foi, nous voulons continuer à avoir foi en Dieu Papa, en Jésus, en Marie. Nous voulons pardonner à ceux qui nous ont fait tant souffrir, sachant qu’ils faisaient souffrir.

La Madone - Priez, continuez à prier pour votre saint Evêque, ne l’oubliez jamais, il a besoin de vous. Croyez-moi: il prie beaucoup pour vous tous.

Marisa - Je vous demande pardon de ne pas avoir la force d’avancer. Les forces me manquent de plus en plus chaque jour. Priez aussi pour moi et pour tous ceux qui nous aiment.

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint Evêque et tous ceux qui souffrent, j’invoque pour vous le don de la paix et de la foi. Je vous bénis tous et vous recouvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 18 mars 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

J’aimerais vous rappeler que cette année est l’année de l'Humilité. Si tous apprenaient à être plus humbles, tout serait plus beau et plus simple, parce que vous vous aimeriez et vous vous aideriez mutuellement. L'humilité est une très grande vertu; mon époux bien-aimé Joseph reflétait cette grande vertu, parce qu’il était très humble. Il a été très malade à la fin de sa vie, mais sans être une charge et se contentait de ce que moi, son épouse, je lui donnais. Il y avait parfois de petites discussions, parce qu’il voulait que je mange de la viande pour que j’aie plus de force et je voulais qu’il en mange pour qu’il aille un peu mieux. Si vous avez la force d’accepter toutes les situations spirituelles et matérielles, vous deviendrez plus forts, plus aptes à aimer votre prochain et plus humbles.

La vie est très difficile pour votre soeur. Vous vous souvenez que dans le passé lorsqu’elle était malade ou vivait la passion, elle n’avait pas de souffrance pendant l’apparition et en était heureuse et contente. Maintenant au contraire, elle souffre aussi pendant l’apparition, ma venue sur la Terre. Vous vous demandez: "Pourquoi tant de souffrance?". J’ai entendu beaucoup de pourquoi ces jours-ci et vous avez raison. Oui, pourquoi tant de souffrance? Pourquoi détruire Marisella à ce point? Moi, la Maman, je souffre avec vous et je me demande bien des fois: "Est-il possible que notre bien-aimé Dieu le Père ait besoin de toutes ces souffrances?". Comme vous le voyez, bien que le temps soit beau aujourd'hui et qu’elle ait eu le désir de sortir et de quitter un petit peu sa chambre, cela ne lui a pas été permis. Pourquoi Dieu permet-il toutes ces souffrances? Je vous réponds: "Se demander pourquoi Dieu agit ainsi et obtenir des réponses à ces pourquoi est très difficile ". Marisella a aussi la force de tout accepter par amour des âmes, non de celles des prêtres et surtout des grands prélats qui ne se sont pas convertis, car pour moi et pour Dieu il n'y a plus rien à faire maintenant, mais pour les petits enfants, les malades, les personnes âgées, ceux qui vivent dans le tiers et le quart monde et sont privés de nourriture, d’eau et de médicaments.

Mes très chers frères, la souffrance est un don que Dieu donne à peu de personnes et ce don est accepté avec amour pour aider le prochain. Vous direz: "Pourquoi Dieu a-t-il justement besoin de Marisella?". Parce que tous ceux qui sont appelés n’acceptent pas la souffrance. Je vous demande d'être humbles, d’accepter et de supporter tous les hommes pour vivre toujours dans la grâce de Dieu. C’est aujourd'hui une journée pleine de souffrance pour votre soeur; il semble que sa santé s'éteigne d'un moment à l’autre et puis comme elle le dit, elle refleurit et renaît. Oh, comme il est difficile de vivre comme elle le fait!

Mes chers enfants, priez les uns pour les autres, aidez-vous mutuellement, aimez-vous, soyez humbles, comme Jésus est humble, comme la Madone est humble, comme votre soeur est humble et je serai toujours avec vous.

Je vous aime tant, mes chers enfants, il se peut que vous ne compreniez pas mon amour, mais un jour vous le comprendrez. Beaucoup d’entre vous sont encore suffisamment jeunes pour jouir du bonheur que Dieu vous a promis. Vous serez heureux quand Dieu vous appellera du haut des Cieux, pas tous ensemble, parce que vous feriez du remue-ménage, mais un par un. Toi, ma fille, tu seras appelée …

Marisa - Mais quand? Quand? Je suis fatiguée d’attendre, de souffrir et de vivre sur cette Terre si corrompue, comme tu le dis.

La Madone - Je vous remercie de mettre en pratique tout ce que je vous ai dit. Priez pour votre soeur afin qu’elle ait la force de tout accepter. Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Aide-moi, parce que je me sens aujourd'hui très, très faible.

Messages d’avril 2007

Rome, le 1er avril 2007 - 10h40 (Lettre de Dieu)

Jésus - Votre Jésus est ici devant vous et vous encourage à continuer en dépit des difficultés, des souffrances, de l’adversité de la vie et de la méchanceté des hommes. Moi, Jésus, je vous conseille de continuer cette vie si difficile et si dure. Quand je vous implore: "J’ai soif, donnez-moi à boire", c’est à vous tous que je m’adresse, mais tous n'y ont pas contribué.

La vie de mes deux enfants est très difficile et pleine de souffrances, c’est pourquoi j’aimerais que les jeunes et les adultes soient plus proches d’eux avec l’amour, la prière et le sacrifice. Je sais que vous attendez le grand jour, que vous attendez que l’aurore se lève et Moi, Je dis avec humilité: "Il viendra". Cela me chagrine de ne pouvoir vous dire quand, comment et pourquoi. J’aimerais que vous aidiez ces deux créatures à surmonter toutes les difficultés de la vie, à être plus près de ceux qui sont dans le besoin et à m’arracher des grâces, à moi Jésus. Arrachez-moi les grâces dont le monde a besoin, répétez souvent: "Sauve le monde, sauve les âmes, sauve tous ceux qui ont besoin de ton aide".

Je sais que vous attendez longuement le grand jour, comme nous l’attendons tous. Ce jour viendra, mais ne soyez pas pressés, continuez avec douceur et amour, même avec la souffrance, parce qu’elle embrasse tout. Aimez-vous et Moi, Jésus, je serai avec vous. Considérez qu’aujourd'hui, en ce moment, l'ânon qui me porte en croupe, moi Jésus, entre à Jérusalem, et qu’ils crient: "Hosanna, hosanna" et puis crieront: "Crucifiez-Le". Le crucifiez-le ne doit pas arriver pour vous, mais seulement Hosanna, Hosanna, Hosanna au Fils de David.

Mes chers enfants, doux enfants du Père, du Papa, enfants de Marie, étreignez-vous tous, formez une chaîne et abandonnez-vous totalement au Dieu Papa, à Dieu le Fils et au Saint Esprit. Merci.

Je veux vous donner ma bénédiction avec mon saint Evêque. C’est pour lui un anniversaire important aujourd'hui. Il ne voulait pas recevoir de voeux, mais adressez-lui tous vos voeux. Le Dieu Tout-puissant vous bénit: le Père, le Fils et le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Aide-nous, Jésus, aide-nous, nous en avons tant besoin, nous n'en pouvons plus. Adieu.

Rome, le 5 avril 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Votre Jésus est présent ici devant vous. C’est aujourd'hui le jour le plus beau, le plus important, c’est le jour de l’institution de l’Eucharistie. Les apôtres, la Mère de l’Eucharistie, les âmes saintes sont près de moi, ainsi que vous. C’est une grande fête, parce que Moi, Jésus, j’ai institué l’Eucharistie, signe d’amour et de paix, qui vous aide à vous aimer. Je suis aussi venu pour ceux qui pour diverses raisons: raisons de santés, motifs familiaux, sont contraints de rester à la maison; mais mon regard s'étend jusqu'à eux, là où ils sont, où sont les petits enfants et ceux qui m’aiment et prient.

L’Eucharistie doit vous emmener au ciel, au Paradis, où vous verrez, jouirez et serez avec Dieu.

Mes chers enfants, Marisella, a été contrainte bien des fois de rester dans sa chambre pour de graves problèmes de santé et Nous ne sommes pas venus, parce qu’elle était très mal et n’avait pas la force de parler. Aujourd'hui, jour de ma fête, de la fête du sacerdoce de votre Evêque, je suis venu pour tous. Moi, Jésus, j’ai institué l’Eucharistie et votre Evêque célébrera la Sainte Messe en répétant et actualisant ce que j’ai fait. Votre Evêque aime l’Eucharistie, aime tous les hommes, ceux qui l’ont fait souffrir aussi. Vous ne pouvez pas vous imaginer combien de souffrances mes deux enfants ont dû endurer pour des raisons diverses; la dernière pour la tente qu’ils ont réalisée avec tant de sacrifices en l'honneur de la Mère de l’Eucharistie. Ils continuent encore à lutter et à se battre, parce que les hommes continuent à les faire souffrir et à vous faire souffrir. Je vous le dis pour vous faire comprendre que votre Evêque a énormément de souffrances, grandes et petites, et même les petites deviennent de grandes à la longue. C’est pourquoi je vous dis souvent: aimez-le, priez pour lui, soyez près de lui aidez-le comme vous le pouvez.

Louez et chantez Jésus Eucharistie; Je suis Jésus Eucharistie, J’ai institué l’Eucharistie, Je suis Dieu. Merci à tous, à ceux qui sont proches, à ceux qui sont loin, à ceux qui ne peuvent être présents pour diverses raisons. Je donne ma bénédiction à tous avec mon saint Evêque.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants et tous mes voeux à tous.

Adieu, Marisella.

Marisa - Adieu, Jésus, adieu, mon doux époux.

Rome, le 8 avril 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

Marisa - Jésus, tu es ressuscité. Je te demande au nom de tous: fais nous aussi ressusciter, fais que les malades se portent bien, aide les petits enfants, ceux qui naîtront ces jours-ci et ceux qui sont nés; aide tous ceux qui ont besoin de ton aide.

Tu as dit: "Sauvez le monde avec Moi" et nous, Jésus, nous voulons contribuer à le sauver dans notre petitesse. Nous sommes un petit, tout petit troupeau, mais nous faisons tout pour sauver le monde comme Tu le veux. Quand Tu reviendras, j’espère que Tu le trouveras, beau, simple et humble. Fais que les hommes d’eglise croissent en humilité. Sauve-nous, Jésus, aide-nous. Je te remercie du cadeau, disons demi-cadeau, que tu m’as fait. Par cette grâce que tu m’as faite, je me trouve aujourd'hui ici avec mon petit cénacle, je t’en remercie.

Jésus - C’est moi votre Jésus, mes chers enfants. Comme vous l’avez entendu de votre soeur, je suis descendu parmi vous. Elle vous a appelé petit troupeau, oui, c’est vrai, que vous êtes un petit troupeau, mais que j’aime tant et que la Mère de l’Eucharistie aime aussi, parce que vous cherchez par tous les moyens à faire de votre mieux, même si vous n'y parvenez pas totalement, comme vous l’aimeriez, parce que votre humanité se fait sentir. Mais quand vous agissez avec amour, tout arrive à Dieu.

Je sais que vous attendez que beaucoup de promesses se réalisent, je sais que vous avez beaucoup parlé entre vous des promesses de Dieu qui selon vous ont été repoussées trop de fois, mais il n'en est pas ainsi. Dieu a parlé, a promis et quand il promet, il tient ses promesses; on ne sait pas quand.

Marisella, sois calme (Un frisson traverse tout le corps de Marisa).

C’est vrai, comme le dit Marisella, qu’elle est comme une bille, une balle que Dieu renvoie de droite à gauche.

Marisa - Oui, parce que m'on dit une chose, et une autre se réalise. Je devais aller bien cette nuit parce que je devais descendre aujourd'hui et au contraire j’ai été mal. Ce changement permanent me déconcerte. Vous dites que quelque chose de bon va arriver, et cela n’arrive pas.

Jésus - Marisella, mais qui es-tu pour dire cela à Dieu?

Marisa - Je ne suis rien, je suis une simple créature. Pardonnez-moi, mais j’aimerais vous demander de me retirer cette tâche si amère, si difficile, si pleine de souffrance. Il y en a tant qui ne sont plus voyants et qui sont heureux et contents. Ils se déplacent, vont, parlent, agissent, alors que moi, comme vous le dites, je suis la seule voyante qui soit restée et je suis ballottée de ci et là, je suis toujours mal et je ne fais rien. Oui, je prie pour les membres du cénacle et les malades, je vais avec la Madone sauver les petits enfants qui doivent naître, mais il me manque quelque chose et j’aimerais être libre moi aussi de mes mouvements.

Jésus - Tu m’abandonnerais ainsi que la petite Madone?

Marisa - Non, mais parfois je pense à cette balle qu’on frappe de tous les côtés. J’aimerais vous voir, par charité, si vous m'enlevez cela aussi, je n’aurai plus rien.

Jésus - Acceptez ce que Dieu dit et ce que Dieu fait, et ceux qui ne veulent pas l’accepter seront également aimés et jouirons demain du Paradis. On ne vous oblige à rien, mais écoutez Dieu et mettez en pratique ce qu’il dit, même si vous êtes ballottés de droite à gauche. C’est moi, Jésus, qui vous le demande.

Je suis ressuscité aujourd'hui et le Paradis chante: "Alléluia, alléluia, alléluia". Je suis toujours parmi vous, même quand vous ne m'entendez pas, parce que je vous aime, parce que je sais que ce vous faites, vous le faites avec amour, même si vous ne réussissez pas à faire comme vous aimeriez le faire. Aimez-vous.

Excellence, courage. Je sais que toi aussi tu es comme une balle que l’on frappe de droite à gauche, mais ton heure viendra; si Dieu l’a dit, il le fera, Dieu sait quand et comment. Ton heure doit venir, cette triste situation ne peut se prolonger, l’Eglise doit être purifiée de tant de souillures. Nous avons trouvé originel, beau et sincère, le Chemin de Croix que vous avez fait vendredi. Ce n'est pas le Chemin de Croix habituel qu’on récite tous les ans au Colisée, où l’on répète toujours les mêmes réflexions. Non! Nos compliments, vous avez vraiment été bons. J'étais parmi vous, faisant le mort, parce que je n'étais pas mort et jouissais donc de ce chemin de Croix.

Merci à vous tous, merci à toi, Excellence, parce que ce petit groupe fonctionne bien et le mérite t’en revient totalement, même si parfois quelques-uns n'obéissent pas, ils t’aiment tous. Nous t’aidons aussi en plus.

Je te fais un don. Lève-toi, Excellence, bénis ce petit cénacle avec Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Bonne Sainte Messe, suivez-la de tout votre coeur, parce que je suis ressuscité et suis avec vous, comme toujours.

Adieu, Marisella. Tous mes voeux à tous, adieu, mes frères.

Marisa - Adieu. Il est parti.

Messages de Mai 2007

Rome, le 4 mai 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Vous ne tenez pas compte des lettres de Dieu depuis longtemps. N'est-ce pas, petit cénacle? Mais la Maman ne vous a pas abandonnés; je suis restée quand même près de vous. Il faut encore beaucoup et beaucoup de prières pour que Dieu accomplisse finalement ses plans fort nombreux et demandant beaucoup de temps. Dieu doit faire tout pour le bien. Je vous aime tous, petit cénacle. Continuez à prier; je vous répète que vos prières ne se perdent pas, parce que Dieu sait à qui les transmettre. Si vous priez pour votre soeur et que vos prières ne lui parviennent pas, cela ne veut pas dire qu’elles ne sont pas acceptées. Dieu agit pour le mieux et vous ne pouvez vous demander continuellement: "Pourquoi Dieu n'intervient-il pas? Pourquoi ne réalise-t-il pas ce qu’il a promis?". Dieu est Tout-puissant, Dieu est le Père de tous et il réalisera pour le mieux ce qu’il a promis, mais au moment fixé par lui. Cherchez à aimer Dieu et continuez à prier pour votre soeur. Quand Dieu décidera de l'emporter au Paradis, vous devrez êtes alors en pleine prière, en communion mutuelle et unis à votre Evêque; et tout sera beau et facile.

Certains d’entre vous sont déjà en pleine prière et viennent prier ici.

Je pense toujours à chacun d’entre vous et aux petits enfants, parce que la Maman aime tous les hommes: grands et petits.

Merci, mes chers enfants, de bien vouloir prêter l’oreille à ce que la Maman vous a dit et surtout de le mettre en pratique.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les enfants, les malades et tous ceux qui se recommandent à vos prières. La Maman vous couvre de son manteau maternel et vous serre tous très fort sur son coeur.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, maman.

Rome, le 13 mai 2007 - 10h45 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui une grande fête, surtout au Portugal, où l’on fête Notre-Dame de Fatima. Peu d'hommes d’eglise ont rappelé que 90 ans se sont écoulés depuis que la Madone vous est apparue. Beaucoup de miracles ont été accomplis. Ce qui fait le plus souffrir, c’est que le secret de Fatima n’a pas encore été révélé, mais je ne veux pas en parler de toute façon, j’en ai parlé bien des fois ainsi que votre Evêque. Je vous demande seulement de prier Notre-Dame de Fatima. Trois Madones sont maintenant ici présentes: l’immaculée Conception de Lourdes, Notre-Dame de Fatima et la Mère de l’Eucharistie; mais c’est toujours moi.

Jésus - C’est moi Jésus et je suis venu vous parler de ma Maman, qui est invoquée de bien des façons. C’est toujours la Mère de l’Eucharistie, même s’il est juste que vous fêtiez Notre-Dame de Fatima et l’immaculée Conception de Lourdes. Les hommes puissants de l’Eglise n'ont pas encore compris qui est Notre-Dame de Fatima et la raison pour laquelle elle a transmis des secrets qui n'ont pas encore été révélés, qui ne sont pas ceux qui ont été communiqués à soeur Lucie.

Mes chers cardinaux, les secrets ne sont pas ceux qui ont été révélés, non ils ne le sont pas. s’ils ne prophétisaient pas de graves menaces et s’ils étaient beaux, pourquoi ne pas les avoir révélés plus tôt? Pourquoi attendre tant d’années? Pourquoi les transmettre d'un Pape à l’autre et ne pas les révéler? Pourquoi ne pas dire la vérité? Aujourd'hui encore, les grands hommes d’eglise continuent à mentir. A vous de choisir: croire ou ne pas croire que le secret de Fatima est triste et alarmant et mentionne des faits graves intervenus au sein de l’Eglise et qui n'ont jamais été révélés.

Priez Notre Dame de Fatima, spécialement en ce jour qui est le 90ème anniversaire des apparitions. Je vous invite aussi à prier pour votre soeur qui fête le cinquante-et-unième anniversaire de sa consécration à Dieu. Elle a toujours tout donné à Dieu, lui a toujours dit oui. Priez, afin que son départ pour le Paradis soit proche; elle pourra faire beaucoup plus en montant au Ciel avec Nous. On doit vous admirer parce que, malgré tout, vous venez prier et décorer ma Basilique faite de bâches, sans mur, et qui M'est cependant si agréable ainsi qu'à tout le Paradis.

Moi, Jésus, quand je reviendrai, j’aimerai trouver mon Eglise renouvelée et propre. Mon cher Evêque, tu devras, comme je l’ai fait avec les marchands du temple, chasser de l’Eglise ceux qui n’aiment pas l’Eucharistie, qui pensent seulement au pouvoir, à l’argent et aux plaisirs illicites. Quand l’Eglise aura été nettoyée, Nous serons alors tous avec vous. La vie est dure et difficile pour vous maintenant, mes chers enfants, parce que plus le supérieur est haut placé, plus il entend commander et imposer l’obéissance par le chantage, ceci n'est pas juste. Souvenez-vous du message: obéissance oui, chantage non?

Tous mes voeux, Marisella, de la part de tout le Paradis, en particulier de tous les jeunes que tu as vus hier dans l’apparition. Je dis maintenant à ta maman de t’adresser ses voeux; elle est émue.

Marisa - Maman!

Grand-mère Iolanda - Tous mes voeux, Marisella, tous mes voeux, ma fille.

Marisa - Maman, quand viendrai-je vers toi? Quand m'emporteras-tu? Je n'en peux plus, je suis fatiguée, si fatiguée. Maman, salue les tous de ma part et fais-les prier pour moi.

Grand-mère Iolanda - Un baiser pour toi et pour l’Evêque. Adieu.

Marisa - Adieu, maman, comme tu es belle.

La Madone - Jésus est parti et m’a cédé la place, à moi, Mère de l’Eucharistie, afin que je vous adresse tous mes voeux et à toi surtout, Marisella. Tous mes voeux de sainteté à tous.

Je remercie ceux qui sont venus de loin. Combien pourraient venir, mais ne le font pas, parce que les hommes puissants de l’Eglise ont détruit ce lieu, rendu thaumaturgique et saint par Dieu. Tous mes voeux à tous de la part de Notre-Dame de Fatima, de Notre-Dame de Lourdes et de la Mère de l’Eucharistie. C’est toujours moi qui viens souvent rendre visite à mes deux enfants, en particulier quand toi, Marisella, écoutes les chants du CD reproduisant ta voix. Mais vous n'en profitez pas en l'écoutant souvent.

Marisa - Merci, petite Madone, merci de tout ce que tu fais pour nous. Je te le dis aussi: emporte moi, j’ai déjà tout préparé. Excellence, puis-je dire que j’ai également choisi le cercueil?

L’Evêque - Oui, c’est ta Maman.

Marisa - J’ai choisi aussi le cercueil. Est-ce qu’il te plaît?

La Madone - Oui, Marisella, tout ce que fait l’Evêque est beau.

Marisa - Aide mes neveux, mes petits-neveux, ma soeur, mon frère, aide tout le monde, ce petit cénacle, aide nous tous.

La Madone - Merci. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les petits enfants, tous ceux aussi qui sont loin. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, adieu à tous. Ils sont partis tous ensemble.

Rome, le 18 mai 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est avec une grande joie que je suis ici à prier avec vous. Invoquez chaque jour le Saint Esprit, afin qu’il descende sur chacun de vous et sur ceux qui ne peuvent venir pour des raisons valables. J’ai cherché à vous aider à surmonter les difficultés de la vie, les malades en particulier. Je suis toujours auprès de ceux qui souffrent, mais il revient à Dieu de les guérir, ainsi que ceux qui sont malades spirituellement.

Nous sommes désolés que peu de personnes viennent dans ce lieu, rendu thaumaturgique par un grand nombre de miracles eucharistiques, parce que des prêtres détenant le pouvoir les en ont éloignées et détournées d’autre part. Vous qui êtes toujours ici présents, vous avez sûrement constaté que ce lieu est un lieu de prière, d’amour et de charité. C’est vrai que vous êtes peu nombreux et c’est justement parce que vous êtes peu nombreux, que je viens ici, parmi vous. Vous savez qu’il n'y a plus d’apparitions dans d’autres lieux; je suis donc uniquement ici avec vous et essaie de vous aider par tous les moyens. Il est naturel d’aider ceux qui souffrent, spirituellement comme physiquement.

J’aimerais vous voir sereins. Ne vous préoccupez pas de ce que Dieu a décidé de faire, Il sait ce qu’il doit faire, Dieu ne trompe pas, mais ce n'est pas encore son heure. Continuez à prier, à rester unis, à vous aimer comme je vous aime.

Dimanche prochain, deux de nos jeunes se marieront, priez pour ces enfants, ils ont dû eux aussi soutenir divers combats. Soyez proches les uns des autres.

Oui, Marisella, j’ai compris, j’ai lu dans ton coeur ce que tu veux me dire.

Marisa - Moi, Marisa, je te demande une aide plus forte, au nom de tous, je te demande que d’autres également comprennent l’importance des miracles eucharistiques et viennent prier dans le lieu thaumaturgique.

La Madone - Ceci dépend aussi de vos prières, agissez toujours avec amour et charité, aimez-vous réciproquement.

Merci de votre présence. Merci à notre Evêque, à votre Evêque. Je vous bénis, ensemble avec l’Evêque ordonné par Dieu. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

A bientôt, mon cher, petit cénacle.

Marisa - Adieu.

Rome, le 24 mai 2007 - 19h20 (Lettre de Dieu)

Marisa - L’Evêque m’a dit de te le faire entendre.

La Madone - C’est beau quand vous essayez de plaisanter pour vous remonter le moral. Je suis en ce moment Marie Auxiliatrice, mais je suis toujours la Mère de l’Eucharistie. Vous savez que la Madone est unique, mais comme on fête aujourd'hui Marie Auxiliatrice je suis venue en tant que telle. Il y a un peu de tristesse dans mon coeur, non pour vous, mais pour les Salésiens qui ne sont plus comme ceux d’autrefois. Il n'y a plus de véritable prière, d’amour véritable entre les Salésiens, mais cela ne doit pas vous préoccuper.

Je suis venue parce que vous le désiriez tant, l’Evêque en particulier. Marisella, même si tu fais semblant de ne plus vouloir me voir, tu es heureuse lorsque je viens. Vous êtes peu nombreux, mes chers enfants et dire que l’avis a été envoyé à tous, mais cela ne fait rien. Je suis avec vous, je vous l’ai toujours dit et je viens même si vous n'êtes pas nombreux. Cherchez à vous aimer, à vous vouloir du bien et à aider votre Evêque de votre mieux. Vous direz: mais comment le faire? Nous avons le travail, la famille et les autres tâches. Même si c’est peu, vous pouvez le faire, n'est-ce pas, Massimo? Il y en a qui sont fatigués, qui ne se portent pas bien et tout devient alors plus difficile, mais je vous bénis tous, en particulier ceux qui souffrent.

Je suis celle qui aide les Chrétiens. Avez-vous remarqué un changement en Marisella et qu’elle va un petit peu mieux, comme Dieu l’a dit? Je veux vous inviter de nouveau à prier pour les prêtres. Je vous ai dit il y a quelque temps: "Ne priez plus pour les prêtres", mais l’Eglise va à la ruine. Priez la Mère de l’Eucharistie, Marie, Aide des Chrétiens, Notre-Dame de Lourdes et Notre Dame de Fatima, c’est toujours moi, mais invoquez-les toujours,

Marisella les invoque chaque nuit et prie pour vous, en particulier pour ceux qui ne vont pas bien, et prend parfois sur elle les douleurs des autres afin de les aider. Vous devez en faire autant; ceci est amour. Quand un frère a besoin d’aide, aidez-le. Je suis venue également pour vous dire de recommencer à prier pour les prêtres. Tout ce qui se passe dans le monde et dans l’Eglise est si triste et affreux; et ce sont toujours les bons qui trinquent. Cette triste situation prendra fin et tout changera. Jésus a dit que tout changera et que l’Eglise se renouvellera, mais il faut des hommes qui prient, souffrent et du temps. J’adresse mes voeux à vous tous ici présents, portez-les aussi à vos compagnons.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisella, me remontres-tu ce jeu parce que ta maman est là aussi?

Marisa - Celui-ci?

La Madone - Oui, pour te faire comprendre qu’il Nous plaît aussi.

Marisa - Regarde, Maman … (Marisa montre le jeu). Ce sont toi et moi, nous sommes unies et quand nous sommes séparées, parce que tu es au Paradis, nous pleurons.

La Madone - Merci, Marisella. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Comme ils sont nombreux derrière la Madone!

Je ne grandirai jamais, pas vrai? Je suis toujours une petite fille. L’Evêque me l’a dit. Adieu. Aide-nous tous, je t’en prie, et aide qui tu sais et que je te recommande toujours.

Rome, le 25 mai 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est aujourd'hui aussi un beau jour pour vous, parce que la Maman est ici présente avec vous.

Je dois vous adresser un petit reproche: quand vous récitez le Saint Rosaire et êtes en train de dire le Notre Père ou le Je vous Salue Marie ou le Gloire à Dieu, vous ne devez pas vous interrompre pour chanter le Magnificat, vous devez d’abord terminer la prière. Même si vous entonnez le cantique à 20h31, c’est pareil. On ne peut interrompre une prière aussi grande, aussi sublime, pour chanter le Magnificat. Vous l’avez fait d’autres fois et je n’ai rien dit, mais aujourd'hui je dois vous le dire: terminez la prière, puis entonnez le Magnificat. Vous ne devez pas avoir peur, personne ne peut vous réprimander pour cela.

Je suis heureuse de voir le petit Mauro, qui sera confirmé dimanche. Priez pour cet enfant, même si vous n'êtes pas nombreux, il est préparé, bon et fréquente toujours le lieu thaumaturgique.

Je vous invite à prier pour tout ce qui se passe et que vous lisez dans les journaux; c’est une situation fort triste, douloureuse, qui Nous fait souffrir, Nous du Paradis et vous de la Terre. Je vous ai souvent dit, petit cénacle, que vous étiez meilleurs qu’un grand nombre de grands groupes qui courent là où il y a foule et où quelqu’un d'important est présent. Vous êtes ici pour prier Dieu le Père qui aide tous les hommes. Je vous remercie de vos prières pour les autres, mais surtout de celles que vous avez dites pour Marisella. Elle va mieux depuis trois jours grâce à vous, l’Evêque vous dira tout après. Quand vous priez, quand vous offrez à Dieu vos intentions de prière avec amour, sacrifice, pénitence, les grâces arrivent. Combien de vous ont reçu la grâce de se porter mieux ou de guérir? Remerciez Dieu, surtout Lui, le Grand, le Créateur du Ciel et de la Terre; remerciez le Dieu Papa, le Dieu frère, le Dieu ami et époux.

Merci. Chers enfants, ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Je bénis ceux qui sont loin, qui ont dû partir pour diverses raisons.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Dieu vous bénit. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu.

Rome, le 27 mai 2007 -10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Vous célébrez aujourd'hui un triple anniversaire: la fête de la Pentecôte, le grand miracle eucharistique et la confirmation de Mauro qui va devenir soldat du Christ. Ces trois célébrations anniversaires doivent vous inciter à prier et à aider Mauro pour qu’il poursuive ce chemin avec sérénité, loyauté et justice. Nous du Ciel, cher Mauro, nous t’adressons tous nos voeux. Tu es maintenant l’un d’entre nous, tu es soldat du Christ et moi, la Maman de Jésus, je t’adresse mes voeux les plus grands, les plus beaux et les plus forts ainsi qu'à tes parents et à tout le cénacle réuni ici.

Priez aujourd'hui le Saint Esprit afin qu’il descende sur chacun de vous et vous donne les grâces dont vous avez tous besoin. Commémorez le grand miracle eucharistique, lorsque le sang s'est écoulé de l'hostie venant d'être consacrée par l’Evêque, qui n’a pas été accepté par les hommes puissants de l’Eglise. Vous aimez, vous avez toujours aimé Jésus Eucharistie et cru aux miracles eucharistiques. Priez le Saint Esprit, afin que ces grands hommes comprennent le grand miracle accompli dans ce lieu que Dieu a rendu thaumaturgique. Tous ne comprennent malheureusement pas l’importance de ce lieu! Voyez comme cette basilique est belle; elle n’a ni mur, ni piliers, et fait quand même bonne figure. On en prend soin avec beaucoup d’amour, même si parfois certains ronchonnent un peu parce qu’ils ne sont pas nombreux à s'en occuper. Mais préparez avec amour ce lieu si cher au Dieu Papa, à Jésus, à l’Esprit Saint et à moi, la Mère de l’Eucharistie.

Je vous rappelle encore une fois de prier pour cet enfant et pour chacun de vous. Célébrez de votre mieux la descente du Saint Esprit sur les apôtres et la Madone, le miracle eucharistique et la confirmation de Mauro. Priez et aimez, sont des paroles que je répète souvent. N'oubliez pas quand Jésus a dit: "Apprenez à aimer et puis priez"? Il est inutile de prier si vous ne savez pas aimer, mais je sais que vous réussissez à prier et à aimer.

Tous mes voeux, Mauro, tous mes voeux à tous. Dieu vous protège du Haut des Cieux.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, tous les petits enfants qui jouent en ce moment et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur on coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, adieu. Ils sont tous partis.

Rome, le 31 mai 2007 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ.

Mes chers enfants, c’est aujourd'hui le dernier jour du mois de mai qui n’a malheureusement pas vu beaucoup d’affluence comme autrefois. Je sais que la fatigue est grande, qu’il y a eu beaucoup de fêtes, que plusieurs mariages et une confirmation ont été célébrés et que tout cela vous a pris beaucoup de temps. Mais vous avez bien oeuvré, tout était très beau et nous a procuré de la joie à Nous du Paradis comme à vous de la Terre, l’Evêque a été très heureux de la façon dont vous avez tout préparé.

Quand je suis allée rendre visite à ma cousine Elisabeth, l'enfant qu’elle attendait a tressailli dans son sein. Elle s'est rendue compte comme moi que les deux enfants se parlaient; ce dont nous nous sommes réjouies. Je vous invite à prier pour les couples qui attendent un enfant et qu’ils puissent finalement avoir la joie de le serrer dans leurs bras.

Comme le mois dédié à la Mère de l’Eucharistie, donc à moi, est beau! Cela me fait de la peine qu’il n'est pas été suivi comme toutes les autres années. La santé de Marisella et d’autres problèmes vous ont malheureusement empêché de le fêter comme vous le vouliez, mais je sais que vous avez beaucoup prié.

J'écoute vos prières, surtout quand vous demandez des grâces. Vous savez que les grâces arrivent tôt ou tard, en particulier pour les jeunes. Plusieurs personnes âgées ont reçu des grâces, c’est maintenant le tour de quelqu’un qui attend depuis longtemps.

Marisa - Est-ce lui?

La Madone - Je sais pour quel jeune vous avez tant prié et même fait la neuvaine à grand-mère Iolanda. Pensez-vous que toutes ces prières n’atteignent pas le coeur de Dieu? Vous ne pouvez pas comprendre totalement qui est Dieu et ce qu’il peut faire. Dieu peut faire tout ce qu’il veut pour tous. Toutes les grâces ne peuvent arriver, il y a tant de malades physiques et spirituels, mais la grâce spirituelle ou physique est accordée à beaucoup. C’est pourquoi vous ne devez jamais vous lasser de prier.

Marisa - Petite Madone, je veux te remercier parce que ce matin j’ai réussi à aller mieux, j'étais si mal et tu m’as aidée à en sortir. La journée d’aujourd'hui a été tranquille comme les derniers jours avant que n’arrive ce que tu sais.

La Madone - Marisella, je connais ta sensibilité. Tu souffres pour chaque personne même si tu ne la connais pas, même si tu entends seulement parler d’elle. Tu as une longue liste de malades pour lesquels tu pries.

Je suis allée voir aujourd'hui les évêques et les prêtres que tu as ordonnés, Excellence, en bilocation; ils sont nombreux. Ils étaient tous heureux, rayonnants et lumineux. Ils chantaient, glorifiaient Dieu et priaient pour toi. Quand l'heure viendra, tu les reverras et tu réaliseras ce que tu as fait de beau et de grand.

Souviens-toi que je suis toujours à tes côtés.

Mes chers enfants, le mois dédié à mon Fils Jésus commence à présent, essayez de faire un peu plus que ce que vous avez fait pour moi. Jésus vous aime et vous est proche. Prenez le chapelet dans vos mains et dites sur chaque grain: " Coeur Sacré de Jésus, j’ai confiance en Toi " et "Coeur Immaculé de Marie, sauve ton peuple". Après avoir répété dix fois ces deux prières jaculatoires, récitez le Gloire au Père " et faites le suivre de deux autres prières jaculatoires: "Doux Coeur de Jésus, fais que je t’aime toujours plus. Doux Coeur de Marie, soit le salut de mon âme". Vous devez beaucoup prier pour sauver les nations, parce qu’il se passe partout quelque chose de terrible. Priez et ne soyez pas horrifiés. En ce dernier jour du mois de mai, priez encore, avant de vous endormir, la Mère de l’Eucharistie, Notre Dame de Lourdes, Notre Dame de Fatima. Vous invoquez la Madone avec tous ses titres, laissez ces titres: Notre Dame du Siège, Notre Dame de la Ceinture et d’autres encore. Invoquez la Mère de l’Eucharistie et je serai toujours avec vous.

J'étais là dimanche quand le petit Mauro a reçu le sacrement de confirmation et avec mon manteau je l’ai étreint avec Marisella, j’ai toujours été avec eux. Vous avez fait une belle cérémonie, une grande fête, parce que vous avez tout préparé de votre mieux. Vous avez célébré la fête de la Pentecôte, l’anniversaire du miracle eucharistique et la confirmation de Mauro. Je suis toujours avec vous quand vous priez, et parfois également mon époux bien aimé Joseph et grand-mère Iolanda qui donne beaucoup de grâces même à ceux qui ne l’ont pas connue.

Marisa - Petite Madone, je t’en prie de tout mon coeur, pense à celui que je t’ai recommandé. La nuit quand je me réveille. je pense à lui et prie pour lui. Aide-nous, parce que nous avons tous besoin de toi. Merci. Me fais-tu aller un tout petit peu mieux?

La Madone - Ensemble avec mon et votre saint évêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. J'étends ma bénédiction aux petits enfants qui ne sont pas présents et surtout aux malades et à ceux qui souffrent.

Marisa - Je t’en prie, je t’en prie, je t’en prie, pense à ce que je t’ai dit.

Messages de Juin 2007

Rome, le 1er juin 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Aujourd'hui, 1er juin, c’est votre Jésus qui vous parle. Je suis venu pour vous, parce que vous le méritez ainsi qu’autre chose.

Mes chers enfants, combien de fois ne vous ai-je pas dit lorsque que j'étais parmi vous, que Dieu accorde des grâces, mais on ne sait ni quand ni comment? Combien de grâces ont été données aux malades? Je suis votre Jésus et l'époux de Marisella.

Marisa - Ne le dis pas devant tout le monde.

Jésus - Marisella est une âme que Dieu a appelée depuis son âge le plus tendre, c’est une âme qui a beaucoup prié et souffert pour tous, même pour ceux qui ne viennent plus, et surtout pour les petits enfants. Elle a deux petits-neveux auxquels elle est très attachée, mais elle prie aussi beaucoup pour chacun de vous. Quand je viens la voir, et qu’elle est seule ou avec l’Evêque, elle m'écoute, puis elle me dit: "Jésus, je vois tous ceux qui me connaissent devant toi". Je lui dis qu’ils ont fait preuve de beaucoup de courage en continuant à venir dans ce lieu thaumaturgique, si éprouvé, si combattu et calomnié. Moi, Jésus, je viens ici, la Mère de l’Eucharistie y vient souvent, et d’autres saints y viennent pour vous aider.

Demandez: "Jésus, est-ce que tu m’aides?" Oui, je vous aide selon vos besoins.

J’aimerais que ce mois, dédié à mon Coeur, soit plein de prières, de sacrifices, de privations et d’amour envers tous, en particulier envers les malades et ceux qui sont loin de Nous et de l’Eglise, ainsi que ceux qui se conduisent mal; priez pour tous.

Oui, Marisella, pour eux aussi.

Marisa - Jésus, pourrais-tu nous prêter main-forte pour aider tous ceux qui sont ici présents?

Jésus - Oui. Je suis votre Jésus, Celui qui est né, a vécu, est mort et ressuscité pour vous ouvrir le Paradis. Oh, le Paradis est plein de saints! Grâce à une personne (note de la rédaction: Marisella) qui a beaucoup souffert, beaucoup d'hommes et de femmes sont entrés au Paradis.

Je suis toujours présent, même lorsque je ne me manifeste pas pendant l’apparition de la Mère de l’Eucharistie, je suis présent pendant la Sainte Messe célébrée par l’Evêque ordonné par Dieu. Quand l’Evêque procède à la consécration, Je suis en lui et il est en Moi. Je vous regarde, je vous souris et je suis devant vous. Je suis le Fils de Dieu, la Deuxième Personne de la Très Sainte Trinité. Ainsi que la Mère de l’Eucharistie, ma Maman, l’a dit: Je vous aime tous bons et mauvais.

Courage, demandez toujours des grâces, demandez toujours de l’aide; vous savez à qui vous devez vous adresser. Moi, Jésus, je ferai qu’il parvienne à tous.

Marisa - Regarde moi? Je vais bien maintenant.

Jésus - C’est bon. Mes chers enfants, je dois vous laisser. Vous savez que Marie, Mère de l’Eucharistie, les anges et les saints au Paradis doivent chanter, réciter des psaumes et prier à genoux devant Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et Moi, Dieu le Fils.

Merci de votre présence. Ensemble avec mon saint Evêque, ordonné par Dieu, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Comme le dit la Maman, Je vous serre tous sur mon coeur. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Tous mes voeux à tous, mes chers enfants.

Excellence, tu peux répondre: et loué dans les siècles des siècles.

Marisa - Adieu, Jésus, tu n’as amené personne avec toi? C’est bon. Tu te souviens de ce que je t’ai dit en premier en silence?

C’est bon, adieu. L'époux doit faire des cadeaux à son épouse et je te demande une grâce pour une personne, c’est le cadeau que je désire; je ne te demande pas d’argent.

Adieu, Jésus, adieu.

Il est parti.

Rome, le 2 juin 2007 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui le premier samedi du mois de juin et la Maman est de nouveau ici avec vous. Mon Fils Jésus est venu hier et vous a donné beaucoup de bons conseils; mettrez-les vous en pratique? Quand nous vous communiquons les messages de Dieu, réussissez-vous à mettre en pratique ce que Dieu dit? C’est si beau d'écouter Dieu quand il vous envoie ses messages que d’autres personnes viennent ensuite également à connaître. Beaucoup lisent les messages de Dieu, même les prêtres qui disent ne pas y croire et ne pas vouloir venir dans ce lieu; en réalité ils montrent beaucoup d'intérêt à les connaître.

Je suis la Mère de Dieu, la Mère de l’Eucharistie, l'épouse du Saint Esprit. Vous aussi, comme je vous l’ai déjà dit, apprenez à invoquer souvent le Saint Esprit, chantez un cantique à l’Esprit Saint. Ceux qui se marient doivent se souvenir d'invoquer le Saint Esprit, parce que la Troisième Personne divine est avec chacun de vous, elle sait vous aider et vous donner beaucoup de joie et de paix. L’Esprit Saint est prêt à aider tous ceux qui ont besoin d’aide. Votre soeur prie souvent pour tous, spécialement pour les malades et d'une façon particulière pour ceux de la communauté, que ce soit des adultes, des jeunes ou des enfants, et l’Esprit Saint l'écoute et vient en aide. Quand vous priez le Saint Esprit, baissez la tête et dites: "Viens, Esprit Saint, Esprit d’amour, éclaire moi, enflamme mon coeur, fortifie ma volonté ". Vous avez tous besoin de l’aide du Saint Esprit.

Mes chers enfants, votre Maman vient vers vous avec beaucoup de joie, mais malheureusement ceux qui viennent le premier samedi du mois sont moins nombreux qu’avant; mais cela ne fait rien. Dieu saura comment récompenser ceux qui sont présents et ceux qui se sont éloignés. Vous ne devez jamais juger ou critiquer, mais prier pour ceux qui se sont éloignés. Priez aussi pour ceux qui ne peuvent venir pour des raisons familiales.

Merci, mes chers enfants, la Maman est heureuse de l’amour que vous montrez en nettoyant, décorant et préparant la Basilique de la Mère de l’Eucharistie et la petite chapelle que votre soeur aime tant et dont elle ne peut plus jouir aujourd'hui. Soyez toujours prêts à donner votre aide: certains pourraient aider mais ne le font pas. Donner la main une fois par semaine n'est pas un grand sacrifice. Que ce ne soit pas toujours les mêmes qui aient la tâche de nettoyer, eux aussi sont fatigués, eux aussi ont une famille. Il y en a qui pourraient venir aider, mais ne le font pas et quand ils participent à de belles cérémonies, ils s’installent tranquillement et trouvent tout prêt, beau et propre. Non au contraire, donnez la main une fois par semaine, faites des tours, ne vous fatiguez pas et Dieu Papa sera content de tous.

Merci de bien vouloir mettre en pratique tout ce que je vous ai dit: aider ceux qui travaillent dans cette maison de Dieu.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, les malades et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Elle est partie.

Rome, le 3 juin 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Je suis venue vous dire bonjour et vous souhaiter une bonne fête. Les Trois Jésus entrent maintenant.

Marisa - Jésus Dieu, Jésus Eucharistie, Jésus Esprit Saint.

Jésus - Moi, Jésus, je suis venu avec les deux autres Jésus pour vous adresser mes voeux. Priez le Saint Esprit, priez la Très Sainte Trinité, Nous sommes toujours avec vous. La Mère de l’Eucharistie, Saint Joseph et grand-mère Iolanda sont avec vous. Nous cherchons par tous les moyens à vous aider et à vous donner les grâces que vous désirez tant.

Nous, la Très Sainte Trinité, le Père, le Fils et le Saint Esprit, nous sommes venus dans ce petit lieu thaumaturgique où il y a un petit cénacle, mais un cénacle où l’amour règne.

Je vous invite à prier, même si la pluie menace sur vos têtes; priez, ne vous lassez jamais de prier. Chantez, louez le Saint Esprit, la Très Sainte Trinité.

La Madone - Je suis votre Maman et je suis revenue pour vous bénir. Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous les enfants et les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

Rome, le 8 juin 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est avec une grande joie que je viens ici pour rester avec vous pendant la Sainte Messe et la rencontre biblique. Je vous demande seulement de prier beaucoup pour tout ce qui se passe dans le monde, dont la télévision et les journaux ont parlé en long et en large; même trop parlé. Priez afin que tout s’apaise et que l’Eglise soit renouvelée et redevienne comme dans les premiers temps. Les apôtres se rendaient dans les villes et les villages pour y prêcher le Saint Evangile et aider les autres. Ils aimaient vraiment. Aujourd'hui les hommes d'église ne savent pas aimer et la situation est très difficile. Vous qui avez rencontré difficultés et opposition pour venir en ce lieu, ne vous en éloignez pas; venez, priez et restez en compagnie de Jésus Eucharistie.

Bon nombre de vous ont vu les miracles eucharistiques avec l'effusion de sang et devraient avoir compris maintenant combien il est important de venir dans ce lieu thaumaturgique.

Mes chers enfants, cela fait longtemps que je vous dis de prier et non de souffrir pour les hommes d’eglise. Vous faites l’adoration du Saint Sacrement et je vous en remercie. Malheureusement, ceux qui viennent prier dans ce lieu thaumaturgique ne sont pas nombreux, mais j’attends patiemment qu’ils y viennent et se convertissent. C’est le mois du Sacré Coeur de Jésus, priez mon cher Jésus, votre Jésus, priez le beaucoup. Répétez souvent "Coeur Sacré de Jésus j’ai confiance en toi". Cette prière jaculatoire est si courte et vous pouvez la dire n'importe où et n'importe quand. Je vous remercie de bien vouloir mettre en pratique tout ce que je vous ai dit, c’est-à-dire prier et venir dans ce lieu thaumaturgique avec joie, ferveur et beaucoup d’amour.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Rome, le 10 juin 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui la grande fête de mon Fils Jésus, de Son Corps et de son Sang que vous recevez dans la Sainte Communion. C’est si beau de faire triompher Jésus, d'être à Ses côtés et de Le recevoir chaque fois que vous le pouvez. Quand vous ne pouvez pas aller recevoir Jésus, faites la communion spirituelle, dites: "Mon Jésus, je t’aime, je te désire ardemment dans mon coeur " et Jésus viendra dans votre coeur. Je le sais, je suis sa Maman et je peux vous assurer que Jésus viendra en vous. C’est aujourd'hui une très grande fête. Bien que vous soyez peu nombreux, vous décorez merveilleusement notre petite Basilique avec des fleurs, des ornements et des symboles caractéristiques.

Jeudi dernier, lors de la procession eucharistique diocésaine, moi, la Maman de Jésus, j’ai eu très mal de voir que ceux qui étaient présents n'ont même pas dit de petite prière lorsque Jésus est passé, et juste après lorsque le pape est passé, de les voir battre des mains et crier: "Vive le pape" . Et Jésus? Jésus qui est le Chef de tous, le prêtre Suprême et Eternel, qui nous a donné Son Corps et Son Sang, ne compte-il pour rien? Les hommes doivent faire triompher Jésus Eucharistie, l’adorer, l’aimer, le prier. C’est ce que doivent enseigner le Pape, les évêques et les prêtres.

Votre procession a été simple, mais belle. Vous étiez unis dans la prière et louange à Jésus, qui a toujours été avec vous comme en ce moment où il vient de revenir.

Marisa - Jésus, tu es revenu? Puis-je te demander pardon pour ceux qui n'ont pas encore compris l’importance de l’Eucharistie? Ce n'est pas leur faute, mais celle des prêtres qui n'enseignent pas à aimer et adorer Jésus Eucharistie. Ils s’agenouillent devant le Pape, applaudissent le Pape, et toi, Jésus, qui es présent, tu regardes et souffres.

Jésus - Comment se fait-il qu’après tant de siècles les chrétiens ne me connaissent pas encore? Vous par contre, grâce à votre saint Evêque, vous avez appris à me connaître et à m’aimer. Mettez en pratique les enseignements de l’Evêque, ne les abandonnez jamais. Je suis le Christ, je suis Jésus Eucharistie et la Madone est la Mère de l’Eucharistie.

Réjouissez-vous, mes enfants, réjouissez-vous toujours même si vous souffrez, parce que les souffrances ne vous feront jamais défaut tant que vous vivrez sur cette planète Terre. Certains souffrent beaucoup, d’autres moins, mais tous doivent passer par le tunnel de la souffrance.

Je vous remercie de votre présence, je vous remercie de la beauté que vous avez donnée à cette petite basilique, Mère de l’Eucharistie. Je remercie tous ceux qui ont participé aux préparatifs l’un d'une manière, et l’autre d'une autre. Ensemble avec mon saint Evêque, je désire vous bénir: au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu. Comme tu es beau, mon Dieu.

Il est parti, il était beau, si beau.

Rome, le 15 juin 2007 - 20h30 (Lettre de Dieu)

Jésus - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est votre Jésus qui vous parle. C’est aujourd'hui la Fête du Sacré Coeur de Jésus, c’est ma fête. J’ai entendu beaucoup de personne prier; malheureusement tous ne se souviennent pas que c’est aujourd'hui la fête du Sacré Coeur de Jésus. Mon amour est si grand que je veux rester avec vous et vous donner les grâces dont vous avez besoin.

Priez avec insistance Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit, afin qu’ils vous accordent les grâces dont vous avez tous besoin.

Je viens parmi vous et ne vous vole pas la Maman, soyez tranquilles. C’est aujourd'hui ma fête et demain c’est la fête de la Maman, du Coeur Immaculé de Marie. Je suis fêté aujourd'hui par votre petit cénacle, l’Evêque et mon épouse bien-aimée.

Marisa - Oui, je suis ton épouse.

Jésus - La prière doit vous aider à tout accepter. Vous savez à présent que beaucoup de prêtres ne sont pas comme il faut, même ceux qui pratiquent des exorcismes. Les exorcistes profitent de leur tâche pour faire ce qu’ils veulent; ils disent du mal et agissent mal. Il y a des prêtres exorcistes qui sont possédés par le démon. Vous ne devez pas vous effrayer; si vous êtes avec Moi, Je suis avec vous; si vous m’aimez, Je vous aime. Je vous dis: "Courage, n'écoutez pas ces personnes". Vous savez tous que beaucoup de prêtres ne vivent pas en état de grâce; certains pour une raison et d’autres pour une autre. J'invite ceux qui partent en vacances à ne pas parler des prêtres et des parents qui les ont fait souffrir, mais à vous distraire, sourire, parler de Jésus, de la Mère de l’Eucharistie et des saints; laissez tout le reste, Dieu le Père y pensera.

Vous m’avez adressé vos voeux et Je vous adresse les miens. Voyez-vous que vous êtes peu nombreux? Combien de fois la Maman ne vous a-t-elle pas dit que vous étiez peu nombreux, mais en grande union avec Dieu? Là où il y a de grands groupes, des exorcistes, il n'y a pas d’amour. L'exorciste qui profite de sa charge pour dire du mal des autres, n’a ni la charité, ni l’amour.

Tous mes voeux. Je vous salue tous.

Chère Marisella, courage. Sois forte, ma fille, je vois que les souffrances ne te manquent pas.

L’Evêque - Enlève-lui un peu de souffrances.

Jésus - J’ai entendu, Excellence. Marisella, je te prie d'être toujours forte, toujours, toujours.

Mes chers enfants, je ne vous ai pas dit beaucoup de choses, mais des paroles saintes, parce que je veux vous conduire à la sainteté. Je vous bénis ensemble avec mon saint Evêque.

Je veux vous conduire tous au Paradis, sans passer par le Purgatoire.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu, mon époux. Tu as une épouse disloquée.

L’Evêque - Il est parti?

Marisa - Oui.

Rome, le 16 juin 2007 - 18h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est aujourd'hui la fête du Coeur Immaculé de Marie, et peu le savent. Quelques unes de mes fêtes sont malheureusement oubliées et si quelqu’un ne les rappelle pas, elles ne sont pas célébrées. Quand il y a fête, on se réunit pour prier; il est si nécessaire de prier. Même s’il n'y avait eu que deux personnes pour m’accueillir, je serais venue quand même. Après tant d’années de mes apparitions dans ce lieu, vous ne vous souvenez toujours pas des fêtes, et ceci me chagrine. s’il n'y avait pas le pauvre Evêque pour les rappeler, en fait vous ne viendriez pas.

Quand j’ai parlé de la conversion de la Russie au Coeur Immaculé de Parie, j’ai dit cette phrase: "Non seulement la Russie doit être consacrée au Coeur Immaculé de Marie, mais le monde entier". Vous l’avez fait, mais qui s'en est souvenu? Ce sont toujours les mêmes qui viennent, aiment et prient. Mais ils ne rappellent pas aux autres de venir; cela ne coûte pas beaucoup de dire: "Te souviens-tu que c’est demain la fête au Coeur Immaculé de Marie?". Cela suffit.

Je vois deux personnes devant moi qui sont très fatiguées (note de la rédaction l’Evêque et la Voyante). Même s’ils ont sommeil, ils sont prêts à m'écouter et à m’aider, parce que nous du Paradis, nous avons également besoin de prières quand nous descendons sur la Terre. Quelqu’un sommeille un petit peu, mais s'efforce de garder les yeux ouverts et à écouter.

Marisa - Ecoute, petite Madone, je t'écoute très volontiers, mais ce serait mieux que tu améliores un peu ma voix, parce qu’elle ne me plaît pas. Dis à Dieu qu’il change ma voix. Ce serait mieux qu’il me la rende, parce que je pourrais ainsi mieux le louer. Ce n'est pas possible avec cette voix.

La Madone - Oui, je sais, Marisella, que tu tiens beaucoup à ta voix, parce que tu aimes beaucoup chanter les louanges à Dieu. Je l’ai remarqué quand tu es montée au Paradis et que tu chantais, chantais. Tout t’a été retiré maintenant, mais quand tu seras au Paradis tu récupèreras tout pour toujours et tu seras heureuse.

Marisa - Excuse moi, petite Madone, mais ne pourrais-je pas avoir aussi quelque chose sur la Terre? Ecoute, j’ai une voix affreuse, qui ne me plaît pas, j’aimerais chanter, louer Dieu comme tous.

La Madone - Oui, oui, mais sois calme maintenant, ne t’agite pas, parce que tu vas te sentir mal après. Je sais que tu parles ainsi, parce que c’est ta façon de t’exprimer. Tu es une enfant qui désire tout dire à la Maman. Tu me dis tout et je suis avec toi et je t’aide. As-tu vu combien tu as été aidée aujourd'hui?

Marisa - Oui, mais pas cette nuit parce qu'à cinq heures j'étais encore éveillée. La maman est venue néanmoins. De toute façon ce sont des choses qui nous concernent, petite Madone, nous en parlerons après.

La Madone - Oui, c’est vrai. Vous êtes un petit troupeau, tout petit, et de temps à autre il se réduit encore plus. La Maman vous remercie d'être présents et de prier. C’est si beau de se réunir au nom de Jésus et de Marie pour prier pour de nombreuses intentions.

"Coeur Immaculé de Marie sauve ton peuple, sauve le monde entier"; répétez souvent cette prière jaculatoire. Quelqu’un (note de la rédaction: Marisella) récite deux chapelets de prières jaculatoires et le Saint Rosaire et y ajoute ensuite le nom de tous les malades et d’autres personnes. Quand vous vous couchez, vous ressentez la fatigue, mais pour certaines choses vous n'êtes pas fatigués, pourquoi?

Marisa - Excuse-moi, petite Madone, quelles choses?

La Madone - Marisella, ne fais pas la sotte, cela je ne dois pas le dire.

Marisa - C’est bon. Tu nous aides tous, tant que nous sommes, petits et grands, à prier, à être près de toi, de Jésus, à recevoir la Sainte Communion, Jésus Eucharistie dans notre coeur et à avancer? Je te dirai quelque chose après quand nous serons seules toi et moi.

La Madone - Tu peux le dire aussi maintenant.

Marisa - Non, pas maintenant.

La Madone - C’est bon, mes chers enfants, la Maman vous remercie et vous demande de toujours prier. Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, enfants, petits-enfants et tous ceux qui aiment. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu.

Rome, le 17 juin 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

C’est mon devoir de Maman de venir quand et où vous êtes réunis, même si vous n'êtes qu’un petit groupe. Je ne vais pas là où beaucoup se réunissent, où l’on célèbre des fêtes, mais où on ne sait pas aimer. Jésus aime les fêtes célébrées avec le coeur, la charité et l’amour. Je suis ici, parce que je veux vous conduire à la charité totale, à l’amour, à la joie et ainsi que l’a dit Jésus, je veux vous conduire tous au Paradis. Quand l'heure de notre Soeur la Mort arrivera, vous devrez être tous en état de grâce et je vous emporterai au Paradis.

Mes chers enfants, pensez à la Madeleine repentante qui a lavé les pieds de Jésus. Cette nuit, Jésus a lavé les pieds et les jambes de votre soeur, parce qu’elle souffrait beaucoup. Elle avait des douleurs atroces et Jésus s'est penché sur elle et lui a lavé les pieds et les jambes. Mon Fils Jésus est plein de charité, Jésus est amour. Jésus, Saint Joseph et moi aidons Marisella avec beaucoup d’amour, parce qu’elle souffre terriblement depuis des années. Jésus s'est penché sur elle, lui a lavé et massé les jambes et les pieds, puis l’a tournée un petit peu sur le côté pour qu’elle puisse mieux se reposer. Elle n’a pas beaucoup dormi. Mais ce peu lui a suffi pour rêver du Paradis. Vous aussi, quand vous êtes parfois triste ou souffrez, pensez à cette scène, pensez à Jésus qui peut être proche de vous et vous aider à apaiser vos douleurs et vous endormir.

Oh, comme cette scène est belle, ce n'est pas celle de la Madeleine repentante, parce qu’elle a lavé les pieds de Jésus, ici il y a Jésus, Notre Seigneur, qui a lavé les pieds votre soeur et l’a aidée à dormir. Elle passe, beaucoup de nuits blanches, mais le jour elle est heureuse, souriante, plaisante et rit avec ceux de la maison et ce n'est pas facile, croyez-moi. Vous aussi, quand vous avez des souffrances, ne faites pas la tête, mais soyez joyeux, inventez quelque chose pour rire et sourire avec les autres; certains le font et j’en suis heureuse.

Je ne veux pas m’attarder plus longtemps, parce que je veux que vous écoutiez bien la Sainte Messe. Je vous ai dit bien des fois, écoutez-la comme si c'était la dernière de votre vie. Participez de tout votre coeur à la Sainte Messe. Toi, mon cher Evêque, célèbre la comme si c'était la dernière de ta vie, mais tu en auras encore bien d’autres à célébrer.

Mes chers enfants, je vous adresse mes voeux et vous étreins tous, petits et grands, afin que vous fassiez ce que Jésus vous a demandé: amour et sensibilité envers tous.

Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, vos objets sacrés, tous les petits enfants et surtout les malades. l’une d’entre vous a reçu une grâce, mais il faut continuer à prier; je suis avec elle. Je bénis également ceux qui se sont éloignés du lieu thaumaturgique, parce que les prêtres les en ont détournés et envoyés ailleurs. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Merci, Chiara, pour ce que tu fais pour mes deux enfants. Dieu te bénit.

Marisa - Adieu. Elle est partie.

Rome, le 24 juin 2007 - 10h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

La Maman est ici avec vous pour vous donner joie et sérénité. Combien de fois vous ai-je dit: "Aimez-vous, respectez-vous les uns les autres"? Combien de fois vous ai-je dis que l’amour vainc tout et vous conduit au Paradis?

Moi, la Mère de l’Eucharistie, quand je vivais sur la Terre, j’ai toujours aimé tous les hommes, même ceux qui m'ont fait souffrir. Quand je suis montée au Ciel où règne l’amour, ceux qui étaient déjà au Paradis se sont approchés de moi et ont commencé à chanter, à glorifier Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Vous aussi, professez l’amour avec un grand "A". L’amour est charité, sensibilité, disponibilité envers tous ceux qui en ont besoin. L’amour vainc tout.

Faites la neuvaine pour le 29 juin, fête de votre Evêque et fête de Pierre et Paul. Ce sont trois êtres remplis d’amour et de charité, deux d’entre eux sont déjà au Paradis depuis longtemps; votre Evêque est encore avec vous. Priez pour lui, priez pour chacun de vous. Rivalisez à qui priera le plus pour les autres et aimez-vous.

Tous mes voeux à vous deux (note de la rédaction: Deux de nos jeunes qui ont appris qu’ils attendaient un enfant).

Marisa - Je suis heureuse, nous espérons que tout se réalisera comme Dieu en a décidé.

La Madone - Merci de l’aide que vous donnez à mes deux enfants. Que dois-je te dire, Marisella? Ta souffrance est si, si, si grande. On a tant besoin de ton immolation. Tu es aidée et tu as des personnes qui t’aiment autour de toi. N'est-ce pas, Excellence? Toi aussi, tu souffres beaucoup pour ta soeur, mais tu reçois l’aide de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Vous, petit cénacle, vous avez toujours mon aide et vous jouissez encore de ma présence parmi vous.

Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, enfants, petits-enfants, et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Adieu. Je t’en prie, reste près de chacun de nous.

Rome, le 29 juin 2007 - 11h00 (Lettre de Dieu)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Moi, la Mère de l’Eucharistie, je suis venue avec Pierre et Paul, les deux grands apôtres, les deux grands amis de Jésus. Pierre, même s’il a par peur nié connaître Jésus, a éprouvé ensuite un tel repentir que Dieu l’a nommé premier Pape de l’Eglise. Paul a gravement persécuté les chrétiens, puis s'est converti, parce que Dieu l’a appelé à être son apôtre. Mes chers enfants, il n'est pas difficile de se convertir, parce qu’il suffit de faire la volonté de Dieu et de progresser toujours avec générosité, charité, patience et toutes les vertus qui sont utiles pour entrer au Paradis.

C’est une grande fête aujourd'hui à Rome, parce que les deux apôtres sont morts à Rome et la cité les fête comme ses protecteurs. Tout Rome les célèbre, mais les deux apôtres sont ici avec vous pour vénérer notre Evêque.

Qui sait s’il n'y aura pas un second Pierre!

Vous devez seulement aimer et prier pour tous, en particulier pour les malades, les petits enfants et le Tiers et le Quart Monde, où il y a tant de souffrance. Priez beaucoup pour votre Evêque qui prie énormément pour vous. Mons. Claudio Gatti est l’Evêque le plus grand et le plus important du monde, parce qu’il a été ordonné par Dieu et non par d’autres évêques ou le Pape. Il souffre beaucoup à cause de la méchanceté des hommes, c’est pourquoi la Maman vous dit: "Priez beaucoup pour lui et je prierai pour vous et serai toujours avec vous".

Je sais que vous attendez que beaucoup de personnes viennent dans le lieu thaumaturgique. Nous disons : "Peu de personnes, mais saintes", et votre Evêque répond: "Beaucoup de personnes et saintes". Il est très difficile que cela arrive actuellement, parce que vous avez un … qui ne pense qu’au pouvoir et à faire de belles déclarations que Dieu n’accepte ni n’apprécie. Il a été présenté comme l’ami de Dieu. Qui est l’ami de Dieu? Celui qui fait la volonté de Dieu et qui aime.

Moi, la Mère de l’Eucharistie, j’adresse mes voeux à mon et votre Evêque. Il accuse une grande, très grande fatigue, nous espérons que Dieu lui donnera la force de partir en vacances pour se reposer un petit peu. Vous êtes tous fatigués, petits et grands, mais l'épuisement de votre Evêque est immense. Soyez plus éveillés, réveillez-vous de ce long sommeil, soyez toujours prêts à aider l’Evêque comme le faisaient les apôtres, qui étaient toujours prêts à aider Jésus et à converser avec Lui. Faites de même avec l’Evêque. Vous avez beaucoup reçu: travail, famille, maison; les apôtres n’avaient rien, ils allaient se reposer dans les maisons des autres. Vous, aujourd'hui en 2007, vous avez tout, vous ne manquez de rien.

Je vous demande encore une fois de prier pour votre Evêque et tous les membres de ce petit cénacle. Merci.

Saint Pierre - Moi, Pierre, je te dis, Claudio: sois fort, n’aie peur de rien. Si tu es avec Dieu, rien ne doit te faire peur.

Saint Paul - Moi, Paul, je te fais la même recommandation que Pierre. J’ai persécuté les chrétiens, je les ai tués et quand Dieu m’a appelé, je lui ai répondu: "Oui, je viens, O mon Dieu, faire ta volonté". Courage, Excellence et courage à tout le petit cénacle.

La Madone - Tous ensemble: Moi, la Mère de l’Eucharistie, Pierre, Paul et Claudio, nous vous donnons notre bénédiction. Que Dieu vous bénisse et vous aide toujours. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Marisella, courage, ma fille, tu dois avoir beaucoup de courage.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Elle est partie.

Lettres de Dieu: été 2007

PRÉFACE

S.E. Mons. Claudio Gatti, l’Evêque ordonné par Dieu et la Voyante Marisa Rossi nous ont fait un grand cadeau en nous autorisant la publication de leurs rencontres et entretiens avec Dieu le Père, Jésus et la Madone au cours de l'été 2007.

Ces lettres de Dieu mettent clairement en évidence l’amour et la compassion des interlocuteurs célestes et l’affection et la confiance des interlocuteurs terrestres.

Ceux qui liront ces écrits en toute simplicité seront fortement encouragés à apprendre à considérer Dieu comme un Père, Jésus comme un Frère et la Mère de l’Eucharistie comme une Maman.


Alba Adriatica (TE), le 8 juillet 2007 - 18h33 (Lettre de Dieu)

Marisa - Il te semble que je ne veux pas te voir? Peux-tu diminuer un peu ma fatigue? Je suis si fatiguée … Les autres dorment toujours, chez nous on dit: "Celui qui dort ne prend pas de poissons".

La Madone - Mes chers enfants, cela fait bien longtemps que je ne suis pas venue vous parler; quelqu’un a-t-il ressenti mon absence?

L’Evêque - Bien sûr!

La Madone - Je suis toujours venue, je ne vous ai jamais abandonnés, j’ai ressenti moi aussi le désir de vous rencontrer et de vous parler.

Marisa - Mais nous t’avons appelée cette nuit aussi et nous avons fait beaucoup de prières.

La Madone - Je voulais plaisanter un petit peu. Votre mission est finie depuis longtemps, mais Dieu le Père continue encore à demander, à solliciter votre aide. Moi, la Mère de l’Eucharistie, je suis avec le Saint Père, pas avec ce Saint Père. Priez pour tous, même s’ils ne le méritent pas, ne sont pas en état de grâce, en ordre avec Dieu. C’est votre tâche de prier pour les autres et de les aider, priez aujourd'hui plus que jamais en particulier pour les malades: ceux de la communauté et hors de la communauté. Vous en connaissez quelques uns parce qu’ils le disent, mais vous ne connaissez pas les autres, parce qu’ils ne disent rien et acceptent leurs souffrances en silence: priez pour eux. Toi, Excellence, tu as Marisella, pour laquelle il faut prier beaucoup, beaucoup, beaucoup. Dieu aime Marisella et la veut avec Lui, Il veut que tu l’aides. Il est difficile d’accepter et de mettre en pratique ce que Dieu dit, mais vous savez comment faire. Priez pour ceux qui sont en vacances. C’est bien qu’ils partent en vacances, que leurs enfants jouissent du soleil, de la mer et de la montagne. Excellence, tu réussis à te baigner, mais ta soeur ne parvient pas à rien faire et quand elle s'emporte parfois pour des choses justes, ne la réprimande pas, c’est une femme éprouvée à cent pour cent, une femme appelée par Dieu pour aider le prochain. L’aide spirituel doit être aussi offert pour Iolanda, Lorenza et bien d’autres malades qui ne vont pas bien. Ne vous laissez pas aller, soyez forts, aimez Dieu Papa, aimez-moi, la Mère de l’Eucharistie et aimez votre prochain. Vous devez être plus forts et accepter la souffrance qui fait parfois perdre la tête et le calme, parce que les douleurs sont très fortes. Quand je parcourais les routes de Judée et de Galilée avec mon Jésus, nous parlions souvent des malades que Dieu guérirait. Nous parlions souvent de ses apôtres; tous n’allaient pas bien. Ne pensez pas que leur vie ait été facile. Je vous prie de mettre en pratique tout ce que vous dit Dieu le Père et d’aimer votre prochain. Merci d'écouter et de mettre en pratique tout ce que je vous ai dit.

Marisa - Moi, Marisa, j’aimerais te demander de me donner un peu de voix, parce que tu m’as reprise celle que j’avais.

La Madone - C’est bon. Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je bénis tous vos petits enfants: Ceux qui sont loin et ceux qui sont près de vous. Je vous bénis tous et vous serre étroitement sur mon coeur. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Adieu, Marisella, adieu à tous.

Marisa - Elle était d’abord sur cet arbre, puis elle est descendue, presque à notre hauteur.

Alba Adriatica (TE), le 13 juillet 2007 - 19h34 (Lettre de Dieu)

Marisa - Nous nous sentons très seuls, nous avons besoin de ton aide, Maman, ma chère petite Maman, viens à notre aide. Ce dernier jour a été très dur. Quand nous irons dans la montagne, seras-tu auprès de nous avec Jésus? Si tu le peux, envoie-nous aussi Dieu.

La Madone - Ma fille, nous sommes venus tant de fois, mais vous ne remarquez pas notre présence. Dieu Papa et Jésus sont venus, grand-mère Iolanda et moi sommes venues, et nous avons même parfois amené grand-mère Speranza et tante Anna. Quand votre moral est très bas, vous ne remarquez pas notre présence, mais nous sommes toujours venus. Tout ce que vous avez dit ce matin, nous a fait beaucoup souffrir.

Marisa - Nous avons souffert nous aussi, parce que nous aimerions sentir votre présence, nous avons besoin de vous, nous sommes seuls, nous n’avons pas de prêtre, de soeur, nous avons ces jeunes gens qui nous aiment et nous aident. Comment dois-je dire?

L’Evêque - Des jeunes gens dévoués.

Marisa - Pardonne-moi, petite Madone. Ces jeunes gens dévoués se donnent sans compter pour nous aider. Je t’en prie, envoies-en d’autres pour nous aider, aussi quand nous retournerons à Rome. Je voulais te demander pourquoi tu ne me fais pas mieux respirer afin que je puisse te parler et chanter? Je n’ai pas de voix, elle est partie complètement. Quand j’entends les autres chanter et que je ne le peux pas, j’ai du chagrin.

La Madone - Bien, prions maintenant tous ensemble. Notre Père … Gloire… Salut Marie …

Marisa - Notre Dame de Lourdes, prie pour nous. Notre Dame de Fatima, prie pour nous. Mère de l’Eucharistie, prie pour nous, pour tes enfants, et aide-nous.

La Madone - Marisella, j’aimerais que vous récitiez tous ensemble et calmement, le Saint Rosaire.

Marisa - Oui, oui, nous le réciterons toujours, je te le promets. Adieu, adieu, maman. Excellence, maman t’envoie un baiser.

L’Evêque - Et pas la Madone?

Marisa - Maman est plus femme, la Madone est plus sainte … qu’en sais-je.

Villetta Barrea (AQ), le 15 juillet 2007 - 13h37 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mes chers enfants, je suis venue pour être avec vous, à vos côtés, en cette fête si importante. Trente six années se sont écoulées depuis votre rencontre, trente six années de souffrances et de sacrifices, mais aussi de joie. Vous devez savoir que Dieu prépare pour vous deux, une fête selon un mode céleste, comme les fêtes se font au Paradis. Tous les voeux du Paradis s’adressent en premier à l’Evêque, pour son épiscopat, son anniversaire, ses trente six années de vie amère, dure et difficile, qui lui ont procuré beaucoup de souffrances, mais aussi beaucoup de joie. Mes deux anges, vous avez sauvé ensemble beaucoup d'âmes. Ne pensez pas: "En quoi cela nous intéresse-t-il? C’est sauver notre âme qui nous intéresse". Mais la vôtre est déjà sauvée, les autres âmes ont besoin de vos souffrances. Mes chers enfants, continuez à rester auprès de l’Evêque, à l’aider comme vous le pouvez et du mieux que vous le pouvez. Je sais que c’est très difficile, parce qu’il est seul et n’a personne à ses côtés. Dieu parle souvent de sa solitude et de lui envoyer des prêtres, mais on ne voit encore personne. Quelques évêques et prêtres ont déjà été préparés et ordonnés pour travailler avec lui, mais moi, la Mère de l’Eucharistie, je serais même satisfaite si maintenant trois ou quatre prêtres pouvaient être à ses côtés pour l’aider et qu’il ne se sente pas seul; cela viendra. Dieu a fait beaucoup de promesses et, humainement parlant, il semble que tout ce qu’il a promis, se soit éloigné. Pourquoi? Je ne le sais pas, mais je suis sûre que, même s’ils reviennent en arrière, ils continueront à faire le chemin pour arriver là où Dieu le veut. Le fait que Marisella ne dorme pas, ait du mal à respirer et des douleurs partout, n’a rien à voir avec ce que Dieu a promis à l’Evêque. C’est une âme qui souffre. Elle n’a plus les stigmates visibles, mais ceux qui sont invisibles et bien plus douloureux. Elle souffre aussi de fortes douleurs naturelles. Beaucoup de personnes ont des douleurs naturelles. Alors que voulez-vous faire? Tout abandonner? Tout laisser? Non, Excellence, tu ne peux pas tout abandonner. Quand tu rentreras à Rome, tu reprendras ton travail, ton ministère épiscopal et, si Dieu t’envoie des prêtres, espérons qu’ils seront bons et saints. Tout le Paradis s’approche en ce moment, il y a devant tous grand-mère Iolanda qui t’aime immensément et pleure souvent pour toi. Les anges et les saints sont venus vous adresser leurs voeux pour vos trente six années de mission et de vie commune. Nous crions tous ensemble: "Tous nos voeux à toi, Excellence, et à toi, Marisella". Ne doutez pas de Dieu, Son heure viendra. Mes chers enfants, consacrez cette journée à votre Evêque, priez pour lui, il en a tant besoin, parce qu’il s'effondre physiquement et moralement. Je vous implore de rester à ses côtés et de toujours l’aider. Ensemble avec mon saint Evêque et tous les prêtres du Paradis, je vous bénis, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Regardez lentement vers le ciel, au sommet de la montagne. Qu'y a-t-il?

Marisa - C’est elle, stylisée, elle est si belle. Regardez entre ces deux rameaux qui s'entrelacent, elle est au milieu, entourée de tous les anges et des saints. As-tu compris où elle se trouve?

L’Evêque - Oui, mais je ne vois rien.

Marisa - Vois-tu ces deux rameaux?

L’Evêque - Les deux premiers?

Marisa - Oui, au milieu, en haut, au sommet de la montagne, il y a la petite Madone stylisée.

Chiara - Entre ces deux rameaux?

Marisa - Oui. Avez-vous compris? Si vous la voyez, très bien pour vous, si vous ne la voyez pas, tant pis pour vous. Priez, priez, priez pour que le moment vienne où vous la verrez.

L’Evêque - Où il y a cette chose sombre?

Marisa - Non, claire, pas sombre. Bravo, au milieu, oui. Mais vous devez regarder vers le haut, au sommet de la montagne.

Chiara - Sur le vert ou sur le ciel?

Marisa - Elle part du vert et continue vers le ciel.

L’Evêque - Je la vois maintenant. Elle est évanescente.

Marisa - Je reconnais Don Enrico, Fatina, maman, tante Anna, grand-mère et puis tous les jeunes, les enfants et petits enfants qui sont morts jeunes. Il y a Tommaso, devant la Madone.

L’Evêque - Est-ce qu’il y a nos neveux?

Marisa - Il y a nos neveux et tous les enfants noirs que j’ai emmenés avec moi au Paradis.

Villetta Barrea (AQ), le 16 juillet 2007 - 19h46 (Lettre de Dieu)

La Madone - Vous ne devez vous en prendre à personne, je vous ai dit que Dieu fera ce qu’il a promis de faire. Vous direz: "Mais quand cela arrivera-t-il? Quand finira ce combat et ce langage de Dieu, qui dit une chose et puis en fait une autre?".

Marisa - Ma petite Madone, j’ai tant pleuré, j’ai tant souffert, comme les autres, et j’ai hésité à poursuivre ce que nous avons fait jusqu'à présent. Cela fait maintenant trente six ans que nous marchons tous les deux sur cette route de sacrifices, de souffrances. Tu es venue parce que nous avons récité le Saint Rosaire; je ne te cache pas que je l’ai récité pour l’Evêque. Il m’a dit: "Dis le Rosaire, Marisa", et j’ai d’abord dit non, puis je l’ai récité. Nous avons prié devant ta statue. Oui, je te vois, entourée de lumière. Nous ne savons plus que faire, nous ne savons plus si nous devons continuer à célébrer la Sainte Messe, prier et que dire aux gens.

La Madone - Marisella, vous devez participer à la Sainte Messe. La Sainte Messe sera célébrée; tous doivent célébrer ou écouter la S. Messe et vous devez être les premiers à le faire. J’ai compris ton épanchement, je sais tout ce qui s'est passé, j’ai respecté vos pleurs. J’aurais agi comme vous, je me serais comportée comme vous, mais pour l’amour de Dieu, ne négligez pas la Sainte Messe! Que ce ne soit jamais des personnes comme vous, comme toi et l’Evêque, qui négligent la S. Messe.

Marisa - Ecoute, je ne sais pas ce que fera l’Evêque, parce que nous n'en avons pas parlé, mais, entre nous deux, on s'est bien moqué de lui; vous lui avez d’abord dit une chose et puis vous en avez fait une autre. Dieu l’a ordonné Evêque pour quoi faire? Que fait cet homme? Dites-le. Vous pouvez m'expliquer ce qu’il fait? Il m’assiste, me soigne, prend soin de moi. C’est ça son travail? Laissez-moi le dire, de toute façon nous pensons tous de même. Il le fait volontiers parce qu’il m’aime, parce que c’est une bonne âme, une sainte âme, mais est-ce que c’est là son ministère épiscopal? Est-ce cela que Dieu a voulu?

La Madone - Non, Marisella, ne dis pas ça; comprendre Dieu est difficile.

Marisa - s’il n'est pas facile de comprendre Dieu, pourquoi devons-nous lui obéir? Pourquoi devons-nous faire tout ce qu’il dit? Nous avons toujours fait ce qu’il a dit, nous avons toujours obéi à tous ses ordres, mais nous n’aurions jamais pensé en arriver là. Je ne tiens plus debout, je ne peux plus marcher seule, j’ai besoin de tout et tous doivent m’aider, parce je ne peux rien faire seule, ni faire et défaire mon lit, ni me laver, ni me changer, ni me préparer à manger, ni répondre à toutes les autres exigences humaines, cela ne me semble pas beau. Mais aujourd'hui encore, je le répète, si Dieu en a décidé ainsi, que Sa volonté soit faite. Bien sûr, je ne suis pas d’accord. Pourquoi me fais-tu voir de temps à autre tant de lumière qui change continuellement de couleur?

La Madone - Trésor, je suis devant toi avec mon époux bien-aimé, ta maman et quelques saints.

Marisa - Pourquoi ne réponds-tu pas à tout ce que je t’ai demandé?

La Madone - Je me trouve dans la même situation que toi. Dieu fait tout, Dieu commande, Dieu décide, je peux seulement te répondre: "Ne négligez pas la Sainte Messe". Vous ne voulez plus rassembler les hommes autour de vous? Cela ne fait rien, mais vous devez célébrer ou participer à la S. Messe, c’est l’acte le plus important, le plus grand du culte. Je vous remercie et vous bénis de m’avoir récité le Saint Rosaire, même si selon vous, je ne le méritais pas. Tout cet entretien a été suivi par Dieu. Nous verrons ce qui se passera.

Marisa - Attends un moment, ne t’en va pas, attends! Que devons-nous dire aux autres jeunes? Ceux qui sont présents ont vu, ont vécu avec nous, mais que devons-nous dire aux autres?

Villetta Barrea (AQ), le 17 juillet 2007 - 23h10 (Lettre de Dieu)

Marisa - Penses-tu que nous ayons commis une erreur en nous en prenant à Dieu? Oui, nous en avons un peu après Lui, parce qu’il nous a souvent fait des promesses qui ne se sont pas réalisées ensuite, il en a toujours été ainsi. Maintenant, puisque tu es venue, dis-nous quelque chose, apprends-nous quelque chose, je t’en prie, Marie, Mère de Jésus et notre Mère.

La Madone - Marisella, que veux-tu que je te dise? Je fais ce que Dieu me dit de faire. Il m’a donné toutes les lettres que je vous ai remises. Tu penses que Dieu ne tient pas Sa parole?

Marisa - Oui, c’est ce que je pense, parce que des années se sont écoulées depuis qu’il m’a été dit que je devais mourir et que l’Evêque devait m’accompagner au Paradis. Et qu’est-il arrivé? J’aimerais le savoir. Pourquoi Dieu n’a-t-il pas tenu tout ce qu’il avait promis? Rien n'est arrivé de ce qu’il avait promis. Nous avons toujours obéi: "Faites le vêtement", et nous l’avons fait, "Faites la courtepointe", et nous l’avons faite, "Trouvez un beau cercueil ", et nous avons obéi. Nous avons toujours fait ce qu’on nous a demandé de faire. Pourquoi tout est-il changé? Nous sommes tous les deux si fatigués et si éprouvés; il est difficile de continuer à vivre ainsi. Tu as entendu, hier soir, que Son Excellence, ne voulait pas célébrer la Sainte Messe. Je sais que ce sont des choses que l’on dit dans un moment de tristesse, de douleur, d’abattement, parce que je suis sûre qu’il n'omettra jamais de célébrer la Sainte Messe.

La Madone - Marisella, j’en suis certaine moi aussi. n’attachez pas d'importance à ce que dit Son Excellence dans certains moments, aidez-le et persuadez-le de ne pas penser à certaines choses.

Marisa - Attends, petite Madone, parce que je ne me sens pas bien et je dois essayer de m’asseoir. j’espère que tu es venue pour nous dire quelque chose. Que voulais-tu nous dire, petite Madone? Je vois toujours ma maman en pleurs auprès de toi. Ce n'est pas beau pour une fille de voir pleurer sa maman, qui est au Paradis, surtout après qu’elle ait souffert pendant tant d’années sur la Terre

La Madone - Marisella, elle pleure seulement lorsqu’elle vient sur la Terre avec moi.

Marisa - Je sais, moi aussi je pleure et j’essaie de comprendre l’attitude du Dieu Tout Puissant.

La Madone - Ne vous laissez pas aller, essayez d'être toujours bons et braves comme vous l’avez toujours été.

Marisa - Mais c’est difficile, petite Madone. Ne crois-tu pas que ce soit difficile de se conduire comme tu le dis? Pourquoi Dieu nous traite-t-il ainsi? Pourquoi les méchants ont-ils tout, tout est bien pour eux, et nous, qui avons toujours cherché à faire tout ce que Dieu nous a dit de faire, pourquoi sommes-nous traités ainsi? Pourquoi? Oh, si tu pouvais nous en dire au moins le pourquoi. Peut-être aurions-nous plus de courage pour accepter notre douloureuse situation.

La Madone - Je peux seulement vous dire que Dieu vous aime d'un amour immense.

Marisa - Mais comment pouvons-nous le comprendre et l’accepter, petite Madone, quand tout va-t-il changer pour nous?

La Madone - Je ne dis rien d’autre, je vous dis seulement: ne négligez pas la prière et continuez à prier comme vous l’avez toujours fait. Abandonnez-vous à Dieu et priez le Saint Esprit. Appelez à l’aide tous ceux que vous connaissez et qui sont au Paradis.

Marisa - Pardonne-moi mon ignorance, mais je ne parviens pas à comprendre ce que tu dis. Mais, si tu le dis, que dois-je te dire? Que je ne le ferai pas? Je n'en suis pas capable. Je peux te le dire dans un moment de colère, comme aujourd'hui, parce que j’ai été très mal. Oui, j’ai été très mal par la faute de Dieu, parce qu’il me fait beaucoup souffrir et fait souffrir aussi l’Evêque et ceux qui sont à mes côtés. Que dirons-nous aux jeunes, aux adultes? Que Dieu s'est moqué de nous?

La Madone - Non, vous ne direz jamais cela, parce que je suis toujours avec vous et je fais attention à ce que vous dites. Continuez maintenant à écouter les chants et à prier. Qu'y a t-il, Excellence?

L’Evêque - J’aimerais avoir au moins une promesse, je l’ai demandée directement à Dieu et je te la répète: pourquoi ne nous faites-vous pas reposer la nuit? Combien de nuits blanches avons-nous passées depuis que nous sommes partis de Rome! Tu nous as dit de demander de l’aide à ce que nous connaissons et qui sont au Paradis. j’en ai demandé à tous: à Dieu le Père, Dieu le Fils, Dieu le Saint Esprit, à toi, Saint Joseph, grand-mère Iolanda, Fatina, et à mes amis prêtres, je l’ai demandé à tous, mais nous passons toujours des nuits blanches. Nous n'en pouvons plus. Comment peux-tu dire: "Dieu vous aime d'un amour immense", et n'intervient pas ensuite en t’envoyant ainsi que grand-mère Iolanda pour nous faire dormir? Qu’est-ce que je demande? Seulement cela: pouvoir dormir, parce que nous sommes en vacances et nous devons nous reposer. Tu m’as dit de: "Ne pas être toujours angoissé dans la journée". As-tu vu que Marisa n’a rien mangé de la journée? Cela se répètera et se répètera; pouvons-nous continuer ainsi? Pourquoi ne nous as-tu rien dit à ce sujet?

La Madone - Je vous ai dit ce que je pouvais vous dire. Ce n'est pas à cause de nous que Marisella ne dort pas la nuit, mais parce qu’elle pense à ceux qui sont malades, ceux qui vivent dans le péché, ceux qui doivent se convertir.

Marisa -Oui, c’est vrai que je pense à tout cela, mais je t’ai également dit: aide-moi à dormir et à faire reposer aussi l’Evêque, cela je te l’ai demandé.

La Madone - Oui, c’est vrai, Marisella, que tu me l’as demandé, mais vous êtes tellement bons qu’il est parfois difficile d’accepter ce que vous demandez.

L’Evêque - Cela je ne l’ai pas compris.

Marisa - Il est difficile d’accepter ce que nous demandons? Mais nous le demandons avec tant de simplicité et d’amour! Allons, va trouver Dieu et dis-lui que nous attendons qu’il nous fasse reposer, nous en avons besoin, sinon nous ne réussirons également plus à avancer.

La Madone - J'irai trouver Dieu et grand-mère Iolanda viendra aussi avec moi. Nous irons lui parler et lui demander ce que vous avez demandé. Je vous donne maintenant ma bénédiction et vous souhaite une bonne nuit, espérons qu’elle sera comme vous le demandez.

Marisa - Adieu, maman. Maman, va toi aussi trouver Dieu et demande lui de nous faire reposer, nous ne demandons pas la lune; nous n'en pouvons plus, je n'en peux plus et j’entraîne avec moi ton Excellence. C’est bon, adieu, maman, adieu trésor.

Villetta Barrea (AQ), le 20 juillet 2007 - 3h40 (Lettre de Dieu)

Marisa - Aide-nous, envoie-nous au lit pour que nous nous reposions un petit peu, parce que les douleurs sont fortes et tant que je ne vais pas mieux, elles ne partent pas au lit. Cela te plaît: "elles ne partent pas"?

La Madone - Marisella, quand ces douleurs arrivent, il faut aussi les accepter. Tu as passé trois jours assez bien, tu souffres beaucoup maintenant, mais tout redeviendra normal. Au lieu d’aller dormir à deux heures du matin, comme vous l’avez fait bien des soirs, allez dormir à quatre ou cinq heures. Qui vous dit de vous lever à dix heures ou à midi? Personne.

Marisa - Qu’est-ce que tout ce discours a à faire avec le fait de me faire aller mieux? Que dois-je lui dire?

L’Evêque -Jusqu'à présent Dieu a décidé que nous devons prier et toi souffrir.

Marisa - Jusqu'à quand Dieu en a-t-il décidé?

La Madone - Dieu n’a pas fixé d'heure. Il n'y a pas d'heure pour Nous, c’est toujours la même heure.

Marisa - Allons, petite! Dis-moi, petite. Je l’ai appelée, petite. Allons, envoie-nous tous dormir. N'est-ce pas, Iaio? Mes jambes n'en peuvent plus. Tu diras: (Marisa se tourne vers l’Evêque) "Pourquoi t’adresses-tu à moi et pas à elle?".

L’Evêque - Non, je ne dis rien, mon moral est très bas.

Marisa - Cela ne va vraiment pas bien ici.

Villetta Barrea (AQ), le 20 juillet 2007 - 14h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Vous attendiez de l’aide et vous en avez reçu, parce que, mon cher Evêque bien-aimé, si cela n’avait pas été le cas hier, Marisella serait restée au lit paralysée, sans ne plus pouvoir bouger les jambes et à hurler de douleur. As-tu vu comment cela s'est passé? Vous avez eu de l’aide, mais vous étiez tellement effondrés …

L’Evêque - Et fatigués …

La Madone - … Vous ne réussissez pas à comprendre quand vous recevez de l’aide et quand vous n'en recevez pas. Je suis une Maman. Penses-tu que je t’aurais dit une phrase de ce genre?

Marisa - Nous te demandons pardon si nous avons mal compris. Peut-être les nombreuses souffrances …

La Madone - Pas peut-être, sûrement.

Marisa - Nous ne comprenons plus rien quand tu parles. s’il en est ainsi, je t’en demande pardon.

La Madone - Non, Marisella, vous devez être convaincus qu’il en est ainsi.

L’Evêque - Je suis convaincu qu’il en est ainsi, mais honnêtement nous n'en pouvons plus. Je sais que ce sont des souffrances naturelles, mais ne vois-tu pas comme nous sommes épuisés et comme nous nous traînons? Nous avons eu une journée tranquille. Vous dites que vous l’aidez, je le sais. Mais j’ajoute avec beaucoup de franchise et de sincérité: pourquoi Dieu Papa ne l’a-t-il pas encore emportée au Paradis, elle jouirait ainsi et je me reposerais?

La Madone - Cette décision appartient à Dieu, en ce qui me concerne j’ai seulement à vous dire que vous avez toujours eu de l’aide et même beaucoup. Qu’aurais-tu fait, si ta soeur était restée paralysée ou morte cette nuit dans son lit? Qu’aurais-tu fait? Comment aurais-tu réagi?

L’Evêque - J’aurais eu du chagrin, j’aurais souffert, pleuré.

La Madone - Et puis tu l’aurais prise et transportée à Rome?

L’Evêque - Et qu’aurais-je dû faire?

La Madone - Alors, selon toi, l’aide de Dieu a été grand?

L’Evêque - Tu le dis et j’admets et reconnais que nous avons reçu l’aide de Dieu. Hier, je n'en avais pas conscience, donc, ne le sachant pas …

La Madone - Dois-je toujours vous dire que l’aide de Dieu est là? Chaque fois? Tu sais que Marisa est mal et que Dieu aide toujours, toujours.

L’Evêque - Je désire vivement un peu de tranquillité et de repos. C’est ce que je demande, ce que nous demandons tous. Je sais que l'état de santé de Marisa est très grave, nous le savons tous, mais je te demande à toi, qui es notre Maman: est-ce que nous nous reposons? Sois sincère, dis-le: est-ce que nous nous reposons ainsi?

La Madone - Non. Peu, pas autant que vous le désiriez et que Nous le voulions, mais peu de jours se sont écoulés depuis que vous êtes ici et pendant ces premiers jours quelque chose a bien marché. Nous attendons que la situation change. Ce qui s'est passé cette nuit n’avait rien à voir avec le repos: c'était un fait naturel inattendu; tellement inattendu qu’il nous a pris par surprise. Vous étiez déjà découragés, si abattus par tout ce qui se passe autour de vous, alors Dieu a dit: "Cela suffit, relâchons la prise et envoyons de l’aide".

L’Evêque - Et alors... Ne dis pas que je suis têtu, mais quand après des années et des années d'épreuves et de fatigue, j’ai entendu Dieu s'engager à nous faire passer des vacances plus sereines et, honnêtement elles ne l’ont pas été, je suis effondré.

La Madone - Cela encore vous ne pouvez pas le dire.

L’Evêque - Mais vingt jours se sont déjà écoulés.

La Madone - Laissez de côté les jours passés au bord de la mer.

L’Evêque - Et lesquels dois-je compter?

La Madone - Tu sais que le séjour au bord de la mer est contreproductif pour Marisa. En fait, vous y êtes allés pour toi, pour que tu puisses te baigner, comme le docteur te l’avait prescrit. La mer est contreproductive pour elle, les jours passés au bord de la mer ont été mauvais pour elle et bons pour toi.

L’Evêque - Bah, pour moi aussi ils n'ont pas été bons.

La Madone - Parce que tu voyais quelqu’un, que tu aimes, être mal. Mais depuis que vous êtes ici, les journées ont été plus calmes. Vous vous êtes reposés deux, trois nuits. Tu diras: "Qu’est-ce en comparaison des trente six années où nous avons souffert?". Mon fils, tu ne dois pas te comporter ainsi, parce que, je te dis, que Marisa aura encore des douleurs tant qu’elle vivra, elle aura encore des souffrances et tu ne peux exiger de Dieu qu’il les lui retire.

L’Evêque - Non, je lui ai seulement demandé de les faire diminuer.

La Madone - Dieu doit t’aider, il te donnera de l’aide.

L’Evêque - Je le lui demande toujours.

La Madone - Et vous avez reçu de l’aide. Tu sais combien moi aussi je me suis sentie mal lors de ces rencontres avec Dieu. C’est la Maman qui te le confesse, la Maman du Ciel, la Madone. Moi aussi je me suis sentie mal et j’ai commis une erreur.

L’Evêque - Non, tu n’as jamais commis d’erreur.

La Madone - Vous avez eu de l’aide.

L’Evêque - Ne dis pas que tu as commis une erreur, tu ne peux pas en commettre.

La Madone - Que dois-je te dire? Cela je ne peux pas le dire, je ne peux pas le faire.

L’Evêque - Non, non. Je le dis parce que je te respecte trop et je t’aime trop.

La Madone -En vous voyant dans un tel état, il y a eu un moment où moi et grand-mère Iolanda nous nous sommes laissées aller; un moment très court, nous nous sommes reprises et vous vous êtes reposés. Bien sûr, vous n’avez pas dormi comme un loir, comme tu le dis, vous avez n’avez pas dormi autant, mais vous avez pu vous reposer. Même l’après-midi vous vous êtes reposés un petit peu. Mon fils, vous ne pouvez avoir plus, parce que vous êtes consumés physiquement.

L’Evêque - Et alors?

La Madone - Alors, priez, afin que Dieu emporte bientôt Marisella et que cela coïncide avec la date que tu as indiquée. Moi aussi, la Madone, je prie pour cette date. Quand nous emmènerons Marisella, tu pourras te reposer, et puis … qu’est ce que la Maman doit-elle te dire de plus?

L’Evêque - Dieu me punira-t-il d’avoir été ainsi polémique?

La Madone - Dieu ne punit personne, Dieu est Père, Dieu est bon et ne punit personne. Vous les hommes, quand les choses ne vont pas, vous vous en prenez à Dieu, mais Dieu ne punit pas, parce que Dieu est Amour.

L’Evêque - Alors j’accompagnerai encore Marisella au Paradis?

La Madone - Bien sûr, il l’a promis! Gloire … Ange de Dieu … Le Repos éternel … Dieu ne punit pas, Dieu est seulement Amour. Souviens-toi, mon fils, que je suis venue ce matin, parce que je ne pouvais pas venir avant et tu en sais la raison …

L’Evêque - Je sais, je sais, merci.

Marisa - Pouvons-nous manger?

Villetta Barrea (AQ), le 21 juillet 2007 - 20h47 (Lettre de Dieu)

La Madone - Essayez de toujours marcher droit, de vous aimer toujours. Ayez de l’amour envers tous, même envers ceux qui vous font souffrir et vous verrez que je suis toujours à vos côtés. Je devais venir, sinon qui entendrait mon Evêque, mon… Je viens chaque fois qu’il dit de chanter ce cantique, mais j'étais déjà présente quand vous avez chanté "Viens, Marie".

Marisa - Petite Madone, nous te remercions d'être près de nous, de nous aider tous.

La Madone - Une jeune fille est tombée ce matin et si je n'étais pas intervenue, parce que Dieu m’a dit: "Va, Marie, cours", vous auriez passé une triste journée et au contraire vous êtes tous en bonne compagnie. Vous vous voulez du bien, vous vous aimez, vous vous aidez mutuellement, c’est beau.

Marisa - Ecoute, tu les vois? Ce sont deux dauphins, symboles de la fidélité, un en or jaune et l’autre en or blanc, …, est-ce que cela l’intéresse?

L’Evêque - Et pourquoi tu lui dis?

Marisa - Pardon, petite Madone, ce n'était pas ce que je voulais te dire, mais j’ai des maux d’estomac qui me font divaguer … fais-moi aller un petit peu mieux, afin que je puisse me réjouir avec mes amis, je t’en prie. Je les ai fuis aujourd'hui car je n'en pouvais plus. Maman, veux-tu te réveiller? Cours toujours vers Dieu, cours aussi vers moi.

La Madone - Remerciez Dieu pour la jeune fille qui a été sauvée. C’est une grande grâce parce qu’elle aurait pu rester paralysée, pouvait ne pas venir et au contraire elle est venue et j’en suis heureuse, comme je suis heureuse de l’amour que vous avez les uns envers les autres.

Marisa - Ah, attends! Alessandro m’a apporté mes chaussures …

L’Evêque - En or.

Marisa - En or. Quand je me suis levée ce matin, il n'y avait personne pour m’aider à les mettre, je ne pouvais pas le demander à l’Evêque. Tu comprends, l’Evêque me fait déjà tout, … mais il ne pouvait pas me les mettre. N'est-ce pas que tu ne pouvais pas?

L’Evêque - Je fatigue quand je suis à genoux et tu en connais la raison.

Marisa - Ce qui me plaît le plus dans ces apparitions, c’est que tu souris, que tu es joyeuse et nous essayons, nous aussi, d'être joyeux, parce que tu sais que Marisella aime rire et plaisanter. Nous n’avons pas de mots pour te remercier d’avoir sauvé Paola et de nous avoir donné Giovannone, Alessandro, Marco, Titti et Chiara, ma dame de compagnie qui m’aime tant.

La Madone - Voulons-nous dire un Notre Père tous ensemble avec Dieu?

Marisa - Oui, petite Madone.

Tous ceux qui sont présents - Notre Père … Gloire…

La Madone - Vous direz seuls le "Je vous salue Marie", parce que … je pense comme toi, Marisella, qu’on ne peut prier pour soi-même.

Marisa - Ah, merci, merci.

La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

(Tous applaudissent et chantent Alléluia)

L’Evêque - Paola, nous devons encore te soutenir.

Marisa - Je suis heureuse pour elle, mais je ne m’attendais pas à cette intervention de Dieu.

Villetta Barrea (AQ), le 22 juillet 2007 - 12h31 (Lettre de Dieu)

Marisa - Pardonne-moi, petite Madone, si nous n’avons pas récité le Magnificat.

La Madone - Je te vois si fatiguée, ma fille. Le fait que tu te sois reposée cette nuit ne te profite pas ou peu, parce que tu as tant et tant de nuits à récupérer. Ta santé laisse malheureusement toujours à désirer pour diverses raisons. Nous étions près de toi cette nuit et tu as réussi à dormir, ce dont nous remercions le Dieu Tout-puissant, qui t’aide en dépit de son silence. Mes chers enfants, ou mieux, mes enfants adorés, vous qui êtes ici pour aider mes deux enfants à passer un peu de vacances, vous êtes à admirer. Une personne travaille beaucoup et est fatiguée, mais elle partira dans très peu de temps et ira se reposer avec son "époux".

Marisa - Nous sommes tous fatigués, nous avons tous besoin de repos.

La Madone - Quand Jésus et moi nous cheminions le long du Jourdain, j'étais prise parfois d'une assez grande fatigue. Jésus marchait à grands pas et je me fatiguais à le suivre, alors il s’arrêtait et me disait: "Maman, viens près de Moi ", et il étendait le bras pour me faire marcher à côté de Lui. C'était une très belle scène. Les apôtres, qui marchaient aussi d'un bon pas, se mettaient de côté pour laisser passer la Maman de Jésus. Vous aussi, quand vous êtes avec une personne qui ne réussit pas à marcher du même pas que vous, ralentissez, marchez plus lentement et continuez à marcher ensemble, vous pourrez ainsi mieux priez ensemble. Quelqu’un pensera: "Mais devons-nous toujours prier?". Oui, vous devez toujours prier, même quand vous marchez, travaillez, parlez, parce que tout moment est bon pour tourner ses yeux vers Dieu. Voilà, je suis venue aujourd'hui pour vous donner ces petits conseils, mais si vous y réfléchissez bien, ils sont très importants. J’ai vu une jeune fille marcher d'un bon pas, elle faisait des pas de géant, c’est pourquoi il était difficile de la suivre. Il faut donc accorder son pas et donner aux autres la possibilité de marcher ensemble. Vous ne pouvez, par exemple, mettre Paola avec Chiara; Chiara fait des pas de géant et Paola marche plus posément. De toute façon je vous souhaite à tous de passer une bonne fête, vivez-la en bonne harmonie. Essayez de vous consacrer entièrement à l’Evêque et à la Voyante, aidez-les du plus que vous le pouvez. La Voyante s'effondre, elle doit tenir jusqu'à une certaine date et ne peut s'en aller maintenant, elle doit encore rester avec vous.

Marisa - Ecoute, petite Madone, puisque je suis fatiguée et que j’ai tant sommeil, ne pourrais-je pas dormir au lieu de manger?

La Madone - Mais tu es bien à table avec les amis. Mange quelque chose avec eux, puis va un peu te reposer et quand les autres seront prêts à aller à Scanno, allez vous promener tous ensemble autour du lac. Si l’on ne peut pas pousser le fauteuil, la signorina Marisa restera à regarder le paysage et les autres feront le tour du lac. Elle peut rester seule, personne ne doit se sacrifier pour rester avec elle, elle veut qu’il en soit ainsi. J'irai lui tenir compagnie avec grand-mère Iolanda. Est-ce bien ainsi? N'est-ce pas, Marisella, que cela te plaît quand je parle ainsi et que je ne donne pas de coups?

Marisa - Mais tu n’as jamais donné de coups. C’est Dieu qui le fait quand il arrive et dit: "C’est moi Dieu ". Tu sais que je lui ai demandé s’il s'était converti? Mais je plaisantais parce qu’il a souri. Ne le fais pas venir aujourd'hui, parce que j’aimerais être seule avec toi et grand-mère Iolanda. Ce soir, si Dieu veut faire une escapade, qu’il vienne, nous l’accueillerons les bras ouverts, parce que nous aimons Dieu.

La Madone - Marisella, si tous les voyants étaient comme toi! Il n'y a plus de voyants aujourd'hui. Les voyants doivent se sacrifier, s’immoler, devenir des martyrs, des hosties vivantes, comme toi. Je me divertis quand je viens te parler, parce que tu dis ce que tu as dans le coeur, tu es faite ainsi, tu dois dire ce que tu penses.

Marisa - Toi aussi, tu dis ce que tu penses.

L’Evêque - Moi aussi.

Marisa - Lui aussi.

La Madone - Son Excellence bat tout le monde quand il s’agit de dire la vérité. Sois bonne Chiara!

Marisa - Paola désire rencontrer un jeune homme extraordinaire, Marco désire rencontrer une grande jeune fille blonde. Sais-tu ce que j’ai fait hier? Je lui ai donné une poupée grande et blonde.

La Madone - Vous me plaisez ainsi: quand vous plaisantez et riez entre vous. Vous devez toujours vous aimer. N'est-ce pas, Titti?

Titti - Oui, Marisa.

Marisa - Regarde, c’est la Madone qui nous dit de nous aimer.

La Madone - La petite maman n’a rien d’autre à vous dire, je prierai avec vous, en particulier pour la date choisie par votre Evêque pour le départ de Marisa. Nous prions tous pour vous au Paradis. Je vous remercie du bien que vous faites. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Adieu, maman, je te vois. La Madone avait envie de plaisanter aujourd'hui.

Villetta Barrea (AQ), le 26 juillet 2007 - 17h46 (Lettre de Dieu)

La Madone - Mon fils, même si je ne te répondais pas, j'écoutais tes prières. Mon coeur souffrait. Je ne parvenais pas à te répondre, à te dire quelque chose, à t’encourager. Mais tu sais, que je suis près de toi. Si certaines personnes sont ainsi, que veux-tu y faire? Mon fils, ne t’afflige pas tant si ta soeur va mal. Sa sensibilité, sa façon d'être font qu’elle souffre pour un rien. Je suis près de toi, grand-mère Iolanda est près de toi, mais près de toi il y a surtout ..

Dieu Papa - Moi, ton Dieu, je suis près de toi, Excellence Révérendissime. Tu éprouves de l’amertume et de la déception, parce que l'homme ne sait pas aimer. Ceux qui savent aimer vont à la rencontre de la souffrance. Je suis ton Dieu et je t’aime immensément. Tu aimerais voir quelque chose de grand, mais il n'y a rien pour l’instant. Marisella doit souffrir, non parce que Je le veux, mais parce que c’est sa voie, son chemin. Si vous rencontrez des personnes qui ne savent pas aimer et, je dirais, qui me détestent, ne vous en préoccupez pas. Combien de temps pourront-elles encore rester sur la Terre? Il y aura quelque chose de terrible pour elles; pour vous non, vous jouirez avec Moi, Jésus, la Mère de l’Eucharistie, le bien-aimé Joseph, grand-mère Iolanda et tous les autres. Marisella se souvient des souffrances de l’an passé et des démons qui voulaient l'empoisonner et y réussirent presque. Elle oui, souffre énormément. Elle a vécu une autre année de souffrance. Que voulez-vous faire? Continuez à avancer. Vous avez Chiara, elle a son caractère, mais elle ne vous décevra pas et vous aime; il y a Marco qui, dès qu’il est libre, court vers vous et d’autres jeunes viendront, ceux qui vous aiment. Courage, Excellence, veux-tu me demander quelque chose? Es-tu bloqué?

L’Evêque - Je suis bloqué parce que j’ai tant prié, tant espéré, tant cru en des vacances où nous pourrions récupérer et où nous irions mieux. Je dois quand même te remercier des nuits où nous réussissons à nous reposer, parce que Tu le veux et le promets. Mon Dieu, quand toute cette souffrance prendra-t-elle fin?

Dieu Papa - Elle finira, finira, sois tranquille. Maintenant, Moi, Dieu, je m'éloigne. Avant que tu n’aies montré ces figures dans le ciel, Nous étions là, mais ta soeur était tellement raplapla qu’elle n’avait aucune envie de dire et de voir quoi que ce soit. Nous étions là, nous vous regardions et vous suivions pas à pas. Courage, laissez faire …

L’Evêque - Puis-je te demander encore une chose?

Dieu Papa - d’accord.

L’Evêque - Peux-tu l’aider au sujet de la nourriture? Elle ne mange pratiquement plus rien.

Dieu Papa - Ne te fais pas de soucis à ce sujet, elle mangera quand elle s'en sentira capable. Nous l’aidons. Crois-tu qu’elle aurait pu arriver jusqu’ici sans manger?

L’Evêque - Non.

Dieu Papa - Elle reçoit de l’aide. Maintenant, vous réussissez à dormir la nuit, bien ou mal. Au lieu de vous lever à huit ou neuf heures, levez-vous à dix heures, cela ne fait rien, vous êtes en vacances. Si vous vous endormez à trois ou quatre heures, levez-vous tranquillement à onze heures, ne vous faites pas de soucis à ce sujet. Sois tranquille, parce que Marisa n'est nullement abandonnée.

L’Evêque - Merci.

Dieu Papa - Adieu à tous de la part de votre Dieu Papa. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen.

Villetta Barrea (AQ), le 28 juillet 2007 - 23h25 (Lettre de Dieu)

Marisa - J’aime tant chanter l’ave Maria, mais vous m’avez également pris ma voix et je ne peux plus chanter. Petite Madone, l’Evêque et moi nous sommes très fatigues, très éprouvés, parce que nous ne dormons pas la nuit et nous nous couchons à cinq heures du matin. Nous prions, nous n’avons jamais négligé la prière. Que devons-nous faire en plus? Pourquoi ne nous donnes-tu ni aide, ni soutien? Vous dites que vous nous aidez et que vous ne pouvez donner plus, mais il me semble étrange que Dieu ne puisse nous donner plus que ce que nous recevons. Le soir, j’ai peur d’aller me coucher, parce que je suis sûre que je devrai me relever dix minutes après. Je retourne au lit, puis je me relève et me mets dans un fauteuil pour attendre le jour.

La Madone - Ne parle pas ainsi, Marisella. Tu sais que tu es aidée depuis longtemps, que tu es toujours aidée. Tu as été aidée quand un homme t’a malmenée et agressée au couteau. Qui t’a aidée? Qui t’a soustraite aux mains de cette brute? N'était-ce pas moi? Et quand tu as vécu d’autres expériences douloureuses avec d’autres personnes, y compris les prêtres, qui t’ont frappée, ne te suis-je pas venue en aide?

Marisa - Oui, je sais, mais nous avons besoin d'un plus grand aide. Nous sommes finis tous les deux, l’Evêque n'est pas malade, mais il est très faible physiquement. Il est éprouvé physiquement et … le mot ne me vient pas, il ne fait rien, tu comprends de toute façon ce que je veux dire. Essaie de nous aider, de nous faire passer tranquillement ces derniers jours. Nous avons encore un mois devant nous et, si vous m’aidez et me faites aller un petit peu mieux, l’Evêque aussi pourra se reposer un peu plus. Nous vous aimons tant! Pourquoi devons-nous toujours souffrir? Il y a beaucoup de personnes sur la Terre qui pourraient prendre notre place.

La Madone - Tu le crois, Marisella?

Marisa - Oui. Je pense que oui. Pourquoi?

La Madone - Te souviens-tu, quand en plaisantant avec les jeunes vous leur avez demandé qui aimerait prendre votre place? Ils ont tous ont refusé et dit qu’ils se seraient enfuis. Tu penses qu’il y a dans le monde des personnes qui accepteraient d’accomplir ta mission et celle de l’Evêque? Non, il n'y en a pas. Je vous demande encore de vous armer de sainte patience et d’avoir foi et confiance en Dieu. Ces jeunes qui viennent vous aider vous sont d'un grand aide.

Marisa Oui, mais ils viennent manger. l’un deux, si on ne lui donne pas une assiette pleine de pâtes, dit qu’il n’a pas mangé. Non, je plaisante, ne t’en prends pas après moi.

La Madone - J’aime quand tu plaisantes, Marisella, j’aime beaucoup ta façon de faire et de parler avec moi, parce que tu me traites vraiment comme une maman, comme une soeur. Regarde, ta maman rit aussi.

Marisa - Oui, mais je vois que chaque fois que je te parle, tu retournes la situation. Nous n'en pouvons vraiment plus. Allons, sois bonne.

La Madone - Mais nous, Marisella, nous allons toujours prier devant Dieu. Quand tu monteras au ciel, tu comprendras ce qu’est le Paradis, qui est Dieu, qui sont les âmes saintes.

Marisa - d’accord, cela veut dire qu'à présent je dois encore rester sur la terre. Nous avons choisi une date, tu le sais, il est donc inutile de la répéter. Si cette date vous convient, j’en suis heureuse. Je souffrirai jusqu'à cette date et puis je m'envolerai, au Paradis.

La Madone - Maintenant, mes chers enfants, la Maman vous donne sa bénédiction, avec tous les saints qui sont près de moi et avec l’Evêque. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Villetta Barrea (AQ), le 29 juillet 2007 - 12h23 (Lettre de Dieu)

La Madone - Chère Marisella, je dois te dire que je serais venue quand même. J’ai écouté les belles paroles de mon Evêque, qui m'ont émue et j’approuve tout ce qu’il a dit. Vous désirez ma présence et je viens avec plaisir, mais vous attendez toujours que je vous dise quelque chose de beau, de grand, mais il n'y a rien à dire pour le moment. Si Dieu vous dit d’attendre, d’avoir de la patience, d’avoir confiance, pourquoi la perdez-vous? Je ne peux pas, vous donner les informations que vous attendez, chaque fois que je viens. Il n'y en a pas. Vous savez que Dieu vous aime et fera tout pour vous aider. Quelques fois je n’ai pas eu envie de venir, parce qu’il y avait parmi vous des personnes ayant commis des sacrilèges. Je n’ai pas eu envie de venir, parce que si je l’avais fait, j’aurais dit beaucoup de choses qui ne sont pas belles et que moi, la Madone, la Mère de l’Eucharistie, je n’aime pas. Je viens volontiers parmi vous même tous les jours, si vous le désirez, mais vous devez être tous en état de grâce, si vous ne l'êtes pas tous, vous ne me verrez plus. Je suis venue, puisque vous qui êtes présents, êtes en ordre avec Dieu. Est-ce que j’avais une nouvelle à vous donner? Non, je n’ai rien à vous dire, sinon vous répéter de prier les uns pour les autres, pour l’Evêque et surtout pour la Voyante, qui, en ce moment, touche vraiment le fond. Elle s'est reprise un peu, parce que je suis venue, mais ce n'est pas ce qu’elle désire, elle aimerait savoir quand elle mourra, savoir le jour où elle quittera cette Terre, parce qu’elle va mal. Ce monde n'est pas pour elle, alors elle attend la nouvelle; cette grande et belle nouvelle viendra. Vous serez alors tous libérés, vous n’aurez plus la charge de Marisella qui va mal et vous dérange la nuit. L’Evêque sera libre sans sa Marisella à ses côtés, et alors tout se reconstruira, tout sera beau parce qu’une âme qui est déjà du Ciel, sera montée au Ciel. Marisella, tu n'es pas une âme de la Terre, tu n'en peux plus d'être une âme de la Terre, selon Dieu tu es une âme du Ciel, même si tu vis très douloureusement dans un monde qui t’est étranger.

Marisa - Excuse-moi: quand comptez-vous m'emmener? Ne me réponds pas que tu ne le sais pas, sinon je ne me relèverai plus.

La Madone - Ce sont les décisions de Dieu. Quand le moment viendra, il m'enverra te dire: "Marisella, c’est l'heure".

Marisa - L’Evêque et moi, nous vous avions demandé de passer ensemble quelques semaines de joie, des jours de joie; vous avez dit oui et que s'est-il passé? Rien. Je ne dors jamais, cela fait des nuits que je ne dors pas. Je suis toujours mal et je dois réveiller des personnes la nuit pour qu’elles m’aident; je n’aime pas ça. Moi qui allais la nuit soigner les malades qui m’appelaient, je dois maintenant faire appel aux autres. Non, non, Petite Madone, cela ne va pas. Vous m’avez fait une si belle promesse qui ne s'est pas ensuite réalisée. Que dois-je penser? Aidez au moins l’Evêque, vous lui avez aussi promis bien des choses, et puis? Vous savez pourtant que c’est un saint homme. Qu’avez-vous fait pour l’aider?

La Madone - Tu as raison, Marisella, en tout ce que tu dis, mais nous devons faire ce que Dieu nous dit de faire et nous ne pouvons pas faire ce que dit l'homme de la Terre.

Marisa - Alors, va trouver Dieu et dis-lui tout ce que je t’ai dit, même si je sais qu’il entend tout. N'importe comment si je dois rester ici jusqu'à la fin du mois d’août dans ces conditions, je n'y tiens pas, il vaut mieux rentrer á la maison. Je t’en prie, va trouver Dieu, supplie-le de nous aider, je t’en prie, petite Madone, supplie-le beaucoup et emmène maman avec toi.

La Madone - J’ai fait bien des fois comme tu le dis, Marisella, mais on voit que l'heure n'est pas arrivée.

Marisa - Et alors tu ne lui dis rien?

La Madone - Bon, j’ai terminé, si quelqu’un a quelque chose à demander qu’il en profite, sinon je vous donne ma bénédiction.

Marisa - Je crois que personne n’a rien à demander quand toi ou Dieu ou Jésus parle. Que pouvons-nous demander nous pauvres mortels? Merci de m’avoir écoutée.

La Madone - Sois tranquille, nous allons voir Dieu tous les jours. Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Qu'y a t-il là derrière toi? La rose! C’est Dieu! Tu es venu, mon Dieu, dis-nous quelque chose, je t’en prie.

Dieu Papa - Sachez attendre dans la joie. Adieu à tous de la part de votre Dieu Papa, comme le dit l’Evêque. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Excellence, tu aurais pu parler cette fois. Pourquoi n’as-tu rien dit?

L’Evêque - J’ai parlé avant.

Marisa - La Madone a dit: "Si quelqu’un veut dire quelque chose, qu’il parle".

L’Evêque - L’invitation ne s’adressait pas à moi.

Marisa - Elle s’adressait à tous.

L’Evêque - Oui, je sais, mais j’avais déjà parlé avant.

Villetta Barrea (AQ), le 30 juillet 2007 - 23h46 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je sais que nous demandons beaucoup et posons toujours les mêmes questions, mais nous obtenons toujours les mêmes réponses. Souhaitez-nous un peu de bien, donnez-nous les grâces que nous vous demandons et dont nous avons tant besoin. Je vous ai demandé de me redonner de la voix, c’est maintenant la dernière chose que je demande, il y a d’autres choses bien plus importantes. J’aimerais tant que tu aides mon prêtre, mon Evêque, je ne veux pas le voir en cet état. Il dit qu’il en est de même pour moi. Je lui ai dit: que c’est la souffrance que je dois avoir. Je dois l’avoir, un point c’est tout. Pourquoi lui doit-il autant souffrir pour moi?

La Madone - Chère Marisella, douce créature du Ciel et de la Terre, ton raisonnement se tient, mais pour quelqu’un qui t’aime et qui t’accompagne depuis des années, il est difficile de ne pouvoir t’aimer, difficile de ne pas souffrir. Te souviens-tu comme tu as souffert lorsque ta maman était malade? Il en est de même pour l’Evêque maintenant. Cela fait des années, des années et des années que vous êtes ensemble et toi, ma fille, tu as toujours souffert. Je t’en prie Marisella, quand tu vois que l’Evêque est abattu et qu’il te dit: "J’ai mal parce que tu as mal", aie un peu de patience, accepte ses paroles. Oui, il est abattu à cause de toi et pour beaucoup d’autres raisons. Naturellement, il est maintenant abattu à cause de toi.

Marisa - Alors, s’il est démoralisé à cause de moi, pourquoi ne faites-vous pas quelque chose pour que j’aille un petit peu mieux? Aujourd'hui, la journée a été très dure pour moi et j’ai caché beaucoup de souffrances. Puis-je vivre en cachant toujours tout?

La Madone - Non, Marisella, tu ne peux pas vivre en cachant tout, mais tu peux le faire un peu. Vois-tu comme ta maman te regarde? Elle te regarde de ces grands yeux.

Marisa - Est-ce que maman peut parler?

La Madone - Bien sûr, parle à ta fille, grand-mère Iolanda.

Grand-mère Iolanda - Marisella, écoute ce que te dit la petite Madone: être patiente quand tu vois que ton frère est démoralisé. C’est un évêque très éprouvé. Croyez-vous que ce soit Notre faute? Non, c’est la planète Terre, qui est ainsi faite. Dieu vous aime, j’en suis témoin, Il vous aime immensément. Attendez avec joie ses interventions. Le jeu que vous faites le soir nous plaît beaucoup, il plaît beaucoup à Jésus, à la petite Madone et à tous les saints. Adieu, Marisella, un baiser pour l’Excellence, un baiser pour toi, mon enfant. Je remercie Chiara de tout ce qu’elle a fait pour vous. Adieu, trésor.

Marisa - Petite Madone, pourrais-tu me faire aller un petit peu mieux pour que l’Excellence aille aussi mieux?

La Madone - Oui, tu vas mieux. Tu reçois notre aide, Marisella, ce n'est pas beaucoup, parce que c’est ton chemin malheureusement et l’on n'y peut rien. Dieu t’a choisie, Dieu t’a appelée et désire que tu sois entièrement sienne. Je vous remercie du bien que vous faites même dans le silence. Nous allons tous les jours parler de vous avec Dieu et il dit: "Ce sont de saintes créatures", mais il n’ajoute rien d’autre, Il sait ce qu’il doit faire. Courage, Marisella, courage, Excellence, courage, nous sommes avec vous. Vous savez pourquoi je ne veux pas venir, je viendrais tous les jours, mais que vous dire? Toujours les mêmes paroles. Tant que Dieu ne fera pas ce qu’il a décidé de faire, je viendrai toujours vous dire les mêmes choses. Quelques personnes s'en offensent. Que dois-je faire?

Marisa - Non, non, viens quand même, si elles s'offensent, patience, mais viens quand même.

La Madone - Excellence, lève-toi et bénis ces enfants avec moi.

(L’Evêque donne la bénédiction)

Marisa - Je dois te donner un baiser de la part de maman, Excellence.

L’Evêque - Merci.

Marisa - Es-tu content, maintenant que la petite Madone est venue?

L’Evêque - Content, comme peuvent l'être des personnes dans une situation comme la nôtre, parce que notre situation est difficile et nous pèse.

Villetta Barrea (AQ), le 31 juillet 2007 - 22h09 (Lettre de Dieu)

La Madone - J'étais présente avec Jésus, le Saint Esprit, Saint Joseph et grand-mère Iolanda pour entendre ce que vous disiez au Dieu Tout Puissant: c'était juste, exact, c'était la vérité. Nous aussi, quand nous allons trouver Dieu pour lui demander quelque chose, nous parlons de cette façon. J’ai promis de venir souvent et je viendrai souvent pour vous aider à être forts, surtout pour aider l’Evêque. Reprends-toi, mon fils, reprends-toi, parce que ces enfants ont besoin de toi et moi, ta maman, je suis toujours près de toi et tu le sais, en particulier quand tu pries, mais surtout quand tu célèbres la Sainte Messe. Je suis près de toi et à la consécration, je m’agenouille la tête baissée vers la terre pour adorer Dieu. Courage à tous, amusez-vous, jouez comme les autres soirs et je serai avec vous. Je vous bénis ensemble avec Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Tu t’en vas immédiatement?

La Madone - Sois heureuse, Marisella.

Marisa - Tu as vu, Excellence, elle est venue!

L’Evêque - Elle était même déjà là. Non?

Marisa - Elle a été bonne, bonne au début.

Villetta Barrea (AQ), 1er août 2007 - 21h56 (Lettre de Dieu)

Dieu Papa - Mon fils, je savais ce que tu me dirais et j’en ai tenu compte. Je vous aime. Oui, c’est vrai que je vous fais attendre depuis longtemps pour venir chercher Marisella et l'emporter au Paradis. Quand je dis: "L'heure approche" je l'entends selon notre temps, et non selon votre temps. L'heure de Marisella approche, mais tout doit être préparé auparavant au Paradis, parce que son entrée doit y être quelque chose de grand et de beau. Personne ne sait ce que Moi, Dieu Papa, je prépare.

Ta soeur reçoit de l’aide; elle souffre, souffre beaucoup, mais ne mets pas en doute qu’elle soit aidée par la Mère de l’Eucharistie, par sa maman et surtout par Moi, qui suis son Dieu Papa, que tu invoques souvent et auquel vous adressez des phrases qui ne sont pas très belles, mais que J’accepte. Tu sais que nous préparons au Paradis quelque chose de grand et de beau qu’aucun homme de la Terre et aucun saint dans le Ciel ne peut comprendre, Marisella non plus, parce que tout sera pour elle une surprise. Je peux te dire que cela concerne la réalité spirituelle et matérielle. Son vêtement ne sera pas semblable à ceux des autres, parce qu’elle doit se présenter à son époux Jésus.

Je sais que la vie de Marisella est maintenant triste, douloureuse et difficile, mais avec Notre aide, elle parvient à surmonter toutes les souffrances et difficultés. Elle rit, blague, fait des plaisanteries, même si cela ne va pas, afin de ne pas te préoccuper et par amour de ceux qui sont présents.

Elle a fondu en larmes aujourd'hui, parce qu’elle en avait assez et avait à peine vu sa soeur et ses neveux auxquels elle est très attachée. Elle t’aime plus que les autres; elle t’aime profondément et ne veut pas te voir souffrir.

N'oublie pas ce que je t’ai dit: "Nous préparons quelque chose de grand et de beau, spirituellement et matériellement, pour Marisella, quand elle viendra à la rencontre de son Epoux Jésus".

Soyez tranquilles. Je vous veux du bien et Je vous aime immensément. Croyez-moi. N'est-ce pas, Marisella?

Marisa - Oui, mais l’Evêque et moi, nous souffrons énormément, parce que jusqu'à présent, rien ne s'est réalisé de tout ce qui nous a été promis.

Dieu Papa - Vous ne savez pas ce que Dieu Papa prépare pour vous.

Marisa - Ecoute, mon Dieu, je te le dis de tout mon coeur: si l’Evêque doit aller au Vatican et souffrir comme il l’a fait jusqu'à présent, emmène-le avec moi, emporte-nous tous les deux. Ne l'envoie pas au Vatican, où il sera blessé par les méchancetés et les calomnies, comme cela est arrivé jusqu'à présent. Mon Dieu, Toi qui sais comment vont les choses au Vatican et Tu nous les as également racontées, c’est pourquoi je t’en supplie: ne l'envoie pas dans la tanière des loups, dans le nid de vipères.

Dieu Papa - Marisella, je songerai à ce que je dois faire. Participe maintenant à la Sainte Messe et toi, Excellence, célèbre la Sainte Messe comme tu l’as toujours fait: avec amour et souffrance. Puis jouez.

La Madone - Moi, Jésus, Saint Joseph et grand-mère Iolanda nous sommes toujours avec vous. Excellence, si tu as quelque chose à me dire, parle; puis nous terminerons cette rencontre avec un beau signe de croix. C’est à toi.

L’Evêque - Est-ce que tu nous enverras la rose, comme la nuit dernière, pour que nous puissions nous reposer?

Marisa - Chère Maman du Ciel, l’Evêque ne t’a pas rien demandé de nouveau, il t’a simplement demandé une rose sans épine, comme tu nous l’avais promis. Fais-nous reposer cette nuit. Tu nous enverras la rose?

La Madone - Nous verrons ce que Dieu, Notre Père, a décidé.

Marisa - Adieu, Dieu Papa, envoie un baiser à l’Evêque. Aide-nous, je t’en prie. Nous sommes deux êtres qui ont besoin de Ton aide; aide-nous. Je suis heureuse de ce que vous préparez pour moi au Paradis, mais, tant que je suis sur la Terre, aide-nous à nous reposer et à aller un petit peu mieux.

Adieu à tous. Nous vous envoyons un gros baiser.

Villetta Barrea (AQ), le 3 août 2007 - minuit (Lettre de Dieu)

La Madone - Mon fils, quels conseils puis-je te donner? Tu as tout dit. Nous vous aidons, mais l'état de Marisella est grave, même très grave. Nous faisons ce que nous pouvons. Nous préparons sa venue au Paradis, comme Dieu le Père te l’a dit hier soir. Nous préparons tout, même son vêtement, qui ne sera pas comme celui des autres. Je sais qu’elle souffre, même maintenant elle a de très grandes douleurs, mais elle a beaucoup d’amour autour d’elle: le Nôtre et le Vôtre. Priez pour elle, afin qu’elle ait la force de tout accepter et de tout supporter. Je vous étreins et vous embrasse tendrement, comme le dit grand-mère Iolanda.

Marisa - Adieu. Elle est venue.

L’Evêque - J'étais sûr qu’elle viendrait.

Marisa - Elle a dit il y a quelques jours, qu’elle viendrait tous les jours, parce qu’elle aime venir, mais elle n’accepte pas que des personnes qui ne sont pas en état de grâce, soient présentes. Ce n'est pas beau que des personnes qui ne vivent pas en état de grâce soient présentes quand Dieu vient nous parler.

Villetta Barrea (AQ), 4 août 2007 - 23h14 (Lettre de Dieu)

La Madone - Marisella, tu ne vas pas bien du tout, mais je t’aiderai; cette nuit aussi, une rose arrivera pour toi. Je ne pouvais pas laisser ces enfants privés de ma présence, parce que je les aime trop. Je vous prie de continuer à prier, ne pensez pas seulement aux loisirs et au travail, mais pensez également à la prière qui devient toujours plus importante pour votre soeur. Elle sait que Dieu lui prépare une très grande fête et vous saurez tous un jour ce qu’il en est. Quand elle sera emportée au Paradis, elle vous manquera, mais vous vous réjouirez, parce qu’elle viendra souvent vous voir.

Je désire maintenant seulement vous dire de vous aimer, de vous vouloir du bien, de vous aider mutuellement: l’amour vainc tout et vous emporte directement au Paradis, petits et grands. Vous devez excuser mon retard, mais j’attendais que votre soeur récupère un petit peu, parce que sa santé décline toujours plus et j’ai alors dit: "Ce serait bien qu’elle s'en aille; tout au moins pour l’aider et vous aider".

Merci, mes chers enfants, merci de tout ce que vous faites pour mes deux enfants bien-aimés. Croyez et ayez toujours foi en Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos petits enfants. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Courage, Marisella, ta croix est grande et lourde et tu devras la porter jusqu'à la fin.

Marisa - d’accord, il suffit que vous m’aidiez. Merci.

La Madone - Un baiser aux enfants, Emanuele et Sara; adieu, petits enfants.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa - Merci d'être venue, je n'y comptais plus. Je ne me sens pas bien, j’ai besoin de me détendre.

La Madone - Oui, fais le, Marisella, ne te fais pas de soucis.

Marisa - Adieu, maman. Ils ont disparu.

L’Evêque - Quand la Madone est apparue, tu as sauté du lit. Mon Dieu, quelle agilité!

Villetta Barrea (AQ), le 5 août 2007 - 13h40 (Lettre de Dieu)

La Madone - Je vous demande de transcrire la prière faite par l’Evêque et de la distribuer autour de vous, parce qu’elle est très belle, très importante; elle a beaucoup plu à Dieu. Lisez-la, mettez-la en pratique et donnez-la aux autres membres du groupe, au cénacle. Dieu parle à travers lui, c’est pourquoi il fait de si belles et importantes réflexions. Toutes ses prières sont toujours inspirées par Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Si vous parvenez à vous attacher aux trois Personnes Divines avec amour, foi, espérance et charité, vous réussirez à devenir des êtres aimables, pleins d’amour et désireux de courir au Paradis.

Que puis-je vous dire encore après ce qu’a dit l’Evêque? Je peux vous dire de prier, d’aimer, d’aider votre soeur à aller un petit peu mieux; elle a énormément souffert aujourd'hui, mais elle s'efforce d'être sereine et de sourire. Sara, tes cheveux sont bien, ne t’en soucie pas. Que fait Emanuele? Il dort?

Emanuele - J'écoute de la musique.

La Madone - Croyez-moi, je n’ai rien d’autre à ajouter. Mettez en pratique ce que votre Evêque, inspiré par Dieu, dit pour vous, pour lui, pour tous et par amour de toute la Création.

Je vous bénis, mes chers enfants, avec mon saint Evêque. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisa - Tu termines ainsi?

La Madone - Oui, parce qu’il me semble, déprécier une prière trop belle.

Marisa - d’accord, si tu le dis …

L’Evêque - Est-ce que je peux moi la déprécier?

La Madone - Non! jamais!

Marisa - Adieu.

Villetta Barrea (AQ), 5 août 2007 - 23h35 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je te remercie de ton aide. Ce n'est pas que je ne veux pas que tu viennes, mais le problème est que je me sens mal et je préfère alors me taire. Je suis heureuse quand tu viens, en particulier si tu pries avec nous et que tu nous aides.

La Madone - Marisella, quand tu as besoin de cracher, tu dois le faire, sinon tu te ruines la santé. Obéis à la maman, s’il te plaît, et obéis à l’Evêque.

Marisa - Mais cela me gêne, quand d’autres sont présents.

La Madone -Tu ne dois pas t’en soucier, ce sont tous tes amis, toutes des personnes qui t’aiment, donc fais ce que tu dois faire quand tu en as besoin. Adieu, mon enfant, je prie toujours avec vous.

Marisa - Merci. Nous sommes à la fin du premier mystère.

La Madone -Je le sais, parce que je prie avec vous.

L’Evêque - (A demi voix, tourné vers Marisa) Demande-lui si tu peux te passer de manger, puisque tout ce que tu manges te fait mal.

Marisa - Il y a aussi le problème de la nourriture, parce que tout ce que je mange me fait mal à l'estomac et si je prends les médicaments, c’est encore pire.

La Madone - Marisella, je t’ai déjà dit que le moment viendra où tu ne mangeras plus rien et ne prendras plus de médicament, mais Nous t’aiderons, ne t’inquiète pas.

Marisa - Quand je suis à table avec les autres, j’aime manger avec eux.

La Madone - Fais ce que tu peux, mais n'exagère en rien. d’accord?

Marisa - La Madone est restée pour prier avec nous.

Villetta Barrea (AQ), le 6 août 2007 - 22h28 (Lettre de Dieu)

Transfiguration de Notre Seigneur

Marisa - Tu es venu, Jésus, parmi nous? J’ai vu ta transfiguration et je dois dire comme Saint Pierre: "Faisons trois tentes; une pour Moise, une pour Jésus et une pour Elie."

Jésus - Mes chers enfants, je suis venu fêter avec vous ce jour si important: la Transfiguration. Vous savez que c’est aujourd'hui l’anniversaire de la mort de Paul VI et de grand-père Aladino, et du moment que tous les deux sont au Paradis, adressez-vous à eux pour qu’ils vous aident à faire avancer la famille, le travail et toutes vos autres tâches. Je désirais tant être avec vous aujourd'hui, alors que vous récitiez le Rosaire, mais Dieu a envoyé la Maman, la Mère de l’Eucharistie et grand-mère Iolanda pour prier avec vous. C’est un moment très difficile pour votre soeur, un moment de grandes souffrances, aujourd'hui en plus de toutes les douleurs naturelles, elle a eu aussi …

Marisa - Ne le dis pas, je t’en prie.

Jésus - Si, mon épouse bien-aimée, tu as souffert aussi la passion. Tu as énormément souffert, mais tu as été héroïque, tu as bien caché toutes tes souffrances et tes douleurs. J'étais près de toi, parce que je suis ton époux et tu es mon épouse. Jeunes gens, essayez de m’aimer, parce que je suis votre Jésus, aimez la Mère de l’Eucharistie, parce qu’elle est votre Maman, étendez votre amour aussi à vos enfants. Ils font parfois des caprices, mais c’est normal, ce sont de petits enfants; ne les battez pas, donnez-leur seulement une fessée, mais ne les battez pas, je vous en prie, parce que Nous du Paradis, nous en souffrons énormément. Je veux enlever à votre soeur, dans ces dernier temps, quelques souffrances. Dieu le Père lui a envoyé des roses, cela fait maintenant sept nuits qu’elle réussit à dormir, même si dans la journée tout devient plus difficile. Vous êtes vous rendus compte qu’en dépit de tout, votre soeur parvient à sourire, plaisanter et parler? C’est ainsi qu’il faut se comporter: la souffrance ne doit pas vous affliger, mais vous élever aux plus hautes sphères du Paradis, parce que je vous veux tous avec moi, quand votre heure viendra. Ne vous faites pas de soucis, votre heure n'est pas arrivée, soyez heureux et contents et Moi, Jésus, je remercie cette famille qui est venue vous voir. Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, je vous serre tous sur mon coeur et, comme le dit la Maman du Ciel, je vous couvre de mon manteau. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Saint Esprit et de Moi, Dieu le Fils. Loué soit Jésus Christ. Courage et en avant, toujours.

Marisa - Adieu. Paul VI et mon papa sont présents. Comme tu es devenu beau, jeune et beau, papa, le Pape aussi est beau et jeune. Est-ce que nous aussi, nous deviendrons jeunes et beaux?

Jésus - Oui, Marisella, sois tranquille.

Marisa - Adieu, Jésus, adieu. Il y avait une multitude d'âmes saintes derrière Jésus qui ont disparu en un instant.

L’Evêque - Ils font vite pour s'en aller. Alors, il te fera aller mieux?

Marisa - Mais je vais mieux.

Villetta Barrea (AQ), le 8 août 2007 - 5h44 (Lettre de Dieu)

Marisa - Merci d'être venue, aide un petit peu mon estomac et mon bras.

La Madone - Marisella, tu dois rester assise et non allongée, parce que l'estomac se contracte. N'oublie pas que nous t’avons aidée, sinon tu verrais des étoiles sous l'effet des douleurs.

Marisa - Je te demande d’aider un petit peu mon estomac et mon bras qui me fait mal à partir du sein jusque sous l’aisselle, je ne sais pas ce que c’est. J’ai fait la piqûre pour l'estomac.

La Madone - Tu ne peux pas en faire une autre, c’est un calmant et on ne peut pas prendre en prendre deux ensemble, tu le sais.

Marisa - Oui, mais quand on est mal, on ne se rend plus compte de rien. Je te remercie de m’avoir aidée à aller un petit peu mieux. Je ne peux pas bouger le bras, parce qu’il me fait mal. Je t’en prie, envoie l’Evêque se coucher, il ne peut rien faire pour moi, je suis bien, bien ici.

La Madone - C’est à lui de décider. Il n’a pas envie de te laisser seule, je ferais comme lui, je ne laisserais pas seul quelqu’un qui est mal.

Marisa - d’accord, comme vous le voulez. Adieu, maman, merci de ton aide.

Villetta Barrea (AQ), le 9 août 2007 - 0h41 (Lettre de Dieu)

La Madone - Me voici, je suis prompte à répondre à mon cher Evêque. Tu devras prendre de l'Halcion et puis de nouveau du Tavor. Si cela ne s’avère pas suffisant pour que tu puisses te reposer, tu devras faire la piqûre, parce que si l'estomac ne va pas bien, comme en ce moment, cela pourrait provoquer des moments difficiles comme ceux que vous avez passés. Je dirais, si nous voulons, en tant que Maman et docteur, que toi, L’Evêque, tu lui donnes de l'Halcion 0.25, puis, avant d’aller finalement vous coucher, du Tavor; nous verrons comment la nuit se passera. Si les douleurs reprenaient ensuite comme hier, comme cette nuit, et comme aujourd'hui, vous devriez alors faire de nouveau une piqûre. Nous l’aiderons en tous les cas, ne faisons pas de piqûre pour l’instant et donnons-lui de l'Halcion et du Tavor. Je ne peux pas te dire plus, parce qu’il y a un autre problème: elle ne mange pas et elle est faible, c’est pour cela qu’elle ne supporte pas bien les médicaments. Vous ne lui avez plus donné de médicaments aujourd'hui et vous avez bien fait d'un côté et mal de l’autre: bien parce que son estomac va mieux, et mal parce qu’elle a plus de mal à respirer et ne peut plus expectorer les glaires. Tout ce que vous faites pour Marisella a toujours deux aspects, et vous devez essayer de choisir la solution la mieux appropriée, afin de ne pas la faire encore plus souffrir. Elle a beaucoup souffert ce soir, elle essayait de parler, de sourire, de plaisanter avec les enfants, mais elle souffrait énormément et j’ai posé ma main sur son coeur, essayant de l’aider, mais finalement elle s'est évanouie et sa maman et moi nous avons pris soin d’elle. C’est un être très éprouvé, qui souffre beaucoup, qui a de nombreux problèmes de santé, pas seulement un, mon cher Evêque. Comme elle est très attachée à ses neveux et petits-neveux, elle souffre de ne pas pouvoir s'entretenir avec eux, jouer avec eux. Quand la petite, Sara, lui a dit: "Tata, tu ne peux pas jouer, parce que tu ne peux pas rester debout, mais, si tu le veux, nous te mettrons dans ton fauteuil devant la porte et tu feras le gardien de but", et Emanuele, le petit frère a répliqué: "Mais si elle ne peut pas se lever, comment fera-t-elle pour attraper le ballon?", elle en a beaucoup souffert.

Marisa - Quand je vois les petits, j’aimerais jouer avec eux, parce que j’ai toujours joué avec mes neveux, mais maintenant je ne réussis plus à être une personne vivante, je me sens morte. d’accord, petite Madone, faisons comme tu l’as dit, mais tu dois nous aider, non pas tant pour moi, tu le sais, mais pour l’Evêque. Aide-le, je t’en prie, il en a besoin; je serai heureuse, si tu l’aides.

La Madone - d’accord, Marisella. Au Paradis, Nous prions pour toi, nous t’encourageons et t’aidons toujours. Vous, mes enfants ici présents, avant de vous coucher, priez pour votre tante, votre soeur, votre amie, et surtout pour l’Evêque. Ensemble avec l’Evêque, je vous donne ma bénédiction. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Adieu.

Villetta Barrea (AQ), le 12 août 2007 - 12h30 (Lettre de Dieu)

L’Evêque - Dieu Papa, Dieu Frère, Dieu Ami, Dieu Un et Trois, je Te recommande notre communauté, qui comprend beaucoup de personnes souffrantes. Je te recommande Marisa, que je vois souffrir en permanence, Iolanda, Lorenza, Daniela et Paolo; la souffrance les accable le plus. Mon Dieu, Tu peux tout, Tu peux guérir les maladies et faire diminuer les souffrances. Je t’implore pour ceux qui sont malades et loin, mais surtout pour ceux qui sont près de nous en ce moment. Je t’implore: envoie la Mère de l’Eucharistie faire ce que Jésus faisait quand il vivait en Palestine; il guérissait les malades et soulageait leurs souffrances. Nous croyons fermement en Toi, Dieu Un et Trois, nous nous abandonnons à Ta divine volonté, et nous nous permettons de demander aide, protection et intervention pour nos malades.

(On chante le Magnificat)

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants.

Mes remerciements s’adressent en premier aux neveux qui se sont relayés pour rendre visite à leur oncle et tante. Quand mes deux enfants sont près de s'effondre, il est bon qu’on les aide à continuer leur longue et douloureuse mission. C’est pourquoi la Madone vous remercie ainsi que ceux qui sont déjà venus et rentrés à la maison.

Je sais que tu vas mal, Marisella, très mal.

Marisa - Je dois te demander sur ordre de l’Evêque, si l’on peut faire quelque chose pour moi, parce que cela devient toujours plus difficile de continuer ainsi.

La Madone - Tu as déjà pris le calmant et ce soir fais la piqûre. Essaye de te reposer, mon enfant, tu as besoin de beaucoup, beaucoup de repos.

Marisa - Oui, je te remercie, mais quand tu viens, ne parle pas de moi.

La Madone - Je sais que deux personnes te préoccupent, mais que veux-tu, il faut avoir beaucoup de patience, comme en a l’Evêque. L’Evêque a beaucoup de patience.

Marisa - Continue à la lui donner, pour qu’il puisse les aider tous. Bénis nos petits enfants, les petits qui sont venus nous rendre visite. Bénis ceux qui vont mal et il y en a tant, bénis nous aussi qui attendons toujours quelque chose de bon. Sincèrement, j’ai des difficultés à te suivre, parce que je me sens rongée de l’intérieur, petite Madone.

La Madone - Fais comme je t’ai dit et tu verras que la nuit passera bien. Tu continueras à avancer et tu feras un bouquet de fleurs avec les roses que Dieu t’envoie chaque nuit. Mes chers enfants, essayez de comprendre cette enfant et de l’aider. Elle fait tout ce qu’elle peut, elle fait tout pour vous aimer et ses êtres chers, en particulier Mariasole, Sara, Emanuele, Samuele, Jacopo, qui est maintenant un jeune homme, et Denise, Michelle, Nicole et tous les petits enfants qui ont fait partie ou feront partie de notre communauté.

Ensemble avec mon Saint Evêque, je vous bénis ainsi que vos êtres chers. Je bénis ceux qui sont loin et les malades. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Villetta Barrea (AQ), le 15 août 2007 - midi (Lettre de Dieu)

Assomption de la Bienheureuse Vierge Marie

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. Comme vous le savez, c’est aujourd'hui, une autre de mes grandes fêtes, l’assomption de Marie au Ciel. Combien de vous iront jouir au Ciel? Le Ciel et la Terre me font fête, mais les hommes de la Terre ne me donnent pas satisfaction, parce qu’ils pensent plutôt à eux-mêmes, à jouir et à se divertir. Je veux qu’ils prient et aiment leurs frères, surtout ceux qui souffrent. Moi et mon époux bien-aimé, nous désirons être avec ceux qui m’aiment. Je me retire maintenant, parce que Dieu viendra parmi vous.

Marisa - Mon Dieu, pourquoi nous fais-tu tant souffrir? Pourquoi ne nous aides-tu pas à faire quelque chose de beau et de bien et ne nous accordes-tu pas ces grâces que nous t’avons demandées? L’Evêque et moi, nous t’avons demandé de passer tranquillement, dans la joie et la paix la fin de ma vie. Pourquoi ne nous l’accordes-tu pas? Pourquoi passons-nous des nuits mouvementées, même si nous réussissions à dormir un peu? Ecoute, mon Dieu, je te le dis de tout mon coeur; nous aimes-Tu tous les deux?

Dieu Papa - Bien sûr que je vous aime. Penses-tu que je serais ici avec vous si je ne vous aimais pas?

Excellence, combien de fois dois-je te dire que mon amour pour vous est infini? Pourquoi m’adresses-tu toujours les mêmes demandes auxquelles je dois toujours te donner les mêmes réponses? Je suis avec vous, la Maman est avec vous, tout le Paradis est avec vous. Quand vous invoquez Dieu Papa, Dieu Frère, Dieu Ami, Je suis avec vous. Vous ne devez pas en douter. Je sais que vous n'en doutez pas. Je sais que je vous fais attendre depuis bien longtemps la mort de Marisella et ton triomphe, mais, je te le répète, nous préparons tout. Tu aimerais savoir quand et comment, le jour et le mois, mais ce n'est pas possible. Quand l'heure sonnera, tu seras le premier à l’apprendre, le premier à souffrir et à se réjouir, parce que ta soeur montera au Paradis avec la Maman du Ciel. Vous ne devez pas douter. Dieu Papa, Dieu Frère, Dieu Ami, Dieu Un et Trois vous aime. Marisella, je te fais tenir debout, mais tu ne peux pas rester à genoux, trésor, parce que tes jambes sont usées, les os sont rongés de l’intérieur, c’est pourquoi tu souffres tant. Tu as mal au dos, aux pieds et à la tête, mais je te donne aujourd'hui la joie de rester debout.

Marisa - Pour combien de temps?

Dieu Papa - Voilà. Une autre qui veut savoir le temps.

Marisa - L’Evêque me l’a appris. Mon Dieu, aide-nous vraiment, nous sommes sur la terre, nous sommes effondrés moralement et également épuisés physiquement. Je t’implore de nous aider.

Dieu Papa - Ne me le demandez plus, parce que je vous aide. Je vous en supplie, croyez en ce que je vous dis: Je vous aide. Je suis votre Papa, pourquoi ne devrais-je pas vous aider, mes enfants? N'oubliez pas que je fais tout au moment opportun. Priez pour les membres du cénacle qui sont loin, surtout pour les malades; il y a beaucoup de malades dans votre communauté et je sais que vous priez beaucoup pour eux. Assieds-toi maintenant, Marisella, je t’en prie.

Marisa - Merci, merci, de m’avoir fait rester debout pour t'honorer. Quand Tu es présent, c’est si beau de s’agenouiller ou d'être debout. Merci. Mon Dieu, en ce qui me concerne, je te promets que j’essaierai d’avoir toujours le moral, que je ne serai pas aigrie, et que j’essaierai de me reprendre physiquement, mais j’ai envie de pleurer à cause des douleurs, qui sont si nombreuses. Ecoute, mon Dieu, as-tu jamais eu des douleurs?

Dieu Papa - Non.

Marisa - Alors, tu ne peux pas comprendre les miennes. (Tournée vers l’Evêque) Est-ce vrai qu’il ne peut pas comprendre les douleurs que j’ai?

L’Evêque - Il n’a pas fait l'expérience des douleurs, mais puisqu’il est Dieu, il sait ce que sont les douleurs.

Marisa - L’Evêque dit que tu n’as pas fait l'expérience des douleurs. Aide-nous, nous avons l’impression d'être deux orphelins abandonnés de tous. Même ceux qui nous aiment, ne peuvent comprendre ce que nous vivons. Dieu Papa, aide mon frère, il en a tant besoin. Merci.

Il nous a donné sa bénédiction, puis il est parti.

La Madone - Mes chers enfants, c’est le cadeau que je vous avais promis: la venue de Dieu le Père parmi vous. Je vous remercie des prières que vous faites pendant la journée et surtout pendant les excursions. (en voiture)

Marisa - Quelles excursions? Hier j'étais complètement vannée.

La Madone - Ton époux Jésus, mon époux bien-aimé Joseph, grand-mère Iolanda et moi, nous vous aimons immensément. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Un baiser au petit Ismaele Maria. Un baiser aux enfants qui sont absents ainsi qu'à vous. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

(Marisa, tournée vers la Madone, lui dit)

Marisa - Ecoute, rappelle à Dieu Papa ce qu’il nous a promis. Houspille-le.

L’Evêque - On dit: "Secoue-le".

(Nouvelle apparition de Dieu après qu’on ait plaisanté sur la phrase de Marisa)

Dieu Papa - Reste assise, Marisella. Tu voulais me secouer?

Marisa - Oui parce que Tu es trop tranquille, Tu restes assis tranquillement sur Ton trône. J’ai dit à la Madone de venir te secouer. Mais pourquoi es-tu revenu?

Dieu Papa - Parce que je vous aime et désire être encore avec vous.

Marisa - Merci, viens alors souvent nous voir. Est-ce que cela te plaît? (Marisa montre l’anneau avec les dauphins). Ce sont deux dauphins, symbole de la fidélité, Tu es l’un et je suis l’autre.

L’Evêque - Non. Je suis l’un et tu es l’autre.

Marisa - Quand l’Evêque parle il faut se taire et obéir. l’un c’est lui et l’autre c’est moi. Nous te serons fidèles jusqu'à la fin. Je ne fais pas venir seulement la Madone, mais tous les saints pour te secouer. Adieu, mon Dieu, Dieu Papa, merci d'être venu, tu nous as fait passer un peu de temps dans la joie. Nous espérons que…

Dieu Papa - L’Evêque doit avoir plus de patience …

Marisa - Mais il a raison.

Dieu Papa - Il n’a pas raison, parce qu’il veut que cela lui tombe tout cuit dans le bec, comme on dit à Rome.

L’Evêque - Ce n'est pas vrai.

Dieu Papa - Il doit attendre le temps qu’il faut.

L’Evêque - Je ne veux pas que cela me tombe tout cuit dans le bec.

Dieu Papa - Excellence, Je ne mens pas.

L’Evêque - Mais qui moi?

Dieu Papa - Moi, Dieu.

L’Evêque - Je te parle (tourné vers Marisa).

Marisa - Mais tu Lui as répondu, parce qu’il a dit que tu veux que cela te tombe tout cuit dans le bec.

Dieu Papa - Mon fils, sois maintenant brave, souriant, spirituel, si quelqu’un ne se conduit pas bien, reprends-le et s’il persiste dans le mal, envoie-le…

L’Evêque - Où?

Dieu Papa - Mets le à la porte, à la porte.

L’Evêque - Qui parle maintenant, toi ou Lui?

Marisa - Lui, toujours Lui.

Dieu Papa - Si les gens ne se conduisent pas bien, s’ils te font souffrir, mets les à la porte, à la porte, à la porte.

L’Evêque - A la porte d'où?

Dieu Papa - De ta maison.

L’Evêque - Puis-je m’asseoir, Dieu Papa?

Dieu Papa - Oui, oui, assieds-toi, trésor.

L’Evêque - Pouvons-nous parler un petit moment entre père et fils?

Dieu Papa - Oui, parle.

L’Evêque - Dieu Papa, Tu sais tout ce que j’ai dans le coeur, je ne le répèterai donc pas, je te dis seulement: est-ce que la vie que nous menons te semble être une vie humaine possible?

Dieu Papa - Pour les autres non, pour vous oui; la vôtre exige énormément.

L’Evêque - Mais est-il possible que nous soyons toujours entourés de souffrances, d'incompréhension, de méchancetés, de calomnies, d’en haut et d’en bas!

Dieu Papa - Parce que les êtres humains sont méchants. Souviens-toi que depuis que j’ai créé le monde, l'homme a toujours été méchant, en commençant par Caïn et Abel.

L’Evêque - Mais Abel était bon, où sont nos Abels?

Dieu Papa - Tu as les jeunes, ils sont pour la moitié des Abels.

L’Evêque - Mais ils ont leur famille et leur travail.

Dieu Papa - Ils t’aident quand ils le peuvent.

(Dieu Papa attend que l’on change la cassette du magnétoscope qui était finie)

L’Evêque - Merci de la patience que tu as eue.

Dieu Papa - J’ai eu la patience d'écouter Marisa qui jouait avec Ismaele, j’ai eu la patience d’attendre Fabrizio qui changeait la cassette, je vous aime tant que je serais capable de vous attendre jusqu'à ce soir.

Marisa - Nous allons lentement, je veux sortir.

Dieu Papa - Je vous salue maintenant, mes chers enfants et n'oubliez pas, ayez foi en Moi. Ne vous faites pas de soucis, je viendrai vous voir pour être avec vous.

Marisa - Merci, mon Dieu, au revoir.

L’Evêque - Merci.

Villetta Barrea (AQ), le 17 août 2007 - 20h22 (Lettre de Dieu)

La Madone - Marisella, je suis contente des prières que vous faites, des rosaires que vous récitez et des Saintes Messes que vous écoutez. Priez avec foi et amour. Je suis venue pour être près de vous, je vous ai promis que je ne vous abandonnerai pas et je ne vous abandonnerai jamais.

Dieu Papa - J'écoute toujours avec amour les paroles que dit votre saint Evêque, parce que pour Nous, il est déjà saint.

Marisa - Et moi?

Dieu Papa - Tu sais que tu es sainte.

Marisa - Tu m’as dit une fois que j'étais une créature du Ciel, mais je suis sur la Terre.

Dieu Papa - Marisella, ne commence pas à faire des caprices. Tu es une créature du Ciel, c’est Dieu Papa qui te le dit. Je suis seulement venu pour vous souhaiter bien des choses et vous donner ma sainte bénédiction. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Adieu, Dieu Papa, adieu, Mère de l’Eucharistie, adieu, maman.

Dieu Papa - Je sais que tu vas mal, mon enfant, mais tu iras malheureusement toujours mal, par la faute des hommes, ou parce que tu es très malade. Nous t’aimons beaucoup et préparons pour toi quelque chose de grand au Paradis, tu le sais.

Marisa - Oui, je sais que vous préparez ma venue au Paradis, mais je n'en connais ni la date ni le jour exact.

Dieu Papa - Marisella, ne commence pas comme l’Evêque!

Marisa -C’est bon, je ne dis rien, c’est bon, adieu.

Villetta Barrea (AQ), le 19 août 2007 - 0h 44 (Lettre de Dieu)

Marisa - Merci. Puis-je rester assise?

La Madone - Fais comme tu veux, mon ange, créature du Ciel. Nous faisons tout pour te faire aller mieux, mais c’est parfois difficile. Cette nuit sera dure, mais nous ferons tout pour être près de toi, de façon à ce que tu réussisses à supporter les douleurs et que l’Evêque puisse se reposer. Petite créature du Ciel, combien de souffrances nous t’avons demandées, mais tout a été décidé par Dieu avant ta naissance. Nous te remercions vraiment de tout notre coeur de tout ce que tu as fait pour l’Eglise, les prêtres, les adultes, les jeunes et de ce que tu continueras à faire quand tu auras rejoint ta maman au Paradis; tout sera alors plus facile pour toi. Tu dois avoir maintenant encore beaucoup de patience.

Marisa - Mais je ne demande pas beaucoup, je demande seulement à dormir la nuit. J’ai été aujourd'hui très mal toute la journée, mais je serai heureuse si vous me faites reposer cette nuit. Si je ne suis pas bien le jour, patience, parce que la journée passe d’abord, je sors, j’ai de la compagnie et je prie.

La Madone - Merci, Marisella, je sais que vous priez beaucoup, l’Evêque prie énormément. Merci de tout mon coeur pour ce que vous faites, vous les jeunes, pour mes deux enfants.

Marisa - L’Evêque et moi nous avons parfois peur de perdre notre âme.

La Madone - Non, Marisella, vous ne perdrez pas votre âme, parce que, spirituellement parlant, vous êtes déjà au Paradis. Regarde-le, regarde-le ton Paradis.

Marisa - Merci, merci, je ne mérite pas tout cela. Aide ceux qui nous aiment, aide mes jeunes et leurs petits enfants, ce sont des créatures bonnes et innocentes. As-tu vu comme Miriam t’embrasse? Combien de baisers elle t’envoie?

La Madone - Tout cela me rend heureuse, je suis contente de vous, parce que vous priez. Mes chers petits enfants, la Maman vous laisse et retourne vers Dieu le Père, mais n'oubliez pas: quand vous êtes avec l’Evêque, je suis toujours près de lui et avec lui. Courage, Marisella, sois forte, mon enfant, tu as toujours été héroïque, tu as vraiment été la femme forte de l’Evangile, même si tu es pour nous une petite créature du Ciel. "Laissez venir à moi les petits enfants, car c’est à eux qu’appartient le Royaume des Cieux" a dit Jésus, mais il n'entendait pas l'âge, mais l’amour, cet amour qui part de Dieu et retourne à Dieu; Dieu est amour. Merci. Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et la petite fille qui dort. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Envoie-moi maman cette nuit, si tu ne peux pas venir.

Villetta Barrea (AQ), le 19 août 2007 - 13h05 (Lettre de Dieu)

Marisa - Dieu Papa, Dieu Frère, Dieu Ami, Mon Dieu, merci de ta venue inespérée.

Dieu Papa - La petite Madone, grand-mère Iolanda et tous les anges et les saints sont également présents. Regarde combien il y a de petits enfants autour de Moi.

Marisa - Mon Dieu, si tu es venu, dis-nous quelque chose.

Dieu Papa - Marisella, ne commence pas toi aussi, je te l’ai dit, quand ce sera l'heure, vous le saurez. Je veux maintenant que vous priez pour une nation qui s'en va à la dérive. Je t'y emmènerai ce soir avec Moi, tu ne me verras naturellement pas, mais tu sentiras Ma présence. Nous irons aider ces pauvres gens avec la maman du Ciel et ta maman. Tu veux partir et je suis d’accord, mais tu sais qu’il y a encore beaucoup de travail à faire.

Marisa - Mon Dieu, l’Evêque dit toujours: "Puisqu’il y a tant de millions d'hommes sur la Terre, ne pourrais-tu pas faire appel à quelqu’un d’autre?". Je suis si fatiguée, je le cache parfois, je ris et je plaisante parfois, mais ma fatigue est si grande. Ce matin quand je me suis réveillée, j’ai dit: "je reste encore un peu au lit", parce que je me sentais exténuée, puis en pensant à tout ce que je devais faire, je me suis levée, mais je suis si épuisée. Je dois toutefois te remercier pour cette grande et belle rose que tu m’as envoyée cette nuit, je n'espérais pas pouvoir me reposer. Merci, mon Dieu.

Dieu Papa - Tu ne dois pas me remercier. Chacun a la sienne; tu as mérité cette grande rose et je te l’ai donnée.

Marisa - Je ne trouve pas à acheter de rose aussi grande.

Dieu Papa - Achète celle que tu veux. Tu sais que Je me manifeste à travers une rose, comme en ce moment, ou une étoile, ou cette belle fleur africaine que tu aimes tant, parc que tu aimes l’afrique. Ce soir nous irons sauver une nation d’afrique.

Marisa - Tu t’en vas? Reste encore un petit peu avec nous.

Dieu Papa - Je dois m'en aller; l’apparition est la tâche de la Maman, de la Mère de l’Eucharistie. Adieu petit ange du Ciel, nous nous verrons ce soir, je te verrai mais tu ne me verras pas.

Marisa - Merci, mon Dieu, merci.

La Madone - Mes chers enfants, merci de votre présence. J’ai éprouvé une grande joie à la venue de Dieu Papa parmi vous. Marisella, tu es restée émerveillée, tu ne t'y attendais pas, mais Dieu Papa fait ce genre de surprises et vous devriez en être heureux et contents. Je vous remercie encore une fois des prières que vous faites, mais étendez-les à tout le monde. L’Evêque a prié pour cette ville, cette fête, ces gens, ceux qui viennent en vacances ici. Beaucoup pèchent gravement en vacances et ceci nous fait beaucoup souffrir. Le sacrilège est le péché le plus grave et le plus abominable qui éloigne de Jésus Eucharistie. Ne vous éloignez jamais de Jésus Eucharistie, vous devez être toujours ses enfants et toi son épouse. L’Evêque a raison quand il dit: "Ce chant est fait pour toi". Oui, ce chant est fait pour toi, Marisella.

Marisa - Puis-je parler? Vous voyez beaucoup de choses en moi que je ne vois pas, n'entends pas, et…

La Madone - Continuez à prier. La petite Miriam et ses parents rentrent aujourd'hui à la maison. Je sais que tu en auras beaucoup de regret, Marisella, mais c’est la vie. Ils doivent rentrer, le travail les attend. Je ne veux pas m’attarder plus longtemps, parce que je remarque que ta voix s'en va. Nous t’aidons parfois à chanter et à parler, et parfois ta voix s'en va, mais la cause en est naturelle, tes cordes vocales sont très usées et cela te fatigue de parler. Je suis heureuse que bien que vous soyez peu nombreux, vous vous réunissiez pour prier. Priez spécialement les jours de fête, parce qu’on y commet plus de péchés. La maman vous remercie et ensemble avec tout le Paradis et mon Evêque, auquel je demande la permission, je vous donne la sainte bénédiction.

Je vous serre tous sur Notre coeur. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il. Loué soit Jésus Christ.

Villetta Barrea (AQ), le 22 août 2007 - 2h30 (Lettre de Dieu)

La Madone - Si tu as pardonné, cela veut dire que tu aimes; tu as toujours aimé tous les hommes. Reprends-toi. Tu es à Villetta Barrea et tu as passé un moment très critique. Va maintenant te reposer. Dis seulement une petite prière, ce soir. Mon enfant, angelot du Ciel, comme tu es bonne!

Marisa - Comment peux-tu dire que je suis bonne, quand je me sens si méchante. Fais que j’aille maintenant un petit peu mieux, parce que je ne me sens bonne à rien et je ne veux pas le dire à l’Evêque, mon frère, parce que je ne veux pas qu’il s'occupe de moi. Petite Madone sainte, Vierge immaculée, toi qui as vu Jésus en croix, écoute ma voix. Je t’aime tant, fais que je sois bonne et bientôt sainte.

La Madone - Mais que dis-tu là, mon ange? Tu es une créature du Ciel. Nous allons maintenant dire une prière pour toi.

Marisa - Adieu, petite Madone. Aide-moi, je t’en prie. Il y a un peu de confusion dans ma tête, je ne comprends rien, je ne sais pas où je me trouve, je ne sais rien.

La Madone - Va maintenant te reposer avec ton frère; il sera près de toi et t’aidera. Nous t’aiderons à te reposer.

Marisa - Je ne sais pas où sont les toilettes, petite Madone.

La Madone - Avance, tourne à gauche, les toilettes sont là; les autres te ramèneront ensuite dans ton lit.

Marisa - Pourquoi suis-je ainsi si confuse et que je ne vois pas?

La Madone - Parce que tu aimes trop et ton amour t'épuise; mais c’est beau d’aimer son prochain, même s’il fait souffrir. Va, mon enfant, va.

Marisa - Adieu, salue ma maman. Je ne réussis pas à voir.

L’Evêque - Nous t’aiderons, Marisella.

Marisa - Voulons-nous y aller?

Villetta Barrea (AQ), le 22 août 2007 - 19h40 (Lettre de Dieu)

Sainte Vierge Marie Reine

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ.

C’est aujourd'hui une grande fête pour Nous au Paradis, c’est la fête de Marie Reine. Marisella, quelqu’un t’a également appelée Reine.

Marisa - Mais je ne suis pas Reine, je suis une pauvre malheureuse.

La Madone - Je veux d’abord remercier votre Evêque, parce qu’il a voulu vous faire un cadeau. Vous méritiez certes bien plus pour ce que vous avez fait, mais il ne pouvait faire davantage. Il doit faire face à beaucoup de dépenses et payer beaucoup de médicaments, il ne pouvait pas faire plus et il l’a fait de tout son coeur avec tout son amour. C’est pourquoi je suis venue bénir les petits cadeaux qu’il a fait à chacun de vous. Soyez en heureux.

Mes chers enfants, disons, jeunes gens, qui êtes ici pour aider mes deux enfants, la Maman vous remercie et vous bénit, ainsi que vos êtres chers, la petite Miria Claudia, tous les petits enfants et tous les neveux. La fête de Marie Reine est une grande fête, mais elle n'est pas beaucoup célébrée sur la Terre, je dirais pas connue non plus, mais vous ne l’avez jamais oubliée, depuis que vous avez séjourné dans ce petit village, dans la province de Macerata, où l’autocar est arrivé, le vingt deux et les gens ne faisaient rien d’autre que parler. Je suis venue et les ai tous également bénis.

Quand je viens, je désire bénir tous ceux qui sont présents et envoyez ma bénédiction à ceux qui sont absents et loin pour diverses raisons, surtout aux malades. Il y a des malades graves parmi vous, priez pour eux. La prière jaculatoire adressée à grand-mère Iolanda pour vos malades, est très belle, je prie pour eux, moi aussi. Quand l’un de vous partira et montera au Ciel (la Voyante), il y aura de l’aide, du réconfort et des miracles. Celui qui restera (L’Evêque), ressentira au début de la souffrance, mais elle passera et il se souviendra de toutes les belles choses ayant eu lieu. Priez, mes chers enfants, priez, pour ce départ, c’est très important pour elle, mais aussi pour les autres. Je viendrai vous bénir tous les jours, même si Marisella n'entre pas en extase. Merci.

Ensemble avec mon et votre Evêque, qui malheureusement ne se sent pas très bien aujourd'hui, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel.

Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

L’Evêque - Puis-je te poser une question?

La Madone - Bien sûr.

L’Evêque - Est-ce que Marisella serait montée hier soir au Paradis, si vous ne l’aviez pas retenue sur la Terre?

La Madone - Oui.

L’Evêque -Merci, parce qu’elle doit partir au Paradis, quand elle sera à Rome.

La Madone - Oui; c’est pourquoi elle a été aidée, mais elle était mal, très mal, elle ne se souvenait même plus où elle était, ne voyait pas et ne reconnaissait personne. Je suis venue avec grand-mère Iolanda, nous sommes restées auprès d’elle pour la faire dormir et elle a pu se reposer, pas autant que les autres fois, mais elle a pu se reposer. Veux-tu savoir autre chose, Excellence?

L’Evêque - J’attends toujours cette réponse de Dieu, mais cela suffit pour maintenant. Merci.

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

La Madone - Adieu.

Marisa - Adieu, Maman. Merci. Elle nous a bénis un par un.

Villetta Barrea (AQ), le 24 août 2007 - 23h12 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je n’ai pas qu’une seule douleur, tout mon corps est douleur. Je te demande: de me guérir au moins de quelque maladie, pas pour toujours, parce que ma nièce médecin m’a dit que je souffre de plusieurs maladies chroniques. Penses-tu que j’ai été gourmande?

La Madone - Non, Marisella, tu ne manges jamais rien, tu manges une fois quelque chose, tu le manges avec plaisir. La maladie est très grave et progresse chaque jour. Nous parvenons à te faire reposer la nuit, pas six, sept heures, parce que tu dois malheureusement te lever pour une raison ou une autre et dois expectorer, mais nous t’aidons, mon enfant, créature du Ciel.

Marisa - Je ne sens pas cet aide aujourd'hui, je l’ai dit également à Dieu le Père: "Je ne sens pas que vous m’aidez". Si je suis bien, ceux qui sont près de moi vont également bien, surtout l’Evêque. Je suis toujours mal, que ce soit pour des problèmes de santé ou pour des douleurs. Peux-tu faire quelque chose? Je t’en prie, va trouver Dieu le Père et demande-lui de me faire aller un petit peu mieux, un petit peu, un petit peu, pour que je puisse vivre en harmonie avec mes amis. Je ne joue pas, parce que je ne me sens pas bien; puis depuis que Jésus m’a mis la couronne d'épines, je souffre encore plus. A propos quand me l'enlèvera-t-on?

La Madone - Dimanche matin, trésor.

Marisa - Dimanche matin?! Oh mon Dieu! Quel jour est-on aujourd'hui?

L’Evêque - Vendredi.

Marisa - Encore?!

La Madone - Oui, mais Nous t’aiderons, ne te fais pas de soucis. Les stigmates aussi te font souffrir, ainsi que…

L’Evêque - … Le coup de lance.

Marisa - Le foie et les os me font également mal, tout me fait mal. C’est bon, si Vous m’aidez, j’accepte, même si je n’accepte pas, Vous décidez toujours. Si vous m’aidez, j’aurai plus de force et de courage pour tout supporter par amour de Jésus, de mon Epoux, par amour de tous ceux qui m’aiment, et sont peu nombreux.

La Madone - Marisella, tu as tout le Paradis qui t’aime.

Marisa - Oui, mais à présent je suis encore sur la Terre et j’aimerais aller un petit peu mieux, tout petit peu, peu. Pense que l'estomac me fait effroyablement mal et ce n'est rien en comparaison des autres souffrances. Ajoutes-y la couronne d'épines, les stigmates, le coup de lance et fais la somme. Mais si vous m’aidez, j’accepte, faites comme vous voulez.

La Madone - Je te remercie, Marisella, de tout ce que tu fais.

Marisa - Mais vous m’aviez dit que je ne devais plus souffrir pour les prêtres …

La Madone - Pour les prêtres non, mais pour le triomphe de l’Eglise oui.

Marisa - Alors pourquoi ne me prends-tu pas et ne fais-tu pas voler l’Evêque Claudio à la tête de l’Eglise? Nous en serions tous heureux et contents.

La Madone - C’est bon, Marisella, continuez à jouer, nous aimons beaucoup vous voir jouer. Même si tu dis quelque bourde, ne t’en soucie pas, ce n'est pas cela qui nous offense, absolument pas. Dieu vous aime, je vous aime, grand-mère Iolanda vous aime.

Marisa - Dieu nous aime vraiment?

La Madone - Marisella, que dis-tu?

Marisa - Pourquoi me fait-il tant souffrir?

La Madone - Dieu t’aime. Courage. Je vous donne ma bénédiction. Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Marisa - Adieu. Un baiser à tout le Paradis. Merci d'être venue. Est-ce que Dieu se repose? Est-ce pour cela qu’il n'est pas venu?

La Madone - Non, Marisella, Dieu m’a envoyée, ne te fais pas de soucis, Dieu ne se repose pas, il pense au monde entier.

Marisa - C’est bon, adieu.

Villetta Barrea (AQ), le 26 août 2007 - 12h49 (Lettre de Dieu)

La Madone - Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Loué soit Jésus Christ.

C’est beau d’entendre chanter, surtout quand tous chantent d'une même voix, mais s’il y a également une seconde voix, il faut la faire. Pourquoi vous unissez-vous à celui qui tient la première voix? Je vous ai dit ceci en plaisantant. Mais je vous demande sérieusement que toutes les prières faites par votre Evêque soient enregistrées, transcrites et récitées par tous. Elles sont toutes belles et concernent Dieu et l’Eglise. Je vous ai dit de ne plus parler des prêtres, mais du triomphe de l’Eglise, de cela oui, laissez-Nous le reste.

Je suis venue avec la permission de Dieu le Père, vous apporter une lettre simple, mais pleine d’amour pour vous. Dieu vous aime par dessus de tout, Dieu protége les humbles, pas les orgueilleux et les prétentieux. Vous devez tous progresser dans la vie spirituelle avec humilité, sincérité, simplicité et amour: cet amour qui a Dieu comme source et but. Comme le dit votre Evêque, Dieu Papa, Dieu Frère, Dieu Ami, c’est votre Dieu. Vous devez L’aimer ainsi que les êtres humains, même s’ils ne se conduisent pas comme vous l’aimeriez qu’ils le fassent; il ne faut pas les condamner pour cela mais les aider et les comprendre. s’ils ne veulent pas être aidés, ce n'est pas à vous, j’entends le cénacle, de les juger. Chacun a son propre caractère, mais chacune de vos actions doit être orientée vers Dieu. Si vous allez vers Dieu, vous devez également aller vers Ses créatures. Vous êtes des créatures de Dieu, je suis une créature de Dieu et nous devons tous aimer Dieu. Quand on vous confie des tâches ou des missions ne vous en enorgueillez pas, restez humbles et simples. Ne vous sentez jamais arrivés. Je vous donne un exemple: votre soeur sait depuis longtemps quelle sera sa place au Paradis, mais elle ne s'en est jamais enorgueillie, au contraire elle a montré de la peur de faire ce pas. Ne vous sentez jamais arrivés, soyez toujours humbles, pieux, dévots, affectueux, j’insiste toujours sur l’amour, parce que Dieu est amour et vous devez être ses enfants pleins d’amour.

Nous préparons de grandes réjouissances au Paradis et quelqu’un (L’Evêque) aimerait savoir l'heure et le moment du départ de Marisella. Ce n'est pas possible, Dieu prépare et quand tout sera prêt il dit: "Nous sommes arrivés au but". Ayez foi, beaucoup de foi en Dieu, ne vous laissez pas aller. Gardez surtout le moral, même si vous avez parfois envie de vous cogner la tête contre les murs. Comme il est dit dans la lettre de Dieu le Père, levez la tête, tenez-la toujours tournée vers le Ciel, parce que Nous du Paradis, nous sommes avec vous.

Courage, mes enfants, essayez d'être amis avec tous, ne formez pas de groupes. Vous devez former un beau cénacle, un beau groupe de jeunes, je serai toujours avec vous comme je suis toujours avec mon Evêque, mon fils.

Que puis-je te dire, Marisella? Courage, mon enfant, la souffrance t'éprouve jour et nuit; tu as dormi paisiblement cette nuit entre mes bras.

Marisa - Viens toujours, ne viens pas seulement une fois, quand cela te va, viens chaque fois et fais-moi dormir, sans interruption.

L’Evêque - Cette nuit a été belle.

Marisa - Je n’ai pas de mots pour te remercier et surtout pour remercier Dieu, parce qu’une grande rose est arrivée cette nuit. Nous n’avons pas de grandes roses, nous nous contentons de cueillir les petites roses du jardin. Pouvons-nous les prendre?

La Madone - Mais bien sûr, tout vient de Dieu, Dieu a tout créé.

Marisa - Comme tu es bonne, tu es si bonne.

La Madone - Je vous remercie tous pour ce que vous avez fait pour mon Evêque, pour Marisella, la créature du Ciel. Quand vous serez à la maison ou au travail, continuez à prier pour ces deux enfants, parce qu’ils ont besoin de beaucoup de force pour continuer; c’est seulement avec la prière que vous pouvez obtenir ce que vous voulez. Merci de l’aide que les autres qui sont venus et repartis ont également donné. Moi, votre maman, ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et les objets sacrés que votre Evêque a eu l’idée de vous donner.

Marisa - La pensée!

La Madone - Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel, comme je vous ai toujours couvert durant cette période. En fait, il n’a pas plu ici, mais dans les environs oui.

Marisa - Nous avons toujours eu le Soleil.

La Madone - Grâce à qui? A Dieu. Tu es bénie du Soleil et de la Lune.

Marisa - Tu es la Lune et Jésus est le Soleil.

La Madone - Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Loué soit Jésus Christ.

Marisa -Adieu, maman, tu souris aujourd'hui, merci, maman.

Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit.

Maman est venue.

L’Evêque - Elle vient toujours.

Marisa - Elle souriait aujourd'hui.

L’Evêque - Dieu soit loué. Elle a tant pleuré hier, la malheureuse.

Villetta Barrea (AQ), le 26 août 2007 - 13h01 (Lettre de Dieu)

(S.E. Mons. Claudio Gatti, l’Evêque ordonné par Dieu parle à ceux qui sont présents)

L’Evêque - Quand je fais des prières spontanées, Jésus, la Madone, Saint Joseph et grand-mère Iolanda viennent.

Dieu Papa - Et Moi, Dieu, je ne viens pas? Je voulais entendre parler l’Evêque.

Marisa - Il parle ainsi, mais il t’aime.

Dieu Papa - Bien sûr, je sais qu’il m’aime.

Marisa - Mon Dieu, merci d'être venu, fais-moi aller un petit peu mieux, parce que hier soir aussi j'étais sur le point de mourir. Fais-moi maintenant rester en vie. Merci, mon Dieu, merci pour tout ce que tu fais pour nous, même si parfois notre moral baisse, mais remonte ensuite.

Dieu Papa - Courage, Excellence, créature du Ciel.

Marisa - Lui aussi est une créature du Ciel?

Dieu Papa - Courage, tu sais que je ne t’abandonne pas, tu sais que je suis près de toi. Parle, dis ce que tu veux, rouspète aussi, sois tranquille, cela ne me dérange absolument pas.

Courage, mes enfants, je vous donne ma grande bénédiction et j'étends mes bras sur vous. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Adieu, Excellence.

L’Evêque - Adieu, Papa.

Dieu Papa - Cela je voulais l'entendre: "Adieu, Papa".

Marisa - Alors je le dis aussi: "Adieu, Papa".

Villetta Barrea (AQ), le 29 août 2007 - 0h12 (Lettre de Dieu)

Marisa - J’aimerais te demander de me faire aller un petit peu mieux, pas pour moi, mais pour les autres, pour ceux qui vivent ici avec moi, surtout pour l’Evêque. J’ai mangé et cela s'est mal passé, j’ai pris les médicaments et cela a été pire. Que dois-je faire?

La Madone - Reprends encore demain les médicaments, parce qu’ils te font du bien. Si l'estomac continue à te faire mal, laisse tout, ma fille, il est inutile d’essayer; demande de l’aide à Dieu le Père, comme Nous le faisons. Tes jambes te font mal, ta tête te fait mal, tes épaules, ton estomac, tout ton corps est douleur et Nous te pouvons t’aider que dans la mesure où Dieu le permet. Mange lentement, mais si tu ne peux pas bien mâcher, laisse la nourriture. Nous essaierons encore demain avec les médicaments, Nous t’aiderons, mon enfant. Crois-tu que cela ne nous fasse pas de la peine? Crois-tu que Nous ne voyons pas ta souffrance et que nous n'en souffrons pas? Oui, mais c’est ta mission, ta façon d’aimer Dieu et l’Eglise. Courage, nous sommes tous près de toi.

Marisa - Petite Madone, je ne le demande pas pour moi, mais pour l’Evêque. Il va mal quand je vais mal. Je te demande également de nous faire reposer, de ne pas nous faire passer les nuits comme il y a deux jours. Aide-nous à t’aimer toujours plus, en dépit de toutes ces souffrances.

La Madone - Courage, créature du Ciel, Nous sommes près de toi, même si tu ne t’en rends pas compte. Tu as beaucoup souffert, ton martyre est continuel, jour après jour. Certains martyrs sont morts subitement, ils ont souffert pour peu de temps. Tu souffres depuis des années, c’est pourquoi je dis que ton martyre est permanent, devient même toujours plus grand chaque jour. Beaucoup de gens prient pour toi, l’Evêque en particulier. Courage, sois forte, mon enfant et j’espère que tu pourras entrer aussi vite que possible dans les bras de Dieu.

Marisa - Merci, aide-moi ce soir, parce que j’ai trop de souffrances.

La Madone - As-tu vu que j’ai fait passer la douleur à ta jambe? La tête va maintenant un petit peu mieux et l'estomac, malheureusement, est attaqué par les médicaments. C’est pourquoi j’ai dit d’essayer encore demain et si cela ne va pas, de les abandonner. Levez les yeux vers le Ciel, regardez Dieu, même si vous ne le voyez pas et récitez: Notre Père … Ensemble avec mon et votre Evêque, je vous bénis, je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Courage, Marisella.

Marisa - Tu me feras dormir cette nuit? Je t’en prie, j’ai si peur de la nuit.

La Madone -Nous serons près de toi.

Marisa - Adieu.

Villetta Barrea (AQ), le 31 août 2007 - 23h11 (Lettre de Dieu)

La Madone - Je ne te suggérerai pas les réponses du jeu, je ne l’ai jamais fait et je ne le ferai jamais. Tu es une créature de Dieu, une créature de la Terre, donc si tu les connais c’est bien, si tu ne les sais pas, cela veut dire que tu n’as pas fait d'études.

Je suis venue pour vous encourager à aller de l’avant. Vous parvenez maintenant à vous reposer la nuit, grâce à Dieu. Dans la journée, tu as des douleurs de toutes sortes, je dirai à revendre, mais tu es aidée mon enfant, si tu ne l'étais pas, tu ne serais pas ainsi. La joie de jouer, de sourire, de rire, t’aide beaucoup. Merci, Marisella, c’est ainsi que devrait être tout chrétien, ne pas perdre le moral, mais s’abandonner à Dieu, vivre, se réjouir et prier.

Merci. Je vous bénis tous, au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Ainsi soit-il.

Marisa - Tu ne veux pas me suggérer la réponse?

La Madone - Non.

Marisa - d’accord. Je n'y ai pas pensé, c’est elle (indiquant Chiara) qui me l’a suggéré, toutes les pensées lui viennent. C’est plus de sept ans de Purgatoire qu’elle devra faire.

La Madone - Non. Tu trouveras aussi un trou pour elle.

Marisa - d’accord, je te recommande tout particulièrement l’Evêque. Je prends toutes les maladies, de celle qui doit accoucher, de celui qui doit être opéré … Je n'en peux plus. Essaie de faire aller bien quelqu’un, parce que je n'en peux plus. Adieu.

Villetta Barrea (AQ), le 1er septembre 2007 - 20h34 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je vois beaucoup de lumière, mais la Madone n’arrive pas encore.

La Madone - Loué soit Jésus Christ, mes chers enfants. C’est avec une grande joie que je me trouve avec vous en ce premier samedi du mois. Les personnes du cénacle manquent, mais je les vois toutes, je vois les adultes, les jeunes et les enfants.

Il y a un cantique que j’aime beaucoup et qui touche Jésus et sa créature du Ciel (Marisa). Vous le connaissez et pouvez le chanter de temps à autre.

Je suis venue aujourd'hui pour vous dire de vous aimer, de vous aider mutuellement, de vous corriger. Si quelqu’un se trompe, reprenez-le avec amour et charité. Il peut arriver que quelqu’un se trompe pour diverses raisons, c’est alors au frère ou à la soeur de le corriger, avec amour, n'oubliez pas.

Je viens volontiers parmi vous, mais il y a malheureusement toujours une fausse note. J’aimerais tant aider ces personnes, et l’Evêque aimerait aussi les aider, mais je vois que ce n'est pas facile. Ce sont des personnes dominées par l’orgueil et la vanité, elles savent qu’elles sont dans l'erreur mais ne l’admettent pas. Ceci arrive aux adultes comme aux jeunes, mais les jeunes sont peu nombreux. Les jeunes aiment beaucoup mes deux chers enfants comme moi, la Mère de l’Eucharistie, je les aime.

Quand nous avons été récemment au bord du Jourdain, Jésus a embrassé l’Evêque, a longuement parlé avec lui et lui a dit beaucoup de belles choses. L’Evêque doit avoir beaucoup de force et de courage pour affronter ceux qui sont contre lui et ils sont si nombreux; je vous demande de prier pour lui. Jésus l’aime, je l’aime, les enfants l’aiment, mais Dieu surtout l’aime, ce Dieu qui est souvent et volontiers présent parmi vous. Il sait tout et écoute avec tant d’amour et de patience tous ceux qui l’invoquent. Invoquez-vous aussi le Dieu Tout Puissant: "Dieu, Mon Dieu, aide-nous, aide chacun de nous, aide les malades et ceux qui sont hospitalisés, Tu peux le faire". Adressez-vous à Dieu avec simplicité, avec amour, comme Jésus parlait aux enfants et aux adultes, avec amour. Ce soir nous irons sur le bord du Jourdain.

Marisa - Alors je mangerai ce soir. Oui, d’accord.

La Madone - Nous aurons beaucoup à faire ce soir, parce que de là nous irons au Népal pour y aider les familles. Ce sera une longue nuit, mais vous ne vous rendrez pas compte s’il fait jour ou nuit, parce que la lune brillera en permanence; tout sera illuminé parce que Dieu sera avec nous.

Quand vous voyez la lune, dites aussitôt: "Quelle belle lune, que de lumière!", il y a là Dieu qui vous aime. Corrigez vos défauts, aidez-vous les uns les autres et si quelqu’un veut commander, parce qu’il pense tout savoir, laissez le faire. Souvenez-vous qu’il n'est pas difficile d’aller au Paradis, mais il faut beaucoup d’amour. Si vous n’aimez pas, vous n'irez pas au Paradis.

Marisa - Est-ce que nous tous ici présents nous irons immédiatement au Paradis?

La Madone - Marisella, tu as posé une question indiscrète.... je ne peux pas te le dire, pour deux j’en suis sûre, mais je ne peux rien dire en ce qui concerne les autres. Sois plus silencieuse et écoute.

Marisa - d’accord, merci d'être venue, merci de tes belles paroles et de ton aide.

Villetta Barrea (AQ), le 2 septembre 2007 - 13h47 (Récit de Marisa)

Marisa - Avant que n’arrive la Madone, je dois vous dire quelque chose que je ne saurais peut être pas bien expliquer, parce que je n’ai pas un langage choisi comme l’Evêque. J’ai passé une nuit très dure et difficile, mais j’ai reçu également beaucoup d’aide de Jésus. Malgré son aide, les douleurs ont été très fortes. J’ai appris que des âmes vivant depuis longtemps dans le péché mortel se sont sauvées ainsi que beaucoup de jeunes qui étaient à.... comment s’appelle l'endroit?

L’Evêque - Loreto.

Marisa - Le Christ qui était sur la croix m’a demandé de souffrir toute cette nuit pour le Pape. Je me suis un peu rebellé et je lui ai répondu :"Tu m’avais dit que je ne devais plus souffrir pour les prêtres, mais pour les laïcs, les jeunes et les enfants. Pourquoi me demandes-tu cela maintenant?"

Jésus la tête baissée et les yeux pleins de larmes m’a dit: "Marisella, aide-moi".

J’ai souffert terriblement et continuellement pendant toute la nuit. J’ai eu des douleurs que je ne souhaite également pas à mon pire ennemi et qui m'on fait perdre la vue. Je suis restée aveugle pendant un temps assez long. Les douleurs augmentaient, les épines s'enfonçaient dans mon front et les clous pénétraient dans mes mains et mes pieds et j’ai dit à Jésus: "Que ce soit comme Tu le veux ", et j’ai accepté. Je ne sais pas si c’est seulement pour cette nuit ou s’il me donnera encore d’autres nuits tant de souffrances. j’espère que non, parce que je ne le pourrais pas. Je ne vous l’ai peut-être jamais demandé, mais je vous demande maintenant de prier un petit peu pour moi, afin que j’ai la force d’accepter tout cela, parce qu’il me semble impossible que Jésus m’ait d’abord dit de ne plus devoir souffrir pour les prêtres et m’ait ensuite directement demandé de souffrir pour Ratzinger. Je vous ai raconté comme je le peux ce qui m'est arrivé cette nuit, parce que je ne sais pas bien m'exprimer.

L’Evêque - Dois-tu souffrir pour sa conversion?

Marisa - Il ne m’a rien dit, je ne sais pas si c’est pour sa conversion. Jésus attendait mon "Oui" à genoux devant moi et finalement j’ai dit: "Oui". Je pense que tu l’aurais dit toi aussi.

L’Evêque - Je ne sais pas.

Marisa - Je pense que n'importe qui aurait finalement dit oui, parce que comment dire non au Christ à genoux, qui te demande en pleurant de l’aider? Comment dire non? J’ai pris beaucoup de temps avant de lui répondre, je ne lui ai pas répondu tout de suite, parce que je pensais à tous nos discours, et à tout ce que Dieu m’avait dit, que la mission de la souffrance pour les prêtres était terminée. J’ai longuement réfléchi. Mais à quoi doit réfléchir une ignorante comme moi! Et j’ai dit oui.

Villetta Barrea (AQ), le 2 septembre 2007 - 13h57 (Lettre de Dieu)

La Madone - Non, Marisella, je voulais que tu finisses d’abord ton discours. C'était un discours très simple, mais compréhensible; ne te fais pas de soucis.

Mes chers enfants, ce que votre soeur vous a dit s'est répété bien des fois et continue à se répéter. De telles situations se sont également présentées à mon époque. J'étais prise comme cible, parce que je me conduisais bien. Ceux qui ne se conduisaient pas bien, étaient bien traités, mais moi et mon époux Joseph, nous n'étions pas bien traités, en particulier par nos proches. Vous ne devez donc pas vous alarmer, ou vous faire du souci, si le monde continue à être ainsi. Dieu a créé un monde très beau, il a créé la mer, les fleuves, les fleurs, les montagnes et tout ce qui est beau, mais les hommes l’ont souillé et détruit. Comment? Par l’orgueil et la vanité. Ceux qui sont humbles sont attaqués, critiqués. Ceux qui sont orgueilleux, qui abusent du pouvoir, sont traités avec respect. Mais vous, combattez l’orgueil et la vanité, cultivez l’amour envers tous et aidez-vous mutuellement.

J’ai tant entendu de choses à mon égard. On m’a critiquée, parce que j’avais pris un homme plus grand que moi ou on disait que je l’avais épousé parce qu’il était beau. Ils ne savaient pas que Dieu m’avait donné ce saint homme, ce saint Fils pour préserver ma pureté et ma virginité. Ce monde ne le comprend pas, ne l’admet pas. Si l’un de vous se conduit bien, il n'est pas compris, on le juge mal.

Pensez-vous qu’il n'y ait pas eu de jalousie entre les apôtres? Si, il y avait un peu de jalousie, mais ils réussissaient à se corriger, à s’aimer et à se vouloir du bien. Pensez-vous que tous ceux qui courraient derrière Jésus étaient des disciples fidèles et dociles? Non. Ils courraient derrière Jésus par intérêt, pour faire voir qu’ils étaient avec Lui; il y en avait beaucoup qui ne l’aimaient pas.

Mais Jésus les fixait dans les yeux et les aimait tous, comme il le fit avec le jeune homme riche, qui ne comprit rien. Quand Jésus lui demanda de vendre tous ses biens et de le suivre, il partit triste. Quand Jésus vous demande de faire un sacrifice ou de renoncer à quelque chose, soyez tranquille il ne vous demandera pas de grandes choses, faites-le, dites oui à Jésus. Il aime tous les hommes. Il aime l’Evêque d'un amour infini, qui lui demande parfois: "Jésus, tu m’aimes?". Oui, Jésus aime l’Evêque, il vous aime, vous les jeunes et les adultes. L’amour vainc tout et vous emmène au Paradis.

Ensemble avec mon et votre saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers et vos objets sacrés. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit. Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

Villetta Barrea (AQ), le 6 septembre 2007 - 19h58 (Lettre de Dieu)

Marisa - Je souffre de ces plaies d’abord invisibles, puis visibles et pour finir de nouveau invisibles. Elles se sont ouvertes devant tous d'une façon si sanglante que j’ai cru devenir folle. Maintenant qu’elles sont invisibles, elles me font encore plus souffrir, mais je suis heureuse, qu’on ne les voit pas. J’aimerais seulement savoir quand tu m'enlèveras ces douleurs qui m'empêchent de respirer? Je suis restée aujourd'hui toute la journée enfermée, je manque d’air, le ciel me manque et, malgré tout, j’ai travaillé et prié avec mes frères.

Jésus - Sois tranquille, Marisella, je t’enlèverai les souffrances venant des stigmates avant le dîner, mais les autres douleurs appartiennent à la nature humaine.

Marisa - Je Te remercie, Jésus. Si tu me fais aller assez bien ces trois derniers jours, nous serons tous heureux.

Jésus - Marisella, qui a demandé à souffrir pour ces deux jeunes? N'était-ce pas toi? Et je t’ai dit oui. Tu dis oui quand Je te demande quelque chose et Je te dis oui quand tu me demandes quelque chose.

Marisa - Que dois-je faire maintenant? Ne dois-je pas souffrir pour mes jeunes?

L’Evêque - Prions, Jésus.

Marisa - Oui, prions pour les deux jeunes et pour tous les autres malades, prions aussi pour Marisella, pour qu’elle soit bien pendant ces trois derniers jours, comme l’Evêque, mon très cher frère et ami, le désire.

L’Evêque - Jésus, si Tu le veux, nous prierons toute la nuit.

Jésus - Non. La nuit vous devez dormir.

Marisa - Nous aideras-tu à dormir? Je me suis endormie cette nuit après quatre heures. Je ne dors pas tranquillement, parce que je dois souvent me lever pour aller aux toilettes; toutes ces interruptions troublent mon sommeil. Même si je me rendors, je ne dors pas les heures qu’un chrétien devrait dormir. Je ne veux pas dormir comme un loir ni comme une bête de somme, mais j’aimerais dormir un petit peu plus, parce que j’en ai besoin. As-tu vu ce que j’ai fait de toute la journée? J’ai dormi dans le fauteuil et je suis allée me coucher quand les autres sont allés manger. Est-ce que je dormirai cette nuit?

Jésus - Tu dormiras cette nuit, Marisella. Il est toujours difficile pour toi de t’endormir, parce que tu dois mettre un peu d'ordre dans tout ton corps, mais tu verras que tu t’endormiras. De toute façon tu verras que tu n’auras plus les souffrances des stigmates avant le dîner.

Marisa - Pardon, Jésus, si tu le permets, cette douleur si atroce torture ma tête, mon épaule, mes pieds et mes mains. Ne pourrais-tu pas, comme il ne reste que trois jours, me faire aller un petit peu mieux?

Jésus - Oui, d’accord, tu iras mieux pendant ces trois jours. Ca va comme ça?

L’Evêque - Merci, Jésus.

Marisa - Jésus, si tu le dis… Bien sûr, si tu me faisais aller tout à fait bien, ce serait mieux, mais je m'en contente. Je voulais te dire que nous aurons de grandes difficultés en rentrant à Rome. Pourrais-tu arranger la situation?

Jésus - Marisella, je te promets d’essayer d’arranger la situation, mais n'oublie pas que c’est très difficile.

Marisa - Quand m'emporteras-tu, tu sais que l’Evêque doit aller se reposer?

Jésus - Oui, oui, c’est vrai, c’est vrai aussi.

Marisa - J’ai dans le coeur plein de choses à te dire, mais rien ne me vient plus maintenant à l'esprit, parce que ce qui m’intéressait, c'était de savoir si tu accepterais la demande de l’Evêque: aller mieux pendant les trois derniers jours de notre séjour à la montagne.

Jésus - J’accepterai ce que l’Evêque a demandé, même après, sois tranquille. Je ne dis pas que tu iras bien à 100%, tu ne le peux pas, parce que ton corps est très malade. Certaines personnes près de toi ne se rendent pas compte de la gravité de ton état.

Marisa - Sais-tu que je ne me rends pas compte moi-même que je suis si malade? Il me semble que je vais mieux. Est-ce vrai, Jésus?

Jésus - Oui, tu vas mieux, si cela te rend heureuse.

Marisa - Oui, il me semble que je vais mieux, les douleurs arrivant à l’improviste sont parties. L’Evêque dit non et je dis oui. Que dis-tu, toi?

Jésus - Oui, je pense comme toi.

Marisa - Merci, Jésus. (Marisa envoie plusieurs baisers à Jésus). Salue pour moi ma maman de la Terre, et ma Maman du Ciel, Saint Joseph, les neveux et tous les petits enfants africains que je t’ai amenés au ciel? Salue-les tous. Adieu, Jésus, merci, mille mercis, merci également de la part de l’Evêque; j’espère qu’il est heureux que je sois contente. Oui, adieu. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Jésus, tu es mon époux bien aimé! Es-tu content, Iaio?

L’Evêque - Heureux! Disons immédiatement la Sainte Messe en remerciement.

Villetta Barrea (AQ), le 8 septembre 2007 - 18h00 (Lettre de Dieu)

Nativité de la Sainte Vierge Marie

L’Evêque - Seigneur, Dieu Un et Trois, Dieu Papa, Dieu Frère, Dieu Ami, si je devais maintenant tirer les conclusions de ces vacances, je devrais dire honnêtement que nous avons eu de l’aide, surtout la nuit et pendant les moments d'urgence le jour, mais nous ne rentrons pas à Rome reposés comme nous l'espérions. Nous sommes fatigués, aucun de nous ne peut dire qu’il rentre à Rome remonté. Cette rencontre avec toi, chère Maman, seulement pour nous aide Marisa. Je ne voulais pas le faire, parce que je sais dans quel état elle se trouve, mais cela me fait plaisir que tu sois venue et surtout si tu l’aides. Je sais qu’il n'est pas besoin de poser de questions, mais il est légitime d’en poser une nous concernant. Comment ferons-nous pour commencer la nouvelle année dans ces conditions?

Bien sûr, comme tu l’as dit bien des fois, si tu ne nous avais pas aidés, nous nous serions écroulés, allongés sur le lit, sans force, mais dans notre état, comment pouvons-nous travailler et donner le meilleur de nous-mêmes? Mon Dieu, je te soumets cette question. Tu connais également tous les problèmes de notre maison, tu sais combien ils sont graves, combien ils sont difficiles. Toutes nos croix, mon Dieu, sont lourdes à porter! Peux-tu nous en retirer une? Si ce n'est pas le moment de nous répondre, j’attendrai, dis-nous quand et nous T'écouterons, comme nous l’avons toujours fait. Nous aimerions nous réjouir, montrer à tous notre joie et notre bonheur, mais comme Tu le vois, Marisa est privée de forces et je ne réussis plus à supporter notre situation, qui me contraint de vivre dans la prière et en m’abandonnant à Toi. Mon Dieu, quand nos souffrances finiront-elles. J’ai dit que je n’ai pas peur de me battre, que je suis prêt à lutter contre tous les ennemis, qui sont nombreux et puissants, ainsi que l’a dit dimanche la Mère de l’Eucharistie, mais je n’ai pas la force de supporter certaines situations familiales qui me détruisent physiquement et me déchirent l'âme. Tu as dit que nous avions converti beaucoup d'âmes, elle surtout avec ses souffrances, aidé les membres de la communauté à surmonter des moments difficiles et critiques et donné une nouvelle énergie à l’Eglise, pour qu’elle puisse renaître et triompher. Jésus, Tu as dit: "Après avoir fait tout ce que vous deviez faire, vous dites: nous sommes des serviteurs inutiles", voilà, nous avons le sentiment d'être des serviteurs inutiles. Toi seulement, mon Dieu, es nécessaire, Toi seul, mon Dieu, es important. Bien sûr, si Tu nous as appelés à vivre et à prendre des responsabilités, ceci signifie que Tu as confiance en nous et nous chercherons à la mériter, mais mon Dieu aide-nous, et comme les apôtres, je ne crie pas, parce que je n’ai en plus la force, mais je murmure: "Réveille toi, Seigneur, sinon nous périssons". De toute façon, mon Dieu, louange, gloire et honneur à Toi dans les siècles des siècles. Ainsi soit-il.

La Madone - Je réponds maintenant à mon saint Evêque au nom de Dieu. Vous avez reçu beaucoup d’aide, vous aviez de grandes et nombreuses difficultés, parce que Marisella n'était vraiment pas bien. J’ai dit hier de ne pas lui donner de médicament et elle allait mieux. Vous rentrez demain à la maison et cette pauvre créature du Ciel n'en sortira plus. Qui la portera dehors ? Personne. Il faut descendre les escaliers Nous ne pouvons pas la guérir de tous ses maux, parce que Dieu en a décidé ainsi. Mais nous lui avons donné de l’aide que vous ne pouvez pleinement reconnaître, parce que vous voyez votre soeur malade toujours souffrir et elle soufre beaucoup, beaucoup. L’avez-vous jamais entendue se plaindre de ses douleurs? Si elle le fait quelquefois, c’est parce qu’elle est aussi une créature humaine.

Marisella, le Ciel prépare quelque chose de grand, comme je te l’ai déjà dit. Tu pries maintenant pour Gigi Sabani et Luciano Pavarotti, afin qu’ils aillent au Paradis.

Notre saint Evêque doit se préparer à s'élever à des hauteurs vertigineuses. C’est juste quand tu dis que tu aimerais l'emmener avec toi. C’est juste humainement parlant, parce que tu sais qu’il souffrira beaucoup dans les premiers temps. Mais si tu l'emmènes, qui remettra de l’ordre et fera renaître l’Eglise?

Marisa - Tu es Dieu. Excuse moi, cela m'est sorti du coeur. Pourquoi doit-il remettre de l’ordre dans l’Eglise? Il a déjà tellement souffert. Il n’a pas eu non plus de jour de repos. Fais- le bien se reposer, pour qu’il se régénère, puis envoie-le à ces hauteurs fantastiques. Est-ce que le Seigneur Dieu est content? Demande-lui s’il est content.

La Madone - Marisella, Dieu est content, parce que vous ne faites pas le mal, vous ne commettez pas de péchés. Ce sont les péchés qui offensent Dieu, pas ces plaisanteries, ces espiègleries que tu fais toi.

Marisa - Un moment, je n’ai pas fait d’espiègleries ce soir, j’ai dit de tout mon coeur: "Toi et le Seigneur Dieu mettez l’Eglise en ordre," le Saint ira se reposer et moi, j’espère, j’irai vite, vite, vite, au Paradis.

La Madone - Certains des apôtres disaient cela aussi dans leur coeur. Ils voulaient mourir, s'en aller, parce qu’ils étaient fatigués de supporter tant de souffrances et ceux qui disaient du mal. J'écoutais ce qu’ils disaient, mais c’est Dieu qui prenait la décision de les emporter.

Marisa - Petite Madone, je serai demain à la maison, maison qui est aussi la tienne. Vois si tu peux faire un peu quelque chose? Dis au Seigneur Dieu que j’ai besoin de beaucoup d’aide, parce que si je vais bien, le Saint ici présent, plus que saint immédiat, va bien lui aussi.

Villetta Barrea (AQ), le 9 septembre 2007 - 11h00 (Lettre de Dieu)

Marisa - Pourquoi es-tu venue en habits de fête?

La Madone - C'était hier ma fête, mais Dieu le Père a voulu qu’aujourd'hui aussi je sois toute en habits de fête.

Vous souvenez-vous que Saint Paul a persécuté les chrétiens et les a fait tuer? Jésus lui est apparu sur la route de Damas, il est tombé de cheval et est resté aveugle. La vue lui a été ensuite rendue. Il a été ordonné Evêque et a commencé à prédire dans les villes d'une région à l’autre. Il ne s'est nullement préoccupé de ceux qui le poursuivaient et le maudissaient, mais continuait convaincu que Jésus est le Sauveur. Je suis sûre que vous connaissez Saint Paul, parce que votre Evêque vous en a beaucoup parlé. Bien qu’il ait persécuté et tué des chrétiens, il est saint aujourd'hui. Je vous ai dit ceci pour vous faire comprendre que chacun de vous peut devenir saint. Il n'est pas besoin de faire de grandes choses pour arriver à la sainteté, il suffit de bien faire les petites choses. Dieu appelle tous les hommes à la sainteté. Combien de personnes qui n'étaient pas en ordre avec Dieu, se sont converties, ont accompli de bonnes oeuvres, pratiqué la charité et secouru les pauvres; c’est pourquoi Dieu leur a ouvert le Paradis. Agissez, vous aussi, avec amour. Dieu ne vous a pas appelés pour faire de grandes choses. On peut devenir saint en faisant de petites choses. Je serai près de ceux qui se conduisent ainsi. Mes chers enfants, mes paroles sont simples, mais riches d’amour: obéissez, faites la volonté de Dieu, aimez votre prochain et ceux qui sont dans le besoin et vous verrez comme tout deviendra facile. Je vous veux avec moi au Paradis. Merci, de répondre à mon appel. Ensemble avec mon saint Evêque, je vous bénis, vos êtres chers, vos petits enfants, toutes les familles et le petit cénacle. Je vous serre tous sur mon coeur et vous couvre de mon manteau maternel. Allez dans la paix de Dieu le Père, Dieu le Fils et Dieu le Saint Esprit.

Marisella, tu sais ce qui t’attend, il est inutile d’en parler. Loué soit Jésus Christ. Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit.

(Marisa est mal)

Marisa - Dis-moi, ce que je dois faire, ce que je dois manger.

La Madone - Nous tombons, Marisella?

Marisa - Je ne sais que te dire, j’ai tout essayé. J’ai goûté un peu de nourriture, mais j’ai envie de vomir. Que dois-je faire? J’ai mangé trois …

L’Evêque - Rigatonis.

Marisa - J’ai mangé trois rigatonis.

La Madone - C’est peu. Si tu veux avoir des calories, si tu veux rester un petit peu avec les autres, tu dois manger un peu plus et boire. Tu ne bois pas et tu ne manges pas.

Marisa - J’ai goûté à la salade: elle est amère. J’ai déjà la bouche si amère à cause d’elle.

La Madone - Elle n'est pas faite pour toi. L’Evêque ne peut pas te faire manger, ce n'est pas sa tâche.

Marisa - Je n’ai personne qui puisse m’aider. Je vais maintenant manger un pudding en espérant qu’il passe, parce que mon estomac me fait mal. C’est acide dedans. Dois-je en discuter aussi avec toi?

La Madone - Tu dois affronter un voyage, Marisella.

Marisa - J’ai mal à l'estomac. j’essaie maintenant un pudding, mais ça suffit parce que je n'en peux plus. Maintenant j’ai mal à l'estomac, au pancréas, à l’intestin, tout me fait mal.

Si mon heure est arrivée, dites-le moi, je vous en prie. Ayez un peu de compassion, de pitié pour moi. Tu parles de charité et je te demande compassion et pitié.

L’Evêque - Adressons-nous à Dieu Papa.

Marisa - Va demander à Dieu Papa ce que je peux faire. s’il décide ensuite que mon heure est arrivée, qu’elle soit la bienvenue. Vous ne pouvez pas me faire manger des choses qui me font mal. d’accord, adieu. j’essaie. Pendant ce temps, va demander à Dieu Papa. Pourquoi l'estomac me fait-il si mal? Je n’ai jamais eu une douleur aussi forte.

L’Evêque - Pourquoi insistent-ils pour que tu manges si tu ne le peux pas?

Marisa - Parce que j’ai froid, je n’ai plus de calories.

L’Evêque - Dieu Papa ne peut-il pas intervenir d'une façon extraordinaire?

Marisa - Je lui ai dit d’aller voir Dieu.